Journeys in Sound Documentaire Allan Miller & Paul Smaczny Voyage dans le monde des sons. Innovateur ou chanceux ? Écrivain ou anarchiste ? Spécialiste des champignons ou 'performer' ? Maître zen ou cuistot ? John Cage fut tout cela. A l'occasion du centenaire de sa naissance, ce documentaire des réalisateurs Allan Miller et Paul Scmaczny rend hommage à l'un des plus extraordinaires compositeurs de notre temps, John Cage. Tourné aux États-Unis, en Allemagne et au Japon, ce film rassemble des archives rares et inédites. A travers des extraits de concerts et de courts épisodes associant le compositeur et des artistes contemporains, le film nous permet de découvrir différentes facettes de John Cage. Avec la participation de Yoko Ono, David Tudor, Christian Wolff, Steffen Schleiermacher, Irvine Arditti, Toshio Hosokawa, Mayumi Miyata, Calvin Tomkins etc.
Réalisé par Paul Grimault sur un scénario de Jacques Prévert avec la musque originale du compositeur Wojcieck Killar (Compositeur du Dracula de Coppola, La jeune fille et la mort de Polanski, etc...) Le roi Charles V et III Font-Huit-et-Huit-font-Seize, qui règne en tyran sur le royaume de Takycardie, est amoureux d'une modeste bergère qu'il veut épouser. Mais elle aime et est aimée par un petit ramoneur. Aidés par un oiseau impertinent qui niche avec ses petits en haut des appartements privés du roi, ils s'enfuient vers la Ville Basse. La police retrouve leur trace. Des machines volantes conduites par des policiers moustachus, de mystérieuses créatures couleur de muraille qui espionnent la ville, des tritons motorisés et les vedettes de l'image par image y sont venues faire leur premier essai. Paul Grimault a prouvé avec Le Petit Soldat que le cinéma dessiné peut être grave et émouvant, avec Le Roi et l'Oiseau, qu'il faut toujours aller au bout de son rêve. En réalisant à quatre-vingt-trois ans son dernier film, La Table Tournante, il avait pris la précaution de s'installer à jamais sur la pellicule, au milieu de ses personnages. Musique composée par Wojciech Kilar Interprétée par l'Orchestre Symphonique de la Radio et de la Télévision Polonaise, sous la direction de Stanislaw Wislocki.
Rencontre surprenante entre deux personnages radicaux dont la pensée originale exprime leur mépris des conventions. La pièce Music of Changes de John Cage, 1912-1992, côtoie les sonates capricieuses et imprévisibles de Domenico Scarlatti, 1685-1757, composées près de 200 ans auparavant. Spontanéité et vigueur se mêlent aux délices de l'expérimentation et du jeu de hasard.
C'est à l'époque de la naissance du jazz que l'homme a commencé à réaliser son rêve, voler comme l'oiseau, vaincre sa pesanteur et se déplacer enfin dans les airs en franchissant tous les obstacles terrestres. Grands voyageurs, les musiciens adoptèrent l'avion dès que ce moyen de transport fut assez sûr, et à la portée de leurs moyens. À partir des années 50, les voyages aériens devinrent systématiques et de plus en plus fréquents, pour le plus grand bien des relations entre musiciens et publics. Le jazz n'avait toutefois pas attendu autant pour célébrer les joies du vol ou l'utilité de l'aviation.
Un trésor volé, le méchant Fafnir qui se transforme en dragon, le dieu Wotan, la courageuse Walkyrie Brunnhilde, un petit oiseau des bois bien malin et bien entendu Siegfried, le héros sans peur et sans reproche. Ils vivront tous de passionnantes aventures dans l’histoire de l’Anneau du Nibelung pour les enfants. Sur la base de l‘oeuvre originale de Wagner, Hirofumi Misawa et Matthias von Stegmann ont créé un passionnant opéra pour enfants d‘une heure dont les motifs principaux de l‘Anneau font découvrir aux enfants un monde de mythes et de légendes.
Depuis Abandonned City (2014), HAUSCHKA, le génie du piano préparé n’a cessé de parcourir le monde, a participé à des performances de danse contemporaines, a travaillé avec une multitude de musiciens et d’orchestres et bien sûr a composé quelques-unes des meilleures BO de ces dernières années (la BO de Lion, nommée aux Golden Globes et aux Oscars). What If est son album le plus immédiat et paradoxalement le plus sauvage. Il y organise le chaos dans un cohérent chef-d’oeuvre. Des sons mystérieux, des mélodies envoûtantes aux consonances de science fiction rétro. What If dévoile un homme qui ne cesse d’explorer de nouveaux sons et de nouvelles perspectives avec ce besoin irrépressible de toujours créer. Pour les fans de JOHN CAGE et MAX RICHTER.
