Wild Life' fut le premier album enregistré par les Wings. Le groupe est alors composé de Paul et Linda McCartney, de Denny Laine (ex Moody Blues) à la guitare et de Denny Seiwell à la batterie. Sorti en décembre 1971, il reçoit un accueil chaleureux de la part du public et de la critique.
Après Night Moves' puis Kids We Own The Summer' et ses claviers harmoniques, H-Burns revient à la quintessence de son style : un songwriting de qualité internationale et une justesse d'interprétation qui est difficilement prise à défaut.Earl Harvin de Tindersticks à la batterie, Kate Stables de This Is The Kit en invitée vocale, Noah Georgeson au mix. Logiquement intitulé Midlife' ce nouvel album enregistré sur bandes analogiques raconte l'histoire d'un homme qui se retourne et qui mesure le chemin parcouru, se remémorant les rêves de gloire, les amours enfuis, ce qu'il a laissé en chemin, de lui comme des autres.
Enregistré en 1970, lors d'une session live au mythique Club Mozambique de Detroit, cette perle de Jazz Funk ne sera éditée pour la première fois qu'en 1995. Les attaques de l'orgue et le beat soutenu par l'excellent Joe Dukes à la batterie, viennent rythmer les envolées du virtuose de la six cordes Georges Benson et les assauts du sax de Dave Hubbard amplifie cette impression d'euphorie musicale. Cette réédition en double vinyle 180 grammes bénéficie d'un mastering de qualité issue des bandes originales.
Enregistré en 1964 Trompeta Toccata ne sortira sur Blue Note qu'en 1965. Entouré de grands jazzmen comme Joe Henderson (Saxophone), Richard Davis (Contrebasse), Albert Heath (Batterie) et l'immense Tommy Flannagan, Kenny Dorham livre un de ses album les plus aboutis. Cette réédition en vinyle 180 grammes a été spécialement remasterisée en 2006 par l'ingénieur du son spécialiste du Jazz, Rudy Van Gelder. Considéré, au même titre que son génial Una Mas cet opus fait partie des classiques du genre. Excentrique mélange de titres bluesy et d'autres plus latin, cet album permet au génie de la trompette de se laisser aller à quelques solos bien sentis.
Après avoir ses armes au coté d'Un Gillespie au sommet, Lee Morgan va rapidement imposer sa trompette virtuose sur scène Jazz en pleine mutation. Sortie en 1958 et enregistré en fin d'année 1957, The Cooker sera l'une des pierres angulaires d'une carrière riche en classique. Au cotés de génies tels que Paul Chambers (Contrebasse), Bobby Timmons (Piano), Pepper Adms (Sax Bariton) ou le métronome Philly Joe Jonnes (Batterie), cet opus rentre de plein pied dans l'univers du Hard Bop. Cette réédition a bénéficié d'une attention toute particulière, avec les techniques de mastering de la collection 'Tone Poets' de Blue Note. Redécouvrez ce album intense et raffiné.
Enregistré en 1963, 'Smoke Stack' parait en 1966 chez Blue Note, il est son deuxième sorti sur le label mythique. Accompagné par Richard Davis (Contrebasse), Eddie Khan (Contrebasse) et Roy Haynes (Batterie) ce bijou impose encore un peu plus Andrew Hill dans le paysage Jazz des 60's. Retrouvez ce classique en vinyle 180 grammes et plongez vous dans l'univers d'un artiste singulier. Pianiste émérite, Andrew Hill aura travaillé avec de nombreux grands noms du Jazz. De Joe Henderson à Eric Dolphy en passant par Kenny Dorham, les jazzmen qui comptent auront bénéficié de la virtuosité de ce musicien unique.
Where The River Goes' pousse un peu plus loin l'histoire entamée dans le précédent disque de Wolfgang Muthspiel Rising 'Grace' paru en 2016, en réunissant de nouveau autour du guitariste autrichien, les ô combien talentueux Brad Mehldau, Ambrose Akinmusire et Larry Grenadier, et en entraînant cette fois dans l'aventure le grand Eric Harland à la batterie. Bien plus qu'un 'all-star' scintillant ce groupe est un véritable 'ensemble' imposant avec force sa propre identité musicale, qu'il s'agisse d'interpréter scrupuleusement les pièces de Muthspiel ou de s'exprimer de manières plus libre et collective. L'album, enregistré aux Studios La Buissonne en février 2018, et produit par Manfred Eicher, comprend six compositions de Wolfgang Muthspiel et une de Brad Mehldau, ainsi que des improvisations collectives.
Thirty Seconds To Mars, groupe de rock alternatif américain, est emmené par Jared Leto, leader emblématique, chanteur, compositeur et acteur. Il est accompagné de son frère Shannon Leto (batterie et percussions) et Tomo Mili?evi? (guitare). Depuis 1998, le groupe a sorti 4 albums studio, occupant tous le haut des charts dans de nombreux pays et s'écoulant à plus de 10 millions de copies à travers le monde. Le groupe, connu pour leurs concerts impressionnants, entrent en 2011 dans le Guinness Book des records pour la plus importante tournée de concert au monde. Thirty Seconds To Mars revient en 2017 avec un nouveau single Walk On Water, premier extrait d'un cinquième album très attendu par les fans.
