Jean-Luc Fafchamps s'est longtemps attelé la composition pour des groupes restreints, avec pour élément central le piano, avant de s'intéresser aux harmonies et polyphonies qui donnent lieu à ses Lettres Soufies, manifeste d'écriture, d'ouvertures stylistiques avec des correspondances analogiques à la base de son système : T pour ensemble et électronique, K pour orchestre, A pour ensemble et orchestre, Z3 pour trombone et électronique etc. Les 5 lettres de ce CD (accompagné d'un livret 20 pages) sont constituées de combinaisons variées, poétiques voire mystiques, de solos [2, 3, 4, 5], d'ensemble instrumental [1, 3, 5], et d'électronique en temps réel [2, 4, 5], avec l'Ensemble Ictus.
Retour brillant du trio américain TRANS AM avec leur sixième album sur Thrill Jockey, Sex Change. Onze titres chargés d'électronique rétro et d'instrumentations organiques. Déterminés à réinventer leur propre musique, TRANS AM ont enregistré ce disque sans aucun des éléments utilisés sur leurs précédents albums : vocodeurs, claviers, batterie, boîtes à rythmes et amplis, tout a été renouvelé, donnant naissance à l'opus le plus étonnant et le plus enivrant de TRANS AM.
Retour brillant du trio américain TRANS AM avec leur sixième album sur Thrill Jockey, Sex Change. Onze titres chargés d'électronique rétro et d'instrumentations organiques. Déterminés à réinventer leur propre musique, TRANS AM ont enregistré ce disque sans aucun des éléments utilisés sur leurs précédents albums : vocodeurs, claviers, batterie, boîtes à rythmes et amplis, tout a été renouvelé, donnant naissance à l'opus le plus étonnant et le plus enivrant de TRANS AM.
Après un premier album, récemment réédité, et quelques dates françaises, GRIZZLY BEAR a su se faire remarquer par les médias et le public, mais aussi par le prestigieux label Warp dont le quatuor de Brooklyn est la dernière signature. Tour à tour, guitares, piano, flûtes, batterie et choeurs agrémentés de subtiles touches d'électronique accompagnent les voix angéliques de cet opus qui oscille entre folk, psychédélisme, pop cinématique et envolées rock électriques. Leurs talents de songwriters et les arrangements (que ne renierait pas SUFJAN STEVENS) subliment l'atmosphère magique de cet ambitieux Yellow House, enregistré pendant un été idyllique. Les fans d'ANIMAL COLLECTIVE et DEVENDRA BANHART y succomberont, les autres aussi!
Date Palms, c'est le duo Gregg Kowalsky (claviers, éléctronique) et Marielle Jakobsons (violon, flûte, éléctronique). A partir d'instruments rock et ils s'inspirent d'un mélange de musique traditionnelle indienne, de country, de minimalisme et de jazz spirituel pour aboutir à un style qui leur est propre. Sur ce troisième album, le duo élargit son équipe pour inclure Ben Bracken, à la basse éléctrique, Michael Elrod au Tanpura et Noah Phillips à la guitare électrique (une première pour le groupe). Inspiré par les paysages californiens, la première partie de la l'album est à l'image de la rivière Yuba, paisible et mélancolique, alors que la deuxième partie de l'album est plus sombre, plus lourde avec une présence plus insistante de la basse et du violon.
SOLDOUT, le duo électronique formé par Charlotte et David en 2004 nous livre un nouvel album : MORE. L'imparable titre 94 accompagne cette sortie d'album et succède à Wazabi et Off Glory, sortis en 2012, qui levaient déjà le voile sur la nouvelle direction musicale du groupe. L'album a été enregistré et produit tout au long de l'année 2012, dans leur studio à Bruxelles, il a été mixé par Elsa Grelot et Thomas Sari et masterisé par Simon Davey à The Exchange à Londres. MORE est le troisième opus du groupe, il fait suite à l'électro-pop de Stop Talking (2004) et le plus radical et expérimental Cuts (2008). Depuis leurs débuts Charlotte et David explorent avec passion les possibilités de la musique électronique et cherchent à exprimer un contraste, une collision de sons et de sentiments issus de leurs deux univers propres. Avec MORE, SOLDOUT revient avec un son singulier et une identité de plus en plus affirmée. Ils y mélangent l'obscurité et la tendresse, la violence et la fragilité et nous laissent pénétrer dans leur intimité à travers d'histoires personnelles qui nous donnent envie d'en savoir plus. MORE réunit aussi la mélancolie de The XX avec la brutalité de The Kills, le côté pop de Metronomy avec le son plus expérimental de The Knife. Cet album ressuscite le passé de la musique électronique avec un son définitivement contemporain.
En 2001, SUFJAN STEVENS décide de prendre le contrepied de son premier album, A Sun Came, en ignorant ses instincts de songwriter folk pour écrire Enjoy Your Rabbit, un deuxième album entièrement électronique. La critique avait alors vu en lui un AUTECHRE brut et sauvage... Cinq ans après, BRYCE DESSNER (CLOGS, THE NATIONAL) soumet à SUFJAN STEVENS l'idée d'une réécriture de l'album avec le quatuor de cordes OSSO (déjà présent sur Illinois, collaborateurs de MY BRIGHTEST DIAMOND, ANTHONY, BJÖRK, CLARE & THE REASONS...) Les 4 premiers titres ont ainsi fait l'objet d'une performance en 2007 aux USA. Convaincus de la beauté et de la nécessité du projet, ils décident alors d'orchestrer la totalité de l'album qu'ils renomment Run Rabbit Run. Que se passe-t-il lorsqu'un album électronique est traduit par des instruments acoustiques ? Un monstre d'ingéniosité ? Un petit miracle analogique ? Les deux, assurément.
