La maîtresse a mal à la gorge, elle ne peut plus parler... Et si elle tombait vraiment malade et qu'arrivait le terrible remplaçant... Les Histoires à la carte de Bernard Friot, c'est un début, trois fins... ou plus ? De jolis petits romans interactifs, à déguster dès 8 ans.
La maîtresse a mal à la gorge, elle ne peut plus parler... Et si elle tombait vraiment malade et qu'arrivait le terrible remplaçant... Les Histoires à la carte de Bernard Friot, c'est un début, trois fins... ou plus ? De jolis petits romans interactifs, à déguster dès 8 ans.
C'est où, l'Angleterre ? Comment l'anglais est-il devenu la langue la plus importante au monde ? A quoi sert la reine d'Angleterre ? Les Anglais et les Français sont-ils amis ?... 16 questions sur un pays relié à la France par un tunnel sous la mer. Une carte pop-up qui se déplie pour voir le pays en grand ! Une double page Do you speak English ? pour commencer à apprendre la langue.
Cet album raconte la rencontre fictive entre le jeune Gustave Eiffel et des soeurs jumelles. Si Passion a un caractère bien trempé, Patience a plutôt un caractère posé. Les enfants vont grandir ensemble, avant d'emprunter des voies différentes. Les deux héroïnes jumelles inventées par Rémi Courgeon ont une très forte dimension romanesque en même temps qu'une dimension presque féministe avant l'heure. Leur présence graphique et textuelle est incroyable. En elles se retrouvent George Sand, Colette ou encore des grandes figures de muses ayant inspiré les artistes à des époques diverses (Gala et Dalí, Lee Miler et Man Ray...). Elles crèvent les pages comme des actrices crèvent l'écran. Gustave Eiffel grandit au milieu des deux soeurs, et l'amitié laisse progressivement place à l'amour. Gustave ne pourra jamais choisir entre ses deux muses, et sa tour et ses quatre pieds sont là pour matérialiser cet amour impossible.
Les dix-neuf élèves, peu à peu, firent silence. La maîtresse porta la main à sa gorge, puis écrivit, à la craie blanche cette fois : Désolée, je suis aphone aujourd'hui. Ça veut dire quoi, aphone ? demanda Emile. Reprenant la craie, la maîtresse ajouta : Aphone privée de voix. Ah oui, elle ne peut pas parler, dit Anna. Ça m'est déjà arrivé. Qu'est-ce qu'on va faire alors ? demanda Victor. Ça, c'est le début de l'histoire. Mais après il y a trois suites et fins différentes. Ça fait trois histoires, trois histoires à la carte. Pour choisir sa préférée, pour les mélanger, pour en inventer d'autres.
Des fourmis de bon matin traversent le jardin. Elles découvrent alors une incroyable carte aux trésors. Pour mener à bien leur quête, elles devront emprunter des sentiers aux formes diverses. Carré, triangle, lignes brisées, ponts, ect. Christophe Loupy convoque ici toutes les formes apprises par les plus petits. Cet album concilie narration et démarche pédagogique pour un apprentissage en douceur des formes. Le lecteur se laisse porter par l'histoire, il se fait l'observateur des fourmis. Et c'est en suivant leur parcours qu'il découvre chacune des formes. Chaque double page de l'ouvrage est construite comme suit : Sur la page du haut : l'enfant découvre la forme tracée. Sur la page du bas : il se sert du rhodoïd plastique pour animer chacune des formes. C'est ainsi que l'enfant découvre le tracé des formes, il les voit se mettre en mouvement sous ses yeux par leur seul filtre du rhodoïd.
En ce samedi précédant la rentrée, le lycée devrait être vide. Pourtant, six ados y sont : Diana, la fille du sénateur, qui veut s'occuper de l'annuaire des élèves; Rachid, qui cherche à se fabriquer une nouvelle carte de lycéen qui ne le stigmatiserait pas; Z, parce qu'il est à la rue suite au décès de sa mère quelques semaines auparavant; Tad, qui entend remettre à leur place ses coéquipiers de l'équipe de foot; Cassandra, victime de bullying et bien déterminée à faire bouger les choses. Chacun a une bonne raison d'être là; chacun a quelque chose à cacher. Soudain, deux bombes explosent, et les ados se retrouvent confinés dans le lycée. Chacun jauge l'autre, se méfie. Les peurs et les vieux démons redoublent lorsque les lycéens comprennent que le poseur de bombes est parmi eux, et qu'une troisième bombe menace d'exploser. Aussitôt, les soupçons se tournent vers Rachid, parce qu'il est musulman. Mais le véritable poseur de bombes, bien sûr, a un tout autre motif pour agir...