Avec le Chat pas de langue de bois, bien au contraire, on peut parler de tout (l'euro, le téléphone portable, les top-models), de rien et surtout de n'importe quoi.
Yukiteru Amano est un collégien dont le seul passetemps est d'écrire ce qu'il observe au quotidien dans son téléphone portable, jusqu'au jour où il se retrouve mêlé à un jeu mortel...L'heure des révélations a sonné ! Tandis qu'on découvre enfin le passé tourmenté de Yuno, le 11e propriétaire de chronographe se décide à sortir de l'ombre. Sournois, l'homme n'hésite pas à user d'un stratagème douteux pour coincer Yukiteru. Le jeune garçon réussira-t-il à s'en sortir ?
Yukiteru Amano est un collégien dont le seul passe-temps est d'écrire ce qu'il observe au quotidien dans son téléphone portable, jusqu'au jour où il se retrouve mêlé à un jeu mortel. L'heure des révélations a sonné ! Tandis qu'on découvre enfin le passé tourmenté de Yuno, le 11e propriétaire de chronographe se décide à sortir de l'ombre. Sournois, l'homme n'hésite pas à user d'un stratagème douteux pour coincer Yukiteru. Le jeune garçon réussira-t-il à s'en sortir ?
Dans un parc de Bruxelles, la jeune Zoé fait une découverte macabre : un tronc humain sur lequel on a gravé quelques mots de japonais. Elle prend le cadavre en photo sur son téléphone mobile, mais, contre toute attente, ne s'adresse pas à la police : quel meilleur sujet d'enquête que ce vrai meurtre pour le Bruxelles Detective Ritual, le club de détectives amateurs qu'elle a créé avec une bande de copains ?Très vite, les lycéens identifient une première piste : le texte japonais trouvé sur le corps peut se traduire par « Je suis Kroko ». Exactement la phrase-culte que prononce de façon récurrente le « méchant » de Lethal Pencil, très célèbre manga dont l'héroïne est elle-même. une dessinatrice de mangas.Pendant ce temps, la police enquête elle aussi, avec le concours d'une « profileuse » bientôt persuadée d'avoir affaire à un serial killer.Le premier volet d'un diptyque - en partie inspiré d'un fait divers récent au Japon - et l'arrivée chez Casterman d'un scénariste de poids : Yann.
« Mes meilleurs dessins ont souvent surgi sur des bouts de papier de hasard, entre griffonnages inconscients et images intentionnelles. Ils apparaissent sur des carnets de téléphone, en marge de colonnes de journaux et de magazines, sur des post-it, des enveloppes et des couvertures de livres (.) » Ainsi Art Spiegelman présente-t-il cette création éditoriale très inhabituelle qu'est Be A Nose: une collection de trois carnets de croquis, tenus au fil des années au hasard de ses multiples activités. La période couverte par ces carnets est vaste : de 1979, pour les images les plus anciennes, à 2007, pour les plus récentes. Le matériel iconographique et narratif qu'ils contiennent est d'une grande richesse et d'une surprenante diversité : portraits hâtifs, paysages urbains, traits d'humour, amorces d'histoires ou griffonnages réalisés à l'instinct au cours de conversations téléphoniques - le tout souvent imprégné de ce pessimisme ironique dont Spiegelman a fait sa marque de fabrique.Bien évidemment, l'ensemble du document est proposé en version originale, seule manière d'en conserver toute la saveur puisque dessins et annotations manuscrites y sont souvent inextricablement mêlés. Be A Nose sort en librairie sous la forme d'un coffret soigné, assorti d'un livret explicatif en français.
Lorsque cette histoire commence, le décor est apparemment celui du Moyen Age. Mais la bande-son, elle, suggère autre chose: rien moins qu’un vieux tube du groupe Téléphone, Un Autre monde… Tissée de deux lignes temporelles distinctes (l’une dans un environnement médiéval non daté, l’autre au coeur de notre époque contemporaine) qui vont finir par s’entremêler en une même trame, cette très intrigante histoire suit pas à pas le quotidien d’une jeune fille des années 80, Lou, dont le destin bascule soudainement à la suite d’une séance de spiritisme qui tourne mal. Traumatisée par le suicide de son amie Marie-Rose, qui n’a pas supporté ce que lui a révélé ce contact avec le monde des esprits, Lou mène l’enquête. Elle va peu à peu être confrontée, en lisière de l’apparente normalité qui constitue son quotidien, à des phénomènes de plus en plus déroutants. Hypnose, fantômes, visions, réminiscences vaudou… Pourquoi la réalité qui constituait jusqu’alors son ordinaire semble-t-elle insensiblement se déliter pour laisser apparaître un autre monde au parfum d’étrangeté, d’abord fugace puis de plus en plus marqué ? Ainsi intitulé en référence à un poème des Contemplations de Victor Hugo, le nouveau projet de la dessinatrice Maud Begon (Je n’ai jamais connu la guerre, publié chez KSTR) est une tétralogie créée en collaboration avec la romancière Carole Martinez, auteure notamment du Prix Goncourt des Lycéens 2011, Du domaine des Murmures. Un grand récit fantastique par un nouveau duo féminin plein de promesses.