Tous les romans graphiques en noir et blanc de Didier Comès, auteur culte d'(À Suivre), enfin réédités !Cette compilation reprend les premiers romans graphiques en noir et blanc de Comès, dont l'emblématique Silence, portrait d'un simple d'esprit évoluant dans un village ardennais où la sorcellerie et les songes deviennent une réalité tangible. Suivent L'Ombre du Corbeau, une fable fantastique sur la vanité de la guerre, La Belette, autre grand récit ésotérique et rural, Eva, une troublante histoire mêlant sensualité, possession et folie, ainsi que de courts récits inédits en album et parus dans la revue (À suivre). Avec ces récits, Comès démontre sa capacité à toucher au plus profond de l'âme et à construire des ponts entre le monde du visible et de l'invisible.
Tous les romans graphiques en noir et blanc de Didier Comès, auteur culte (À Suivre), enfin réédités !Cette compilation reprend les derniers romans graphiques en noir et blanc réalisés par Comès: L'Arbre-Coeur, une confrontation entre deux êtres en proie à la folie, Iris, une aventure étrange entre passé et présent, humains et animaux, La Maison où rêvent les arbres, un récit poétique sombre et lumineux à la fois, Les Larmes du tigre, une histoire initiatique indienne, Dix de der dans lequel l'auteur revient sur la vanité de la guerre, ainsi que de courts récits inédits en album et parus dans la revue (À suivre). Avec ces récits, Comès démontre sa capacité à toucher au plus profond de l'âme et à construire des ponts entre le monde du visible et de l'invisible.
De Nancy à Marseille, la traque de deux jeunes Français, Alex et Karim, par un ponte de l'extrême droite, cocu et violent...Le chef-d'oeuvre de Baru, qui préfigure les romans graphiques de Larcenet et Davodeau, prix du Meilleur album au festival d'Angoulême 1996.
Urbaines, exotiques, musicales, drôles, picturales, amoureuses, littéraires, noires, animalières, voyageuses ou un peu tout cela à la fois, voici un riche florilège d'images de Loustal (et autant de clins d'oeil aux univers narratifs et graphiques qu'il aime fréquenter), sous la forme séduisante et inattendue d'un album à colorier.Un livre-objet très tendance et une belle idée de cadeau, à offrir ou à s'offrir.
La première histoire qui fait peur de Bastien Vivès Oserez-vous entrer dans ce livre ?Auteur culte parmi les plus reconnus de sa génération, Bastien Vivès a notamment publié les romans graphiques Le Goût du chlore, Polina et Une soeur, ainsi que la série Lastman avec Balak et Michaël Sanlaville.Attention Chien méchant est son premier album jeunesse.
Le Temple du Soleil a été la première aventure de Tintin à bénéficier d'une prépublication en couleurs, dans le nouveau Journal Tintin, lancé en Belgique en septembre 1946.Pour profiter pleinement des possibilités graphiques que lui offre la double page centrale de l'hebdomadaire, Hergé adopta une mise en pages tout à fait nouvelle, en travaillant à l'horizontale.Toutes les planches de cette version originale sont fidèlement reproduites ici, avec les quelques séquences et les nombreuses cases supprimées lors du remontage de l'album.Une histoire exceptionnelle, à redécouvrir en cinémascope.
Ce grand album luxueux propose un panorama complet du travail de François Schuiten : scénographie, architecture, peinture, etc.Depuis quarante ans, François Schuiten construit une oeuvre singulière et polymorphe. Elle s’est d’abord déclinée en bande dessinée, culminant avec succès dans la série Les Cités obscures en compagnie de Benoît Peeters. Mais cet horloger du rêve a très vite tissé des liens avec le cinéma, les arts de la scène et la muséographie. Architecte de l’événement, intervenant dans la ville autant que dans la vie, Schuiten a réalisé d’immenses scénographies comme «A Planet of Visions » à l’Exposition Universelle de Hanovre (cinq millions de visiteurs en 2000), du design urbain (la station de métro Arts et Métiers à Paris, la Dentelle Stellaire à Lille), de la conception de décors et de costumes pour l’opéra comme pour le cinéma, ou encore l’aménagement de lieux prestigieux (la Maison Autrique et le futur Train World à Bruxelles, la Maison Jules Verne à Amiens). Quant aux projets qui sont restés des utopies de papier, ce livre les révèle dans toute leur ampleur…Nouvelle édition corrigée, sous couverture souple avec rabats.
Exterminateur 17 se bat, seul, face à des organisations criminelles devenues planétaires, qui se sont donné rendez-vous sur une planète lointaine, aux confins des mondes. Parviendra-t-il à déjouer le plus grand complot de l'univers ? La suite de la saga d'Ellis, toujours dessinée par Igor Baranko, suivie d'hommages graphiques à Exterminateur 17 dûs à Laurent Theureau et à Serge Clerc. Et toutes les réponses aux questions que vous vous êtes posées dans l'album précédent.
