Faut-il encore présenter Sonic Youth, ce groupe emblématique qui a influencé de nombreux groupes indépendants tels que Breeders, Blonde Redhead, Pavement ou encore Nirvana ? Fondé en 1981 à New York, le groupe de rock a transcendé les frontières entre genres musicaux, repoussé les limites de la saturation et étendu celles du noisy rock. Pour ce seizième opus, les membres de Sonic Youth ont été influencés par The Wipers, un groupe de punk rock originaire de Portland, idolâtré par Nirvana qui avait repris un de leurs titres D7. Thuston Moore explique qu'il n'écoutait que The Wipers, et d'autres groupes obscurs de black metal lors de la composition des douze chansons de The Eternal. Le groupe réussit ici la parfaite synthèse des différents courants musicaux explorés par le passé : no wave, hard-core, grunge, post-rock ou encore electro minimaliste. En effet, en tant que spécialiste de la manipulation sonore, Sonic Youth enveloppe toujours ses mélodies pop par des dissonances et des distorsions pour créer un son qui lui est propre, reconnaissable dès les premières mesures. The Eternal est donc un brillant condensé de la marque Sonic Youth : allant du no wave primaire de leurs débuts (Anti-Orgasm) aux structures plus radicales des années 90 (Antenna), jusqu'à leur période plus exploratrice de ces cinq dernières années (Massage The History). Enregistré au studio Echo Canyon West avec John Agnello (Alice Cooper, Bob Dylan, Breeders, Patti Smith.), The Eternal marque le grand retour de Sonic Youth qui signe là un de ses meilleurs albums. Près de 30 ans après ses débuts, Sonic Youth montre qu'il est l'un des plus grands groupes encore en activité et qu'il n'est pas devenu, contrairement à d'autres, qu'une enseigne vintage placardée sur les T-shirts de jeunes fashionistas en quête de crédibilité musicale.
Faut-il encore présenter Sonic Youth, ce groupe emblématique qui a influencé de nombreux groupes indépendants tels que Breeders, Blonde Redhead, Pavement ou encore Nirvana ? Fondé en 1981 à New York, le groupe de rock a transcendé les frontières entre genres musicaux, repoussé les limites de la saturation et étendu celles du noisy rock. Pour ce seizième opus, les membres de Sonic Youth ont été influencés par The Wipers, un groupe de punk rock originaire de Portland, idolâtré par Nirvana qui avait repris un de leurs titres D7. Thuston Moore explique qu'il n'écoutait que The Wipers, et d'autres groupes obscurs de black metal lors de la composition des douze chansons de The Eternal. Le groupe réussit ici la parfaite synthèse des différents courants musicaux explorés par le passé : no wave, hard-core, grunge, post-rock ou encore electro minimaliste. En effet, en tant que spécialiste de la manipulation sonore, Sonic Youth enveloppe toujours ses mélodies pop par des dissonances et des distorsions pour créer un son qui lui est propre, reconnaissable dès les premières mesures. The Eternal est donc un brillant condensé de la marque Sonic Youth : allant du no wave primaire de leurs débuts (Anti-Orgasm) aux structures plus radicales des années 90 (Antenna), jusqu'à leur période plus exploratrice de ces cinq dernières années (Massage The History). Enregistré au studio Echo Canyon West avec John Agnello (Alice Cooper, Bob Dylan, Breeders, Patti Smith.), The Eternal marque le grand retour de Sonic Youth qui signe là un de ses meilleurs albums. Près de 30 ans après ses débuts, Sonic Youth montre qu'il est l'un des plus grands groupes encore en activité et qu'il n'est pas devenu, contrairement à d'autres, qu'une enseigne «vintage» placardée sur les T-shirts de jeunes fashionistas en quête de crédibilité musicale.
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
Ayant quitté sa terre d'accueil Californienne pour la ville de Berlin, Hervé Salters dévoilera début 2016 chez Wagram Music un nouvel album de General Elektriks. Clairement dopé au parfum de la radicalité artistique qui imprègne la capitale allemande, ce nouvel opus fait la part belle aux claviers Funk, beats hip hop, mélodies pop et extravagances sonores. La joute entre sons vintages et musique du futur semble cette fois-ci tourner à l'avantage de ce dernier, donnant naissance à une véritable pépite d'électro-soul. Art Funk? Hip pop? Appelez-ça comme vous voulez.
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
Albert Hammond JR mélodiste et guitariste prodige des STROKES délivre son 1er album solo et s'entoure pour l'occasion du meilleur de la scène new-yorkaise : SEAN LENNON, BEN KWELLER, RYAN GENTLES (manager des STROKES) et du chanteur du groupe, JULIAN CASABLANCAS. En parallèle du succès mondial des Strokes, l'étincelle qui provoqua le grand retour du rock, Albert Hammond JR nous livre ses compositions personnelles tout en conservant le son et les mélodies qui ont bâti le succès des STROKES. Yours to Keep est un album complet et sincère, aux mélodies entêtantes et à l'efficacité évidente. Le 1er extrait de l'album, Everyone Gets A Star est en passe de devenir le single de cette rentrée.
Avec le succès de L'Arme de Paix, un disque d'or et une Victoire de la Musique, la magie est surtout venue de la tournée. 17 mois, 9 pays, 80 concerts dont un Bataclan, un Olympia et deux Cigales sold-out. «Chaque soir, je choisissais un musicien au hasard et lui demandais d'improviser pendant quelques instants. Cette idée de la minute magique c'était également l'occasion pour le public et moi-même de partir ailleurs quelques instants afin de profiter encore plus de ce moment que nous avions à vivre ensemble. Le titre du live est un clin d'oeil à cette petitetrouvaille que ceux qui sont venus à mes concerts reconnaîtront.»
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
Lancé dans le début des années 80, le zouk est un genre musical crée et popularisé pour le groupe Kassav. Plusieurs millions d’albums vendus dans le monde depuis la création du groupe en 1979. Le groupe qui a rempli le plus de Zéniths de Paris : + de 40 concerts au Zénith + Bercy. Le premier groupe français à avoir rempli le Stade de France ! Entre 2009 et 2015 plus de 400 concerts, environ 2 000 000 personnes sont venues voir le groupe sur scène ces dernières années ! Le dernier concert au Zénith de Paris du groupe : Plus de 3h00 de show, accompagné de 2 CD audio !
