Laissez-vous envouter par la voix de Frank Sinatra. Retrouvez les plus beaux titres du plus grand des crooners sélectionnés pour vous par Lionel Eskenazi
Retrouvez les plus beaux morceaux des « Quatre garçons dans le vent » réinterprétés par la scène Jazz. Une sélection des plus belles reprises de Yesterday à Eleanor Rigby ou encore A Hard Day's Night avec Terry Callier, Biréli Lagrène, Anne Ducros, Gene Chandler, Chris Connor...
Fucked Up n' est pas seulement du punk hardcore. Evidemment, certains canons du genre sont respectés à la lettre et on retrouve sur The Chemistry of Common Life cette rage incroyable et cette énergie brute qui continuent de faire les beaux jours du movement tout en réussissant l'exploit de renouveler le genre. Bruyant, infernal, épique, sonique, les qualificatifs pour décrire The Chemistry of Common Life ne manquent pas.
à l'occasion du centenaire de la naissance de Boris Vian, venez célébrer le Prince De Saint-Germain-Des-Prés dans un coffret 3CD évènement et en vinyle ! Redécouvrez le chanteur, sa mythique trompinette, son verbe tranchant, mais également ses plus beaux titres interprétés par les grandes voix de l'époque ! Inclus les titres : Le Déserteur - Je Bois - Je Suis Snob - Complainte Du Progrès - La Java Des Bombes Atomiques - Fais-Moi Mal Johnny (Avec Magaly Noël) - Musique Mécanique (Par Juliette Gréco) - Moi J'Préfère La Marche A Pied (Par Henri Salvador).
C'est désormais une tradition, avec l'arrivée des beaux jours revient le Buddha-Bar Beach. Cette année, le petit label parisien vous emmène à la découverte DU spot estival ou tout a commencé, le mythique Saint-Tropez. La Buddha-Bar Beach St Tropez, troisième opus de la collection, prend des accents résolument néo-disco, parsemé de deep et d'electro, et vous promet de passer un été gorgé de soleil musical, aux mélodies modernes signées Buddha-Bar. Alors appelez tous vos amis, branchez vos enceintes et fêtez l'été qui ne finit jamais détendez-vous le Buddha-Bar s'occupe de tout ! Une sélection musicale toujours plus fraiche et branchée, concoctée avec passion et minutie au sein du label en association avec Radio FG. Du titre décalé qui sent bon le sable le chaud au hit electro, en passant par le petit son idéal pour s'étaler au bord de l'eau, ce nouvel opus est l'accessoire indispensable d'un été réussi!
« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret... Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée. Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, Malik Djoudi trace une chanson électronique qui réconcilie pop synthétique des années 80 et histoires d’opérations à coeur ouvert. À travers les huit chansons de « UN », Malik Djoudi réalise une entrée sidérante dans le club de la pop tricolore, imposant une touche française qui n’appartient qu’à lui : élégante et vibrante, impressionnante et fragile. Moderne dans sa conception, fidèle aux instrumentations classiques, la pop charnelle de Malik Djoudi fait pleurer les machines en parlant de nos vies et de nos doutes, tout en rêvant d’Amérique et de grand amour. Les paradis perdus existent et n’ont rien d’artificiel. Malik Djoudi les a trouvés avec amour et sans violence, car il n’a peur de rien. À lui les beaux lendemains.
« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret... Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée. Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, Malik Djoudi trace une chanson électronique qui réconcilie pop synthétique des années 80 et histoires d’opérations à coeur ouvert. À travers les huit chansons de « UN », Malik Djoudi réalise une entrée sidérante dans le club de la pop tricolore, imposant une touche française qui n’appartient qu’à lui : élégante et vibrante, impressionnante et fragile. Moderne dans sa conception, fidèle aux instrumentations classiques, la pop charnelle de Malik Djoudi fait pleurer les machines en parlant de nos vies et de nos doutes, tout en rêvant d’Amérique et de grand amour. Les paradis perdus existent et n’ont rien d’artificiel. Malik Djoudi les a trouvés avec amour et sans violence, car il n’a peur de rien. À lui les beaux lendemains.
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras... En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline, comptabilisant un le score de 14 victoires, 2 défaites et un nul. Désormais à la retraite, il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band. Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie) Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 meilleurs guitaristes de blues de l'année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes. Récemment signé par Mascot Label Group, le Kris Barras Band s’apprête à sortir son nouvel album le 23 mars prochain et est prêt à tout pour le défendre sur scène et non pas sur un ring, pour le plus grand bien de nos oreilles...
