31 décembre 2015, Mötley Crüe prenaient d’assaut la scène du Staples Center dans leur ville natale de Los Angeles, pour le dernier concert de leur carrière ! C’était l’apothéose d’une tournée d’adieux qui avait débuté en juillet 2014 et qui les avait emmenés autour du monde, traversant l’Amérique du Nord et du Sud, le Japon, la Nouvelle Zélande, l’Europe et le Moyen-Orient. Les membres ayant signé un contrat leur interdisant de se produire sur scène au-delà de 2015 sous le nom de Mötley Crüe, ce concert était véritablement le concert ultime du groupe ! Mais ils tirèrent leur révérence avec style, grâce à une scénographie et des effets pyrotechniques spectaculaires, l’incroyable solo de Tommy Lee et sa batterie montée sur rollercoaster, et bien sûr tous les grands-classiques de leur carrière. Ils quittent la scène mais on ne les oubliera pas de sitôt ! Bonus Interviews avec Motley Crue, la basse lance-flammes de Nikki, et la batterie de Tommy. Formation Vince Neil (chant), Nikki Sixx (basse), Tommy Lee (batterie), Mick Mars (guitares)
31 décembre 2015, Mötley Crüe prenaient d'assaut la scène du Staples Center dans leur ville natale de Los Angeles, pour le dernier concert de leur carrière ! C'était l'apothéose d'une tournée d'adieux qui avait débuté en juillet 2014 et qui les avait emmenés autour du monde, traversant l'Amérique du Nord et du Sud, le Japon, la Nouvelle Zélande, l'Europe et le Moyen-Orient. Les membres ayant signé un contrat leur interdisant de se produire sur scène au-delà de 2015 sous le nom de Mötley Crüe, ce concert était véritablement le concert ultime du groupe ! Mais ils tirèrent leur révérence avec style, grâce à une scénographie et des effets pyrotechniques spectaculaires, l'incroyable solo de Tommy Lee et sa batterie montée sur rollercoaster, et bien sûr tous les grands-classiques de leur carrière. Ils quittent la scène mais on ne les oubliera pas de sitôt ! Bonus Interviews avec Motley Crue, la basse lance-flammes de Nikki, et la batterie de Tommy. Formation Vince Neil (chant), Nikki Sixx (basse), Tommy Lee (batterie), Mick Mars (guitares)
Le 1er Juillet 2011, Montreux était le théâtre de la rencontre de deux maîtres de la guitare, Carlos Santana et John McLaughlin, pour leur concert Invitation to Illumination. Depuis des années, ces deux musiciens sont des habitués du fameux festival helvétique mais c'était la première fois qu'ils s'y produisaient ensemble lors d'un même concert. Le spectacle contient la plupart des titres de leur célèbre album de 1973 Love Devotion Surrender, mélangés à leurs grands classiques. Cette soirée est un symbole de virtuosité musicale et de spiritualité, deux traits qui résument parfaitement l'approche de ces deux géants de la musique. Formation Carlos Santana (Lead guitare & chant); John McLaughlin (Lead guitare lead & chant); Cindy Blackman Santana (Batterie); Dennis Chambers (Batterie); David K. Mathews (Claviers); Tommy Anthony (Guitare & chant); Raul Rekow (Congas, Percussions & Chant); Etienne M'Bappé (Basse); Benny Rietveld (Basse); Tony Lindsay (Chant); Andy Vargas (Chant).
Tourné à l'origine en 16 mm, le film a été entièrement restauré pour sortir seul en DVD et en Blu-ray pour la première fois. Three Sides Live a été filmé en novembre 1981 lors de la tournée américaine d'Abacab. Le film fut alors édité en VHS pour coïncider avec la sortie de l'album live du même nom. Il n'était sorti en DVD que dans l'édition de luxe The Movie Box 1981-2007. Le spectacle est consacré aux albums Duke et Abacab, et les titres sont entrecoupés d'images des coulisses et d'interviews. Comme toujours avec Genesis, le spectacle est visuellement très élaboré et témoigne de l'évolution du groupe, depuis leur période progressive des années 70, vers celle des années 80 où ils régnèrent sur la scène pop-rock. Three Sides Live est une vidéo indispensable pour tout fan du groupe. Formation : Tony Banks (claviers, choeurs); Phil Collins (batterie, chant); Mike Rutherford (guitare, basse, choeurs) avec Daryl Stuermer (guitare, basse) et Chester Thompson (batterie) En Bonus, versions audio de : Behind The Lines - Duchess - Me & Sarah Jane - Man On The Corner - One For The Vine - The Fountain Of Salmacis - Follow You Follow Me
Le pianiste génie Chick Corea se réinvente et propose dans son nouvel album The Vigil, des nouvelles compositions et quelques ré-arrangements de ses classiques entouré d'une toute nouvelle formation acoustique et électrique. Avec Hadrien Feraud à la basse, Marcus Gilmore à la batterie, Tim Garland (saxophones, flute, clarinette basse) et Charles Altura (guitare).
Ce sixième album de Rob Zombie a été enregistré et mixé au studio Goathouse, il est accompagné de John 5 (guitare), Piggy D (basse) et Ginger Fish (batterie). Comme à son habitude, Rob Zombie a produit un album provocant tant dans la musique, du métal toujours sans concession, que dans son aspect graphique.
Album hommage à l'occasion du premier anniversaire de la disparition du contrebassiste Charlie Haden. L'époustouflante collaboration entre Richard Galliano et Charlie Haden, accompagnés par Gonzalo Rubalcaba (piano) et Mino Cinelu (batterie-percussions). Six jours de concentration, de passion partagée, d'immersion totale, loin de tout repère matériel, pour la réalisation et la création de ce projet.