Avec au chant la participation de : Floor Jansen (Nightwish), Damian Wilson (Threshold), Hansi Kursch (Blind Guardian), Tommy Karevik (Kamelot), Anneke van Giersbergen (VUUR, The Gentle Storm), Marco Hietala (Nightwish) et de nombreuses autres voix. Un concert unique avec 16 chanteurs différents, pour 28 morceaux. Après avoir passé 20 ans en studio à créer des opéras rock, le maestro de la prog, Arjen Lucassen a enfin porté l’univers d’Ayreon sur scène en septembre 2017 lors de trois shows mémorables au 013 de Tilburg en Hollande. En bonus des documentaires avec les répétitions et des interviews des différents chanteurs et musiciens.
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
On ne présente plus Manu Dibango, celui qu’on surnomme le « Père de la World Music », artiste emblématique et engagé pour la paix, qu’il ne cherche pas le sans-faute et le succès à tous les coups, mais qui marqua incontestablement le 20ème siècle. À l'occasion de son soixantième anniversaire, Manu Dibango sort l’album « Wakafrica ou l'Afrique en Marche », un projet ambitieux de réunification musicale de l'Afrique, en invitant les plus grands ténors Youssou N'Dour, King Sunny Adé, Salif Keita, Angélique Kidjo, Ray Lema... Inclus le tube « Soul Makossa », qui mal accueilli au départ, le propulsa sur le devant de la scène et marqua l’histoire en lançant la « World Music ».
En faisant une entrée fracassante dans le milieu Hip Hop avec son titre hustlin' issu de son 1er album Port Of Miami sorti en 2006 chez Def Jam, Rick Ross a su s'imposer comme un artiste sur lequel il fallait désormais compter. Mêlant dans sa musique sonorités du sud et boucles de soul, il confirme son statut en enchaînant les albums numéro un dans les charts et a fait de Miami une place forte du rap. La mixtape Ross Is The Boss, mixée par DJ Smoke, nous retrace sur ses 32 titres son parcours pour devenir l'un des patrons du game, épaulé par Nicki Minaj, Drake, Jay-Z, Lil Wayne, Rihanna, etc...
Le Double D'Or des P'tits bal à Dédé renoue avec la tradition des compilation de bals d'André Verchuren. Des disques aux chansons enchainées comme au bal pour permettre aux guincheurs de se déhancher aux rythmes des danses qui sont devenues de nouveau plus en vogue que jamais. Ce Double d'Or comprend deux CD réunissant plus de 40 chansons ayant forgé le succès et la légende d'André Verchuren au fil du temps. Parmi ces titres, on retrouve donc différentes danses que sont les paso dobles, valses, marches, tangos, fox et javas et des standards tels Au vieux bal musette, Carillon d'Alsace, Les fiancés d'Auvergne, Le plus grand bal du samedi ou encore La valse du Printemps.
Avec au chant la participation de : Floor Jansen (Nightwish), Damian Wilson (Threshold), Hansi Kursch (Blind Guardian), Tommy Karevik (Kamelot), Anneke van Giersbergen (VUUR, The Gentle Storm), Marco Hietala (Nightwish) et de nombreuses autres voix. Un concert unique avec 16 chanteurs différents, pour 28 morceaux. Après avoir passé 20 ans en studio à créer des opéras rock, le maestro de la prog, Arjen Lucassen a enfin porté l’univers d’Ayreon sur scène en septembre 2017 lors de trois shows mémorables au 013 de Tilburg en Hollande. En bonus des documentaires avec les répétitions et des interviews des différents chanteurs et musiciens.
Avec au chant la participation de : Floor Jansen (Nightwish), Damian Wilson (Threshold), Hansi Kursch (Blind Guardian), Tommy Karevik (Kamelot), Anneke van Giersbergen (VUUR, The Gentle Storm), Marco Hietala (Nightwish) et de nombreuses autres voix. Un concert unique avec 16 chanteurs différents, pour 28 morceaux. Après avoir passé 20 ans en studio à créer des opéras rock, le maestro de la prog, Arjen Lucassen a enfin porté l’univers d’Ayreon sur scène en septembre 2017 lors de trois shows mémorables au 013 de Tilburg en Hollande. En bonus des documentaires avec les répétitions et des interviews des différents chanteurs et musiciens.
Avec au chant la participation de : Floor Jansen (Nightwish), Damian Wilson (Threshold), Hansi Kursch (Blind Guardian), Tommy Karevik (Kamelot), Anneke van Giersbergen (VUUR, The Gentle Storm), Marco Hietala (Nightwish) et de nombreuses autres voix. Un concert unique avec 16 chanteurs différents, pour 28 morceaux. Après avoir passé 20 ans en studio à créer des opéras rock, le maestro de la prog, Arjen Lucassen a enfin porté l’univers d’Ayreon sur scène en septembre 2017 lors de trois shows mémorables au 013 de Tilburg en Hollande. En bonus des documentaires avec les répétitions et des interviews des différents chanteurs et musiciens.
Disque immense, What Would The Community Think révèle Cat Power : une sauvageonne de 24 ans, à l’écriture grave et belle à pleurer. Chez Cat Power, pas de hiatus ironique entre le fond, calciné, et la forme, brûlante. Rescapée de quelque épouvantable naufrage métaphysique, une fille seule, avec sa guitare et sa guigne, chante un blues terrible (They tell me) interdit aux divas manucurées (Cassandra Wilson) comme aux ribaudes émules de Janis Joplin (Joan Osborne). Un blues immaculé qui ferait presque passer la PJ Harvey de To bring you my love pour une Sarah Bernhardt égarée sur les berges du Mississippi (ou un Jim Morrison féminin). Un blues inouï, teinté de gospel blafard, plainte orpheline (God don’t give a shit about me) pleurée en écho au There is no one what will take care of you de Palace. De la country aussi, d’une luminosité stellaire (Taking people), celle après laquelle les Walkabouts, érudits bosseurs, courent en vain depuis dix ans. Une country pas phraseuse, sourde à la rhétorique de Nashville (pas de violons, tout juste une minuscule flaque d’orgue et une pincée de pedal-steel), déconseillée aux acheteurs de résidence secondaire mais pas affligée pour autant d’un esprit de clocher étriqué, d’un intégrisme amish. Au-delà de l’anecdote Steve Shelley enregistre à Memphis , Cat Power jumelle sans états d’âme Hank Williams I can’t help it (if I’m still in love with you), repris sur Myra Lee et Bill Callahan (l’admirable Batysphere de Smog, dépouillé de son violoncelle baroque et superbement violenté sur What Would The Community Think). Deux immenses songwriters américains fiers d’adouber King Rides By, une de ces chansons déraisonnables qui ouvrent le terme à l’infini, sans même atteindre les quatre minutes réglementaires. Ici, le pavé de Manhattan s’allonge jusqu’au coeur du Tennessee; The Coat Is Always On invite les voix monocordes de Lou Reed et Sterling Morrison récitant The Murder mystery; Nude as the news offre un bol d’air au Sonic Youth de Dirty. C’est au fil de concerts new-yorkais que la rumeur dit exceptionnels que Cat Power s’est forgé sa réputation, mais sur What would the community think, la campagne prend sa revanche sur les orgueilleux gratte-ciels. Immense disque, où les plus beaux cauchemars de l’Amérique rurale (rêvée par Nick Cave, peinte sur pellicule dans La Nuit du chasseur ou L’Enfant miroir) convergent vers Water and air : Mon amour est parti au fil de l’eau Je devrais être au fond de la rivière ténébreuse, enlacée par le diable. Une histoire aussi éternelle qu’effroyable, dont on jurerait ici qu’elle vient d’être inventée par une jeunette de 24 ans. De quoi effectivement donner quelques sueurs froides à la communauté on connaît depuis La Lettre écarlate le peu d’indulgence de la vertueuse Amérique pour les amours cornues.