Edition en couleur. Une reprise fidèle et moderne d’un grand mythe contemporain.Rubén Pellejero s’empare des codes graphiques d’Hugo Pratt tout enréussissant à les investir de sa propre sensibilité, à travers le soin apportéaux décors, les personnages secondaires et la mise en couleurs.La nouvelle histoire imaginée par le scénariste Juan Díaz Canales réactiveles ressorts de la geste prattienne (fidélité à la parole donnée à unami, chasse au trésor, faits historiques authentiques, etc.) Les dialoguespercutants de ce grand récit d’aventures réjouiront les aficionadosautant qu’ils séduiront les nouveaux lecteurs.
Reproduit la première présentation (dos toilé, papier épais, couleurs pastels...) de cet album qui raconte comment Tintin part au Tibet pour sauver son ami Tchang.
Au tournant du millénaire. Il est animateur pour le dessin animé Kirikou et la sorcière. Ausein d’un groupe d’amis, il recherche une alternative au contexte morose de ces années 90. Elle débarque à Angoulême, en quête d’un destin artistique. Ils se rencontrent, elle l’attire, elle le repousse, il la protège. Et progressivement, une relation amoureuse s’instaure, intense et exclusive, faite d’attraction-répulsion et de dépendance mutuelle.Cette relation dévorante va les couper du monde, et un processus destructeur transformera le face à face en un combat aussi bestial que nécessaire. Le couple finira par se déliter, ils se perdront sans s’être jamais appartenu, mais cette rupture annoncera une renaissance. Xavier Mussat a mis dix ans à concevoir puis finaliser cet album dur et poignant, récit d’une grande densité, riche inventions et de ruptures graphiques qui bousculent les codes du genre. Représentant assumé d’une bande dessinée exigeante, radicale et évidemment militante, il a confié à Casterman le soin de publier ce livre à vif. On pense à Louis Calaferte ou à Jonathan Caouette. Et tous apprécieront ce travail minutieux, d’une lisibilité parfaite, qui est aussi le portrait acéré d’une génération idéaliste en lutte avec le réel et les transformations libérales de notre monde.
Cette réédition permettra aux amateurs d'apprécier un album fleurant bon l'ancien : couverture non pelliculée, dos toilé, papier épais pas trop blanc, couleurs pastel... Et pour les spécialistes, le plaisir de dénicher les petites différences dans la couverture, la page de titre, certaines cases, certaines bulles...
Aller à confesse n'est pas mon genre. Pas vraiment... Et pourtant voilà que j'y cours, avec plume et papier, pour raconter ma vie. Ma dégueulasse de vie ! J'vous passe les années d'enfance, l'apprentissage et tout le reste. Rien à redire. Une silhouette parmi tant d'autres. Par contre, un beau jour, comme on dit dans les livres, tout a basculé. C'est là, peut-être, que ma vie a commencé. En tout cas, c'est là qu'elle a commencé à s'arrêter...
1920, Li, sept ans, jouée et perdue par son oncle, est envoyée à Shanghai. Son nouveau maître, le cruel Zhang Xi Shun, est l’un des dirigeants de la triade « la Bande verte » qui domine la ville. Li, affectée aux cuisines, est un jour accusée d’avoir volé du papier de riz et portée devant son maître. Celui-ci découvre alors chez cette créature chétive, un don pour le dessin. Cela lui vaudra de prendre une place spéciale auprès de ce personnage terrifiant mais raffiné…
Reproduit la première présentation (dos toilé, papier épais, couleurs pastels...) de cet album paru en 1945, qui raconte les péripéties de Tintin en Amérique.
Un oubli incompréhensible vient enfin d'être réparé. Voici le premier guide consacré aux Cités obscures. Grâce au voyage accompli par François Schuiten et Benoît Peeters et à quinze années de recherches minutieuses, il est aujourd'hui possible de découvrir dans toute sa richesse un univers trop longtemps considéré comme mythique.On trouvera notamment dans ce Guide :. des cartes et des plans, des précisions sur la faune et la flore, les Beaux-Arts, les sciences et les techniques.... une description des principaux lieux de Passage : le Palais de Justice de Bruxelles, le métro Arts et Métiers à Paris, le Musée A. Desombres.... des renseignements pratiques sur le logement, les moyens de transports, la cuisine et les vins.... une évocation de grandes Cités comme Alaxis, Blossfeldtstad, Calvani ou Xhystos.... des portraits de personnages illustres ou injustement méconnus comme Joseph Abraham, Ernest Dersenval, Marie-Laure Duraine de Montignac, Eugen Robick, Tina Tonero, Axel Wappendorf...Un outil indispensable pour les sceptiques comme pour les passionnés. Une invitation au voyage, à l'étude et à la rêverie.
Nerei est une jeune femme qui étudie les beaux-arts àTokyo. Elle est devenue la maîtresse d'un de ses professeurs. Mais sa relation insatisfaisante avec ce dernier et le surmenage lui font quitter peu à peu la réalité pour le monde onirique qu'elle s'est construit et où elle retrouve Kaya, une de ses amies qui s'est suicidée.
Sous-titré «Des Cités Obscures à la Ville lumière», Images réunitpour la première fois les documents rares que Paris a inspiré àl’artiste. Grands dessins en noir et blanc, peintures à l’acrylique,illustrations réalisées pour illustrer un inédit de Jules Verne, scénographiesdessinées pour la station Arts et Métiers ou projetsconçus pour le Grand Paris, François Schuiten nous livre tout sonimaginaire, en grand format.
