Tout, tout de suite et moins cher ! Chacun pour ma gueule et ma gueule en premier ! Ceci n'est pas un slogan politique, c'est l'histoire de ma vie.La vie d'un homme qui travaille plus pour dépenser plus.
Juin 1957.Raffini est invité à Cogounan, près de Cassis, au mariage d'un ancien collègue, lui aussi commissaire. Il fait beau et chaud. Raffini en profite pour passer quelques jours de vacances à l'Hôtel Le Provençal. Ambiance résolument sudiste (pêche dans les calanques, pastis en terrasse, parties de boules sous les tilleuls de la place). Mariage façon grande fête. On boit beaucoup, on danse, on s'amuse. Raffini fait la connaissance de Mireille, un joli brin de fille de 25 ans qui n'est pas pour lui déplaire...Malheureusement, il a 2 fois son âge et surtout elle est fiancée à un certain Dario, un sosie du chanteur à succès Dario Moreno et qui, comme ce dernier, pousse aussi la chansonnette, dont le tube du moment Si tu vas à Rio... Mais voilà: quelques jours plus tard, le Dario en question disparait dans des conditions étranges. Que peut faire Raffini lorsque Mireille éplorée vient solliciter son aide pour le retrouver ? Oubliant qu'il est vacances, notre commissaire se met sur la piste du fuyard.Une piste pas si simple qu'il imaginait, qui passe par les gangs marseillais et le trafic de drogue. Bientôt les balles vont siffler autour de l'accorte Mireille et du commissaire. Mais celui-ci n'est pas genre à se laisser intimider. Pour le triomphe de la loi, et pour les beaux yeux de la petite ! Raffini attaque...
Le commissaire s'est déplacé en Normandie pour les besoins d'une enquête. Il profite d'être sur place pour aller saluer un vieil oncle dans une maison de retraite. Surprise : celui-ci a déserté l'institution et repris sa liberté. Sa disparition semblant pour le moins curieuse, Raffini tente de remonter la trace de ce vieux parent. Mais il ne le retrouvera jamais, ni lui, ni ses affaires, ni l'argent restant sur ses comptes.C'est ainsi que Raffini va se retrouver sur la piste d'un très curieux sérial killer : en l'occurrence un charmant et distingué vieux monsieur, courtois et élégant, cultivé et plein de sollicitude pour ses victimes.Mais ce mot « victime » est bien désagréable et mal approprié. Car ce bon Monsieur Théo déteste toute violence , toute agression et la vue du sang le rend malade. Lui, il ne connaît que les tisanes et les plantes. Ses motivations ont toujours été philanthropiques : assister les vieux, les aider à passer ce moment si difficile qu'on appelle trépas...Pour ce faire, il les aide avec amitié et compassion. Il se charge ensuite de tout nettoyer, tout faire disparaître, et même de leur trouver une sépulture. Ensuite il endosse leur identité et va tous les trimestres à la poste ou à la perception, percevoir leurs retraites ou leurs rentes. Bien sûr il a fait en sorte de choisir ses compagnons parmi des solitaires, des gens dont plus personne ne se soucie...Si drame aujourd'hui il y a, c'est que Théo avait oublié un détail : ce vieux tonton Raffini qu'il vient juste de faire disparaitre, avait un neveu, un certain Louis-Armand, et vraiment pas de bol pour lui, ce Louis Armand Raffini est commissaire à la PJ !
La guerre fait rage sur la planète Kolonie pour retrouver l'ancien savoir.Il était une fois la Tour... En l'an 17 sur Kolonie, la glace, dont les nappes avaient jusqu'alors recouvert la planète, fond et permet à la société des Kolons d'atteindre son sommet scientifique et culturel. Mais le peuple des nains, lassé par sa place en bas de l'échelle sociale, se révolte contre les habitants humains de la Tour. Pendant les huit ans de guerre qui s'ensuivent, tout contact est perdu entre la Tour et les communautés de savants près des îles. Le savoir et les connaissances techniques se perdent. Désormais, la Tour est devenue une légende pour ces peuplades éparpillées qui croient être les uniques survivants de la planète. Fango, avec le vieux Zerit, part à la quête de la Tour mythique..
Deux ans après la Seconde Guerre mondiale, Jack Bishop, ancien officier dégradé de la marine américaine, s'est reconverti comme contrebandier dans les mers du sud. Pour cela il fait équipe avec un vieillard acariâtre, Stumpy, un colosse boxeur, Thunderbolde Jim et un jeune gosse orphelin, Jean. Notre héros va entrer en possession d'un mystérieux médaillon qui va le conduire lui et ses amis, au fin fond de la jungle cambodgienne, au Temple de l'épouvante, où rodent des peuplades sanguinaires et d'effroyables créatures...
« Les dingodossiers », « la rubrique à brac » ou « Gai Luron », autant de chefs d'oeuvre que tout le monde a eu un jour ou l'autre entre les mains. Le professeur Burp est la vedette de la rubrique à brac, une sorte de Droopy humain, au sourcil souvent interrogateur. Avec lui, nous allons découvrir tous les secrets et les records du monde animal. Tests, énigmes, jeux et de nombreux « le saviez-vous ? », autant de facettes pour en savoir plus sur tous ces bestioles qui grouillent autour de nous. Drôle et instructif, un album idéal à l'approche de l'été.
Une série de meurtres mystérieux touche Londres en ce début du XXe siècle.En ce début du XXe siècle, Sir Henry Chapman, détective privé, ancien inspecteur de Scotland Yard et élève du grand Sherlock Holmes, est sollicité pour une enquête d'un genre particulier :Depuis quelque temps, une mystérieuse secte semble être à l'origine d'une série de meurtres à Londres, touchant les anciens membres d'une expédition au Cachemire où aurait été découvert un sarcophage bien troublant qui semble intéresser également l'Opus Dei et un personnage terrifiant qui règne sur la pègre de Londres...
Eh oui, les chiffres sont les chiffres, bientôt on devra tous participer à l'effort national et donner plus longtemps notre temps aux forces du travail pour bénéficier d'une retraite méritée.Le monde de demain sera donc un monde de vieux encore au boulot : fonctionnaires, policiers, enseignants, médecins, commerçants, travailleurs de tous les secteurs et en toutes catégories, il faudra tenir longtemps dans un environnement bien différent que celui de notre jeunesse.En gags d'une page, Laetitia s'amuse à nous imaginer dans quelques années, tentant de survivre coûte que coûte. C'est méchant, ça fait un peu froid dans le dos, c'est totalement incorrect, et franchement drôle. Vivement demain?