3èME ALBUM FEAT. MASTA ACE & OPEN MIKE EAGLE PRODS PAR ?UESTLOVE, MF DOOM, MARK RONSON, PRINCE PAUL, MEMORY MAN, JAMES POYSER & KENNY SEGAL L'écriture du rappeur américain MC Paul Barman est d'un autre niveau. Le niveau qui lui vaut le rare privilège d'être cité dans l'Oxford English Dictionary. Le niveau qui signifie que l'on n'avait jamais utilisé tel ou tel mot de cette façon mais que ça sera désormais la norme. Le niveau où la princesse n'est pas dans un autre château. Pour (((Echo Chamber))) le troisième album de MC Paul Barman et le premier depuis 2009, ?uestlove des Roots a produit pas moins de 6 titres. On y trouve également des productions de Mark Ronson, MF Doom, Prince Paul, James Poyser (The Roots), Kenny Segal et Memory Man, des featuring de Masta Ace et Open Mike Eagle, des scratches de l'anglais DJ Yoda, du sound design par Steinski et une conception graphique par Graham Hill. Une équipe de poids lourds pour un album qui va résonner pendant longtemps ! Inclus un livret 12 pages avec les paroles.
Relapse ne pouvait célébrer son 25e anniversaire sans les rééditions des premiers disques de The Dillinger Escape Plan, un des groupes hardcore/metal les plus importants de sa génération. Sorti en 1999 (et uniquement réédité en picture-disc en 2004) le second disque de The Dillinger Escape Plan les voit passer à la vitesse supérieure avec une production plus aboutie et des compositions plus abordables. Grâce à cet album le groupe est sorti de la confidentialité underground pour s'adresser à un public plus large. Essentiel. Vinyl coloré blanc et vert avec des tâches roses avec une carte download.
Le trio de sludge/doom/drone de New York revient avec son sixième album et son premier en sept ans. Stalking the Ghost est un album de doom ésotérique flirtant avec l'occulte tout au long des sept titres de cet opus. Le son d'Unearthly Trance n'a jamais été aussi puissant et aussi explorateur de nouvelles dimensions soniques. Enregistré au Menegroth/The Thousand Caves Studios par Colin Marston (Krallice, Gorguts, Panopticon) avec une pochette signée Orion Landau (YOB, Red Fang, Graves At Sea), Stalking the Ghost restaure la souffrance dans une ville embourgeoisé. Pour les fans de Neurosis, YOB, Electric Wizard, Inter Arma, Thou, Melvins... Version vinyle de l'album (avec carte de téléchargement et sous-pochette imprimée) Stalking The Ghost de Unearthly Trance.
Le trio de sludge/doom/drone de New York revient avec son sixième album et son premier en sept ans. Stalking the Ghost est un album de doom ésotérique flirtant avec l'occulte tout au long des sept titres de cet opus. Le son d'Unearthly Trance n'a jamais été aussi puissant et aussi explorateur de nouvelles dimensions soniques. Enregistré au Menegroth/The Thousand Caves Studios par Colin Marston (Krallice, Gorguts, Panopticon) avec une pochette signée Orion Landau (YOB, Red Fang, Graves At Sea), Stalking the Ghost restaure la souffrance dans une ville embourgeoisé. Pour les fans de Neurosis, YOB, Electric Wizard, Inter Arma, Thou, Melvins... Version vinyle de l'album (avec carte de téléchargement et sous-pochette imprimée) Stalking The Ghost de Unearthly Trance.
RééDITION D'UN ALBUM FONDATEUR DU DEATH METAL Le sixième volet de la campagne des rééditions du catalogue hautement influent de Death est le titanesque second album du groupe. Sorti en 1988 'Leprosy' est un album marquant. Basé sur le thrash de Metallica et Slayer mais ajoutant une dose encore inédite d'agressivité et de rudesse pour créer un monstre fondateur du Death Metal, 'Leprosy' est un des albums essentiels du genre. Bien que n'étant que le second album de Death, 'Leprosy' s'est imposé comme un disque mythique. Un soin particulier a été apporté à cette réédition. L'album original ainsi que les titres bonus ont été méticuleusement remasterisés par Alan Douches (Mastodon, Nile...) pour une expérience sonore unique. La version deluxe double CD contient 50 minutes de musique encore totalement inédite à savoir les demos de 'Leprosy' ainsi que les répétitions de l'époque et aussi un livret de 24 pages avec des photos inédites. La version vinyle reprend la version originale remasterisée et contient une carte download permettant de télécharger les titres bonus.
RééDITION D'UN ALBUM FONDATEUR DU DEATH METAL Le sixième volet de la campagne des rééditions du catalogue hautement influent de Death est le titanesque second album du groupe. Sorti en 1988 'Leprosy' est un album marquant. Basé sur le thrash de Metallica et Slayer mais ajoutant une dose encore inédite d'agressivité et de rudesse pour créer un monstre fondateur du Death Metal, 'Leprosy' est un des albums essentiels du genre. Bien que n'étant que le second album de Death, 'Leprosy' s'est imposé comme un disque mythique. Un soin particulier a été apporté à cette réédition. L'album original ainsi que les titres bonus ont été méticuleusement remasterisés par Alan Douches (Mastodon, Nile...) pour une expérience sonore unique. La version deluxe double CD contient 50 minutes de musique encore totalement inédite à savoir les demos de 'Leprosy' ainsi que les répétitions de l'époque et aussi un livret de 24 pages avec des photos inédites. La version vinyle reprend la version originale remasterisée et contient une carte download permettant de télécharger les titres bonus.