Un pas de géant. Telle est la leçon qu'on retient à propos de « The Bends » en regard du précédent album de Radiohead, « Pablo Honey ». D'emblée, le groupe ne tolère guère la concurrence avec ces douze titres prestigieux et communique le frisson à ses auditeurs. Dès « Planet Telex », la guitare de Jonny Greenwood y égrène toute son ambition, allant jusqu'à faire date sur « Fake Plastic Trees » ou « My iron lung », tandis que la voix de Thom Yorke se fait tantôt douce, tantôt écorchée sur l'ensemble des morceaux. Le groupe a ouvert une boîte de Pandore mélodique et cherche à se démarquer pour toujours, sentiment que diffuse le dernier titre « Street Spirit », magnifique spirale mélancolique.
Rappeur de la côte Est des Etats-Unis, Rick Ross est reconnu à la fois pour sa musique, son passé et son physique hors norme ! Le collectif « The Untouchable Maybach Empire » met aujourd'hui en avant tout le talent de cet artiste de renommée internationale en nous présentant la mixtape The Black Bar Mitzvah. Ponctués de featurings de qualité avec Drake, Diddy, Pharrell Williams ou encore Omarion, les 18 titres de cette mixtape sont à l'image de son auteur lourd, virulent et agressif : du vrai gangsta rap ! Avec un visuel inédit signé Strangerous Artworks et incluant un double poster exclusif, cette mixtape est un véritable collector qui ravira tous les fans de hip hop !
DJ E-V et DJ Woogie sont tous deux mondialement réputes dans les milieux Hip-Hop et électro. Ils s'associent pour nous livrer ce coffret réunissant deux mixtapes du rappeur le plus en vogue du moment : Kid Cudi ! Le Kid de Cleveland enchaine depuis 3 ans les collaborations à succès auprès de David Guetta, MGMT, CROOKERS, Shakira, Snoop Dog, Kanye West, Ratata ou encore Jay-Z. Ses vidéos ont été Kid Cudi est aujourd'hui le nouveau « Touche-A-Tout Génial » prisé par tous les artistes et reconnu par le public. Cette double mixtape réunit « Cudder Is Back » et « Dat Kid From Cleveland » sur lesquelles on retrouve plus de 40 titres, mais aussi des freestyles inédits et bons nombres de featurings.
Le groupe culte new-yorkais signe son grand retour avec ce nouvel album sublime, épuré et aventureux, produit par Van Rivers & The Subliminal Kid (Fever Ray). Penny Sparkle est déjà le huitième album du groupe formé en 1993 par les jumeaux d'origine italienne Simone et Amadeo Pace et la japonaise Kazu Makino. Ils se font vite remarquer à leurs débuts par Steve Shelley de Sonic Youth qui les signe sur son label Smells Like Records pour la sortie de leur premier album éponyme en 1995. On les compare alors à leurs mentors de Sonic Youth. La comparaison est facile sur leurs premiers albums qui font la part belle aux expérimentations noisy mais le son du groupe suit une évolution évidente à chaque album. En 2004 le groupe sort chez 4AD le magnifique Misery Is A Butterfly qui apporte au groupe une légion de nouveaux fans et cette popularité continue son ascension avec l'album 23 paru en 2007. Ces deux albums sont plus pop et accessibles que les précédents mais conservent la richesse musicale des précédents opus. Tout au long de sa carrière, le groupe s'est toujours renouvelé d'un album à l'autre et c'est donc avec les producteurs scandinaves de wmusique électronique Van Rivers & The Subliminal Kid qu'il travaille sur Penny Sparkle. Ces derniers apportent une vraie dimension nouvelle au son de Blonde Redhead avec l'introduction de nombreux synthés, boucles et effets sonores qui s'ajoutent aux guitare, basse et batterie auxquels le groupe nous avait habitué. Le résultat met merveilleusement en valeur les compositions de Blonde Redhead et surtout les mélodies et la voix inimitable de Kazu, notamment sur le titre Penny Sparkle, assurément l'un des plus beaux morceaux du groupe à ce jour. Comme sur les précédents albums, Amadeo chante également sur le clair-obscur Will There Be Stars ainsi que sur le sublime Black Guitar, en duo avec Kazu qui prouve que la complicité fusionnelle et ambiguë du groupe n'est pas près de disparaître de sitôt, pour le plus grand plaisir de ses fans !
