Ambiance sombre et sonorités 80's. Après avoir dévoilé l'EP No Bells On Sunday qui déjà annonçait un vent de changement, MARK LANEGAN et sa bande sortiront leur nouvel album, Phantom Radio, le 20 Octobre prochain. Si ses morceaux sont toujours aussi noirs et tourmentés, le rockeur multi-casquette s'est permis d'explorer plus en profondeur les sonorités de pop minimaliste qu'il gardait en mémoire depuis les années 80. L'aspect rock stoner mis de côté, Phantom Radio voit le jour comme le parfait successeur à Blues Funeral, sorti en 2012. Avec cet album, on peut dire du MARK LANEGAN BAND qu'il n'a pas radicalement changé de direction, mais qu'il a changé de bécane. Par exemple, certaines parties de batterie ont été enregistrées sans batteur, via une application pour tablette. Ainsi, derrière le très bon morceau rock Harvest Home, qui ouvre l'album, on découvre une tracklist tout aussi bonne mais beaucoup plus électronique, en atteste des titres Floor Of The Ocean ou Seventh Day. D'autres morceaux surprennent, agréablement, comme c'est le cas de I Am The Wolf, qui pourrait faire la BO d'un spaghetti western, ou de The Wild People, presque country. Le MARK LANEGAN BAND signe ici un album de très bonne facture qui ravira tout les mélomanes avertis.
Le nouvel album des légendes du Reggae, The Gladiators ! Avec 14 titres mêlant des adaptations des classiques du groupe comme Jah Works ou Look is Deceiving et des nouvelles compositions toujours inspirées par le Roots Rock Reggae telles que Freeman ou le single We Are Not mais avec un son très actuel, le nouvel album des Gladiators prouve qu'ils sont encore dans l'arène pour défendre les couleurs de la culture Jamaicaine ! La trio vocal originel des Gladiators en 1967 se compose de Albert Griffiths, Errol Grandison et David Webber, ces deux derniers étant remplacés quelques années plus tard par Clinton Fearon et Gallimore Sutherland. En 2004, avec l'album Father and sons, Albert Griffiths annonce sa retraite en passant officiellement le flambeau à ses fils : Anthony qui officie déjà depuis plusieurs années à la batterie au sein du groupe et Al au chant, héritier direct de la voix et du charisme de son père. Formés durant leur jeunesse par Albert Griffiths cela fait aujourd'hui plus de dix ans qu'ils perpétuent avec succès le style qui a fait la renommée des Gladiators, tout en y apportant une fraîcheur et une dynamique nouvelle. Le prochain album du groupe Roots Legacy en est la parfaite illustration : le projet d'un artiste mûr, reprenant à la perfection quelques uns des titres d'Albert Griffiths et proposant de nouvelles compositions inédites du groupe.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
En pleine tournée avec Eiffel, France Culture contacte ROMAIN HUMEAU (chanteur/ auteur/ compositeur de Eiffel) pour lui proposer l'adaptation d'une oeuvre littéraire de son choix dans le cadre d'une émission sur la radio. Ce dernier choisit 'Vendredi ou les Limbes du Pacifique' de Michel Tournier. Le texte sera réduit par Pauline Thimonier et le récit confié à Denis Lavant qui nous fera pénétrer, avec sa voix unique, dans l'univers de Robinson. En parallèle de la musique instrumentale qu'il a écrite pour le récit, ROMAIN signe et interprète huit chansons qui font écho au texte. Le projet a été enregistré pour partie au studio des Romanos (le studio bordelais des HUMEAU) et dans les studios de la Maison de la Radio avec l'Orchestre National d'île de France et un groupe composé de ROMAIN et deux musiciens, Nicolas Bonnière, fidèle guitariste d'Eiffel et 'bidouilleur', ainsi que le nouveau venu Guillaume Marsault à la batterie. Le projet sera diffusé sur France Culture le dimanche 28 juin et une représentation publique aura lieu le 17 juillet dans le in du Festival d'Avignon, avec Denis Lavant, ROMAIN HUMEAU et les musiciens dans la cour du Musée Calvet. Un programme France Culture de 64' incluant 8 chansons originales et 17 instrumentaux écrits et composés par ROMAIN HUMEAU.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
On ne présente plus Eric Bibb. Sa notoriété s'est considérablement étendue en France (comme à travers le monde) ces dernières années et il est aujourd'hui l'un des artistes de blues et de folk music les plus représentatifs de la nouvelle génération. Eric Bibb montre la voie du futur et propose une vision totalement rafraichissante et créative des musiques populaires américaines originales. Eric est au sommet de son art en scène et tous ces concerts se terminent régulièrement par des standing ovations. Un concert d'Eric Bibb est quelque chose d'unique. La radio Fip a décidé de capturer deux de ces moments magiques, le 13 mars et le 2 décembre 2008, afin de les restituer au public sous forme de ce double digipak. Dans le concert qui figure sur le CD 1 Eric est accompagné de son groupe au complet (seconde guitare, basse, batterie), dans le concert qui figure du CD 2, il est accompagné de son batteur et d'Amar Sundy à la guitare électrique. Le CD 2 sera agrémenté d'un sujet vidéo de 20 minutes tourné sur les lieux du concert (live & interview). Ces enregistrements sont d'une qualité artistique et technique remarquable. Ils ont été mixés par l'un des meilleurs ingénieurs du son de Radio France avec un soin tout à fait particulier. Toute l'équipe de Fip a fait le maximum pour optimiser ces enregistrements et permettre une réussite totale. Ce LIVE À FIP fera date dans la carrière d'Eric Bibb. Il sera tout à la fois son LIVE ABSOLU ainsi qu'un BEST OF des meilleurs titres de ces quinze dernières années.