Leur concert à Rockpalast pour la première fois en double vinyle et en CD+DVD Lynyrd Skynyrd est le groupe de rock sudiste par excellence ! Un son unique porté par trois guitaristes, des chansons cultes et un charisme en concert leur ont valu la réputation de meilleur groupe scénique ! Le groupe d'origine est funestement célèbre pour avoir perdu en 1977 trois de ses membres fondateurs dans un accident d'avion qui mit un coup d'arrêt à leur carrière. En 1987, les musiciens rescapés reformèrent le groupe avec Johnny Van Zant reprenant la place de son frère Ronnie au chant. Ce concert du 23 juin 1996 les montre dans une forme olympique au Festival Loreley du Rockpalast, et contient en bonus CD et DVD, trois chansons filmées en 1974 avec le line-up originel ! Formations 1996 : Johnny Van Zant (chant), Gary Rossington (guitare), Rickey Medlocke (guitare, chant), Hughie Thomasson (guitare), Billy Powell (claviers), Leon Wilkeson (basse, chant), Owen Hale (batterie), Dale Krantz-Rossington (choeurs), Carol Chase (choeurs). 1974 : Ronnie Van Zant (chant), Gary Rossington (guitare), Allen Collins (guitare, chant), Ed King (guitare), Billy Powell (claviers), Leon Wilkeson (basse, chant), Bob Burns (batterie)
The Killers sont de retour ! Après un break de 5 ans, le groupe de pop rock au plus de 20 millions d'albums vendus, rendu célèbre grâce à ses tubes tels que 'Mr Brightside', 'Somebody Told Me' ou encore 'Read My Mind' dévoile un nouvel album le 22 septembre intitulé Wonderful Wonderful . Un retour aux sources avec des hits pop puissants rythmés par une batterie, des synthés et des guitares entêtantes et dirigé par le charismatique Brandon Flowers.
Réédition de la B.O du célèbre dessin animé, amputé des morceaux instrumentaux de George Martin, mais enrichie de plusieurs titres disponibles sur d'autres albums (Eleanor Rigby, Lucy In The Sky With Diamonds, etc.). La véritable nouveauté vient du nouveau mix, qui peut gêner les puristes autant que ravir les nouveaux venus entendant les Beatles sonner pour la première fois comme Oasis. Les guitares décollent et la batterie de Ringo claque dix fois plus que dans son habillage d'origine.
The Oscar Peterson Song Books présente les 9 albums stéréo enregistrés en 1959 pour Verve (avec Ray Brown à la contrebasse et Ed Thigpen à la batterie) autour du répertoire de Cole, Porter, Irving Berlin, George Gershwin, Duke Ellington, Jerome Kern, Richard Rodgers... Le coffret est accompagnés d’un livret de 28 pages reproduisant les magnifiques pochettes originales illustrées par David Stone Martin, Merle Shore... accompagné de nouvelles notes de pochette signées Martin Chilton.
En 1967, McCoy Tyner est toujours sous le choc de ses années passées dans le quartette de John Coltrane. Cet album solo (où il s’entoure de Joe Henderson au saxo, Ron Carter à la contrebasse et retrouve son vieux compagnon Elvin Jones à la batterie) semble du coup largement imbibé de cette influence déterminante. Mais les rôles ont changé. De distributeur de ballons (Tyner joue libero dans l’équipe Coltrane), le pianiste devient attaquant et lance désormais de fulgurantes envolées, en maître incontesté du jeu. Flamboyant.
Après l'immense succès de la réédition d'Electric Warrior, voici deux albums de T. Rex qui bénéficient du traitement Deluxe Edition. A beard of Stars est le 5ème album de Tyrannosaurus Rex. Avec l'arrivée de Mickey Finn à la batterie, d'importants changements se dessinent au sein du groupe. Le dernier titre de cet album, Elemental Child, contient un somptueux solo de Marc Bolan qui annonce déjà le glam rock. Le 6ème album de Tyrannosaurus Rex est aussi le premier sous le nom de T. Rex. Sorti en 1971, un an après la parution du précédent, il contient le single One-Inch Rock.
Si toutes les compositions, totalement inédites, sont l'oeuvre de Gustavsen, ce disque met particulièrement en valeur la cohésion d'un quartet qui désormais fait corps, mais aussi la forte personnalité du saxophoniste Tore Brunborg dont le style conjugue une grande inventivité mélodique, une certaine mélancolie nordique et une sonorité résolument bluesy. Toujours aussi délicat mais très soutenu par les rythmes raffinés de la batterie de Jarle Vespestad et de la contrebasse de Mats Eilertsen, le piano de Gustavsen, subtilement teinté de gospel, distille son charme coutumier au caractère à la fois tranquille, tendre et chaleureux.
Groupe atypique et géniale de punk rock aux accents groovy, Les Primus vont faire voler en éclats les codes de ce genre californiens trusté à l'époque par les Red Hot. A mi-chemin entre les riffs heavy metal des new yorkais de Living Color et la dissonance brillamment orchestrés du maitre du contrepied Frank Zappa, le groupe dépoussière le punk rock californien et invite les aficionados dans un voyage fait d'humour et d'auto dérision. Musicalement, la basse frénétique et puissante du leader Les Clayton et la batterie de Tim Herb Alexander, encadrent avec détermination les élucubrations de la guitare et de la voix.
ZZ Top est un groupe de blues rock américain originaire de Houston au Texas, qui a connu le sommet de sa célébrité dans les années 1970 et 1980. Les membres de ce trio sont Billy Gibbons (chant et guitare), Dusty Hill (chant et basse) et Frank Beard (batterie). C'est également l'un des seuls groupes historiques à n'avoir jamais changé de formation depuis la sortie de leur premier album, en 1971. Après près de 50 ans de carrière quasi ininterrompue, le groupe a vendu plus de 70 millions d'albums à travers le monde, dont la moitié aux États-Unis. Ce live a été enregistré en Allemagne et est sorti originellement en 1980.
