Le DJ, collectionneur, programmateur, producteur et musicien allemand Andreas Baumecker aka nd_baumecker nous livre un mix exclusif au vinyle en deux parties. Sur Panorama Bar 07 (Part II), High Energy de Ross From Friends fait office d'introduction avec une batterie saturée et des atmosphères entêtantes et lo-fi, suivie de Wayahed, la luxuriante tropicalia électronique de Dave Aju. La dernière piste est un morceau du duo néerlandais Duplex, Isolator, avec des claps, des caisses claires, des charlestons et de multiples lignes mélodiques imprévisibles dans un arrangement étonnamment complexe. Avec Panorama Bar 07, nd_baumecker a clairement pris des risques avec des mélodies et des rythmes audacieux, se concentrant davantage sur le groove et la profondeur que sur le genre musical.
TROISIÈME ALBUM DU FLAMBOYANT PRODUCTEUR CHILIEN ! Matias AGUAYO est maintenant un des artistes les plus respectés de la scène électronique. Le chemin parcouru par le natif de Santiago, élevé aux sons des clubs de Cologne, est impressionnant depuis ses débuts jusqu'à ses collaborations avec Battles et Chris Balo (Vampire Weekend). The Visitor est aussi une affaire de collaborations puisque on y retrouve Juliana Gattas (Miranda!), Aérea Negrot (Hercules & Love Affair), Daniel Maloso, Jorge González (Los Prisioneros), Philipp Gorbachev. L'album a aussi été co-produit par Deadbeat, spécialiste des basses rondes. The Visitor est un album de musique électronique moderne et ludique aux accents pop mais sans oublier les danseurs !
Zebra est le quatrième album d'ARP, alias Alexis Georgopoulos, artiste, producteur et DJ basé à New York. Ce dernier album passe une étape et entre dans un nouveau territoire musical, brouillant les pistes entre musiques électronique et acoustique, entre impulsion expérimentale et sensibilité pop. En utilisant une palette instrumentale singulière - synthétiseurs, contrebasse, tambours électroniques et acoustiques, flûte, etc., Alexis Georgopoulos mélange de multiples genres musicaux : cosmic jazz, productions japonaises des années 80, musique électronique... et crée ainsi un mélange sonore délirant et unique. L'album ravira les fans de Floatings Points, Pharoah Sanders, Jefre Cantu-Ledesma, Laraaji...
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
RTX est mort, Vive BLACK BANANAS! En effet sur les cendres de RTX, Jennifer Herrema, la talentueuse et charismatique chanteuse, revient entourée de Kurt Vile, St. Vitus, Scott 'Wino' Weinrich, la volcanique Pamela Love. Le mélange est détonnant, un cocktail electrico electronique où le groove disco punk de la bass rivalise avec les guitares heavy acides.
Resting Love est le premier EP d'After the Bees, une formation surprenante qui mêle guitare, chant, harpe et batterie, évoluant dans un univers folk délicat qui s'autorise quelques incartades rock. A l'origine de ce projet, Alexandra Guillot compose des chansons guitare voix, et s'est entourée ensuite de Cécile Gravot à la harpe et de Samuel Baubry à la batterie. Dans cet EP on entend aussi Benoît Gautier (guitare), Vincent Echard (trompette), Amandine Dolé (violoncelle), et Cécile Favereau (violon).
Horace Andy aussi surnommé SLEEPY et originaire de Kingston JAMAIQUE a débuté sa carrière à la fin des années 60 pour 2 célèbres producteurs que son PHIL PRATT et COXSONE DODD le patron de STUDIO ONE. Il enregistra des tracks devenus de véritables classiques du genre tels que « SKYLARKING », « Money » ou encore « Serious Thing ». Au milieu des années 70 il sort le légendaire album « In The Light » ensuite réédité sur le label BLOOD & FIRE. Début des années 80 il sort « Dance Hall Style » véritable pièce maitresse avant de rejoindre MASSIVE ATTACK pour les albums « BLUE LINES » et « PROTECTION » qui le propulsent au rang de star mondiale aussi bien dans le monde du reggae que celui de la musique électronique. Aujourd'hui HORACE ANDY revient avec un album de 14 titres profondément ROOTS enregistré pour MINOR7FLAT5, le label d'ANDREAS « BROTHERMAN » CHRISTOPHERSEN déjà connu pour ses productions pour TURBULENCE, LUCIANO, ANTHONY B, SIZZLA, CAPLETON, BEENIE MAN, BOUNTY KILLER, JUNIOR KELLY... On y retrouve un line up extraordinaire avec LEROY « HOUSE MOUTH » WALLACE à la batterie, DEAN FRAZER au sax, BONGO HERMAN et SKY JUICE aux percussions... Toutes les voix ont été enregistrées au studio de DUKE REIDS, et les riddims à TUFF GONG, MIXING LAB et BIG YARD
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Paru en 2009 sur le label allemand Kompakt, Take My Breath Away est le deuxième album du DJ et producteur electro brésilien Gui Boratto. Il y confirme son inimitable talent de mélodiste avec un album qui touche tous les genres de la musique électronique d'une main de maître. Chaque titre est une véritable perle musicale pour un voyage sonore exemplaire traçant des chemins de traverse dans la techno, l'ambient et l'électro pop.
Nouvelle collection de remixes de Mollono.Bass qui comme à son habitude crée un monde musicale fragmenté en une multitude de climats tous différents les uns des autres. Il couvre ainsi à peu près tous les aspects de la musique électronique et parvient de façon surprenante à les faire cohabiter de façon cohérente sur un même album. On retrouve parmi les artistes remixés sur cet album : Shkoon, Into Lala, Bona Fide, Timboletti, Zigan Aldi, Brigade, Elfenberg, etc.