Le premier enregistrement par Valery Gergiev de l'iconique partition Petrushka de Stravinsky ! Petrushka est l'une des oeuvres les plus célèbres de Stravinsky. C'est le fruit de sa collaboration avec le mécène russe Diaghilev qui a également produit L'Oiseau de feu et le Sacre du printemps. Présentée ici dans sa version originale de 1911, la musique est haute en couleurs. A découvrir sur l'album, un autre bijou moins connu du compositeur : le Jeu de cartes (1937). Ce ballet est né de l'enthousiasme de Stravinsky pour les cartes, en particulier le poker. La musique fantaisiste met l'accent sur le Joker trompeur qui se croit imbattable, grâce à sa capacité de caméléon à devenir n'importe quelle carte... une perle !
Depuis Abandonned City (2014), HAUSCHKA, le génie du piano préparé n’a cessé de parcourir le monde, a participé à des performances de danse contemporaines, a travaillé avec une multitude de musiciens et d’orchestres et bien sûr a composé quelques-unes des meilleures BO de ces dernières années (la BO de Lion, nommée aux Golden Globes et aux Oscars). What If est son album le plus immédiat et paradoxalement le plus sauvage. Il y organise le chaos dans un cohérent chef-d’oeuvre. Des sons mystérieux, des mélodies envoûtantes aux consonances de science fiction rétro. What If dévoile un homme qui ne cesse d’explorer de nouveaux sons et de nouvelles perspectives avec ce besoin irrépressible de toujours créer. Pour les fans de JOHN CAGE et MAX RICHTER.
Sophie Forte va puiser dans les chansons qui ont bercé votre enfance et en fait des versions très personnelles, gracieuses à souhait, ou complètement déjantées sur des arrangements de Christophe De Villers. On retrouve donc sur cet album l'écriture malicieuse de Bobby Lapointe, Mireille, Nino Ferrer. la plume tendre d'Anne Sylvestre, Joe Dassin ou Guy Béart et celles dont les auteurs sont moins connus du grand public, tel André Hornez (J'suis swing) Jean Max Rivière (Un petit poisson, un petit oiseau, La Madrague) ou encore Eddy Marnay (La ballade irlandaise). Bref un album qui va permettre de faire découvrir aux enfants un répertoire patrimonial de qualité, bien joliment interprété.
Connu pour ses collaborations dans The Cage avec Tony Martin (ex-black Sabbath) ou Voodoo Hill avec Glenn Hughes (Deep Purple), le guitarist italien Dario Mollo a commencé sa carrière en 1981 avec le groupe Crossbones, pour un premier album en 1989. Pour ce nouvel opus, il a rappelé le batteur de leurs origines, Ezio Secomandi, avec son collaborateur habituel Dario Patti à la basse et au clavier. Le chanteur Carl Sentance a été désigné suite à la suggestion de Don Airey de Deep Purple, lors d'une rencontre avec Dario. « Je pense que cet enregistrement a une forte identité et du caractère, mature et avec des chansons qui vont du hard rock au classic heavy metal, mais avec des choeurs accrocheurs » conclut Dario. La qualité de cet album est témoin de cette déclaration.
Avec plus de 60 ans de carrière, Juliette Gréco, muse de St Germain des Près, s'impose comme l'icône de la chanson française. Elle interprète sans pareil les textes des auteurs dont elle se met au service : Gainsbourg, Prévert, Brel, Aznavour,Trenet, Brassens, Queneau, Ferré, Béart, Sartre ou plus récemment Biolay ou LeForestier, autant de jeunes auteurs de son époque auxquels il faut croire l'indomptable femme brune aux yeux de velours a toujours su inspirer les mots.Retrouvez toutes les chansons mythiques de cet artiste incontournable de lachanson : Les feuilles mortes, Je haïs les dimanches, Si tu t'imagines, Il n'y a plus d'après, Je suis comme je suis, Les pingouins, Paris canaille, Rue des blancs manteaux, Paname, La Javanaise, Parlez-moi d'amour, Accordéon, Un petit poisson un petit oiseau, Jolie môme, Déshabillez-moi, La Chanson des vieux amants, Trois petites notes de musique, Né quelque part, La chanson de Prévert...
