Construit sur de solides fondations, entre proto-punk, garage rock, hardcore de Washington DC et spacerock britannique, le nouvel album de Hookworms révèle sa griffe personnelle : à la fois aéré et dynamique, soutenu par un jeu de batterie musclé, The Hum alterne les ambiances entre puissance débridée et moments d'apaisement de toute beauté. Le quintet de Leeds évoque Neu, Can ou Stereolab tout en s'imposant comme un ovni dans le paysage musical indépendant.
Avec Max Portnoy à la batterie (fils de Mike Portnoy - Dream Theater) La musique proposée laboure les terres d’un Metal Progressif très technique et barré, avec quelques titres approchant les dix minutes, et révèle un groupe très créatif qui multiplie les digressions et les morceaux de bravoure sur un plan purement technique. Une oeuvre qui plaira aux amateurs de technicité et de modernité, adorateurs de productions limpides et impeccables.
Imaginez Killswitch Engage à leur apogée, le jeu de guitare immédiatement reconnaissable d’Adam Dutkiewcz, la précision de la batterie de Shannon Lucas de The Black Dahlia Murder et le grondement métallique de la voix de George Corpsegrinder Fisher de Cannubal Corpse et vous obtenez Serpentine Dominion ! Ecrit et enregistré dans la plus grande simplicité, cet album est un projet de passionnés qui ont décidé de faire ce qui est le plus important en musique : s’amuser. Ils y abordent des thèmes comme la corruption au sein du gouvernement, de la religion, des grandes entreprises et d’autres questions d’actualité.
Dans cet album, plus électronique que les précédents, porté par des claviers analogiques, une basse électrique et des percussions africaines, Nergaard dépeint le pouvoir magique des souvenirs dans des chansons qui font voyager l’auditeur à travers des paysages tropicaux et nuits d’hiver norvégiennes. Sur l’album, elle est accompagnée d’Andreas Ulvo (claviers), Audun Erlien (basse), Sidiki Camara (percussions), Wetle Holte (batterie et percussions), Mathias Eick (trompette), Håkon Aase (violon) et Håkon Kornstad (saxophone).
La légende et virtuose de la guitare Steve Hackett (Genesis) propose son nouvel album ! Les musiciens qui l'accompagnent sur ce disque sont Roger King aux claviers, Nad Sylvan au chant sur une chanson, Rob Townshend aux instruments à vent, le frère de Steve John Hackett à la flûte, Amanda Lehmann au chant, Gary O'Toole à la batterie et Benedict Fenner aux claviers additionnels et à la programmation. Le batteur Nick D'Virgilio, la violoniste Christine Townsend et le contrebassiste Dick Driver seront de la liste des musiciens invités. Edition spéciale CD/Blu-Ray Mediabook contenant le son en 5.1 Surround.
La légende et virtuose de la guitare Steve Hackett (Genesis) propose son nouvel album ! Les musiciens qui l'accompagnent sur ce disque sont Roger King aux claviers, Nad Sylvan au chant sur une chanson, Rob Townshend aux instruments à vent, le frère de Steve John Hackett à la flûte, Amanda Lehmann au chant, Gary O'Toole à la batterie et Benedict Fenner aux claviers additionnels et à la programmation. Le batteur Nick D'Virgilio, la violoniste Christine Townsend et le contrebassiste Dick Driver seront de la liste des musiciens invités. Edition spéciale CD/Blu-Ray Mediabook contenant le son en 5.1 Surround.
L'un des piliers expérimentaux et spécialiste de la cause post-rock électronique basé à Sheffield est de retour avec un cocktail explosif survolté. Cet album immersif met en évidence une continuation des versions précédentes et démontre une évolution constante du groupe depuis leur formation. Très vite, l'album envoûte, Chaque morceau fourmille de détails, accueillant ici un piano minimaliste, là des nappes de synthétiseurs presque d'un autre âge, s'accouplant à une batterie qui appelle la transe hypnotique. 65daysofstatic gronde d'une puissance émotionnelle. Tentez l'expérience de ce mariage simple et vigoureux entre Post Rock et musique électronique.