Avec ce double album, Tomasz Stanko nous présente son nouveau quartet. Partageant désormais sa vie entre La Pologne et les Etats Unis, il s'est entouré de David Virelles au piano, Thomas Morgan à la contrebasse et Gerald Cleaver à la batterie rencontrés à New York. Stanko a conçu un programme particulier puisqu'inspiré par la sublime poésie de Wislawa Szymborska, poète et essayiste polonaise, lauréate du prix Nobel de littérature. Il offre dans ce disque le meilleur et le plus aventureux de lui-même, avec des thèmes somptueux et des improvisations inspirées et audacieuses. Tradition et modernité pourraient d'ailleurs servir de sous-titre à ce nouvel opus.
Pour ce deuxième album sur le label ECM, le groupe FLY continue d'outrepasser les conventions habituelles du format trio saxophone/basse/ batterie. Mark Turner, Larry Grenadier et Jeff Ballard partagent libertés et responsabilités au sein de ce groupe démocratiquement constitué, et qui se détourne du format soliste/accompagnement rythmique. La musique, qui mêle subtilement improvisations et compositions, est plus souvent imperturbable et réfléchie qu'incantatoire. Des conversations et des éléments de l'histoire du jazz s'y font aussi place. Les trois membres du trio contribuent au répertoire de Year of the Snake, continuant le travail déjà accompli avec le premier album Sky and Country.
Avec Smash, l'album qui marque ses débuts sur le label Concord Jazz, Patricia Barber assoie sa position unique dans le jazz moderne, étant à la fois une pianiste imaginative, une chanteuse surprenante et une compositrice qui innove. Avec une nouvelle équipe (son quartet de Chicago avec Larry Kohut à la contrebasse, Jon Deitemyer à la batterie et John Kregor aux guitares) et une douzaine de nouveaux titres, elle poursuit également sa croisade de deux décennies : reconquérir le terrain que des musiciens de jazz ont cédé depuis longtemps aux musiques rock et pop, à savoir, le royaume des auteurscompositeurs intelligents et engagés. Barber se distingue de ses contemporaines par la maturité du son qu'elle déploie.
'Mon seul but, était de ne pas me répéter, en tant qu'artiste. Je voulais que mon album sonne comme quelque chose de résolument nouveau'. Pari tenu pour PJ Harvey, plus que jamais inclassable, surprenante, envoûtante. Pour son 8ème album (réalisé avec ses compères de toujours, Flood, John Parish, avec la collaboration notamment de Eric Drew Feldman et de Jim White de Dirty Three), PJ Harvey décide de délaisser pour un temps les guitares colériques, pour se tourner vers le piano. Délicatement accompagnée d'une discrète mandoline, d'une batterie anémiée, elle délivre des mélodies caressantes, à la lisière de l'univers de Bjork ou de Kate Bush à ses débuts. Un album indispensable et émouvant.
Grosse surprise pour ceux qui avaient découvert Ben Harper avec Welcome To The Cruel World. The Will To Live, troisième album, débute avec des guitares saturées et une batterie énorme. Rarement le plus pessimiste des hommes, Harper charrie ici son lot d'inquiétudes, évoquant divers sujets délicats, dont l'écologie, un thème qui le passionne. Homeless Child est un blues primitif qui aurait pu être enregistré dans les années quarante, Number Three, instrumental fragile, renoue avec la délicatesse acoustique du premier album, et Roses From My Friend sonne comme du Lou Reed chanté par Curtis Mayfield. Toutes références de premier choix pour un album varié et plus accessible que les précédents.
The Head on the Door est le sixième album studio du groupe The Cure, sorti le 13 août 19851. Un album résolument pop, qui permettra au groupe de se faire véritablement connaître dans le monde entier, et varié (guitare hispanique de The Blood, plus électrique de Push...), même si The Cure ne se départit pas de ses chansons spleen et mélancoliques (Sinking). Robert Smith écrit et compose seul l'intégralité des chansons parmi lesquelles In Between Days et Close to Me qui sortiront en singles et deviendront des tubes internationaux, bénéficiant de clips réalisés par Tim Pope qui seront très remarqués. L'album marque aussi le grand retour de Simon Gallup à la basse, tandis que Boris Williams s'installe à la batterie.
Comme l’illustre à merveille le contraste offert par les 2 premiers singles - les riffs bruts de décoffrage de 'Stone Cold Rage' étant à mille lieux du groove torride de 'Sarah, Surrender' - Gov’t Mule nous offre avec 'Revolution Come - Revolution Go' son album le plus éclectique, invitant l’auditeur à s’embarquer dans un périple musical électrisant. Grâce à sa musique ainsi qu’à la virtuosité et aux qualités d’improvisateurs de ses membres - Warren Haynes au chant et à la guitare, Matt Abts à la batterie, Danny Louis aux claviers, à la guitare et aux choeurs, et Jorgen Carlsson à la basse - Gov’t Mule a conquis les coeurs d’innombrables fans à travers le monde entier et a définitivement gagné sa place au panthéon du rock.
Comme l’illustre à merveille le contraste offert par les 2 premiers singles - les riffs bruts de décoffrage de 'Stone Cold Rage' étant à mille lieux du groove torride de 'Sarah, Surrender' - Gov’t Mule nous offre avec 'Revolution Come - Revolution Go' son album le plus éclectique, invitant l’auditeur à s’embarquer dans un périple musical électrisant. Grâce à sa musique ainsi qu’à la virtuosité et aux qualités d’improvisateurs de ses membres - Warren Haynes au chant et à la guitare, Matt Abts à la batterie, Danny Louis aux claviers, à la guitare et aux choeurs, et Jorgen Carlsson à la basse - Gov’t Mule a conquis les coeurs d’innombrables fans à travers le monde entier et a définitivement gagné sa place au panthéon du rock.