Arrivées par erreur sur la planète des « dimanches où on s'ennuie », Olivier, Meeki la Princesse des Lutins et Zina la Fée se retrouvent coincées ! Comme Meeki est impatiente comme un petit oiseau, qu'elle a peur comme un jeune poulain, qu'elle est stressée comme une souris, en colère comme un singe et fatiguée comme un gros chat, Zina lui propose un jeu amusant : « Si j'étais...», il s'agit de s'imaginer dans la peau d'un animal. « À quand le cancan ? » est un conte musical pour les enfants de 2 à 6 ans. L'histoire se déroule à travers 14 chansons amusantes et ludiques. Mise en paroles et arrangée aux rythmes festifs de Jacques Offenbach, c'est une belle opportunité de découvrir le monde de ce compositeur car la musique est tirée de ses opéras et opérettes. Olivier, Meeki la Princesse des Lutins et Zina la Fée partent en vacances sur la planète des lundis au soleil... mais une erreur dans la formule magique les envoie sur la planète des dimanches où l'on s'ennuie. Au cours de leur voyage, ils vont rencontrer, en faisant appel à leur imagination, des personnages tout aussi drôles qu'inattendus, attendrissants et attachants.
« Je est un autre » Kreisleriana op.16 : La plupart des oeuvres que Robert Schumann (1810-1856) composa pour le piano sont « les paraphrases des poèmes qu'il n'a pas écrits ». Ceci s'applique particulièrement aux « Kreisleriana » op.16 qui tirent leur nom de Kreisler, le musicien fou inventé par l'écrivain E. T. A. Hoffmann (1776-1822). L’un, Robert Schumann, est un compositeur qui écrit. L’autre, E.T.A Hoffmann, un écrivain qui compose. Pour qu’ils confluent artistiquement, encore fallait-il qu’un pont soit jeté entre eux, et c’est Schumann qui a construit ce pont avec les Kreisleriana. La dualité, le plus souvent conflictuelle, est au coeur de cette oeuvre, celle de Kreisler avec la société, de Robert avec le père de Clara, de Schumann avec Hoffmann, de Florestan et d’Eusébius, de Robert avec Schumann, anticipant le « Je est un autre » rimbaldien. « La forêt est un état d’âme » Scènes de la forêt op.82 » : Figure emblématique du romantisme allemand comme l’était ETA Hoffmann, le peintre Caspar David Friedrich était mort il y a huit ans quand Schumann composa en 1849 les « Scènes de la forêt ». Mais en écoutant cette oeuvre, il est impossible de ne pas penser à son tableau « Le chasseur dans la forêt » où figurent un oiseau au premier plan et, dans le lointain, un chasseur. Avec toute sa symbolique de mystère et d’inconscient, la forêt, « qui est un état d’âme » comme écrira si justement le philosophe Gaston Bachelard, est un des grands thèmes du romantisme et il n’y a rien d’étonnant à ce que Schumann s’en soit emparé. « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » Variations sur le thème des esprits WoO 24 : marquées d’un sceau tragique, les « Variations des esprits » sont la dernière oeuvre pour piano écrite de Robert Schumann. Dans la nuit du 17 au 18 février 1854, il entend des voix d’anges lui dicter un thème en mi bémol majeur insufflé par Schubert et Mendelssohn. Il le « note » quelques jours plus tard, probablement vers le 22 ou 23 février. Le 27, il poursuit son travail de variation qu’il interrompt soudain pour sortir de chez lui et il se jette dans le Rhin. Sauvé par les mariniers, il est ramené chez lui. Le 4 mars, il est interné à sa demande dans l’asile du Docteur Richarz à Endenich, près de Bonn, dont il ne sortira plus et où il mourra deux ans plus tard. Suzana Bartal est un des talents montants de la nouvelle génération. Née en 1986 à Timisoara (Roumanie) dans une famille d’origine hongroise, elle a commencé ses études musicales dans sa ville natale. Elle donne son premier récital solo à l’âge de 12 ans et à 13 ans, son premier concert en soliste avec orchestre. Elle s’installe en France en 2005 où elle étudie avec Denis Pascal, Pierre Pontier et Florent Boffard à Paris et à Lyon au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse. Entre 2011 et 2014 Suzana se perfectionne auprès de Peter Frankl à l’Université Yale aux Etats-Unis où elle enseigne également en 2013 et 2014. Elle est distinguée par le Prix d’excellence Harriet Gibbs de l’Université Yale. En 2013, Suzana Bartal a remporté le concours New York Concert Artists Concerto Competition et a fait ses débuts avec orchestre à New York. Elle a également gagné le Woolsey Concerto Competition, ce qui lui a permis de se produire avec orchestre sous la direction de Peter Oundjian. Lauréate de la prestigieus bourse de la Yamaha Music Foundation of Europe, Suzana a également bénéficié du soutien de la Fondation Nadia et Lili Boulanger, de l’ADAMI et de la Williamson Foundation.