Voici maintenant trois ans que les Rennais des Madcaps sillonnent la France et ses contrées limitrophes avec leurs guitares nacrées italo-japonaises et leurs vieux tambours à paillettes. Avec leurs 150 concerts au compteur, ils ont pu obtenir la carte vermeille du réseau autoroutier du rock français et ainsi réaliser de substantielles économies pour retourner au studio Kerwax, temple de l’enregistrement analogique de l’ouest armoricain. Là, ils y ont enregistré « Slow Down », leur troisième album, à quatre et en direct dans la même pièce afin de capturer l’énergie de six mois de tournées qui ont façonné ce disque. Si les deux précédents albums étaient essentiellement l’ouvrage de Thomas Dahyot, Slow Down s’équilibre et voit Bastien Bruneau et le petit nouveau Wenceslas Carrieu s’affirmer en tant que chanteurs, compositeurs, signant à eux deux cinq des morceaux du disque. Changement de personnel et nouvelles directions musicales donc; et pourtant les Madcaps n’ont jamais autant sonné comme un seul homme. Ils continuent de creuser leur sillon rock’n’roll, mais ont mis de côté le garage adolescent de leurs débuts. Les mélodies pop sont toujours de mise toutefois les morceaux sont plus épurés, aérés, laissant ainsi place à des cuivres, pianos, orgues, congas & guitares acoustiques, donnant tour à tour des accents rhythm & blues, glam, soul, western ou calypso au disque.
Fountain Fire est le deuxième album solo de Bill MacKay à sortir chez Drag City. Le voyage musical continu du guitariste installé à Chicago est une conversation intérieure qui suit un chemin sur une carte usée dessinée de sa propre main. Un chemin qui passe par des recoins familiers et des endroits inconnus, catalysant un style autant épris de musique traditionnelle qu'avant-gardiste et qui résulte en son album le plus ample et le plus puissant à ce jour. On peut l'entendre dès le morceau d'ouverture, alors que la lave et les lacs de Pre-California frémissent avant ébullition, Bill assemble un pont de guitares qui superpose faisceaux acoustiques grondants, structures électriques distordues et arches slidées. En sautant audacieusement depuis des points fixes, il réalise des découvertes synergiques en plein air. Le style de composition de MacKay est à son stade le plus évolué, suivant des trajectoires en forme de serpentins à l'intérieur de motifs, réalisant des aller-retours de tonalité avec un flair instinctif et un sen stoic de l'inévitable, forgeant une mosaïque sonore qui respire et grandit organiquement pour remplir l'espace du morceau. Cependant il y a bien plus qu'une prouesse technique et une maîtrise harmonique captivante. Les morceaux de Bill MacKay sont des miniatures cinématographiques impressionnistes inspirées autant par sa passion du septième art que de la littérature. Alors que pièces musicales changent de focus dans un mouvement hallucinatoire, Bill ajoute un nouvel élément dans la partie : une paire de chansons chantées, à la fois austères et chargées émotionnellement au point de donner la chair de poule. Au côté du flux instrumental aux couleurs en permanent changement de Fountain Fire, ces moments chantés brillent avec un éclat aveuglant, comme un mirage dans le désert. Le feu du titre de l'album marque une continuité dans la vie de Bill; sa généalogie, son histoire, son astrologie, l'effet brûlant de la diapositive surexposée du titre Arcadia. C'est aussi un sceau pour marquer le chaos qui nous entoure.
Fountain Fire est le deuxième album solo de Bill MacKay à sortir chez Drag City. Le voyage musical continu du guitariste installé à Chicago est une conversation intérieure qui suit un chemin sur une carte usée dessinée de sa propre main. Un chemin qui passe par des recoins familiers et des endroits inconnus, catalysant un style autant épris de musique traditionnelle qu'avant-gardiste et qui résulte en son album le plus ample et le plus puissant à ce jour. On peut l'entendre dès le morceau d'ouverture, alors que la lave et les lacs de Pre-California frémissent avant ébullition, Bill assemble un pont de guitares qui superpose faisceaux acoustiques grondants, structures électriques distordues et arches slidées. En sautant audacieusement depuis des points fixes, il réalise des découvertes synergiques en plein air. Le style de composition de MacKay est à son stade le plus évolué, suivant des trajectoires en forme de serpentins à l'intérieur de motifs, réalisant des aller-retours de tonalité avec un flair instinctif et un sen stoic de l'inévitable, forgeant une mosaïque sonore qui respire et grandit organiquement pour remplir l'espace du morceau. Cependant il y a bien plus qu'une prouesse technique et une maîtrise harmonique captivante. Les morceaux de Bill MacKay sont des miniatures cinématographiques impressionnistes inspirées autant par sa passion du septième art que de la littérature. Alors que pièces musicales changent de focus dans un mouvement hallucinatoire, Bill ajoute un nouvel élément dans la partie : une paire de chansons chantées, à la fois austères et chargées émotionnellement au point de donner la chair de poule. Au côté du flux instrumental aux couleurs en permanent changement de Fountain Fire, ces moments chantés brillent avec un éclat aveuglant, comme un mirage dans le désert. Le feu du titre de l'album marque une continuité dans la vie de Bill; sa généalogie, son histoire, son astrologie, l'effet brûlant de la diapositive surexposée du titre Arcadia. C'est aussi un sceau pour marquer le chaos qui nous entoure.