Au cours de ces vingt dernières années, le chemin de Terence Fixmer à travers le paysage fluctuant de la techno aura été tout sauf direct. Le producteur, musicien et DJ français, fondateur du label Planète Rouge, a en effet longtemps été influencé par la périphérie des sous-genres de la dance d'Europe continentale, l'electronic body music (EBM), l'acid et le new beat, avant de les combiner dans son propre style hybride et futuriste avec des classiques comme Muscle Machine en 2001 ou Between the Devil en 2004 avec Douglas McCarthy (Nitzer Ebb). Alors que ce son a été redécouvert et reforgé récemment par une nouvelle génération de producteurs, Fixmer se dirige avec Through the Cortex vers une différente sorte d'electro, teintée d'indus, davantage menée par des séquenceurs analogues, des mélodies et des sons ultra saturés de synthés que par la batterie et percussions. En huit morceaux et 40 minutes, ce nouvel album est un disque techno avec une voix - ou plutôt de multiples voix - qui guide l'auditeur à travers un espace hypnotique. Les morceaux vont du funk d'Expedition inspiré par le Assaut de John Carpenter au martèlement musculaire de Fury en passant par le magnétisant single Accelerate qui évoque Suicide et sur lequel Fixmer utilise sa voix comme un instrument, ou encore la redescente stellaire teintée de krautrock A Halo Somewhere. Throught the Cortex reflète la vision unique de Terence Fixmer des sous-genres de la techno mais aussi de la musique électronique en générale, une approche très large qui se traduit par un son multiforme qui nécessite de nombreuses écoutes pour se dévoiler entièrement.
Au cours de ces vingt dernières années, le chemin de Terence Fixmer à travers le paysage fluctuant de la techno aura été tout sauf direct. Le producteur, musicien et DJ français, fondateur du label Planète Rouge, a en effet longtemps été influencé par la périphérie des sous-genres de la dance d'Europe continentale, l'electronic body music (EBM), l'acid et le new beat, avant de les combiner dans son propre style hybride et futuriste avec des classiques comme Muscle Machine en 2001 ou Between the Devil en 2004 avec Douglas McCarthy (Nitzer Ebb). Alors que ce son a été redécouvert et reforgé récemment par une nouvelle génération de producteurs, Fixmer se dirige avec Through the Cortex vers une différente sorte d'electro, teintée d'indus, davantage menée par des séquenceurs analogues, des mélodies et des sons ultra saturés de synthés que par la batterie et percussions. En huit morceaux et 40 minutes, ce nouvel album est un disque techno avec une voix - ou plutôt de multiples voix - qui guide l'auditeur à travers un espace hypnotique. Les morceaux vont du funk d'Expedition inspiré par le Assaut de John Carpenter au martèlement musculaire de Fury en passant par le magnétisant single Accelerate qui évoque Suicide et sur lequel Fixmer utilise sa voix comme un instrument, ou encore la redescente stellaire teintée de krautrock A Halo Somewhere. Throught the Cortex reflète la vision unique de Terence Fixmer des sous-genres de la techno mais aussi de la musique électronique en générale, une approche très large qui se traduit par un son multiforme qui nécessite de nombreuses écoutes pour se dévoiler entièrement.
Le premier album de Subshine, Easy Window, est enfin arrivé. C'est de la pop électronique, du désir avec une lueur d'espoir. C'est marcher pendant des heures dans le magnifique paysage norvégien. Subshine est mené par Ole Gunnar Gundersen, l'un des meilleurs auteurs-compositeurs actuels en Scandinavie. C'est l'ancien chanteur et auteur-compositeur-interprète de Lorraine qui a connu un succès mondial au début des années 2000, s'est classé parmi les Top 10 des singles et a fait de nombreuses tournées internationales avec des artistes tels que Mew et Pet Shop Boys.
Le premier album de Subshine, Easy Window, est enfin arrivé. C'est de la pop électronique, du désir avec une lueur d'espoir. C'est marcher pendant des heures dans le magnifique paysage norvégien. Subshine est mené par Ole Gunnar Gundersen, l'un des meilleurs auteurs-compositeurs actuels en Scandinavie. C'est l'ancien chanteur et auteur-compositeur-interprète de Lorraine qui a connu un succès mondial au début des années 2000, s'est classé parmi les Top 10 des singles et a fait de nombreuses tournées internationales avec des artistes tels que Mew et Pet Shop Boys.
Philippe Cam est le Thomas Pynchon du monde de la musique électronique. On sait peu de choses sur lui et seules quelques photos ont été mises en ligne depuis qu'il est apparu sur cette planète pour écrire son premier et unique album il y a 18 ans. Nous savons qu'il a travaillé comme marin, et c'est tout. Si vous creusez un peu plus, vous découvrirez peut-être qu'il a travaillé comme DJ au début des années 90 à Bruxelles et qu'il y a commencé à étudier la musique électronique et à écrire de la musique pour le théâtre et les ballets. L'énergie de ses débuts techno bruxellois est revenue ici d'une manière féroce. Les mouvements rythmiques sont élégants et ne vous quittent plus, alors que d'autres pistes recherchent une détente particulière. L'album sort sous la forme d'un double vinyle translucide avec une pochette réalisée par Yvette Klein, qui a également conçu la pochette de l'album de Philippe Cam il y a 18 ans. Les graphismes pour Rotterdam ont été créés par la designer de Cologne Daniela Thiel. Peut-être parmi les meilleurs titres ambient jamais écrits, Vermillions Sands arrive par vagues, des vagues qui pourraient être plus longues qu'on ne le pense. Le titre Rotterdam quant à lui semble mécanique, rouillé, effrayant et divisé. Cet arrangement est très différent de tous les autres morceaux jusqu'à présent et est presque dub en style mais beaucoup plus fracturé. Un arrêt et un aller-retour réguliers s'ensuivent. Mais plus ça dure, mieux c'est. Il y a sur l'album des changements qui vont au-delà d'une conception sonore qui s'appuierait fortement sur l'image stéréo. Rotterdam est une oeuvre d'art qui peut déclencher un feu d'artifice quand on l'écoute et qui ne rend de compte à personne. Tenez-vous-en à cela, et l'expérience sera formidable !
2nd album du producteur allemand Martin Enke aka Lake People et faisant suite à Purposely Uncertain Field (2015, Permanent Vacation). Il s’oriente ici vers le coeur de la musique électronique de club : des sons et des grooves épurés et espiègles, entrelacés avec des éléments de techno. Cet album, au groove irrésistible et parfois Larry-Heard-esque, suit une narration pleine de tempérament pour transporter l’auditeur de la joie à la fantaisie en passant par une mélancolie un brin mielleuse en ne quittant jamais sa ligne directrice : le faire continuellement danser.