MINOU - 1er album « Vesperal » LAUREAT DU RADIO CROCHET 2015 FRANCE INTER Minou est un groupe, un duo qui ne fait qu’un, complice et complexe, qui donne naissance ou renaissance à une chanson pop-électro décomplexée. Tellement décomplexée que cet album, chanté tout en français, n’a rien à envier dans ses sonorités à nos amis Anglo-Saxons. Minou nous rappelle la new wave des années 80, l’indie d’outre-atlantique mais aussi ce que la pop française a de meilleur. Minou s’écoute, Minou se danse. C’est normal car leurs Rolling Stones à eux s’appellent les Daft Punk, première claque reçue, premières envies, émotions. Territoires nouveaux à explorer, la magie d’un monde à réinventer pour une génération qui a grandi et s’est libérée sur les textes de Daho ou la musique de MGMT. Ce nouveau langage, Pierre Simon et Sabine Stenkors le précise depuis leur rencontre au lycée. Plusieurs groupes et bientôt 10 ans plus tard, ce langage est devenu commun, mélange de leurs expériences et collaborations issues de cette période. Un mélange savant aussi bien organique qu’électronique, décoction curieuse et ambitieuse des genres et deux voix qui n’en font qu’une. Sonorités rêveuses, fausse naïveté et refrains tenaces, voilà une partie des éléments qui composent l’élixir de Minou et nous obligent à tomber immédiatement sous leur charme. Minou c’est un vaisseau spatial piloté, mixé, réalisé par Julien Delfaud (Phoenix, Superdiscount, Benjamin Biolay, Woodkid) qui atterrit en douceur sur un volcan synthétique cracheur de riffs, d’amour et d’espoirs. Minou réussit le pari fou de rendre nos mélancolies joyeuses, de faire danser nos doutes, de réparer nos colères et d’imaginer plus loin la promesse du mieux. Le chant est aérien et l’harmonie des voix sur chaque refrain vous emporte. Les textes sont ciselés, tortueux, cosmiques, sensibles, durs et solaires. France Inter ne s’y est pas trompé en les sélectionnant pour « La Relève », prix dont Minou furent les heureux gagnants en 2015.
UN 3EME ALBUM DE PUR CLASSIC ROCK N ROLL QUI MAGNIFIE LE GENRE AVEC UNE GRANDE CLASSE Cela fait déjà deux ans que les canadiens nous avaient balancé leur furieux Sittin' Heavy', aussi ce troisième album était attendu par tous ceux qui ont eu la chance de voir le combo sur scène ! En effet, pendant ce temps le groupe n'a pas chômé puisqu' ils ont donné plus de 150 shows à travers le monde dont le final ever European Deep Purple tour... Ils ont aussi joué avec Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane's Addiction, Soundgarden, Slash (pour qui Monster Truck est tout simplement le meilleur groupe avec qui tourner), Rob Zombie ou encore Alter Bridge.
LA NOUVELLE SENSATION DU ROCK SUDISTE EN DIRECT DE LA FLORIDE ! Le journal Orlando Weekly a tout simplement consacré 7 années de suite, Thomas Wynn & the Believers comme le meilleur groupe de rock de la ville et comme le meilleur groupe de country/folk d’Orlando. Avec ce nouvel album et la signature sur le label Mascot Records, le combo va se donner les moyens d’asseoir son assise au-delà des frontières d’une Floride déjà conquise. Cet album est rempli des ingrédients qui rendent la musique américaine intemporelle, la chaleur sudiste et profonde des guitare, des rythmes complexes qui pulsent et les harmonies vocales. En effet, avec sa soeur Olivia, ils chantent ensemble d’une façon unique et avec la magie que seule une fratrie peut développer. Dans ses chansons, Thomas Wynn souhaite nous emmener à dépasser nos peurs afin de devenir les personnes que nous sommes censées être. Adolescent, alors que ses potes écoutaient Green Day, Wynn est tombé sous le charme de l’album de The band « Music from Big Pink ». Aussi c’est tout naturellement que dans ses propres morceaux, il emmène le country rock classique et la soul vers une nouvelle ère. Mascot a voulu voir les choses en grand. Aussi l’album a été enregistré, en août 2016, à Nashville au Sputnik Sound Studio sous la houlette du prestigieux producteur Vance Powell, lauréat de 4 Grammy awards, qui a déjà officié pour les White Stripes, les Raconteurs, Arctic Monkeys, Wolfmother, Seasick Steve, Tinariwen ou encore la nouvelle star de la scène country Chris Stapleton. Avec déjà deux albums à son actif et plusieurs tournées en compagnie de groupes de la trempe de Gov’t Mule ou encore Cheap Trick ou Drive-By Truckers, Thomas Wynn & The Believers a déjà convaincu un large public au-delà de la Floride grâce à des concerts bourrés d’énergie. Aussi il est temps maintenant pour le groupe de prendre la route et de partir à la conquête du Monde !
LA NOUVELLE SENSATION DU ROCK SUDISTE EN DIRECT DE LA FLORIDE ! Le journal Orlando Weekly a tout simplement consacré 7 années de suite, Thomas Wynn & the Believers comme le meilleur groupe de rock de la ville et comme le meilleur groupe de country/folk d’Orlando. Avec ce nouvel album et la signature sur le label Mascot Records, le combo va se donner les moyens d’asseoir son assise au-delà des frontières d’une Floride déjà conquise. Cet album est rempli des ingrédients qui rendent la musique américaine intemporelle, la chaleur sudiste et profonde des guitare, des rythmes complexes qui pulsent et les harmonies vocales. En effet, avec sa soeur Olivia, ils chantent ensemble d’une façon unique et avec la magie que seule une fratrie peut développer. Dans ses chansons, Thomas Wynn souhaite nous emmener à dépasser nos peurs afin de devenir les personnes que nous sommes censées être. Adolescent, alors que ses potes écoutaient Green Day, Wynn est tombé sous le charme de l’album de The band « Music from Big Pink ». Aussi c’est tout naturellement que dans ses propres morceaux, il emmène le country rock classique et la soul vers une nouvelle ère. Mascot a voulu voir les choses en grand. Aussi l’album a été enregistré, en août 2016, à Nashville au Sputnik Sound Studio sous la houlette du prestigieux producteur Vance Powell, lauréat de 4 Grammy awards, qui a déjà officié pour les White Stripes, les Raconteurs, Arctic Monkeys, Wolfmother, Seasick Steve, Tinariwen ou encore la nouvelle star de la scène country Chris Stapleton. Avec déjà deux albums à son actif et plusieurs tournées en compagnie de groupes de la trempe de Gov’t Mule ou encore Cheap Trick ou Drive-By Truckers, Thomas Wynn & The Believers a déjà convaincu un large public au-delà de la Floride grâce à des concerts bourrés d’énergie. Aussi il est temps maintenant pour le groupe de prendre la route et de partir à la conquête du Monde !