Igorrr, alias Gautier Serre, musicien et compositeur français, est de retour avec un nouvel album Savage Sinusoid. Igorrr nous propose de nouveau un mélange de genres original mêlant notamment électronique et accordéon, saxophone et riffs lourds ou encore mandoline et voix lyriques. Pour réaliser Savage Sinusoid, Serre a réuni une équipe de musiciens - Laurent Lunoir et Laure Le Prunenec au chant, Sylvain Bouvier à la batterie - et a collaboré avec plus de d'artistes que sur ses albums précédents. On retrouvera notamment Travis Ryan (Cattle Decapitation) sur Cheval, Apopathodiaphulatophobie ou encore Robert.
Igorrr, alias Gautier Serre, musicien et compositeur français, est de retour avec un nouvel album «Savage Sinusoid». Igorrr nous propose de nouveau un mélange de genres original mêlant notamment électronique et accordéon, saxophone et riffs lourds ou encore mandoline et voix lyriques. Pour réaliser «Savage Sinusoid», Serre a réuni une équipe de musiciens - Laurent Lunoir et Laure Le Prunenec au chant, Sylvain Bouvier à la batterie - et a collaboré avec plus de d’artistes que sur ses albums précédents. On retrouvera notamment Travis Ryan (Cattle Decapitation) sur «Cheval», «Apopathodiaphulatophobie» ou encore «Robert».
Three Trapped Tigers, c’est une section rythmique basse/batterie redoutable alternant passages contemplatifs avec furies sonores et caressant jazz, expérimental, prog-rock, math-rock, mais s'avance aussi en terrain miné en mettant un pied dans les musiques dures : post-hardcore ou metal. Si apparemment la musique de Three Trapped Tigers a quelque chose de profondément intellectuel, inaccessible et opaque, elle est pourtant étonnamment abordable. La raison est qu'aux milieu du fracas, du chaos et de cette débauche d'énergie animale, des mélodies lumineuses viennent éclairer l'obscurité. Three Trapped Tigers, plus que n'importe quel autre groupe aujourd'hui, ouvre des voies.
On retrouve dans ce 11ème album du groupe, Wake The Sleeping Dragon!, tous les bons ingrédients distillés habituellement par Sick Of It All et soutenus à l'occasion par une production énorme signée Tue Madsen (The Haunted...) qui rehausse la force de frappe de l'album : les guitares de Pete Koller sont toujours aussi abrasives, tranchantes voire entraînantes,, la voix virulente de son frère Lou Koller, encore impeccable qui scande avec rage des textes engagés mais également ironiques, un Armand Majidi qui cogne toujours avec autant de conviction sa batterie, et un Craig Setari à la basse sans fausse note et que l'on imagine encore plein d'énergie.
Guylain Deppe est un formidable pianiste qui cultive une riche palette sonore personnelle et une approche particulièrement originale de l'arrangement et de la composition. Ses influences classiques, très présentes, mais jamais envahissantes, insufflent une écriture parfaitement homogène. Il y a dans cet album un sens développé de l'improvisation interactive et une très forte expressivité, baignée de quelques empreintes parfaitement assimilées - comme les premiers enregistrements de Keith Jarrett sur ECM - ainsi qu'une admiration et une parfaite absorption des albums de la maturité, du pianiste Chick Corea. Pour arriver à ses fins Guylain s'est octroyé les services de Marc-Michel Le Bévillon à la contrebasse et de Stéphane Huchard à la batterie qui l'accompagnent au fil des duos et trios de l'album.
