Prix du Norma Fleck Award for Canadian Children’s Non-Fiction, 2003 Sélection First Nation Communities Read, 2006 Sélection du Cooperative Children’s Book Center Choice, 2004 Lauréat du Norma Fleck Award for Canadian Children’s Non-Fiction, 2003 En 1944, Larry Loyie, alors connu sous le nom de Lawrence, avait dix ans et vivait avec sa famille crie près de Slave Lake, dans le nord de l’Alberta (Canada). Tant que couleront les rivières s’inspire de son dernier été avec ses proches, avant son départ obligatoire pour le pensionnat indien. L’histoire d’un été qui se révèle plein d’aventures, de découvertes et de partage, la peinture d’un quotidien qui recrée la relation privilégiée avec la nature. Il faut profiter de la belle saison pour faire des réserves de nourriture pour l’hiver : cueillette, pêche et chasse, Lawrence a beaucoup à apprendre de ses aînés. Mais il y a certaines aventures qu’on n’ose imaginer, de celles qui vous méritent le nom d’Oskiniko, jeune homme en cri. L’album est suivi d’un épilogue abordant le thème des écoles résidentielles, ou pensionnats indiens, accompagnés de photos d’époque. Traduction de l’album As long as the rivers flow.
Lorsque Samuel et Maxime passent à table, ces deux petits garçons pourtant si mignons deviennent de vrais sauvageons! Où sont passées les bonnes manières? Si la reine venait diner, elle serait tout simplement choquée! Est-ce une façon de se comporter? Monique Lacoste s’inspire de son expérience personnelle pour offrir aux parents un livre amusant et inspirant pour aborder les bonnes manières à table avec ses enfants. Influencée par les livres de l’incomparable Dr. Seuss, elle choisit un style rimé, dont la cadence en fait un texte qui gagne à être lu à haute voix. En 2005, dans le souci de rétablir l’équilibre famille-travail, Monique LaCoste quitte son emploi d’animatrice radio et télé à Radio-Canada. Sa plus grande joie c’est de pouvoir souper en famille, avec son mari Dave et leurs deux garçons de 3 et 6 ans – un luxe dont elle a été privée pendant près de trois ans alors qu’elle présentait le Téléjournal Manitoba de 18 h. Toutefois, sa joie se transforme vite en consternation lorsque Monique constate que, pendant son absence, sa « gang de gars » a mis de côté le savoir-vivre à table. Elle décide de faire de ses leçons d’étiquette un jeu intitulé « Si la reine venait diner ». Le concept est simple : lorsque Samuel ou Maxime fait faux bond, maman le rappelle à l’ordre en l’invitant à imaginer que la reine est assise à ses côtés, et en lui indiquant le bon comportement à adopter. La chute est venue tout naturellement de Maxime qui a fini par se demander quand la reine viendrait finalement diner.