L'album a été enregistré cet été au Solar Powered Plastic Plant de Los Angeles et au Mango Tree à Hawaii. L'album a été coproduit par JACK JOHNSON et JP PLUNIER, producteur de son premier album Brushfire Fairytales et de BEN HARPER. On retrouve les membres de longue date du groupe de JACK JOHNSON, ADAM TOPOL (batterie), MERLO PODLEWSKI (basse) et ZACH GILL de ALO (claviers). Depuis la sortie de l'album In Between Dreams, Jack a signé la BO du film Curious Georges, et participé à celle de Brokedown Melody, enregistré la reprise d' Imagine de JLENNON pour Amnesty International, interprété la reprise Mama, You've Been On My Mind pour la bande originale du film retraçant la vie de BOB DYLAN I'm not There (en salles le 5 Décembre)
Robert Smith n'aime pas cet album, ni sa pochette, ni sa production, toutes deux dues à Chris Parry, ni les chansons « Object », « It's Not You », « So What » (qui permettent de comprendre pourquoi on appela un temps son groupe « les Buzzcocks du sud ») ou « Foxy Lady », l'étrange reprise de Jimi Hendrix, méconnaissable, chantée par Dempsey, qu'il dit détester... Ce disque contient pourtant son lot de chansons formidables, dont les minimalistes « 10 : 15 Saturday Night », « Accuracy », « Grinding Halt », « Fire in Cairo » ou le morceau titre. Une batterie métronomique, une basse et une guitare simplissimes, les textes et la voix de Smith empreints d'une tristesse monotone typique d'un certain post-punk : un style qu'on ne retrouvera plus chez Cure, proche de celui d'autres groupes de l'époque comme Wire, Gang of Four ou, quelques années plus tard, le premier R.E.M.
Ce double album du légendaire pianiste Chick Corea présente, dans des domaines musicaux aussi variés que le jazz, la musique latine ou la musique classique, les deux facettes de son travail : le compositeur et l'instrumentiste. Le disque 1 propose un concerto pour quintet de jazz et orchestre de chambre divisé en 6 sections représentant l'Afrique, les Amériques, l'Antarctique, l'Asie, l'Australie et l'Europe. Dirigé par Steven Mercurio et joué avec un orchestre all-star de New York, comprenant les membres du Quatuor à cordes et vents de Harlem Imani, entre autres et Steve Davis au trombone, Tim Garland aux vents, Hans Glawischnig à la contrebasse et Marcus Gilmore à la batterie. Le deuxième disque propose des nouveaux titres en solo et quintet.
Découvrez le nouveau prodige de la pop anglaise ! Pour son premier album Julian Perretta (auteur-compositeur), s'entoure de l'équipe de Jamiroquai (Rob Harris à la guitare et en co-composition, Derrick Mckenzie à la batterie) mais également de grands noms de la pop anglaise : Steve Fitzmaurice (producteur de U2, Depeche Mode, Seal) et Jeremy Stacey (batteur de Robbie Williams et Joe Cocker). On est loin du coup marketing ! En plus d'être auteur-compositeur, de livrer un excellent premier album avec un premier tube imparable Wonder Why et de faire craquer toutes les filles, à tout juste 21 ans, Julian Perretta a une véritable expérience de la scène et à déjà joué devant 1 millions de spectateurs (1è partie Mark Ronson -producteur d'Amy Winehouse, Maroon 5, Robbie Williams, Lily Allen, Kaiser Chiefs.) et Beyoncé !
L’album est un condensé de dynamite musicale : riffs énervés, toms de batterie lourds et faisant trembler les barriques … les Pulled Apart By Horses savent appuyer là où ça fait mal. Le groupe Pulled Apart By Horses, tout droit arrivé de Leeds en Angleterre, revient avec leur nouvel album depuis ‘Blood, sorti en 2014. Avec leurs deux singles impactants The Big What If et Hotel Motivation, ainsi que des dates de concerts prévues pour le printemps 2017, le groupe de hard rock britannique est encore une fois, prêt à envoyer du lourd. Soutenu par la presse et les médias spécialisés, comme SoundBrit, La Grosse Radio ou encore Sound of Violence, ils nous démontrent avec brio qu’ils n’ont rien à envier aux plus grands. Le punk n’est pas mort, et Pulled Apart By Horses nous le prouve bien avec The Haze.
En juin 2016, les soeurs Wilson et leur groupe HEART se produisaient pour la toute première fois au prestigieux Royal Albert Hall de Londres. C’était également la première fois que le groupe était accompagné d’un orchestre philharmonique qui conféra une dimension supplémentaire aux chansons. Le programme de cette soirée proposait les titres du récent album Beautiful Broken et bien sûr tous les tubes de leur carrière comme These Dreams, What About Love, Barracuda, Magic Man, Dreamboat Annie et bien d’autres ! Formation : Ann Wilson (chant); Nancy Wilson (guitare & chant); Ben Smith (batterie); Dan Rothchild (basse); Craig Bartock (guitare); Chris Joyner (claviers) et le Royal Philharmonic Orchestra dirigé par Nick Davies. En bonus, on retrouve une interview avec le groupe.
Le premier live de Gregory Porter. Dès la sortie de son premier album Water en 2010, Gregory Porter s’est imposé comme un chanteur, auteur-compositeur incontournable. Son mélange très personnel de jazz, gospel, blues et soul a rapidement séduit les fans du monde entier, en particulier sur son troisième disque Liquid Spirit récompensé d’un Gammy Award, ou sur le récent Take Me To The Alley. Dans ce concert filmé à la Philharmonie de Berlin le 18 mai 2016, Gregory Porter et ses musiciens complices interprètent les grands titres de sa carrière. Installé au centre du public et dans une mise en scène volontairement sobre, Gregory Porter révèle de sa voix sublime, les multiples nuances de ses chansons. Formation : Gregory Porter (chant), Chip Crawford (piano), Jahmal Nichols (double basse), Emanuel Harrold (batterie), Tivon Pennicott (saxophone tenor).
En 2004, The Who revenaient pour la première fois au Festival de l'Ile de Wight depuis leur concert légendaire de 1970. Emblème de la culture hippie, ce fameux festival avait connu une longue éclipse avant d'être relancé en 2002 pour connaître depuis un succès constant. La tournée 2004 des Who était la première en Angleterre depuis le décès de leur membre fondateur John Entwistle. Alors que les ombres s'allongeaient sur le site du festival, les Who prenaient d'assaut la scène pour un concert incendiaire dont les tubes ravivèrent l'esprit de 1970 et comblèrent les 35.000 fans rassemblés ! Formation : Roger Daltrey (chant); Pete Townshend (guitares, chant); Simon Townshend (guitares, chant); Pino Palladino (basse); Zak Starkey (batterie); John Rabbit Bundrick (claviers, piano).
