Le 22 novembre 2000, à 20 heures, 2500 personnes attendent impatiemment l'arrivée de Ray Charles devant l'Olympia. Le concert s'annonce exceptionnel. Le roi de la soul, accompagné d'un orchestre de 32 musiciens, célèbre ses 70 ans, l'aube d'un nouveau millénaire, et rend hommage à la salle dans laquelle il fit ses débuts européens, en 1960. Jean-Pierre Grosz, son agent, son producteur et son ami depuis vingt-sept ans, a tout prévu dans les moindres détails : des caméras pour immortaliser l'événement; des techniciens pour enregistrer une heure quarante-cinq de musique en live. Ray Charles - Dernier blues à paris - mais, à 20h30, les portes du music-hall sont encore fermées. L'atmosphère devient tendue. La foule envahit les trottoirs, la police intervient et menace d'annuler le concert. Personne ne sait ce qui se passe. Et puis vient le moment où, sans aucune explication, le public peut, enfin, accéder à la salle. Jean-Pierre Grosz monte sur scène et annonce : « Ray Charles est là, mais, en raison d'un imprévu, il jouera sans son orchestre ». Privé de son ensemble, Ray Charles se produit alors avec un trio - basse, batterie, guitare - et en acoustique, ce qui ne lui était plus arrivé depuis cinquante ans, lorsqu'il jouait dans les clubs. Ce concert, est l'un des témoignages les plus magiques de toute la carrière du chanteur.
Groupe de cinq musiciens fondé par l'ex M83 Nicolas Fromageau. Mix de post-punk, de shoegaze et d'electro. Team Ghost va sortir son premier album Rituals le 18 mars 2013 via le nouveau label wSphere. L'album suit le lancement du single Dead Film Star, qui est sorti en EP le 3 décembre 2012. Team Ghost est un goupe composé de cinq musiciens fondé par l'ex M83 Nicolas Fromageau et Christophe Guérin. Ils ont commencé en tant que duo puis ont été rejoints par le compositeur français Benoit de Villeneuve en 2010, appuyés par une section rythme puissante avec Pierre Blanc à la basse et Félix Delacroix à la batterie. Leur EP de 2010, You Did Anything Wrong To Me, lancé par Sonic Cathedral, a été encensé par Pitchwork. NME a décrit leur combinaison de shoegaze, de postpunk, et d'électro par le terme colgaze. Paris semble avoir grandement influencé le groupe musicalement. Rituals a beau avoir des aspects pop, il s'agit aussi d'une traversée nocturne dans ce que la capitale a de plus troublant à offrir - l'exploration d'obsessions malsaines, de vices et de dysfonctionnements numériques au sein des splendeurs délavées des boulevards majestueux. Lorsqu'ils montent sur scène pour défendre leur univers intense, les musiciens prennent un plaisir immense, et comptent bien le prolonger et le diffuser le plus loin possible. Si Rituals atteint le succès qu'il mérite, le futur sera délicieusement noir pour Team Ghost - c'est là qu'ils se sentent bien.
Groupe de cinq musiciens fondé par l'ex M83 Nicolas Fromageau. Mix de post-punk, de shoegaze et d'electro. Team Ghost va sortir son premier album Rituals le 18 mars 2013 via le nouveau label wSphere. L'album suit le lancement du single Dead Film Star, qui est sorti en EP le 3 décembre 2012. Team Ghost est un goupe composé de cinq musiciens fondé par l'ex M83 Nicolas Fromageau et Christophe Guérin. Ils ont commencé en tant que duo puis ont été rejoints par le compositeur français Benoit de Villeneuve en 2010, appuyés par une section rythme puissante avec Pierre Blanc à la basse et Félix Delacroix à la batterie. Leur EP de 2010, You Did Anything Wrong To Me, lancé par Sonic Cathedral, a été encensé par Pitchwork. NME a décrit leur combinaison de shoegaze, de postpunk, et d'électro par le terme colgaze. Paris semble avoir grandement influencé le groupe musicalement. Rituals a beau avoir des aspects pop, il s'agit aussi d'une traversée nocturne dans ce que la capitale a de plus troublant à offrir - l'exploration d'obsessions malsaines, de vices et de dysfonctionnements numériques au sein des splendeurs délavées des boulevards majestueux. Lorsqu'ils montent sur scène pour défendre leur univers intense, les musiciens prennent un plaisir immense, et comptent bien le prolonger et le diffuser le plus loin possible. Si Rituals atteint le succès qu'il mérite, le futur sera délicieusement noir pour Team Ghost - c'est là qu'ils se sentent bien.
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras... En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline, comptabilisant un le score de 14 victoires, 2 défaites et un nul. Désormais à la retraite, il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band. Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie) Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 meilleurs guitaristes de blues de l'année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes. Récemment signé par Mascot Label Group, le Kris Barras Band s’apprête à sortir son nouvel album le 23 mars prochain et est prêt à tout pour le défendre sur scène et non pas sur un ring, pour le plus grand bien de nos oreilles...
