La réédition en cartonné et bichromie du premier volet d'une série poétique et historique.Le Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d'histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l'île de Kyusku où la fille du propriétaire d'une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l'aimait en secret.Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n'y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l'un aux motifs de rats et de mulots, l'autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu'un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s'enfuit à la poursuite d'une grue…Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l'amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…
Le Chat du kimono n'est pas une série comme les autres : plus que l'intrigue de ses albums, ce qui captive ses lecteurs, c'est son ambiance, ses personnages, son graphisme.Nancy recrée une Angleterre plus victorienne que nature, empreinte d'Art nouveau et d'influences japonisante.Cet univers bien entendu peuplé de chats, elle le fait vivre également hors des bulles et des cases, au travers d'objets et d'images.Sa complice, Céline Badaroux Denizon, lui donne même un prolongement presque théâtral avec la création de costumes issus des livres et leur mise en scène soignée, qui permettent de mettre sur photo des Alice Barnes et Percy Neuville plus vrai que nature.Un ouvrage étonnant, un régal pour les yeux.
Dans le cadre d'une Tea Party organisée entre deux lords prestigieux, Victor Neville, conseil-ler culinaire, est engagé pour dénicher le meilleur thé possible afin de mener son employeur, Lord MacDale, à la victoire.Mais Victor va connaitre bien des difficultés face au conseiller commissionné par Clifford Barnes, l'adversaire de MacDale. Sans parler de sa fâcheuse tendance à la narcolepsie qui l'accable toujours du même rêve obsessionnel : un cauchemar peuplé d'oiseaux médecins qui le harcèlent.Par chance, Victor rencontre la propre fille de Barnes, Alice (cette même Alice du Chat du kimono). Et celle-ci semble bien décidée à l'aider afin de contrer l'arrivisme de son père.Dans ce match « culinaire » de prestige, Victor n'est pas au bout de ses surprises...
Un jour, François a une révélation : et si son célibat était dû aux chats ? Et si c'était à cause d'eux que les hommes n'arrivaient pas à construire une relation durable avec les femmes ? Mais si, voyons ! Avec ces félins à disposition, fini les compromis, la patience... à la moindre difficulté rencontrée par le couple, elle préférent rentrer chez elles et caresser leur chat... À ce dérèglement mental, François avait donné un nom : Le félinisme ! Alors, pour sauver la société de ce fléau, quoi de mieux que des virées nocturnes pour éradiquer les chats du quartier ? La preuve : dans les rues, l'amour semblait reprendre ses droits, et une ydille voir le jour entre François et Roxane. Mais c'était sans compter sur l'arrivée de Topaze - ou plutôt Igor - un chat Russe doté de la parole, bien décidé à aider François à exterminer ses congénères... dans une première étape !
Le saviez-vous ? L'appartement d'une artiste est le lieu idéal pour expérimenter mille et une bêtises. Et ça, Madame, chaton de son état, l'a bien compris.Non contente de pouvoir exprimer à loisir sa créativité féline, Madame évolue dans l'univers de sa propriétaire, entre encre de chine et suite Adobe.Au fil des saisons, elle découvre le monde alentour, virevolte dans les jambes de Nancy et atterrit dans ce petit recueil plein d'humour qui raconte avec tendresse la relation d'un maître et de son chat.
Elle n'a pas de nom, juste Bibi. Elle n'en a pas pour autant sa langue dans sa poche. Elle jette sur son univers ainsi que sur les pays qu'elle découvre un regard tout à la fois plein de fraîche naïveté et de délicieuse malice. Entre ses voyages dans des contrées lointaines (Pérou, Québec, Afrique, Inde), ses disputes avec Prescott le nounours, sa découverte des mystères de l'humanité, le chat Trafalgar et Isidore, le fils des voisins, Bibi apparaît comme une gamine un peu trop dynamique pour être une petite fille modèle...
Elle n a pas de nom, juste Bibi. Elle n'a pas pour autant sa langue dans la poche. Elle jette sur son univers ainsi que sur les pays qu elle découvre un regard tout à la fois plein de fraîche naïveté et de délicieuse malice. Entre ses voyages dans des contrées lointaines (Pérou, Québec, Afrique, Inde...), ses disputes avec Prescott le nounours, sa découverte des mystères de l'humanité, le chat Trafalgar et Isidore, le fils des voisins, Bibi apparaît comme une gamine un peu trop dynamique pour être une petite fille modèle ...Après un tome 1 qui a marqué ses lecteurs, le retour attendu d un petit caractère frondeur et espiègle !
Quand le petit Jean est né, tous l’ont cru mort. Mais, alors qu’on emmenait son corps, il s’est mis à miauler…Si bien que l’enfant a hérité du surnom de Piso, le « chat » en malgache.Aujourd’hui, Jean Piso est l’accordéoniste attitré du groupe Ny Malagasy Orkestra, qui porte haut les couleurs de l’île de Madagascar à travers le monde.Geneviève Marot a fait sa connaissance alors qu’elle accompagnait le groupe sur la route, pour réaliser les visuels de leurs prochains CD et affiches. Jean Piso lui a conté son enfance : sa découverte de l’accordéon, les jeux, les incidents entre enfants et plus généralement la vie dans un petit village du Sud de Madagascar, Betioky. Et Geneviève a mis ces souvenirs en images...Une plongée dépaysante dans la vie quotidienne d’un petit village malgache.
Suite à un nouveau pari lancé par deux lords, Victor Neville est envoyé en Écosse, à Montrose Castle. Sa mission ? Retrouver la recette des succulents « black shortbreads » inventée par feue Moira Grantham, Duchesse de Montrose.Face à lui, la très jolie, mais non moins dangereuse Alice Barnes (rencontrée dans Tea Party), mais aussi son propre frère, Percy, mandaté par Sir Barnes pour prêter main forte à sa fille. Les retrouvailles entre les deux frères ne manquent pas de sel...Sans compter que leur père, Lawrence Neville, fut lui aussi employé à Montrose Castle. Conseiller culinaire de génie et espion de talent, il chercha en vain cette fameuse recette avant de trépasser dans d'étranges circonstances...
Au commencement était une lettre... une lettre mystérieuse de Agathe à son père, priant ce dernier de ne surtout pas la rechercher.Convaincu que sa fille n'est pas partie de son plein gré, monsieur K part à sa recherche dans les rues de Paris.S'ensuit une longue descente aux enfers, un chemin qui va l'amener à rencontrer puis à passer outre les conseils de personnages énigmatiques tels W. le pragmatique détective, N. le musicien balayeur, Bashô le chat poète, l'araignée sur l'épaule, le petit joueur de bille et... Enfin Libre, eux-mêmes. Ces personnages ne seraient-ils pas, au final, que des parts de lui-même qu'il lui faudra assimiler ?Pendant ce temps, Agathe, en plein monde onirique, semble oeuvrer à retrouver les couleurs et les dimensions d'un monde devenu trop plat pour elle.L'un et l'autre vont devoir travailler sur eux-mêmes, chacun de leur coté, afin de pouvoir (mieux) se retrouver. Nettoyer son passé, se faire de la place, accepter ses erreurs et avancer.La musique des sphères leur permettra-t-elle de se retrouver ?