Didge et Stibane travaillent de la plume pour nous servir en bande dessinée les meilleurs gags coquins, des plus connus aux inédits. Brèves de comptoir, les bien bonnes qu'on se raconte... De véritables petits bijoux d'humour léger. Délicieux et frais !
Fascination de l'EmpireExubérance militaire de la France qui était grande...Quel est le jeune homme de seize ans qui n'eut été absorbé par cette mise en scène chatoyante aux allures triomphantes.Udo est irrésistiblement attiré par cette force émotionnelle. Il ne ressentira même pas les inévitables soumissions qui vont lui être imposées.Les rations insuffisantes pour combler un investissement d'efforts à la limite du possible.Il ne ressentira que beaucoup plus tard l'écrasant fardeau de son engagement.Il connaîtra l'angoisse des temps morts, l'inconfort, l'inévitable terreur qui submerge les gloires passagères.La peur à l'état brut ... une démonstration de l'effort gratuit ...Une bande dessinée qui retient le souffle, à lire en éveil ...
Véritable OVNI dans le ciel musical belge depuis plus de quarante ans, le Grand Jojo revient sur le devant de la scène, plus délirant que jamais.Chantre de la bonne humeur, ménestrel des fêtes populaires, fournisseur attitré des diables rouges, 11 nouvelles chansons sont récemment venues s'ajouter à un catalogue déjà conséquent et haut en couleur.Avec parfois, une pincée d'émotion en plus.Inscrit au livre d'or du patrimoine folklorique, style musical à lui tout seul, ce grand adolescent presque octogénaire était le client idéal pour devenir le héros d'une bande dessinée d'humour.C'est aujourd'hui chose faite par une succession de gags revisitant, par l'image, les points culminants de son répertoire.
Quatre communes, quatre maires, quatre façons (bien différentes) de gérerargent, humeurs et tracas des administrés. Qu'il s'agisse de L. Mafieu, B.Pinchard, S. Courgeat ou G. Marcouillon, aucun d'entre eux n'est là par hasard. Tous ont une réelle motivation qui dissimule parfois une idée fixe, une obsession secrète,...souvent hélas, fort éloignée du bien-être et des préoccupations des simples citoyens que nous sommes.Parfois noir et corrosif, l'humour est cependant toujours présent : qu'il traite de la bête sauvage aperçue aux abords du village, du champ d'OGM en passant par le gaspillage des deniers publics, du culte de la démagogie aux magouilles et autres pots de vin!La gestion d'une commune, quelle que soit sa taille, requiert d'indéniables qualités: patience, tolérance, écoute,...qualités qui chez certains, (allez savoir pourquoi?) se mutent en arrivisme, cupidité et corruption !Pour tous ces élus, qu'ils soient honnêtes et droits, hypocrites ou opportunistes, l'apostolat de départ se transforme souvent en chemin de croix!...Quinze ans après les Soutanes noires..., Jean-François Biard revient à la bande dessinée avec les Maires comme nouvelle cible.
Entre les potes, les cours, les filles et puis surtout... le scooter, Tony Del'Orto et sa bande vont d'aventure en aventure. Une série de gags en 01, 02 ou 03 pages à faire rire aux éclats tout ado qui se respecte. Un album qui « déchire » !
Pigalle. Le Perroquet bleu est un cabaret discret et sélect offrant de la distraction prometteuse. Une affaire qui tourne gentiment. A sa tête, le patron, Monsieur Charles. Un ex truand reconverti dans le paisible et sa légitime, Madame Gilda, qui tient la caisse avec autorité.Mais, si l'homme est rangé de l' active , il n'en reste pas moins homme et la belle Zaza, steap-teaseuse vedette, il se la friandiserait volontiers. Problème, Gilda, ça l'insupporte de voir son homme s'user les yeux et faire de l'hommage à cette grande cruche !... Bien que Zaza résiste obstinément aux délicats assauts de Monsieur Charles, la Gilda, derrière sa caisse rumine à la rancoeur.Les choses auraient pu en rester là, si un soir une bande de malfaisants n'avaient explosé à coup de calibres la moitié du bar. Sous la menace de venir remettre le couvert, ils réclament quinze bâtons. Le Perroquet bleu est racketté comme un vulgaire pigeon !...Le coup est rude pour Monsieur Charles, de plus, il n'a pas la fraîche disponible, tout son pécule a été investi dans son troquet. Monsieur Charles est prêt à faire face, calibre en pogne. Mais Gilda et son vieux pote Maréchal, calment le jeu, pas question de jouer les gros bras, sinon, le Perroquet bleu ne sera plus que du souvenir, les clients ne se précipiteront pas pour venir sucer les pruneaux !... Alors, reste à trouver de la fraîche. Une décision est prise, braquer un transporteur de fonds, un ex de la belle Zaza !...Mais tout ça baigne dans l'embrouille, dans le pas clair, dans l'entourloupe !... Qui tire les ficelles ?... Qui a intérêt à couler le Perroquet bleu ?...