Eberhard Weber, l'un des bassistes parmi les plus innovants de ces quarante dernières années, a donné plusieurs centaines de concerts au sein du groupe de Jan Garbarek, chacun d'entre eux renfermant des espaces solo qui, par leur structure, transcendent le genre du solo de jazz traditionnel. Résumé est un album « Live » d'un genre différent puisque Eberhard l'a « fabriqué » à partir de douze concerts donnés dans le monde entier avec ce groupe. Ce sont les enregistrements de ses solos que Weber a revisités et retravaillés pour créer un album unique dans sa façon de recomposer le flux musical. Il nous donne l'occasion d'entendre la sonorité inimitable de sa contrebasse électrique « customisée » (avec de nombreux effets sonores de delay, echos, reverbs,.). A noter la présence de Jan Garbarek au saxophone et à la flûte sur 3 titres et celle de Michael Di Pasqua à la batterie sur 1 titre.
Keith Jarrett piano Gary Peacock contrebasse Jack DeJohnette batterie L'année 2001 fut une année exceptionnelle pour le trio de Keith Jarrett : trois albums live enregistrés au cours de cette année - The Out-of-Towner, Always Let Me Go, My Foolish Heart - sont déjà parus sur ECM. Yesterdays, enregistré au Metropolitan Festival Hall de Tokyo est un quatrième opus. Le programme est composé de standards avec une forte emphase be-bop, avec notamment Scrapple From the Apple de Charlie Parler, Shaw Nuff de Parker et Gillespie, Strollin de Horace Silver. Y figure également un moment grisant de ragtime avec le You Took Advantage Of Me et de belles ballades incluant Yesterdays et Smoke Gets in Your Eyes toutes deux écrites par Jérome Kern. En bonus, l'album se termine sur une version éclatante de Stella by Starlight captée en répétition alors que Jarrett, Peacock et DeJohnette ne la jouaient que par pur plaisir.
Concert inédit de TOTO, le tout dernier réunissant Mike et Jeff Porcaro. Au début des années 80, le groupe TOTO était en formation resserrée autour de Steve Lukather (guitare & chant lead), David Paich (claviers & chant), Jeff Porcaro (batterie & percussions) et Mike Porcaro (basse). Accompagnés de quelques musiciens d’additionnels, ils se produisirent à Montreux en juillet 1991 lors de leur tournée des festivals européens, alors qu’ils préparaient leur nouvel album « Kingdom Of Desire ». Celui-ci allait sortir en 1992, juste après le décès de Jeff Porcaro. Ce show qui est édité pour la première fois en audio et en vidéo, est donc l’occasion unique de retrouver les deux frères jouer ensemble, et interpréter des titres de « Kingdom Of Desire », des reprises de Jimi Hendrix et Sly Stone, et bien sûr leurs grands classiques
Mal accueilli par la critique mais élevé au statut d'album culte par les fans, Pornography achève dans les ténèbres la boucle entamée par Seventeen Seconds. Son extrême noirceur est accentuée par une texture sonore ayant gagné en amplitude (grâce à la production de Phil Thornalley, habitué à travailler avec des groupes pop nettement moins austères), écrasée par la batterie de Lol Tolhurst et la voix presque suppliante de Robert Smith. La basse perce à peine, battement de coeur étouffé dans des flots de synthés (« Cold »), les guitares, douloureuses et stridentes (« One Hundred Years », « Strange Days »), résonnent comme un cauchemar schizophrène d'une effroyable beauté qui se désintègre dans un hallucinant magma sonore, « Pornography », et une promesse de renaissance (« I must fight this sickness, find a cure » : je dois combattre cette maladie, trouver un remède) qui enverra The Cure vers les sommets des charts, trois ans plus tard, avec The Head On The Door.
Mal accueilli par la critique mais élevé au statut d'album culte par les fans, Pornography achève dans les ténèbres la boucle entamée par Seventeen Seconds. Son extrême noirceur est accentuée par une texture sonore ayant gagné en amplitude (grâce à la production de Phil Thornalley, habitué à travailler avec des groupes pop nettement moins austères), écrasée par la batterie de Lol Tolhurst et la voix presque suppliante de Robert Smith. La basse perce à peine, battement de coeur étouffé dans des flots de synthés (« Cold »), les guitares, douloureuses et stridentes (« One Hundred Years », « Strange Days »), résonnent comme un cauchemar schizophrène d'une effroyable beauté qui se désintègre dans un hallucinant magma sonore, « Pornography », et une promesse de renaissance (« I must fight this sickness, find a cure » : je dois combattre cette maladie, trouver un remède) qui enverra The Cure vers les sommets des charts, trois ans plus tard, avec The Head On The Door.
Charles Lloyd a souvent dirigé des orchestres d'exception, et celui-ci est peut-être l'un de ses tous meilleurs. Après un premier disque live Rabo de Nube (à la fois prix des critiques et prix des lecteurs du magazine Jazz Time), voici donc un album studio de ce même quartet réunissant Jason Moran, Reuben Rogers et Eric Harland. Cette séance présente des thèmes familiers réinvestis et subtilement métamorphosés. On y trouve des nouvelles versions de Desolation Sound, Go Down Moses, Lift Every Voice, et The Water is Wide mais aussi deux superbes reprises de Thelonious Monk, Ruby My Dear et Monks Mood ainsi qu'une magnifique version très libre de la chanson des Beach Boys Caroline No. L'interaction remarquable de fluidité entre le piano, la contrebasse et la batterie crée une sorte de paysage mouvant au-dessus duquel le chant des saxophones de Lloyd flotte avec poésie.
