Inspiré de l'éclipse solaire de 2017, ce nouveau disque de John Hiatt est un bijou de blues rock. John Hiatt a annoncé que son nouvel album, The Eclipse Sessions, sortira le 12 octobre sur New West Records. John Hiatt a écrit ce disque pendant l'éclipse solaire de 2017 et toute l'ambiance et l'atmosphère du disque s'en ressentent. Pour ce disque, John Hiatt s'est entouré de Kevin McKendre qui a produit l'album. On retrouve en invité le batteur de longue date de Hiatt, Kenneth Blevins, et le bassiste Patrick O'Hearn, ainsi que Yates McKendree qui a travaillé en tant qu'ingénieur du son sur le disque. Entre blues et folk, ce nouvel album de Hiatt est dans la pure veine de ce qu'il sait faire, et Hiatt continue de creuser son sillon dans la musique blues-rock. Pour autant, cet album marque un retour aux sources pour Hiatt qui revient à un trio bass, batterie, guitare et qui explore le blues dans sa pure tradition. A la fois métamorphose et continuité ce premier disque en 4 ans, marque une nouvelle page pour le grand guitariste américain. POUR CEUX QUI AIMENT Tom Waits, Steve Earle, Bob Dylan
Connaissez-vous, BNQT, le nouveau super-groupe indie conçu et emmené par Eric Pulido de Midlake? Le concept de BNQT (prononcer Banquet) est venu à Pulido pendant la tournée de l’album Antiphon de Midlake, en 2013 : réunir un certain nombre d'artistes contrastés mais complémentaires avec lesquels il avait partagé la scène et établir un environnement dans lequel ils pouvaient collaborer. Ce premier album comporte 10 chansons originales où chaque ‘collaborateur’ a écrit et chanté deux morceaux. On retrouve donc Ben Bridwell (Band of Horses), Alex Kapranos (Franz Ferdinand), Fran Healy (Travis), Jason Lytle (Grandaddy,) et Pulido – ainsi que les autres membres de Midlake : McKenzie Smitn (batterie), Joey McClellan (guitare) and Jesse Cnandler (clavier) qui prêtent leurs voix pour des choeurs. ‘Volume 1’ a été enregistré et produit pour la majeure partie dans le studio de Midlake à Denton, dans le Texas. Aussi curieux qu’attractif, le travail résultant est de bon goût et plein de surprises ! Pour les fans de : Midlake, Band Of Horses, Franz Ferdinand, Travis, Grandaddy
Madlib a toujours été très occupé mais l'année 2010 sera certainement son année la plus ambitieuse à ce jour. Il y a d'abord ces productions rap pour Strong Arm Steady, Guilty Simpson et MED mais aussi ces 12 albums et mixes de la série Medicine Show sur son propre label Madlib Invazion. Il y a bien sûr ces rumeurs d'un nouveau Madvillain, d'un nouveau Quasimoto et d'un réel premier album en tant que Madlib... et il y a enfin The Last Electro-Acoustic Space Jazz & Percussion Ensemble ! Derrière ce nom a rallonge se cache la nouvelle expression jazz de Madlib dans la continuité de feu le Yesterdays New Quintet et de l'album Yesterdays Universe. Encore un fois Madlib se démultiplie pour incarner un groupe rendant hommage à ses héros jazz 60s et 70s à travers une multitude de reprises ou morceaux inspirés par des artistes célèbres (Roy Ayers, Pharoah Sanders, John Coletrane) et cultes (Phil Ranelin, Harry Whitaker). Avec ses Moog, sitar, vibraphone, accordéon, flûte, orgue, percussions, basse, batterie, synthé... Miles Away est un album qui ne pouvait sortir que du cerveau du crate-digger Otis Jackson Jr aka Madlib maître du Beat Konducta ! Edition limitée
APRES 22 ANS D’ABSENCE, LE GROUPE CULTE EST DE RETOUR AVEC UN DES ALBUMS LES PLUS ATTENDUS DE L’ANNEE « un pur condensé de dream-pop et de shoegaze » Les Inrocks Après 22 ans d’absence, Slowdive revient avec l’album ‘Star Roving’ à sortir chez Dead Oceans, sa première production musicale depuis les mythiques Souvlaki et Pygmalion de 1993 et 1995. Pendant leur séparation, les membres du groupe se tournent vers d’autres formations avant d’annoncer leur reformation tant attendue en 2014. Le morceau ‘Star Roving’, interprétée par Neil Halstead (chant, guitare, claviers), Christian Savill (guitare), Nick Chaplin (basse), Rachel Goswell (chant) et Simon Scott (batterie, synthétiseurs) illustre parfaitement la facilité que l’on connaît à Slowdive - plus le morceau avance, plus il s’étend et se rétracte dans un mouvement qui semble infini. Un nouvel album invitant les anciens et nouveaux fans à plonger dans les sonorités chamaniques du groupe anglais entre douce dream-pop et shoegaze Pour les fans de : Ride, My Bloody Valentine, The Jesus and Mary Chain, Spiritualized,Mazzy Star...
Les amateurs de hard rock mélodique des années 80 se rappellent très certainement du groupe suédois Treat. Originaire de Stockholm, cette talentueuse formation se fit apprécier dès son premier album, Scratch And Bites en 1985. Signé chez Mercury, le groupe proposait un hard-rock mélodique intelligent et signait quelques belles pépites comme le hit Get You On The Run. Le groupe peut se rapprocher de Starbreaker ou encore Token. Le nouvel album du groupe survient après le retour en grâce de 2010, à l’occasion duquel la formation avait reçu les louanges de la presse spécialisée. Il est comme un hommage en cinémascope aux légendes du rock qui ont influencé le groupe à ses débuts : Kiss, Van Halen, Sweet, Deep Purple et UFO. La production est très bien ficelée, avec une belle production, des parties de guitares ciselées, une batterie dynamique, des claviers équilibrés et une basse qui pulse ! Les refrains sont accrocheurs, que ce soit dans les titres aux rythmes effrénés ou dans les balades langoureuses. Bref, Treat allie le feu et la glace, du gros son et des mélodies et refrains imparables ! Le rock n’est pas mort, et Treat le prouve avec un excellent nouvel album !
Le label Cam Jazz a enregistré au cours de l'été 2010 l'un de leurs artistes fétiches, le pianiste Enrico Pieranunzi, en concert au club historique du Village Vanguard à New York. A ses côtés, deux vieux compagnons de route, complices et remarquablement soudés : le regretté Paul Motian à la batterie et le contrebassiste Marc Johnson. Dans ce lieu si particulier et chargé d'histoire, les trois musiciens forment les sommets d'un triangle parfaitement équilatéral. Le discours musical est soutenu mais remarquablement subtil et équilibré, et Pieranunzi a trouvé deux partenaires idéaux pour enluminer son style rigoureux à la vitalité et à l'inventivité permanentes. Motian, notamment, est un coloriste hors pair; indubitablement, il a laissé un grand vide dans le monde du jazz. Quatre compositions personnelles et quatre standards (thèmes de Monk, Nino Rota, Rodgers and Hart, Konitz) forment un programme varié pour ces musiciens qui n'ont plus rien à prouver. Ces huit titres confirment le statut de grand maître du pianiste italien, dans la lignée de Bill Evans, McCoy Tyner ou Lennie Tristano.