COMPOSER, c´est le nom d´un curieux duo, qui positionne ses mélodies en contrepoint des clichés du cool, et place le travail d'écriture, parfois spontané, souvent laborieux mais toujours exigeant comme fondement sémantique de leur union. C´est aussi une drôle de rencontre, le fruit d´une semaine de dépassement de soi pour produire un concert unique, alors que les deux protagonistes se connaissent à peine. C´est enfin deux personnalités, deux papas, la trentaine bien passée, qui ne rêvent plus de tournée mondiale, de plateaux télés et de groupies sexies mais juste de sortir de bons disques. Eric Raynaud, est un habitué de la maison InFiné, avec qui il officie sous le nom de Fraction, tendance musique expérimentale et électronique avec à son actif, un premier maxi Superposition sorti en mai 2008. Guillaume Eluerd, quant à lui, a déjà signé deux albums, de folk avec The Year of the Dog sous son propre nom et de bricolages électroniques sous le pseudo de Nimp. Les neuf titres reflètent donc cette étrange complicité, fruits d'une exploration sonore électronique en territoire pop, qui laisse la part-belle aux individualités, et concourt à une même vision décalée et jubilatoire des conventions. Et si le duo finissait par y prendre goût!
Fort du concept ambitieux de son EP «Ganzfeld», Matmos, duo électronique de Baltimore, sort «The Marriage of True Minds», son premier album en cinq ans, sur le label Thrill Jockey Records. Connu pour sa pop rythmée et entraînante, le duo a toujours conjugué les genres assez librement mais on peut affirmer qu'il s'agit là du premier album électronique à démarrer par des claquettes pour se clôturer par du doom metal. Techno survoltée, mystérieuses impros au synthé, musique concrète, rythmes latino et sons éthiopiens tout autant destinés à un contexte académique, aux galeries d'art ou au clubbing, l'étourdissante palette que déploie «The Marriage of True Minds» est parcourue par une trame remarquablement ficelée : la télépathie. Les participations de Dan Deacon, Dominque Leone, Jenn Wasner (Wye Oak, Flock of Dimes), Carly Ptak (Nautical Almanac), Keith Fullerton Whitman, Jay Lesser, Angel Deradoorian des Dirty Projectors et Clodagh Simonds (Fovea Hex), Jason Willett (Half Japanese), Ed Schrader (Ed Schrader's Music Beat) et bien d'autres sont toutes passées au scalpel du montage numérique et ciselées en des morceaux précis qui, pour la 1ère fois dans l'oeuvre de Matmos, font la part belle aux chants et aux voix. On notera les reprises déconstruites de «You» de Palais Schaumberg, et du «E.S.P.» des Buzzcocks (qui se termine pour la 1ère fois en un duo chanté par le couple qui fête ses 20 ans).
Bibio vif et coloré. Mind Bokeh réanime avec brio vos souvenirs tout en étant profondément optimiste, ensoleillé, enjoué. Il est organique et électronique, il jongle avec les codes de la pop, de la French House des 90's, il joue sur la clarté et les flous... Pour son 2ème album chez Warp, Bibio souligne à nouveau la primauté des sens sur le tout technologique.
Nouvelle série chez SUB ROSA : RARE RECORDINGS BY PIONEERS OF INDUSTRIAL NOISE MUSIC (Captagon Years series). PSEUDOCODE fut un groupe belge de musique électronique improvisée, de 1980 à 1982, avec pour membres Xavier Ess (Thrills) au chant - Guy-Marc Hinant au piano électrique - Alain Neffe (Insane Music, Bene Geserit) aux overdubs mix et ambiance sonore.
Son Of A Bitches Brew est un véritable album de jazz électronique, proposé par Acid Mothers Temple & The Melting Paraiso UFO. Enraciné dans la musique de Miles Davis, période électrique, cet album mélange jazz, funk, et les sons synthétiques et cosmiques d'AMT. Tsuyama Atsushi remplace Wayne Shorter au sax soprano et Cotton Casino rejoint également la formation.
Voici ce que les médias anglais ont dit du 1er ep de When Saints Go Machine, 'Fail Forever' sorti en janvier : épopée électronique et orchestrale (Drowned In Sound); « Entre Arab Strap et Herbert époque Bodily Functions » (Fact); Ce n'est pas surprenant mais en même temps, c'est impossible pour eux de définir vraiment ce qui compose le son du groupe danois. Un superbe album signé chez !K7 & qui plaira aux fans de : Caribou, Arcade Fire, Arthur Russell, The Knife
L'artiste et producteur finlandais de musique électronique, plus connu pour son travail au sein du duo Pan Sonic sort un nouvel album solo, cette fois ci sans alias (il avait par le passé utilisé plusieurs noms dont Ø, Kentolevi, Philus...). L'album Kilo est fidèle aux travaux précédents de l'auteur, un mélange de transe industrielle aux beats puissants et d'ambiance sonore atmosphérique. La recette Vainio marche toujours aussi bien.
L'artiste et producteur finlandais de musique électronique, plus connu pour son travail au sein du duo Pan Sonic sort un nouvel album solo, cette fois ci sans alias (il avait par le passé utilisé plusieurs noms dont Ø, Kentolevi, Philus...). L'album Kilo est fidèle aux travaux précédents de l'auteur, un mélange de transe industrielle aux beats puissants et d'ambiance sonore atmosphérique. La recette Vainio marche toujours aussi bien.