Puss N Boots qui se compose de Norah Jones, Sasha Dobson et Catherine Popper vous présente son nouvel album 'Sister'. Sister est une collection captivante d'originaux écrits par les membres du groupe collectivement et individuellement, mélangés à des reprises de chansons de Tom Petty ('Angel Dream'), Dolly Parton ('The Grass Is Blue'), Paul Westerberg ('It's a Wonderful Lie') et Concrete Blonde ('Joey'). Jones, Dobson et Popper chantent chacune à leur tour et échangent guitare, basse et batterie tout au long de l'album. Le trio s'est formé pour la première fois en 2008 en tant que groupe de scène se produisant à Brooklyn. Après des années de concerts, Puss N Boots enregistre en 2014 leur premier album 'No Fools, No Fun' chez Blue Note.
Puss N Boots qui se compose de Norah Jones, Sasha Dobson et Catherine Popper vous présente son nouvel album 'Sister'. Sister est une collection captivante d'originaux écrits par les membres du groupe collectivement et individuellement, mélangés à des reprises de chansons de Tom Petty ('Angel Dream'), Dolly Parton ('The Grass Is Blue'), Paul Westerberg ('It's a Wonderful Lie') et Concrete Blonde ('Joey'). Jones, Dobson et Popper chantent chacune à leur tour et échangent guitare, basse et batterie tout au long de l'album. Le trio s'est formé pour la première fois en 2008 en tant que groupe de scène se produisant à Brooklyn. Après des années de concerts, Puss N Boots enregistre en 2014 leur premier album 'No Fools, No Fun' chez Blue Note.
Mal accueilli par la critique mais élevé au statut d'album culte par les fans, Pornography achève dans les ténèbres la boucle entamée par Seventeen Seconds. Son extrême noirceur est accentuée par une texture sonore ayant gagné en amplitude (grâce à la production de Phil Thornalley, habitué à travailler avec des groupes pop nettement moins austères), écrasée par la batterie de Lol Tolhurst et la voix presque suppliante de Robert Smith. La basse perce à peine, battement de coeur étouffé dans des flots de synthés (« Cold »), les guitares, douloureuses et stridentes (« One Hundred Years », « Strange Days »), résonnent comme un cauchemar schizophrène d'une effroyable beauté qui se désintègre dans un hallucinant magma sonore, « Pornography », et une promesse de renaissance (« I must fight this sickness, find a cure » : je dois combattre cette maladie, trouver un remède) qui enverra The Cure vers les sommets des charts, trois ans plus tard, avec The Head On The Door.
Sorti un an après WAR qui clôturait une trilogie produite par Steve Lillywhite, le disque avait été produit par Brian Eno (épaulé par Daniel Lanois), musicien visionnaire, souvent cité comme inventeur de l'ambient music, ainsi que producteur célèbre de David Bowie (notamment de la trilogie berlinoise Low, Heroes et Lodger) ou des Talking Heads. Bono et The Edge ont annoncé sur la BBC en août 2009 qu'ils viennent de retrouver plusieurs morceaux inédits enregistrés en 1983 et 1984. Certaines de ces chansons vont compléter cette réédition de The Unforgettable Fire. Il y aura notamment «Disappearing Act», un titre produit par Brian Eno et Daniel Lanois sous le nom de «White Cities». La nouvelle version a été retravaillée en France par U2 et fi gurera en bonne place sur la réédition de l'album. The Edge a déclaré à propos de cette chanson : «25 ans après, le son est incroyable, la batterie, la basse, la guitare et la voix, c'est vraiment étonnant».
La première parution sur ECM de Shai Maestro en tant que leader (après ses débuts avec Theo Bleckmann sur Elegy) met en vedette le pianiste talentueux menant son trio superlatif avec son compatriote israélien Ofri Nehemya à la batterie et le bassiste péruvien Jorge Roeder, mais aussi en tant que soliste. Une interprétation en solo de My Second Childhood de Matti Caspi ouvre un programme de compositions originales de Maestro bien pensées, chacune avec une histoire à raconter. Entendre le Trio Shai Maestro, c'est comme se réveiller dans un nouveau monde, a suggéré All About Jazz. Expressions de joie, reflexions introspectives et une intensité accrue sont au premier plan. Grâce à son toucher particulier, Maestro peut transmettre une gamme d'émotions fugaces en une seule phrase. Une déconstruction de These Foolish Things, le seul standard de l'album, sert de prélude à What Else Needs To Happen, une sombre méditation sur la violence dans les quartiers déshérités et ses conséquences. The Dream Thief a été enregistré à Auditorio Stelio Molo RSI de Lugano en Avril 2018, et produit par Manfred Eicher, et publié à la veille d'une tournée européenne avec des concerts en Espagne, Allemagne, Pays-Bas, la Suède, la Belgique, l'Italie, la France et la Suisse.