Fac simile Noir et Blanc : Tintin au Congo. Les fac-similés sont des copies à l'identique des premières éditions des albums de Tintin. A peine rentré d'URSS, Tintin repart pour le Congo. Sorcier du royaume des Babaoro'm, en lutte contre une bande de gangsters à la solde d'Al Capone,.., le plus célèbre de nos reporters sortira bien sûr triomphant de toutes ces aventures. Pour notre plus grand plaisir à tous. Les Aventures de Tintin en fac-similés proposent aux fidèles de Tintin et dHergé de retrouver le plaisir dalbums strictement conformes aux éditions originales. Chaque volume est en effet proposé dans une nouvelle édition « à lancienne », au plus près des qualités et caractéristiques de lédition dorigine : couverture non-pelliculée, dos toilé, papier épais, etc. Sur fond de nostalgie, léternelle redécouverte dune œuvre majeure.
Exploite des thèmes (politique, sport, science, arts, etc.) en combinant texte et image et en les situant dans un futur plus ou moins proche (2024, 2030, 2037, etc.).
Nourri de nombreuses contributions inédites, un grand album fait écho à l’exposition consacrée à Enki Bilal par le Musée des arts et métiers.Récemment célébré et fortement médiatisé au Musée du Louvre avec l’exposition « Les Fantômes du Louvre », Enki Bilal revient au sommaire de l’actualité au début de l’été avec une autre grande exposition dans un lieu de prestige parisien : le Musée des Arts et Métiers. Inaugurée le 3 juin, cette exposition sera ouverte au public en continu jusqu’en février 2014 et s’accompagne d’un ouvrage qui lui fait écho, publié par Casterman.Sous-titré Mecanhumanial, l’album est un livre qui prolonge l’exposition, par l’image et par les mots. Structuré autour du travail graphique de Bilal dans tous ses aspects y associe de nombreux objets inattendus tirés du fonds du musée, les uns et les autres se répondant pour bâtir un imaginaire et un paysage mental inédits. Divers auteurs invités, complètent ce panorama en donnant, leur vision de l’aventure de la technique et de l’humain.La direction ainsi que l’introduction générale de l’ouvrage sont assurées par le commissaire de l’exposition, Benoît Mouchart assisté de Gaëtan Akyuz.
Le XIXe siècle : une période essentielle pour comprendre la France aujourd'hui.Le XIXe siècle est un siècle de grands bouleversements en France, et dans toute l'Europe. Les régimes politiques se succèdent les uns après les autres au gré des révolutions, les arts se développent et l'industrie explose. La France entre de plain-pied dans la révolution industrielle ! À travers cette bande dessinée, venez découvrir la France au temps de la machine à vapeur, des mines de charbon et de l'avènement de la République. Avec six doubles pages documentaires pour approfondir le sujet.
Pour celui qui connaît les albums des Cités Obscures, les surprises seront nombreuses. Car ce volume très dense permet enfin de disposer de cartes détaillées, d'une tentative de chronologie, d'évocations de la faune et de la flore, des Beaux- Arts et des sciences. On y trouve aussi des précisions sur la cuisine, les vins et les spectacles.On y apprend bien de nouveaux éléments sur des villes comme XHYSTOS, URBICANDE et CALVANI, des personnages comme Eugen ROBICK, Axel...
Arbres fruitiers ou tropicaux, végétaux grimpants ou aquatiques, plantes carnivores, champignons, palmiers, algues, cactus et fleurs sauvages... ce petit jardin de papier célèbre le merveilleux monde botanique. Les illustrations splendides et détaillées de Katie Scott se conjuguent à l'expertise incomparable de Kathy Willis, dans un version du texte concise et limpide, tel un herbier de botaniste délicat. Après le succès de l'album, revoici Botanicum dans un petit format précieux comme une boîte aux trésors : le cadeau idéal !
Sun-ah, une jeune étudiante aux Beaux-Arts, vit dans le souvenir de Yeon-woo, son amoureux défunt. Le meilleur ami de celui-ci, Jun-seo, un chargé de cours, la prend sous son aile. Au fil de leurs conversations, Sun-ah découvre les zones d'ombres de la vie de Yeon-woo et reprend peu à peu goût à la vie. Adaptation d'un roman publié sur Internet.
Les bijoux de la Castafiore est le premier titre qui n'a pas paru en nouveauté avec un dos toilé. Il est sorti sous une présentation de transition, avant celle qui a cours aujourd'hui: plat verni plutôt que pelliculé. Dos papier imprimé (en jaune) mais sans texte.Bijoux est un album atypique. Préféré de nombreux tintinophiles mais pas des plus jeunes lecteurs, il a constitué pour Hergé une sorte de défi: réaliser une aventure avec un nombre très réduit des ressorts extérieurs. Une comédie de moeurs respectant les trois unités du théâtre: temps, lieu et action. Pas de deus ex machina sinon une bien modeste pie.Les études de caractère des personnages d'Hergé, peaufinées album après album, sont subtiles, cohérentes et approfondies. Ce qui a permis à Hergé de confronter ses personnages dans un huit-clos intimiste.