Paul DeMarinis est une figure clé de l'histoire de la musique électronique depuis les années 1970. Ayant collaboré avec des personnalités telles que Robert Ashley, David Behrman et David Tudor, DeMarinis est un pionnier du développement des installations sonores dans les galeries et des technologies digitales de la musique. Black Truffle est ravi d'annoncer la sortie d'une compilation sur double vinyle dont les morceaux ont été sélectionnés en collaboration avec l'artiste. Cette collection est axée sur l'exploration de DeMarinis des voix synthétisées ainsi que sur ses analyses et manipulations numériques de la parole. En rassemblant des morceaux dispersés sur diverses compilations et un certain nombre de morceaux inédits, Songs Without Throats offre un regard révélateur sur la production plus ou moins accessible et sans compromis de DeMarinis entre 1978 et 1995. Le disque commence avec un titre envoûtant datant de 1978 associant la voix et le tambura d'Anne Klingensmith à une série de lettres prononcées par le jouet éducatif Speak'n'Spell, le tout accompagné de patterns mélodiques aléatoires de l'instrument électronique fait maison de DeMarinis, The Pygmy Gamelan. L'enregistrement se passe donc de la voix humaine en live au profit de ses doubles enregistrés et synthétiques. Nous suivons les explorations incessante de DeMarinis sur les possibilités des nouvelles technologies, du Speak'n'Spell piraté qui nous donne l'austère Et Tu, Klaatu qui date de 1979, un autre duo avec Klingensmith qui joue cette fois du psaltérion à archet, dans lequel la voix de synthèse du jouet est déformée en voix extraterrestre jusqu'à l'utilisation de samples audio numériques manipulés avec la technologie informatique au début des années 90 avec un collage remarquable et onirique qui mélange un enregistrement rare de la voix de Staline et un gazouilli d'oiseau électronique extraits d'une large banque de samples révélateurs de la vie musicale du dictateur. Entre les deux, nous avons un bel échantillon de la signature de DeMarinis avec des mélodies vocales, des modulations mélodiques généralement inaperçues qui se trouvent dans les patterns vocaux, qu'il analyse et convertit en un accompagnement musical. Ces morceaux s'appuient sur une grande variété de sources textuelles et vocales, allant de l'hilarant au menaçant - Cincinatti 1830-1850 contient une description détaillée des techniques de boucherie - ainsi que sur une aussi grande variété de créations musicales, combinant des éléments aussi improbables que les sonates de pianos Opus 31 de Beethoven ou les sons de la synthpop des années 80. Les résultats sont une combinaison extraordinaire de sonorités familières et extra-terrestres.
Premier album pour le duo basse/batterie Margaret Catcher originaire de Lille dont la musique est décrite comme du « rock augmenté ». Savant mélange de math-rock à la Battles, d’électro de Kraftwerk et de rock expérimental évoquant Civic Civic, le tout lié par une approche pop-noise, Singularity est un voyage homérique à travers les ambiances et les émotions, projetant l’auditeur dans un va-et-vient entre enfance passée et futur, humour et dureté de la réalité, bonheur et angoisse latente. A l’image du visuel de l’album, Xavier Leloux (voix et basse) et Pierre Level (batterie) nous propulsent dans un paysage horsnorme dans lequel rock et électro se côtoient pour nous plonger dans une forme de transe hypnotisante et mécanique, entretenue par une irrésistible envie de bouger et danser. Le vinyle est une édition très limitée : 150 exemplaires disponibles.
Premier album pour le duo basse/batterie Margaret Catcher originaire de Lille dont la musique est décrite comme du « rock augmenté ». Savant mélange de math-rock à la Battles, d’électro de Kraftwerk et de rock expérimental évoquant Civic Civic, le tout lié par une approche pop-noise, Singularity est un voyage homérique à travers les ambiances et les émotions, projetant l’auditeur dans un va-et-vient entre enfance passée et futur, humour et dureté de la réalité, bonheur et angoisse latente. A l’image du visuel de l’album, Xavier Leloux (voix et basse) et Pierre Level (batterie) nous propulsent dans un paysage horsnorme dans lequel rock et électro se côtoient pour nous plonger dans une forme de transe hypnotisante et mécanique, entretenue par une irrésistible envie de bouger et danser. Le vinyle est une édition très limitée : 150 exemplaires disponibles.
Pyrit est le projet solo du suisse allemand Thomas Kuratli. Ce premier album est l'expression musicale d'un projet initialement littéraire : l'histoire d'un homme au nom générique, Ufo, voyageur solitaire qui erre dans un monde dévasté puis se dissout et mute en grande machine extraterrestre. Cet album (enregistré dans un parking abandonné pour profiter de l'incroyable reverberation naturelle du lieu) fourmille d'idées et d'émotions saisissantes tout en poussant les limites du one-man band. Navigant entre psyché électronique, blues décharné et bande originale d'un film en apesanteur, Thomas s'expose en revêtant le costume désenchanté d'un chanteur de charme en quête d'un ultime slow.
Moritz Simon Geist, artiste multimédia et musicien robotique, sort son premier disque. Il s'agit du premier disque techno au monde joué entièrement par des robots futuristes qu'il a fabriqués par ses propres moyens. Tous les sons de cet album sont effectivement joués par des machines : des petits moteurs qui tapent sur du métal, des robo-kalimbas futuristes imprimées en 3D, des cliquetis venant de pièces récupérées sur d'anciens disques durs. Plusieurs années ont été nécessaires à Geist pour construire, ajuster, tester et jouer de tous ses instruments robotiques. Ses Robots Soniques tentent de repousser les limites de l'imaginable. Il l'avait déjà fait en 2012 avec son robot 808 bien connu - une boîte à rythmes emblématique devenue réelle, de 4 mètres sur 2, et remplie de pièces robotiques qui jouent des instruments en direct et devant le public. Maintenant, Moritz Simon Geist va encore plus loin dans la découverte du monde inconnu et futuriste de la techno robotique. Pour arriver à son but, il s'est associé aux sorciers berlinois de Mouse On Mars et s'est plongé dans l'histoire de la musique mécanique et des expériences des débuts de la musique électronique. Lorsque vous écoutez des robots jouer, vous réalisez qu'ils sonnent avec précision, mais contrairement aux sons numériques, ils transmettent un immense sentiment organique. Aucun beat n'est comme l'autre, tout se joue avec la physicalité acoustique réelle et donc l'erreur réelle. Et en même temps, la nature répétitive des robots les rend parfaits pour jouer de la musique électronique. C'est à la fois industriel et organique. Ce que Moritz Simon Geist a imaginé est un enregistrement stupéfiant de ce qui est possible aujourd'hui : explorer les sons mécaniques qui emplissent notre monde. Geist crée ainsi une bande-son éclatante de l'automatisation implacable et de la fragilité physique qui façonnent la société d'aujourd'hui.