Le nouvel album de Zebra de Charles Pasi est un ovni musical, une pépite. Ecoutez Happy Single ou Warm Embrace ou encore la sublime ballade Silence et on pense tout de suite aux albums mythiques Nightfly de Donald Fagen ou de Aja de Steely Dan. Blues, soul, pop, d'entrée, on ne sait pas, on ne sait plus et on comprend que les étiquettes n'ont ici aucune importance. Charles Pasi n'enregistre pas de disque, non, il poursuit simplement la rédaction de son journal intime. Une poésie à l'équilibre fragile, qui raconte ce monde à la fois beau et effrayant, immense et minuscule, passé et futur, adorable et à brûler. La musique de Charles Pasi lui ressemble. Elle est à la fois acoustique et électrique, tellurique et dynamique, colorée et sombre. Généreuse et fragile. Elle mêle les sentiments et les grooves. Ce nouvel album de Charles Pasi, toujours chez Blue Note, composé entre Istanbul, Paris, Casablanca, New York et l'île Maurice, avec Cyril Atef à la batterie, Vincent Peirani à l'accordéon et Fred Dupont à l'orgue et aux claviers, est une migration sans frontière et aux rayures mouvantes et libres. C'est un disque qui refuse les chapelles, les raccourcis, les évidences d'une époque dévorée par l'individualisme. ZEBRA est encore l'anagramme de BRAZE (soudé dans la langue de John Coltrane). Ou quand plusieurs éléments se fondent pour donner naissance à un disque inclassable.
Le nouvel album de Zebra de Charles Pasi est un ovni musical, une pépite. Ecoutez Happy Single ou Warm Embrace ou encore la sublime ballade Silence et on pense tout de suite aux albums mythiques Nightfly de Donald Fagen ou de Aja de Steely Dan. Blues, soul, pop, d'entrée, on ne sait pas, on ne sait plus et on comprend que les étiquettes n'ont ici aucune importance. Charles Pasi n'enregistre pas de disque, non, il poursuit simplement la rédaction de son journal intime. Une poésie à l'équilibre fragile, qui raconte ce monde à la fois beau et effrayant, immense et minuscule, passé et futur, adorable et à brûler. La musique de Charles Pasi lui ressemble. Elle est à la fois acoustique et électrique, tellurique et dynamique, colorée et sombre. Généreuse et fragile. Elle mêle les sentiments et les grooves. Ce nouvel album de Charles Pasi, toujours chez Blue Note, composé entre Istanbul, Paris, Casablanca, New York et l'île Maurice, avec Cyril Atef à la batterie, Vincent Peirani à l'accordéon et Fred Dupont à l'orgue et aux claviers, est une migration sans frontière et aux rayures mouvantes et libres. C'est un disque qui refuse les chapelles, les raccourcis, les évidences d'une époque dévorée par l'individualisme. ZEBRA est encore l'anagramme de BRAZE (soudé dans la langue de John Coltrane). Ou quand plusieurs éléments se fondent pour donner naissance à un disque inclassable.
L'as des baguettes présente son 10ème album The ScOpe, réunisant les racines du groove et la modernité des machines. La batterie est au coeur de The ScOpe, un album électro charnel et céleste, frénétique, un chapitre de rupture ou plutôt de prolongement, de plaisir et de renouvellement, ajouté à sa discographie d'expert. Le disque rassemble des polaroïds, des pensées, des mantras : 'Mes réactions à ce qui m'ennuie ou me choque, ou me transporte.' Avec la volonté de ne pas couper le lien à l'autre, comme le recommande par exemple le morceau Keep Connexion, sur lequel se coule une kora sereine - un solo écrit spécialement pour Kandia Kouyate - qui percute la flamme d'une guitare. The ScOpe vibre du corps à l'âme et inversement, avec un hymne à l'amour lumineux et planant, Let Love Rules, la ballade atmosphérique Don't U Worry ou Glow à la douceur qui pulse. Tandis que Tricky 98' illustre l'ascension de champions - le morceau a accompagné l'entrée des Bleus à la U-Arena, en juin dernier, 20 ans après leur victoire à la Coupe du Monde de football. 'Les featurings sont importants car c'est une voix humaine qui interpelle les gens, avec sa singularité et ses découpes rythmiques.' Faada Freddy est ainsi le guest de Vice, réchauffant de ses scansions une ambiance hivernale. Et Jazzy Bazz, pose son flow sur Paris Me Manque, invitation à la nostalgie de 'P.Town'', le Paname d'hier, enveloppé d'un bugle déchirant. Avec The ScOpe, Manu Katché passe ses émotions au microscope, il analyse l'alchimie des sons d'une façon pointilleuse et sonde les êtres en profondeur, tendu vers le même élan d'harmonie musicale et spirituelle. Let's ScOpe it !