SUSUMU YOKOTA, un des innovateurs les plus réguliers en musique électronique est de retour avec 'Kaleidoscope'. On aime à penser que cet album est ce que vous attendiez depuis longtemps, il vous emmènera dans des endroits vraiment étranges mais où inconsciemment vous aviez toujours eu envie d'aller! 'Kaleidoscope' a un effet apaisant tel des narcotiques, qui peut résulter sur un état de transe. Pas étonnant donc qu'Oneohtrix Point Never et Emeralds citent Yokota comme influence majeure !
La force de LAKE réside dans sa témérité musicale et son ambition pour repousser toujours plus loin les limites de la pop. Le groupe a tourné aux côtés des pionniers de l'indie contemporain comme R. Stevie Moore, Chris Cohen, Karl Blau, ou encore Phil Elverum de Mount Eerie. Le groove contemplatif le style downtempo qui font sa signature n'ont jamais aussi probant que sur The Word Is Real, le quatrième album du groupe. Les amoureux de la pop hybride reconnaitront les influences de Paul McCartney (surtout Macartney II et son claviers électronique) ou encore l'orgue douce-amère de Yo La Tengo, le minimalisme de The Talking Heads.
La force de LAKE réside dans sa témérité musicale et son ambition pour repousser toujours plus loin les limites de la pop. Le groupe a tourné aux côtés des pionniers de l'indie contemporain comme R. Stevie Moore, Chris Cohen, Karl Blau, ou encore Phil Elverum de Mount Eerie. Le groove contemplatif le style downtempo qui font sa signature n'ont jamais aussi probant que sur The Word Is Real, le quatrième album du groupe. Les amoureux de la pop hybride reconnaitront les influences de Paul McCartney (surtout Macartney II et son claviers électronique) ou encore l'orgue douce-amère de Yo La Tengo, le minimalisme de The Talking Heads.
Prefuse 73 : infusion de voix féminines, perfusion d'instruments Prefuse 73 : une carrière de + de 10 ans, 7 albums à la pointe du hip-hop et de l'avant rock. Il a mixé, coproduit et tourné aux côtés de Daniel Lopatin (Oneohtrix Point Never, Games ), collaboré avec TV On The Radio, Ghostface Killah, Battles, Mos Def, José Gonzales, Blonde Redhead et Zach Hill... Pour cet album, Guillermo Scott Herren s'est entouré de voix féminines : celles de Zola Jesus, Shara Worden (My Brightest Diamond ) et la regrettée Trish Keenan (Broadcas t). Voix qu'il a mêlées aux sonorités d'instruments classiques et acoustiques, puis emmêlées dans son arsenal électronique.
Après avoir joué et tourné dans plusieurs groupes comme Swords of Chaos ou plus particulièrement Jónsi, White Mountain est le premier album solo de Úlfur Hansson. Influencé par le cinéma culte, la littérature ésotérique et la musique contemporaine, Úlfur place sa musique dans le champ du surnaturel. Il « photographie » ses voyages et ses rencontres à l'aide d'un enregistreur pour ensuite coller ces instants. Son cousin lançant des cailloux dans un lac en Islande, un oiseau à Chicago, la voix d'Alexandra du groupe Mountain Man...il crée une musique électronique du souvenir, de l'affect, une musique qui vit et respire bien au-delà des machines qui l'assemblent.
Après avoir joué et tourné dans plusieurs groupes comme Swords of Chaos ou plus particulièrement Jónsi, White Mountain est le premier album solo de Úlfur Hansson. Influencé par le cinéma culte, la littérature ésotérique et la musique contemporaine, Úlfur place sa musique dans le champ du surnaturel. Il « photographie » ses voyages et ses rencontres à l'aide d'un enregistreur pour ensuite coller ces instants. Son cousin lançant des cailloux dans un lac en Islande, un oiseau à Chicago, la voix d'Alexandra du groupe Mountain Man...il crée une musique électronique du souvenir, de l'affect, une musique qui vit et respire bien au-delà des machines qui l'assemblent.
Kogetsudai est le 10eme disque solo de Sylvain Chauveau, mais aussi le deuxieme d'une trilogie initiee avec Singular Forms (Sometimes Repeated) (2010) dans laquelle le format chanson est deconstruit et remodèle aux confins du silence. Alors que l'album précédent tirait son inspiration de la peinture abstraite, celui-ci est influencé par les jardins de pierre des temples zen du Japon, ou l'album a été en grande partie composé, et auxquels le titre fait référence. Des lignes épurées - un son électronique clair, minimal, dessiné - d'ou surgissent des notes du réel - le piano encore, et le chant, riche et grave, de Sylvain. Des chansons post-cagiennes ? Du crooning réductionniste ? De la pop à la façon Wandelweiser ?
Kogetsudai est le 10eme disque solo de Sylvain Chauveau, mais aussi le deuxieme d'une trilogie initiee avec Singular Forms (Sometimes Repeated) (2010) dans laquelle le format chanson est deconstruit et remodèle aux confins du silence. Alors que l'album précédent tirait son inspiration de la peinture abstraite, celui-ci est influencé par les jardins de pierre des temples zen du Japon, ou l'album a été en grande partie composé, et auxquels le titre fait référence. Des lignes épurées - un son électronique clair, minimal, dessiné - d'ou surgissent des notes du réel - le piano encore, et le chant, riche et grave, de Sylvain. Des chansons post-cagiennes ? Du crooning réductionniste ? De la pop à la façon Wandelweiser ?