Six ans après Polina, Bastien Vivès revient au roman graphique en solo, auteur complet et accompli. En maître de la suggestion, il esquisse l'éveil trébuchant d'un désir adolescent et teinte d'une gravité inattendue ce récit délicat et sensuel. Avec Une soeur, Bastien Vivès passe du statut de jeune prodige à celui de créateur de premier plan.Six ans après Polina, Bastien Vivès revient au roman graphique en solo, auteur complet et accompli. En maître de la suggestion, il esquisse l'éveil trébuchant d'un désir adolescent et teinte d'une gravité inattendue ce récit délicat et sensuel. Avec Une soeur, Bastien Vivès passe du statut de jeune prodige à celui de créateur de premier plan.Antoine, 13 ans, part en bord de mer pour les vacances avec ses parents et Titi, son frère cadet. Tous deux passent le plus clair de leur temps à dessiner au restaurant comme à la plage, entre deux parties de chasse aux crabes. Une nuit, Antoine découvre une personne supplémentaire couchée dans leur dortoir. Hélène a 16 ans, elle est venue avec sa mère passer quelques jours chez eux et sa présence comme son comportement provoquent chez Antoine un trouble ambigu.Premières amours Bastien Vivès revient ici à ses premières amours, un récit à l'intrigue ténue et ramassée dans le temps, qui joue des non-dits et observe les relations telles qu'elles peuvent s'établir entre deux personnes. Cependant, contrairement au Goût du chlore et Dans mes yeux où il est plutôt question d'émois amoureux de jeunes adultes, Une soeur explore l'adolescence et la naissance des désirs et attachements. En dix ans de carrière, Bastien Vivès s'est enrichi de ses expériences collectives (Lastman) et récréations diverses pour acquérir l'aisance et l'intensité d'un auteur authentique. Son style graphique emboîte le pas de cette maturité. La profondeur de ses masses noires gagne en puissance quand son trait n'hésite pas à lorgner vers l'épure, l'esthétique, quelquefois l'abstraction. Avec une habileté sans pareille, il adopte, d'une case à l'autre, différents registres graphiques sans jamais dérouter son lecteur. Toujours au service d'une narration sensible, de la justesse de l'émotion, ses pages ne manquent pas d'évoquer une forme d'élégance de la bande dessinée telle qu'elle se pratiquait dans (À Suivre).
Desmond, un gentil raté qui dispute à son ex-femme la garde de leur fils Théo, rencontre la jolie Rose. La jeune femme dissimule un secret : cleptomane, elle a dérobé à François, un vieux beau fortuné, un objet auquel il tient particulièrement. Tandis que Desmond s’abandonne peu à peu à l’attirance qu’il ressent pour Rose, les problèmes de celle-ci vont prendre unetournure pressante : flanqué de son garde du corps, François les prend en chasse, déterminé à récupérer son précieux objet à n’importe quel prix.Tout au long du Sourire de Rose, Sacha Goerg interprète avec élégance et subtilité une intrigue ponctuée de faux-semblants. D’abord récit de moeurs intimiste, l’histoire se mue insidieusement en un polar menaçant dont les principaux personnages s’ingénient à ne jamais être tout à fait là où on les attend…Magnifiquement aquarellé, son dessin instinctif et efficace sait à merveille installer clairs-obscurs et ambiances en demi-teinte, s’offrir ici et là quelques échappées de pur bonheur graphique, sans pour autant perdre de vue la logique des personnages et les nécessités de la narration.Initialement créé dans le périodique numérique Professeur Cyclope pour une lecture en mode turbomedia, Le Sourire de Rose a été entièrement recomposé par son auteur pour s’adapter à la lecture papier.
En 1986, Philippe Geluck publiait le premier album du Chat, sobrement intitulé Le Chat. Nous voilà, trente ans plus tard, au tome 21, avec sous les yeux la preuve de l'incroyable vitalité de l'auteur et de son personnage !Le Chat est dans une forme éblouissante et nous fait rire à chaque page, même si les thématiques abordées sont parfois graves. Geluck lui-même, on le sent bien, s'émerveille de la volubilité de son héros et couche sur papier les délires métaphysiques que sa créature lui glisse à l'oreille, en un cocktail explosif et subtil.Cela faisait sept ans que Geluck ne nous avait pas sorti un Chat en format classique de 48 pages. Entre temps, il s'était amusé à produire un livre de textes vachards, une Bible selon Le Chat, plusieurs coffrets... Et voici qu'il revient aux fondamentaux comme pour nous dire « Vous savez, j'ai fait tout ça pour m'amuser mais je suis toujours capable de produire un album classique dont vous me direz des nouvelles ! » Et les nouvelles sont plus que bonnes, l'opus 21 est fabuleux ! Merci Monsieur Geluck et merci Le Chat !