Inspiré de l'éclipse solaire de 2017, ce nouveau disque de John Hiatt est un bijou de blues rock. John Hiatt a annoncé que son nouvel album, The Eclipse Sessions, sortira le 12 octobre sur New West Records. John Hiatt a écrit ce disque pendant l'éclipse solaire de 2017 et toute l'ambiance et l'atmosphère du disque s'en ressentent. Pour ce disque, John Hiatt s'est entouré de Kevin McKendre qui a produit l'album. On retrouve en invité le batteur de longue date de Hiatt, Kenneth Blevins, et le bassiste Patrick O'Hearn, ainsi que Yates McKendree qui a travaillé en tant qu'ingénieur du son sur le disque. Entre blues et folk, ce nouvel album de Hiatt est dans la pure veine de ce qu'il sait faire, et Hiatt continue de creuser son sillon dans la musique blues-rock. Pour autant, cet album marque un retour aux sources pour Hiatt qui revient à un trio bass, batterie, guitare et qui explore le blues dans sa pure tradition. A la fois métamorphose et continuité ce premier disque en 4 ans, marque une nouvelle page pour le grand guitariste américain. POUR CEUX QUI AIMENT Tom Waits, Steve Earle, Bob Dylan
Connaissez-vous, BNQT, le nouveau super-groupe indie conçu et emmené par Eric Pulido de Midlake? Le concept de BNQT (prononcer Banquet) est venu à Pulido pendant la tournée de l’album Antiphon de Midlake, en 2013 : réunir un certain nombre d'artistes contrastés mais complémentaires avec lesquels il avait partagé la scène et établir un environnement dans lequel ils pouvaient collaborer. Ce premier album comporte 10 chansons originales où chaque ‘collaborateur’ a écrit et chanté deux morceaux. On retrouve donc Ben Bridwell (Band of Horses), Alex Kapranos (Franz Ferdinand), Fran Healy (Travis), Jason Lytle (Grandaddy,) et Pulido – ainsi que les autres membres de Midlake : McKenzie Smitn (batterie), Joey McClellan (guitare) and Jesse Cnandler (clavier) qui prêtent leurs voix pour des choeurs. ‘Volume 1’ a été enregistré et produit pour la majeure partie dans le studio de Midlake à Denton, dans le Texas. Aussi curieux qu’attractif, le travail résultant est de bon goût et plein de surprises ! Pour les fans de : Midlake, Band Of Horses, Franz Ferdinand, Travis, Grandaddy
Un rock musclé, excitant et plein d'amour, dont les riffs agissent comme un remède. Le tout chanté en Français ! Corridor est un groupe de Montréal et Junior, son premier album à paraître via Sub Pop / Bonsound, a été fait hier. à peine quelques jours après avoir signé ses contrats, le groupe de rock'n'roll entrait en studio, courant contre la montre pour créer l'album le plus éblouissant, le plus spontané et le plus audacieux de sa jeune carrière : 39 minutes de fléchettes et d'esquives de guitares, d'harmonies vocales en spirale, empreintes de la nostalgie complexe d'un dimanche après-midi. Corridor n'en est pas à son premier rodéo. Junior est le troisième long jeu du groupe, qui comme les deux précédents, a été enregistré avec leur ami, réalisateur Emmanuel Ethier. Deux voix, deux guitares, une basse, une batterie : l'intemporalité du set-up de Corridor délivrant une musique musclée, excitante et pleine d'amour, dont les riffs agissent comme un remède. Junior est une joie, un miracle précipité, parce que c'est tellement amusant à écouter. Puisque cet album dure 39 minutes et qu'il y a 24 heures dans une journée, vous pouvez l'écouter 36 fois d'ici demain.
Un rock musclé, excitant et plein d'amour, dont les riffs agissent comme un remède. Le tout chanté en Français ! Corridor est un groupe de Montréal et Junior, son premier album à paraître via Sub Pop / Bonsound, a été fait hier. à peine quelques jours après avoir signé ses contrats, le groupe de rock'n'roll entrait en studio, courant contre la montre pour créer l'album le plus éblouissant, le plus spontané et le plus audacieux de sa jeune carrière : 39 minutes de fléchettes et d'esquives de guitares, d'harmonies vocales en spirale, empreintes de la nostalgie complexe d'un dimanche après-midi. Corridor n'en est pas à son premier rodéo. Junior est le troisième long jeu du groupe, qui comme les deux précédents, a été enregistré avec leur ami, réalisateur Emmanuel Ethier. Deux voix, deux guitares, une basse, une batterie : l'intemporalité du set-up de Corridor délivrant une musique musclée, excitante et pleine d'amour, dont les riffs agissent comme un remède. Junior est une joie, un miracle précipité, parce que c'est tellement amusant à écouter. Puisque cet album dure 39 minutes et qu'il y a 24 heures dans une journée, vous pouvez l'écouter 36 fois d'ici demain.
Pottery est le meilleur band que vous ne pouvez pas écouter parce que les membres refusent de sortir leur album - Vice Canada. Et bien ça y est ! Découvrez leur tout premier album. Les 11 chansons de Welcome to Bobby's Motel, le premier album de Pottery, ne vous invitent pas seulement à bouger votre corps, elles vous l'imposent. Fusionnant une énergie téméraire avec une précision minutieuse, le disque est à la fois post-punk, art-pop et acid trip, faisant allusion à tout ce qui va de Devo à Gang of Four, tout en parcourant avec audace les genres et les décennies. La musique est animée par une batterie explosive et des riffs de guitares décalés qui s'incrustent dans votre cerveau, accentués par des grooves profonds et funky ainsi que des chants entraînants. La production est tout aussi brute et sauvage, suggérant un air d'anarchie qui dément l'architecture soignée et la construction méticuleuse de la musique. Le résultat est un album rempli de performances ambitieuses et complexes qui dégagent à la fois joie et chaos, une collection qui est alternativement virtuose, chaotique et amusante. Welcome To Bobby's Motel est une invitation à se libérer, à se déconnecter, à se laisser aller, délivrée par un groupe de rock and roll qui veut juste vous voir danser.
Pottery est le meilleur band que vous ne pouvez pas écouter parce que les membres refusent de sortir leur album - Vice Canada. Et bien ça y est ! Découvrez leur tout premier album. Les 11 chansons de Welcome to Bobby's Motel, le premier album de Pottery, ne vous invitent pas seulement à bouger votre corps, elles vous l'imposent. Fusionnant une énergie téméraire avec une précision minutieuse, le disque est à la fois post-punk, art-pop et acid trip, faisant allusion à tout ce qui va de Devo à Gang of Four, tout en parcourant avec audace les genres et les décennies. La musique est animée par une batterie explosive et des riffs de guitares décalés qui s'incrustent dans votre cerveau, accentués par des grooves profonds et funky ainsi que des chants entraînants. La production est tout aussi brute et sauvage, suggérant un air d'anarchie qui dément l'architecture soignée et la construction méticuleuse de la musique. Le résultat est un album rempli de performances ambitieuses et complexes qui dégagent à la fois joie et chaos, une collection qui est alternativement virtuose, chaotique et amusante. Welcome To Bobby's Motel est une invitation à se libérer, à se déconnecter, à se laisser aller, délivrée par un groupe de rock and roll qui veut juste vous voir danser.
Les parcours individuels d’Andy Emler, Claude Tchamitchian et Eric Echampard les placent parmi les musiciens français, voire européens, les plus reconnus. Vrai trio interactif où la musique s’élabore et se joue en commun, cet ensemble se situe à la croisée de genres musicaux riches et divers : chambriste contemporain, minimaliste, d’énergie rock et de liberté d’improvisation jazzistique, c’est une musique mûrie, aboutie et d’une finesse d’arrangement et d’architecture timbrale remarquables. Le tout possède un son unique et une dynamique créative propre, servie par trois musiciens accomplis et hors normes. ETE, pour les intimes... et les autres, trace sa voie et ouvre des perspectives nouvelles dans l’approche du trio piano, basse, batterie dont le monde du jazz est immensément riche. Cette année ce trio, salué par la presse et les publics en France et à l’étranger (tournées multiples dans les pays baltes, concerts en Allemagne et en Angleterre...) fête ses 10 ans avec ce nouvel album. Trois albums en 10 ans, c’est là l’affirmation d’un investissement musical réfléchi qui répond à une nécessité artistique essentielle pour ce trio qui continue à habiter un territoire où la musique se déploie sans retenue, ni codes. Une musique de musiciens pour toutes les oreilles ouvertes...