Moritz Simon Geist, artiste multimédia et musicien robotique, sort son premier disque. Il s'agit du premier disque techno au monde joué entièrement par des robots futuristes qu'il a fabriqués par ses propres moyens. Tous les sons de cet album sont effectivement joués par des machines : des petits moteurs qui tapent sur du métal, des robo-kalimbas futuristes imprimées en 3D, des cliquetis venant de pièces récupérées sur d'anciens disques durs. Plusieurs années ont été nécessaires à Geist pour construire, ajuster, tester et jouer de tous ses instruments robotiques. Ses Robots Soniques tentent de repousser les limites de l'imaginable. Il l'avait déjà fait en 2012 avec son robot 808 bien connu - une boîte à rythmes emblématique devenue réelle, de 4 mètres sur 2, et remplie de pièces robotiques qui jouent des instruments en direct et devant le public. Maintenant, Moritz Simon Geist va encore plus loin dans la découverte du monde inconnu et futuriste de la techno robotique. Pour arriver à son but, il s'est associé aux sorciers berlinois de Mouse On Mars et s'est plongé dans l'histoire de la musique mécanique et des expériences des débuts de la musique électronique. Lorsque vous écoutez des robots jouer, vous réalisez qu'ils sonnent avec précision, mais contrairement aux sons numériques, ils transmettent un immense sentiment organique. Aucun beat n'est comme l'autre, tout se joue avec la physicalité acoustique réelle et donc l'erreur réelle. Et en même temps, la nature répétitive des robots les rend parfaits pour jouer de la musique électronique. C'est à la fois industriel et organique. Ce que Moritz Simon Geist a imaginé est un enregistrement stupéfiant de ce qui est possible aujourd'hui : explorer les sons mécaniques qui emplissent notre monde. Geist crée ainsi une bande-son éclatante de l'automatisation implacable et de la fragilité physique qui façonnent la société d'aujourd'hui.
Projet artistique melant musique electronique et art numerique, de C.O.W. est la banniere derriere laquelle des producteurs experimentes venus de Berlin, Munich et Pekin fusionne leurs identites. Audacieux, insolents et extravagants, ils ont su creer leur propre genre musical, une electronica qui tire ses influences autant du jazz obscur que de la musique de club, et qufils illustrent en live par des visuels numeriques pour creer une experience particulierement immersive. Cette version vinyle comporte sur sa face B leur 1er EP C.O.W., precede sur la face A du nouvel EP $hanghai Mone, compose de 5 titres devoilant une facette plus funky mais aussi plus sombre du collectif. Pour les fans de : Hudson Mohawke, Flying Lotus, etc.
Club mythique parisien crée en 1988, le REX CLUB demeure à ce jour le temple français de la musique électronique de part son histoire et les artistes qui s'y produisent régulièrement. Pour la première fois en 22 ans, le REX CLUB donne jour à « REXPERIENCE «, sa 1ere compilation mixée. Une évidence pour le REX CLUB que de confier le soin de la sélection et du mix à son plus ancien résident, D'JULZ. En, Djulz démarre sa résidence « Bassculture ». Devenu aujourd'hui l'un des vrais rendez-vous incontournable du REX CLUB, Bassculture a vu passer un bon nombre d'artistes de renoms, tels que Steve Bug, Josh Wink, Loco Dice, Luciano, Onur Ozer, Cassy, Sebo K etc. C'est à travers ces années que D'julz s'est construit une notoriété de Dj confirmé mais aussi de producteur émérite. Cet artiste reconnu dispose de plus d'une corde à son Arc et crée, il y a quelques mois son premier label « Bassculture », du même nom que ses soirées. Après seulement quelques releases, BASSCULTURE s'est hissé très rapidement au rang des labels référents en house et chacune des releases se retrouve chartés par la majorité des artistes de la scène électronique. Dans cette REXPERIENCE Vol1, D'Julz se livre à un exercice qu'il connait bien, Séduire son public par un mix groovy, fin et sensible, tout à l'image de ses sets. On retrouve dans ce mix quelques inédits mais aussi des titres plus anciens que l'on se délecte à redécouvrir. La sélection est parfaite et le mix excelle en fluidité. Les mélodies et rythmiques house nous bercent et nous envoutent tout au long du Mix. La « Rexperience » démarre par « un dimanche sans fin » d'ICub et ses ambiances dub. On ne se lasse pas d'écouter W!ld & Monsieur K « Not now i'm dancing (Anonym remix) ». On redécouvre « kalooo », de LEMOS, le premier ep du label Bassculture. C'est la parfaite alchimie avec working night par John Thomas (Octave one remix), mixée avec Holloway de Damian Schwartz. D'julz nous promène tout au long du mix, pour clôturer sur « Lagenthal » de Jagged remixé par Brother Vibes. Des titres de choix finement ajustés, plus qu'une expérience c'est la REXPERIENCE de D'julz.
FULL OF HELL OUVRE LE FEU CHEZ RELAPSE ! Full of Hell font leurs débuts chez Relapse avec Weeping Choir, leur album le plus explosif à ce jour. Pressant, énergique, énervé : le très attendu Weeping Choir est une déclaration d'intention définitive de l'une des entités les plus dynamiques et virulentes de l'underground. Full Of Hell a une fois de plus sélectionné les éléments les plus extrêmes du hardcore, du métal et de l'électronique pour offrir une nouvelle définition aux ténèbres et à la brutalité pure. Des guitares déformées, des sons électroniques inquiétants et disparates grincent et grondent face aux percussions endiablées, servant les thèmes de la religion, la perte, et la haine avant de les réduire en cendres. Enregistré par Kurt Ballou au GodCity Studio, Weeping Choir est un véritable défouloir abrasif, conflictuel, sans pareil !
Deux ans après la sortie de son premier album Technicolor Life, KO KO MO présente aujourd'hui son second opus. à l'image du premier, Lemon Twins est puissant, déborde d'énergie et nous entraîne dès les premières notes dans l'univers très rythmé de ce duo rock explosif. La complicité et la générosité de Warren (voix, guitares) et K20 (machines et batterie) sont bel et bien toujours là, voire plus palpables encore, rodées par plus de 250 concerts donnés à travers le monde. De Nantes, leur port d'attache, à Tokyo, Melbourne ou encore Pyeongchang... Mais Lemon Twins est bien plus qu'une suite à Technicolor Life. Au-delà de la rythmique aussi impeccable qu'implacable et de ses riffs de guitare toujours aussi enivrants, ce second opus prouve que KO KO MO a son propre univers et sait s'éloigner, sans jamais les renier, de ses influences musicales, aussi prestigieuses soient elles. Grâce à des arrangements plus poussés et à une présence de la batterie et de l'électro plus affirmée, le duo power rock a su donner encore plus de puissance et de force aux dix morceaux qui composent Lemon Twins. Un parti pris bien assumé et assurément réussi.
