Derrière le traditionnel artwork joli et psyché de la pochette de Panzer Division Lou Reed se cache le disque le plus explosif de SUNROOF !.Un travail de démolition impeccable, à l'impact viscéral qui mène à un état d'immobilisme et de plénitude incontrôlable. Le groupe mixe ici élans électriques, crashs acérés et crescendos... Avec la participation de MICK FLOWER (VIBRACATHEDRAL ORCHESTRA) à la guitare, et JOHN MOLONEY (SUNBURNED HAND OF THE MAN) à la batterie.
On ne pourra jamais reprocher aux Dirtbombs de ne pas aimer leur ville. Certes, Detroit c'est moche, c'est tout casse, il n'y a plus de boulot, etc... Mais bon, personne ne pourra enlever a Motor City son role de premier plan dans le paysage musical mondial. C'est en tout cas l'avis des garageux des Dirtbombs. En 2001, ils avaient paye leur tribut a leur hometown en publiant Ultraglide in Black, album de reprises de tubes soul Made in Detroit des 60's-70's. Aujourd'hui, ils remettent ca en s'attaquant a un autre des fleurons de Detroit : la Techno. Ambitieux, le projet n'en est pas moins allechant. Sur neuf titres, le quintet revisite certaines des grandes heures du prolifique repertoire local en la matiere. Il faut dire qu'en ayant ete le berceau de pointures telles que Kevin Saunderson, Carl Craig ou Derrick May, Detroit a indeniablement laisse un heritage des plus consequents en terme de musique electronique. Les trois grands noms precites figurent bien evidemment sur la tracklist de Party Store. Craig s'est meme invite sur la version de son tube Bug in the Bass Bin, qu'fil avait signe sous le pseudo d'Innerzone Orchestra en 1999.
Alors qu'on croyait le projet enterré, le groupe Medicine est de retour après 18 ans d'absence. Retrouvant la formation initiale avec Beth Thompson au chant, Brad Laner à la guitare et Jim Goodall à la batterie, To the Happy Few montre le besoin des membres de retrouver leur héritage créatif. Mixant des sons bruts avec mélodies obsédantes et un rock groovy, ce nouvel album retourne aux origines du groupe tout en explorant de nouveaux territoires.
Alors qu'on croyait le projet enterré, le groupe Medicine est de retour après 18 ans d'absence. Retrouvant la formation initiale avec Beth Thompson au chant, Brad Laner à la guitare et Jim Goodall à la batterie, To the Happy Few montre le besoin des membres de retrouver leur héritage créatif. Mixant des sons bruts avec mélodies obsédantes et un rock groovy, ce nouvel album retourne aux origines du groupe tout en explorant de nouveaux territoires.
Thirst est le tout premier album de Waves Of Fury. Les britanniques Carter Sharp (voix), Bim Williams (cuivres), Fil Ward (guitares/voix), James Macphee (batterie) et Jamie Bird (pianos/voix) s'emparent du rhythm & blues et le passent à la moulinette des 40 dernières années musicales, de Motown & Stax aux Stooges, Sex Pistols, Spiritualized et The Mary Chain. Une bouffée d'air frais, un son qui crépite et explose, enregistré dans les studios de PJ Harvey à Bristol. Voix punk sur son vintage.
Dans la foulée de la tournée mondiale de l'album Conatus, Nika Roza Danilova (Zola Jesus) fût invitée a jouer au musée Guggenheim a New York, l'un des plus prestigieux musées d'art contemporain / moderne. Elle saisit cette opportunité pour travailler avec un compositeur classique afin d'arranger ses morceaux pour quartet. Elle recrute alors JG Thirlwell (aka Foetus), un des pionniers de la musique industrielle new yorkaise dudebut des annees 80, qui au travers de ses differents projets (Manoerxia, Steroid Maximus, Wiseblood ou encore les BO pour la série Adult Swim) reste reconnaissable avec son approche cinematographique, intense et dramatique de la musique. Pour avoir travaille avec des big band, des projets allant du noise-rock à l'électronique abstrait en passant par de la musique de chambre, Thrilwell apparait comme le collaborateur idéal pour Zola Jesus /Danilova. Sur Versions, ils retravaillent les approximations des albums passes, réinventant les morceaux. Sans les éléments électroniques qui structuraient les titres, les morceaux deviennent alors comme plus légers et permettent de toucher un public plus large, qui ne se serait peut-être pas aventurer dans l'arène techno-pop / industrielle.
Dans la foulée de la tournée mondiale de l'album Conatus, Nika Roza Danilova (Zola Jesus) fût invitée a jouer au musée Guggenheim a New York, l'un des plus prestigieux musées d'art contemporain / moderne. Elle saisit cette opportunité pour travailler avec un compositeur classique afin d'arranger ses morceaux pour quartet. Elle recrute alors JG Thirlwell (aka Foetus), un des pionniers de la musique industrielle new yorkaise dudebut des annees 80, qui au travers de ses differents projets (Manoerxia, Steroid Maximus, Wiseblood ou encore les BO pour la série Adult Swim) reste reconnaissable avec son approche cinematographique, intense et dramatique de la musique. Pour avoir travaille avec des big band, des projets allant du noise-rock à l'électronique abstrait en passant par de la musique de chambre, Thrilwell apparait comme le collaborateur idéal pour Zola Jesus /Danilova. Sur Versions, ils retravaillent les approximations des albums passes, réinventant les morceaux. Sans les éléments électroniques qui structuraient les titres, les morceaux deviennent alors comme plus légers et permettent de toucher un public plus large, qui ne se serait peut-être pas aventurer dans l'arène techno-pop / industrielle.
Depuis plus de trente ans, Adrian Sherwood est l'un des producteurs, artistes et remixeurs les plus fins, et systématiquement révolutionnaires. Il a travaillé avec Nine Inch Nails, The Cure, Blur, Primal Scream et Lee 'Scratch' Perry et a aussi fait partie des groupes Tackhead et Mark Stewart. Précurseur et figure emblématique de la musique anglaise et désormais légendaire pour la singularité du son qu'il a créé avec On-U Sound, il est aussi à l'origine d'une longue liste de productions cultes des années 90. Après le lancement du reggae et du dub, il a véritablement innové avec l'expérimentation électronique, le grind industriel, la world music, et bien plus encore n'a jamais éclipsé sa propre identité, ni dilué un son unique ancré dans la basse. Le style singulier de production de Sherwood est ici très reconnaissable les techniques expérimentales qui opposent le bruit à la mélodie, mettant en relief les liens manquants entre dub, racines blues et bossa brésilienne, tout aussi génial que la lignée post-punk de l'esthétique On-U et l'approche mythique du mix qu'il a fait évoluer au fil des ans. Un maelström tourbillonnant à faire trembler les crânes, des timbres fortement électroniques et un déploiement magistral de moments de répit et d'échos étrangers, Survival & Resistance est le son de l'avant-garde dub en 2012.