Pour essayer de se distraire du souvenir lancinant de son épouse récemment décédée, Tom, un enseignant en arts plastiques dans la quarantaine, accepte un nouveau poste à Djibouti. Là, face au détroit de Bab-El-Mandeb -« la Porte des larmes » - qui a tant fasciné des générations d’artistes de toutes origines, Tom soudain submergé par des ambiances et des sensations nouvelles cesse peu à peu de se cramponner à son chagrin et se laisse happer par cet environnement inédit. Ses interventions bénévoles pour enseigner des rudiments de dessin aux orphelinats locaux et surtout sa rencontre avec Fred, un baroudeur excessif et illuminé installé de longue date à Djibouti, vont achever de le guérir de sa neurasthénie. Rapprochés par leur passion pour les grands écrivains de l’ailleurs comme Henry de Monfreid, le sulfureux vétéran de l’aventure en mer Rouge, ces deux hommes que tout semble opposer sympathisent. Et Tom se laisse convaincre d’accompagner Fred, trafiquant à ses heures, dans l’une de ses sorties pas vraiment légales en mer...
« Mes meilleurs dessins ont souvent surgi sur des bouts de papier de hasard, entre griffonnages inconscients et images intentionnelles. Ils apparaissent sur des carnets de téléphone, en marge de colonnes de journaux et de magazines, sur des post-it, des enveloppes et des couvertures de livres (.) » Ainsi Art Spiegelman présente-t-il cette création éditoriale très inhabituelle qu'est Be A Nose: une collection de trois carnets de croquis, tenus au fil des années au hasard de ses multiples activités. La période couverte par ces carnets est vaste : de 1979, pour les images les plus anciennes, à 2007, pour les plus récentes. Le matériel iconographique et narratif qu'ils contiennent est d'une grande richesse et d'une surprenante diversité : portraits hâtifs, paysages urbains, traits d'humour, amorces d'histoires ou griffonnages réalisés à l'instinct au cours de conversations téléphoniques - le tout souvent imprégné de ce pessimisme ironique dont Spiegelman a fait sa marque de fabrique.Bien évidemment, l'ensemble du document est proposé en version originale, seule manière d'en conserver toute la saveur puisque dessins et annotations manuscrites y sont souvent inextricablement mêlés. Be A Nose sort en librairie sous la forme d'un coffret soigné, assorti d'un livret explicatif en français.
Machines à dessiner fait dialoguer les visions de Schuiten et Peeters avec un ensemble de machines choisies dans les réserves du Musée des Arts et Métiers. Il s'agit de lancer des ponts entre l'univers fantastique des Cités obscures et le monde des techniques, mais plus encore de mettre en scène la magie du dessin, hier, aujourd'hui et demain. Quelle que soit l'évolution des outils, le dessine est un acte d'avenir; c'est une manière de regarder le monde pour mieux le comprendre.Le livre propose un long entretien avec François Schuiten sur la pratique du dessin, de nombreuses images inédites ainsi que des documents rares issus des réserves du CNAM.
Dans Tintin en Amérique, le héros confirme sa vocation de redresseur de torts, en s'opposant au mafioso Al Capone, aux gangsters de Chicago et aux fripouilles de tout accabit. Déjà Hergé témoigne d'une vision généreuse du monde, stigmatisant par exemple l'attitude dominatrice des blancs envers les indiens peaux-rouges. Les Aventures de Tintin en fac-similés proposent aux fidèles de Tintin et d’Hergé de retrouver le plaisir d’albums strictement conformes aux éditions originales. Chaque volume est en effet proposé dans une nouvelle édition « à l’ancienne », au plus près des qualités et caractéristiques de l’édition d’origine : couverture non-pelliculée, dos toilé, papier épais, etc. Sur fond de nostalgie, l’éternelle redécouverte d’une œuvre majeure.
À l'instar de la collection des Aventures de Tintin en fac-similés couleur, la collection Alix en fac-similés propose aux fidèles de Jacques Martin et de son personnage fétiche de retrouver le plaisir d'albums strictement conformes aux éditions originales.Chaque volume est en effet proposé dans uneréédition « à l'ancienne », au plus près de la parution d'origine : couverture non pelliculée, dos toilé, papier épais, coloris aux tons chauds retrouvés, etc. Une collection qui fleure bon la redécouverte nostalgique d'une oeuvre majeure.Apparu en septembre 1948 dans le journal Tintin, Alix vit avec L'Île maudite sa troisième aventure, qui le met au contact de la puissance qui est alors la grande rivale de Rome : Carthage. Comme dans les deux précédentes, il y affronte un redoutable adversaire, le Grec Arbacès.
À cinquante ans passés, Léon Van Bel, machiniste-mécanicien proche de la retraite, s’accroche passionnément à son métier de cheminot, et à la machine qui l’incarne : la 12.004, somptueuse loco à vapeur de plus de vingt mètres de long, avec laquelle il a déjà fait quatre fois le tour de la terre et qu’il surnomme affectueusement « la Douce ».Mais au fond, il ne se fait guère d’illusions. Dans ce monde qui pourrait être le nôtre, les transports ferroviaires traditionnels seront très bientôt détrônés par le téléphérique, et Van Bel irrémédiablement mis au rancart, sacrifié comme sa machine aux exigences de la modernité. Pour protéger la loco du dépeçage, le vieux cheminot révolté tente, en vain, de voler la Douce. Persuadé néanmoins qu’elle a pu échapper aux ferrailleurs, et qu’il saura la retrouver, il embarque clandestinement à bord du téléphérique, en compagnie d’une jeune femme mutique dont il a déjà brièvement croisé la route, dans des circonstances dramatiques…Publié en avril 2012 en édition courante, La Douce est ici proposé en édition de luxe, dans un élégant format à l’italienne : papier de qualité, dos toilé noir, cartonnage brut spécial pour la couverture. Chacune des planches originales du livre est scindée en deux, soit un total de plus de 160 pages. L’ouvrage intègre un cahier spécial d’une vingtaine de pages en couleur, réunissant des images inédites : documents préparatoires, illustrations, croquis, photos, etc.