La révélation jazz de l’année, découverte sur YouTube grâce aux centaines de milliers de vues de son interprétation à la voix et note par note du jeu de saxophone du «Giant Steps» de Coltrane, transforme cet exercice virtuose en prodigieux manifeste de chanteuse libre sur son album «Pas de géant». Mêlant reprises détonantes de standards de la chanson française («Comment te dire adieu» de Gainsbourg, «Je me suis fait tout petit» de Georges Brassens, «Conne» de Brigitte Fontaine) et des réinterprétations de classiques comme son aria à tombeau ouvert des «Variations Goldberg» de Bach, ou son doux «House of Jade» chanté en portugais, Camille Bertault offre un bijou à son image : audacieux, passionné, libre, sensible, drôle et touchant à la fois. Elle est accompagnée sur le disque par Michael Leonhart (trompette, bugle, arrangements et production), Stéphane Guillaume (saxophone), Dan Tepfer (piano), Daniel Mille (accordéon), Matthias Malher (trombone), Christophe Minck et Joe Sanders (basse) et Jeff Ballard (batterie).
Une entente télépathique entre deux musiciens phares de la scène jazz française, entourés d’un casting de haut vol Après 15 ans de complicité et de concerts partagés au sein du Quartet d’Yves Rousseau et quatre albums réalisés ensemble (Fées et gestes, Sarsara, Poète, vos papiers! et Akasha) Yves Rousseau et Christophe Marguet se sont associés pour écrire la musique de ce nouveau projet. Le tandem contrebasse-batterie convie le piano acoustique et électrique, la guitare électrique et la trompette pour se confronter à une instrumentation nouvelle et créer un quintet inédit. Cette nouvelle rencontre entre ces deux musiciens et compositeurs reflète l’envie de mettre en commun leurs deux univers respectifs, de les confronter et de les enrichir mutuellement. Ils ont pour cela apporté chacun six pièces qui nous offrent une musique fraîche et lisible, électrique tout autant qu’acoustique, retrouvant la puissance d’évocation du jazz, le son et la danse, et la liberté...
« The Last Rider » est une collection de chansons originales de Ron Sexsmith qui sont tour à tour tristes, gaies, romantiques, douces-amères, légères et pleines d'esprit. Ce nouvel album marque une approche différente dans le processus d'enregistrement de Ron Sexsmith, puisqu'il l'a enregistré au studio The Bathouse sur le lac Ontario près de Toronto avec ses musiciens de tournée qu'il connait parfaitement : Don Kerr (Batterie), Jason Mercer (Basse), Dave Matheson (Claviers) et Kevin Lacroix (Guitare). L'album a été produit par Ron et Don Kerr qui sont amis et collaborateurs musicaux de longue date (depuis leur rencontre dans les années 80, lorsque tous deux étaient coursiers). « Je crois que mon son a toujours été une combinaison de Folk et de « British Invasion Artists » que j'ai toujours admirés » explique Ron. « À ce stade, c'est devenu comme une seconde nature pour moi d'écrire des courtes chansons mélodiques qui racontent tout ce qu'on a envie de dire. Mais le fait que mon groupe ait été impliqué dans cet enregistrement a apporté un plus à ces chansons. Quelque chose de spécia,l en tout cas c'est ainsi que je l'ai ressenti ».
Le 11 janvier, Joe Satriani et ses deux acolytes des G3, John Petrucci (Dream Theater) et Phil Collen (Def Leppard), entameront à Seattle (USA) une tournée mondiale qui passera par la France au printemps. Le lancement de cette tournée sera complété, le 12 janvier, par la sortie du 16ème album studio de l'artiste : What Happens Next. Ce nouvel album réunit un trio de choc et de légende : Joe Satriani à la guitare, Glenn Hughes (Deep Purple/Black Country Communion) à la basse, et Chad Smith (Red Hot Chili Peppers) à la batterie. La production de ce nouvel opus a été confiée à Mike Fraser, connu pour avoir réalisé l'enregistrement et le mixage de tous les albums d'AC/DC depuis The Razors Edge (1990), et pour avoir déjà collaboré avec Joe Satriani sur l'album Crystal Planet en 1998. What Happens Next dégage une énergie qui fera vibrer l'âme des auditeurs comme rarement de nos jours. L'album s'ouvre sur un morceau dynamique baptisé Energy puis mêle des titres comme le majestueux Thunder High On The Mountain et Smooth Soul, aux notes de guitare douces et sensuelles. Des rythmes rock époustouflants confèrent à ce nouvel album de Joe Satriani un groove incroyable qui le distingue des précédents.
