A la sortie d'un cinéma, Tintin et le capitaine Haddock tombent sur le général Alcazar. Dans la précipitation, ce dernier perd son portefeuille. La lettre et la photo d'avions qu'il contient conduiront les deux amis jusqu'au Khemed, pays du Moyen-Orient en proie à de graves troubles politiques.
Consultant en cachette les dossiers médicaux de son père, médecin légiste, Robin découvre la photo d'un homme dont le corps est percé de centaines de trous. Persuadés que cette mort est l'oeuvre d'un vampire, Robin et Max se lancent sur les traces du présumé meurtrier.
A la sortie d'un cinéma, Tintin et le capitaine Haddock tombent sur le général Alcazar. Dans la précipitation, ce dernier perd son portefeuille. La lettre et la photo d'avions qu'il contient conduiront les deux amis jusqu'au Khemed, pays du Moyen-Orient en proie à de graves troubles politiques.
elle s'appelle emmy.elle avait tout juste 8 ans et la vie devant elle. sa dernière photo la montre souriante... comme sur l'affiche qui porte le mot : missing... disparue. on a beau être flic, rompu aux pires horreurs... certaines blessures ne se ferment jamais. un deuil, ça se construit avec la vue d'un corps. emmy... où es-tu emmy oe
Cap Gris-Nez, sur les côtes françaises, face à l'Angleterre. Accompagné de sa nièce, un homme d'âge mûr revient sur ce littoral qu'il a bien connu jadis. Il est allemand, et recherche une femme qu'il a rencontrée autrefois, une Française. En 1942, il tenait une batterie d'observation, elle ramassait des coquillages sur la plage. Ensemble, ils ont fait le serment de se retrouver plus tard, sur les lieux même de leur rencontre. L'amour plus fort que la guerre, encore et toujours...
Anna, seize ans, accepte d'envoyer une photo de ses seins nus à son petit-ami. Le lendemain, celui-ci la diffuse sur Facebook et tout le lycée la voit. Anna commence alors à être harcelée. Des rumeurs circulent sur son compte... Pour mettre fin à ce cauchemar, Anna et sa mère quittent Londres et s'installent en Ecosse. Nouveau nom, nouvelle ville, nouveau lycée : rien ne peut la relier à son passé. Sauf qu'un jour, elle entend pte dans les couloirs, et tout recommence...
Molly a commencé par tracer une ligne en plein milieu du tapis. Ensuite, elle a reposé la craie et m'a dit : Voilà. Maintenant, libre à toi d'être aussi crade que tu veux, mais ton bazar, tu le gardes chez toi. Ce côté-là, c'est le mien ! Deux soeurs, deux façons de voir la vie, deux destins. Meg aime les livres, la photo, Molly préfère les robes, les fêtes et les garçons. Elles sont différentes en tout et pourtant, dans la chaleur de cette campagne, au fin fond des Etats-Unis, c'est ensemble qu'elles vont goûter aux saveurs douces et amères de la vie.
« Si la photo est ratée, c’est quetu étais trop loin ! »Le plus célèbre des reporters de guerre, auteur polémiqué de LA photode la guerre d’Espagne, l’un des seuls photographes à avoir couvertle débarquement de Normandie, co-fondateur, avec Cartier-Bresson, del’agence Magnum, nous est livré ici dans toute sa complexité. Un hommeextrême, toujours sur le fil du rasoir, recherchant le danger et la mort,hanté toute sa vie durant par son unique amour (malgré de nombreusesmaîtresses) disparu lors de la guerre d’Espagne. Il n’aura de cesse de bravertous les dangers pour la rejoindre dans une mort en première ligne.
Dans unezone pavillonnaire anonyme, un homme s'introduit discrètement dans une maison, visiblement rompu à l'exercice. C'est un tueur, venu attendre dans sa cachette le journaliste Pierre Brémond, alors occupé à finaliser un dossier très compromettant pour Alexandre Alberti, célèbre financier international. Pourtant, au lieu de remplir son contrat, le tueur propose au journaliste un très surprenant marché : exécuter son propre commanditaire, Alberti, en échange d'une photo que Brémond conserve sur son bureau - un simple portrait de sa femme et de sa fille...Ciselé, rigoureux, Faux pas est une adaptation en deux volumes du polar éponyme de Michel Rio, dont le romancier signe lui-même le scénario.
Simon Davenport rentre chez lui après une semaine d'absence. À la une du quotidien régional, il découvre une photo où l'on aperçoit sa maison. À la fenêtre du premier étage, il distingue une silhouette qui ressemble à son épouse Sylvia... morte depuis deux mois !Bien vite, d'autres signes troublants apparaissent. Des inscriptions étranges sur les murs de la cave. Des objets brisés. L'atmosphère s'alourdit de menaces autour de Simon.Le vieux Casper, patron de l'hôtel local, prétend avoir entretenu une relation secrète avec Sylvia. Il est persuadé que la jeune morte cherche à transmettre un message à son mari.Et qui est donc cette chanteuse qui se produit chaque soir à l'hôteloe Elle ressemble étrangement à Sylvia...Simon Davenport sent sa raison vaciller.Quelqu'un essaie-t-il de le rendre fou ? Mais dans quel but ?