Les Aventures de Tintin en fac-similés proposent aux fidèles de Tintin et d’Hergé de retrouver le plaisir d’albums strictement conformes aux éditions originales. Chaque volume est en effet proposé dans une nouvelle édition « à l’ancienne », au plus près des qualités et caractéristiques de l’édition d’origine : couverture non-pelliculée, dos toilé, papier épais, etc. Sur fond de nostalgie, l’éternelle redécouverte d’une oeuvre majeure. Ce fac-similé des Cigares du pharaon est strictement conforme à l’édition de 1942. C’était alors la dernière fois que cette aventure de Tintin était publiée dans sa version noir et blanc originelle. Par la suite, lors de ses éditions ultérieures, l’album serait proposé dans une édition colorisée, comme l’ensemble des volumes de lasérie.
La chronique douce-amère du délitement d'un couple contemporain.Une cellule familiale unie et aimante... Le jeune père et mari, Pierre, est un universitaire, expert de l'antiquité romaine, si profondément investi dans le passé qu'il en perd souvent contact avec le présent. Deux personnages féminins partagent son quotidien : Véra, son épouse, et Bérénice, leur petite fille de quatre ans. Pierre vient d'initier cette dernière à l'existence des pénates, ces petits dieux domestiques qui protégeaient les familles romaines. Une cellule familiale unie et aimante ? En apparences. car de subtiles dissensions affaiblissent et distendent les relations entre Pierre et Véra.L'entrée en scène de Simon, vieil ami de Pierre de passage dans leur foyer après un drame personnel, va cristalliser ce malaise diffus. Les pénates de la petite Bérénice vont-elles remplir leur office et empêcher la désintégration du foyer ?L'examen sans concession d'un couple d'aujourd'hui, en crise, subtilement balancé entre douceur du dessin et acuité du regard. Initialement créé dans le périodique numérique Professeur Cyclope, Les Pénates est ici proposé dans une version augmentée de 6 pages et spécialement retravaillé pour l'édition papier.
Lumière rouge. Bassins. Agrandisseur. Photos qui sèchent sur un fil... Dans la pièce où son frère développait ses photos avant la guerre, Gabrielle Osterlin regarde apparaître des visages de femmes et d'enfants, de corps dénudés face à des fusils et des fosses au milieu de nulle part.La réalité de la barbarie nazie jaillit du passé sur le papier photo, appuyée par la force d'un récit minutieux qui ne laisse aucune place au doute. Pour Gabrielle, Luther et Casmir, la guerre prend alors un sens dont peu de gens, à l'Ouest, avaient pris conscience.Et pour cause. La directive 1005 émanant du Reichsführer Himmler en personne exigeait que toute trace des massacres perpétrés à l'encontre des Juifs sur le front de l'Est soit impitoyablement traquée et effacée. Personne ne devait savoir. Sur le terrain, Himmler faillit réussir. Dans les mémoires, il en allait tout autrement.Egon Kellerman et Jakob Osterlin, pauvres « malgré nous » enrôlés de force au début de la guerre, font partie de ces mémoires en fuite. Malheureusement, la connaissance a un prix. Dans le village de Gabrielle, le commando SS a fini par apprendre l'existence de cette dernière. La chasse est lancée. Elle ne pourra se terminer que par la mort de ceux qui savent.Le destin, là encore, va choisir ses victimes.Demain sera sans nous, certes, mais à partir de quand ?C'est aujourd'hui que tout se joue.Si la parole peut survivre à la mort, alors demain pourra parler à jamais.
Lumière rouge. Bassins. Agrandisseur. Photos qui sèchent sur un fil. Dans la pièce où son frère développait ses photos avant la guerre, Gabrielle Osterlin regarde apparaître des visages de femmes et d'enfants, de corps dénudés face à des fusils et des fosses au milieu de nulle part.La réalité de la barbarie nazie jaillit du passé sur le papier photo, appuyée par la force d'un récit minutieux qui ne laisse aucune place au doute. Pour Gabrielle, Luther et Casmir, la guerre prend alors un sens dont peu de gens, à l'Ouest, avaient pris conscience.Et pour cause. La directive 1005 émanant du Reichsführer Himmler en personne exigeait que toute trace des massacres perpétrés à l'encontre des Juifs sur le front de l'Est soit impitoyablement traquée et effacée. Personne ne devait savoir.Sur le terrain, Himmler faillit réussir.Dans les mémoires, il en allait tout autrement.Egon Kellerman et Jakob Osterlin, pauvres « malgré nous » enrôlés de force au début de la guerre, font partie de ces mémoires en fuite. Malheureusement, la connaissance a un prix. Dans le village de Gabrielle, le commando SS a fini par apprendre l'existence de cette dernière.La chasse est lancée.Elle ne pourra se terminer que par la mort de ceux qui savent.Le destin, là encore, va choisir ses victimes.Demain sera sans nous, certes, mais à partir de quand ?C'est aujourd'hui que tout se joue.Si la parole peut survivre à la mort, alors demain pourra parler à jamais.
