Il fut un temps où CKY ravageait tout sur son passage, avec un son hard rock bruyant et chaotique, imprégné de la culture skate-punk et marqué par un style de vie de fêtard que ce soit sur scène ou en dehors, décimant au passage bien des relations et réputations. La renaissance sonore de CKY est incendiaire et intense, chaque chanson étant d'une puissance assassine. Le groupe venu de la Pennsylvanie nous présente un nouveau EP de 4 titres limité à 300 ex pour l'Europe. Inclut la reprise du Bite It You Scum de GG Allin.
Le dernier EP de L'Orange & Mr. Lif, The Life and Death of Scenery propose une contre utopie chimériques juste assez loin de la modernité mais assez proche pour vous faire envisager de déménager ! Dans cette collaboration avec l'excentrique producteur de Caroline du Nord, L'Orange, Lif imagine un avenir adjacent appelé la «dernière société», où la culture a été effacée et la survie a pris le dessus sur l'art. Tout un programme !
Floy est de retour ! Reconnue pour son succès, aussi bien en tant que chanteuse du groupe de dance Culture Beat, qui a atteint la 2ème place dans les charts américains avec le single I Like You, que pour son single solo Soulful Man extrait de l'album Shamelessly. Maintenant, un nouvel album de la chanteuse de soul est sur le point de sortir, Today I Rise, enregistré avec son groupe The Messengers. Le groupe a joué ce nouvel album en exclusivité en première partie d'Eric Clapton, conquérant un nouveau public.
Marie France, figure incontournable de l'underground parisien et de la contre-culture depuis la fin des années 70, revient avec un nouvel album composé et réalisé par Léonard Lasry, dont les textes signés Elisa Point nous évoquent l'univers de Françoise Sagan ou Marguerite Duras. Entre piano voix aux atmosphères poétiques et diaboliquement cinématographiques et morceaux empreints de guitares sèches, ce nouvel album nous permet de retrouver une interprète hors pair, qui a auparavant inspiré les plus grands, de Daniel Darc, Jacques Duvall, Bijou, Mirwais aux Rita Mitsouko.
Skova s'affirme comme un artiste parisien, inspiré par la culture hip-hop. Depuis son adolescence, le rap est l'essence qui rythme sa vie. Dans les années 90, avec son groupe Né-Fast, il enchaîne les concerts en France comme à l'étranger et sort plusieurs opus produit par Global Vibes. En 2016, premier album solo Parcours D'1 Combattant. Cet album correspond à ce qu'il est réellement et parle de ses révoltes, ses doutes, ses sacrifices, ses choix, sa volonté de suivre sa voie quel qu'en soit l'issue... Les collaborations sont riches, du gros son avec des messages profonds, le flow est incisif et le fond comme la forme sans concessions. Pour les fans de : Né-Fast, Rockin' Squat, La Rumeur, Scred Connexion.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.
Post-garage, post-surf, post-psyché, post-lo-fi... Voici quelques-uns des termes employés par les médias pour décrire la musique de TY SEGALL. Ce mignon natif de Laguna Beach, Californie. À seulement vingt-cinq ans, il possède une culture musicale suffisamment gargantuesque pour bluffer les kids nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas connue : Eddie Cochran, Captain Beefheart, The Beach Boys, The Flamin' Groovies, The Thrashmen, The Kinks, The Red Krayola, Black Sabbath, The Troggs, T-Rex, The Pretty Things, Pavement, Beck... Mélomane omnivore et stakhanoviste, il a déjà officié au chant, à la guitare et à la batterie dans de nombreux groupes (Love Death, The Traditional Fools, Epsilons, Party Fowl, The Perverts, Sic Alps) et a fait paraître plus d'une vingtaine d'enregistrements sous son nom (dont quatre albums), avant de devenir un phénomène indie à la sortie de Melted (2010), troisième LP légèrement moins crasseux. Création jouissive et festive, perdue entre la folie brute d'un Syd Barrett et le panthéisme d'un Donovan, Twins nous renvoie des parfums de liberté, de joie toute simple où les orgues et les solos guitares dégoisent leur bonne humeur et leurs stupéfiants. Maîtrise technique, gaité de la composition, TY SEGALL renouent avec les volutes psychédéliques d'un Red Krayola première période. Ce disque est un plaisir sans limites.