Dead Boys est un groupe de punk rock du début des années 70 formé de Stiv Bators (chant), Cheetah Chrome (guitare), Jimmy Zero (guitare) et de Johnny Blitz (batterie). C'est Joey Ramones qui les pousse en 1976 à s'installer à New York et ils se font remarquer dans les années 70 grâce à leurs performances lives obscènes et outrageuses. Liver Than You'll ever be a été enregistré au Ritz en Décembre 1987. Le live comprend la chanson Sonic Reducer considérée comme un classique du groupe.
En 2003 Scott commence à jouer en solo sous le nom de Frightened Rabbit. L'année suivante sont frère s'installe à Glasgow et le rejoint à la batterie et début 2006 Billy vient apporter une deuxième guitare et des claviers. Le trio a un don pour écrire des chansons pop proche de la perfection narrant des contes de gens ordinaires avec un humour acerbe et une esthétique garage pop moderne et éloquente. Cette pop teintée de folk prend parfois une forme emo/punk plus musclée rappelant la période électrique du Sebadoh des débuts.
Premier album de l'artiste expérimentale Magda Drozd, inclus carte de téléchargement signée par l'artiste, soutenu par Resident Advisor, Fact, Vinyl Factory... Le titre du premier album de Magda Drozd, Songs for Plants, va au-delà de l'invocation d'un auditoire implicite inhabituel et indique son désir de remettre en question les expériences d'écoute traditionnelle, en effet les plantes ont été au coeur du processus d'écriture de l'album de onze chansons du musicien. La palette sonore de Drozd comprend des synthétiseurs, du field recording, un violon, une guitare, sa propre voix et des enregistrements de cactus, ces derniers ayant été réalisés à l'aide des dernières technologies d'enregistrement qui ont permis à Drozd de rendre audible le son du figuier de Barbarie, par exemple. Drozd s'interroge ainsi sur la paternité de l'oeuvre tout en démontrant l'absurdité de la recherche incessante de nouvelles sources sonores dans la musique expérimentale contemporaine. Tout cela laisse Drozd avec un album très poétique entre électronique expérimentale, ambient, off-pop et dub techno. Tendre et abrasive à certains moments, elle réussit à combiner la mélancolie, la critique, l'espoir et la distanciation - comme si Grouper, Jan Jelinek, The Space Lady, et Hieorglyphic Being s'étaient réunis pour re-enregistrer Low on Ice d'Alec Empire.
Réédition de cette pièce jazz très recherchée par les collectionneurs et initialement sortie en 1986. Voodoo présente la facette hard bop de Sonny Clarke dans un quatuor Allstar du centre-ville de New York avec John Zorn (sax alto), Wayne Horvitz (piano), Bobby Previte (batterie) et Bill Drummond (bassiste de renom). Toutes les compositions sont de Sonny Clark, y compris ses succès tels que Cool Struttin et Something Special, issus de ses sessions classiques de la fin des années 50 et du début des années 60 période Blue Note.
En presque vingt ans, George Issakidis est devenu le plus grand excentrique de la scène électronique française. Sa musique n'a jamais collé à son temps : trop dark pour la French Touch, trop moite pour l'electroclash, trop souillée pour la minimale, et aujourd'hui probablement trop verticale et trop profonde pour la consommation accélérée de la musique d'aujourd'hui. Depuis la fin des Micronauts en 2000, George creuse en solo encore plus son fantasme de dance music au ralenti, tout en améliorant sa maîtrise des outils de traitement du signal. Quelques projets, une fondation de label et de nombreux remixes plus tard, voici enfin Karezza, quasiment son vrai premier album. Au programme : techno sous codéine pour backrooms dégoulinantes, mantras pour aubes boisées, hard house prise en embuscade par une basse funk dérangée ou encore élégie tropicale. Karezza est un album psychédélique gris-rose, qui envahit l'âme de celui qui l'entend comme le ferait une drogue ou une passion. Un disque de musique sacrée, mystique, voluptueuse et austère à la fois, qui réussit simultanément à exciter et soulager le désir d'élévation de l'auditeur. C'est du Autechre qu'on forcerait à danser, de la minimale qu'on emmènerait dans une partouze en plein air. C'est de la beauté à l'état impur, du beau spontanément conçu pour 2013.
En presque vingt ans, George Issakidis est devenu le plus grand excentrique de la scène électronique française. Sa musique n'a jamais collé à son temps : trop dark pour la French Touch, trop moite pour l'electroclash, trop souillée pour la minimale, et aujourd'hui probablement trop verticale et trop profonde pour la consommation accélérée de la musique d'aujourd'hui. Depuis la fin des Micronauts en 2000, George creuse en solo encore plus son fantasme de dance music au ralenti, tout en améliorant sa maîtrise des outils de traitement du signal. Quelques projets, une fondation de label et de nombreux remixes plus tard, voici enfin Karezza, quasiment son vrai premier album. Au programme : techno sous codéine pour backrooms dégoulinantes, mantras pour aubes boisées, hard house prise en embuscade par une basse funk dérangée ou encore élégie tropicale. Karezza est un album psychédélique gris-rose, qui envahit l'âme de celui qui l'entend comme le ferait une drogue ou une passion. Un disque de musique sacrée, mystique, voluptueuse et austère à la fois, qui réussit simultanément à exciter et soulager le désir d'élévation de l'auditeur. C'est du Autechre qu'on forcerait à danser, de la minimale qu'on emmènerait dans une partouze en plein air. C'est de la beauté à l'état impur, du beau spontanément conçu pour 2013.
Les copines de Brooklyn Sarah Register et Andrya Ambro forment en 2007 le groupe Talk Normal, en référence à une chanson de Laurie Anderson. En deux albums particulièrement réussis, ce duo guitare/batterie - qui n'hésite pas à l'occasion à martyriser une basse ou même un saxophone - a su imposer sa griffe musicale. Beats tendus, guitares aussi massives que dissonantes et textes répétitifs plus souvent martelés que chantés : un rock rugueux, expérimental et sans concession entre post-punk et no-wave, dans la lignée de The Velvet Underground, Sonic Youth, Bauhaus, DNA ou Lydia Lunch.
Les copines de Brooklyn Sarah Register et Andrya Ambro forment en 2007 le groupe Talk Normal, en référence à une chanson de Laurie Anderson. En deux albums particulièrement réussis, ce duo guitare/batterie - qui n'hésite pas à l'occasion à martyriser une basse ou même un saxophone - a su imposer sa griffe musicale. Beats tendus, guitares aussi massives que dissonantes et textes répétitifs plus souvent martelés que chantés : un rock rugueux, expérimental et sans concession entre post-punk et no-wave, dans la lignée de The Velvet Underground, Sonic Youth, Bauhaus, DNA ou Lydia Lunch.
Regal Degal est un puissant trio formé à Brooklyn en 2009 et constitué de Josh da Costa au chant et à la guitare, Josiah Wolfson à la basse et Jamen Whitelock à la batterie. Désormais établis à Los Angeles, le groupe tire les fils de multiples influences : post-punk, krautrock, psyché des années 60, new wave des années 80, minimal house germanique et rythmiques africaines. Très axée sur le rythme donc, presque cinétique, mais aussi mélodique et atmosphérique. Un deep-rock résolument à ancré dans un héritage musical qu'ils projettent dans le futur.