«Tales From the Realm of the Queen of Pentacles» marque le retour en studio de l'immense songwriter américaine. A cette occasion, Suzanne Vega a enregistré dix morceaux qui transporteront l'auditeur dans son univers fait de multiples influences. Ces morceaux racontent chacun une histoire sur le monde matériel, celui des esprits ou leurs points de rencontre. Suzanne a passé ces dernières années à écrire et enregistrer ces nouveaux joyaux sur la route, entre Chicago, Londres, Prague, Los Angeles et Kyserike Station, une ancienne gare située à New York. L'album a été mixé par Kevin Killen, qui a travaillé avec Peter Gabriel et Kate Bush et produit par Gerry Leonard, collaborateur de David Bowie pendant plus d'une décennie. Pour la première fois en studio, Suzanne Vega a aussi rassemblé d'illustres musiciens pour l'accompagner. En plus de ses compagnons de longue date Mike Visceglia à la basse et Doug Yowell à la batterie, on retrouve donc, entres autres, Gail Ann Dorsey, Zachary Alford (David Bowie), Tony Levin (Peter Gabriel) ou encore Larry Campbell (Bob Dylan).
A l’occasion du 50ème anniversaire de « Miles Smiles », un des albums phares du trompettiste de légende, découvrez l’intégralité des bandes telles qu’elles furent enregistrées pour chaque titre de l’album : inclus répétitions, conversations de studio et prises alternatives partielles ou complètes dans un superbe coffret Triple Vinyle. Ce coffret illustre l’évolution musicale de Miles Davis au sein de son « second grand quintet » : Miles Davis (trompette), Wayne Shorter (saxophone), Herbie Hancock (piano), Ron Carter (basse) et Tony Williams (batterie) Cette édition « définitive » comprend aussi des prises masters figurant sur les albums « Nefertiti » (1968) et « Water Babies » (enregistré en 1967 mais sorti en 1976). On y découvre aussi une prise inédite de Masqualero ainsi qu’une version inédite de Country Son, et, cerise sur le gâteau, un enregistrement rare et unique de Miles Davis au piano, où il montre à Wayne Shorter, Blues in F (My Dying), un nouveau titre sur lequel il est en train de travailler. Ce coffret révèle la profondeur du processus d’enregistrement de l’un des plus grands musiciens de jazz au sein d’une de ses plus belles formations.
Star du jazz allemand et nouvelle signature de Sony Masterworks, Till Brönner propose un album de standards pleins de charme et de sensualité. Till Brönner est une figure dominante du jazz allemand. Outre ses nombreuses apparitions à la télévision et à la radio, il est reconnu pour son excellent jeu de trompette, sa voix douce et chaleureuse ainsi que pour son rôle de producteur et d’arrangeur. Nominé deux fois aux Grammy Awards, il a remporté à cinq reprises l’Echo Jazz, l’une des plus grandes récompenses musicales allemandes. ‘The Good Life’, son premier album pour Sony Music, est placé sous le signe du charme et de la détente et tire essentiellement son inspiration des grands standards du jazz américain rendus célèbres par les interprétations de Frank Sinatra, Billie Holiday, Nat King Cole et bien d’autres musiciens légendaires. Till Brönner a signé lui-même deux compositions de l’album et chante sur 8 titres. L’album produit par Ruud Jacobs a été enregistré entre Los Angeles et Amsterdam avec une section rythmique de rêve composée de John Clayton à la contrebasse (qui a aussi assuré les arrangements), Anthony Wilson à la guitare, Larry Goldings au piano et Jeff Hamilton à la batterie.