Une chose est sûre : Matthew Herbert est un vrai musicien. Dès son plus jeune âge, il étudie violon et piano et poursuit ses études académiques jusqu'à l'université. Parallèlement le petit Matt, se produit dans les églises et au sein de différents orchestres, dans des big bands ! C'est à cette époque que naît l'amour d'Herbert pour le Jazz et notamment dans son expression la plus festive, les big bands. Il découvre plus tard la musique électronique et ses infinies possibilités. Au milieu des années 90, Matthew travaille avec Aphex Twin, sur son premier album, puis accumule frénétiquement les projets sous nombre de pseudos; Wishmountain, Doctor Rockit et bien sûr Herbert. Il est alors totalement immergé dans le monde de la musique electronique, en est l'un des pionniers les plus innovants - samplant en live toutes sortes de sons ambiants, ce qui reste la griffe Herbert - bien que ses productions que l'on pourrait qualifier de bruitistes laissent transparaître une culture large, ou des accents jazz ou pop sont clairement perceptibles. 'Around the house', l'un des meilleurs albums de house music à ce jour, consacrera enfin Herbert en 1999. Succès confirmé par la multitude de projets auxquels il participe et les albums qui suivent et notamment Goodbye Swingtime en 2003, premier album sur lequel Herbert, chantre de l'electronica, est accompagné d'un big band jazz. Herbert offre aujourd'hui une suite à 'Goodbye Swingtime' et ré itère cette magnifique expérience avec 'There's Me And There's You'. Accompagnant jusqu'alors Dani Siciliano au chant, Herbert s'est cette fois offert les services de Eska Mtungwazi, chanteuse dont le timbre sublime se situe quelque part entre Dani Siciliano et Minnie Riperton. Mais Herbert a une autre passion : la politique. 'There's Me and There's You' est donc un étonnant recueil de protest songs jazz. Sous cet écrin musical d'une élégance presque désuète se cachent des textes d'un engagement rare et d'une modernité troublante.
La popularité de RADIO MOSCOW s'étend rapidement, à mesure que les fans revendiquent, toujours plus nombreux, leur penchant pour le blues rock stoner Américain psychédélique délivré par le groupe. Ancrée dans le son power trio de la fin des 60's / début 70's, leur musique a souvent été comparée à Hendrix, Cream, ou Ten Years After. Après deux albums remarqués sur le label Alive Naturalsound dont un produit par Dan Auerback (Black Keys), le trio composé de Parker Griggs (chant/composition/guitare/batterie), Zach Anderson (basse) et Cory Berry (batterie), ils reviennent avec The Great Escape Of Leslie Magnafuzz, plus psychédélique et détraqué que ses prédécesseurs. Pour conserver le son vintage authentique qui leur va si bien, ils n'ont enregistré qu'avec des instruments et amplis vintage : Supro, Gibson, amplis Alamo, le tout sublimé par la réverb.
La popularité de RADIO MOSCOW s'étend rapidement, à mesure que les fans revendiquent, toujours plus nombreux, leur penchant pour le blues rock stoner Américain psychédélique délivré par le groupe. Ancrée dans le son power trio de la fin des 60's / début 70's, leur musique a souvent été comparée à Hendrix, Cream, ou Ten Years After. Après deux albums remarqués sur le label Alive Naturalsound dont un produit par Dan Auerback (Black Keys), le trio composé de Parker Griggs (chant/composition/guitare/batterie), Zach Anderson (basse) et Cory Berry (batterie), ils reviennent avec The Great Escape Of Leslie Magnafuzz, plus psychédélique et détraqué que ses prédécesseurs. Pour conserver le son vintage authentique qui leur va si bien, ils n'ont enregistré qu'avec des instruments et amplis vintage : Supro, Gibson, amplis Alamo, le tout sublimé par la réverb.
Le producteur et Dj belge Mugwump sort un nouvel album « Unspell » : « Il navigue entre disco, newbeat, kraut, indie, pop, blues, indus et dance électronique. Mais entre-temps, on a déjà changé à deux reprises de label. L’industrie du disque est dans un tel état de délabrement qu’il est très très compliqué de sortir un album chez un indé ». Une approche musicale placée sous le signe de la diversité et de l’ouverture que l’on retrouve dans le premier extrait d’un disque sur lequel on croisera notamment Luke Jenner, voix des défunts The Rapture, mais aussi les iconoclastes de Von Spar ou encore Mungolian Jet Set. Du beau monde pour un beau disque!
Le producteur et Dj belge Mugwump sort un nouvel album « Unspell » : « Il navigue entre disco, newbeat, kraut, indie, pop, blues, indus et dance électronique. Mais entre-temps, on a déjà changé à deux reprises de label. L’industrie du disque est dans un tel état de délabrement qu’il est très très compliqué de sortir un album chez un indé ». Une approche musicale placée sous le signe de la diversité et de l’ouverture que l’on retrouve dans le premier extrait d’un disque sur lequel on croisera notamment Luke Jenner, voix des défunts The Rapture, mais aussi les iconoclastes de Von Spar ou encore Mungolian Jet Set. Du beau monde pour un beau disque!
The Age of Adz (prononcé Odds) est la nouvelle mouture de chansons originales de Sufjan Stevens depuis Illinois (2005). Il n'y a pas cette fois-ci de concept central derrière les compositions, et c'est une première ici, les sons utilisés sont électroniques. Si c'est sonorités sont plutôt artificielles, des boites à rythmes et des synthétiseurs analogiques, le contenu des chansons est lui viscéral, chanté de vive voix avec une orchestration insistante. Le résultat est sûrement ce que Sufjan à fait de plus émotionnel, de plus primaire et de plus explicite depuis ses débuts. C'est personnel et primal, avec un côté adolescent. Les thèmes, l'amour, le sexe, la mort, la maladie, l'anxiété et le suicide sont présents de façons agressives et souvent dansantes pour illustrer cette pop électronique avec l'urgence et le contraste des couleurs primaires.
