Fred Dewilde est un homme de la résilience. Il a vécu de l'intérieur les attentats qui ont plongé la France dans un état de sidération. Quelques mois après l'attaque du Bataclan, il tente de renouer avec une vie familiale heureuse et légère. Cependant, l'annonce des attentats de Nice le replongent dans la peur mais aussi le refus de la haine.C'est par le dessin de Fred Dewilde a choisi d'exprimer les échos et les mécanismes du traumatisme. Pour lui, et plus encore pour ses enfants, il raconte la douleur qui envahit les victimes de cette guerre d'un genre nouveau... Profondément blessé, il lutte contre le désir de vengeance. Chaque planche de cette bande dessinée donne à voir toute l'humanité d'un des survivants du terrorisme contemporain.
Cette histoire, qui est la mienne, concerne des milliers, des centaines de milliers d'enfants de cette époque.Et si je parle d'aventure c'est que la BD représentait réellement tout ce dont pouvait s'éprendre un gosse en mal de rêve ou en mal de rire. Tout ce qui lui faisait franchir les frontières d'un monde souvent sordide et retrouver, dans un par-delà imaginaire, les héros types de la quête enfantine. C'est cette période, 1934-1944, appelée aujourd'hui l'Age d'or de la BD, que l'auteur explore et développe en analysant l'impact de la bande dessinée américaine en France.Jean-Jacques Gabut réussit à captiver non seulement les amateurs qui retrouveront de vieilles bandes dessinées oubliées dans les greniers, mais aussi les connaisseurs, qui découvriront un vrai travail de recherches s'étalant sur plusieurs années.
Pas facile de se faire accepter dans une bande de copains ou de comprendre ce que veulent dire les gentilles attentions de la jolie Lison ! A l'école comme à la maison, pour le timide Malo, la vie est une sacrée aventure...
Cet été, c'est camping sauvage pour toute l'équipe ! Les Carré d'As et les mamies se retrouvent pour des vacances au bord de la mer, chez l'oncle Jo. Mais rien ne se passe comme prévu... leur oncle est introuvable, des hommes sans tête sautent dans le vide sur l'île aux Mouettes, et les grands-mères se font kidnapper ! Les Carré d'As n'ont qu'un seul indice : l'un des kidnappeurs a rendez-vous avec un certain Vermeer... Maurane et sa bande vont devoir se débrouiller seuls pour résoudre cette affaire, et empêcher le vol de tableaux de maître.