Joel Hoekstra, identifié par des millions de fans comme le guitariste actuel de Whitesnake, s’était déjà taillé une belle réputation dans le milieu rock grâce à son travail avec Night Ranger ou Trans Siberian Orchestra. Aujourd’hui, entouré d’un casting de toute première classe, il fait paraître chez Frontiers le premier album de son nouveau « side project », Joel Hoekstra’s 13. « Il y a quelques années, j’avais fait paraître trois albums solo principalement instrumentaux et axés sur la guitare. Mais mon souhait actuel était de réaliser cette fois un enregistrement plus élaboré en termes de production, d’arrangements et de composition, dans un genre pour lequel je suis davantage reconnu, le rock mélodique. C’est ainsi que j’ai créé mon propre groupe avec certains de mes musiciens favoris ». Avec à ses côtés des artistes de la trempe de Jeff Scott Soto (chant), Russell Allen (chant), Tony Franklin (basse), Vinny Appice (batterie) et Derek Sherinian (claviers), le guitariste a produit un album rock d’excellente facture, que l’on peut décrire comme la rencontre de Dio, pour les passages les plus « heavy », et de Foreigner, pour le côté plus « smooth ». Cet album, qui traite par ailleurs des grandes étapes de l’existence et de ses vicissitudes, a été conçu avant que Joel Hoekstra rejoigne Foreigner et a reçu le soutien entier de David Coverdale.
Le retour de Takana Zion avec son troisième album studio 'Rasta Government' s'annonce déjà comme le renouveau du Reggae Roots. Enregistré en Jamaïque avec l'élite des musiciens de Kingston : Sly Dunbar à la batterie, Sticky Thompson aux percussions, Robbie Linn aux claviers et la participation du grand Capleton. Si Takana Zion a pu saisir l'opportunité d'enregistrer avec Steven Stewart au studio 'Harry J', c'est grâce à une autre pointure de la musique jamaïquaine : Sam « Junior » Clayton des Mystic Revelation Of Rastafarï. Conseiller musical de Takana depuis trois ans et co-producteur du disque. On y retrouve une dizaine de morceaux cousus de fil roots, avec un son à la fois organique et moderne, comme cette guitare lumineuse sur «Give Thanks To Jah», ou les magnifiques envolées de cuivres sur « Rasta Gouvernement». La session de studio avec Capleton restera parmi les meilleurs souvenirs de son aventure jamaïquaine ( « The Glory »). Sur de nombreux autres morceaux, Takana combine des refrains entêtants et des textes engagés. Il insiste sur l'importance de ses messages : « Rise Up » incite à redresser la tête et à garder l'espoir en cette période de crise internationale, alors que « Rasta Gouvernement » plaide pour une nation qui réhabiliterait la fraternité et la liberté d'expression entre les citoyens, valeurs essentielles qui semblent s'estomper dans nos pays. Guinéen d'origine, ses concerts remplissent des stades en Afrique de l'Ouest. Il rend hommage à son dialecte natal le 'malinké' sur le morceau (« M'Bife »).
Soul Jazz Records réédite le deuxième album du légendaire Steve Reid, l'un de ses albums les plus profonds et radicaux, en édition LP et CD limitées. Rhythmatism est l'un des albums les plus profonds et radicaux de l'extraordinaire batteur et compositeur Steve Reid. Il joue accompagné de grand jazzmen tels que Arthur Blythe 'alias Black Arthur', Charles Tyler, David Wertman parmi d'autres. Steve Reid est né dans le sud du Bronx et a grandi dans le Queens à New York. Il a joué dans la formation du Harlem's Apollo Theatre, accompagnant James Brown, ainsi que dans Sun Ra's Arkestra. Il vivait à côté de John Coltrane, travaillait dans un grand magasin avec Ornette Coleman, avait un fils qui jouait de la batterie avec NWA. Il a commencé sa carrière dans les années 1960 comme batteur à Motown quand il a joué sur Martha et The Vandellas Heatwave, alors âgé de 14 ans. En 1974, il crée le Legendary Master Brotherhood et fonde le label indépendant Mustevic Sound pour sortir son premier album Nova en 1976. Cet album est publié ici dans son intégralité et avec une pochette originale complète. Rhythmatism est le deuxième d'une série de disques indépendants qu'il a sorti dans les années 1970. En tant qu'artiste de jazz radical, Steve Reid a joué avec un groupe extraordinaire d'artistes dont Miles Davis, Sun Ra, Fela Kuti, James Brown, Ornette Coleman, Lester Bowie, Freddie Hubbard...