« La plus excitante - et meilleure - signature Rough Trade des dernières années ». Même si les Anglais ne sont jamais à court de superlatifs, force est dire que Starcrawler n’est pas qu’un feu de paille : Ryan Adams, Sir Elton John, Dave Grohl et Gerard Way chantent leurs louanges, les décrivant comme un mélange des performances incendiaires des années 70 et du génie électrique des Stooges. Rien que ça ! Quatuor mené par Arrow de Wilde, fille de la photographe et réalisatrice américaine Autumn de Wilde et Aaron de Beachwood Sparks (batteur de Father John Misty, Tobias Jesso Jr et Ariel Pink entre autres), le groupe se formait il y a un an quand elle rencontrait Henri Cash au lycée. Peu après, les rues de Los Angeles leur amenèrent la section rythmique parfaite avec Austin Smith à la batterie et Tim Franco à la basse. Avec leurs riffs tapageurs et des rythmes tonitruants, ils ne rappellent rien de moins qu’un mélange des Cramps, des Yeah Yeah Yeahs, d’Alice Cooper et des New York Dolls. Enregistrés par Ryan Adams dans son studio Pax-Am, les dix titres de ce premier album éponyme prouvent que Starcrawler est bel et bien en train d'insuffler une seconde jeunesse au Rock'n'Roll. Prêts à prendre une claque ? « Emportés par la volcanique chanteuse Arrow de Wilde, nouvelle muse destroy d’Hedi Slimane, ces jeunes musiciens californiens dynamitent le rock pour se frayer leur chemin. ». Jalouse
« La plus excitante - et meilleure - signature Rough Trade des dernières années ». Même si les Anglais ne sont jamais à court de superlatifs, force est dire que Starcrawler n’est pas qu’un feu de paille : Ryan Adams, Sir Elton John, Dave Grohl et Gerard Way chantent leurs louanges, les décrivant comme un mélange des performances incendiaires des années 70 et du génie électrique des Stooges. Rien que ça ! Quatuor mené par Arrow de Wilde, fille de la photographe et réalisatrice américaine Autumn de Wilde et Aaron de Beachwood Sparks (batteur de Father John Misty, Tobias Jesso Jr et Ariel Pink entre autres), le groupe se formait il y a un an quand elle rencontrait Henri Cash au lycée. Peu après, les rues de Los Angeles leur amenèrent la section rythmique parfaite avec Austin Smith à la batterie et Tim Franco à la basse. Avec leurs riffs tapageurs et des rythmes tonitruants, ils ne rappellent rien de moins qu’un mélange des Cramps, des Yeah Yeah Yeahs, d’Alice Cooper et des New York Dolls. Enregistrés par Ryan Adams dans son studio Pax-Am, les dix titres de ce premier album éponyme prouvent que Starcrawler est bel et bien en train d'insuffler une seconde jeunesse au Rock'n'Roll. Prêts à prendre une claque ? « Emportés par la volcanique chanteuse Arrow de Wilde, nouvelle muse destroy d’Hedi Slimane, ces jeunes musiciens californiens dynamitent le rock pour se frayer leur chemin. ». Jalouse
LE 1er ALBUM DU PROTEGE DE BUDDY GUY, FABULEUX GUITARISTE HORS NORME DE 17 ANS ! Buddy Guy dit tout simplement de lui à Rolling Stone : « Un musicien de son calibre, on en croise un, une fois, au cours de sa vie ». En effet, le jeune homme possède déjà une riche et extraordinaire expérience ! Il débute à 3 ans et se produit à la TV à six ans reprenant « Twist and Shout » et depuis qu’il a huit ans c’est Buddy Guy qu’il la pris sous son aile. Aussi on a pu le découvrir en invité spécial du Buddy Guy Band sur les festivals de 2016 (Montreux, Jazz à Vienne...). Sullivan est une véritable éponge qui absorbe tout. Il a une incroyable capacité d’écoute et la chance d’évoluer avec de très grands artistes proches de lui et qui le guident comme son mentor Buddy Guy. Il a ainsi pu jouer avec le bassiste original de Jimi Hendrix, Biilly Cox, sur le Experience Hendrix Tour. Il a déjà partagé la scène avec des pointures comme Eric Clapton, Los Lobos, The Roots, Foo Fighters, ou encore Derek Trucks. Aussi le Washington Post le décrit comme le Clapton de sa génération ! L’album a été essentiellement enregistré au prestigieux Blackbird Studio de Nashville par Tom Hambridge. Aussi le backing band est constitué par les musiciens qui ont fait les albums de Buddy Guy réalisés avec Hambridge. Il s’agit du bassiste Michael Rhodes, du guitariste Rob McNelley ainsi que du clavier Reese Wynans, le vétéran qui officiait aux côtés de Stevie Ray Vaughan sur la période Double Trouble. Alors que le producteur Hambridge assure aussi la batterie. Si le blues est une histoire de Mojo, avec cet album, Sullivan en à revendre !