Joachim Kühn, ténor du piano jazz, au jeu à nul autre pareil poursuit depuis déjà quatre albums son chemin musical avec deux musiciens dont les différences rendent la rencontre exceptionnelle. Trois hommes habités par la musique nous invite une nouvelle fois à partager leur conversation musicale, amicale, chaleureuse, dans laquelle chacun apporte ses fondamentaux. L'association entre le jeu fougueux du pianiste improvisateur et les mélodies marocaines et radieuses de Majid Bekkas est une vraie réussite. Le guembri, merveilleux instrument à cordes traditionnel qui remplace ici la contrebasse, s'intègre parfaitement au coeur d'un projet de jazz créatif. Ramon Lopez, l'homme batterie, dont le sang espagnol coule dans les veines, fait corps avec son instrument et contribue à l'énergie fusionnelle qui circule tout au long de l'album. Don musical, don de soi : les trois s'amusent, jouent au sens premier du terme; alternance des notes qui se télescopent, s'entrechoquent, se bousculent, modulations de la voix ou bien solo de guembri de Majid Bekkas : l'espace s'emplit d'une respiration naturelle. Un moment d'une grande intensité, renforcé par la présence d'Archie Shepp sur trois titres.
Le premier album studio du groupe Green River maintenant disponible en CD et vinyle ! L'histoire de la montée du rock à Seattle à la fin des années 80 et début 90 commence avec Green River. Composé de Jeff Ament (basse), Mark Arm (guitare / voix), Bruce Fairweather (guitare), Stone Gossard (guitare) et Alex Shumway (batterie), le quintet a sorti trois 12'' et un 7' pendant sa brève existence. Mais l'influence de Green River sur la scène musicale de Seattle s'est largement répandue, grâce à la dispersions des membres dans des groupes tels que Pearl Jam, Mudhoney et Love Battery, ainsi que les chansons punk-glam-sludgerock qu'ils ont laissés derrière eux. Green River, formé en 1984, chevauchait de nombreux genres différents : blues, punk, rock... Le LP Rehab Doll, sorti en 1988, a été publié en un seul CD, avec quelques bonus - mais était indisponible en format vinyle pendant des années. La place de Green River dans l'histoire de la musique américaine est indiscutable, mais ces enregistrements brossent un tableau plus complet du groupe et du rock entre le milieu et la fin des années 80, alors que les idéaux plus rapides et plus forts du punk étaient en train de changer de forme.
Considéré comme l'un des plus grands musiciens de rock progressif (Prog) au monde, Neal Morse est une artiste prolifique et son désir de faire bouger les gens à travers sa musique est plus vif que jamais. Jesus Christ the Exorcist est un projet monumental dans la discographie déjà impressionnante de Neal Morse : c'est un opéra de rock progressif qu'il a écrit et produit en l'espace de 10 ans. Il rassemble les performances de Neal et un panel de chanteurs et de musiciens incroyables comme Ted Leonard, Eric Gillette, Nick D'Virgilio, Randy George, Bill Hubauer, Matt Smith, et d'autres. Jesus Christ the Exorcist propose environ deux heures de musique qui couvrent tous les spectres et tous les genres pour lesquels Neal Morse est connu et qui, bien sûr, raconteront l'Histoire de toutes les histoires. Cet opéra rock progressif est un événement marquant dans l'histoire de la musique prog. JESUS CHRIST THE EXORCIST, a été joué en avantpremière mondiale en 2018 par un ensemble de musiciens Prog Rock composé de Neal Morse (piano, guitare), Paul Bielatowicz (guitare), Bill Hubauer (piano), Randy George (basse) et Eric Gillette (batterie).
Le premier album studio du groupe Green River maintenant disponible en CD et vinyle ! L'histoire de la montée du rock à Seattle à la fin des années 80 et début 90 commence avec Green River. Composé de Jeff Ament (basse), Mark Arm (guitare / voix), Bruce Fairweather (guitare), Stone Gossard (guitare) et Alex Shumway (batterie), le quintet a sorti trois 12'' et un 7' pendant sa brève existence. Mais l'influence de Green River sur la scène musicale de Seattle s'est largement répandue, grâce à la dispersions des membres dans des groupes tels que Pearl Jam, Mudhoney et Love Battery, ainsi que les chansons punk-glam-sludgerock qu'ils ont laissés derrière eux. Green River, formé en 1984, chevauchait de nombreux genres différents : blues, punk, rock... Le LP Rehab Doll, sorti en 1988, a été publié en un seul CD, avec quelques bonus - mais était indisponible en format vinyle pendant des années. La place de Green River dans l'histoire de la musique américaine est indiscutable, mais ces enregistrements brossent un tableau plus complet du groupe et du rock entre le milieu et la fin des années 80, alors que les idéaux plus rapides et plus forts du punk étaient en train de changer de forme.
Blackfield V est le résultat de l'étroite collaboration entre le compositeur et musicien Israélien Aviv Geffen, et le musicien et producteur Steven Wilson. Aviv Geffen a travaillé avec des producteurs légendaires tels que Tony Visconti et Trevor Horn; il a joué en live avec U2 et Placebo, et fait actuellement parti du jury de ‘The Voice' à la télévision israélienne. Steven Wilson, après une longue carrière comme leader du très influent groupe : Porcupine Tree, a rencontré un énorme succès dans sa carrière solo : n°3 au Top 40 des albums en Angleterre, Allemange et Hollande, ainsi que 4 nominations aux Grammy Awards. Ecrit et enregistré sur une période de 18 mois en Israël et en Angleterre, Blackfield V contient 13 titres d'une durée totale de 45 mn. En plus du duo aux chants, guitares et claviers, on retrouve Tomer Z à la batterie, Eran Mitelman au clavier. La plupart des arrangements symphoniques ont été réalisés par la session orchestrale de Londres. Blackfield V est un merveilleux voyage aux mélodies accrocheuses, aux arrangements divins, et à la production exceptionnelle. En effet, le grand Alan Parsons a contribué à la production de 3 des meilleurs morceaux de l'album. Lasse Hoile a réalisé l'illustration de la pochette en accord avec Carl Glover. Les deux musiciens considèrent Blackfield V comme leur meilleure collaboration à ce jour.
Ghostpoet fait peau neuve avec son troisième album. Après la sortie du cathartique et salvateur Some Say I So I Say Light paru en 2013, Obaro Ejimiwe a.k.a. GHOSTPOET va de l'avant avec un nouvel album qui sonne comme un retour aux sources, mais aussi un nouveau départ. À bien des égards, Shedding Skin évoque le premier album de GHOSTPOET sorti en 2011 et nommé au Mercury Prize, Peanut Butter Blues & Melancholy Jam. Cependant il diffère de ce dernier en ce qu'il a été enregistré très vite, avec le groupe qui accompagne GHOSTPOET sur scène : Joe Newman à la guitare, John Blease à la batterie et John Calvert à la basse, qui a également coproduit l'album au côté de Ejimiwe. A ceux-ci viennent s'ajouter de nombreuses collaborations qui colorent l'album, parmi lesquelles celles des chanteurs Lucy Ross, Etta Bond (magnifique sur Yes, I Helped You Pack), Nadine Shah, Melanie de Biasio, et Paul Smith, chanteur de Maxïmo Park. En abordant des thèmes qui le touchent personnellement, GHOSTPOET a voulu les traduire d'un point de vue universel avec pour but de transmettre ce message : quelque soient les difficultés de la vie, rien n'est impossible à qui souhaite accomplir de grandes choses. C'est en tout cas ce qu'il a appliqué avec Shedding Skin en réalisant un album cohérent et émouvant.
Blackfield V est le résultat de l'étroite collaboration entre le compositeur et musicien Israélien Aviv Geffen, et le musicien et producteur Steven Wilson. Aviv Geffen a travaillé avec des producteurs légendaires tels que Tony Visconti et Trevor Horn; il a joué en live avec U2 et Placebo, et fait actuellement parti du jury de ‘The Voice' à la télévision israélienne. Steven Wilson, après une longue carrière comme leader du très influent groupe : Porcupine Tree, a rencontré un énorme succès dans sa carrière solo : n°3 au Top 40 des albums en Angleterre, Allemange et Hollande, ainsi que 4 nominations aux Grammy Awards. Ecrit et enregistré sur une période de 18 mois en Israël et en Angleterre, Blackfield V contient 13 titres d'une durée totale de 45 mn. En plus du duo aux chants, guitares et claviers, on retrouve Tomer Z à la batterie, Eran Mitelman au clavier. La plupart des arrangements symphoniques ont été réalisés par la session orchestrale de Londres. Blackfield V est un merveilleux voyage aux mélodies accrocheuses, aux arrangements divins, et à la production exceptionnelle. En effet, le grand Alan Parsons a contribué à la production de 3 des meilleurs morceaux de l'album. Lasse Hoile a réalisé l'illustration de la pochette en accord avec Carl Glover. Les deux musiciens considèrent Blackfield V comme leur meilleure collaboration à ce jour.