« Un groupe qui a réussi à conquérir les coeurs, à brasser les publics, à ne pas rentrer dans une case. Un groupe avec des chansons, des vraies, qu'on retient et qu'on chante pendant longtemps, et dont certaines sont promises à l'éternité » Les Inrocks ILS SONT DEJA PRÈS DE 400 000 FRANÇAIS À LES AVOIR DÉCOUVERTS SUR SCÈNE SUPERBE SÉANCE DE RATTRAPAGE AVEC LEUR PREMIER ALBUM LIVE Quand on vous parle de Leon de Luc Besson, vous pensez d'emblée au morceau « Matilda » ? Vous dessinez amoureusement des triangles sur des bouts de papiers (voire sur votre peau) alors même que vous ne comprenez rien à Pythagore ? Vous avez appelé votre chat Nara et pensez que « Something Good » serait un chouette prénom pour votre premier né ? Vous regardez avec nostalgie toutes les vidéos renvoyées par la requete Youtube « alt-J live », attendant frénétiquement le prochain concert du groupe dans votre ville ? Le concert à la Chapelle des Beaux-Arts est, de loin, votre vidéo préférée de la Blogothèque ? Ne cherchez plus, cet album est fait pour vous ! Alt-J annonce la sortie de LIVE AT RED ROCKS, leur premier album live. Enregistré au mythique Red Rocks Amphithéatre dans le Colorado devant plus de 10 000 personnes, ce concert reste l'un des moments clés de la carrière - déjà exceptionnelle- du trio de Leeds. L'occasion de redécouvrir en audio et en vidéo les morceaux déjà cultes du groupe, extraits de An Awesome Wave (2012) et This Is All Yours (2014). ALT-J / Live At Red Rocks est disponible en trois formats : CD/LP/Blu-Ray, 2LP bleus, et Coffret Deluxe 2LP/CD/DVD/Blu-Ray/Livret photo/collier.
Tim Armstrong (voix, guitare), Matt Freeman (basse, voix), Lars Frederiksen (voix, guitare) et Branden Steineckert (batterie) sont de retour avec leur neuvième album studio... Trouble Maker. Né en pleine crise économique de l’ère post-Reagan dans la baie de San Francisco, Rancid a vu le jour lorsqu’Armstrong et Freeman ont déménagé après la fin de leur premier groupe Operation Ivy. Rancid a donc repris le flambeau en tant que groupe local et a immédiatement enflammé la communauté revival punk, annonçant beaucoup de grandes choses à venir. Après avoir vu l’« American Dream » se dégrader et devenir obsolète pour leur pays, leur communauté et leur ville, Rancid décide d’évoquer ses conséquences à travers leurs chansons. Alors que leurs textes hissent toujours plus leurs identités dans le punk rock, leur musique incorpore des cornes, des lignes de basse rockabilly, des rythmes reggae, des grincements et de la distortion. Racontant leur vision personnelle des histoires d’amours qui tournent mal et de la rupture, Rancid construisent tout une communauté autour d’eux. Durant les deux dernières décennies, les membres de Rancid ont su se rendre compte de leur environnement changeant et se sont trouvés une nouvelle place en son sein, tout en ne perdant pas leurs places en tant qu’individualités ou en tant que groupe. Pour ceux qui aiment : The Clash, Bad Religion, The Sex Pistols, NOFX, Social Distortion, Black Flag
« Un groupe qui a réussi à conquérir les coeurs, à brasser les publics, à ne pas rentrer dans une case. Un groupe avec des chansons, des vraies, qu'on retient et qu'on chante pendant longtemps, et dont certaines sont promises à l'éternité » Les Inrocks ILS SONT DEJA PRÈS DE 400 000 FRANÇAIS À LES AVOIR DÉCOUVERTS SUR SCÈNE SUPERBE SÉANCE DE RATTRAPAGE AVEC LEUR PREMIER ALBUM LIVE Quand on vous parle de Leon de Luc Besson, vous pensez d'emblée au morceau « Matilda » ? Vous dessinez amoureusement des triangles sur des bouts de papiers (voire sur votre peau) alors même que vous ne comprenez rien à Pythagore ? Vous avez appelé votre chat Nara et pensez que « Something Good » serait un chouette prénom pour votre premier né ? Vous regardez avec nostalgie toutes les vidéos renvoyées par la requete Youtube « alt-J live », attendant frénétiquement le prochain concert du groupe dans votre ville ? Le concert à la Chapelle des Beaux-Arts est, de loin, votre vidéo préférée de la Blogothèque ? Ne cherchez plus, cet album est fait pour vous ! Alt-J annonce la sortie de LIVE AT RED ROCKS, leur premier album live. Enregistré au mythique Red Rocks Amphithéatre dans le Colorado devant plus de 10 000 personnes, ce concert reste l'un des moments clés de la carrière - déjà exceptionnelle- du trio de Leeds. L'occasion de redécouvrir en audio et en vidéo les morceaux déjà cultes du groupe, extraits de An Awesome Wave (2012) et This Is All Yours (2014). ALT-J / Live At Red Rocks est disponible en trois formats : CD/LP/Blu-Ray, 2LP bleus, et Coffret Deluxe 2LP/CD/DVD/Blu-Ray/Livret photo/collier.
