M. Jim, le voisin du dessus, est réapparu. Tout le monde croyait qu'il était mort, même son chat Jules qui est venu se réfugier chez Diego et sa petite soeur Pépita ! À son retour, M. Jim ne parle plus et garde un air triste. Avec sa mère, sa soeur et ses copains, Diego découvre que l'homme a perdu la voix en même temps que le sourire. Il possède en revanche des talents inattendus...
La maîtresse adore la culture et elle a proposé à ses élèves de passer deux jours au manoir du Carterêt pour découvrir le patrimoine local. Deux jours… et donc, une nuit ! Ce détail n’a pas échappé à Mortimer : il a caché son chat Frisson dans son sac à dos pour qu’il lui tienne compagnie. Bonne idée, car le manoir semble hanté par le fantôme d’un vieux marquis… qui a eu la tête coupée !
Pour suivre un chat, Léo se glisse à travers un soupirail et tombe dans une cave abandonnée d'où il est impossible de sortir. Livré à lui-même, il explore les lieux et découvre le butin caché de cambrioleurs. À l'extérieur, sa disparition suscite l'angoisse de ses parents, l'inquiétude de ses camarades et une enquête de gendarmerie menée par l'inspecteur Valérian. Une intrigue pleine de suspense portée tour à tour par différents personnages, qui donnent chacun un éclairage singulier à l'inexplicable disparition de Léo. Roselyne Bertin a imaginé un huis clos palpitant où le lecteur oscille, comme le personnage principal, entre angoisse et curiosité, jusqu'à un dénouement heureux.
Jules n’arrive pas à dormir. Cette nuit, le père Noël doit passer. C’est sûr, il va lui apporter la magnifique panoplie de Super Vengeur qu’il a commandée depuis des mois. Désobéissant à ses parents, Jules quitte son lit, suivi de son chat, et décide de faire le guet. Il s’installe devant la fenêtre. Ce qu’il aperçoit ne cadre pas du tout avec ce qu’il imaginait… Une série amusante et tendre, qui déroule mois après mois les péripéties de la vie quotidienne d’un petit garçon et ses apprentissages. Le lecteur découvre Jules à l’école, en classe, en récréation, chez ses amis ou dans son cadre familial. Très largement illustrée par Colonel Moutarde, cette série d’Hubert Ben Kemoun inscrit l’enfant à la fois dans la société et dans son imaginaire. L’écriture du Je permet une proximité complice entre le lecteur et le héros.