Rock n Roll Consciousness' écrit un nouveau chapitre de l’histoire de Thurston Moore, et promet d’être un sommet créatif pour ceux qui s’intéressent à l’oeuvre de l’artiste. Thurston Moore s’est installé aux studios Church de Londres pour enregistrer de nouvelles chansons avec le producteur Paul Epworth, célèbre producteur et co-auteur entre autres d’Adele, du Pop Group et de Florence & the Machine. Le Thurston Moore Group était sur la route depuis la sortie de l’album 'The Best Day' (2014, Matador), sur lequel on avait découvert James Sedwards à la guitare, Deb Googe de My Bloody Valentine à la basse, et Steve Shelley de Sonic Youth à la batterie. Sur 'Rock n Roll Consciousness', Thurston se concentre sur la force du groupe, ainsi que sur sa beauté et sur ce qu’il a de plus prometteur : le sublime jeu de guitare de James Sedwards s’y déchaine, tout comme l’éthique groove minimaliste de Deb Googe et le dynamisme swing de Steve Shelley.
La chanteuse canadienne Kathleen Edwards revient avec un nouvel album Voyageur 4 ans après son dernier disque paru pour le label Rounder en 2008, Asking for Flowers. Voyageur a été en partie produit par Kathleen et son compagnon, Justin Vernon, mieux connu sous le nom de Bon Iver. La plupart des titres ont été enregistrées à Fall Creek, Wisconsin et à Toronto. Parmi les musiciens, on trouve Vernon (choeurs, guitare, piano, orgue, basse, banjo, xylophone), avec quelques invités spéciaux : Francis and the Lights, Norah Jones, Stornoway, John Roderick, Phil Cook (Megafaun), Sean Carey (Bon Iver), Afie Jurvanen (Bahamas) et Brian Moen (Peter Wolf Crier). On découvre également trois des musiciens qui tournent régulièrement avec Kathleen - Gord Tough (guitare), John Dinsmore (basse), Lyle Molzan (batterie) - ainsi que Jim Bryson, ami et collaborateur de longue date, aux guitares et claviers
A l’occasion de sa nouvelle production Blue Note, cet exceptionnel enregistrement public qu’est 'Passin’ Thru', Lloyd se présente à la tête de son New Quartet composé du pianiste Jason Moran, de Rogers à la contrebasse et de Harland à la batterie, un groupe chaleureux regorgeant d’intuitivité et proposant une musique tour à tour contemplative et enjouée. Tout au long de sa glorieuse carrière le saxophoniste, flûtiste, compositeur et grand mystique du jazz Charles Lloyd aura décliné sa musique à travers une myriade de formations aux configurations orchestrales extrêmement variées. Produit par Lloyd et Dorothy Darr, cet album regroupe sept compositions de Lloyd couvrant un large spectre de styles et d’humeur — du thème-titre plein de swing et de vie (enregistré la première fois en 1963 quand le saxophoniste était encore membre du Chico Hamilton Quintet) à la toute nouvelle pièce 'Shiva Prayer' sobre et nostalgique, écrite en l’honneur d’une amie chère à qui l’album est dédié.
Avenged Sevenfold reprennent la parole sur le plan discographique, avec un tout nouveau titre, The Stage Depuis plusieurs jours, d’étranges projections représentant un crâne avec des ailes de chauve-souris se sont retrouvées diffusées sur les monuments historiques des principales capitales mondiales, de Londres à Sidney, en passant par Stockholm, Paris, Berlin ou Toronto. Les initiés auront reconnus le logo d’Avenged Sevenfold, a.k.a. A7X, groupe de heavy metal américain, originaire de Huntington Beach, en Californie. Fondé à la fin des années 90, A7X a longtemps été un pilier de la scène underground californienne avant d'évoluer vers une musique plus mélodique qui a permis au groupe de connaître le succès avec l'album City Of Evil puis leur album éponyme Avenged Sevenfold. M. Shadows au chant, Synyster Gates à la guitare solo, Zacky Vengeance à la guitare rythmique, Johnny Christ à la basse et The Rev puis Brooks Wackerman à la batterie, ont à ce jour sortis sept albums studio, un album live, une compilation, un DVD.
La France les a découverts dans les stades en 1ère partie d'AC/DC et de Guns N'Roses, puis dans les clubs parisiens (La Boule Noire, Le Divan du Monde) où ils ont littéralement mis le feu! Sorte de carte de visite, leur EP The Wayside (sortie en 2015) a valu à Tyler Bryant & The Shakedown les honneurs de la presse spécialisée. Rock Hard, Guitar Part, Guitar Xtreme, La Grosse Radio, Oui FM ne tarissent pas d'éloges sur les talents de ce jeune guitariste / chanteur et de sa troupe. Flanqué de ses insaisissables Shakedown - Caleb Crosby (batterie), Graham Whitford (guitare), Noah Denney (basse) - ce texan exilé à Nashville nous offre enfin un véritable nouvel album. Un disque de blues rock tonique et moderne dominé par des guitares classieuses et précises. Sa voix n'est pas en reste puisqu'elle imprime une personnalité décapante à l'ensemble des compositions, qui, sans pour autant sonner vintage respectent tout de même la tradition. Un exploit que peu de groupes réussissent à réaliser de nos jours. Pas étonnant que le petit Tyler soit adoubé par Jeff Beck, Robben Ford et quelques-unes des meilleures gâchettes du genre.
Avec The Sirens le saxophoniste Chris Potter signe son premier album en leader pour ECM : Musicien talentueux, Chris Potter s'est forgé au fil des années une impressionnante discographie riche d'une centaine d'apparitions en tant que sideman et de 15 albums en leader. Il a collaboré avec des musiciens comme Herbie Hancock, Pat Metheny, Jim Hall, Paul Motian, Ray Brown, John Scofield Dave Douglas, et a travaillé au sein du Mingus Big Band. Potter a enregistré sur ECM avec son mentor Dave Holland, avec Steve Swallow et Paul Motian. Il a composé pour l'occasion une oeuvre de belles mélodies et d'humeurs changeantes, inspirée par L'Odyssée d'Homère, tant dans sa dimension épique que dans son humanité intemporelle.. Ces pièces sont servies par la subtilité virtuose d'un groupe remarquablement structuré comprenant outre Potter aux saxophones ténor et soprano et à la clarinette basse, Craig Taborn au piano, David Virelles au piano réparé, au célesta et à l'harmonium, Larry Grenadier à la contrebasse et Eric Harland à la batterie. Le phrasé lyrique de Potter est soutenu par une section rythmique remarquable de dynamisme et d'inventivité tandis que les claviers projettent des taches de couleurs chatoyantes.