Tim Armstrong (voix, guitare), Matt Freeman (basse, voix), Lars Frederiksen (voix, guitare) et Branden Steineckert (batterie) sont de retour avec leur neuvième album studio... Trouble Maker. Né en pleine crise économique de l’ère post-Reagan dans la baie de San Francisco, Rancid a vu le jour lorsqu’Armstrong et Freeman ont déménagé après la fin de leur premier groupe Operation Ivy. Rancid a donc repris le flambeau en tant que groupe local et a immédiatement enflammé la communauté revival punk, annonçant beaucoup de grandes choses à venir. Après avoir vu l’« American Dream » se dégrader et devenir obsolète pour leur pays, leur communauté et leur ville, Rancid décide d’évoquer ses conséquences à travers leurs chansons. Alors que leurs textes hissent toujours plus leurs identités dans le punk rock, leur musique incorpore des cornes, des lignes de basse rockabilly, des rythmes reggae, des grincements et de la distortion. Racontant leur vision personnelle des histoires d’amours qui tournent mal et de la rupture, Rancid construisent tout une communauté autour d’eux. Durant les deux dernières décennies, les membres de Rancid ont su se rendre compte de leur environnement changeant et se sont trouvés une nouvelle place en son sein, tout en ne perdant pas leurs places en tant qu’individualités ou en tant que groupe. Pour ceux qui aiment : The Clash, Bad Religion, The Sex Pistols, NOFX, Social Distortion, Black Flag
Live at Red Rocks - Coffret Deluxe Nombre de disques : 5« Un groupe qui a réussi à conquérir les coeurs, à brasser les publics, à ne pas rentrer dans une case. Un groupe avec des chansons, des vraies, qu'on retient et qu'on chante pendant longtemps, et dont certaines sont promises à l'éternité » Les Inrocks ILS SONT DEJA PRÈS DE 400 000 FRANÇAIS À LES AVOIR DÉCOUVERTS SUR SCÈNE SUPERBE SÉANCE DE RATTRAPAGE AVEC LEUR PREMIER ALBUM LIVE Quand on vous parle de Leon de Luc Besson, vous pensez d'emblée au morceau « Matilda » ? Vous dessinez amoureusement des triangles sur des bouts de papiers (voire sur votre peau) alors même que vous ne comprenez rien à Pythagore ? Vous avez appelé votre chat Nara et pensez que « Something Good » serait un chouette prénom pour votre premier né ? Vous regardez avec nostalgie toutes les vidéos renvoyées par la requete Youtube « alt-J live », attendant frénétiquement le prochain concert du groupe dans votre ville ? Le concert à la Chapelle des Beaux-Arts est, de loin, votre vidéo préférée de la Blogothèque ? Ne cherchez plus, cet album est fait pour vous ! Alt-J annonce la sortie de LIVE AT RED ROCKS, leur premier album live. Enregistré au mythique Red Rocks Amphithéatre dans le Colorado devant plus de 10 000 personnes, ce concert reste l'un des moments clés de la carrière - déjà exceptionnelle- du trio de Leeds. L'occasion de redécouvrir en audio et en vidéo les morceaux déjà cultes du groupe, extraits de An Awesome Wave (2012) et This Is All Yours (2014). ALT-J / Live At Red Rocks est disponible en trois formats : CD/LP/Blu-Ray, 2LP bleus, et Coffret Deluxe 2LP/CD/DVD/Blu-Ray/Livret photo/collier.
Les légendes norvégiennes du Black Metal se reforment et présentent leur premier album studio tant attendu ! Réunissant des membres d'Arcturus, Mayhem, Thorns et 1349 pour un chef-d'oeuvre de Black Metal, Peaceville est fier de présenter le PREMIER album studio tant attendu de MORTEM, les légendes norvégiennes récemment reformées. Lorsque l'on revient sur l'histoire du black metal, certains noms sont familiers comme Mayhem, Burzum, Darkthrone. Mais dans l'ombre se cache un autre grand fournisseur des ténèbres du grand Nord. Formé par Marius Vold et Steinar Sverd Johnsen en 1989, Mortem est l'un des premiers groupes à se démarquer de la scène Black Metal norvégienne. Il publie la démo très convoitée et brutale intitulée Slow Death', avec Euronymous & Dead of Mayhem respectivement producteur et artiste. Après la sortie de Slow Death, le groupe se disloque et ses membres forment ensuite Arcturus et Thorns, devenus piliers de la scène Black Metal et au-delà. Dans un moment de nostalgie et de désir de créer une musique plus brutale qu'Arcturus, Mortem a été ravivé. Ainsi, l'album tant attendu, intitulé Ravnsvart, possède la même brutalité et le même esprit que l'incarnation originale, avec des éléments nouveaux, tous conçus de manière unique dans la veine des premiers sons du Black Metal scandinave, élaboré en un chef-d'oeuvre d'horreur malsain. Hellhammer (du légendaire Mayhem) à la batterie, Tor Stavenes (de 1349/Svart Lotus), à la basse, rejoignent le duo.
