Bazil habite au milieu de la fôrêt, il est peintre et les étoiles prennent toujours un grand plaisir à poser pour lui. Bazil, qui souhaite depuis longtemps peindre la lune, a réussi à la convaincre de poser pour lui et c'est ce soir qu'il a rendez-vous avec elle.
Fil et Flo sont nées, il y a dix ans dans le magazine Les p'tites sorcières, (Fleurus Presse) et depuis, leurs aventures font rire des milliers de petites filles chaque mois. Fil et Flo sont de vraies jumelles, mais revendiquent chacune leur identité et leurs différences ! Elles ne s'habillent pas pareil, ne se coiffent pas pareil. Fil est énergique et bouillonnante, Flo susceptible et paresseuse, et le cocktail est explosif ! Lorsqu'elles ne se battent pas pour la télé, qu'elles ne s'arrachent pas les cheveux ou ne se piquent pas les vêtements ou les amoureux. elles s'adorent ! Toujours complices pour affronter les problèmes, elles rivalisent d'inventivité pour échapper au contrôle de maths, trouver de l'argent de poche ou ne pas ranger leur chambre. Deux soeurs espiègles, un petit frère insupportable, un père colérique et une mère qui tente désespérément de calmer tout ce petit monde, la bande dessinée Fil et Flo met en scène une famille avec ses crises de fous rires, ses disputes et ses tendres réconciliations... Anouk Bloch-Henry écrit principalement des scénarii de bande dessinée pour Fleurus Presse, mais aussi des albums et des romans pour l'édition junior. Anne Weinstoerffer, (pseudo Anne Teuf), travaille pour l'édition et la presse jeunesse.
Attention, Attention ! Ils sont tout petits, mais leur spectacle s'appelle « Les géants du cirque ». Les coccinelles acrobates, Ludmilla la magicienne, Sylvestre la puce la plus forte du monde, et bien d'autres encore, vont vous faire rêver !Mais pour que tout soit parfait, il leur faut une affiche à la hauteur de leur talent ! Le patron du cirque, Michel le cafard, décide d'aller demander à Bazil de la concevoir, et en profite pour l'inviter à venir assister à une représentation. Bazil accepte, à la fois l'invitation à découvrir cette étonnante mise en scène, ainsi que la proposition de réaliser l'affiche. Et c'est en compagnie de sa fidèle luciole que notre ami se rend dans la clairière pour voir le spectacle.Dans ce deuxième volume des aventures de Bazil et toujours en s'appuyant sur le dessin tout en rondeur et en douceur de Maxime Péroz, Laurent Siefer continue à construire et à développer un univers enchanté, poétique et humaniste, pour raconter de façon originale les rapports humains.
Parfois la nuit, Petit Joss entend des fantômes qui parlent dans les branches des arbres. Et puis des pleurs, des pleurs lents et réguliers, comme s'il entendait un petit animal caché et apeuré qui appellerait sa maman perdue. Oui vraiment, Joss à souvent très peur, tout seul dans son lit, après que sa maman l'ait embrassé une dernière fois pour la nuit et que les lumières de sa chambre se soient éteintes. Heureusement, il y a Monsieur Bisou qui vient souvent le voir. Lui, au moins, il n'a peur de rien. Enfin si, parfois, mais ce n'est jamais assez grave pour qu'il s'inquiète pour de bon. En tout cas, un fait est certain, avec lui, Joss se sent davantage rassuré la nuit quand il se passe des choses bizarres. Et puis c'est un drôle de personnage sous tous ses poils, ce qui amuse bien Petit Joss...
Sept jeunes dessinateurs venus d'horizons divers revisitent à leur manière une nouvelle d'edgard allan poe tirée de son recueil le plus connu en langue française.Entre adaptation et interprétation, chacun nous présente librement sa vision de l'histoire de son choix avec cependant comme difficulté commune celle de ne pouvoir utiliser qu'une seule couleur. toujours la même. et la même pour tous. on auteur, une seule couleur et sept dessinateurs pour rejouer ensemble ces histoires dont la popularité reste toujours aussi actuelle que les peurs et les angoisses qui les auront fait naître il y maintenant plus de cent cinquante ans.
Tout va pour le mieux dans la cité du Marais, en banlieue de Crapobourg, jusqu'au jour où un shérif trop zélé décide de faire sa loi. Petit Crapaud Rouge se retrouve alors chassé de l'école, réservée désormais aux petits crapauds verts. Une catastrophe pour lui qui aime tant aller à l'école avec ses copains ! A partir de ce jour-là, Petit Crapaud Rouge et ses amis découvrent la discrimination, l'abus de pouvoir, l'impuissance... mais ils apprennent aussi la solidarité !Les aventures de Petit Crapaud Rouge sont tirées du quotidien et s'inscrivent dans l'actualité de notre société : immigration, familles recomposées, télé, publicité et mode, violence et école, sont autant de thèmes que Lionel Larchevêque souhaite aborder, pas forcément frontalement, mais au moins en arrière-plan.
Hé Maman ! J'aimerais avoir un slip ! Tu sais, comme Hugo Mike ! Le champion de ping-pong ! À la maison, à l'arrêt de bus, sur le chemin de l'école, où qu'il aille, Petit Crapaud Rouge subit le matraquage publicitaire pour les caleçons « Mike ». Pourtant, les crapauds n'ont jamais eu besoin de slip... Mais bon, tous les copains en ont un ! Alors pourquoi pas lui ? Mais voilà, les slips « Mike » sont très chers et Petit Crapaud Rouge n'a pas d'argent. Et l'argent, ce n'est vraiment pas facile à gagner... Petit Crapaud Rouge va tenter d'atteindre son objectif par tous les moyens : en demander à sa mère, faire des ménages chez le pépé d'à côté, vendre ses jouets à la braderie et même vider sa tirelire..Après Interdit d'école qui traitait de l'ostracisme au quotidien, le deuxième tome de Petit Crapaud Rouge s'intéresse au phénomène de la consommation chez les jeunes par le biais de la mode. Cette seconde histoire aborde avec un humour décalé mais beaucoup de lucidité les questions de la publicité et de son influence sur les désirs des enfants : une invitation à réfléchir sur le monde qui les entoure pour mieux les préparer.
Mimille, Martial et Moussa, les éboueurs de l'impossible. Avec leur camion-benne, ils viennent nous débarrasser de ce qu'on a en trop, du superflu qui finit par obstruer nos vies comme le mauvais gras nos artères. Premier arrêt sur leur trajet, le Château des Mille Chemins avec son confort et son châtelain tellement avenant que nos trois compères frôleront d'y perdre la tête et d'en oublier leur mission. Deuxième arrêt, Bankrout, une petite ville dont les habitants voudraient se débarrasser de déchets coûteux malgré l'avis contraire des autorités locales. et de Martial, qui aurait bien sa petite idée pour ne pas gâcher la fameuse cargaison. Dernière étape, un village comme tant d'autres, qu'on voudrait bien voir expurger rapidement de tous ses maux ancestraux.