Post-garage, post-surf, post-psyché, post-lo-fi... Voici quelques-uns des termes employés par les médias pour décrire la musique de TY SEGALL. Ce mignon natif de Laguna Beach, Californie. À seulement vingt-cinq ans, il possède une culture musicale suffisamment gargantuesque pour bluffer les kids nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas connue : Eddie Cochran, Captain Beefheart, The Beach Boys, The Flamin' Groovies, The Thrashmen, The Kinks, The Red Krayola, Black Sabbath, The Troggs, T-Rex, The Pretty Things, Pavement, Beck... Mélomane omnivore et stakhanoviste, il a déjà officié au chant, à la guitare et à la batterie dans de nombreux groupes (Love Death, The Traditional Fools, Epsilons, Party Fowl, The Perverts, Sic Alps) et a fait paraître plus d'une vingtaine d'enregistrements sous son nom (dont quatre albums), avant de devenir un phénomène indie à la sortie de Melted (2010), troisième LP légèrement moins crasseux. Création jouissive et festive, perdue entre la folie brute d'un Syd Barrett et le panthéisme d'un Donovan, Twins nous renvoie des parfums de liberté, de joie toute simple où les orgues et les solos guitares dégoisent leur bonne humeur et leurs stupéfiants. Maîtrise technique, gaité de la composition, TY SEGALL renouent avec les volutes psychédéliques d'un Red Krayola première période. Ce disque est un plaisir sans limites.
A l'apogée de la télévision a petit budget et de la production de films de genre, les producteurs qui avaient besoin d'une bande sonore pouvaient choisir parmi une selection de Library Music avec des disques pour coller avec toutes les ambiances possibles. Bien qufa lfepoque, lfutilisation de tels disques etait surtout une manoeuvre de reduction des couts pour les productions qui ne pouvaient pas se permettre dfembaucher leurs propres compositeurs, lfindustrie sfest rapidement développée : ces catalogues firent de grands succes financiers, et la plupart des morceaux etaient extraordinaires car en realite derriere cette musique creee a la demande de facon anonyme ou sous un pseudo se cachaient certains des plus grands esprits musicaux de la fin du XXe siecle, des musiciens experts et compositeurs novateurs qui ont pu profiter des libertes paradoxalement offertes par les entreprises. Unusual Sounds nous plonge dans un univers musical jusqu'alors accessible uniquement aux producteurs et aux collectionneurs de disques. C'est une celebration de cette industrie etrange et une examination de sa place unique au coeur de l'art et du commerce. Compagnons parfaits du livre de David Hollander intitule Unusual Sounds : The Hidden History of Library Music (publie sur Anthology Editions), ces 20 titres illustrent la fascinante sous-culture de la Library Music. Les genres ont ete melanges, les convenances ont ete supprimees et des musiques hybrides d'une complexite etonnante ontete produites. Des elements de rock, de jazz, de soul et meme de composition avant-gardiste du vingtieme siècle ont ete utilises, et tournes dans tous les sens. En consequence, certaines des meilleures musiques de Library Music defient toute categorisation dans un style, refletant les excentricites individualistes et les talents artistiques des differents musiciens qui les ont creees. Cette compilation comprend des chansons du fondateur du groupe Brainticket, Joel Vandroogenbroeck, de John Cameron et de Keith Mansfield, du compositeur d'origine montenegrine Janko Nilovi., et du compositeur italien Stefano Torossi, entre autres. David Hollander est un producteur, superviseur de musique, ecrivain et collectionneur vivant au Texas. Collectionneur de disques de longue date, sa collection de Library Music est consideree par beaucoup comme l'une des meilleures du monde.