Regal Degal est un puissant trio formé à Brooklyn en 2009 et constitué de Josh da Costa au chant et à la guitare, Josiah Wolfson à la basse et Jamen Whitelock à la batterie. Désormais établis à Los Angeles, le groupe tire les fils de multiples influences : post-punk, krautrock, psyché des années 60, new wave des années 80, minimal house germanique et rythmiques africaines. Très axée sur le rythme donc, presque cinétique, mais aussi mélodique et atmosphérique. Un deep-rock résolument à ancré dans un héritage musical qu'ils projettent dans le futur.
Dans la grande tradition des albums ne consistant que de longues chansons, The Middle Path se classe parmi les meilleurs. Au même niveau que le dernier Decimus ou que le premier long format d'Ash Ra Tempel. Le leader Adam Payne et son bassiste Matthew Clark présentent leur composition rock la plus dense à ce jour. La première piste évoque les premiers albums de Black Sabbath et Thin Lizzy. Le deuxième noie l'auditeur sous des torrents de solos de guitares torrides d'explosions de batterie qui raviront les fans de Keith Moon et Bill Ward.
Les September Girls (Sarah, Jessie, Caoimhe, Lauren et Paula) plongent dans la piscine du rock bruitiste à l’ère post-punk. Ainsi, les guitares des filles de Dublin hurlent, distordent et fusionnent avec les voix, l’orgue et la batterie. Le tout en harmonie et ça sonne bien un vendredi soir à la brasserie devant une table de billard, une bière à la main... Dans la lignée inspirée de My Bloody Valentine et The Jesus and Mary Chain, le groupe, créé il y a trois ans, s’apprête à livrer son deuxième mini-album « Veneer » constitué de quatre chansons inédites chantées chacunes par un différent membre du groupe.
Après Whislebower en 2007, SASU RIPATTI revient avec Tummaa sous son pseudonyme VLADISLAV DELAY. Ce collaborateur de BLACK DICE, MASSIVE ATTACK et RYUCHI SAKAMOTO, également membre de MORITZ VON OSWALD TRIO, revient pour l'occasion à ses premiers amours : le jazz et la batterie. Il délaisse donc les machines pour retrouver ses fûts sur ce nouvel album plus organique et acoustique qu'à son habitude, et sur lequel il s'est entouré de LUCIO CAPECE au sax et à la clarinette ainsi que de CRAIG ARMSTRONG au piano. Une formation de haute volée qui offre ainsi 7 titres à la beauté magnétique, entre tension et émotion.
Après Whislebower en 2007, SASU RIPATTI revient avec Tummaa sous son pseudonyme VLADISLAV DELAY. Ce collaborateur de BLACK DICE, MASSIVE ATTACK et RYUCHI SAKAMOTO, également membre de MORITZ VON OSWALD TRIO, revient pour l'occasion à ses premiers amours : le jazz et la batterie. Il délaisse donc les machines pour retrouver ses fûts sur ce nouvel album plus organique et acoustique qu'à son habitude, et sur lequel il s'est entouré de LUCIO CAPECE au sax et à la clarinette ainsi que de CRAIG ARMSTRONG au piano. Une formation de haute volée qui offre ainsi 7 titres à la beauté magnétique, entre tension et émotion.
Connu pour avoir fait partie des groupes Guilty Pleasures et surtout The Ponys, Jared Gummere est indéniablement est un des meilleurs paroliers de sa génération, ayant influencé Jay Reatard et la scène actuelle de Brooklyn en général. Pour son nouveau projet Bare Mutants, il s'entoure de la crème de Chicago : Seth Bohn de Mannequin Men à la basse, Jeanine O'Toole de 1900s aux choeurs et tambourins, Matt Holland à la batterie et Leslie Deckard à l'orgue. Bare Mutants rassemble tout le répertoire de Gummere et créé un mur du son plein d'une émotion vive, crue et intense. Des grooves célestes qui auront pour effet de mettre n'importe qui en transe.
Connu pour avoir fait partie des groupes Guilty Pleasures et surtout The Ponys, Jared Gummere est indéniablement est un des meilleurs paroliers de sa génération, ayant influencé Jay Reatard et la scène actuelle de Brooklyn en général. Pour son nouveau projet Bare Mutants, il s'entoure de la crème de Chicago : Seth Bohn de Mannequin Men à la basse, Jeanine O'Toole de 1900s aux choeurs et tambourins, Matt Holland à la batterie et Leslie Deckard à l'orgue. Bare Mutants rassemble tout le répertoire de Gummere et créé un mur du son plein d'une émotion vive, crue et intense. Des grooves célestes qui auront pour effet de mettre n'importe qui en transe.
Ce premier album éponyme de John The Conqueror est à la croisée de l'ancien et du nouveau, du nord et du sud des Etats-Unis. Pierre Moore (chant & guitare) et Michael Gardner (batterie) sont cousins et natifs de Jackson dans le Mississippi tandis que le bassiste Ryan Lynn est né à Philadelphie (où ils sont désormais basés). Ensemble, ils créent une mixture explosive de de blues non-raffiné à du funk, de la soul, du punk et du rock'n'roll à l'ancienne. Une approche à la musique simplement passionnée, honnête, simple, mais aussi pleine de références (Dr. John, Muddy Waters, Willie Dixon) ou proche de la soul rageuse de Gary Clark Jr.
Ce premier album éponyme de John The Conqueror est à la croisée de l'ancien et du nouveau, du nord et du sud des Etats-Unis. Pierre Moore (chant & guitare) et Michael Gardner (batterie) sont cousins et natifs de Jackson dans le Mississippi tandis que le bassiste Ryan Lynn est né à Philadelphie (où ils sont désormais basés). Ensemble, ils créent une mixture explosive de de blues non-raffiné à du funk, de la soul, du punk et du rock'n'roll à l'ancienne. Une approche à la musique simplement passionnée, honnête, simple, mais aussi pleine de références (Dr. John, Muddy Waters, Willie Dixon) ou proche de la soul rageuse de Gary Clark Jr.
Projet du guitariste norvégien HP Gunderson accompagnée d'une flopée internationale de musiciens et chanteurs dont Hei Goodbye au chant, Ivar Thormodsæter à la batterie et Yuyue Zheng guzheng ( cithare chinoise). Absorbant des influences de l'est, Gunderson inclus guzheng, flute pastorale et guitares hawaïennes et le violon Hardenger scandinave, Gunderson ajoute à cela country et folk psychédélique. Pour l'artiste le concept de musique universelle est plus vieux que celui de divertissement. Fortes Influences de la guitare transe de Steve Reich, de la vision multiculturelle de Don Cherry, les harmonies des Beatles période Rubber-Soul ou encore du folk-rock de David Crosby et Stephen Stills.