MINOU - 1er album « Vesperal » LAUREAT DU RADIO CROCHET 2015 FRANCE INTER Minou est un groupe, un duo qui ne fait qu’un, complice et complexe, qui donne naissance ou renaissance à une chanson pop-électro décomplexée. Tellement décomplexée que cet album, chanté tout en français, n’a rien à envier dans ses sonorités à nos amis Anglo-Saxons. Minou nous rappelle la new wave des années 80, l’indie d’outre-atlantique mais aussi ce que la pop française a de meilleur. Minou s’écoute, Minou se danse. C’est normal car leurs Rolling Stones à eux s’appellent les Daft Punk, première claque reçue, premières envies, émotions. Territoires nouveaux à explorer, la magie d’un monde à réinventer pour une génération qui a grandi et s’est libérée sur les textes de Daho ou la musique de MGMT. Ce nouveau langage, Pierre Simon et Sabine Stenkors le précise depuis leur rencontre au lycée. Plusieurs groupes et bientôt 10 ans plus tard, ce langage est devenu commun, mélange de leurs expériences et collaborations issues de cette période. Un mélange savant aussi bien organique qu’électronique, décoction curieuse et ambitieuse des genres et deux voix qui n’en font qu’une. Sonorités rêveuses, fausse naïveté et refrains tenaces, voilà une partie des éléments qui composent l’élixir de Minou et nous obligent à tomber immédiatement sous leur charme. Minou c’est un vaisseau spatial piloté, mixé, réalisé par Julien Delfaud (Phoenix, Superdiscount, Benjamin Biolay, Woodkid) qui atterrit en douceur sur un volcan synthétique cracheur de riffs, d’amour et d’espoirs. Minou réussit le pari fou de rendre nos mélancolies joyeuses, de faire danser nos doutes, de réparer nos colères et d’imaginer plus loin la promesse du mieux. Le chant est aérien et l’harmonie des voix sur chaque refrain vous emporte. Les textes sont ciselés, tortueux, cosmiques, sensibles, durs et solaires. France Inter ne s’y est pas trompé en les sélectionnant pour « La Relève », prix dont Minou furent les heureux gagnants en 2015.
UN 3EME ALBUM DE PUR CLASSIC ROCK N ROLL QUI MAGNIFIE LE GENRE AVEC UNE GRANDE CLASSE Cela fait déjà deux ans que les canadiens nous avaient balancé leur furieux Sittin' Heavy', aussi ce troisième album était attendu par tous ceux qui ont eu la chance de voir le combo sur scène ! En effet, pendant ce temps le groupe n'a pas chômé puisqu' ils ont donné plus de 150 shows à travers le monde dont le final ever European Deep Purple tour... Ils ont aussi joué avec Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane's Addiction, Soundgarden, Slash (pour qui Monster Truck est tout simplement le meilleur groupe avec qui tourner), Rob Zombie ou encore Alter Bridge.
UN 3EME ALBUM DE PUR CLASSIC ROCK N ROLL QUI MAGNIFIE LE GENRE AVEC UNE GRANDE CLASSE Cela fait déjà deux ans que les canadiens nous avaient balancé leur furieux Sittin' Heavy', aussi ce troisième album était attendu par tous ceux qui ont eu la chance de voir le combo sur scène ! En effet, pendant ce temps le groupe n'a pas chômé puisqu' ils ont donné plus de 150 shows à travers le monde dont le final ever European Deep Purple tour... Ils ont aussi joué avec Black Stone Cherry, Volbeat, The Temperance Movement, Jane's Addiction, Soundgarden, Slash (pour qui Monster Truck est tout simplement le meilleur groupe avec qui tourner), Rob Zombie ou encore Alter Bridge.
LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE SUR LA SCENE DU PRESTIGIEUX ROYAL ALBERT HALL DE LONDRES On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue dans nos contrées. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! Enregistré lors d'un show exceptionnel, donné le 4 mai dernier au prestigieux Royal Albert Hall de Londres devant une salle comble. Et comme toujours, Beth fût à la hauteur de l'évènement avec son timbre de voix unique, entre Etta James et Janis Joplin. Pour The Times ce concert fût tout simplement Extraordinary !.
Cinq ans après la parution de son dernier album, 'Art Angels', la canadienne Grimes est enfin de retour avec 'Miss Anthropocene', une nouvelle épopée pop fantastique sur le label 4AD. Après plusieurs singles sortis en l'année dernière et précédé de quelques postes intrigants sur les réseaux, la chanteuse extra-terrestre Grimes (ou Claire Boucher pour les intimes) revient aujourd'hui sur notre planète avec 'Miss Anthropocene', son cinquième album (et troisième sur 4AD), sur lequel elle reste fidèle à sa pop électro si particulière. D'après l'intéressée, 'Miss Anthropocene' sera un album concept sur la déesse anthropomorphique du changement climatique. Ecrit, produit et arrangé par la chanteuse à la voix aérienne, elle prévient, ce sera son dernier album terrien...
Cinq ans après la parution de son dernier album, 'Art Angels', la canadienne Grimes est enfin de retour avec 'Miss Anthropocene', une nouvelle épopée pop fantastique sur le label 4AD. Après plusieurs singles sortis en l'année dernière et précédé de quelques postes intrigants sur les réseaux, la chanteuse extra-terrestre Grimes (ou Claire Boucher pour les intimes) revient aujourd'hui sur notre planète avec 'Miss Anthropocene', son cinquième album (et troisième sur 4AD), sur lequel elle reste fidèle à sa pop électro si particulière. D'après l'intéressée, 'Miss Anthropocene' sera un album concept sur la déesse anthropomorphique du changement climatique. Ecrit, produit et arrangé par la chanteuse à la voix aérienne, elle prévient, ce sera son dernier album terrien...
LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE SUR LA SCENE DU PRESTIGIEUX ROYAL ALBERT HALL DE LONDRES On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue dans nos contrées. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! Enregistré lors d'un show exceptionnel, donné le 4 mai dernier au prestigieux Royal Albert Hall de Londres devant une salle comble. Et comme toujours, Beth fût à la hauteur de l'évènement avec son timbre de voix unique, entre Etta James et Janis Joplin. Pour The Times ce concert fût tout simplement Extraordinary !.
LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE SUR LA SCENE DU PRESTIGIEUX ROYAL ALBERT HALL DE LONDRES On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue dans nos contrées. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! Enregistré lors d'un show exceptionnel, donné le 4 mai dernier au prestigieux Royal Albert Hall de Londres devant une salle comble. Et comme toujours, Beth fût à la hauteur de l'évènement avec son timbre de voix unique, entre Etta James et Janis Joplin. Pour The Times ce concert fût tout simplement Extraordinary !.
