Comme chaque année depuis quelque temps, c'est maintenant devenu une nouvelle tradition : l'Orchestre Philharmonique de Vienne se produit gratuitement dans le parc du Château de Schönbrunn à Vienne (Autriche). Le thème du programme musical de cette année est Une nuit italienne. Dirigé par Valery Gergiev, l'orchestre philharmonique de Vienne interprètera les plus beaux airs de l'Opéra italien, avec la soprano Anna Netrebko en invitée exceptionnelle.
Sunday Morning Classics est une nouvelle collection au format double vinyle mettant en valeur les titres cool de certains des plus beaux artistes de notre catalogue. Les deux premiers albums de la série sont des compilations de titres d'Aretha Franklin et de Nina Simone, finement sélectionnés pour créer la bande originale parfaite d'un dimanche matin relax. Chacune des compilations est pressée sur un double vinyle 180g et bénéficie d'une pochette gatefold avec un code de téléchargement au format MP3 inclus.
Sunday Morning Classics est une nouvelle collection au format double vinyle mettant en valeur les titres cool de certains des plus beaux artistes de notre catalogue. Les deux premiers albums de la série sont des compilations de titres d'Aretha Franklin et de Nina Simone, finement sélectionnés pour créer la bande originale parfaite d'un dimanche matin relax. Chacune des compilations est pressée sur un double vinyle 180g et bénéficie d'une pochette gatefold avec un code de téléchargement au format MP3 inclus.
Perfect Beings nous livre un nouvel album surprenant de fraîcheur, de légèreté, tout en empruntant avec parcimonie des motifs complexes aux dinosaures du genre. En effet le quintette américain s’inspire de groupes tels que Supertramp, Genesis, King Crimson, Big Big Train, tout en y ajoutant des textes très lucides sur notre société. Ce n'est pas souvent que l'on est confronté à un tel amalgame d'éléments familiers qui, ensemble, dépassent toute tentative de classification. Musicalement, c’est très technique et maîtrisé, mais absolument jamais dans la démonstration. Nul doute que le prog rock a encore de beaux jours devant lui.
Perfect Beings nous livre un nouvel album surprenant de fraîcheur, de légèreté, tout en empruntant avec parcimonie des motifs complexes aux dinosaures du genre. En effet le quintette américain s’inspire de groupes tels que Supertramp, Genesis, King Crimson, Big Big Train, tout en y ajoutant des textes très lucides sur notre société. Ce n'est pas souvent que l'on est confronté à un tel amalgame d'éléments familiers qui, ensemble, dépassent toute tentative de classification. Musicalement, c’est très technique et maîtrisé, mais absolument jamais dans la démonstration. Nul doute que le prog rock a encore de beaux jours devant lui.
Après son premier album Fragments Séquencés précédemment paru sur Cracki Records, Renart nous présente un nouvel opus de quatre titres : Wyvern Chill Music. Fort de sa rencontre avec Rama Ramrachathirat lors d'un séminaire dans la banlieue de Bangkok, Renart décide de se détourner pour un temps des arts occultes. Il expérimente alors les énergies de l'Harmonie et leurs ondes émancipatrices. Avec cet esprit narratif qui fait sa spécificité, Renart signe ici un nouveau disque atypique, fort et décomplexé, qui rappelle à notre souvenir qu'il est possible de danser en rêvant.
Louise Vertigo, après une belle carrière trip-hop (rappelons-nous «Femme fin de Siècle»...), s’est engagée en parallèle de sa carrière de chanteuse dans une recherche sur la voix au travers du travail de l’énergie interne que l’on raffine dans les arts martiaux tel que le Chi Kong et la méditation, et y a développé un enseignement original Voix et Souffle, établissant une synergie entre le souffle profond, la voix et le mouvement. Son intention est aujourd’hui d’amener un large public à respirer et à découvrir son paysage intérieur. Les compositions d’ «Élixir Haut», un album qui respire, prennent racine dans le zen et le taoïsme pour en livrer une version poétique. C’est toute l’alchimie du son qui opère pour nous délivrer de très belles chansons qui nous procurent apaisement et bien être.
Retrouvez les récitals de 15 chanteuses et chanteurs d’exception dans un seul coffret ! Pour la plupart rares ou ayant disparus de la circulation, ces récitals exceptionnels sont proposés ici avec leurs pochettes originales. Certains sont remasterisés à partir des bandes originales et ne sont jamais sortis en CD chez Sony - une plus value incroyable pour les connaisseurs très attentifs à ce genre de détails. Produit classieux pensé pour les fans d’Opéra, ce coffret ne regroupe que des récitals primés d’un Diapason d’Or. On y retrouve les plus grandes stars de l’Opéra de Plàcido Domingo à Mirella Freni en passant par Leontyne Price reprenant les plus beaux airs pour un prix accessible. « A travers cette sélection de récitals, c’est un certain âge d’or qui revit, une époque où les progrès des techniques d'enregistrement permirent de préserver, dans toute leur splendeur, l’art et le magnétisme de quelques chanteurs entrés dans la légende. »
Première signature française du label Domino (Arctic Monkeys, Anna Calvi, The Kills, Franz Ferdinand,.), Fránçois & The Atlas Mountains s'apprêtent à déployer leurs ailes, parés de leurs plus beaux atours, sur la vaste scène pop internationale. Menés par Fránçois Marry, artiste aux multiples talents, originaire de Charente Maritime, FRANÇOIS & THE ATLAS MOUNTAINS, révélations du dernier Printemps de Bourges, sont lauréats du FAIR 2011 et viennent également de remporter le Prix Premières Franco ADAMI aux Francofolies de La Rochelle. Alternant chant anglais et français, le groupe bouscule la pop hexagonale, à l'image du 1er single « Piscine », grand écart entre Dominique A et ANIMAL COLLECTIVE. Se revendiquant aussi bien de JACQUES PREVERT (pour la poésie française classique) que des TALKING HEADS (pour la pop aventureuse), le quatuor visite de nouveaux territoires musicaux et n'écoute que son instinct créatif.