Projet du guitariste norvégien HP Gunderson accompagnée d'une flopée internationale de musiciens et chanteurs dont Hei Goodbye au chant, Ivar Thormodsæter à la batterie et Yuyue Zheng guzheng ( cithare chinoise). Absorbant des influences de l'est, Gunderson inclus guzheng, flute pastorale et guitares hawaïennes et le violon Hardenger scandinave, Gunderson ajoute à cela country et folk psychédélique. Pour l'artiste le concept de musique universelle est plus vieux que celui de divertissement. Fortes Influences de la guitare transe de Steve Reich, de la vision multiculturelle de Don Cherry, les harmonies des Beatles période Rubber-Soul ou encore du folk-rock de David Crosby et Stephen Stills.
Le duo italien de dance pop M+A sort son second album These Days. Le premier opus du groupe Things.Yes explorait de manière inventive la pop electro acoustique et présageait un après prometteur, mais finalement rien n'aurait pu préparer à ce second album. Moins de sample cette fois, le duo joue de tous les instruments lui-même, excepté pour la batterie acoustique de Marco Frattini. Dès les premières minutes de l'album on est agrippé par les beats entraînants, les cordes pizzicato et le synthé syncopé. Allant tantôt du côté pop funk, tantôt s'essayant aux tubes retro des 80s comme l'oint fait dernièrement Daft Punk, Phoenix ou même The Strokes, These Days place M+A au même niveau que ses contemporains.
Sorti en 1974, Unk in Funk est l'une des dernières sorties de Muddy Waters sur le label Chess Records. L'album montre que le chanteur était à l'époque toujours au top et toujours ambitieux plus qu'il va plus loin dans son exploration de l'electric blues. Sur l'album figurent les musiciens qui accompagnent Waters tout au long de sa carrière : Pinetop Perkins au piano, (Earl Hooker), Luther Johnson (The Nighthawks), Bob Margolin à la guitare, Calvin Fuzz Jones à la basse, (The Legendary Blues Band) et Willie Big Eyes Smith à la batterie, Bo Diddley, John Lee Hooker) avec des apparitions exceptionnelles de George Buford, Paul Oscher (Louisiana Red), et Carey Bell (Willie Dixon) à l'harmonica.
Superbe 1er album de TOPS, canadiens qui mélangenet avec brio punk et pop sur le label qui a lancé GRIMES. Le groupe formé par les deux ex-Silly Kissers Jane Penny (voix) et David Carriere (guitare) - en plus de Riley Fleck à la batterie et Thom Gillies à la basse - est un pur produit d'Arbutus Records, label à l'élégance aussi éclectique qu'avérée ( Blue Hawaii, Grimes, Tonstartssbandht, Sean Nicholas Savage). Tender Opposites, sans être rétrograde, est ainsi à concevoir tel un voyage passéiste invitant l'auditeur à l'immersion, entre introspection tourmentée (Evening, Go Away), funambules cavalcades (Diamond Look, VII Babies, Turn Your Love Around) et balades rassérénées (Double Vision, Rings Of Saturn).Thibault, HARTZINE, 201
David Wingo a été très occupé depuis le dernier album du projet Ola Podrida, il a écrit et enregistré plusieurs bandes originales de films : Take Shelter (Grand Prix à Cannes en 2011), MUD (avec Matthew McConaughey et Reese Witherspoon), et Prince Avalanche (avec Paul Rudd et Emile Hirsch - une BO co-composée avec Explosions In The Sky). Ghosts Go Blind a été enregistré entièrement en studio, avec la formation live du groupe : Colin Swietek (guitares), Matt Clark (basse) et David Hobizal (batterie). Un résultat énergique, accessible, avec la narration abstraite de Wingo, toujours plus personnelle et intime. Une jeunesse dissoute, un homme qui accepte son état d'adulte, un désespoir palpable, invitant à la compassion la plus sincère.
Crumb est la collaboration de Lila Ramani (guitare, chant), Brian Aronow (synthé, clés, sax), musiciens basés à Brooklyn, Jesse Brotter (basse) et Jonathan Gilad (batterie). Ces amis se sont réunis en 2016 dans le but de développer et d'enregistrer une collection de chansons que Ramani avait écrites au lycée et à l'université, ce travail ayant abouti aux deux premiers EP du groupe, Crumb de 2016 et 2017, 'Locket'. Encouragé par l'accueil chaleureux en ligne et lors de spectacles, le groupe s'est transformé en un projet de tournée et d'enregistrement à temps plein. Le Crumb / Locket EP, qui n'était auparavant disponible qu'en quantités limitées sur le site Web du groupe, sera disponible pour la première fois dans les magasins le 9 août 2019.
Digibook Deluxe contenant 2 CDs, 1 DVD et un livret photos et paroles de 48 pages : S'inspirant librement des grands maitres du hip hop, du jazz et de la funk, Deluxe crée sa propre recette musicale, unique en son genre et dans laquelle une seule constante demeure : le groove ! Kaya à la basse, Kilo à la batterie et aux platines, Pietre à la guitare, Soubri aux percus et aux machines, Pépé aux cuivres... le groupe se compose de 5 musiciens et de Liliboy, une chanteuse à la voix suave et détonante. C'est également sur scène que le groupe prend toute sa dimension où il offre au public un mélange explosif à l'énergie dévastatrice et contagieuse, totalement jubilatoire pour le corps et les oreilles ! Retrouvez gravé sur ce live explosif indispensable leur concert donné à l'Olympia avec la présence inédite du groupe IAM et de -M- !
Découvrez le nouvel album du groupe de Baltimore THANK YOU enregistré par J. ROBBINS (YEASAYER, MARY TIMONY, JETS TO BRAZIL) et produit par CHRIS COADY (YEAH YEAH YEAHS, TV ON THE RADIO, CELEBRATION). Les prestations scéniques de grande qualité du groupe leur ont permis de bénéficier d'un bouche à oreille exceptionnel. Leur musique est une union à la dérive, un chaos à couper le souffle : la batterie, le clavier et les guitares sont agrémentés de sifflements, de cloches, d'harmonica, de boucles craquelées... de tout ce qui peut leur tomber sous la main. Le groupe enregistre ici le fruit de leurs expérimentations live mélangées avec de nouveaux éléments travaillés en studio pour former une oeuvre arty et expérimentale. Les personnes en quête d'un son nouveau y trouveront leur bonheur... Ecoutez dès maintenant le futur. _______________________________________________________________________________________________________
Xiu Xiu a pendant longtemps écumé les blogs musicaux. Avec Women As Lovers, Xiu Xiu nous délivre 14 chansons intenses et très diversifiées où leur fureur créative est incroyable, s'épanchant dans une infinité de dimension. Composé de Jamie Stewart (chanteur), Caralee McElroy, Ches Smith (batterie) et Devin Hoff (basse), Xiu Xiu est une référence dans le monde des home-studistes, tellement leur méticulosité d'enregistrement est impressionnante. Women As Lovers marrie l'ancien et le futuriste, dans toute leur terreur et leur beauté. Des gongs traditionnels se heurtent à des nappes de section informatique. Avec Xiu Xiu, c'est la ténacité qui mène le siège. L'amour est allé se coucher depuis longtemps. Néanmoins cette noirceur n'entache en rien la beauté de Women As Lovers.