En 2013, Jungle débarque avec deux clips qui vont littéralement bouleverser les codes de la pop. L'année suivante, le super groupe britannique mené par J (Josh Lloyd-Watson) & T (Tom McFarland) sort un premier album éponyme qui se vend à près de 20 000 exemplaires dans l'hexagone et plus d'un million dans le monde. Aujourd'hui, Jungle est enfin de retour avec For Ever, enregistré entre Londres et Los Angeles. Tout comme le premier album, For Ever regorge de pépites soul/funk, irrésistibles appels à se trémousser sur les pistes de danse, en témoigne le single Happy Man reminiscent du groove entêtant de l'imparable Busy Earnin. Toutefois, ils nous présentent une nouvelle facette en ralentissant leur tempo sur les perles House in LA, Cherry ou encore Pray. Voilà un album qui devrait prolonger l'été pour un bon moment !
LE GRAND SHOW LIVE DU MEILLEUR ARMADA DE CLASSIC ROCK EN 2011! Le super groupe Anglo-Americain, est de retour avec un live qui va encore faire trembler la planète « classic rock ». Une fois de plus produit par le génialissime Kevin Shirley (Aerosmith, The Black Crowes, Iron Maiden.) ce document capture les flamboyantes versions live du combo truffées d'improvisations et autres exploits instrumentaux de nos quatre experts du rock lourd. Enregistré l'été 2011 lors des performances du supergroupe en Allemagne à Hambourg, Munich et Berlin avec 14 caméras HD, ce film nous plonge directement sur scène pour revivre l'expérience unique d'un concert de Black Country Communion! Inclus un livret de 28-page ainsi qu'un documentaire de 20 minutes et plusieurs galeries de photos sur scène et backsatge.
LE GRAND SHOW LIVE DU MEILLEUR ARMADA DE CLASSIC ROCK EN 2011! Le super groupe Anglo-Americain, est de retour avec un live qui va encore faire trembler la planète « classic rock ». Une fois de plus produit par le génialissime Kevin Shirley (Aerosmith, The Black Crowes, Iron Maiden.) ce document capture les flamboyantes versions live du combo truffées d'improvisations et autres exploits instrumentaux de nos quatre experts du rock lourd. Enregistré l'été 2011 lors des performances du supergroupe en Allemagne à Hambourg, Munich et Berlin avec 14 caméras HD, ce film nous plonge directement sur scène pour revivre l'expérience unique d'un concert de Black Country Communion! Inclus un livret de 28-page ainsi qu'un documentaire de 20 minutes et plusieurs galeries de photos sur scène et backsatge.
Oscar Powell est un producteur anglais mais avant tout le fondateur du label de techno Diagonal qui a récemment soufflé ses cinq bougies. Signé sur le label XL depuis 2015, Powell est considéré pour beaucoup comme l’étoile montante de la musique électronique depuis ses débuts en 2011. Il sort enfin son premier album intitulé Sport qu’il ne considère ni comme un album techno ou de dance, encore moins de ‘no-wave techno’, mais tout simplement comme le résultat de la bande-son de ce qui lui passait par la tête. Powell explique un peu mieux le concept du disque : Il s'appelle Sport parce que je voulais qu'il soit fun. Comme le sport, la musique est physique, on peut la danser. Et je voulais embarquer le cerveau des gens dans ce voyage avec moi.. Embarquement immédiat !
The Sleep Eazys, groupe mené par Joe Bonamassa rend hommage aux guitaristes l'ayant influencé. Sortie du premier album de The Sleep Eazys avec le guitariste de génie Joe Bonamassa, Anton Fig, Michael Rhodes, Reese Wynans et John Jorgenson et d'autres invités spéciaux. Sur Easy To Buy, Hard To Sell, Joe plonge dans l'histoire de la country, du rock & roll et du jazz pour rendre hommage à certains des grands guitaristes qui l'ont influencé, comme Hank Garland, Jimmy Bryant, Link Wray, Tony Joe White, King Curtis et Danny Gatton. Après le premier album solo de Reese Wynans Sweet Release, Easy To Buy, Hard To Sell est le deuxième album produit par Joe Bonamassa.
The Sleep Eazys, groupe mené par Joe Bonamassa rend hommage aux guitaristes l'ayant influencé. Sortie du premier album de The Sleep Eazys avec le guitariste de génie Joe Bonamassa, Anton Fig, Michael Rhodes, Reese Wynans et John Jorgenson et d'autres invités spéciaux. Sur Easy To Buy, Hard To Sell, Joe plonge dans l'histoire de la country, du rock & roll et du jazz pour rendre hommage à certains des grands guitaristes qui l'ont influencé, comme Hank Garland, Jimmy Bryant, Link Wray, Tony Joe White, King Curtis et Danny Gatton. Après le premier album solo de Reese Wynans Sweet Release, Easy To Buy, Hard To Sell est le deuxième album produit par Joe Bonamassa.
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
Oscar Powell est un producteur anglais mais avant tout le fondateur du label de techno Diagonal qui a récemment soufflé ses cinq bougies. Signé sur le label XL depuis 2015, Powell est considéré pour beaucoup comme l’étoile montante de la musique électronique depuis ses débuts en 2011. Il sort enfin son premier album intitulé Sport qu’il ne considère ni comme un album techno ou de dance, encore moins de ‘no-wave techno’, mais tout simplement comme le résultat de la bande-son de ce qui lui passait par la tête. Powell explique un peu mieux le concept du disque : Il s'appelle Sport parce que je voulais qu'il soit fun. Comme le sport, la musique est physique, on peut la danser. Et je voulais embarquer le cerveau des gens dans ce voyage avec moi.. Embarquement immédiat !
On ne l'attendait presque plus ce premier opus de l'artiste anglais Sampha. Après s'être illustré aux côtés de SBTRKT, Sampha commence à voler de ses propres ailes en sortant des singles au compte-goutte et deux EP en deux ans. On retiendra bien évidemment l'excellent single Too Much, qui sera ensuite repris par Drake sur son album Nothing Was The Same. En l'espace de quelques années, il devient l'un des artistes anglais les plus énigmatiques et respectés de sa génération, et pour preuve ces derniers mois de nombreux artistes se l'arrachent de Kanye West à Alicia Keys, en passant par Frank Ocean ou encore la talentueuse Solange. Aujourd'hui, Sampha est prêt à écrire une page de l'histoire en sortant son premier album qui s'est fait dans la douleur, puisqu'il a perdu sa mère, gravement malade durant le processus d'enregistrement, à qui il rend un déchirant hommage sur le titre (No One Know Me) Like The Piano.