ROADS est le premier album du Léa Castro 5tet. Le projet nait en 2010, tout d'abord en duo, quand Léa Castro débute sa collaboration avec le pianiste et violoniste Antoine Delprat. En 2013, le contrebassiste Alexandre Perrot, le batteur Ariel Tessier et le saxophoniste Rémi Fox les rejoignent. Entre compositions originales et standards revisités, le jazz se teinte de soul et de pop, reflétant le parcours d'une jeune génération de musiciens de jazz qui a écouté toutes sortes de musiques. Ils ne cachent pas l'impact reçu sur leur développement artistique de grands artistes, dont la musique déborde volontiers du cadre du Jazz comme Brad Mehldau, e.s.t., Michael Brecker, Avishai Cohen... On sent combien le quintet se réjouit en revisitant des titres des Beatles, Duran Duran ou Elliot Smith. Mais ce qui séduit d'emblée à la première écoute, c'est la voix d'alto envoûtante de Léa Castro, pleine de swing, de douceur enveloppante et de force tranquille. Influencée à la fois par de grandes dames du Jazz telles que Nina Simone, Carmen McRae ou Diane Reeves, et par les figures de la Soul que sont Otis Redding et Bill Withers, certaines de ses compositions puisent aussi leur inspiration dans un imaginaire coloré, de l'Espagne à l'Orient, sur les traces des origines Nord-Africaines de Léa Castro. L'instrumentation originale du quintet se voit déconstruite ou enrichie selon les titres, avec ou sans piano, avec violon ou flûte, batterie ou cajon, et des choeurs... On passe d'une énergie débordante à la douceur d'une musique de chambre où les timbres se mélangent subtilement, avec pour fil conducteur la voix et les émotions.
ATTENTION CHEF D’OEUVRE ! Light in the Attic réédite un des grands disques oubliés du folk-rock. Inclus un livret avec de nouvelles interviews de Kauffman et Caboor par Sam Sweet et des photos inédites. Le LP contient une carte de téléchargement. Le Colorado Bridge qui relie Pasadena à los Angeles, surnommé ‘Suicide Bridge’, a été la scène d’un très grand nombre de suicides. Le pont déserté est le décor d’un photoshoot dans lequel posent les songwiters ERIC CABOOR et DAVID KAUFFMAN, et dont résultera la photo et le titre qui ornent la pochette de leur majestueux premier album, Songs From Suicide Bridge, sorti en 1984. CABOOR et KAUFFMAN se sont rencontrés dans les ‘coffee shop’ de Los Angeles. Chacun d’entre eux avait l’habitude de jouer devant dans des salles souvent quasiment vides. Selon Kauffman « ils étaient deux personnes solitaires qui ont uni leurs forces ». Après deux ans à essayer de trouver un label, ils abandonnent. L’industrie se concentrant sur la new wave ou la pop, un groupe de folk rock n’avait pas sa place. Comme un pied de nez, ils décident d’enregistrer leur album le plus sombre. Enregistré sur un 4 pistes Songs From Suicide Bridge est sorti sur leur label Donkey Soul Music. Uniquement 500 exemplaires ont été pressés. C’est une oeuvre d’une beauté époustouflante, qui a largement sa place parmi les plus grands disques d’Americana. On y perçoit finalement beaucoup d’espoir. « Les gens nous disaient que ces chansons sont déprimantes » dit CABOOR à Sam Sweet pour le livret de cette réédition. « Mais ce n’était pas déprimant pour nous. Jouer ces chansons dans une petite pièce nous permettait de nous sentir mieux ».
ATTENTION CHEF D’OEUVRE ! Light in the Attic réédite un des grands disques oubliés du folk-rock. Inclus un livret avec de nouvelles interviews de Kauffman et Caboor par Sam Sweet et des photos inédites. Le LP contient une carte de téléchargement. Le Colorado Bridge qui relie Pasadena à los Angeles, surnommé ‘Suicide Bridge’, a été la scène d’un très grand nombre de suicides. Le pont déserté est le décor d’un photoshoot dans lequel posent les songwiters ERIC CABOOR et DAVID KAUFFMAN, et dont résultera la photo et le titre qui ornent la pochette de leur majestueux premier album, Songs From Suicide Bridge, sorti en 1984. CABOOR et KAUFFMAN se sont rencontrés dans les ‘coffee shop’ de Los Angeles. Chacun d’entre eux avait l’habitude de jouer devant dans des salles souvent quasiment vides. Selon Kauffman « ils étaient deux personnes solitaires qui ont uni leurs forces ». Après deux ans à essayer de trouver un label, ils abandonnent. L’industrie se concentrant sur la new wave ou la pop, un groupe de folk rock n’avait pas sa place. Comme un pied de nez, ils décident d’enregistrer leur album le plus sombre. Enregistré sur un 4 pistes Songs From Suicide Bridge est sorti sur leur label Donkey Soul Music. Uniquement 500 exemplaires ont été pressés. C’est une oeuvre d’une beauté époustouflante, qui a largement sa place parmi les plus grands disques d’Americana. On y perçoit finalement beaucoup d’espoir. « Les gens nous disaient que ces chansons sont déprimantes » dit CABOOR à Sam Sweet pour le livret de cette réédition. « Mais ce n’était pas déprimant pour nous. Jouer ces chansons dans une petite pièce nous permettait de nous sentir mieux ».
