La fille de Paname s'inspire de la vie d'Amélie Elie, devenue célèbre sous le sobriquet de « Casque d'Or ». C'est l'histoire d'une jeune femme qui ne voulait pas se tuer au turbin comme ses parents. Mais le Paris des Apaches, des marles et autres voyous n'offre qu'une alternative à une aussi jolie fille : le pavé et les passes à quelques sous. À moins, bien sûr, que ne vienne le prince charmant, foulard au cou, surin dans la pogne !
La Fille de Paname s'inspire de la vie d'Amélie Elie, devenue célèbre sous le sobriquet de « Casque d'Or ». C'est l'histoire d'une jeune femme qui ne voulait pas se tuer au turbin comme ses parents. Mais le Paris des Apaches, des marles et autres voyous n'offre qu'une alternative à une aussi jolie fille : le pavé et les passes à quelques sous. À moins, bien sûr, que ne vienne le prince charmant, foulard au cou, surin dans la pogne !
On raconte que le dieu Ogotaï est sorti des eaux et qu'après avoir initié une pacifique tribu de pêcheurs à l'art de la guerre, il a massacré les peuples du pays Qâ. Seuls survivants, les Xinjins ont obtenu la protection du dieu Tanatloc. Pour vaincre totalement l'ennemi, il faut cependant le déposséder de son casque magique. Kriss de Valnor veut relever ce défi. Pour obliger Thorgal et Aaricia à l'aider, elle fait enlever Jolan...
Sous un angle réaliste, Laurent Galandon, au scénario, et Kas, au dessin, revisitent un fait divers parisien datant du début du 20e siècle et passé à la postérité grâce à un récit retraçant la vie d'Amélie Elie, devenue célèbre sous le sobriquet de « Casque d'Or ». La fille de Paname est l'histoire d'une jeune femme qui ne voulait ni devenir blanchisseuse, ni se tuer au turbin comme ses parents. Mais le Paris des Apaches, des marles et autres voyous n'offre que peu d'alternatives à une aussi jolie fille : le pavé et les passes à quelques sous. À moins, bien sûr, que ne vienne le prince charmant, foulard au cou, surin dans la pogne
Entre deux « Bernard Prince », Hermann mit en images le début de cette fresque historique sur un scénario de Jean- Luc Vernal qui tenait à mettre en lumière ce personnage méconnu que fut Jugurtha. Durant le 2e siècle av. J-C, ce farouche opposant à l'envahisseur romain dut multiplier combats et intrigues pour conquérir le trône de Numidie (l'Algérie actuelle) qu'il convoitait, puis pour le défendre.Une histoire si passionnante que Vernal dut lui imaginer une suite, cette fois totalement fictive, qui marqua le début de sa collaboration avec Franz.Ce Tome 1 reprend les 4 albums suivants :« Le Lionceau des Sables » et « Le Casque celtibère » superbement dessinés par le jeune Hermann - « La Nuit des Scorpions » et « L'Île de la Résurection » superbement dessinés par le jeune Franz.