Dans un parc de Bruxelles, la jeune Zoé fait une découverte macabre : un tronc humain sur lequel on a gravé quelques mots de japonais. Elle prend le cadavre en photo sur son téléphone mobile, mais, contre toute attente, ne s'adresse pas à la police : quel meilleur sujet d'enquête que ce vrai meurtre pour le Bruxelles Detective Ritual, le club de détectives amateurs qu'elle a créé avec une bande de copains ?Très vite, les lycéens identifient une première piste : le texte japonais trouvé sur le corps peut se traduire par « Je suis Kroko ». Exactement la phrase-culte que prononce de façon récurrente le « méchant » de Lethal Pencil, très célèbre manga dont l'héroïne est elle-même. une dessinatrice de mangas.Pendant ce temps, la police enquête elle aussi, avec le concours d'une « profileuse » bientôt persuadée d'avoir affaire à un serial killer.Le premier volet d'un diptyque - en partie inspiré d'un fait divers récent au Japon - et l'arrivée chez Casterman d'un scénariste de poids : Yann.
Deux jumelles naissent à Hong Kong de père inconnu. L’une d’entre elles, Jade, est venue au monde presque aveugle, avec des yeux entièrement blancs qui ne lui permettent qu’une vision extrêmement restreinte. Mais au fil du temps, pour compenser ce lourd handicap, l’enfant va développer un rapport au monde ludique, excentrique et provocateur, avec la complicité de sa soeur Sophie et de Philippe, un ami français de la famille qui va progressivement jouer auprès des jumelles un rôle de mentor, en lieu et place du père absent. Il initie notamment Jade au maniement de l’appareil photo numérique qui, par l’entremise de son viseur vidéo, lui offre un substitut de vision humaine.On suit dès lors le surprenant parcours de cette personnalité atypique et attachante. D’abord enfant non conformiste et parfois presque violente, au point de s’infliger des blessures volontaires qui sont autant de manières d’inscrire dans sa chair la configuration de son environnement, Jade deviendra une adolescente sensible puis une adulte qui fascine par sa personnalité complexe, étonnant mélange d’énergie, de volonté et d’étrangeté. Le portrait intense d’une guerrière qui n’a jamais lâché prise ni jamais renoncé à être elle-même, quel qu’en soit le prix.
Vibrant hommage à l'un des plus grands saxophonistes de jazz, 20 ans après sa disparition.Barney ? L’un de ces astres que la musique ne nous offre qu’avec parcimonie – un ou deux par génération, pas davantage.Lui est un météore, une étoile filante : saxophoniste génial, jazzman plus qu’inspiré, Barney sidère tout ceux qui croisent sa route, tant il possède à l’excès cette forme de grâce innée qui n’appartient qu’aux très grands. Mais la vie est cruelle. Barney, le sorcier de la note bleue, est aussi un instable, un insatisfait, qui traverse le monde et les événements comme si sa propre existence ne le concernait pas.Sa trajectoire sera aussi fugace qu’éblouissante : de l’Afrique jusqu’à l’Amérique en passant par Paris, le quotidien de Barney se consume dans la drogue et les amours sans issue. Salut l’artiste, plus dure sera la chute...Initialement publié au milieu des années 80 et désormais proposé dans une nouvelle édition, Barney et la Note Bleue est l’une des plus brillantes créations du tandem Loustal – Paringaux. Poignant comme un thème de Charlie Mingus, scintillant comme un chorus de Miles Davis. Impérissable, à l’instar de tous les vrais classiques.Ouvrage accompagné d'un CD, Barney Wilen - La note bleue :Barney Wilen : Saxophone ténorAlain Jean-Marie : PianoPhilippe Petit : GuitareRicardo Del Fra : BasseSangoma Everett : Batterie
Lorsque cette oeuvre de Pierre Christin et Enki Bilal est sortie en 1984, sa nouveauté radicale a été unanimement saluée. Rompant aussi bien avec la bande dessinée traditionnelle qu'avec le livre illustré classique ou le simple carnet de voyage, elle mélangeait reportage de terrain et fiction littéraire, photo, peinture et dessin, interviews plus ou moins apocryphes et documents plus ou moins retravaillés, sociologie urbaine et fiction hollywoodienne, jouant autant sur une maquette objective de type magazine que sur un discret parfum subjectif. Autant d'éléments qui allaient tous se retrouver ultérieurement à des degrés divers dans la production graphique française contemporaine. Reprendre cet album aujourd'hui, après de longues années où il est resté pratiquement introuvable, c'est comme redécouvrir dans la salle obscure de nos souvenirs un film en technicolor ayant légèrement pâli depuis. Mais aussi un document sur le Los Angeles d'alors, une plongée dans les quartiers cramés, une virée dans les banlieues chic, une initiation à ce qui allait devenir la modernité internationale, une méditation sur ce qu'était déjà la célébrité au cinéma et ailleurs. Une femme qui pourrait bien être Laurie Bloom, star des sixties, a donc disparu des écrans et peut-être disparu tout court. Deux jeunes Français partent à sa recherche dans une sorte de long travelling avant, entre road movie reformaté et film noir à suspense..