Après une tournée mondiale d'une centaine de dates pour défendre Dreams, leur premier album, le quartet berlinois THE WHITEST BOY ALIVE se sont construit un studio sur une plage mexicaine où ils suivent leur propre règle : enregistrer leurs tubes en une seule prise, à la régulière, sans sequencing. Loin est donc l'époque où THE WHITEST BOY ALIVE se lançait en tant que projet dance/electro Et pourtant De ces jam sessions ensoleillées résulte Rules, un cocktail analogique détonnant de pop/lounge discoïde au songwriting gracieux signé ERLEND OYE (KINGS OF CONVENIENCE) et aux gimmicks dancefloor tenus par les keys (Fender Rhodes et Crumar) de DANIEL NENTWIG sur un combo funky (guitar, basse, batterie) simplissime d'efficacité. Quelque part entre JAY JAY JOHANSON et ESG, Rules ne manquera pas d'illuminer d'un soleil boréal votre stereo.
Formé en 2006 et après un premier album éponyme très remarqué, le trio nantais PAPIER TIGRE se voit aussitôt comparé à LIARS et BATTLES. Boulimiques de travail, les 2 guitares et la batterie de PAPIER TIGRE ont joué aux Transmusicales de Rennes, au Brésil, en Chine et seront même les invitées d'EXPLOSIONS IN THE SKY à l'ATP Festival en mai 2008. Avant de partir en tournée aux côtés des FRENCH COWBOY aux Etats-Unis, PAPIER TIGRE a tout de même pris le temps d'enregistrer avec IAN BURGESS son deuxième album, The beginning and End of Now, qui pose son regard sur un monde obsédé par l'immédiateté. Le groupe s'ouvre ainsi à de nouvelles influences, sans renier une dynamique et une énergie rock. La rythmique gagne en souplesse; Plus hypnotique, elle dessine un tunnel tout en virages dans lequel serpentent des guitares 'reptiliennes'. Indispensable.
'To clean', en ouverture, c'est Pavement jouant les Mamas and Papas, et c'est drôlement terrible. La candeur vintage, l'enthousiasme hippie, la félicité mélodique, les chorus solaires à voix multiples, harponnés par des slackers et triturés par un modèle de guitare souillon, en 2 minutes 17 de bonheur carabiné. Woods reprend la main dès le morceau suivant, sur un tempo ralenti, et impose sa franche singularité. Même solo ébréché. Mêmes choeurs. Même batterie monotonique au son de caisse claire fabriquée avec un bidon. Même captation home made par des micros au bord de la saturation. La candeur est sixties.. La voix si haut perchée, digne d'un shoot d'hélium. Un naturel déconcertant. Qu'est-ce que Woods ? Une façon significative d'attacher l'auditeur. Une écoute égarée. Un émerveillement. Cette musique, c'est comme de partir motivé en trekking et de se retrouver à chasser les papillons, totalement paf et enchanté. Terrible. MILLEFEUILLE.FR
Période électorale américaine oblige, le cirque politico-médiatique ne pouvait pas laisser Jello Biafra and the Guantanamo School of Medicine indifférents. Leur envie de remuer la soupe et y mettre leur poivre est présentée dans ce nouvel EP, SHOCK-U-PY! Hommage au mouvement Occupy WallStreet, on y retrouve des titres tels que Barackstar O'Bummer (qui n'apparaitra pas sur l'imminent second album du groupe) et un remix de We Occupy, un morceau créé avec DOA. On y retrouve pour la première fois à la basse Andrew Weiss (Ween, Rollins Band, Butthole Surfers) et les rythmes puissants de Paul Della Pelle à la batterie (ex-membre de Ruin, Helios Creed, Nik Turner's Space Ritual etc). The Guantanamo School of Medicine seront bientôt en tournée mondiale pour promouvoir leur prochain album White People and the Damage Done. Coupon MP3 (dont un titre bonus) inclus !
10 vignettes sur la condition féminine de nos jours, où aucun sujet n'est évité, l'amour, la mort, la politique, la nature même de l'existence le tout joyeusement mis en musique, avec chaleur et humour. Icône féministe et légende de la scène indie rock, Amelia Fletcher (Talulah Gosh/Heavenly) mène un groupe constitué d'Emily Bennett (Betty and the Werewolves) qui remplace Elizabeth Morris (Allo Darlin), Katrina Dixon à la batterie, John Stanley à la guitare et le bassiste original de Heavenly, Robert Pursey. Un album très vocal (3 chanteuses) et rempli de choeurs inspiré des premiers groupes féminins (l'une des chansons parle d'une femme enfermée dans une chanson des Shangri Las !) Enregistré aux Bark Studios avec le producteur Brian O'Shaughnessy (Primal Scream, My Bloody Valentine, Saint Etienne), l'album est disponible sous pochettes verte violette ou blanche (couleurs des suffragettes).
10 vignettes sur la condition féminine de nos jours, où aucun sujet n'est évité, l'amour, la mort, la politique, la nature même de l'existence le tout joyeusement mis en musique, avec chaleur et humour. Icône féministe et légende de la scène indie rock, Amelia Fletcher (Talulah Gosh/Heavenly) mène un groupe constitué d'Emily Bennett (Betty and the Werewolves) qui remplace Elizabeth Morris (Allo Darlin), Katrina Dixon à la batterie, John Stanley à la guitare et le bassiste original de Heavenly, Robert Pursey. Un album très vocal (3 chanteuses) et rempli de choeurs inspiré des premiers groupes féminins (l'une des chansons parle d'une femme enfermée dans une chanson des Shangri Las !) Enregistré aux Bark Studios avec le producteur Brian O'Shaughnessy (Primal Scream, My Bloody Valentine, Saint Etienne), l'album est disponible sous pochettes verte violette ou blanche (couleurs des suffragettes).
Le trio Volcano revient avec Paperwork, donnant suite à leur premier album Beautiful Seizure qui a fait trembler le gotha de l'art rock en 2005. Car en effet, VOLCANO! repousse les frontières du rock vers des contrées inconnues, influencées par le free-jazz, les musiques électroniques et le rock expérimental. Pour Paperwork, ils avouent avoir écrit un album sympa à jouer et (presque) tout aussi sympa à écouter tout en maintenant un certain équilibre entre mélodie et noise. Mélodie pour le chant hanté, lyrique et déjanté de AARON WITH. Noise pour les guitares superposées en couches dégoulinantes et ponctuées d'éruption de batterie. Et vice-versa. Les compositions ébranlent les intros pop pour les faire voler en éclats sur des guitares dissonantes à la manière de DEERHOOF, DIRTY PROJECTORS ou encore LIARS. Les textes eux aussi superposés évoquent les ONG, la perte des idéaux et le monde du travail.