The Age of Adz (prononcé Odds) est la nouvelle mouture de chansons originales de Sufjan Stevens depuis Illinois (2005). Il n'y a pas cette fois-ci de concept central derrière les compositions, et c'est une première ici, les sons utilisés sont électroniques. Si c'est sonorités sont plutôt artificielles, des boites à rythmes et des synthétiseurs analogiques, le contenu des chansons est lui viscéral, chanté de vive voix avec une orchestration insistante. Le résultat est sûrement ce que Sufjan à fait de plus émotionnel, de plus primaire et de plus explicite depuis ses débuts. C'est personnel et primal, avec un côté adolescent. Les thèmes, l'amour, le sexe, la mort, la maladie, l'anxiété et le suicide sont présents de façons agressives et souvent dansantes pour illustrer cette pop électronique avec l'urgence et le contraste des couleurs primaires.
Dan Friel a passé les 10 dernières années à mixer divers styles de musique électronique aux influences punk et psychédéliques avec son groupe Parts & Labor, au sein duquel il a produit 5 albums. Son premier album solo, Total Folklore, s'inscrit dans la lignée du récent EP Valedictorian/ Exoskeleton, que la BBC avait qualifié d' «énergie brute mise en bouteille ». Un album de musique urbaine qui évoque la fièvre et le chaos des rues de Brooklyn. D'ailleurs, bon nombre de titres laissent entendre des enregistrements fait par Friel sur son téléphone en marchant dans les rues de New York. Il y a aussi laissé une grande place à l'improvisation. Total Folklore capture l'énergie et l'irrévérence du punk, tout en restant sur des bases electro-pop.
Dan Friel a passé les 10 dernières années à mixer divers styles de musique électronique aux influences punk et psychédéliques avec son groupe Parts & Labor, au sein duquel il a produit 5 albums. Son premier album solo, Total Folklore, s'inscrit dans la lignée du récent EP Valedictorian/ Exoskeleton, que la BBC avait qualifié d' «énergie brute mise en bouteille ». Un album de musique urbaine qui évoque la fièvre et le chaos des rues de Brooklyn. D'ailleurs, bon nombre de titres laissent entendre des enregistrements fait par Friel sur son téléphone en marchant dans les rues de New York. Il y a aussi laissé une grande place à l'improvisation. Total Folklore capture l'énergie et l'irrévérence du punk, tout en restant sur des bases electro-pop.
Après 3 singles très convoités pour le label Whatever We Want - plus des remixes pour des artistes comme Gorillaz, François K, Cosmo Vitelli et, heu, The Osmonds - Quiet Village sort de l'ombre afin de nous présenter leur premier long format, Silent Movie. Constitué du chercheur de perles oubliées (également appelé crate-digger) Joel Martin et la star montante de l'électro Matt Edwards (aka Radio Slave), et tirant leur nom du chef d'oeuvre exotique de Martin Denny, Quiet Village fait sonner les vieux sons comme des nouveaux (et vice versa). Influencé par les bandes originales de film italiens, la musique d'illustration de la BBC, les edits Disco, l'acid rock, la soul vintage et l'easy listening, Approprié dans une décennie où les catégories musicales continuent de s'estomper, Silent Movie ne peut être décrit d'un seul terme. Son processus d'assemblage peut le faire étiqueter comme de la musique électronique mais on trouvera peu d'autres aspects qui lorgnent vers l'électronique. L'album est riche en textures duveteuses et tonalités gonflées : des guitares acoustiques, de la harpe, des rideaux de cloches, des tambourins, des cordes de musique de chambre, des synthétiseurs vintages et des voix - d'innombrables voix, traitées telles des instruments. Silent Movie n'est surtout pas un album Dance, et de loin; mais il est aussi hypnotique que la rotation de la boule disco, rempli de longues séquences, de répétitions douces et de changements subtils qui vous retire furtivement le tapis de sous les pieds. Avec les lumières tamisées, l'album en entier prend l'apparence d'un rêve éveillé. Tout ça grâce à l'amour que porte Quiet village pour les classiques du Chill-out de la fin des années 80 et le début des années 90, depuis le shoegazing de Slowdive à l'ambient de The Orb. Silent Movie est une lettre d'amour adressée au passé, scellée avec un soupçon de parfum du futur. C'est le baiser de cinéma le plus improbable auquel vous assisterez cette année ! Installez vous confortablement, fermez les yeux et laissez les images défiler...
Le merveilleux trio guitar-orgue-batterie des MICRAGIRLS délivre prochainement un condensé de pop/rock brut, primitif et sauvage, de quoi littéralement défoncer les enceintes. En invité, JON SPENCER et MATT VERTA-RAY de HEAVY TRASH!
Le merveilleux trio guitar-orgue-batterie des MICRAGIRLS délivre prochainement un condensé de pop/rock brut, primitif et sauvage, de quoi littéralement défoncer les enceintes. En invité, JON SPENCER et MATT VERTA-RAY de HEAVY TRASH!