THE NEWNO2 est un groupe anglo-américain, composé de DHANI HARRISON (chanteur guitariste), de PAUL HICKS (claviers, programmeur), JONATHAN SADOFF (clavier, guitare), JEREMY FACCONE (guitare), NICK FYFFE (basse) et FRANK ZUMMO (batterie). Le groupe se considère avant tout comme un collectif artistique. En plus de réaliser eux-mêmes leurs artworks, ils réalisent leurs vidéos et proposent leur musique via H.OT. Records Ltd, un label indépendant. Après un premier album « You are here» en 2009, le groupe revient avec un 2ème album, enregistré entre Los Angeles et Londres. Combinaison d'instruments enregistrés en live et d'autres prés enregistrés, agrémenté d'obscures samples pour créer un collage intriguant de sons électroniques, l'album ne laisse pas indifférent. Les textures soniques de l'album sont magnifiées par la voix d' HARRISON, mais aussi par des chanteurs invités comme RZA, BEN HARPER, THE BLACK KNIGHTS, THROUNN ANTONIA HOLLY MARILYN. « The fear of missing out », littéralement la peur de manquer quelque chose, est le fil rouge et le moteur de l'album. Selon HARRISON, toute notre vie est conditionnée par cette peur, et « tout le monde en souffre d'une manière différence, nous avons tous peur de passer à côté de quelque chose ». On va suivre ses conseils, et surtout ne pas passer à côté de cet album ! Le 2ème album du groupe de Dhani Harrison
Spiritual Project : initialement, l’idée de ce projet original était d’interpréter des standards du chant gospel avec des arrangements jazz, swing manouche; mais en réunissant des musiciens avec des expériences musicales différentes (flamenco, musique indienne, jazz...) le projet a évolué pour privilégier des compositions originales empreintes de ces différents univers tout en gardant un trait propre au gospel, la spiritualité. Les musiciens réunis pour ce projet, par ailleurs issus ou très proches de la communauté rom, gitane et manouche, sont exceptionnels : Antonio El Titi (Jaleo de Louis Winsberg...) à la guitare, Dominique Di Piazza (John McLaughlin notamment) à la basse électrique, Xavier Sanchez aux percussions (Paris Jazz Big Band, Yvan le Bolloc’h...) de même que les invités : Costel Nitescu (Marcel Azzola, Yves Rousseau, Rocky Gresset...) au violon et Emy Dragoï à l’accordéon. Petit-fils de Django, fils de Babik, David Reinhardt assume pleinement son héritage musical. Ses deux premiers albums en trio avec Florent Gac à l’orgue Hammond et Yoan Serra à la batterie, ont reçus un accueil très favorable tant des médias que du public, et ses nombreuses prestations en sideman (James Carter...) lui ont permis d’atteindre une maturité et une sérénité, tant dans son jeu que dans son écriture, et que l’on retrouve dans le répertoire de ce très bel album.
Mötley Crue s'associe à Netflix pour la sortie de leur biopic, The Dirt, un film inspiré de leur autobiographie co-écrite avec Neil Strauss, rock critic au journal The New York Times. Le film a été réalisé par Jeff Tremaine (Bad GrandPa, Jackass) et comprend un casting 5 étoiles : Douglas Booth (Loving Vincent), Iwan Rheon (Game Of Thrones) Colson Baker a.k.a Machine Gun Kelly (Bird Box), Daniel Webber (The Punisher), David Costabile (Breaking Bad, Billions) et Pete Davidson (SNL). Le film sera disponible sur Netflix le 22 mars prochain. Originaires de Los Angeles, le quatuor - Vince Neil (Chant), Mick Mars (Guitare), Nikki Sixx (Basse) et Tommy Lee (Batterie) - a occupé les sommets du panthéon du rock pendant pres de 40 ans. Leurs ventes d'album ont dépassé les 100 millions d'exemplaires avec 7 disques de platine et de nombreux disques de multi-platine, 22 apparitions dans le Top 40 mainstream rock hits, 6 dans le Top 20 pop singles, 3 nominations aux Grammy, 4 prix Best-Seller du New York Times et pour couronner le tout : une étoile sur le Walk of Fame à Hollywood. Connus pour leurs concerts fous, ils ont tourné à guichet fermé dans le monde entier avec des concerts fait d'accessoires jamais vus comme la Cruecifly-Drum-Rollercoaster de Tommy Lee ou encore la Flame-Throwing-Bass de Nikki Sixx. Le groupe a achevé la dernière tournée de son histoire en 2015 avec 165 concerts sur les 5 continents pendant deux ans devant plus de 100 millions de personnes.