BLAENAVON, le jeune groupe anglais, sort son premier album, That’s Your Lot sur Transgressive. L’histoire du premier album de BLAENAVON est relativement simple : trois adolescents qui participent à un concours de talent dans leur école, qui publient ensuite leurs chansons sur internet, se ramassent littéralement lors de leurs premiers concerts, mais qui réussissent tout de même à se constituer une fanbase dévouée et se faire acclamer par la critique. BLANEAVON c’est un groupe qui, après 6 années d’existence et la jungle tumultueuse des études et des examens, des EPs et des sollicitations des maisons de disques, finit finalement par délivrer un premier album, somptueux, palpitant et courageux. Dans les paroles il est question de doute sur soi, de désir, d’indécision romantique, de la simple pureté de l’amour platonique mais aussi de l’hédonisme, de l’abandon et de la grandeur. Ben Gregory, le guitariste chanteur, est un talent lyrique remarquable tandis que Frank Wright et Harris McMillan fournissent à la basse et à la batterie l’épine dorsale de BLAENAVON : un son ambitieux et souvent majestueux Pour mener à bien son premier album, le groupe s’est fixé une vraie rigueur de travail en multipliant les répétitions et a travaillé avec le producteur Jim Abbiss (Arctic Monkeys, Adèle, Bombay Bicycle Club). Pour les fans de : Genghar, Local Natives, Foals, JAWS...
BLAENAVON, le jeune groupe anglais, sort son premier album, That’s Your Lot sur Transgressive. L’histoire du premier album de BLAENAVON est relativement simple : trois adolescents qui participent à un concours de talent dans leur école, qui publient ensuite leurs chansons sur internet, se ramassent littéralement lors de leurs premiers concerts, mais qui réussissent tout de même à se constituer une fanbase dévouée et se faire acclamer par la critique. BLANEAVON c’est un groupe qui, après 6 années d’existence et la jungle tumultueuse des études et des examens, des EPs et des sollicitations des maisons de disques, finit finalement par délivrer un premier album, somptueux, palpitant et courageux. Dans les paroles il est question de doute sur soi, de désir, d’indécision romantique, de la simple pureté de l’amour platonique mais aussi de l’hédonisme, de l’abandon et de la grandeur. Ben Gregory, le guitariste chanteur, est un talent lyrique remarquable tandis que Frank Wright et Harris McMillan fournissent à la basse et à la batterie l’épine dorsale de BLAENAVON : un son ambitieux et souvent majestueux Pour mener à bien son premier album, le groupe s’est fixé une vraie rigueur de travail en multipliant les répétitions et a travaillé avec le producteur Jim Abbiss (Arctic Monkeys, Adèle, Bombay Bicycle Club). Pour les fans de : Genghar, Local Natives, Foals, JAWS...
Guitares cinglantes, batterie puissante, le tout agrémenté d'une finesse d'écriture pop. Moaning relève la barre et délivre un rock indé de haute volée ! Que se passe-t-il lorsqu'un trio de rock abrasif troque ses guitares contre des synthés, accélère les rythmes et se penche sur l'anxiété quotidienne d'être un simple humain au XXIe siècle ? La réponse est Uneasy Laughter, le sensationnel deuxième album de Moaning, basé à Los Angeles. Le chanteur/guitariste Sean Solomon, le bassiste/clavièriste Pascal Stevenson et le batteur Andrew MacKelvie sont amis et co-conspirateurs au sein de la fertile scène DIY de L.A. depuis plus d'une décennie. Le premier album du groupe, sortie en 2018, présentait des chansons écrites pour la plupart en répétition ou déjà complètes. Il a été acclamé par Pitchfork, Stereogum et le Los Angeles Times, qui ont relevé que Moaning crée une musique angoissante pour une scène locale de plus en plus nerveuse. Sur Uneasy Laughter, ils ont relevé des défis à la fois personnels et universels en parlant de leurs sentiments et en canalisant ces émotions à travers leur musique. Nous nous connaissons depuis toujours et nous sommes très à l'aise pour essayer d'exprimer où nous en sommes. Beaucoup de groupes ne sont pas si proches selon MacKelvie.
Guitares cinglantes, batterie puissante, le tout agrémenté d'une finesse d'écriture pop. Moaning relève la barre et délivre un rock indé de haute volée ! Que se passe-t-il lorsqu'un trio de rock abrasif troque ses guitares contre des synthés, accélère les rythmes et se penche sur l'anxiété quotidienne d'être un simple humain au XXIe siècle ? La réponse est Uneasy Laughter, le sensationnel deuxième album de Moaning, basé à Los Angeles. Le chanteur/guitariste Sean Solomon, le bassiste/clavièriste Pascal Stevenson et le batteur Andrew MacKelvie sont amis et co-conspirateurs au sein de la fertile scène DIY de L.A. depuis plus d'une décennie. Le premier album du groupe, sortie en 2018, présentait des chansons écrites pour la plupart en répétition ou déjà complètes. Il a été acclamé par Pitchfork, Stereogum et le Los Angeles Times, qui ont relevé que Moaning crée une musique angoissante pour une scène locale de plus en plus nerveuse. Sur Uneasy Laughter, ils ont relevé des défis à la fois personnels et universels en parlant de leurs sentiments et en canalisant ces émotions à travers leur musique. Nous nous connaissons depuis toujours et nous sommes très à l'aise pour essayer d'exprimer où nous en sommes. Beaucoup de groupes ne sont pas si proches selon MacKelvie.
Le nouvel album des légendes du Reggae, The Gladiators ! Avec 14 titres mêlant des adaptations des classiques du groupe comme Jah Works ou Look is Deceiving et des nouvelles compositions toujours inspirées par le Roots Rock Reggae telles que Freeman ou le single We Are Not mais avec un son très actuel, le nouvel album des Gladiators prouve qu'ils sont encore dans l'arène pour défendre les couleurs de la culture Jamaicaine ! La trio vocal originel des Gladiators en 1967 se compose de Albert Griffiths, Errol Grandison et David Webber, ces deux derniers étant remplacés quelques années plus tard par Clinton Fearon et Gallimore Sutherland. En 2004, avec l'album Father and sons, Albert Griffiths annonce sa retraite en passant officiellement le flambeau à ses fils : Anthony qui officie déjà depuis plusieurs années à la batterie au sein du groupe et Al au chant, héritier direct de la voix et du charisme de son père. Formés durant leur jeunesse par Albert Griffiths cela fait aujourd'hui plus de dix ans qu'ils perpétuent avec succès le style qui a fait la renommée des Gladiators, tout en y apportant une fraîcheur et une dynamique nouvelle. Le prochain album du groupe Roots Legacy en est la parfaite illustration : le projet d'un artiste mûr, reprenant à la perfection quelques uns des titres d'Albert Griffiths et proposant de nouvelles compositions inédites du groupe.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
En pleine tournée avec Eiffel, France Culture contacte ROMAIN HUMEAU (chanteur/ auteur/ compositeur de Eiffel) pour lui proposer l'adaptation d'une oeuvre littéraire de son choix dans le cadre d'une émission sur la radio. Ce dernier choisit 'Vendredi ou les Limbes du Pacifique' de Michel Tournier. Le texte sera réduit par Pauline Thimonier et le récit confié à Denis Lavant qui nous fera pénétrer, avec sa voix unique, dans l'univers de Robinson. En parallèle de la musique instrumentale qu'il a écrite pour le récit, ROMAIN signe et interprète huit chansons qui font écho au texte. Le projet a été enregistré pour partie au studio des Romanos (le studio bordelais des HUMEAU) et dans les studios de la Maison de la Radio avec l'Orchestre National d'île de France et un groupe composé de ROMAIN et deux musiciens, Nicolas Bonnière, fidèle guitariste d'Eiffel et 'bidouilleur', ainsi que le nouveau venu Guillaume Marsault à la batterie. Le projet sera diffusé sur France Culture le dimanche 28 juin et une représentation publique aura lieu le 17 juillet dans le in du Festival d'Avignon, avec Denis Lavant, ROMAIN HUMEAU et les musiciens dans la cour du Musée Calvet. Un programme France Culture de 64' incluant 8 chansons originales et 17 instrumentaux écrits et composés par ROMAIN HUMEAU.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
L'immense groupe de Hard Rock Suisse fête ses 25 ans avec un nouvel album. 25 ans que le n°1 des groupes suisses enchante nos oreilles avec son hard rock mélodique... Souvent comparé à Deep Purple, Whitesnake, Foreigner voire Bryan Adams (excusez du peu), au fil des années, des disques tous certifiés or ou platine, et de longues tournées internationales, le groupe de Lugano a réussi à peaufiner son profil de formation à la fois énergique et classieuse. Désormais allié au chanteur Nic Maeder (qui a succédé à Steve Lee, tragiquement disparu en 2010), le guitariste Léo Léoni dompte ses guitares avec le métier qu'on lui connaît. Son remarquable touché de briscard plane sur l'ensemble de ce nouvel album. Sur les titres les plus dynamiques bien sûr comme ‘ Silver River ‘ ou le bien nommé ‘ Electrified ‘, mais aussi sur de sublimes mid-tempo comme ‘ Stay With me ‘, le premier single. L'autre atout GOTTHARD et de Silver est sans aucun doute la voix profonde de Nic qui s'impose définitivement sur l'ensemble de ses compositions indéniablement estampillées « classic rock », grâce au soutien d'une structure basse/batterie inébranlable, fruit de 25 ans de complicité entre Marc Lynn et Hena Habegger. « Silver » est plus qu'un disque anniversaire, aussi précieux que le métal dans lequel il est coulé, cet album représente 25 ans d'une carrière exemplaire qui ne semble pas prête de s'arrêter en si bon chemin... Le CD Digipack inclut des titres bonus.