Il est minuit passé en ce 10 février 1961 lorsque Norman Granz monte sur la scène du Concertgebouw (Amsterdam) pour présenter l'un des plus beaux concerts des tournées Jazz at the Philharmonic. Oscar Peterson ne s'est jamais caché d'apprécier tout particulièrement de se produire dans cet écrin à l'acoustique extraordinaire, hanté qui plus est par les prestations légendaires de musiciens classiques qu'il affectionne. Agé de 35 ans, au firmament de sa notoriété et dans la plénitude de ses moyens techniques hors norme, le pianiste, à cet instant de sa carrière, ne semble plus rien avoir à prouver à qui que ce soit. Probablement pour profiter à plein de l'effet de légitimation associé au prestige d'une telle salle, le label Verve sortit même en 1957 un disque du pianiste intitulé Oscar Peterson Trio At The Concertgebouw. Même si Peterson se produisit bien cette année-là à Amsterdam en compagnie de Ray Brown et Herb Ellis, ce disque se révéla finalement être un faux, composé, en fait, d'extraits de concerts enregistrés dans des salles beaucoup moins prestigieuses entre Chicago et Los Angeles. Ce fabuleux concert « Live at The Concertgebouw 1961 » est totalement inédit.
Il aura fallu plus de 40 ans pour que l'un des plus beaux concerts de la Divine Sarah Vaughan, totalement inédit, soit édité Il est 22h ce 5 août 1975 lorsque Sarah Vaughan entre sur la scène du Singer Hall à Laren, Pays-Bas. A ses côtés : Le pianiste Carl Schroeder, avec qui elle jouera plus de 20 ans, le contrebassiste Bob Magnusson, redoutable sideman recherché (plus de 150 albums à son actif !) et enfin l'un des batteurs les plus subtils de l'histoire du jazz : Mr Jimmy Cobb, qui rappelons-le, fut le batteur de Miles Davis de 1958 à 1962, participant en particulier à l'enregistrement du chef-d'ouvre : Kind of Blue (1959). Celle que l'on a surnommée pendant toute sa carrière : « The Divine » est en 1975 une femme de 51 ans qui est au sommet de son talent, de son énergie, et de sa splendeur. Sa tessiture est toujours exceptionnelle Un long soupir : « It's so hot in here ! » Elle provoque, séduit, conquiert. Les titres s'enchaînent restituant la puissance de « Round Midnight », la tendresse de « there will never be another you », la force de « Everything must change » et la nostalgie de la fin du medley par le poignant « Moonlight in Vermont ». Un ultime « Tenderly ». Elle se retire comme elle est entrée : Timide, réservée, presque transparente. Sous les ovations. Ce fabuleux concert « Live at Laren Jazz Festival 1975 » est complètement inédit.
Comme Ella Fitzgerald et le pianiste Thelonious Monk, le trompettiste et chef d'orchestre John Birks «Dizzy» Gillespie avait vu le jour en 1917. Dizzy, disparu en 1993 après une très longue carrière - à vingt ans il était à Paris avec l'orchestre de Teddy Hill - compte parmi les musiciens ayant influé sur l'histoire du jazz, dans sa fonction de soliste d'abord, maître ahurissant et ultramoderne de la plupart des trompettistes arrivés après lui, à commencer par Miles Davis; mais également dans son rôle éminent de théoricien du «be bop», creuset de tous les jazz dits modernes. Le premier CD le fait entendre dans le cadre de petites formations dans lesquelles il côtoie la plupart des grands de cette nouvelle musique. Le deuxième est consacré aux grands orchestres, dans le rôle qu'il préférait, chef et soliste d'explosifs Big Bands. Le troisième CD, enfin, met en lumière son statut de grand manitou d'un jazz «afro-cubain» dont il fut l’un des fondateurs, comme il fut l’un des tout premiers à mêler au jazz les rythmes brésiliens. Cette sélection de plus de 50 titres et son livret sont concoctées par Claude Carrière, qui pendant de très nombreuses années (de 1975 à 2008) a été producteur à France Musique. Président d'Honneur de l'Académie du Jazz et président de l’association La Maison du Duke, membre de l'Académie Charles Cros, il est Officier de l'Ordre des Arts et Lettres et a obtenu en 2000 un Django d’Or spécial.