Nommée révélation Montréalaise par la CBC qui la décrit comme « la rencontre musicale et philosophique entre la New-Yorkaise Regina Spektor et la Canadienne Feist », Caroline Keating s'apprête à faire sensation dans nos contées Européennes. Originaire de Québec, elle s'installe à Montréal en 2004 où elle fait sensation au Festival POP Montréal et sa communauté musicale. Sa pop poétique au piano l'a vite emmenée aux quatre coins des USA et en Europe. On a hâte de la retrouver sur scène avec son groupe live composé de Jeremy Gara (Arcade Fire) à la batterie, Sebastian Chow (Islands) au violon et Matthew Perrin à la basse. Enregistré par Drew Malamud (Metric, Stars), Silver Heart est un album de pop artisanale sur lequel s'illustrent Miles Perkins (Lhasa de Sala), Robbie Kuster (Patrick Watson), Brad Barr (Barr Brothers), Chris Seligman (Stars), Sebastian Chow (Islands) et Josh Dolgin (Socalled).
Du folk dentelle à la pop poétique en passant par le garage et le punk, l'inclassable Jaromil Sabor se colle une nouvelle étiquette, plus nineties, avec un 4ème album, Second Science. Derrière ce pseudo se cache le bordelais Loïk Maille, auteur-compositeur et interprète protéiforme, dont l'histoire prend racine à la fin des années 2000, d'abord avec les soyeux Artyfacts puis au sein d'Arthur Pym And The Gordons. En 2012, il décide de tracer sa route en solitaire. Fruit d'une expérience pop dense, la musique de Jaromil Sabor est à l'image du personnage : multiple et généreuse, voire même schizophrène. Second Science est une parfaite synthèse des trois albums précédents, enfonçant une nouvelle porte, entre twee pop et nineties, le rock indépendant des Beat Happening ou celui des Vaselines. D'abord seul sur scène, puis trio et enfin quintet, Jaromil est désormais entouré de Suzy Cacheux à la guitare, Boris Cuisinier à la basse, Samuel Roux au clavier et François Tastet à la batterie.
Retour en grande forme pour l'ex-leader des Dead Kennedys, et second album avec son nouveau groupe. Un album concept comme il n'en avait pas sorti depuis Frankenchrist. A la suite de l'EP de l'automne, SHOCK-U-PY! Jello et ses acolytes s'attaquent à la corruption et aux médias, mais aussi comme le titre l'indique, aux désastres de la politique étrangère américaine. Un brulot punk, en pleine face, sans tergiverser, ni flirter avec des styles moins extrêmes, White People and the Damage Done est produit par Marshall Lawless et Matt Kelley (nombreux projets de Jello, Hieroglyphics, The Coup, Zen Guerrilla). Aux guitares, toujours Ralph Spight (Victims Family, Freak Accident) et Kimo Ball (Freak Accident, Griddle, Mol Triffid), Andrew Weiss à la basse (Rollins Band, Ween, Butthole Surfers...) et à la batterie Paul Della Pelle (Helios Creed, Nik Turner's Space Ritual,...). Une tournée est attendue en 2013. NB : Bonus de 4 remixes sur le format CD.
VINCENT DUPAS joue sous le nom de MY NAME IS NOBODY depuis 2003. Vite qualifié de 'story teller' suite à la série de portraits et histoires dressés dans I hope you're well, I am & I send you my fingers (2006) dans la tradition des musiques folks, accompagné des 'Desert Foxes' (FAUSTINE SEILMAN, piano & choeurs / ERWAN FAUCHARD, basse & choeurs / FRANZL O'GAUTREAU, batterie & choeurs). En 2008, il sort un album solo, At the Wolf pit, sur lequel il aborde des sujets plus profonds comme la religion ou la vieillesse, et son jeu de guitare aux sonorités folks ne se contente plus d'Amérique mais tisse des liens avec les musiques traditionnelles écossaises ou de l'Est de l'Europe. Aujourd'hui, c'est avec BRUNO GREEN (LILIUM, HOWE GELB, MIOSSEC.) et de nouveau les DESERT FOXES qu'ils décident travailler sur la production de The Mentor, qui reçoit également les participations de JEROME LORICHON (BERG SANS NIPPLE, HERMAN DÜNE) aux percussions et à la trompette, ainsi que VASSILI CAILLOSSE (SANTA CRUZ) qui illumine les compositions de ses banjos, de la pedal steel, et autres instruments à cordes.
49 SWIMMING POOLS est un groupe français évoluant dans une ligne esthétique proche d' artistes et groupes comme WILCO, FLAMING LIPS ou encore SUFJAN STEVENS. Soit des musiciens qui ont grandi avec des disques gavés de mélodies célestes et d'instrumentations boisées - pour résumer : les albums des BEATLES d'un côté, ceux de NEIL YOUNG de l'autre. La musique, ces trois amis baignent littéralement dedans. EMMANUEL TELLIER, FABIEN TESSIER et ETIENNE DUTIN, ont tous les trois joué dès l'adolescence et ont eu plusieurs projets musicaux en commun. Ils avaient notamment formé CHELSEA au début des années 90, puis MELVILLE, en 1995. Le premier album de 49 SWIMMING POOLS Triumphs And Disasters, Rewards And Fairytales se veut un disque simple, minimaliste. Sans trop d'instruments, juste ceux qui s'imposaient naturellement, piano, guitare acoustique, accordéon, sur quelques chansons une batterie pas trop bavarde, et dans la dernière ligne droite, une petite section de cuivres.
Thomas Brenneck, l'ancien guitariste des Dap-kings a créé sa propre filiale Dunham Records au sein de Daptone, et son propre groupe maison le Menahan Street Band (MSB). Avec Brenneck à la guitare et d'autres pointures tels que Homer Steinweiss à la batterie, Nick Movshon à la basse, Dave Guy à la trompette et Leon Michels au sax tenor, Victor Axelrod au clavier, et Mike Deller au piano le MSB est un « super groupe » qui a su se faire remarquer par son premier album Make The Road By Walking sorti en 2008 qui fut très souvent samplé (Jay-Z pour son tube «Roc Boys (And The Winner Is)», 50 cents, etc). MSB a ensuite officié en studio et sur les scènes du monde entier auprès de Charles Bradley pour son premier album No Time For Dreaming. Avec The Crossing, Brenneck et ses acolytes font une synthèse magnifique entre James Brown et Neil Young, entre les Beatles et le Wu Tang Clan, entre RZA et Ennio Morricone, ou encore Fela et Jimi Hendrix. C'est donc une musique cinématique aux influences bien plus larges que le rayon Soul / Funk qui nous est proposé à travers ce second effort.
Thomas Brenneck, l'ancien guitariste des Dap-kings a créé sa propre filiale Dunham Records au sein de Daptone, et son propre groupe maison le Menahan Street Band (MSB). Avec Brenneck à la guitare et d'autres pointures tels que Homer Steinweiss à la batterie, Nick Movshon à la basse, Dave Guy à la trompette et Leon Michels au sax tenor, Victor Axelrod au clavier, et Mike Deller au piano le MSB est un « super groupe » qui a su se faire remarquer par son premier album Make The Road By Walking sorti en 2008 qui fut très souvent samplé (Jay-Z pour son tube «Roc Boys (And The Winner Is)», 50 cents, etc). MSB a ensuite officié en studio et sur les scènes du monde entier auprès de Charles Bradley pour son premier album No Time For Dreaming. Avec The Crossing, Brenneck et ses acolytes font une synthèse magnifique entre James Brown et Neil Young, entre les Beatles et le Wu Tang Clan, entre RZA et Ennio Morricone, ou encore Fela et Jimi Hendrix. C'est donc une musique cinématique aux influences bien plus larges que le rayon Soul / Funk qui nous est proposé à travers ce second effort.