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
SEULE UNE POIGNÉE DE DJS ET DE PRODUCTEURS SONT CAPABLES DE TRANSCENDER LES STYLES ET LES GENRES, S'ÉLEVANT AU DESSUS DE FUGACES TENDANCES POUR CRÉER LEURS PROPRES PAYSAGES SONORES. LAURENT GARNIER FIGURE SANS PEINE PARMI EUX, MIXANT TECHNO, HOUSE, DRUM'N'BASS ET FUNK-JAZZY AVEC UNE FACILITÉ DÉCONCERTANTE SON DERNIER OPUS, « TALES OF A KLEPTOMANIAC » POUSSE ENCORE PLUS LOIN LES FRONTIÈRES MUSICALES, FAISANT PREUVE D'UNE DIVERSITÉ DIABOLIQUE QUI FAIT DE LUI L'UN DES MEILLEURES REPRÉSENTANTS DE LA MUSIQUE DANCE-ÉLECTRO. LES LÉGIONS DE FANS TECHNO DE MONSIEUR GARNIER NE SERONT PAS DÉÇUS PAR CET ALBUM PUISQUE L'ART DE DETROIT BÉNÉFICIE D'UN GRAND NETTOYAGE !!! BEAUCOUP ADORENT DEPUIS LE DÉBUT ENTENDRE LAURENT DANS SON RÔLE DE DJ ET QUAND IL SE BALANCE AU-DESSUS DES PLATINES, LA TECHNO BRILLE - VOUS SAVEZ, LE VERITABLE ESPRIT DE LA TECHNO - LE VRAI TRUC - ALORS, ENTRE «DESIRELESS», «BACK TO MY ROOTS» ET «LAST DANCE @ YELLOW», LES PURISTES SONT À LA FÊTE ! ENTRE HYMNE FUNK DES TEMPS MODERNES («NO MUSIC»), HIP HOP POUR BEAT BOX INDUSTRIEL («FREEVERSE») DRUM AND BASS («BOURRE PIF»), BEAT LENT ET HALETANT («DEALING WITH THE MAN»), L'ALBUM SE CONCLUT PAR UN PEU DE NEW WORLD AVEC «FROM DEEP WITHIN» ET DE ROOTS SUR «FOOD FOR THOUGHT», AVEC LA PARTICIPATION DU LÉGENDAIRE WINSTON MAC ANUFF... EN FAIT, LES RÉFÉRENCES DE LAURENT EN TANT QUE DJ SONT INNOMBRABLES : «PAY TV» PARLE DE LUI-MÊME ET UN MILLION DE DJ ITINÉRANTS ADORENT SA BATTERIE, UNE ESPÈCE DE GROOVE RARE, STYLE PORNO FRANÇAIS, SI VOUS VOYEZ CE QUE JE VEUX DIRE...PEUT-ÊTRE PAS !!! QUOI QU'IL EN SOIT, C'EST ÉNORME ! BREF, TALES OF A KLEPTOMANIAC EST UN CLASSIQUE, PEUT-ÊTRE LA MEILLEURE RÉALISATION DE LAURENT GARNIER
Le jazz est un art paradoxal : expression essentiellement individuelle, il est aussi langage, musique du dialogue. S'il est si difficile à cerner, si l'on s'entend si rarement sur sa définition, c'est peut-être que le jazz est un processus, le lieu d'une tension dialectique qui se résout à un instant donné, sur scène, en une création commune. L'écueil à éviter, et le motif de tant de disputes, c'est de vouloir dire a priori ce qui est jazz. La grande histoire du jazz est faite de dissidences, de convergences accidentelles, elle ne se résume pas d'un trait net. Archie Shepp ne veut pas du mot « Jazz » pour sa musique; ce qui l'habite, c'est la musique noire américaine au son de laquelle il a grandi. Ce qu'il joue, le projet d'une vie, c'est la « Black Art Music ». C'est pour lui, et au-delà pour de nombreux musiciens noirs (Duke, Roach, Mingus... Oliver Lake) la réponse à la confiscation de leur histoire par une industrie sans identité. Ce qui n'exclut pas la rencontre, l'extrême proximité, inattendue et inexplicable, entre un pianiste autrichien élevé dans une culture musicale classique - Siegfried Kessler - et un enfant du ghetto de Fort Lauderdale, Floride - Archie Shepp. Le jazz, puisqu'il faut un mot, est universel parce qu'il est ancré dans le particulier, parce qu'il est ouvert sur toutes les expressions singulières. Call and Response. Quelques notes suffisent pour entendre la proximité entre Shepp et Lake. Leur timbre, absolument personnels, déchirés et déchirants, sont des incarnations de la Voix Noire. L'un et l'autre conçoivent leur musique en lien direct avec la culture de leur peuple, et toutes les formes artistiques qui en ont émergé. Oliver Lake fut l'un des fondateurs du BAG - Black Artists Group - un collectif multidisciplinaire d'artiste afro-américains, et Archie Shepp l'un des principaux animateurs de l'aventure qui l'inspira : Le Black Arts Repertory Theater/School d'Amiri Baraka. La rencontre avec Maddox prolonge un dialogue entre musique et poésie orale dans lequel les deux saxophonistes se sont depuis longtemps engagés. Malcolm Semper Malcolm (Fire Music 1968), ou encore les versions scandées de Revolution annoncent le rap et prolongent une tradition qui part d'Afrique, traverse spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afroaméricaine, son urgence et sa nécessité. Napoleon Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Il y a là un fil que l'on peut suivre à travers toute la musique noire américaine : Malcolm Semper Malcolm - Archie Shepp Fire Music 1968 - ou encore les versions scandées de Revolution, annonçaient le rap et retravaillait une forme qui naquît en Afrique, traversa spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afro-américaine, son urgence et sa nécessité.
