Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
La talentueuse singer-songwriter anglaise Laura Marling présente à seulement 25 ans son cinquième album. Un album majestueux et intense, qui s'offre comme une véritable renaissance dans la discographie déjà riche de cette musicienne prodigue. Installée depuis quelques années à Los Angeles, elle rompt tout au long de ses 13 titres écrits à Joshua Tree avec le folk purement acoustique de ses débuts pour explorer des contrées musciales vastes, audacieuses et surtout plus électriques, rappelant PJ Harvey, à l'image du premier single ‘'False Hope ou encore du très beau ‘'Gurdijeff's Daughter Afin de démystifier la production, Laura a produit elle-même ‘'Short Movie, entourée de deux ingénieurs du son, Matt Ingram (qui joue également de la batterie) et Dan Cox. Une expérience qu'elle qualifie “d'agréable, mais angoissante. Pour l'enregistrement, qui s'est déroulé aux Urchin Studios à Londres, elle était accompagnée au violoncelle de son ancien collaborateur, Ruth De Turberville, de Nick Pini à la basse et de Tom Fiddle de Noah and the Whale. Le résultat est un album d'une beauté sidérante, reflet d'une période de vaste exploration pour Laura Marling, résolument unique dans le paysage musical actuel.
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l'album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d'anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s'était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l'alchimie fonctionne entre ces musiciens d'exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
La chanteuse et musicienne franco-brésilienne Dom La Nena revient deux ans après son premier album acclamé ‘’Ela’’, paru début 2013 sur Six Degrees, et un an après son featuring avec Rosemary Standley (Moriarty) pour le très beau projet ‘’Birds On Wire’’, avec son nouvel album ‘’Soyo’’, sortant le 29 juin 2015. Dans la lignée du précédent, l’artiste nous livre une pop fragile et aérienne dans le sillon de son collaborateur Piers Faccini. ‘’Soyo’’ a été entièrement composé par la musicienne, avec l’aide de son alter ego Marcelo Camelo (ex Los Hernanos). Les chansons de l’album sont ressorties avec un éclat nouveau, qui doit notamment beaucoup aux touches apportées par Camelo. Apposant de fines couches de percussions et de batterie, le musicien a contribué à donner une âme et une respiration plus brésiliennes à la musique de Dom La Nena. Avec ‘’Soyo’’, Dom La Nena affirme son identité musicale. Endossant chacune des parties vocales et instrumentales, elle a enrobé le corps de ses chansons de choeurs aériens et d’arrangements déposés à fines touches. Fidèle au violoncelle, avec lequel elle a un peu relâché le lien sans le rompre, et au piano, elle a aussi invité dans sa danse intime de petites percussions et – fait nouveau – des guitares électriques.
Le jeune groupe de Nîmes VSO formé il y a tout juste 4 ans se fait connaître de la scène indépendante du sud de la France en remportant à plusieurs reprises des tremplins locaux et nationaux comme le Buzz Booster (qui notamment avait fait émerger Némir en 2011). Leur originalité naît de leur spontanéité et de leur sincérité, leur rap intrigue et séduit par le choix de prods hors ADN pur rap : ils n’hésitent pas à intégrer de la batterie des guitares et des basses qu’ils s’amusent à jouer eux même dans leurs morceaux. Le trio VSO (Vincent, Rémi & Sylvain), amis de longue date avec Maxenss, comédien / humoriste / YouTubeur le plus prisé du moment qui lui aussi est originaire de Nîmes (collaborations multiples avec Squeezie, Seb La Frite, il intègre le cercle de l’application 'Vertigo' comme créateur de contenu) enregistrent et tournent ensemble fin 2016 le titre clippé de 'Hello haters'. Conscients du potentiel de ce titre, ils attendent mai 2017 pour le rendre public et poussent leur collaboration sur la création d’un 1er EP de 9 titres intitulé « Southcoaster ». Le clip disponible sur les chaines Youtube de Maxenss et de VSO qui eux démarraient de 0 abonné, cumule aujourd’hui plus de 1 070 000 vues. En attendant la sortie de leur premier EP le 27 octobre, le groupe a de la ressource et décide de mettre en image les dessous de leur collaboration à 4 en publiant une web-série en 4 épisodes appelée 'Warm up - les chroniques de Southcoaster'.
Groupe de Rock anglais créé en 2009, se compose de Luke Spiller au chant, Adam Slack à la guitare, Jed Elliott à la basse et Gethin Davies à la batterie. Adulé notamment pour leurs performances scéniques exceptionnelles, le groupe n'a pas arrêté de tourner depuis sa création. Ils ont notamment ouvert pour des groupes comme The Who, Guns N' Roses, The Killers ou encore The Rolling Stones au Stade de France en 2014. Cette année ils s'offrent la première partie de la tournée mondiale des Foo Fighters. Dave Grohl (leader des Foo Fighters) a même déclaré que The Struts était le meilleur groupe qu'ils aient jamais eu en première partie de leurs concerts. Leur musique mélange le rock indépendant et le glam rock. Ils se disent influencés pas de grands noms du rock comme Queen, The Kinks, Aerosmith, Supergrass ou encore Rolling Stones. The Struts a su trouver son propre style autant sur scène que sur CD. Leur premier album 'Everybody Wants' en est la preuve. Sorti en 2014, on y retrouve les titres phares du groupe comme 'Kiss This', 'Put Your Money On Me' ou encore 'Could Have Been Me'. Le groupe compte aujourd'hui plus d'un million de vues sur Youtube ! Ils reviennent avec un tout nouvel album Young & Dangerous. Il comprend le titre 'Body Talks' en version originale et avec une version alternative en duo avec la chanteuse Kesha.