L'homme aux milles visages réinvente l'avenir de l'électro ! Mark Pritchard, sacré producteur des producteurs par la jeune scène dub step, reconnu par Madlib ou Flying Lotus, ce pionnier de l'électronique des années 90 c'est toujours caché sous des pseudos pour signer ses productions dont certaines sont devenues mythiques, souvenez-vous : Reload, Global Communication, Link, Jedi Knight, Troubleman, ou Harmonic 33... Désormais baptisé Harmonic 313, Mark Pritchard ajoute une nouvelle étoile au firmament de sa galaxie. When Machines Exceed Human Intelligence est un projet influencé autant par la techno de Detroit que par l'abstract hip-hop de Los Angeles. L'album inclue les participations de Steve Spacek (ex. Galliano) et de Phat Kat (collaborateur de J. Dilla) & Elzhi (ex. Slum Village).
Strut, en conjonction avec Ambassador's Reception et Future Nuggets présente la toute première retrospective du groupe RODION G.A., l'un des secrets les mieux gardés de Roumanie. Prolifiques, surtout entre 1978 et 1984 (quand la répression était à son plus haut) Rosca, Gicu Fãrca. & Adrian Cãpraru forment RODION G.A. en 1975 et s'arment d'instruments électroniques DIY. Leur son est avant garde et sonne dans l'air du temps quand on l'écoute en 2013. Les 10 morceaux sont de véritables perles rares dans le paysage électronique mondiale, comme un coffre fort que des archéologues auraient découvert il y a peu. Les morceaux sont tous remasterisés à partir des bandes originales. Le groupe se reformera pour l'occasion et sera en tournée en 2013 pour défendre ces LOST TAPES.
4 albums en 30 ans. Le premier en 1978, le deuxième 28 ans plus tard et le 3ème en 2008. Voici donc le nouvel album du producteur français Bernard Fèvre. Bernard Fèvre est donc de retour pour un album cosmique, novateur, avec toujours ce versant disco mais avec une touche d'acid et d'italo. Adulé par LINDSTROM, PRINS THOMAS, LUKE VIBERT, I-f, ALDEN TYRELL, DJ HELL & ALEXANDER ROBOTNICK pour en nommer que quelques uns, BLACK DEVIL DISCO CLUB nous en remets plein les oreilles avec THE STRANGE NEW WORLD OF BERNARD FEVRE. Toutes les compositions de cet album sont exclusives et inédites. Un voyage épique dans les profondeurs de la disco électronique, rempli de voix hantées, de mélodies tordues et de boites à rythme disco.
Un nouvel album mélodieux pour le duo «Summertime-gothic », où l'on plonge dans des profondeurs urbaines linéaires et minimales. The Hundred In The Hands (Eleanore et Jason) sont sortis de leur studio faiblement éclairé de New York avec une méditation autoproduite sur la séparation et la réunion, l'amour presque perdu et la longue traversée pour le retrouver; une chronique des tergiversations nocturnes, baignée d'une lueur digitale. Red Night commence par un son comme venant d'une source éloignée, entraînant l'auditeur profondément dans le bourdonnement de la ville. C'est une approche abstraite mais réfléchie, très différente de leur premier album éponyme (2010). Venant de l'éther digital nuageux de l'électronique contemporaine, de la production hip-hop et de la longue lignée de la dance music avant-gardiste de New York City, Red Night est un pont sonore unique entre des champs esthétiques.
Un nouvel album mélodieux pour le duo «Summertime-gothic », où l'on plonge dans des profondeurs urbaines linéaires et minimales. The Hundred In The Hands (Eleanore et Jason) sont sortis de leur studio faiblement éclairé de New York avec une méditation autoproduite sur la séparation et la réunion, l'amour presque perdu et la longue traversée pour le retrouver; une chronique des tergiversations nocturnes, baignée d'une lueur digitale. Red Night commence par un son comme venant d'une source éloignée, entraînant l'auditeur profondément dans le bourdonnement de la ville. C'est une approche abstraite mais réfléchie, très différente de leur premier album éponyme (2010). Venant de l'éther digital nuageux de l'électronique contemporaine, de la production hip-hop et de la longue lignée de la dance music avant-gardiste de New York City, Red Night est un pont sonore unique entre des champs esthétiques.
Heavenly Beat/ John Pena a enregistré et mixé son nouvel album Prominence en appartement, avec pour bases des samples de batterie accompagnés son piano et mellotron, guitare et steel drum. C'est la virtuosité des arrangements qui fait la force de nouvel album sur lequel Christian Barsi et Daniel Schlett ont travaillé.
Heavenly Beat/ John Pena a enregistré et mixé son nouvel album Prominence en appartement, avec pour bases des samples de batterie accompagnés son piano et mellotron, guitare et steel drum. C'est la virtuosité des arrangements qui fait la force de nouvel album sur lequel Christian Barsi et Daniel Schlett ont travaillé.
Clark, l'enfant terrible de Warp, est de retour avec un album dévastateur ! Après la bombe numérique Growls Garden, Clark s'affirme comme un nouveau pilier du label dans la grande tradition d'Aphex Twin, Autechre ou Squarepusher. Chris Clark nous livre Totems Flare, un brûlot ardent pour une musique électronique à la fois barrée, touchante, surpuissante, surprenante et complètement addictive. Truffée de détails techniques époustouflants, exacerbée par une production d'une grande finesse : on en prend plein les oreilles, encore. Cette fois, Clark a utilisé des instruments (guitare, pianos, drums) combinés à des voix pour un rendu parfois pop totalement assumé, qui repousse toujours les limites ! On y retrouve ses influences : acide, rave, dancefloor, hip hop... Son travail est plus que jamais abouti, il respire la franchise, l'insolence et la maturité à la fois. Une leçon qui rendra tout le monde (oui, tout le monde) hystérique!