CALYPSO a baigné très tôt dans la musique, l’art et le son, puisque qu’elle est la fille des artistes Jacno & Elli Medeiros. On a déjà pu l'apercevoir à l'écran dans les films d'Olivier Assayas, Michel Gondry, Catherine Corsini,... et l'entendre au sein du groupe electro Cinema, en duo avec Etienne Daho sur une reprise du titre Amoureux Solitaires & en duo avec Lescop lors de la soirée Tombés Pour La France à Pleyel. Pour son projet solo, CALYPSO s'est entourée du producteur Yan Wagner et de musiciens aussi divers que brillants : François Poggio (ETIENNE DAHO... ) à la guitare, Marcello Giulliani (ERIC TRUFFAZ QUARTET) à la basse, Emile Sornin (FOREVER PAVOT) à la batterie, Thomas de Pourquery (VKNG) au saxophone, Haroun Samali au violon,... Ce 2ème EP, empreint de voix cristallines et de textes affutés, nous confirme que le meilleur reste à venir avec son premier album. « Nouvelle flamme de la pop française » - LES INROCKUPTIBLES « Beauté troublante synthétique et baroque » - GRAZIA Au début de l’Hiver, CALYPSO VALOIS présentait le premier titre de son projet solo, le bien nommé Le Jour, qui mettait en lumière sa singularité artistique : pop de haute volée, langage direct, coup de foudre immédiat. Elle revient aujourd’hui présenter de nouveaux éléments fondateurs de son univers avec la sortie d’un autre 45 tours, Vis à Vie. Face A, le single Vis à Vie, immédiat et clinquant, qui navigue aux confluences du disco, guitares brillantes et violons de gala, et d’une pop mélancolique. Face B, le délicat et langoureux La Faute, ballade feutrée, bossa désarticulée, qui invite l’auditeur dans le speakeasy des pensées sombres de CALYPSO. Une deuxième plongée en eaux troubles, qui annonce un album ambitieux à paraître en Septembre chez LE LABEL - PIAS.
Le 30 septembre 1990, Gérard de Haro enregistre dans son studio qui ne s'appelle pas encore La Buissonne, le trio régional de Stéphan Oliva avec Claude Tchamitchian et Jean-Pierre Jullian. C'est le premier disque de Stéphan, il le produit lui-même. C'est aussi le début d'une longue et indéfectible amitié entre ces quatre artistes. Gérard est l'ingénieur du son de treize des seize disques enregistrés sous son nom par Stéphan à ce jour. Stéphan est dans plusieurs des aventures du Lousatzak de Tchamitchian, il est aussi le pianiste des merveilleux projets sudistes de Jullian sortis sur Emouvance, le label du contrebassiste, tous enregistrés par De Haro... Automne 1991, l'enregistrement du trio sort sur OWL, le prestigieux label de Jean-Jacques Pussiau. Et tout le monde s'accorde pour saluer un nouveau musicien à l'univers poétique très personnel. Automne 2008, Jean-Pierre Jullian à un projet d'oratorio et travaille également à une création pour sept musiciens et deux danseurs sur la naissance du soleil et de la lune d'après les mythes Amérindiens. Claude Tchamitchian, lui explore ses propres racines dans des duos et trios avec Gaguik Mouradian et Bijan Chemirani et participe au développement de la musique des trio et Megaoctet d'Andy Emler. Stéphan Oliva tourne en solo son projet sur Bernard Herrmann, écrit pour le cinéma et continue de creuser avec François Raulin, les origines de la musique afro-américaine. Il a aussi envie de rejouer en trio avec une contrebasse et une batterie (la dernière fois c'etait en 2000 avec Bruno Chevillon et Paul Motian). C'est tout naturellement qu'il va proposer la reformation du trio. Il écrit un nouveau répertoire, puis s'informe sur la disponibilité du studio pour l'enregistrer. Mais sans aucune idée sur la façon de commercialiser la musique. Et c'est tout aussi naturellement que Gérard de Haro lui propose de produire le projet sur son label. Dix-huit ans après leur première rencontre...