River : The Joni Letters est l'hommage d'Herbie Hancock à Joni Mitchell. Herbie Hancock (piano), Wayne Shorter (saxophones soprano et ténor), Dave Holland (contrebasse), Vinnie Colaiuta (batterie), Lionel Loueke (guitare). Produit et arrangé par Larry Klein and Herbie Hancock. Avec Norah Jones, Joni Mitchell, Tina Turner, Feist, Luciana Souza, Leonard Cohen et Corinne Bailey Rae. Le quintet de Miles, les années Blue Note, Head Hunters, Rock-it, Jazzmatazz.... Herbie Hancock a traversé les époques et les courants musicaux en laissant derrière lui des chefs d'oeuvres intemporels. Vénéré par les amateurs de funk, de soul, de hip hop ou de jazz il est aujourd'hui une véritable légende vivante. Joni Mitchel est considérée comme une des plus grandes folk singer contemporaine. La beauté de ses textes et la richesse harmonique de ses musiques ont séduit bon nombre d'artistes comme Björk, Caetano Veloso, Elvis Costello, Prince, Wayne Shorter, Brad Meldhau (qui lui ont rendus un hommage discographique en ce début d'année). Joni Mitchell et Herbie Hancock tout comme Miles Davis, Wayne Shorter, Pablo Picasso et d'autres grands artistes de notre temps, partagent un besoin incessant et profond de création. Ils ont toujours eu le désir et le besoin d'innover à chaque note. Ce disque en est la preuve.
Le nouveau Metallica frappe fort et juste. Le poing serré de la pochette de St Anger tient toutes ces promesses. Colérique à souhait, cet album sonne comme la délivrance d'un groupe dont les incessantes polémiques, depuis Load, avaient fini par user les différents membres. A tel point que le bassiste Jason Newsteed préféra partir plutôt que de rester sur ce navire attaqué de toute part, tandis que James Hetfield s'est vu contraint de passer quelques temps dans un centre de désintoxication. Mais finalement, ce qui ne tue pas renforce, et cette sainte colère des dieux du heavy est l'album le plus fort que les Metallica aient fait depuis bien longtemps. Alors oubliez les ballades, oubliez les morceaux acoustiques de Load, oubliez l'orchestre symphonique du SM, oubliez les grosses productions de Bob Rock, Metallica revient à cette époque où le succès ne les avait pas touchés (coulés ?), à cette époque ou ils répétaient dans leur garage sans contraintes ni pression. Cela se ressent sur l'ambiance de l'album. Les structures alambiquées des morceaux rappellent And Justice For All..., la rage de James Hetfield au chant nous ramène à l'époque Kill'em all tandis que le son de batterie de Lars Ulrich se montre plus percussif et moins clinquant qu'auparavant. Que dire du riff mitraillette de Frantic ?, de l'énergie du single St Anger ? Une fois de plus, les quatre musiciens de la Bay Area surprennent. Qu'on se le dise, personne ne dicte sa loi à Metallica...sans risquer de provoquer une colère apocalyptique.
L'un de ses deux nouveaux projets, célébration des femmes qui ont bouleversé le cours de l'histoire à travers la figure emblématique d'Oum Kalthoum, véritable monument de l'histoire du peuple arabe, qu'Ibrahim a beaucoup écouté depuis son enfance. N'étant moi-même pas chanteur, j'essaie à travers mon instrument de transmettre cet amour que j'ai pour un art finalement extrêmement peu pratiqué, celui de Tarab. C'est évidemment très complexe de tenter d'expliquer ce qu'est le Tarab en musique, puisque c'est une émotion, une sensation d'extase, un art de vivre heureux, alors il m'a semblé plus judicieux de tenter une expérience, un exercice de style, celui de la traduction musicale. Avec le pianiste Frank Woeste nous avons transcrit dans un jazz assez conventionnel, mais nous l'espérons innovant de par son métissage, l'un des plus grands succès de la diva égyptienne : Alf Leila Wa Leila ( Les Mille et une Nuits). Ces mélodies arabes que nous reprenons, bien que fondamentalement traditionnelles, se mélangent très facilement aux harmonies, et aux rythmes du jazz new yorkais. Le point commun entre ces deux cultures musicales est l'improvisation, et c'est sur ce terrain que s'inscrit le dialogue. C'est le dénominateur commun qui rend l‘échange possible. Enregistré et mixé à New York avec la même équipe que l'album Wind (2011) qui était un hommage à Miles Davis, c'est en toute logique que j'ai envisagé Kalthoum comme une continuité de cette belle aventure discographique avec Larry Grenadier (Contrebasse), Clarence Penn (Batterie), Mark Turner (Saxophone) et Frank Woeste (piano).