Deux ans après la sortie de son premier album Technicolor Life, KO KO MO présente aujourd'hui son second opus. à l'image du premier, Lemon Twins est puissant, déborde d'énergie et nous entraîne dès les premières notes dans l'univers très rythmé de ce duo rock explosif. La complicité et la générosité de Warren (voix, guitares) et K20 (machines et batterie) sont bel et bien toujours là, voire plus palpables encore, rodées par plus de 250 concerts donnés à travers le monde. De Nantes, leur port d'attache, à Tokyo, Melbourne ou encore Pyeongchang... Mais Lemon Twins est bien plus qu'une suite à Technicolor Life. Au-delà de la rythmique aussi impeccable qu'implacable et de ses riffs de guitare toujours aussi enivrants, ce second opus prouve que KO KO MO a son propre univers et sait s'éloigner, sans jamais les renier, de ses influences musicales, aussi prestigieuses soient elles. Grâce à des arrangements plus poussés et à une présence de la batterie et de l'électro plus affirmée, le duo power rock a su donner encore plus de puissance et de force aux dix morceaux qui composent Lemon Twins. Un parti pris bien assumé et assurément réussi.
Après la sortie en 1997 de Zauberberg (Kompakt), le projet Gas de Wolfgang Voigt était de retour en 1998 avec Königsfort sur l'emblématique label Mille Plateaux de Francfort. Réédité en 2016 dans le cadre de la Box de Gas, Königsfort sort aujourd'hui sur son propre label Kompakt en triple vinyle 180 gr dans sa pochette d'origine. L'album a résisté à l'épreuve du temps, devenu le modèle qui a permis d'introduire les fondamentaux de la techno 90s dans les principes de la musique électronique contemporaine. Königsfort laisse passer un peu de lumière dans la forêt sombre et magnifique de Voigt. Des cordes mélodiques et des cuivres viennent s'ajouter à ses couches caractéristiques d'une inquiétante intensité. Le sentier forestier est tracé par des tambours étouffés pendant que des loops de musique classique tournoient sans direction précise.
FULL OF HELL OUVRE LE FEU CHEZ RELAPSE ! Full of Hell font leurs débuts chez Relapse avec Weeping Choir, leur album le plus explosif à ce jour. Pressant, énergique, énervé : le très attendu Weeping Choir est une déclaration d'intention définitive de l'une des entités les plus dynamiques et virulentes de l'underground. Full Of Hell a une fois de plus sélectionné les éléments les plus extrêmes du hardcore, du métal et de l'électronique pour offrir une nouvelle définition aux ténèbres et à la brutalité pure. Des guitares déformées, des sons électroniques inquiétants et disparates grincent et grondent face aux percussions endiablées, servant les thèmes de la religion, la perte, et la haine avant de les réduire en cendres. Enregistré par Kurt Ballou au GodCity Studio, Weeping Choir est un véritable défouloir abrasif, conflictuel, sans pareil !
Venus Volcanism est le nom d'artiste de la musicienne et artiste électronique Rena Rasouli. Son premier mini-album solo Rizitiko sort sur le sous-label d'Optimo, Weaponise Your Sound et se sert des chansons folk traditionnelles de son île natale, la Crète, comme base pour l'album. Rizitiko est issu de la thèse de Rasouli traitant de la capacité de guérison des chants traditionnels et de leur effet thérapeutique. Selon elle, l'usage mélodique de la voix est la plus ancienne forme de thérapie de l'histoire. A ces chants traditionnels Rasouli a ajouté des ambiances sonores électroniques et les compositions qui en résultent expriment les sensations et les émotions omniprésentes dans le processus de guérison ainsi qu'une connexion intense avec l'inconscient collectif. L'artiste a fait poser des voix féminines sur ces chants traditionnellement chantés par des hommes, ce qui lui procure une approche différente, s'apparentant à des berceuses.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.
Du rap à la musique électronique, depuis maintenant plus de 20 ans, Nicko a fait sa place dans le milieu de la musique. De ses projets avec les Soulchildren, jusqu'à aujourd'hui en solo sous le nom Odaiba, il a réussi à renouveler sa musique grâce à ses influences multiples. Depuis tout petit, il baigne dans la musique, entouré de funk, de rap, de rock, de musique française et de soul. Collectionneur de vinyles, il affûte ses connaissances et finit par produire sa propre musique. Il collabore avec nombre d'artistes reconnus en France et produit des instrumentaux pour des représentations tel que Redbull. L'envie de partager sa passion et son goût pour les rencontres musicales l'amènent aussi à dispenser des masterclass dans différents évènements. Il nous fait part cette fois-ci d'un EP nommé Locus aux multiples facettes, oscillant entre hip-hop, funk, groove, electronic, synth et ambient. De ses rythmiques aiguisées à ses mélodies envoûtantes, il réussit par ce projet à mêler expérience et inspiration nouvelle.
Co La est le projet primaire du musicien et producteur Matt Papich, et l'album Moody Coup, le point culminant de ses explorations de la musique électronique. La palette émotionnelle de Moody Coup, son 2nd album et 1er sur Software, est plus complexe que son prédécesseur, l'exubérant Daydream Repeater (sorti en 2011 sur NNA Tapes). Si l'album prend son inspiration dans le reggae, l'exotica et les girls groups des 60's, Moody Coup reste fuyant et abstrait. Les genres musicaux accolés jusqu'à maintenant à Co La - new exotica, Avant-luxury, furniture music - n'étaient pas présents au moment de la genèse Moody Coup. Une nouvelle alchimie se produit dans l'album, un nouveau départ, quelque chose d'insaisissable. Dans sa manière de travailler, Papich explique qu'il aime composer dans des endroits familiers, sans avoir peur d'être interrompu. De cette manière, Moody Coup a principalement été produit dans sa cuisine, à Baltimore. Un endroit qu'il décrit comme ayant les «meilleures interruptions».
