Lancée par Claire Faÿ chez Casterman début 2010, la collection de « livres d'images pour adultes » CAUSE TOUJOURS intègre plusieurs types d'ouvrages.- La célèbre série des « Cahiers » (cahiers de gribouillages, de messages, etc.), proposée dans une nouvelle édition et régulièrement enrichie de nouveautés - Une série inédite de FLIP BOOKS thématiques conjuguant photographies et papiers découpés, animée par Claire Faÿ de façon ludique et souriante.- Les Textopolitains sont les derniers-nés de la collection. Chaque livre est un carnet de tickets à découper, à distribuer ou à abandonner derrière soi sur un fauteuil de métro. Chaque ticket propose une phrase très courte en forme de clin d'oeil, d'aphorisme, d'invitation, de question, de sourire. ou plus si affinités. Irrésistible
Lancée par Claire Faÿ chez Casterman début 2010, la collection de « livres d'images pour adultes » CAUSE TOUJOURS intègre plusieurs types d'ouvrages.- La célèbre série des « Cahiers » (cahiers de gribouillages, de messages, etc.), proposée dans une nouvelle édition et régulièrement enrichie de nouveautés - Une série inédite de FLIP BOOKS thématiques conjuguant photographies et papiers découpés, animée par Claire Faÿ de façon ludique et souriante.- Les Textopolitains sont les derniers-nés de la collection. Chaque livre est un carnet de tickets à découper, à distribuer ou à abandonner derrière soi sur un fauteuil de métro. Chaque ticket propose une phrase très courte en forme de clin d'oeil, d'aphorisme, d'invitation, de question, de sourire. ou plus si affinités. Irrésistible
K2CM, le sujet d'expérience de l'équipe du S.T.A.R. a une nouvelle fois disparu. Malgré sa paralysie, il arrive à communiquer par l'intermédiaire d'un ordinateur grâce au système greffé dans son cerveau...
Les ingénieurs de Pharmanova ont mis au point un procédé de réparation cellulaire révolutionnaire par nanotechnologie, mais les résultats de leurs travaux qui devaient arriver en Europe par porteur dans une malette ont été dérobés. Marc, Claire et Nora doivent retrouver la malette, sans se douter que des nanorobots ont infiltré le corps du voleur...
En lisière de la compétition enfantine qui voit s'affronter les enfants de la cité Sainte-Claire face à leurs homologues de Comborne, ce sont d'autres conflits qui vont prendre le pas sur les émotions de l'enfance en cette année 1957 : la violence du conflit algérien et la grève à l'usine voisine. Une chronique sociale de la France ouvrière de la fin des années 1950.
La première BD cul(te) qui porte bien son nom !De l'apprentissage de la pêche au string, à la dégustation du café La Gauleen passant par ses cours du soir et jusqu'à son intimité avec sa psy,Bigard nous fait découvrir son univers imaginaire...Forcément, tout le monde en prend pour son grade !Bon, la caisse est derrière toi ! Tu l'achètes ou pas, cette putain de BD oe!!
K2CM est mort avant d'avoir pu révéler tous ses secrets. Sa veuve veut se venger de tous ceux qu'elle croit responsables de l'accident de son mari et décide de faire payer Marc, Claire et Nora. En même temps, l'expérience destinée à produire de l'antimatière va démarrer mais elle n'est pas sans risque. Fin du premier cycle de la série.
1966. Scott Leblanc est reporter au magazine«Bien en vue»où il est chargé de la rubrique Des animaux et des stars. Naïf, il est convaincu d'être un grand reporter. Le jour où il va interviewer un scientifique pressenti pour le prix Nobel, le professeur Moleskine, Leblanc est témoin d'un vol. Il va traquer les malfaiteurs, accompagné de son canari Tino. Album hommage aux BD de la ligne claire.
Nino voudrait attaquer des diligences, mais comme elles n'existent plus, l'Elégant trouve une solution de remplacement : la ficelle, un funiculaire. Au moment de rafler la caisse, Mig s'aperçoit qu'un meurtre vient d'être commis, mais avec son couteau à la main, il du mal à convaincre les voyageurs de son innocence. La seule solution : trouver le tueur.
Un 2e volume des planches de la rubrique phare de l'hebdo le 1 !Depuis le tout premier numéro de l'hebdo le 1, à travers ses planches de Repères, Jochen Gerner multiplie les trouvailles et parvient avec humour et concision à nous raconter l'économie, l'histoire, la France, l'Europe, le monde, les sciences... la vie. Sa plume est sûre, sa ligne claire et son encre indélébile. Ce deuxième recueil rassemble de nouvelles planches qui éclairent avec pédagogie et malice l'actualité récente.