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
WARREN HAYNES ILLUMINE SON ROCK DE BLUES ET DE SOUL DANS UN SET LIVE MAGISTRAL Ce live détonnant tout juste enregistré et filmé le 3 novembre dernier nous confirme une fois de plus que Warren Haynes n'a pas son pareil pour tisser son riche univers musical qui va du rock au jazz en passant par le blues, la soul, le R&B. Un mélange détonnant qui ici, sur la scène du Moody Theater à Austin, prend toute son ampleur ! Warren haynes est ce fabuleux guitariste qui accompagne le Allman Brothers Band depuis de nombreuses années déjà et nous enchante régulièrement avec les disques et les concerts de son propre groupe, Gov't Mule. Et en solo, il nous avait encore bluffés avec son « Man In Motion » sorti l'année dernière dans lequel l'homme à la Gibson se révélait aussi être un incroyable chanteur.
On ne l'attendait presque plus ce premier opus de l'artiste anglais Sampha. Après s'être illustré aux côtés de SBTRKT, Sampha commence à voler de ses propres ailes en sortant des singles au compte-goutte et deux EP en deux ans. On retiendra bien évidemment l'excellent single Too Much, qui sera ensuite repris par Drake sur son album Nothing Was The Same. En l'espace de quelques années, il devient l'un des artistes anglais les plus énigmatiques et respectés de sa génération, et pour preuve ces derniers mois de nombreux artistes se l'arrachent de Kanye West à Alicia Keys, en passant par Frank Ocean ou encore la talentueuse Solange. Aujourd'hui, Sampha est prêt à écrire une page de l'histoire en sortant son premier album qui s'est fait dans la douleur, puisqu'il a perdu sa mère, gravement malade durant le processus d'enregistrement, à qui il rend un déchirant hommage sur le titre (No One Know Me) Like The Piano.
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
Le guitariste et compositeur légendaire de The Doors, Robby Krieger, sort son premier album solo depuis dix ans ! Robby Krieger a écrit certains des plus grands succès d'un des groupes les plus influents du Rock dont Light My Fire, Love Me Two Times, Touch Me et Love Her Madly. Krieger est de retour pour son 9ème album solo et le premier depuis sa nomination aux Grammy en 2010, Singularity. Il s'associe une fois de plus avec son partenaire d'écriture et coproducteur de longue date, Arthur Barrow, qui a collaboré avec Frank Zappa, Giorgio Moroder, Joe Cocker, Diana Ross ou encore Janet Jackson. Ont participé à cet album : Jock Ellis (Trombone), Sal Marquez (Trompette), Tommy Mars (claviers), AeB Byrne (Flûte), Vince Denim (Sax), Chuck Manning (Sax), Joel Wackerman (Batterie) et Joel Taylor (Batterie).
Le guitariste et compositeur légendaire de The Doors, Robby Krieger, sort son premier album solo depuis dix ans ! Robby Krieger a écrit certains des plus grands succès d'un des groupes les plus influents du Rock dont Light My Fire, Love Me Two Times, Touch Me et Love Her Madly. Krieger est de retour pour son 9ème album solo et le premier depuis sa nomination aux Grammy en 2010, Singularity. Il s'associe une fois de plus avec son partenaire d'écriture et coproducteur de longue date, Arthur Barrow, qui a collaboré avec Frank Zappa, Giorgio Moroder, Joe Cocker, Diana Ross ou encore Janet Jackson. Ont participé à cet album : Jock Ellis (Trombone), Sal Marquez (Trompette), Tommy Mars (claviers), AeB Byrne (Flûte), Vince Denim (Sax), Chuck Manning (Sax), Joel Wackerman (Batterie) et Joel Taylor (Batterie).
Certains concerts sont tout simplement monumentaux, ils feront à tout jamais partie du folklore du rock. Quand Gary Moore est monté sur la scène de l'Islington Academy à Londres, le 2 décembre 2009, c'était un véritable instant unique. Le public trié sur le volet a eu la chance de voir l'un des plus grands noms du blues rock dans un club intime. Ce soir-là, personne ne se doutait que ce serait pour l'une de ses toutes dernières prestations ! Aussi lorsque Moore passera l'arme à gauche, quelques 14 mois plus tard, à seulement 58 ans, ce show prendra d'autant plus d'ampleur et restera à jamais dans les mémoires. Maintenant avec le recul, une décennie plus tard, la sortie de ce Live fait revivre la magie de ce concert d'exception et va remettre sous les feux de la rampe tout le talent du formidable musicien irlandais, disparu beaucoup trop tôt !
ENTRE LES KILLS & LES WHITE STRIPES, LA NOUVELLE SIGNATURE DE MASCOT Le duo, originaire de Dan Diego, Anthony Tone Catalano et à la batterie Celeste C.C. Spina, a déjà 2 albums à son actif : Homewrecker en 2011 et Gold Fever en 2014. Aussi pour ce troisième album le groupe de rock alternatif a clairement la volonté de passer un cap en signant avec le label Mascot Records. Little Hurricane s'est déjà produit dans des festivals américains prestigieux tels que le Austin City Limits, le Lollapalooza ou le SXSW, a aussi assuré les 1ères parties de The Specials, Manchester Orchestra ou du John Butler Trio. Dès leur début, Anthony et Celeste se sont faits remarqués, rapidement ils sont plébiscités par les médias locaux qui les élisent comme le meilleur nouvel artiste musical de San Diego. Aussi les médias nationaux s’intéressent à eux et Rolling Stone en dit le plus grand bien.
La soul en français, est-ce que cela existe ? On penche pour une réponse positive dès les premières phrases de « Mayday », le single qui fait l'ouverture du Marché Des Insolites, premier album de Sofia Gon's. « Ma voix sonne soul donc les gens disent que je chante de la soul. Mais je persiste à dire que c'est de la variété française » racontait avec une rare franchise cette vocaliste hors pair qui vient pas de nulle part. En effet, le papa de Sofia est une légende de la soul made in France. Vigon, chanteur marocain, a été le seul artiste francophone de rhythm & blues signé sur le prestigieux label américain d'Aretha Franklin et de Wilson Pickett, Atlantic Records. Marché Des Insolites est le disque d'une artiste étonnante. Envers et contre tout, Marché Des Insolites existe, et sa sortie quelques semaines après le décès de Sofia le transforme en un héritage précieux.