Depuis quelques années, Jean-Jacques Milteau semble avoir trouvé une nouvelle maturité, davantage au service d'une ambition musicale d'ensemble (mise en avant du groupe) que d'un instrument en particulier : « J'ai toujours aimé les voix. Dans le blues, l'harmonica est un véritable interlocuteur du chanteur. Plus que pour briller, l'instrument est là pour dialoguer, illustrer, conforter, créer un décor propice à l'expression du chant ». Soul Conversation est un projet musical qui revisite Blues, Soul, Folk et Rock. S'y retrouveront les amateurs de blues « roots » comme ceux qui aiment la Soul soyeuse et la musique des années 60 et 70. L'album comprend 9 originaux signés J.J. Milteau, Manu Galvin, Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que 4 reprises popularisées par les Rolling Stones, Stephen Stills, Curtis Mayfield et J.B. Lenoir. « Soul Conversation est une relecture des premières musiques que j'ai écoutées : Blues, Soul, Rock, Folk. Elles chantaient l'espoir de lendemains meilleurs. Pour la première fois, la jeunesse du monde entier utilisait un langage commun pour exprimer un désir d'ouverture et de tolérance. Force est de constater qu'on a du rater un embranchement depuis... » Pour ce projet, Jean-Jacques Milteau s'est entouré de deux chanteurs noirs américains : Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que de son complice habituel Manu Galvin (soutenu par Christophe Deschamps à la batterie et Gilles Michel à la basse). Michael Robinson a commencé à chanter à 5 ans auprès de son père pasteur. A 14 ans, il obtient une bourse pour étudier au prestigieux Conservatoire de Musique de Chicago. À 18 ans, il chante avec les Staple Singers, puis émigre à Los Angeles où il travaille régulièrement pour Quincy Jones Productions. Aux côtés de J.J. Milteau il renoue aujourd'hui avec la Soul et le Blues de son enfance. Ron Smyth est né dans le New Jersey. Il a appris la musique en accompagnant sa mère, évangéliste. À New York, il fréquente Pharao Sanders, Freddie Hubbard, et James Brown. Il accompagne Peter Tosh sur plusieurs tournées, émigre à la Nouvelle Orléans, puis à Paris où il collabore avec Bernard Allison et Lucky Peterson. Lui aussi est heureux de retrouver Jean- Jacques sur un projet qui couvre revisite les meilleures années de la musique américaine.
Nouvelle signature de poids chez Frontiers, Geoff Tate lève le voile sur la première partie d’une trilogie musicale épique et captivante. Operation : Mindcrime est le nom du troisième album du groupe Queensrÿche paru en 1988, opéra rock considéré comme l’un des meilleurs albums de rock-métal de l’histoire. Aujourd’hui, le chanteur du groupe aux 25 millions d’albums vendus, Geoff Tate, a signé chez Frontiers pour la parution d’une trilogie qui représente l’un de ses projets les plus ambitieux. « J’aime raconter de grandes épopées à travers ma musique; j’ai essayé ici de réduire l’ampleur de l’histoire, et suis arrivé à la conclusion qu’il me fallait représenter musicalement 37 idées pour pouvoir compléter le scénario ! J’ai vite compris qu’un seul album ne serait pas suffisant ! ». Premier volet de la trilogie, The Key est parcouru d’un souffle lyrique de grande ampleur qui embrasse des sujets modernes d’actualité, comme la politique internationale, l’économie mondiale et la crise sociale. Operation : Mindcrime n’est pas un groupe à proprement parler, mais une plateforme créative qui voit la participation de musiciens ouverts et chevronnés et qui perpétue en quelque sorte les thématiques déjà abordées dans l’album de Queensrÿche du même nom. Musicalement, l’album est assez aventureux déclare Geoff Tate. Bien sûr il y a des éléments rythmiques et des phrasés mélodiques qui pourront paraître familiers, mais tout au long de ma carrière j’ai eu le souhait de me renouveler et d’essayer d’atteindre de nouveaux buts, notamment au niveau des arrangements. Ce qui permet d’aborder la musique de façon spontanée et excitante. On s’est libéré de toutes contraintes pour enregistrer cet album, on a exploré de nouveaux territoires, en s’inspirant de la liberté des pionniers du prog rock. L’univers musical créé est riche d’idées et d’inspirations; on reconnait bien sûr les parties de guitares plutôt heavy et les boucles de batterie haletantes, mais la musique est sophistiquée, cinématique, avec des changements de rythme surprenants, des parties vocales entraînantes, des formes musicales dynamiques et captivantes. Il faut dire que Geoff Tate a su s’entourer d’une équipe de haut niveau, composée de visages familiers et de nouvelles recrues : les bassistes Dave Ellefson [Megadeth, Metal Allegiance] et John Moyer [Disturbed, Adrenaline Mob], les batteurs Simon Wright [AC/ DC], Scott Mercado [Candlebox] et Brian Tichy [Billy Idol, Ozzy Osbourne], les guitaristes Kelly Gray [Queensryche] et Scott Moughton [Geoff Tate], etc. Voici donc le premier chapitre d’une trilogie ambitieuse qui nous tient en haleine et qui s’annonce comme l’un des événements rock de la rentrée.