On ne présente plus Eric Bibb. Sa notoriété s'est considérablement étendue en France (comme à travers le monde) ces dernières années et il est aujourd'hui l'un des artistes de blues et de folk music les plus représentatifs de la nouvelle génération. Eric Bibb montre la voie du futur et propose une vision totalement rafraichissante et créative des musiques populaires américaines originales. Eric est au sommet de son art en scène et tous ces concerts se terminent régulièrement par des standing ovations. Un concert d'Eric Bibb est quelque chose d'unique. La radio Fip a décidé de capturer deux de ces moments magiques, le 13 mars et le 2 décembre 2008, afin de les restituer au public sous forme de ce double digipak. Dans le concert qui figure sur le CD 1 Eric est accompagné de son groupe au complet (seconde guitare, basse, batterie), dans le concert qui figure du CD 2, il est accompagné de son batteur et d'Amar Sundy à la guitare électrique. Le CD 2 sera agrémenté d'un sujet vidéo de 20 minutes tourné sur les lieux du concert (live & interview). Ces enregistrements sont d'une qualité artistique et technique remarquable. Ils ont été mixés par l'un des meilleurs ingénieurs du son de Radio France avec un soin tout à fait particulier. Toute l'équipe de Fip a fait le maximum pour optimiser ces enregistrements et permettre une réussite totale. Ce LIVE À FIP fera date dans la carrière d'Eric Bibb. Il sera tout à la fois son LIVE ABSOLU ainsi qu'un BEST OF des meilleurs titres de ces quinze dernières années.
Joel Hoekstra, identifié par des millions de fans comme le guitariste actuel de Whitesnake, s’était déjà taillé une belle réputation dans le milieu rock grâce à son travail avec Night Ranger ou Trans Siberian Orchestra. Aujourd’hui, entouré d’un casting de toute première classe, il fait paraître chez Frontiers le premier album de son nouveau « side project », Joel Hoekstra’s 13. « Il y a quelques années, j’avais fait paraître trois albums solo principalement instrumentaux et axés sur la guitare. Mais mon souhait actuel était de réaliser cette fois un enregistrement plus élaboré en termes de production, d’arrangements et de composition, dans un genre pour lequel je suis davantage reconnu, le rock mélodique. C’est ainsi que j’ai créé mon propre groupe avec certains de mes musiciens favoris ». Avec à ses côtés des artistes de la trempe de Jeff Scott Soto (chant), Russell Allen (chant), Tony Franklin (basse), Vinny Appice (batterie) et Derek Sherinian (claviers), le guitariste a produit un album rock d’excellente facture, que l’on peut décrire comme la rencontre de Dio, pour les passages les plus « heavy », et de Foreigner, pour le côté plus « smooth ». Cet album, qui traite par ailleurs des grandes étapes de l’existence et de ses vicissitudes, a été conçu avant que Joel Hoekstra rejoigne Foreigner et a reçu le soutien entier de David Coverdale.
Le retour de Takana Zion avec son troisième album studio 'Rasta Government' s'annonce déjà comme le renouveau du Reggae Roots. Enregistré en Jamaïque avec l'élite des musiciens de Kingston : Sly Dunbar à la batterie, Sticky Thompson aux percussions, Robbie Linn aux claviers et la participation du grand Capleton. Si Takana Zion a pu saisir l'opportunité d'enregistrer avec Steven Stewart au studio 'Harry J', c'est grâce à une autre pointure de la musique jamaïquaine : Sam « Junior » Clayton des Mystic Revelation Of Rastafarï. Conseiller musical de Takana depuis trois ans et co-producteur du disque. On y retrouve une dizaine de morceaux cousus de fil roots, avec un son à la fois organique et moderne, comme cette guitare lumineuse sur «Give Thanks To Jah», ou les magnifiques envolées de cuivres sur « Rasta Gouvernement». La session de studio avec Capleton restera parmi les meilleurs souvenirs de son aventure jamaïquaine ( « The Glory »). Sur de nombreux autres morceaux, Takana combine des refrains entêtants et des textes engagés. Il insiste sur l'importance de ses messages : « Rise Up » incite à redresser la tête et à garder l'espoir en cette période de crise internationale, alors que « Rasta Gouvernement » plaide pour une nation qui réhabiliterait la fraternité et la liberté d'expression entre les citoyens, valeurs essentielles qui semblent s'estomper dans nos pays. Guinéen d'origine, ses concerts remplissent des stades en Afrique de l'Ouest. Il rend hommage à son dialecte natal le 'malinké' sur le morceau (« M'Bife »).
Soul Jazz Records réédite le deuxième album du légendaire Steve Reid, l'un de ses albums les plus profonds et radicaux, en édition LP et CD limitées. Rhythmatism est l'un des albums les plus profonds et radicaux de l'extraordinaire batteur et compositeur Steve Reid. Il joue accompagné de grand jazzmen tels que Arthur Blythe 'alias Black Arthur', Charles Tyler, David Wertman parmi d'autres. Steve Reid est né dans le sud du Bronx et a grandi dans le Queens à New York. Il a joué dans la formation du Harlem's Apollo Theatre, accompagnant James Brown, ainsi que dans Sun Ra's Arkestra. Il vivait à côté de John Coltrane, travaillait dans un grand magasin avec Ornette Coleman, avait un fils qui jouait de la batterie avec NWA. Il a commencé sa carrière dans les années 1960 comme batteur à Motown quand il a joué sur Martha et The Vandellas Heatwave, alors âgé de 14 ans. En 1974, il crée le Legendary Master Brotherhood et fonde le label indépendant Mustevic Sound pour sortir son premier album Nova en 1976. Cet album est publié ici dans son intégralité et avec une pochette originale complète. Rhythmatism est le deuxième d'une série de disques indépendants qu'il a sorti dans les années 1970. En tant qu'artiste de jazz radical, Steve Reid a joué avec un groupe extraordinaire d'artistes dont Miles Davis, Sun Ra, Fela Kuti, James Brown, Ornette Coleman, Lester Bowie, Freddie Hubbard...