Le volume 9 de cette série du Feuilleton intégral réunit quatre épisodes de l'oeuvre d'Hergé qui constituent, par le caractère exceptionnel et très inhabituel de leur support, une parenthèse de publication. Peu connue, elle vient s'inscrire entre le défunt Petit Vingtième et le futur journal Tintin. Hormis le temps d'une brève apparition dans Le Soir Jeunesse, les aventures de Tintin vont, faute de papier, devoir se poursuivre dans un espace réduit à des strips de plus en plus modestes, au bas d'une page du Soir, un quotidien placé sous le contrôle de l'Occupant, précipitant Hergé dans un milieu compromettant qu'il n'avait pas particulièrement recherché.La parenthèse ne nous apparaît que considérée sous cet éclairage car les quatre titres vont constituer une révolution tant graphique que narrative dont les effets vont peser durablement sur la façon dont Hergé concevra les aventures du reporter. Cette période, commencée en octobre 1940, s'achèvera avec le prologue du Temple du soleil (renommé plus tard Les 7 boules de cristal) interrompu par la libération de Bruxelles, en septembre 1944. Cette partie de l'aventure, poursuivie dès 1946 dans le journal Tintin, sera intégrée au volume suivant pour une raison impérative de continuité narrative.
Tout sur l'homme le plus puissant dumonde !De Georges Washington à Joe Biden, en seulement deux doubles pages par mandat (alliant textes et illustrations), un condensé d'infos sur les 46 présidents à avoir dirigé la première puissance mondiale depuis sa création en 1776.Les anecdotes, les petites et grandes phrases, les innovations institutionnelles, les crises traversées pendant deux siècles et demi, mais aussi les représentations des Présidents dans les arts, la pub, la chanson, le cinéma, etc...Garantie sans fake news, une découverte ludique, mais véridique, de l'histoire des USA.
Nike... Qu'une mini-bombe atomique explose alors à mes pieds, qu'un éclat de terrasse pulvérise mon nez (troisième fois en un an), tout, en ce fragment de temps à la violence extrême, aurait dû me mettre la puce à l'oreille (elle-même soufflée par la déflagration).Tout aurait mieux valu que l'invitation. Car c'est ici que tout recommence.AmirJe serrai très fort son corps et cette nouvelle peau anthracite tout droit sortie de mes cauchemars. Très fort et très longtemps. Comme pour tenter d'en conjurer l'extravagance.LeylaNike resta autant de temps que les neuf autres dans la grotte. Comme les neuf autres, dès son retour, il demanda à l'huissier une feuille de papier et un crayon, et comme les neuf autres il se tut pendant de longues heures. Enfin, comme pour les neuf autres, sa première phrase fut une triple question, identique au mot près : « Le carbone 14 bis dit quoi sur les os et l'obus oeLes recoupements avec les éléments de l'inventeur disent quoisur la grotte ensevelie oeLe 32 décembre c'est quand oe »La tétralogie du Monstre est une histoire à trois voix. Celles de Nike, Leyla et Amir, orphelins de Sarajevo aux quatre coins du monde. Il s'agit avant tout d'un travail sur la mémoire. Mémoire individuelle et collective, où se mêlent des images écrites de l'éclatement de la Yougoslavie, « lieu » de naissance d'Enki Bilal (pays à peine disloqué que déjà sorti des mémoires), et des images peintes d'une entêtante conjugaison passé-présent-futur.Mémoire prospective aussi, potentielle, élargie des Balkans au reste du monde, comme dans un miroir.Ce monde, seul endroit, il faut bien le dire, qui nous reste.
Tout sur l'homme le plus puissant du monde !De Georges Washington à Donald Trump, en seulement deux doubles pages par mandat (alliant textes et illustrations), un condensé d'infos sur les 45 présidents à avoir dirigé la première puissance mondiale depuis sa création en 1776.Les anecdotes, les petites et grandes phrases, les innovations institutionnelles, les crises traversées pendant deux siècles et demi, mais aussi les représentations des Présidents dans les arts, la pub, la chanson, le cinéma, etc...Garantie sans fake news, une découverte ludique, mais véridique, de l'histoire des USA, à l'heure où Trump tente de gagner son second mandat !
La Première guerre mondiale. Geneviève, citadine de bonne famille, belle, sensible et cultivée, a épousé Augustin Dortet. Le couple vit retiré dans les Pyrénées. Une existence de recluse à la campagne et la mort de leur enfant ont déjà plongé Geneviève dans une profonde dépression quand Augustin doit rejoindre le front.Durant le conflit, Augustin entretient une longue correspondance avec son épouse. à son retour, il découvre qu'on lui a caché la mort de sa femme et que c'est une jeune fille nommée Louisa, éprise de lui, qui lui a écrit pendant toute la durée de la guerre.Louisa est une orpheline recueillie par la famille de Geneviève. C'est elle qui aide Félicien, le cousin de Geneviève à reprendre goût à la vie lorsque ce dernier est défiguré au combat. Ancien dandy ayant fréquenté le Tout-Paris des Arts et des Lettres, devenu une Gueule Cassée, c'est lui qui évoque le sort d'Augustin à Louisa.Le trait de De Metter est visionnaire, devançant même parfois le scénario.