1957, dans le petit bourg de Sainte-Claire, en Lorraine. La tension monte entre les mômes de la cité et ceux du plateau voisin. Sainte-Clairiens têtes-de-chien contre Boncornards têtes-de-lard !En lisière de cette compétition acharnée mais sans haine, ce sont d'autres conflits qui prennent peu à peu le pas sur les émotions de l'enfance : la violence de la guerre d'Algérie s'invite jusque dans la petite cité ouvrière, et, dans l'usine toute proche, la grève vient d'être votée...Belles, touchantes et en partie autobiographiques, ces Années Spoutnik sont l'histoire d'une époque, d'un milieu et d'un apprentissage, d'une « préparation à la réalité désenchantée du monde ».
Mila Racine est une jeune résistante qui dès 1942 a sauvé de nombreux enfants juifs, en les faisant passer en Suisse à travers la montagne. Arrêtée en octobre 1943, elle meurt en déportation à Mauthausen lors d'un bombardement Allié, le 20 avril 1945, à l'âge de 26 ans. Dernière héroïne de la série Femmes en résistance, Mila Racine est aussi la moins connue. Mais si les historiens viennent à peine de découvrir les conditions de sa fin tragique, son action et son dévouement à la cause des enfants pendant la guerre en font un exemple d'engagement. Ce quatrième et dernier tome de la série révèle les liens qui unissent Claire, la narratrice de notre début de XXIe siècle, et ces quatre Femmes en résistance découvertes au travers des archives de sa tante.
1897. Dans le port d’Anvers, on charge et on décharge les vapeurs qui « font le Congo ». Cargaisons d’ivoire et de caoutchouc d’un côté, d’armes et de chaines de l’autre… Car en dépit du nom officiel de cette lointaine possession africaine – E.I.C., pour Etat Indépendant du Congo –, c’est bien le Roi Léopold qui en est l’unique propriétaire légal. Et sa consigne est claire : rentabiliser au mieux et au plus vite cette immense colonie, quitte à y faire régner l’arbitraire le plus absolu. Loin des regards, un quasi esclavage est imposé aux populations locales, comme l’a constaté depuis sa récente arrivée au Kivu le jeune missionnaire Paul Delisle. En dépit des discours « civilisateurs », éducation et évangélisation ne sont décidément pas les priorités du tyran de Bruxelles…
1951, côte est des Etats-Unis. Un prêtre dans la fleur de l'âge, le père Mils, se trouve fortuitement mis en présence d'une maladie mystérieuse qui touche l'un de ses paroissiens. Mû par la compassion, et bientôt transformé en enquêteur au long cours, Mils découvre plusieurs cas similaires en différents endroits des Etats- Unis. À chaque fois qu'il tente de les approcher, les malades disparaissent in extremis. « On » veut à tout prix les escamoter.Mais qui, et pourquoi ?Pour son premier album de bande dessinée en solo, Devig explore avec efficacité et conviction l'Amérique de l'après-guerre. Dans un style ligne claire en parfaite adéquation avec son sujet, Le Croiseur fantôme s'inspire d'événements réels de l'époque, et des travaux de l'ingénieur d'origine serbe Nikola Tesla sur le « rayon de la mort ».
Bien que le graphisme de Tintin au pays des Soviets ne s'inscrive pas encore dans la perfection du style ligne claire, le jeune auteur autodidacte de 21 ans y démontre déjà son habileté de romancier en images. Guidé par l'esprit du jeu et le désir de représenter la vitesse, le dessinateur lance son reporter dans une course-poursuite haletante où avions, voitures, trains, hors-bords et motos filent à toute allure. Le sens dynamique du mouvement, la maîtrise de l'enchaînement des plans et la construction des pages expriment l'immense talent de raconter par l'image qui fera d'Hergé un grand maître de la bande dessinée. Tout commence en 1929 quand Tintin embarque dans un train à destination de Moscou. Philippe Goddin retrace dans sa préface la genèse de la naissance du mythe de Tintin autant que les aventures mouvementées de la réédition d'un livre longtemps introuvable et toujours légendaire.
Claire est douée d'un étrange talent : ressusciter sans cesse le même jour, l'année de ses 26 ans, pour recommencer une nouvelle histoire. Il y a si longtemps qu'elle vit ces résurrections incessantes qu'elle en est venue à oublier les circonstances de son décès originel. Mais elle finit par trouver ennuyeux ce cycle répétitif, qu'elle cherche à pimenter par un jeu de son invention : intervenir dans l'existence d'un groupe de personnes qu'elle sait vouées à être assassinées, et observer dans quelle mesure les perturbations qu'elle y introduit modifient (ou pas) la destinée tragique de ces «cobayes». Entre action, ironie et introspection, une très surprenante réflexion sur le libre arbitre, et la capacité que nous possédons tous à influer de façon décisive sur les orientations de nos vies. Déjà remarqué avec son premier album Effleurés, Saulne confirme ici, avec éclat, qu'il faudra désormais compter avec sa griffe, toute personnelle.