Co La est le projet primaire du musicien et producteur Matt Papich, et l'album Moody Coup, le point culminant de ses explorations de la musique électronique. La palette émotionnelle de Moody Coup, son 2nd album et 1er sur Software, est plus complexe que son prédécesseur, l'exubérant Daydream Repeater (sorti en 2011 sur NNA Tapes). Si l'album prend son inspiration dans le reggae, l'exotica et les girls groups des 60's, Moody Coup reste fuyant et abstrait. Les genres musicaux accolés jusqu'à maintenant à Co La - new exotica, Avant-luxury, furniture music - n'étaient pas présents au moment de la genèse Moody Coup. Une nouvelle alchimie se produit dans l'album, un nouveau départ, quelque chose d'insaisissable. Dans sa manière de travailler, Papich explique qu'il aime composer dans des endroits familiers, sans avoir peur d'être interrompu. De cette manière, Moody Coup a principalement été produit dans sa cuisine, à Baltimore. Un endroit qu'il décrit comme ayant les «meilleures interruptions».
1ER ALBUM SOLO D'INSPIRATION JAZZ DU PRODUCTEUR ET PIANISTE FRANçAIS FEATURING YABON, MOSHADEE, ELBI, KAFFE CRèME, FOLAMOUR & JIM FHUO Records a repoussé les limites de sa propre diversité en sortant des disques d'ambient, des rythmes hip-hop, de la néo-soul et de la musique électronique au cours des derniers mois. Mais le voilà qui revient après une courte pause avec quelque chose de puissant et de très spécial, le premier album solo de l'un des meilleurs pianistes de jazz français de la scène, Marc Bianco. Connu pour ses productions maison et son projet Kimosabe avec Folamour, Marc Bianco a décidé de revenir aux sources pour son premier long format sous son vrai nom. Venant de l'improvisation et du jazz live l'artiste créé un lien entre composition et partage d'énergie. Il décide de mélanger toutes ces idées pour créer une expérience parcourant les univers cinématographiques d'une piste à l'autre. Des mondes différents traversés au cours du voyage.
Le très jazz club continue d'explorer le jazz japonais avec cette réédition de Morning Flight du tromboniste Hiroshi Fukumura, accompagné de Shinji Mori à la batterie, de Tsotomu Okada à la basse du talentueux Hiroshi Tamura au piano et secondé par ShigeharuMukai au trombone. Un très grand moment de jazz modal et spirituel.
Né dans les années 80 à Moscou, Slava suit sa famille à Chicago à l'âge de 12 ans. Le jeune fanatique de Freddy Mercury y découvre alors la House music et se lance dès sa majorité dans la création de musique électronique. Désormais installé à New York, il se livre à une véritable dissection des éléments de pop, de R&B, de Hip-Hop, de Vogue House, de British Bass et d'Ambient. Premier album de Slava, « Raw Solutions » fait suite à son EP « Soft Control » et part à l'exploration des sons House des coins les plus sombres de Chicago. House, Footwork, retravaillés pour ses performances live électrisantes; ici enregistrés pour la plupart directement depuis son Korg Electribe ESX. Les samples vocaux sont une des signatures du travail de Slava... certains reconnaitront la voix de Brandy ou encore celle de Britney. Mais il ne s'agit pas de remixer ou même recréer des morceaux, les samples sont ici manipulés comme des instruments rythmiques et des accroches auditives. Une programmation globalement squelettique, qui propose donc de l'espace, de la résonnance, une répétition hypnotique digne d'une nuit de clubbing sous psychotropes doux.
Né dans les années 80 à Moscou, Slava suit sa famille à Chicago à l'âge de 12 ans. Le jeune fanatique de Freddy Mercury y découvre alors la House music et se lance dès sa majorité dans la création de musique électronique. Désormais installé à New York, il se livre à une véritable dissection des éléments de pop, de R&B, de Hip-Hop, de Vogue House, de British Bass et d'Ambient. Premier album de Slava, « Raw Solutions » fait suite à son EP « Soft Control » et part à l'exploration des sons House des coins les plus sombres de Chicago. House, Footwork, retravaillés pour ses performances live électrisantes; ici enregistrés pour la plupart directement depuis son Korg Electribe ESX. Les samples vocaux sont une des signatures du travail de Slava... certains reconnaitront la voix de Brandy ou encore celle de Britney. Mais il ne s'agit pas de remixer ou même recréer des morceaux, les samples sont ici manipulés comme des instruments rythmiques et des accroches auditives. Une programmation globalement squelettique, qui propose donc de l'espace, de la résonnance, une répétition hypnotique digne d'une nuit de clubbing sous psychotropes doux.
Après Dame Fortune en 2016, RJD2 revient avec Tendrils, son deuxième album sous le nom de The Insane Warrior. Elargissant l'odyssée dans des compositions d'inspiration cinématique, cet album emmène les arrangements linéaires, les tonalités expérimentales et l'esthétique aliénée vers de nouvelles hauteurs. Complètement instrumental et presque dépourvu de batterie, ce disque est un nouveau chapitre des explorations sonores de l'artiste américain.
Les membres de Zombie Zombie ne sont jamais à cours d idées. En recherche permanente de sons nouveaux et inattendus, ils puisent leur inspiration dans les arts complémentaires, du cinéma aux arts plastiques. Ils signent ici un tout nouvel album. Ce projet est le fruit d une rencontre avec Martin Palisse et Elsa Guérin du Cirque Bang Bang. Pour composer cet album, le groupe s est plongé dans leur univers visuel afin d établir une connexion entre jonglage, mouvement et musique qu elle soit électronique, instrumentale, enregistrée, live, préexistante ou créée spécifiquement. La composition procède par transformation de motifs et superposition de couches mélodiques et rythmiques, correspondant aux principes d écriture chorégraphique autour du jonglage et du déplacement (répétition, transformation, variation). Cette soif d expériences nouvelles et leur curiosité insatiable font la force de leur uvre et la rende unique. L originalité de ce projet prouve, une fois encore, que Zombie Zombie n a pas fini de nous surprendre et de nous hypnotiser !
Cette superbe diffusion radio a été enregistrée à Paris en 1965 et regroupe tous les grands tubes du groupe dont Born to Run, So Far Away et Why Worry. Le légendaire line-up se compose de Eric Burdon (chant), Dave Rowberry (orgue & claviers), Hilton Valentine (guitare), Barry Jenkins (batterie), et Bryan Chas Chandler (basse).