Voici le 5ème volume des compilations du label de Yuksek, PARTYFINE avec 13 morceaux inédits et l'arrivée de nouveaux membres dans la famille! Dimitri from Paris collabore avec Aeroplane sur Can't get enough et chacun sait qu'un morceau original de Dimitri est un objet rare et précieux, Jean Tonique est de retour, ainsi que Getaroom, qui ont uni leurs forces à Chloé de CAR, PoloCorp (moitié de Polo & Pan), Villa, Moonlight Matters, Anoraak, Azur, Birdee et French Toast sont également à l'affiche tout comme Dombrance (membre de DBFC avec David Shaw), nouveau venu dans la famille Partyfine, qui propose un gros morceau Italo / électro (Obama) qui fait partie de son nouveau projet surréaliste politique. More or less disco, disco or not disco, il a toujours été difficile de définir les limites de ce mouvement et son influence sur la scène électronique. Partyfine et Yuksek ont tenté une ambitieuse réponse par cette nouvelle compilation disco.
Must have pour les aficionados de Jazz, The Stylings of Silver est un album sorti en 1957 sur Blue Note; produit par le pianiste Horace Silver et son Quintet, accompagné du trompettiste Art Farmer, du saxophoniste Hank Mobley, Teddy Kotik à la basse et Louis Hayes à la batterie. Un album très swing comprenant les fameux No Smoking et la superbe ballade My One and Only Love.
Au départ, Jessica Larrabee, originaire de Washington DC, vogue entre groupe et titres solo, entre Philadelphie et Brooklyn, au début des années 2000. Le duo She Keeps Bees se forme entre 2005 et 2006 alors que Jessica fait appel à Andy LaPlant pour ajouter de la batterie et mixer son premier album qu'elle a enregistré chez elle à l'aide d'un ordinateur. Très vite, le premier album du duo sort, en 2006, intitulé Minisink Hotel, un album autoproduit salué dans le milieu indépendant. Deux autres albums verront ensuite le jour, eux-aussi autoproduits, Nests en 2008 et Dig On en 2011. Ces 3 albums ont chacun eu des critiques élogieuses : le premier a été décrit par Other Music comme le meilleur album que vous n'ayez entendu; le deuxième a été grandement apprécié par le Guardian, le décrivant comme un album rare, émouvant et retro; enfin, le troisième album a été salué par la BBC, un album de feu, plein d'âme et de sueur. Et en cette rentrée 2014, Jessica Larrabee, au chant et à la guitare, et Andy LaPlant à la batterie, reviennent avec un quatrième album, Eight Houses. En attendant l'album, She Keeps Bees a mis en ligne le clip de leur premier single, Is what it is, un titre empli de dualité, apaisant et sombre rehaussé de la voix à la fois douce et grave de Jessica Larrabee, souvent comparée à Cat Power ou PJ Harvey.
Le groupe s'est toujours arrangé pour apparaître où on ne l'attendait pas : précurseur du dub au milieu des 90's quand le genre était parfaitement inconnu en France, sobre et aérien quand les pairs avaient tendance à empiler les couches, soudainement électronique quand leurs fans ne juraient plus que par leur son très organique, et récemment de retour au dub originel quand on les croyait définitivement basculés dans le rock. Alors bien entendu, vous devinez que ce n'est pas parce que leur huitième album s'appelle « Electric Soul » qu'il faut y chercher un quelconque hommage à Aretha Franklin ou Al Green. Ça serait beaucoup trop simple. Non seulement ce disque n'est pas particulièrement soul, mais il n'est même pas le plus électrique de leur carrière. En revanche, il a indéniablement une âme, qui irradie les neuf morceaux du tracklisting. Cette âme, c'est un son. « Electric Soul » rend hommage à un certain passé (le dub du On-U Sound d'Adrian Sherwood, la new wave 'jamaïcanisée'), s'inscrit dans un présent relatif (les meilleurs travaux de Roots Manuva) et regarde effrontément vers l'avenir.
Il a été enregistré dans le garage de KATHY (batterie). Cet album fait figure de profession de foi pour BETH DITTO qui, d'une voix puissante, s'affirme comme une femme qui sait ce qu'elle veut et comment l'obtenir, s'inscrivant ainsi dans la tradition du riot grrrl. Brut et sans effet superflu, That's Not What I heard est néanmoins largement trempé dans le blues et le gospel.
« L'idée qu'une musique qui reste irrésolue engage l'auditeur dans un chemin créatif m'est restée » Brian Eno Créateur d'expériences interactives et multimédia, Eno revient avec un nouveau projet, dans la lignée de ses dernières recherches. Loin des sentiers battus, toujours issu de techniques d'improvisation, il crée des paysages, suggère des événements, ouvre des réflexions pour un auditeur actif. Une oeuvre faite de magnifiques pièces d'electro ambient, mais aussi de perles oniriques, aux rythmiques parfois tribales. Dans l'esprit des mythiques My Life In the Bush of Ghosts et Apollo et résolument moderne, Small Craft On A Milk Sea va devenir une autre pièce maîtresse de la discographie d'Eno ! Cet album est aussi le fruit de la collaboration avec Jon Hopkins (Domino) et Leo Abrahams, « de jeunes musiciens/compositeurs dont le travail, comme le mien, est intimement connecté aux possibilités et libertés de la musique électronique » comme les présente Brian Eno. Le pape de l'ambient fait son entrée en très grande pompe chez Warp !