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l’album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d’anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s’était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l’alchimie fonctionne entre ces musiciens d’exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
La talentueuse singer-songwriter anglaise Laura Marling présente à seulement 25 ans son cinquième album. Un album majestueux et intense, qui s'offre comme une véritable renaissance dans la discographie déjà riche de cette musicienne prodigue. Installée depuis quelques années à Los Angeles, elle rompt tout au long de ses 13 titres écrits à Joshua Tree avec le folk purement acoustique de ses débuts pour explorer des contrées musciales vastes, audacieuses et surtout plus électriques, rappelant PJ Harvey, à l'image du premier single ‘'False Hope ou encore du très beau ‘'Gurdijeff's Daughter Afin de démystifier la production, Laura a produit elle-même ‘'Short Movie, entourée de deux ingénieurs du son, Matt Ingram (qui joue également de la batterie) et Dan Cox. Une expérience qu'elle qualifie “d'agréable, mais angoissante. Pour l'enregistrement, qui s'est déroulé aux Urchin Studios à Londres, elle était accompagnée au violoncelle de son ancien collaborateur, Ruth De Turberville, de Nick Pini à la basse et de Tom Fiddle de Noah and the Whale. Le résultat est un album d'une beauté sidérante, reflet d'une période de vaste exploration pour Laura Marling, résolument unique dans le paysage musical actuel.
Carlos Santana reforme son groupe historique. En mars 2016, quelques semaines avant la sortie de l'album 'Santana IV', la formation historique de Santana investissait la scène de la House Of Blues à Las Vegas. Ils livrèrent un show d'anthologie combinant les titres du nouvel album et tous les grands classiques issus des 3 premiers disques dont 'Santana IV' est le digne successeur. Ce rendez-vous était extrêmement attendu car le groupe ne s'était pas réuni sous cette forme depuis le début des années 70. Un show lumineux où l'alchimie fonctionne entre ces musiciens d'exception, qui nous offrent avec un plaisir évident cette fusion unique de rock, de musique latine, de blues, de jazz et de rythmes africains. Formation : Carlos Santana (guitare, chant), Neal Schon (guitare, chant), Gregg Rolie (claviers, chant), Michael Shrieve (batterie), Michael Carabello (congas, choeurs), Karl Perazzo (percussions, chant), Benny Rietveld (basse) et en invité spécial Ronald Isley (chant). Inclus les hits : Jingo, Soul Sacrifice, Samba Pa Ti, Black Magic Woman, Evil Ways, Oye Como Va...
La chanteuse et musicienne franco-brésilienne Dom La Nena revient deux ans après son premier album acclamé ‘’Ela’’, paru début 2013 sur Six Degrees, et un an après son featuring avec Rosemary Standley (Moriarty) pour le très beau projet ‘’Birds On Wire’’, avec son nouvel album ‘’Soyo’’, sortant le 29 juin 2015. Dans la lignée du précédent, l’artiste nous livre une pop fragile et aérienne dans le sillon de son collaborateur Piers Faccini. ‘’Soyo’’ a été entièrement composé par la musicienne, avec l’aide de son alter ego Marcelo Camelo (ex Los Hernanos). Les chansons de l’album sont ressorties avec un éclat nouveau, qui doit notamment beaucoup aux touches apportées par Camelo. Apposant de fines couches de percussions et de batterie, le musicien a contribué à donner une âme et une respiration plus brésiliennes à la musique de Dom La Nena. Avec ‘’Soyo’’, Dom La Nena affirme son identité musicale. Endossant chacune des parties vocales et instrumentales, elle a enrobé le corps de ses chansons de choeurs aériens et d’arrangements déposés à fines touches. Fidèle au violoncelle, avec lequel elle a un peu relâché le lien sans le rompre, et au piano, elle a aussi invité dans sa danse intime de petites percussions et – fait nouveau – des guitares électriques.
Le jeune groupe de Nîmes VSO formé il y a tout juste 4 ans se fait connaître de la scène indépendante du sud de la France en remportant à plusieurs reprises des tremplins locaux et nationaux comme le Buzz Booster (qui notamment avait fait émerger Némir en 2011). Leur originalité naît de leur spontanéité et de leur sincérité, leur rap intrigue et séduit par le choix de prods hors ADN pur rap : ils n’hésitent pas à intégrer de la batterie des guitares et des basses qu’ils s’amusent à jouer eux même dans leurs morceaux. Le trio VSO (Vincent, Rémi & Sylvain), amis de longue date avec Maxenss, comédien / humoriste / YouTubeur le plus prisé du moment qui lui aussi est originaire de Nîmes (collaborations multiples avec Squeezie, Seb La Frite, il intègre le cercle de l’application 'Vertigo' comme créateur de contenu) enregistrent et tournent ensemble fin 2016 le titre clippé de 'Hello haters'. Conscients du potentiel de ce titre, ils attendent mai 2017 pour le rendre public et poussent leur collaboration sur la création d’un 1er EP de 9 titres intitulé « Southcoaster ». Le clip disponible sur les chaines Youtube de Maxenss et de VSO qui eux démarraient de 0 abonné, cumule aujourd’hui plus de 1 070 000 vues. En attendant la sortie de leur premier EP le 27 octobre, le groupe a de la ressource et décide de mettre en image les dessous de leur collaboration à 4 en publiant une web-série en 4 épisodes appelée 'Warm up - les chroniques de Southcoaster'.