Des chroniques assassines pour les cinéastes qui voudraient nous faire prendre des navets pour des chefs-d'oeuvre, et des hommages pointus pour quelques films rares et trop vite oubliés.
Pour le meilleur et pour le pire !Honoré Dimanche, recruté par des anti-bonapartistes pour faire échouer Napoléon, se voit confier une nouvelle mission : escorter une espionne jusqu'au camp russe pour qu'elle y délivre des informations stratégiques. Et voilà Honoré reparti pour un voyage semé d'embûches, flanqué de ses acolytes habituels.
Des bras-doudous pour câliner, une histoire douce à raconter, le livre idéal pour un moment tout en tendresse. Mon amour de panda, je serai toujours là pour toi.
Des milliers d'animaux sont sacrifiés dans les laboratoires d'expérimentation scientifique. Pour les uns, c'est indispensable aux progrès de la médecine. Pour les autres, il s'agit d'actes de torture que rien ne peut justifier. L'agent James Adams, 14 ans, et sa sœur Lauren sont chargés d'identifier les membres d'un groupe terroriste prêt à tout pour faire cesser ce massacre. Une opération qui les conduira aux frontières du bien et du mal.
Une histoire d'amour mère-fille splendide : l'un des rares mythes grecs portés par des héroïnes.La déesse Déméter est sans cesse harcelée par ses frères, qui en reculent devant rien pour s'attirer ses faveurs. Écoeurée, elle quitte l'Olympe pour se réfugier sur Terre, où elle donne naissance à sa fille Perséphone. Hélas, quelques années plus tard, Hadès enlève cette dernière pour en faire la reine des Enfers, son royaume. Commence alors pour Déméter une quête éperdue pour retrouver sa fille adorée...
Réfugiés dans un monde souterrain depuis 2028 pour échapper aux grandes pollutions terrestres, les habitants de Suburba sont pour la plupart parfaitement adaptés à cette vie organisée pour eux. Certains pourtant s'interrogent : est-il vraiment impossible de retourner vivre à l'air libre ?
Saint-Pétersbourg, début du XIXe, il n’est pas aisé pour Sacha, jeune homme sans le sou et sans aucune expérience de réaliser son rêve de gloire et d’écriture.Surtout quand la tuberculose guette. Ce dernier a heureusement l’idée pour soigner son mal et son spleen, de s’embarquer pour le Caire.Beautés fatales, peintre obsédé par son modèle, courses dans le désert, bohème et folie : débute pour lui une initiation accélérée qui va le propulser au coeur de l’Orient et au coeur de la vraie vie.
Il y a tant de gens comme lui, que nous ne connaissons pas, que nous croisons sans les voir, sans vouloir les regarder, sans vouloir les entendre.Ils ont un corps, pourtant, fait pour manger et boire.Ils ont une voix.Ils ont une histoire.Un soir, un clochard s'enfuit de la maison de repos où il a été placé pour passer l'hiver. Pieds nus, en pyjama sous la neige, il traverse la campagne glacée à cause d'une infirmière qui lui a servi une soupe froide. Pour lui, c'est pire qu'une insulte. La soupe froide est tout juste bonne pour les chiens, pas pour un être humain. Humilié, il préfère risquer sa vie que rentrer dans cet hospice si peu attentionné à son égard.Inspirée d'un fait divers véridique, cette histoire prend le lecteur aux tripes pour ne plus le lâcher.
Le voile s'éclaircit sur les origines des Epiphanians !Sentant instinctivement qu'il est programmé pour nuire à l'espèce humaine, Kodji choisit de quitter son père adoptif, David, pour le protéger.Il s'engage au côté des Epiphanians pour rejoindre le cratère d'une météorite tombée lors d'un cataclysme. L'occasion de lever une partie du voile sur le mystère de leur origine.
La mission que s'est donné Osamu Mizutani, le « guetteur », est de sauver autant d'enfants en détresse qu'il le peut. Pour cela, il est prêt à se rendre n'importe où, que ce soit dans un bus pour convaincre le père de la petite Mitsuko de cesser demaltraiter sa fille, ou encore au fin fond de la montagne pour chercher Naoya, jeune délinquant qu'il a fait mettre au vert pour six mois. Peu importent le lieu où le temps qu'il faut pour s'y rendre, quitte à marcher plus de deux heures à la suite de Tokiko, petite voleuse connue comme le loup blanc près de chez elle, qui a dû élargir son rayon d'action pour pouvoir nourrir une famille démesurée...Mais ces efforts ne sont pas toujours suffisants : l'entourage des enfants de la nuit n'est souvent pas étranger à leur replongée dans l'enfer qu'ils avaient réussi à quitter.
Un carnet pour deux ? N'importe quoi ! Encore une idée de génie de notre mère. On est jumelles, d'accord, ce n'est pas pour ça qu'on doit toujours tout partager ! Zoé. A propos de copines, ma chère soeur oublie de dire le plus important : elle est jalouse (elle a fait une crise terrible à l'anniv d'Inès). Et la preuve est dans ce carnet ! Lola