Médecin le jour et musicien la nuit, LeonxLeon produit depuis 2013 dans son home studio parisien des morceaux où se rencontrent House, Italo-Disco et Boogie. Jeune, il a baigné dans la musique en suivant des cours de batterie jazz au conservatoire, et surtout en voyant travailler son père ingénieur du son, qui construisait ses propres synthétiseurs dès les années 1970. Comme un hommage, il s'est servi d'un de ces synthétiseurs uniques sur un titre du disque. Après un remixe remarqué du morceau Funk Makossa de Cerrone et plusieurs morceaux sur des compilations Red Laser Disco, il sort en 2017 son projet My Solar Brass sur ce même label anglais. Organisateur de nombreuses soirées parisiennes, il a également participé à la fondation du label d'édits Good Plus et de Les Yeux Orange. Avec la sortie de Rokanbo sur Cracki Records, LeonxLeon signe un EP mature au confluent de différents styles. Le premier titre éponyme est un manifeste mélangeant Acid, House et Zouk. Dès qu'on lance la piste, les sonorités Pop et Acid nous prennent à la hanche et au cou. Un Ovni venu des îles! Les autres morceaux de l'EP ne nous laissent pas en reste! Formant Sweep diffuse une basse douce et groovy répondant à une envolée synthétique spatiale et sans fin. Sur Red Footpath, le kick plus dur se mêle intelligemment à une nappe atmosphérique et un lumineux solo de flûte entrainante tout droit venu d'un bout de bambou abandonné sur une plage déserte. Après cela, Jungle Juice laisse résonner un solo de clavier dantesque au milieu de la faune et de la flore tropicale, et enfin sur Horizon, l'EP se conclut en beauté sur une atmosphère aérienne et aérée. Ce dernier morceau résonne comme un beau coucher de soleil à la fin d'une longue journée d'été. A travers tous ces morceaux, Rokanbo nous offre ainsi un savant contraste entre notes synthétiques et chaleur du groove des tropiques.
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une collection nait ! Le concert, donné le 28 octobre 1967 au palais des concerts De Doelen de Rotterdam aux Pays-Bas dans le cadre d’une tournée européenne qui, une petite semaine plus tard, fera escale à la Salle Pleyel à Paris (un disque intitulé «Live in Paris, 1967» paru dans les années 80 a immortalisé cette magnifique prestation), a ceci de particulier de rompre avec le schéma habituel en présentant le quartet de Monk (avec Larry Gales à la contrebasse et Ben Riley à la batterie) augmenté sur un certain nombre de plages d’invités prestigieux, tous habitués de l’univers du pianiste : les trompettistes Ray Copeland et Clark Terry, les saxophonistes Johnny Griffin et Phil Woods et le tromboniste Jimmy Cleveland. Si ce n’est pas la première fois que Monk se produisait entouré d’une formation élargie (deux enregistrements majeurs de sa discographie attestent de son goût pour les grands ensembles : «The Thelonious Monk Orchestra at Town Hall» enregistré en 1959 et le présentant à la tête d’un tentet arrangé par Hal Overton, et «Big Band and Quartet in Concert», rendant compte d’un concert donné au Philarmonic Hall de New York en 1963 dans une configuration orchestrale similaire), le scénario imaginé lors de cette tournée s’avère pour le moins original, puisque partant du quartet originel l’espace de deux morceaux («Ruby My Dear» et «Hackensack»), la formation s’élargit progressivement aux dimensions d’un quintet (avec Ray Copeland en soliste) puis d’un octet jusqu’à constituer finalement sur «Blue Monk» un mini big band de neuf musiciens mettant en vedette le bugle virtuose et inspiré de Clark Terry. Sans prétendre à une grande sophistication d’écriture (les arrangements minimalistes et «fonctionnels» servent le plus souvent d’écrin et de relance aux interventions solistes et ne proposent jamais de relectures particulières des compositions abordées), cette formule orchestrale séduit en ce qu’elle plonge le pianiste dans un environnement instrumental riche en couleurs et contrastes offrant de nouvelles perspectives et comme un surplus de lyrisme à son style toujours plus épuré et ascétique. Les improvisations de Johnny Griffin notamment, sur «Oska T» et «Epistrophy», sont de merveilleux moments qui rappellent à quel point sa sonorité à la fois chaude et acide ainsi que son phrasé incisif se sont toujours accordés comme par magie aux préceptes «monkiens», faits d’ellipses, de parcimonie expressive et de dissonances savantes.