Entre Genève et Grenoble, le trio Mama Rosin développe ses influences du Sud des USA, entre Louisiane et cajun. Armés de leurs guitares électriques, banjo et mélodéon amplifiés et d'une batterie bien méchante, les Mama Rosin s'amusent pourtant à désosser le genre. Ils aiment la distorsion et un son « sale » et créent des mélodies entêtantes et énergiques et propulsent le genre dans le 21ème siècle.
Entre Genève et Grenoble, le trio Mama Rosin développe ses influences du Sud des USA, entre Louisiane et cajun. Armés de leurs guitares électriques, banjo et mélodéon amplifiés et d'une batterie bien méchante, les Mama Rosin s'amusent pourtant à désosser le genre. Ils aiment la distorsion et un son « sale » et créent des mélodies entêtantes et énergiques et propulsent le genre dans le 21ème siècle.
Tonight You Look Like a Spider est le nouvel album solo de l'ex leader de The Jesus Lizard. Il a commencé le projet en 1998. Il raconte : J'ai loué un saxophone pour deux mois, j'ai emprunté des guitares et une batterie, j'ai réfléchi et ruminé dans ma cuisine, j'ai examiné ca sous tous les angles et j'ai fini par obtenir mon propre son. Ce n'est pas trop mal, je l'ai appelé ce soir tu ressembles à une araignée en hommage à araignée que j'ai vu un soir.
Tonight You Look Like a Spider est le nouvel album solo de l'ex leader de The Jesus Lizard. Il a commencé le projet en 1998. Il raconte : J'ai loué un saxophone pour deux mois, j'ai emprunté des guitares et une batterie, j'ai réfléchi et ruminé dans ma cuisine, j'ai examiné ca sous tous les angles et j'ai fini par obtenir mon propre son. Ce n'est pas trop mal, je l'ai appelé ce soir tu ressembles à une araignée en hommage à araignée que j'ai vu un soir.
Jerusalem In My Heart (JIMH) est avant tout une performance, mêlant musique électronique et contemporaine arabe à des projections de films en 16mm, explorant la relation entre musique, visuels, projections et le public. JIMH s'est formé en 2005 par le libanais Radwan Ghazi Moumneh, qui a passé une grande partie de sa vie au Québec, s'imposant aujourd'hui comme l'un des piliers de la communauté musicale indépendante de Montréal depuis ses débuts au sein de groupes de punk dans les années 90. JIMH est désormais un trio comptant aux côtés de Moumneh, le musicien et producteur français Jérémie Régnier et le plasticien et cinéaste chilien Malena Szlam Salazar. Deux ans de collaboration ont permis de la co-création de ce premier album Mo7it Al-Mo7it. En mariant le chant mélismatique de style arabe classique avec les compositions électroniques contemporaines, Jerusalem In My Heart forge une musique expérimentale arabe moderne. Mo7it Al-Mo7it est un album intimiste. La voix de Moumneh est devenue un réel instrument, et ses techniques de production jouant avec les distorsions, échos, delays arrivent à créer une intensité intemporelle.
Jerusalem In My Heart (JIMH) est avant tout une performance, mêlant musique électronique et contemporaine arabe à des projections de films en 16mm, explorant la relation entre musique, visuels, projections et le public. JIMH s'est formé en 2005 par le libanais Radwan Ghazi Moumneh, qui a passé une grande partie de sa vie au Québec, s'imposant aujourd'hui comme l'un des piliers de la communauté musicale indépendante de Montréal depuis ses débuts au sein de groupes de punk dans les années 90. JIMH est désormais un trio comptant aux côtés de Moumneh, le musicien et producteur français Jérémie Régnier et le plasticien et cinéaste chilien Malena Szlam Salazar. Deux ans de collaboration ont permis de la co-création de ce premier album Mo7it Al-Mo7it. En mariant le chant mélismatique de style arabe classique avec les compositions électroniques contemporaines, Jerusalem In My Heart forge une musique expérimentale arabe moderne. Mo7it Al-Mo7it est un album intimiste. La voix de Moumneh est devenue un réel instrument, et ses techniques de production jouant avec les distorsions, échos, delays arrivent à créer une intensité intemporelle.
Le nouveau groupe de William Cushion (FUTURE ISLANDS) et Bruce Willen (DOUBLE DAGGER), membres de deux des groupes les plus dynamiques de Baltimore, déballe un premier album instrumental sans basse ni batterie. La part belle est faite ici aux guitares, aux textures créées par les claviers, tambourins et pianos jouets qui créent une atmosphère mélancolique chaleureuse et abstraite, rappelant Robin Guthrie et les enregistrement minimalistes des pionniers de la scène allemande des années 70.
Le nouveau groupe de William Cushion (FUTURE ISLANDS) et Bruce Willen (DOUBLE DAGGER), membres de deux des groupes les plus dynamiques de Baltimore, déballe un premier album instrumental sans basse ni batterie. La part belle est faite ici aux guitares, aux textures créées par les claviers, tambourins et pianos jouets qui créent une atmosphère mélancolique chaleureuse et abstraite, rappelant Robin Guthrie et les enregistrement minimalistes des pionniers de la scène allemande des années 70.
Le nouveau groupe de William Cushion (FUTURE ISLANDS) et Bruce Willen (DOUBLE DAGGER), membres de deux des groupes les plus dynamiques de Baltimore, déballe un premier album instrumental sans basse ni batterie. La part belle est faite ici aux guitares, aux textures créées par les claviers, tambourins et pianos jouets qui créent une atmosphère mélancolique chaleureuse et abstraite, rappelant Robin Guthrie et les enregistrement minimalistes des pionniers de la scène allemande des années 70.