Le magnifique second album de l'envoutante Canadienne d'Haïti parisienne aux oreilles de chat ! C'est une douce révolution. Si Mélissa Laveaux n'a rien escamoté de l'identité très forte dessinée par un premier album acclamé (Camphor And Copper, 2008), elle s'est aujourd'hui réinventée. À la douceur acoustique d'un folk langoureux et chaloupé, la jeune femme préfère à présent l'énergie plus sophistiquée d'une pop percutante et irrésistible. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques.
Le magnifique second album de l'envoutante Canadienne d'Haïti parisienne aux oreilles de chat ! C'est une douce révolution. Si Mélissa Laveaux n'a rien escamoté de l'identité très forte dessinée par un premier album acclamé (Camphor And Copper, 2008), elle s'est aujourd'hui réinventée. À la douceur acoustique d'un folk langoureux et chaloupé, la jeune femme préfère à présent l'énergie plus sophistiquée d'une pop percutante et irrésistible. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques.
De la soul, de la pop et des sonorités world qui se mêlent à la modernité du hip-hop et aux influences du reggae. David Cairol offre un savant mélange des genres, qu’il s’approprie et redéfinit au travers de mélodies puissantes et de textes ciselés. En français comme en anglais, sa voix singulière et son écriture aiguisée conjurent nos maux et jonglent avec les mots. Un style qu’Alain Pilot, de la Bande Passante sur RFI, qualifie de «gainsbourien». Son premier album «Initiales», sorti en 2013, lui valut une belle reconnaissance de la part du public, des programmateurs et des médias. Fort de ce parcours, David Cairol revient en 2017 avec «U.N.I», un album fort, qui se veut à l’image de David, solaire et rassembleur. Le clip du single «Crazy Lazy» réalisé par Sylvain Chomet, réalisateur des Triplettes de Belleville et du clip «Carmen» de Stromae, est là pour en témoigner.