Circlesquare c'est Jeremy Shaw de Vancouver, qui vit maintenant à Berlin. Son premier album Pre-Earthquake Anthem sorti en 2003 chez Output fut comme une révélation. Nourri d'influences telles que Leonard Cohen, Pole, Angelo Badalamenti, et même Chris Isaak, Circlesquare est apparu comme un alien au milieu des artistes fluo-funk et minimalistes d'Output. Suivirent l'EP Fight Sounds en 2006 et Songs About Dancing and Drugs. Songs About Dancing and Drugs n'est pas un album de dance habituel, mais plutôt un recueil de délires opiacés : bleep techno découpée et froissée, shoegaze dans un squelette électrique et musique ambiante avec un esprit anti-pop et un coeur rock'n'roll. Toute en tensions et négations, cette musique reste toute en mesure, avec des guitares liquides, une batterie oxydée et la voix unique de Jeremy qui porte le tout. Parmi les membres live de Circlesquare on retrouve le batteur Dale Butterfield et le guitariste Trevor Larson. Les morceaux de Songs About Dancing and Drugs évoquent des promesses brisées et des potentiels gâchés, l'ennui désespéré et des révélations banales. Une oeuvre profondément sombre.
Il a écrit des chansons de Grizzly Bear et Department of Eagles les plus acclamées par la critique, le multi-instrumentiste et songwriter Daniel Rossen partage un tout nouveau recueil de chansons sur sa première sortie solo Silent Hour/Golden Mile. Des productions d'un musicien que vous connaissez déjà, mais qui révèlent un coeur que vous ne lui soupçonniez peut-être pas. Rossen a enregistré presque tout Silent Hour / Golden Mile tout seul dans des salles de répétition et des petits espaces à New York. Des cordes soupirantes et des percussions déferlantes du titre d'ouverture Up on High aux mosaïques de guitares et au choeur à un homme de Return to Form, Rossen a été à la fois instigateur et acteur. Il a cependant fait appel à la guitare de Scott Hirsch et aux arrangements de cor d'Ian Davis et Kris Nolte; pour la batterie propulsive du dernier titre il faut créditer Eric Slick (Dr. Dog). De façon appropriée, le nom de l'EP vient de son dernier titre, Golden Mile, un joyau qui atténue sa tristesse lyrique avec des rythmes excellents et des guitares lancinantes. « For a Silent Hour, for a Golden Mile, » chante Rossen, passant immédiatement des difficultés passées au futur infini et inconnu. « There's bliss in this mess. There's madness all around. »
Winter Family est un duo originaire de Jerusalem & Paris. Ruth Rosenthal & Xavier Klaine se sont rencontrés à Jaffa en 2004 et depuis, ils vivent et travaillent ensemble. Xavier développe des accords et des drones folk avec un philicorda, des harmoniums, un piano, un célesta et des grandes orgues pendant que Ruth incante, chante et psalmodie ses textes en hébreu ou en anglais et joue de la batterie. Leur univers mystique est empreint de tristesse politique et de sombre romantisme. Ensemble, ils peuvent sérieusement vous déprimer. Ils ont enregistré et joué dans des clubs, des théâtres, des galeries et des églises en Europe, à New York et en Israël et ont collaboré avec un grand nombre de chorégraphes, réalisateurs, photographes et plasticiens. Leur premier et double album Winter Family sorti en 2007 (Sub Rosa), suivi d'une version vinyle (Marienbad) avait été salué par la critique. Winter Family réside actuellement à Crown Heights, le quartier haïtien de Brooklyn. Ils enregistrent leur troisième album salsa et achèvent 'Jerusalem Plomb Durci', une performance de théâtre documentaire (La Première a eu lieu au 104 à Paris en juin 2011 et a reçu le prix du jury pour le meilleur spectacle lors du Festival Impatience - Théâtre de l'Odeon - 104 - Ateliers Berthier)
Terry Lee Hale est un homme qui a voyagé sur toutes les routes d'Amérique et d'Europe à travers les années. Né au Texas, un des parrains de la scène musicale de Seattle (le seul auteur compositeur-interprète ayant figuré sur la richissime et originale compilation des années 80 de Sup Pop 200) il réside aujourd'hui à Paris, et a sorti des albums pendant trois décennies. Son nouvel album, The Long Draw est un album fait de nouvelles, une succession de petites histoires comparables à l'oeuvre de Raymond Carver Short Cuts avec en plus une charpente musicale. Terry Lee a choisi d'enregistrer son nouvel album avec un groupe, afin d'apporter de la cohésion à cet album. Je savais ce que je voulais faire et avec qui - Nicolas Chelly à la Bass et Frantxoa Errecarret à la batterie, deux musiciens Basques Francais avec qui j'avais tourné par le passé explique-t-il. Sur The Long Draw, Terry Lee inventorie les histoires de notre vie moderne qu'il dénude sans prétention, où chaque respiration et syllabes sont vitales. Bien avant d'entrer en studio, Terry Lee savait exactement comment il voulait que sa musique sonne et le producteur Bob Coke (Black Crowes, Ben Harper) a traduit cette vision en réalité. La production et les arrangements ne sont que vaguement révélateurs d'un style ou d'une tradition. Clairsemés de sonorités ouvertes, une énergie viscérale sans fard, capturée et magnifiée.
Terry Lee Hale est un homme qui a voyagé sur toutes les routes d'Amérique et d'Europe à travers les années. Né au Texas, un des parrains de la scène musicale de Seattle (le seul auteur compositeur-interprète ayant figuré sur la richissime et originale compilation des années 80 de Sup Pop 200) il réside aujourd'hui à Paris, et a sorti des albums pendant trois décennies. Son nouvel album, The Long Draw est un album fait de nouvelles, une succession de petites histoires comparables à l'oeuvre de Raymond Carver Short Cuts avec en plus une charpente musicale. Terry Lee a choisi d'enregistrer son nouvel album avec un groupe, afin d'apporter de la cohésion à cet album. Je savais ce que je voulais faire et avec qui - Nicolas Chelly à la Bass et Frantxoa Errecarret à la batterie, deux musiciens Basques Francais avec qui j'avais tourné par le passé explique-t-il. Sur The Long Draw, Terry Lee inventorie les histoires de notre vie moderne qu'il dénude sans prétention, où chaque respiration et syllabes sont vitales. Bien avant d'entrer en studio, Terry Lee savait exactement comment il voulait que sa musique sonne et le producteur Bob Coke (Black Crowes, Ben Harper) a traduit cette vision en réalité. La production et les arrangements ne sont que vaguement révélateurs d'un style ou d'une tradition. Clairsemés de sonorités ouvertes, une énergie viscérale sans fard, capturée et magnifiée.