1966. Scott Leblanc, jeune homme sympathique et plein d'enthousiasme, est reporter au magazine Bien en vue, où il est en charge de la rubrique « Des animaux et des stars », consacrée à la relation qui unit les personnalités du moments à leurs animaux familiers. Très premier degré, Leblanc est un naïf, pour ne pas dire un ahuri : convaincu de l'importance de sa rubrique, il est imperméable aux quolibets que lui vaut sa candeur, et persuadé d'être un grand reporter voué à une spectaculaire réussite. Flanqué du professeur Moleskine, le savant dont il a fait la connaissance lors de sa précédente aventure (Alerte sur Fangataufa), Scott part pour Cap Canaveral, où il va être témoin de l'accident qui met fin à la mission Appolo 1.Programme spatial, CIA, extraterrestres... Une deuxième aventure très enlevée de Scott Leblanc, entre imagerie rétro, hommage aux standards de la ligne claire et clins d'oeil à l'actualité des sixties.
De nos jours, dans une ville moyenne qui pourrait être n'importe où. Un soir, à l'heure de la fermeture des magasins, un boulanger tout ce qu'il y a de plus ordinaire est sauvagement assassiné. La caisse n'est pas même fracturée.En suivant les pas de l'assassin de retour à son domicile -lui aussi un homme d'une apparence des plus ordinaires-, on découvrira que le mobile du crime est lié à une femme mystérieuse qui vit dans les sous-sols de la maison. Est-elle l'instigatrice de cette exécution ? Ou quelqu'un qu'il faut absolument protéger du monde extérieur ?En enquêtant sur l'affaire, l'inspecteur Wimms, un policier mutique et replié sur lui-même, parvient à trouver la maison de l'assassin. Et fait la connaissance de l'occupante du sous-sol : Appoline, qui fut autrefois, alors qu'elle avait 8 ans, une enfant kidnappée. Dix ans se sont écoulés. On n'a jamais cessé de la rechercher, en vain. Et Appoline, devenue une jeune femme brillante, manipulatrice et fascinante, entreprend de raconter au flic envoûté sa terrible et très extraordinaire histoire.
Un évènement pour tous les amateurs d'Hergé : Tintin et l'Alphart rejoint la collection classique des Aventures de Tintin.En 1999, Tintin au pays des Soviets, le premier Tintin, créait l'événement en rejoignant la collection classique des Aventures de Tintin. Près de 600.000 exemplaires étaient vendus en quelques mois.En janvier 2004, à l'occasion des 75 ans du petit reporter, un autre album va permettre au mythe de se boucler. Tintin et l'Alphart, l'album inachevé, rejoint enfin les 23 autres Aventures de Tintin. Il sera disponible dans la même pagination et au même prix que les autres volumes de la collection.Dans les mois qui avaient suivi la disparition d'Hergé, le 3 mars 1983, les spéculations avaient été nombreuses : beaucoup de lecteurs rêvaient que les collaborateurs du maître achèvent cette histoire. Mais la volonté d'Hergé était claire : pas de nouveau Tintin après lui. Finalement, en 1986, un luxueux album avait reproduit, en deux blocs, les principales esquisses laissées par le dessinateur.Aujourd'hui, Tintin et l'Alphart est publié dans une présentation entièrement renouvelée, à un prix tout à fait démocratique. Une mise en pages plus lisible permet de suivre facilement le récit et met en valeur les croquis les plus vivants. Et surtout, les pages finales présentent une série de documents récemment retrouvés, qui jettent un nouvel éclairage sur la fin de l'histoire...
La première aventure de Tintin en en couleurs.Tintin au pays des Soviets reste le seul album de Tintin uniquement disponible à ce jour dans sa version noir et blanc. Créée en 1929 et restée introuvable en librairie jusqu'en 1973, cette première grande histoire marque la naissance de Tintin.C'est avec un plaisir presque enfantin, guidépar l'esprit du jeu et le désir de vitesse qu'Hergé s'adresse au lecteur dans cette course-poursuite où avions, voitures, trains, hors-bords et motos ! lent à toute allure. Si le dessin ne s'inscrit pas encore dans la perfection du style « ligne claire », le jeune auteur de 21 ans démontre déjà son habileté de romancier en images. Le sens dynamique du mouvement, la maîtrise de l'enchaînement des plans et la construction des pages expriment ce talent de raconter par l'image qui fera d'Hergé un grand maître de la bande dessinée.Le sujet d'actualité commandé par l'abbé Wallez, patron du quotidien Le XXe siècle, permet également à l'humoriste de se révéler visionnaire, à contretemps de son époque. Planche après planche, les révélations contre les dérives et les mises en scène du régime communiste se changent en gags survoltés. Certaines séquences satiriques, qui présentent le simulacre d'élections démocratiques, la misère et la famine ou encore la visite d'une usine en trompe-l'oeil organisées pour la presse occidentale, apparaissent très justes dans leur impertinence, quelques années après la chute du Mur de Berlin.La mise en couleurs ampli! e la lisibilité du récit, la clarté des dessins et surprend par sa modernité, comme s'il s'agissait d'un nouvel album. Elle a été con! ée dans le cadre des Studios Hergé à Michel Bareau, assisté de Nadège Rombaux.