Tim Armstrong (voix, guitare), Matt Freeman (basse, voix), Lars Frederiksen (voix, guitare) et Branden Steineckert (batterie) sont de retour avec leur neuvième album studio... Trouble Maker. Né en pleine crise économique de l’ère post-Reagan dans la baie de San Francisco, Rancid a vu le jour lorsqu’Armstrong et Freeman ont déménagé après la fin de leur premier groupe Operation Ivy. Rancid a donc repris le flambeau en tant que groupe local et a immédiatement enflammé la communauté revival punk, annonçant beaucoup de grandes choses à venir. Après avoir vu l’« American Dream » se dégrader et devenir obsolète pour leur pays, leur communauté et leur ville, Rancid décide d’évoquer ses conséquences à travers leurs chansons. Alors que leurs textes hissent toujours plus leurs identités dans le punk rock, leur musique incorpore des cornes, des lignes de basse rockabilly, des rythmes reggae, des grincements et de la distortion. Racontant leur vision personnelle des histoires d’amours qui tournent mal et de la rupture, Rancid construisent tout une communauté autour d’eux. Durant les deux dernières décennies, les membres de Rancid ont su se rendre compte de leur environnement changeant et se sont trouvés une nouvelle place en son sein, tout en ne perdant pas leurs places en tant qu’individualités ou en tant que groupe. Pour ceux qui aiment : The Clash, Bad Religion, The Sex Pistols, NOFX, Social Distortion, Black Flag
Fondé par STUART MCMILLAN et ORDE MEIKLE, DJs et producteurs de Glasgow connus sur scène sous le nom de SLAM, le légendaire label SOMA QUALITY RECORDINGS époustoufle par la qualité des noms qui gravitent autour de lui depuis les 20 dernières années. Bénéficiant désormais d'une réputation bien établie, SOMA constitue le label de dance le plus ancien au Royaume-Uni, et ne cesse de laisser des marques plus brillantes les unes que les autres dans l'électronique, faisant preuve d'un instinct naturel et d'une passion impérissables. Tout en se produisant mondialement en tant que DJs dans les lieux de dance les plus avant-gardistes du globe, ORDE et STUART continuent d'explorer et d'expérimenter les ressources de l'electro, cherchant ce qui fait crier, danser ou pleurer le public et ajoutant avec soin et talent de nouveaux noms à leur label. Nombreux sont par ailleurs ceux qui, après plusieurs cabrioles sur leurs dance floors, ont créé leur propre musique. Cela va du mouvement punk à l'acid house, du boogie de New York aux symphonies de Detroit ou encore l'electro minimale berlinoise. Parmi les révélations et les perles du label réunies sur cette fabuleuse compilation, on citera DAFT PUNK, dont les trois premiers EPs étaient parus sur SOMA, des morceaux de SLAM eux-mêmes, dont leur tout premier titre paru sur SOMA RECORDS et Positive Education, le mix de SAMUEL L SESSION par JORIS VOORN, l'un des tracks les plus importants au sein du label au cours des dix dernières années, ou encore celui du légendaire duo de DJ et producteurs GRAEME REEDIE et CRAIG MORRISON (aka SILICONE SOUL), paraissant sur SOMA depuis leur tout premier album il y a 13 ans. TRACKLISTING : DISC 1 - SOMA CLASSICS 01. Daft Punk - Drive [Unreleased 1994] 02. Scott Grooves (feat. Parliament / Funkadelic) Mothership Reconnection (Daft Punk Remix) 03. Silicone Soul - Right On, Right On 04. Slam - Azure (Part 1) 05. Funk D'Void - Diabla (Heavenly Mix) 06. Slam - Azure (Part 1) 07. The Black Dog - Cost II 08. Samel L Session - Can You Relate (Joris Voorn Flooding The Market with remixes) 09. Percy X - X-Trak 1 10. Desert Storm - Desert Storm 11. Slam - Eterna DISC 2 - SLAM DJ MIX 01. Slam - Groovelock (Deepchord Atmospheric Rebuild) 02. Eastmen - U Dog (Loco Dice Remix) 03. H-Foundation - Slayin' the Dragon (Klartraum Remix) 04. Hatikvah - In The Spirit (Rod Modell ? Deepchord Vector and Velocity Mix) 05. Slam - Human (Oxia Remix) 06. Silicone Soul - Right On, Right On (Nick Curly Remix) 07. Pablo - Turn The Page (Alex Under Remix) 08. Vector Lovers - Computrfnk (Sebrok's Funk You Remix) 09. Itamar Sagi - One Million Oaks (Mark Broom Remix) 10. H-Foundation - Passage of Time (D1Julz Remix) 11. Master H - Magic K (Paul Ritch 31 Trudaine Mix) 12. Silicone Soul - 3am (Maetrik Jazzersize Mix)
Tim Armstrong (voix, guitare), Matt Freeman (basse, voix), Lars Frederiksen (voix, guitare) et Branden Steineckert (batterie) sont de retour avec leur neuvième album studio... Trouble Maker. Né en pleine crise économique de l’ère post-Reagan dans la baie de San Francisco, Rancid a vu le jour lorsqu’Armstrong et Freeman ont déménagé après la fin de leur premier groupe Operation Ivy. Rancid a donc repris le flambeau en tant que groupe local et a immédiatement enflammé la communauté revival punk, annonçant beaucoup de grandes choses à venir. Après avoir vu l’« American Dream » se dégrader et devenir obsolète pour leur pays, leur communauté et leur ville, Rancid décide d’évoquer ses conséquences à travers leurs chansons. Alors que leurs textes hissent toujours plus leurs identités dans le punk rock, leur musique incorpore des cornes, des lignes de basse rockabilly, des rythmes reggae, des grincements et de la distortion. Racontant leur vision personnelle des histoires d’amours qui tournent mal et de la rupture, Rancid construisent tout une communauté autour d’eux. Durant les deux dernières décennies, les membres de Rancid ont su se rendre compte de leur environnement changeant et se sont trouvés une nouvelle place en son sein, tout en ne perdant pas leurs places en tant qu’individualités ou en tant que groupe. Pour ceux qui aiment : The Clash, Bad Religion, The Sex Pistols, NOFX, Social Distortion, Black Flag
Les légendes norvégiennes du Black Metal se reforment et présentent leur premier album studio tant attendu ! Réunissant des membres d'Arcturus, Mayhem, Thorns et 1349 pour un chef-d'oeuvre de Black Metal, Peaceville est fier de présenter le PREMIER album studio tant attendu de MORTEM, les légendes norvégiennes récemment reformées. Lorsque l'on revient sur l'histoire du black metal, certains noms sont familiers comme Mayhem, Burzum, Darkthrone. Mais dans l'ombre se cache un autre grand fournisseur des ténèbres du grand Nord. Formé par Marius Vold et Steinar Sverd Johnsen en 1989, Mortem est l'un des premiers groupes à se démarquer de la scène Black Metal norvégienne. Il publie la démo très convoitée et brutale intitulée Slow Death', avec Euronymous & Dead of Mayhem respectivement producteur et artiste. Après la sortie de Slow Death, le groupe se disloque et ses membres forment ensuite Arcturus et Thorns, devenus piliers de la scène Black Metal et au-delà. Dans un moment de nostalgie et de désir de créer une musique plus brutale qu'Arcturus, Mortem a été ravivé. Ainsi, l'album tant attendu, intitulé Ravnsvart, possède la même brutalité et le même esprit que l'incarnation originale, avec des éléments nouveaux, tous conçus de manière unique dans la veine des premiers sons du Black Metal scandinave, élaboré en un chef-d'oeuvre d'horreur malsain. Hellhammer (du légendaire Mayhem) à la batterie, Tor Stavenes (de 1349/Svart Lotus), à la basse, rejoignent le duo.