Evanescence est de retour avec Synthesis, leur 4ème et plus ambitieux album pour une sortie prévue le 10 novembre 2017. L'album comprend des nouvelles versions de certains hits d'Evanescence, retravaillés avec un orchestre symphonique en plus du groupe et la virtuose Amy Lee au chant et au piano. Amy Lee, la chanteuse, compositrice et pianiste principale, le bassiste Tim McCord, le batteur Will Hunt, le premier guitariste et choriste Troy McLawhorn ainsi que le guitariste Jen Majura ont travaillé pour Synthesis, avec les producteurs Will Hunt et David Campbell (arrangeur d'orchestre et compositeur). Deux nouveaux titres sont nés de cette collaboration, Imperfection, le premier des deux sera disponible le 15 septembre. Le groupe a également invité sur cet album, Lindsey Stirling, la célèbre violoniste pour la 2eme nouvelle chanson de l'album, 'Hi-Lo'. Pour Amy Lee, 'Imperfection' est la chanson la plus importante de l'album. Pendant un certain temps, composer les paroles de cette chanson n'a pas été facile. En effet, je ressentais la pression d'être à la hauteur de l'œuvre et je ne savais pas vraiment quoi dire ou comment répondre aux attentes. Quand cela s'est finalement mis en place, c'était indéniable. Je n'avais pas le choix. C'est pour toutes les personnes que nous avons perdues, toutes les personnes que nous pourrions perdre par le suicide ou la dépression. Quand je chante, je chante comme si j'étais une personne exclue, une personne en salle d'attente. C'est appel à se battre pour se battre pour votre vie, pour rester. Ne succombez pas à la peur - Je me force à me le répéter tous les jours. Personne n'est parfait. Nous sommes tous imparfaits et c'est précisément ces imperfections qui font de nous les personnes que nous sommes. Il faut les assumer et en être fiers car il y a tellement de beauté dans ces différences. La vie vaut la peine qu'on se batte pour elle. Vous méritez qu'on se batte pour vous. L'album est un projet passionnant pour moi. Il y a tellement de niveaux de profondeur dans notre musique en dessous de la forte batterie et des guitares, explique Amy Lee d'Evanescence. J'ai toujours voulu mettre en avant certains arrangements de David Campbell et les éléments matrices de nos chansons. Cette idée a abouti à les retravailler complètement avec un orchestre complet, pas uniquement des cordes, une programmation technique élaborée et de l'expérimentation. C'est la première fois que nous partons en tournée avec un orchestre symphonique. Je suis très excitée à l'idée de donner un concert avec cette configuration portée sur les voix, sur l'émotion et sur l'histoire que nous avons construite au fil des années. Je suis aussi très excitée par le nouveau contenu de cet album. A part ces deux nouvelles chansons, il y a des très belles instrumentales entre les morceaux. Le tout résonne comme une vaste et dynamique bande-son . L'édition standard est disponible dès à présent en précommande en deux formats, CD et digital ainsi qu'une édition Deluxe limitée de l'album qui comprend le CD, un DVD documentaire sur la réalisation de l'album, des mix en format audio 5.1 et un livre comprenant les partitions d'orchestre composées par David Campbell. 2017 s'annonce comme une des années les plus importantes pour EVANESCENCE, qui a aussi confirmé que leur tournée continuera au Royaume-Uni et en Europe en mars 2018. Le groupe voyagera avec un orchestre symphonique et un set d'instruments électroniques, garantis pour délivrer une expérience live transcendante.