L'événement guitare de l'année : le retour d'Eric Johnson !!! Rares sont les musiciens à posséder une véritable personnalité qui les rend incomparables avec les autres. Originaire d'Austin, Texas, le guitariste Eric Johnson fait parti de ceux-là. Oubliez tout ce que vous avez écouté jusqu'à présent, Eric Johnson n'est pas de ceux que l'on range dans une case, il est tout simplement lui-même. Cela suffit amplement pour émerveiller l'auditeur et l'emmener dans un monde à part... « Another Look », le nouvel album studio d'Eric Johnson, en est encore une preuve flagrante ! Pas question ici de style et encore moins d'étiquette, il ne s'agit que de Musique à l'état pure, où la virtuosité n'est même pas d'actualité tant elle paraît naturelle... Un artiste rare, un guitariste exceptionnel au service de magnifiques compositions... A ne rater sous aucun prétexte en concert comme sur disque.
Après deux albums et le succès planétaire du remix de « Prayer In C » de Robin Schluz -------------------------------------- LE NOUVEL ALBUM DU DUO POP FRANÇAIS ----------------------------------------- Shadows est le 3ème album de Lilly Wood & The Prick. Revenir sur le devant de la scène après avoir connu un tel succès international - celui de leur titre Prayer in C - est toujours un pari à relever. Le duo a donc continué d'arpenter inlassablement les routes du monde, à la recherche d'inspirations. Celles des Etats-Unis lors de leur tournée américaine, celles du Mali dans le cadre d'une résidence hors du temps, celles de l'Angleterre avec le réalisateur artistiques Dave Okumu (The Invisible, Jessie Ware). Celle, enfin, des artistes Pierre & Gilles (photographes et peintres, célèbres notamment pour leur collaboration avec Etienne Daho ou encore Stromae) qui offrent au groupe une pochette d'album aussi chamarrée que décalée.
Le premier album du groupe, Everybody's God (2010), couronné d'une tournée de plus de 150 concerts en France et à l'étranger, les a conduit aux nominations du prix Constantin (2010) et à celles des Victoires de la musique - révélation scène (2011). Sur leur nouvel album Mira, retour aux fondamentaux du groupe... Les 4 musiciens ressortent les machines en mode funk pop et les synthétiseurs prennent désormais le pas sur les guitares. Ceux qui avaient vu la tornade Gush sur scène et les aimaient pour leur capacité à produire des pop songs entêtantes seront ravis. Entre pieds Electro et harmonies incantatoires pop, la volonté des Gush d'entraîner le public dans une danse irrésistible prend tout son sens L'album a été mixé par Julien Delfaud (The Shoes, Woodkid, Bewitched Hands, Etienne de Crécy, Revolver.) et masterisé par Mike Marsh (Phoenix, Justice, Etienne Daho, Franz Ferdinand, Woodkid, Capital Cities.).
LA NOUVELLE PEPITE DU P¨LUS DIGNE HERITIER D'HENDRIX ! Après avoir accompagné Jeff Healey, Uncle Kracker et Melissa Etheridge, Philip Sayce s'est lancé en solo. Avec « Steamroller », enregistré en prises live à Nashville au Chatham County Sound Studio sous la houlette du producteur Dave Cobb (Soundgarden.), Sayce passe avec brio un nouveau cap ! Emotion, intensité, guitares incendiaires, riffs monstrueux, tout ici est réuni pour un grand disque de rock 'n' blues où plane l'ombre bienveillante des aînés (Hendrix, Black Sabbath.). Mais attention, « Steamroller » n'est pas uniquement propulsé par les grosses guitares puisque cet album nous propose aussi une magnifique ballade (Marigold) et même un funk-soul endiablé façon Meters (Beautiful). Philippe Sayce viendra défendre cet album sur les scènes françaises avant l'été.
LA NOUVELLE PEPITE DU P¨LUS DIGNE HERITIER D'HENDRIX ! Après avoir accompagné Jeff Healey, Uncle Kracker et Melissa Etheridge, Philip Sayce s'est lancé en solo. Avec « Steamroller », enregistré en prises live à Nashville au Chatham County Sound Studio sous la houlette du producteur Dave Cobb (Soundgarden.), Sayce passe avec brio un nouveau cap ! Emotion, intensité, guitares incendiaires, riffs monstrueux, tout ici est réuni pour un grand disque de rock 'n' blues où plane l'ombre bienveillante des aînés (Hendrix, Black Sabbath.). Mais attention, « Steamroller » n'est pas uniquement propulsé par les grosses guitares puisque cet album nous propose aussi une magnifique ballade (Marigold) et même un funk-soul endiablé façon Meters (Beautiful). Philippe Sayce viendra défendre cet album sur les scènes françaises avant l'été.
Quand le blues cosmique rentre en fusion avec le rock sudiste! Depuis les années 70, les Allman Brothers ont popularisé le rock sudiste sur la scène internationale... Fils du chanteur Gregg Allman, Devon poursuit avec brio la légende familiale avec son trio Honeytribe avec un côté bluesy beaucoup plus marqué que chez ses augustes aînés. Le trio n'a eu de cesse de parcourir le moindre recoin de la planète ces deux dernières années, pour donner près de 300 concerts frénétiques à travers le globe. Aussi cette nouvelle odyssée en studio, coproduite par le vétéran Pete Matthews (Alex Chilton, Noth Mississipi Allstars, George Thorogood.) d'Ardent Studios, transpire la maturité : une savante combinaison de blues rock classique, de soul délicate et de folie psychédélique moderne. Une galette qui se mettra directement sur orbite dans votre lecteur CD
LE TRIO EXPLOSIF HOLLANDAIS EN PLEINE ACTION ! Les rebelles et intrépides bataves au fabuleux blues psychédélique reviennent en force avec un album live qui démontre toute l'étendue de leurs talents sur scène. L'album THRUST de 2018 avait consacré le groupe comme meilleur formation rock de son pays et donné lieu à une énorme tournée de 100 dates à travers l'Europe dont une belle série en France. Ce fût l'occasion pour nous de découvrir DeWolff dans leur exercice favori : le live ! La plupart des titres de Live & Outta Sight II sont tirés du dernier album THRUST. Ici les versions acquièrent une nouvelle dimension, comme si ces titres prenaient vie par eux-mêmes sur scène. On retrouve ainsi les dernières chansons phares comme Double Crossing Man, Deceit & Woo ou Big Talk mais aussi des morceaux plus anciens comme Medicine and Don't You Go Up The Sky.