ROADS est le premier album du Léa Castro 5tet. Le projet nait en 2010, tout d'abord en duo, quand Léa Castro débute sa collaboration avec le pianiste et violoniste Antoine Delprat. En 2013, le contrebassiste Alexandre Perrot, le batteur Ariel Tessier et le saxophoniste Rémi Fox les rejoignent. Entre compositions originales et standards revisités, le jazz se teinte de soul et de pop, reflétant le parcours d'une jeune génération de musiciens de jazz qui a écouté toutes sortes de musiques. Ils ne cachent pas l'impact reçu sur leur développement artistique de grands artistes, dont la musique déborde volontiers du cadre du Jazz comme Brad Mehldau, e.s.t., Michael Brecker, Avishai Cohen... On sent combien le quintet se réjouit en revisitant des titres des Beatles, Duran Duran ou Elliot Smith. Mais ce qui séduit d'emblée à la première écoute, c'est la voix d'alto envoûtante de Léa Castro, pleine de swing, de douceur enveloppante et de force tranquille. Influencée à la fois par de grandes dames du Jazz telles que Nina Simone, Carmen McRae ou Diane Reeves, et par les figures de la Soul que sont Otis Redding et Bill Withers, certaines de ses compositions puisent aussi leur inspiration dans un imaginaire coloré, de l'Espagne à l'Orient, sur les traces des origines Nord-Africaines de Léa Castro. L'instrumentation originale du quintet se voit déconstruite ou enrichie selon les titres, avec ou sans piano, avec violon ou flûte, batterie ou cajon, et des choeurs... On passe d'une énergie débordante à la douceur d'une musique de chambre où les timbres se mélangent subtilement, avec pour fil conducteur la voix et les émotions.
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
SEULE UNE POIGNÉE DE DJS ET DE PRODUCTEURS SONT CAPABLES DE TRANSCENDER LES STYLES ET LES GENRES, S'ÉLEVANT AU DESSUS DE FUGACES TENDANCES POUR CRÉER LEURS PROPRES PAYSAGES SONORES. LAURENT GARNIER FIGURE SANS PEINE PARMI EUX, MIXANT TECHNO, HOUSE, DRUM'N'BASS ET FUNK-JAZZY AVEC UNE FACILITÉ DÉCONCERTANTE SON DERNIER OPUS, « TALES OF A KLEPTOMANIAC » POUSSE ENCORE PLUS LOIN LES FRONTIÈRES MUSICALES, FAISANT PREUVE D'UNE DIVERSITÉ DIABOLIQUE QUI FAIT DE LUI L'UN DES MEILLEURES REPRÉSENTANTS DE LA MUSIQUE DANCE-ÉLECTRO. LES LÉGIONS DE FANS TECHNO DE MONSIEUR GARNIER NE SERONT PAS DÉÇUS PAR CET ALBUM PUISQUE L'ART DE DETROIT BÉNÉFICIE D'UN GRAND NETTOYAGE !!! BEAUCOUP ADORENT DEPUIS LE DÉBUT ENTENDRE LAURENT DANS SON RÔLE DE DJ ET QUAND IL SE BALANCE AU-DESSUS DES PLATINES, LA TECHNO BRILLE - VOUS SAVEZ, LE VERITABLE ESPRIT DE LA TECHNO - LE VRAI TRUC - ALORS, ENTRE «DESIRELESS», «BACK TO MY ROOTS» ET «LAST DANCE @ YELLOW», LES PURISTES SONT À LA FÊTE ! ENTRE HYMNE FUNK DES TEMPS MODERNES («NO MUSIC»), HIP HOP POUR BEAT BOX INDUSTRIEL («FREEVERSE») DRUM AND BASS («BOURRE PIF»), BEAT LENT ET HALETANT («DEALING WITH THE MAN»), L'ALBUM SE CONCLUT PAR UN PEU DE NEW WORLD AVEC «FROM DEEP WITHIN» ET DE ROOTS SUR «FOOD FOR THOUGHT», AVEC LA PARTICIPATION DU LÉGENDAIRE WINSTON MAC ANUFF... EN FAIT, LES RÉFÉRENCES DE LAURENT EN TANT QUE DJ SONT INNOMBRABLES : «PAY TV» PARLE DE LUI-MÊME ET UN MILLION DE DJ ITINÉRANTS ADORENT SA BATTERIE, UNE ESPÈCE DE GROOVE RARE, STYLE PORNO FRANÇAIS, SI VOUS VOYEZ CE QUE JE VEUX DIRE...PEUT-ÊTRE PAS !!! QUOI QU'IL EN SOIT, C'EST ÉNORME ! BREF, TALES OF A KLEPTOMANIAC EST UN CLASSIQUE, PEUT-ÊTRE LA MEILLEURE RÉALISATION DE LAURENT GARNIER
Le jazz est un art paradoxal : expression essentiellement individuelle, il est aussi langage, musique du dialogue. S'il est si difficile à cerner, si l'on s'entend si rarement sur sa définition, c'est peut-être que le jazz est un processus, le lieu d'une tension dialectique qui se résout à un instant donné, sur scène, en une création commune. L'écueil à éviter, et le motif de tant de disputes, c'est de vouloir dire a priori ce qui est jazz. La grande histoire du jazz est faite de dissidences, de convergences accidentelles, elle ne se résume pas d'un trait net. Archie Shepp ne veut pas du mot « Jazz » pour sa musique; ce qui l'habite, c'est la musique noire américaine au son de laquelle il a grandi. Ce qu'il joue, le projet d'une vie, c'est la « Black Art Music ». C'est pour lui, et au-delà pour de nombreux musiciens noirs (Duke, Roach, Mingus... Oliver Lake) la réponse à la confiscation de leur histoire par une industrie sans identité. Ce qui n'exclut pas la rencontre, l'extrême proximité, inattendue et inexplicable, entre un pianiste autrichien élevé dans une culture musicale classique - Siegfried Kessler - et un enfant du ghetto de Fort Lauderdale, Floride - Archie Shepp. Le jazz, puisqu'il faut un mot, est universel parce qu'il est ancré dans le particulier, parce qu'il est ouvert sur toutes les expressions singulières. Call and Response. Quelques notes suffisent pour entendre la proximité entre Shepp et Lake. Leur timbre, absolument personnels, déchirés et déchirants, sont des incarnations de la Voix Noire. L'un et l'autre conçoivent leur musique en lien direct avec la culture de leur peuple, et toutes les formes artistiques qui en ont émergé. Oliver Lake fut l'un des fondateurs du BAG - Black Artists Group - un collectif multidisciplinaire d'artiste afro-américains, et Archie Shepp l'un des principaux animateurs de l'aventure qui l'inspira : Le Black Arts Repertory Theater/School d'Amiri Baraka. La rencontre avec Maddox prolonge un dialogue entre musique et poésie orale dans lequel les deux saxophonistes se sont depuis longtemps engagés. Malcolm Semper Malcolm (Fire Music 1968), ou encore les versions scandées de Revolution annoncent le rap et prolongent une tradition qui part d'Afrique, traverse spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afroaméricaine, son urgence et sa nécessité. Napoleon Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Il y a là un fil que l'on peut suivre à travers toute la musique noire américaine : Malcolm Semper Malcolm - Archie Shepp Fire Music 1968 - ou encore les versions scandées de Revolution, annonçaient le rap et retravaillait une forme qui naquît en Afrique, traversa spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afro-américaine, son urgence et sa nécessité.
CALYPSO a baigné très tôt dans la musique, l’art et le son, puisque qu’elle est la fille des artistes Jacno & Elli Medeiros. On a déjà pu l'apercevoir à l'écran dans les films d'Olivier Assayas, Michel Gondry, Catherine Corsini,... et l'entendre au sein du groupe electro Cinema, en duo avec Etienne Daho sur une reprise du titre Amoureux Solitaires & en duo avec Lescop lors de la soirée Tombés Pour La France à Pleyel. Pour son projet solo, CALYPSO s'est entourée du producteur Yan Wagner et de musiciens aussi divers que brillants : François Poggio (ETIENNE DAHO... ) à la guitare, Marcello Giulliani (ERIC TRUFFAZ QUARTET) à la basse, Emile Sornin (FOREVER PAVOT) à la batterie, Thomas de Pourquery (VKNG) au saxophone, Haroun Samali au violon,... Ce 2ème EP, empreint de voix cristallines et de textes affutés, nous confirme que le meilleur reste à venir avec son premier album. « Nouvelle flamme de la pop française » - LES INROCKUPTIBLES « Beauté troublante synthétique et baroque » - GRAZIA Au début de l’Hiver, CALYPSO VALOIS présentait le premier titre de son projet solo, le bien nommé Le Jour, qui mettait en lumière sa singularité artistique : pop de haute volée, langage direct, coup de foudre immédiat. Elle revient aujourd’hui présenter de nouveaux éléments fondateurs de son univers avec la sortie d’un autre 45 tours, Vis à Vie. Face A, le single Vis à Vie, immédiat et clinquant, qui navigue aux confluences du disco, guitares brillantes et violons de gala, et d’une pop mélancolique. Face B, le délicat et langoureux La Faute, ballade feutrée, bossa désarticulée, qui invite l’auditeur dans le speakeasy des pensées sombres de CALYPSO. Une deuxième plongée en eaux troubles, qui annonce un album ambitieux à paraître en Septembre chez LE LABEL - PIAS.