Le groupe culte new-yorkais signe son grand retour avec ce nouvel album sublime, épuré et aventureux, produit par Van Rivers & The Subliminal Kid (Fever Ray). Penny Sparkle est déjà le huitième album du groupe formé en 1993 par les jumeaux d'origine italienne Simone et Amadeo Pace et la japonaise Kazu Makino. Ils se font vite remarquer à leurs débuts par Steve Shelley de Sonic Youth qui les signe sur son label Smells Like Records pour la sortie de leur premier album éponyme en 1995. On les compare alors à leurs mentors de Sonic Youth. La comparaison est facile sur leurs premiers albums qui font la part belle aux expérimentations noisy mais le son du groupe suit une évolution évidente à chaque album. En 2004 le groupe sort chez 4AD le magnifique Misery Is A Butterfly qui apporte au groupe une légion de nouveaux fans et cette popularité continue son ascension avec l'album 23 paru en 2007. Ces deux albums sont plus pop et accessibles que les précédents mais conservent la richesse musicale des précédents opus. Tout au long de sa carrière, le groupe s'est toujours renouvelé d'un album à l'autre et c'est donc avec les producteurs scandinaves de wmusique électronique Van Rivers & The Subliminal Kid qu'il travaille sur Penny Sparkle. Ces derniers apportent une vraie dimension nouvelle au son de Blonde Redhead avec l'introduction de nombreux synthés, boucles et effets sonores qui s'ajoutent aux guitare, basse et batterie auxquels le groupe nous avait habitué. Le résultat met merveilleusement en valeur les compositions de Blonde Redhead et surtout les mélodies et la voix inimitable de Kazu, notamment sur le titre Penny Sparkle, assurément l'un des plus beaux morceaux du groupe à ce jour. Comme sur les précédents albums, Amadeo chante également sur le clair-obscur Will There Be Stars ainsi que sur le sublime Black Guitar, en duo avec Kazu qui prouve que la complicité fusionnelle et ambiguë du groupe n'est pas près de disparaître de sitôt, pour le plus grand plaisir de ses fans !
Disque immense, What Would The Community Think révèle Cat Power : une sauvageonne de 24 ans, à l’écriture grave et belle à pleurer. Chez Cat Power, pas de hiatus ironique entre le fond, calciné, et la forme, brûlante. Rescapée de quelque épouvantable naufrage métaphysique, une fille seule, avec sa guitare et sa guigne, chante un blues terrible (They tell me) interdit aux divas manucurées (Cassandra Wilson) comme aux ribaudes émules de Janis Joplin (Joan Osborne). Un blues immaculé qui ferait presque passer la PJ Harvey de To bring you my love pour une Sarah Bernhardt égarée sur les berges du Mississippi (ou un Jim Morrison féminin). Un blues inouï, teinté de gospel blafard, plainte orpheline (God don’t give a shit about me) pleurée en écho au There is no one what will take care of you de Palace. De la country aussi, d’une luminosité stellaire (Taking people), celle après laquelle les Walkabouts, érudits bosseurs, courent en vain depuis dix ans. Une country pas phraseuse, sourde à la rhétorique de Nashville (pas de violons, tout juste une minuscule flaque d’orgue et une pincée de pedal-steel), déconseillée aux acheteurs de résidence secondaire mais pas affligée pour autant d’un esprit de clocher étriqué, d’un intégrisme amish. Au-delà de l’anecdote Steve Shelley enregistre à Memphis , Cat Power jumelle sans états d’âme Hank Williams I can’t help it (if I’m still in love with you), repris sur Myra Lee et Bill Callahan (l’admirable Batysphere de Smog, dépouillé de son violoncelle baroque et superbement violenté sur What Would The Community Think). Deux immenses songwriters américains fiers d’adouber King Rides By, une de ces chansons déraisonnables qui ouvrent le terme à l’infini, sans même atteindre les quatre minutes réglementaires. Ici, le pavé de Manhattan s’allonge jusqu’au coeur du Tennessee; The Coat Is Always On invite les voix monocordes de Lou Reed et Sterling Morrison récitant The Murder mystery; Nude as the news offre un bol d’air au Sonic Youth de Dirty. C’est au fil de concerts new-yorkais que la rumeur dit exceptionnels que Cat Power s’est forgé sa réputation, mais sur What would the community think, la campagne prend sa revanche sur les orgueilleux gratte-ciels. Immense disque, où les plus beaux cauchemars de l’Amérique rurale (rêvée par Nick Cave, peinte sur pellicule dans La Nuit du chasseur ou L’Enfant miroir) convergent vers Water and air : Mon amour est parti au fil de l’eau Je devrais être au fond de la rivière ténébreuse, enlacée par le diable. Une histoire aussi éternelle qu’effroyable, dont on jurerait ici qu’elle vient d’être inventée par une jeunette de 24 ans. De quoi effectivement donner quelques sueurs froides à la communauté on connaît depuis La Lettre écarlate le peu d’indulgence de la vertueuse Amérique pour les amours cornues.