Lumière rouge. Bassins. Agrandisseur. Photos qui sèchent sur un fil... Dans la pièce où son frère développait ses photos avant la guerre, Gabrielle Osterlin regarde apparaître des visages de femmes et d'enfants, de corps dénudés face à des fusils et des fosses au milieu de nulle part.La réalité de la barbarie nazie jaillit du passé sur le papier photo, appuyée par la force d'un récit minutieux qui ne laisse aucune place au doute. Pour Gabrielle, Luther et Casmir, la guerre prend alors un sens dont peu de gens, à l'Ouest, avaient pris conscience.Et pour cause. La directive 1005 émanant du Reichsführer Himmler en personne exigeait que toute trace des massacres perpétrés à l'encontre des Juifs sur le front de l'Est soit impitoyablement traquée et effacée. Personne ne devait savoir. Sur le terrain, Himmler faillit réussir. Dans les mémoires, il en allait tout autrement.Egon Kellerman et Jakob Osterlin, pauvres « malgré nous » enrôlés de force au début de la guerre, font partie de ces mémoires en fuite. Malheureusement, la connaissance a un prix. Dans le village de Gabrielle, le commando SS a fini par apprendre l'existence de cette dernière. La chasse est lancée. Elle ne pourra se terminer que par la mort de ceux qui savent.Le destin, là encore, va choisir ses victimes.Demain sera sans nous, certes, mais à partir de quand ?C'est aujourd'hui que tout se joue.Si la parole peut survivre à la mort, alors demain pourra parler à jamais.
Lumière rouge. Bassins. Agrandisseur. Photos qui sèchent sur un fil. Dans la pièce où son frère développait ses photos avant la guerre, Gabrielle Osterlin regarde apparaître des visages de femmes et d'enfants, de corps dénudés face à des fusils et des fosses au milieu de nulle part.La réalité de la barbarie nazie jaillit du passé sur le papier photo, appuyée par la force d'un récit minutieux qui ne laisse aucune place au doute. Pour Gabrielle, Luther et Casmir, la guerre prend alors un sens dont peu de gens, à l'Ouest, avaient pris conscience.Et pour cause. La directive 1005 émanant du Reichsführer Himmler en personne exigeait que toute trace des massacres perpétrés à l'encontre des Juifs sur le front de l'Est soit impitoyablement traquée et effacée. Personne ne devait savoir.Sur le terrain, Himmler faillit réussir.Dans les mémoires, il en allait tout autrement.Egon Kellerman et Jakob Osterlin, pauvres « malgré nous » enrôlés de force au début de la guerre, font partie de ces mémoires en fuite. Malheureusement, la connaissance a un prix. Dans le village de Gabrielle, le commando SS a fini par apprendre l'existence de cette dernière.La chasse est lancée.Elle ne pourra se terminer que par la mort de ceux qui savent.Le destin, là encore, va choisir ses victimes.Demain sera sans nous, certes, mais à partir de quand ?C'est aujourd'hui que tout se joue.Si la parole peut survivre à la mort, alors demain pourra parler à jamais.
Le dernier épisode de Magasin général, point final d’une exceptionnelle série à succès.Plus de maire à Notre-Dame-des-Lacs, plus de curé ou presque, Marie enceinte d’un père que personne ne connaît et les femmes du village prises d’une frénésie d’achats comme on n’en avait encore jamais vue… Le monde s’est-il mis à marcher sur la tête, là-bas au fin fond du Québec rural ? Est-ce là l’oeuvre du démon, le commencement de la fin ?Non, bien sûr, car ce qui imprègne avant tout chaque image, chaque scène, chaque dialogue et chaque personnage de ce spectaculaire dénouement en forme d’apothéose joyeuse, c’est le bonheur ! Loisel et Tripp ont manifestement pris un plaisir fou à mener jusqu’à son terme le destin de chacun des protagonistes de cette truculente histoire chorale à l’humour irrésistible, au fil des quelques mois de l’année 1928 où l’on passe des neiges profondes à la chaleur de l’été sur fond de retour des hommes de leur hivernage. On y apprendra, parmi bien d’autres surprises, ce qu’il advient du bateau du vieux Noël, ce qui tourmentait tant Réjean le jeune prêtre ou encore ce que cachait la grossesse inattendue de Marie… Et le village de Notre-Dame-des-Lacs, au terme de ce final enfiévré célébré comme il se doit par un grand feu de la Saint-Jean, entre à son tour dans la modernité.Près de deux ans et neuf albums après la mort de Félix, feu l’époux de Marie, qui marquait l’amorce de la saga, Magasin général est devenu un classique de la bande dessinée.Pour l’occasion, ce neuvième et dernier volume est enrichi d’un copieux bonus en forme de générique de fin, traité à la manière d’un album photo réunissant tous les acteurs de cette inoubliable et si attachante tribu.