Le quatrième album de The Veils Time Stays, We Go, enregistré et produit à Laurel Canyon (Los Angeles) marque un nouveau départ pour le groupe. L'album a été mixé en analogique aux Metropolis Studios de Londres par le légendaire producteur Bill Price (The Clash, Jesus & Mary Chain) ayant exceptionnellement accepté de sortir de sa retraite professionnelle. Le LA Time parle déjà de « la plus troublante expérience musicale de l'année » alors que NME les annonce comme « le groupe le plus sous-estimé de la planète ». Finn Andrews (fils de Barry Andrews, membre fondateur des pionniers de la New Wave XTC) fonde The Veils à ses 17 ans, à son retour à Londres d'une jeunesse en Nouvelle Zélande. Mais c'est aujourd'hui, avec ce quatrième qu'Andrews considère avoir atteint sa maturité, avec 10chansons soigneusement choisies parmi des centaines de compositions, avec l'aide de Nick Launay (producteur de Nick Cave, des Yeah Yeah Yeahs...). Ses collaborateurs de longue date, Sophia Burn (basse), Raife Burchell (batterie), Daniel Raishbrook (guitare) et un nouveau membre Uberto Rapisardi (orgue Hammond) permettent à Andrews de créer la toile de fond parfaite à ses chansons. Dans ces dix titres on peut entendre la frénésie de «Through The Deep, Dark Wood» en ouverture, l'ode à une jeunesse perdue de «Candy Apple Red» ou l'écho de la voix de Lee Hazelwood ou de Léonard Cohen sur «The Birds». Ce sont toujours les thèmes de l'amour perdu, la mort et le temps qui passe qui constituent la matière de chaque chanson.
Le quatrième album de The Veils Time Stays, We Go, enregistré et produit à Laurel Canyon (Los Angeles) marque un nouveau départ pour le groupe. L'album a été mixé en analogique aux Metropolis Studios de Londres par le légendaire producteur Bill Price (The Clash, Jesus & Mary Chain) ayant exceptionnellement accepté de sortir de sa retraite professionnelle. Le LA Time parle déjà de « la plus troublante expérience musicale de l'année » alors que NME les annonce comme « le groupe le plus sous-estimé de la planète ». Finn Andrews (fils de Barry Andrews, membre fondateur des pionniers de la New Wave XTC) fonde The Veils à ses 17 ans, à son retour à Londres d'une jeunesse en Nouvelle Zélande. Mais c'est aujourd'hui, avec ce quatrième qu'Andrews considère avoir atteint sa maturité, avec 10chansons soigneusement choisies parmi des centaines de compositions, avec l'aide de Nick Launay (producteur de Nick Cave, des Yeah Yeah Yeahs...). Ses collaborateurs de longue date, Sophia Burn (basse), Raife Burchell (batterie), Daniel Raishbrook (guitare) et un nouveau membre Uberto Rapisardi (orgue Hammond) permettent à Andrews de créer la toile de fond parfaite à ses chansons. Dans ces dix titres on peut entendre la frénésie de «Through The Deep, Dark Wood» en ouverture, l'ode à une jeunesse perdue de «Candy Apple Red» ou l'écho de la voix de Lee Hazelwood ou de Léonard Cohen sur «The Birds». Ce sont toujours les thèmes de l'amour perdu, la mort et le temps qui passe qui constituent la matière de chaque chanson.
Le quatrième album de The Veils Time Stays, We Go, enregistré et produit à Laurel Canyon (Los Angeles) marque un nouveau départ pour le groupe. L'album a été mixé en analogique aux Metropolis Studios de Londres par le légendaire producteur Bill Price (The Clash, Jesus & Mary Chain) ayant exceptionnellement accepté de sortir de sa retraite professionnelle. Le LA Time parle déjà de « la plus troublante expérience musicale de l'année » alors que NME les annonce comme « le groupe le plus sous-estimé de la planète ». Finn Andrews (fils de Barry Andrews, membre fondateur des pionniers de la New Wave XTC) fonde The Veils à ses 17 ans, à son retour à Londres d'une jeunesse en Nouvelle Zélande. Mais c'est aujourd'hui, avec ce quatrième qu'Andrews considère avoir atteint sa maturité, avec 10chansons soigneusement choisies parmi des centaines de compositions, avec l'aide de Nick Launay (producteur de Nick Cave, des Yeah Yeah Yeahs...). Ses collaborateurs de longue date, Sophia Burn (basse), Raife Burchell (batterie), Daniel Raishbrook (guitare) et un nouveau membre Uberto Rapisardi (orgue Hammond) permettent à Andrews de créer la toile de fond parfaite à ses chansons. Dans ces dix titres on peut entendre la frénésie de «Through The Deep, Dark Wood» en ouverture, l'ode à une jeunesse perdue de «Candy Apple Red» ou l'écho de la voix de Lee Hazelwood ou de Léonard Cohen sur «The Birds». Ce sont toujours les thèmes de l'amour perdu, la mort et le temps qui passe qui constituent la matière de chaque chanson.
Découvrez l'univers atmosphérique et envoutant de la songwriter et multi-instrumentiste la plus captivante du moment «L'artiste fusionne brillamment l'esthétique des bandes originales des années 60 et 70's, combine lyrisme et folk, soul et jazz psychédéliques, le tout sublimé par sa voix de sirène cosmique.» FIP The Visitor, le premier album de Kadhja Bonet, provoque, dès les premières secondes, une sensation d'émerveillement, justifiée par la composition riche et délicate de l'oeuvre et sublimée par la voix de Kadhja - prononcer ‘kadya'. L'artiste californienne nous invite au voyage dans un monde atemporel, entre classique, jazz, soul et folk, sans se définir précisément, mais en conservant une dimension magique, capable d'unir magnifiquement tous ces genres au fil des 8 titres qui constituent l'album. Issue d'une d'une formation en musique classique, Kadhja a d'abord appris le violon et l'alto, s'est initiée à la flûte et la guitare, et y a développé ce singulier talent de composition qui structure chacune des notes de l'album. Bien qu'elle s'entoure d'amis comme Te'amir Sweeney à la batterie (Aloe Blacc), Low Leaf, Peter Dyer (Aloe Blacc, St Vincent), Randal Fisher et Itai Shapira à la harpe, aux synthés, à la flûte et à la basse, Kadhja Bonet joue tout de même une majeure partie des instruments elle-même : guitare, violon, flûte et des choeurs qui garnissent ses paysages musicaux. Et comme si cela ne suffisait pas à assurer l'indépendance de sa vision, Kadhja a aussi produit The Visitor, en déléguant tout de même la plupart du travail de mix et d'enregistrement à son assistant producteur multi-instrumentiste Itai Shapira (Herbie Hancock, Sly Stone, Rhye). Pour ceux qui aiment : Nina Simone, Astrud Gilberto, Lianne La Havas, Ala.ni, Julia Holter...