LE 1er ALBUM DU PROTEGE DE BUDDY GUY, FABULEUX GUITARISTE HORS NORME DE 17 ANS ! Buddy Guy dit tout simplement de lui à Rolling Stone : « Un musicien de son calibre, on en croise un, une fois, au cours de sa vie ». En effet, le jeune homme possède déjà une riche et extraordinaire expérience ! Il débute à 3 ans et se produit à la TV à six ans reprenant « Twist and Shout » et depuis qu’il a huit ans c’est Buddy Guy qu’il la pris sous son aile. Aussi on a pu le découvrir en invité spécial du Buddy Guy Band sur les festivals de 2016 (Montreux, Jazz à Vienne...). Sullivan est une véritable éponge qui absorbe tout. Il a une incroyable capacité d’écoute et la chance d’évoluer avec de très grands artistes proches de lui et qui le guident comme son mentor Buddy Guy. Il a ainsi pu jouer avec le bassiste original de Jimi Hendrix, Biilly Cox, sur le Experience Hendrix Tour. Il a déjà partagé la scène avec des pointures comme Eric Clapton, Los Lobos, The Roots, Foo Fighters, ou encore Derek Trucks. Aussi le Washington Post le décrit comme le Clapton de sa génération ! L’album a été essentiellement enregistré au prestigieux Blackbird Studio de Nashville par Tom Hambridge. Aussi le backing band est constitué par les musiciens qui ont fait les albums de Buddy Guy réalisés avec Hambridge. Il s’agit du bassiste Michael Rhodes, du guitariste Rob McNelley ainsi que du clavier Reese Wynans, le vétéran qui officiait aux côtés de Stevie Ray Vaughan sur la période Double Trouble. Alors que le producteur Hambridge assure aussi la batterie. Si le blues est une histoire de Mojo, avec cet album, Sullivan en à revendre !
Pour le 10ème anniversaire de sa sortie, cet album a été entièrement remasterisé et comporte en bonus le morceau inédit 'Seasons of Purgatory', composé et enregistré lors des sessions d'origine. Le DVD contient un documentaire 'Making of' de plus de 2h00, avec des interviews, des scènes filmées pendant les enregistrements. On y trouve également le concert complet donné lors du Thrash Domination en 2009 au Japon. Le vinyle a été passé de LP simple à un LP double afin d'optimiser le son. Heathen va sortir un nouveau disque studio en 2020, avec une tournée. Les thrashers de la Bay Area de Heathen sont toujours vivants et ils le prouvent avec la sortie de leur nouvel album, The Evolution Of Chaos. Formé en 1984 HEATHEN est un groupe de Metal natif de la baie de San Francisco (Californie). Le groupe se démarque des autres combos par ses riffs précis et ravageurs et ses mélodies harmoniques. HEATHEN est inspiré par les groupes de Rock des séventies comme Rainbow et Nwobhm et par les premières vagues de thrash métal (Metallica, Exodus). Il aura fallu attendre prés de 6 ans pour que HEATHEN donne suite à son précèdent album Recovered paru en 2004 et qui contient des reprises de titres de Queen, Thin Lizzy, Tygers Of Pan Tang et Sweet Savage. The Evolution Of Chaos enregistré en Californie contient 10 Titres originaux de Thrash Metal. Le groupe de San Francisco est actuellement composé de Lee Altus (guitariste chez Exodus), Kragen Lum (guitariste chez Prototype), Dave White (chant), John Torres (bassiste chez Angel Witch) et Darren Minter à la batterie.
Pour le 10ème anniversaire de sa sortie, cet album a été entièrement remasterisé et comporte en bonus le morceau inédit 'Seasons of Purgatory', composé et enregistré lors des sessions d'origine. Le DVD contient un documentaire 'Making of' de plus de 2h00, avec des interviews, des scènes filmées pendant les enregistrements. On y trouve également le concert complet donné lors du Thrash Domination en 2009 au Japon. Le vinyle a été passé de LP simple à un LP double afin d'optimiser le son. Heathen va sortir un nouveau disque studio en 2020, avec une tournée. Les thrashers de la Bay Area de Heathen sont toujours vivants et ils le prouvent avec la sortie de leur nouvel album, The Evolution Of Chaos. Formé en 1984 HEATHEN est un groupe de Metal natif de la baie de San Francisco (Californie). Le groupe se démarque des autres combos par ses riffs précis et ravageurs et ses mélodies harmoniques. HEATHEN est inspiré par les groupes de Rock des séventies comme Rainbow et Nwobhm et par les premières vagues de thrash métal (Metallica, Exodus). Il aura fallu attendre prés de 6 ans pour que HEATHEN donne suite à son précèdent album Recovered paru en 2004 et qui contient des reprises de titres de Queen, Thin Lizzy, Tygers Of Pan Tang et Sweet Savage. The Evolution Of Chaos enregistré en Californie contient 10 Titres originaux de Thrash Metal. Le groupe de San Francisco est actuellement composé de Lee Altus (guitariste chez Exodus), Kragen Lum (guitariste chez Prototype), Dave White (chant), John Torres (bassiste chez Angel Witch) et Darren Minter à la batterie.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story