Après Dame Fortune en 2016, RJD2 revient avec Tendrils, son deuxième album sous le nom de The Insane Warrior. Elargissant l'odyssée dans des compositions d'inspiration cinématique, cet album emmène les arrangements linéaires, les tonalités expérimentales et l'esthétique aliénée vers de nouvelles hauteurs. Complètement instrumental et presque dépourvu de batterie, ce disque est un nouveau chapitre des explorations sonores de l'artiste américain.
En ce début de saison estivale, le légendaire label allemand Milk & Sugar Recordings sort son Summer Sessions annuel, une double compilation avec la crème de la musique électronique la plus ensoleillée du moment ! Compilée et mixée par les deux têtes pensantes du label en personne, l'édition 2019 présente une fois de plus une belle sélection de titres deep house actuels et exclusifs et des morceaux house venus tout droit des Baléares. Chaleureuse, atmosphérique et décontractée pour la plage d'un côté, clubby et pétillante pour que la fête commence de l'autre. Sur deux CDs, l'auditeur découvre 30 productions ensoleillées de grands artistes tels que Worakls, Maya Jane Coles, Claptone, David Penn ou Angelo Ferreri, combinés en deux mixes de DJ. Avec leur tout nouveau single Riding High en collaboration avec Andrey Exx et Alice Russell, Milk & Sugar donnent une fois de plus le meilleur d'eux-mêmes cette saison ! Edition limitée.
Des températures proches de zéro, des journées raccourcies et seulement quelques heures de soleil par jour, il y a beaucoup à faire pour braver un hiver parfois déprimant. Le remède le plus prometteur contre le froid et la morosité est la musique, ce que Winter Sessions 2019 de Milk & Sugar nous apporte juste à temps. La compilation présente sur deux CD une sélection de ce que la scène de la musique électronique fait de mieux en ce moment. Les compilations Winter Session s de Milk & Sugar ont fait leurs preuves, et l'édition de 2019 réunit des grands noms, des jeunes talents et des remixes inédits, pour un total de 31 titres captivants. Des pointures comme Lexer, Aaron & Deckert, Steve Bug & Clé, Maya Jane Coles, Purple Disco Machine, Superlover ou David Penn, entre autres, apparaissent sur la compilation. Milk & Sugar ont également contribué avec deux de leurs chansons : Has Your Man Got Soul, remixée par le francfortois Chasing Kurt sur le premier CD, et Need You In My Life, sur le deuxième CD, une collaboration avec le chanteur américain Roland Clark. Edition limitée.
Slift, une messe assourdissante où les deux guitares et la batterie, en formation serrée, taillent des riffs stratosphériques à répétition. Chez ce trio toulousain les déhanchés frénétiques et les glapissement incessants sont résolument garage, mais à l'instar des sacro-saints Thee Oh Sees, la psychedelic music des 70's (kraut et space rock en tête de file) n'est jamais loin. Pour les fans de : King Gizzard & The Lizzard Wizard, Thee Oh Sees, Ty Segall, etc.
Vingt-cinq ans : c'est le temps qui s'est écoulé depuis que le duo Dole & Kom est rentré dans le monde de la musique électronique et des clubs grâce à son premier EP. Depuis lors, le duo a réussi à garder une ligne directrice, tout en prenant toujours des virages inattendus. Des éléments de techno et de house ont toujours fait partie de leur musique, comme on voit un éclair à l'horizon, mais au bout du compte aucun de ces genres n'est parfaitement approprié pour le son de Dole & Kom. Enigme mélodique et drame subtil, fréquences basses catégorie poids lourd, complexité extatique et pluies de cymbales à répétition : voilà quelques-unes des caractéristiques les plus marquantes du premier album de Dole & Kom. Il se compose exclusivement de nouveaux morceaux et tous reflètent une passion profonde et intacte pour les dancefloors, multipliée par une expérience remarquable. Trois morceaux ont été créés en collaboration avec des amis chanteurs. En dehors de ceux-ci, vous entendrez Dole & Kom de manière aussi pure que possible. En d'autres termes, c'est de la musique dance qui stimule l'auditeur à la fois sur le plan émotionnel et intellectuel, une musique dance qui offre à la fois de la profondeur et de l'élévation.
The Underdog est le quatrième album solo du multi-instrumentiste australien Jay Watson de Tame Impala et Pond. Son don pour traverser les genres musicaux - rock psyché, stoner, prog, pop, funk cosmique, soft rock, disco, electro - tout en réussissant à conserver une unité cohérente est flagrante sur ce nouvel album. Jay a mixé et enregistré l'album lui-même et ajouté la batterie au home studio de Kevin Parker. Un nouveau voyage intergalactique subjuguant !
MURDER CONSTRUCT sort un premier album tout en rage et riffs brutaux. Avec un line-up formé de vétérans du death metal et du grindcore (Cattle Decapitation, Exhumed, Impaled, Intronaut) le quintet propose un mélange efficace de guitares acérées, de batterie ultra-précise, de vocaux gutturaux et d'une touche d'expérimentation toute personnelle. Pour les fans de : Exhumed, Pig Destroyer, Napalm Death, Misery Index, Brutal Truth, Nasum...
MURDER CONSTRUCT sort un premier album tout en rage et riffs brutaux. Avec un line-up formé de vétérans du death metal et du grindcore (Cattle Decapitation, Exhumed, Impaled, Intronaut) le quintet propose un mélange efficace de guitares acérées, de batterie ultra-précise, de vocaux gutturaux et d'une touche d'expérimentation toute personnelle. Pour les fans de : Exhumed, Pig Destroyer, Napalm Death, Misery Index, Brutal Truth, Nasum...
Premier album de FEINDREHSTAR sur le label MUSSIKKRAUSE pour un melting pot de jazz fusion incluant funk, hip hop, house le tout joué live par un sextet comprenant trompette, saxophone, scratch et samples, percussions, piano, batterie, claviers. Enregistré dans les studios de JAZZANOVA et mixé par MICHAEL BAUMANN (SOULPHICTION / JACKMATE), cet album se veut live et souvent proche de l'improvisation, ce qui n'est pas sans rappeler la vocation première du groupe : le live puisqu'ils tournent depuis maintenant 10 ans.