Le 30 septembre 1990, Gérard de Haro enregistre dans son studio qui ne s'appelle pas encore La Buissonne, le trio régional de Stéphan Oliva avec Claude Tchamitchian et Jean-Pierre Jullian. C'est le premier disque de Stéphan, il le produit lui-même. C'est aussi le début d'une longue et indéfectible amitié entre ces quatre artistes. Gérard est l'ingénieur du son de treize des seize disques enregistrés sous son nom par Stéphan à ce jour. Stéphan est dans plusieurs des aventures du Lousatzak de Tchamitchian, il est aussi le pianiste des merveilleux projets sudistes de Jullian sortis sur Emouvance, le label du contrebassiste, tous enregistrés par De Haro... Automne 1991, l'enregistrement du trio sort sur OWL, le prestigieux label de Jean-Jacques Pussiau. Et tout le monde s'accorde pour saluer un nouveau musicien à l'univers poétique très personnel. Automne 2008, Jean-Pierre Jullian à un projet d'oratorio et travaille également à une création pour sept musiciens et deux danseurs sur la naissance du soleil et de la lune d'après les mythes Amérindiens. Claude Tchamitchian, lui explore ses propres racines dans des duos et trios avec Gaguik Mouradian et Bijan Chemirani et participe au développement de la musique des trio et Megaoctet d'Andy Emler. Stéphan Oliva tourne en solo son projet sur Bernard Herrmann, écrit pour le cinéma et continue de creuser avec François Raulin, les origines de la musique afro-américaine. Il a aussi envie de rejouer en trio avec une contrebasse et une batterie (la dernière fois c'etait en 2000 avec Bruno Chevillon et Paul Motian). C'est tout naturellement qu'il va proposer la reformation du trio. Il écrit un nouveau répertoire, puis s'informe sur la disponibilité du studio pour l'enregistrer. Mais sans aucune idée sur la façon de commercialiser la musique. Et c'est tout aussi naturellement que Gérard de Haro lui propose de produire le projet sur son label. Dix-huit ans après leur première rencontre...
Depuis quelques années, Jean-Jacques Milteau semble avoir trouvé une nouvelle maturité, davantage au service d'une ambition musicale d'ensemble (mise en avant du groupe) que d'un instrument en particulier : « J'ai toujours aimé les voix. Dans le blues, l'harmonica est un véritable interlocuteur du chanteur. Plus que pour briller, l'instrument est là pour dialoguer, illustrer, conforter, créer un décor propice à l'expression du chant ». Soul Conversation est un projet musical qui revisite Blues, Soul, Folk et Rock. S'y retrouveront les amateurs de blues « roots » comme ceux qui aiment la Soul soyeuse et la musique des années 60 et 70. L'album comprend 9 originaux signés J.J. Milteau, Manu Galvin, Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que 4 reprises popularisées par les Rolling Stones, Stephen Stills, Curtis Mayfield et J.B. Lenoir. « Soul Conversation est une relecture des premières musiques que j'ai écoutées : Blues, Soul, Rock, Folk. Elles chantaient l'espoir de lendemains meilleurs. Pour la première fois, la jeunesse du monde entier utilisait un langage commun pour exprimer un désir d'ouverture et de tolérance. Force est de constater qu'on a du rater un embranchement depuis... » Pour ce projet, Jean-Jacques Milteau s'est entouré de deux chanteurs noirs américains : Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que de son complice habituel Manu Galvin (soutenu par Christophe Deschamps à la batterie et Gilles Michel à la basse). Michael Robinson a commencé à chanter à 5 ans auprès de son père pasteur. A 14 ans, il obtient une bourse pour étudier au prestigieux Conservatoire de Musique de Chicago. À 18 ans, il chante avec les Staple Singers, puis émigre à Los Angeles où il travaille régulièrement pour Quincy Jones Productions. Aux côtés de J.J. Milteau il renoue aujourd'hui avec la Soul et le Blues de son enfance. Ron Smyth est né dans le New Jersey. Il a appris la musique en accompagnant sa mère, évangéliste. À New York, il fréquente Pharao Sanders, Freddie Hubbard, et James Brown. Il accompagne Peter Tosh sur plusieurs tournées, émigre à la Nouvelle Orléans, puis à Paris où il collabore avec Bernard Allison et Lucky Peterson. Lui aussi est heureux de retrouver Jean- Jacques sur un projet qui couvre revisite les meilleures années de la musique américaine.
Nouvelle signature de poids chez Frontiers, Geoff Tate lève le voile sur la première partie d’une trilogie musicale épique et captivante. Operation : Mindcrime est le nom du troisième album du groupe Queensrÿche paru en 1988, opéra rock considéré comme l’un des meilleurs albums de rock-métal de l’histoire. Aujourd’hui, le chanteur du groupe aux 25 millions d’albums vendus, Geoff Tate, a signé chez Frontiers pour la parution d’une trilogie qui représente l’un de ses projets les plus ambitieux. « J’aime raconter de grandes épopées à travers ma musique; j’ai essayé ici de réduire l’ampleur de l’histoire, et suis arrivé à la conclusion qu’il me fallait représenter musicalement 37 idées pour pouvoir compléter le scénario ! J’ai vite compris qu’un seul album ne serait pas suffisant ! ». Premier volet de la trilogie, The Key est parcouru d’un souffle lyrique de grande ampleur qui embrasse des sujets modernes d’actualité, comme la politique internationale, l’économie mondiale et la crise sociale. Operation : Mindcrime n’est pas un groupe à proprement parler, mais une plateforme créative qui voit la participation de musiciens ouverts et chevronnés et qui perpétue en quelque sorte les thématiques déjà abordées dans l’album de Queensrÿche du même nom. Musicalement, l’album est assez aventureux déclare Geoff Tate. Bien sûr il y a des éléments rythmiques et des phrasés mélodiques qui pourront paraître familiers, mais tout au long de ma carrière j’ai eu le souhait de me renouveler et d’essayer d’atteindre de nouveaux buts, notamment au niveau des arrangements. Ce qui permet d’aborder la musique de façon spontanée et excitante. On s’est libéré de toutes contraintes pour enregistrer cet album, on a exploré de nouveaux territoires, en s’inspirant de la liberté des pionniers du prog rock. L’univers musical créé est riche d’idées et d’inspirations; on reconnait bien sûr les parties de guitares plutôt heavy et les boucles de batterie haletantes, mais la musique est sophistiquée, cinématique, avec des changements de rythme surprenants, des parties vocales entraînantes, des formes musicales dynamiques et captivantes. Il faut dire que Geoff Tate a su s’entourer d’une équipe de haut niveau, composée de visages familiers et de nouvelles recrues : les bassistes Dave Ellefson [Megadeth, Metal Allegiance] et John Moyer [Disturbed, Adrenaline Mob], les batteurs Simon Wright [AC/ DC], Scott Mercado [Candlebox] et Brian Tichy [Billy Idol, Ozzy Osbourne], les guitaristes Kelly Gray [Queensryche] et Scott Moughton [Geoff Tate], etc. Voici donc le premier chapitre d’une trilogie ambitieuse qui nous tient en haleine et qui s’annonce comme l’un des événements rock de la rentrée.