Groupe de Rock anglais créé en 2009, se compose de Luke Spiller au chant, Adam Slack à la guitare, Jed Elliott à la basse et Gethin Davies à la batterie. Adulé notamment pour leurs performances scéniques exceptionnelles, le groupe n'a pas arrêté de tourner depuis sa création. Ils ont notamment ouvert pour des groupes comme The Who, Guns N' Roses, The Killers ou encore The Rolling Stones au Stade de France en 2014. Cette année ils s'offrent la première partie de la tournée mondiale des Foo Fighters. Dave Grohl (leader des Foo Fighters) a même déclaré que The Struts était le meilleur groupe qu'ils aient jamais eu en première partie de leurs concerts. Leur musique mélange le rock indépendant et le glam rock. Ils se disent influencés pas de grands noms du rock comme Queen, The Kinks, Aerosmith, Supergrass ou encore Rolling Stones. The Struts a su trouver son propre style autant sur scène que sur CD. Leur premier album 'Everybody Wants' en est la preuve. Sorti en 2014, on y retrouve les titres phares du groupe comme 'Kiss This', 'Put Your Money On Me' ou encore 'Could Have Been Me'. Le groupe compte aujourd'hui plus d'un million de vues sur Youtube ! Ils reviennent avec un tout nouvel album Young & Dangerous. Il comprend le titre 'Body Talks' en version originale et avec une version alternative en duo avec la chanteuse Kesha.
River : The Joni Letters est l'hommage d'Herbie Hancock à Joni Mitchell. Herbie Hancock (piano), Wayne Shorter (saxophones soprano et ténor), Dave Holland (contrebasse), Vinnie Colaiuta (batterie), Lionel Loueke (guitare). Produit et arrangé par Larry Klein and Herbie Hancock. Avec Norah Jones, Joni Mitchell, Tina Turner, Feist, Luciana Souza, Leonard Cohen et Corinne Bailey Rae. Le quintet de Miles, les années Blue Note, Head Hunters, Rock-it, Jazzmatazz.... Herbie Hancock a traversé les époques et les courants musicaux en laissant derrière lui des chefs d'oeuvres intemporels. Vénéré par les amateurs de funk, de soul, de hip hop ou de jazz il est aujourd'hui une véritable légende vivante. Joni Mitchel est considérée comme une des plus grandes folk singer contemporaine. La beauté de ses textes et la richesse harmonique de ses musiques ont séduit bon nombre d'artistes comme Björk, Caetano Veloso, Elvis Costello, Prince, Wayne Shorter, Brad Meldhau (qui lui ont rendus un hommage discographique en ce début d'année). Joni Mitchell et Herbie Hancock tout comme Miles Davis, Wayne Shorter, Pablo Picasso et d'autres grands artistes de notre temps, partagent un besoin incessant et profond de création. Ils ont toujours eu le désir et le besoin d'innover à chaque note. Ce disque en est la preuve.
Le nouveau Metallica frappe fort et juste. Le poing serré de la pochette de St Anger tient toutes ces promesses. Colérique à souhait, cet album sonne comme la délivrance d'un groupe dont les incessantes polémiques, depuis Load, avaient fini par user les différents membres. A tel point que le bassiste Jason Newsteed préféra partir plutôt que de rester sur ce navire attaqué de toute part, tandis que James Hetfield s'est vu contraint de passer quelques temps dans un centre de désintoxication. Mais finalement, ce qui ne tue pas renforce, et cette sainte colère des dieux du heavy est l'album le plus fort que les Metallica aient fait depuis bien longtemps. Alors oubliez les ballades, oubliez les morceaux acoustiques de Load, oubliez l'orchestre symphonique du SM, oubliez les grosses productions de Bob Rock, Metallica revient à cette époque où le succès ne les avait pas touchés (coulés ?), à cette époque ou ils répétaient dans leur garage sans contraintes ni pression. Cela se ressent sur l'ambiance de l'album. Les structures alambiquées des morceaux rappellent And Justice For All..., la rage de James Hetfield au chant nous ramène à l'époque Kill'em all tandis que le son de batterie de Lars Ulrich se montre plus percussif et moins clinquant qu'auparavant. Que dire du riff mitraillette de Frantic ?, de l'énergie du single St Anger ? Une fois de plus, les quatre musiciens de la Bay Area surprennent. Qu'on se le dise, personne ne dicte sa loi à Metallica...sans risquer de provoquer une colère apocalyptique.
L'un de ses deux nouveaux projets, célébration des femmes qui ont bouleversé le cours de l'histoire à travers la figure emblématique d'Oum Kalthoum, véritable monument de l'histoire du peuple arabe, qu'Ibrahim a beaucoup écouté depuis son enfance. N'étant moi-même pas chanteur, j'essaie à travers mon instrument de transmettre cet amour que j'ai pour un art finalement extrêmement peu pratiqué, celui de Tarab. C'est évidemment très complexe de tenter d'expliquer ce qu'est le Tarab en musique, puisque c'est une émotion, une sensation d'extase, un art de vivre heureux, alors il m'a semblé plus judicieux de tenter une expérience, un exercice de style, celui de la traduction musicale. Avec le pianiste Frank Woeste nous avons transcrit dans un jazz assez conventionnel, mais nous l'espérons innovant de par son métissage, l'un des plus grands succès de la diva égyptienne : Alf Leila Wa Leila ( Les Mille et une Nuits). Ces mélodies arabes que nous reprenons, bien que fondamentalement traditionnelles, se mélangent très facilement aux harmonies, et aux rythmes du jazz new yorkais. Le point commun entre ces deux cultures musicales est l'improvisation, et c'est sur ce terrain que s'inscrit le dialogue. C'est le dénominateur commun qui rend l‘échange possible. Enregistré et mixé à New York avec la même équipe que l'album Wind (2011) qui était un hommage à Miles Davis, c'est en toute logique que j'ai envisagé Kalthoum comme une continuité de cette belle aventure discographique avec Larry Grenadier (Contrebasse), Clarence Penn (Batterie), Mark Turner (Saxophone) et Frank Woeste (piano).