The politics of Lonely a d'indéniables liens de parenté avec When I'm Gone, le précédent opus de SILENCIO, sorti en 2012. Toutefois, The Politics of Lonely ne saurait se résumer à une suite ou à un album bis. Car c'est un album rock, mais un rock à la Talk Talk, période Laughing Stock, ou à la Pan American. Pour SILENCIO, cela signfiie plus de rythmique - une batterie est présente sur la quasi intégralité du disque -, plus de mélodies et des structures dynamiques; sans renier l'essence contemplative, lumineuse et mélancolique que le groupe cultive depuis 6 albums. Magistralement produit, The Politics of Lonely offre une nouvelle facette du talent de SILENCIO.
The politics of Lonely a d'indéniables liens de parenté avec When I'm Gone, le précédent opus de SILENCIO, sorti en 2012. Toutefois, The Politics of Lonely ne saurait se résumer à une suite ou à un album bis. Car c'est un album rock, mais un rock à la Talk Talk, période Laughing Stock, ou à la Pan American. Pour SILENCIO, cela signfiie plus de rythmique - une batterie est présente sur la quasi intégralité du disque -, plus de mélodies et des structures dynamiques; sans renier l'essence contemplative, lumineuse et mélancolique que le groupe cultive depuis 6 albums. Magistralement produit, The Politics of Lonely offre une nouvelle facette du talent de SILENCIO.
Après leur premier album sorti en 2012 sur Radar Swarm Records et un split avec Year Of No Light, voici le deuxième opus de Bagarre Générale. Cinq ans se sont écoulés depuis, le line-up a évolué et le ton s'est durci. Tout en gardant sa spécificité propre avec la présence remarquée de cuivres (trombones) couplée avec des guitares aériennes, la section rythmique basse-batterie est beaucoup plus agressive et plombée;; ce qui confère aux trois longs morceaux une écriture plus incisive et un rendu plus efficace. Avec ses airs de bande son post métal pour films péplum des années soixante, Bagarre Générale impose son style et gagne en maturité.
Si la fin des années 80 marque la naissance et le choc gangsta rap avec le couronnement du groupe NWA, c'est surtout à travers son premier album que Dr Dre avec sa vision novatrice et ses prods sophistiquées, a fait exploser le courant G-Funk. Ce son laidback qui colle à l'image ensoleillée et cool que renvoie la Californie, on le retrouve notamment avec le morceau de Leon Haywood samplé sur le classique « Nuthin but a G Thang ». Influencés par le groove et les sonorités P-Funk, énormément de rappeurs ont largement piochés dans la discographie de George Clinton et ses 2 groupes Parliament et Funkadelic, dont on retrouve 3 titres dans la sélection. La recette synthé/grosse basse, DJ Quik et Eazy E avec ses protégés du groupe Above the Law l'avaient aussi utilisés en samplant des groupes Funk tels que Brass Construction, One Way, les Bar-kays ou Fatback. Et tandis que le LBC crew produit et signé par Snoop Dogg s'était approprié le redoutable « Heartbreaker » du groupe de funk electronique Zapp, Ice Cube reprenait lui le beat et la guitare funky du leader Roger Troutman sur « How to survive in South Central », avant de faire dans le mélodique en samplant du Gap Band. Impossible aussi de ne pas sélectionner les Ohio Players avec le titre « Funky Worm » qui sert de base à tout hymne West Coast qui se respecte. Enfin, le symbolique et versatile 2Pac, avait rappé sur des morceaux ayant samplés des titres aussi variés qu'un jazz-funk spatial de Quincy Jones, ou un classique Funk 80s de Kleer pour le remix de « California Love ».
Si la fin des années 80 marque la naissance et le choc gangsta rap avec le couronnement du groupe NWA, c'est surtout à travers son premier album que Dr Dre avec sa vision novatrice et ses prods sophistiquées, a fait exploser le courant G-Funk. Ce son laidback qui colle à l'image ensoleillée et cool que renvoie la Californie, on le retrouve notamment avec le morceau de Leon Haywood samplé sur le classique « Nuthin but a G Thang ». Influencés par le groove et les sonorités P-Funk, énormément de rappeurs ont largement piochés dans la discographie de George Clinton et ses 2 groupes Parliament et Funkadelic, dont on retrouve 3 titres dans la sélection. La recette synthé/grosse basse, DJ Quik et Eazy E avec ses protégés du groupe Above the Law l'avaient aussi utilisés en samplant des groupes Funk tels que Brass Construction, One Way, les Bar-kays ou Fatback. Et tandis que le LBC crew produit et signé par Snoop Dogg s'était approprié le redoutable « Heartbreaker » du groupe de funk electronique Zapp, Ice Cube reprenait lui le beat et la guitare funky du leader Roger Troutman sur « How to survive in South Central », avant de faire dans le mélodique en samplant du Gap Band. Impossible aussi de ne pas sélectionner les Ohio Players avec le titre « Funky Worm » qui sert de base à tout hymne West Coast qui se respecte. Enfin, le symbolique et versatile 2Pac, avait rappé sur des morceaux ayant samplés des titres aussi variés qu'un jazz-funk spatial de Quincy Jones, ou un classique Funk 80s de Kleer pour le remix de « California Love ».
Après leur premier album sorti en 2012 sur Radar Swarm Records et un split avec Year Of No Light, voici le deuxième opus de Bagarre Générale. Cinq ans se sont écoulés depuis, le line-up a évolué et le ton s'est durci. Tout en gardant sa spécificité propre avec la présence remarquée de cuivres (trombones) couplée avec des guitares aériennes, la section rythmique basse-batterie est beaucoup plus agressive et plombée;; ce qui confère aux trois longs morceaux une écriture plus incisive et un rendu plus efficace. Avec ses airs de bande son post métal pour films péplum des années soixante, Bagarre Générale impose son style et gagne en maturité.
THE END s'est construit une personnalité musicale propre et unique sur son nouvel album, Elementary, avec un son impeccable sur les 10 titres. La voix passionnée de AARON WOLF donne une expression unique à l'ensemble de cet opus. Elementary nous offre là une pièce indispensable en matière de métal moderne et inspiré. Elementary, qui marque un énorme pas en avant dans la créativité du groupe, a été enregistré durant l'été aux BWC Studios à Brampton, Ontario. L'artwork de Elementary est signé COLIN MARKS, en accord avec le concept de l'album à savoir les périls de l'idolâtrie. Le groupe est composé de AARON WOLFF au chant, à la guitare STEVE WATSON, à la basse SEAN DOOLEY et à la batterie ANTHONY SALAJKOE.