Le Trio Goya propose, pour cette nouvelle sortie, un récit unique des premiers trios pour piano de Beethoven. Les musiciens révèlent l'extraordinaire palette de couleurs de ces pièces en les interprétant sur instruments d'époque.
Le groupe Mama Kaya chante pour les plus grands de la famille. Vocal et instrumental à souhait, textes poétiques ou nostalgiques, ce disque plein de couleurs tourne comme une ronde de chansons.
A partir de 3 ans Pour la troisième fois, Jo Akepsimas chante pour les enfants. Quelle malicieuse pédagogie, celle qui fait tout passer avec un clin d'oeil qu'on aime. Jo chante avec un rayon de soleil dans le timbre. Il ajoute à cette lumière une palette de couleurs qu'on dirait puisée dans une boite de pastel.
Let's dance ! - Tango Elles sont increvables ! Ce sont toutes les danses inventées pour allumer le feu. Des danses de transes collectives mais qui finalement ne se pratiquent bien qu à deux... et plus si affinités... Y en a pour tous les goûts, toutes les latitudes et toutes les couleurs. Elles sont faites pour être dansées jusqu au petit matin...
Sophie et son ami Emilio, avec l'aide du vieil oncle Bonhomme Tom, mènent une enquête pour retrouver un cadeau disparu, un tesson plein de mystère que la petite fille de sept ans appelait «l'oeil». Cet album universel tout en poésie, aux couleurs de bord de mer, parle d'amitié, de vieillesse, de mort et comment on peut entrevoir le monde à travers le prisme des trésors du coeur.
Second volume des Sonates de J-Guy Ropartz (et le 6e de sa musique de chambre). La répartition - pour certains un peu curieuse - des oeuvres sur les 2 volumes a tenu compte avant-tout de la durée des oeuvres. Ici Sonates 1 et 3 pour violon, et Sonate 1 pour violoncelle. François Kerdoncuff assure le point fixe, tandis que les cordes ont été changées pour que d'autres musiciens puissent s'exrimer dans ces ouvrages, bien français, mais aux couleurs et saveurs inimitables. En l'occurence deux très grands maîtres de l'archet : Jean-Marc Phillips-Varjabédian et Henri Demarquette.
Let's dance ! - Valse musette Elles sont increvables ! Ce sont toutes les danses inventées pour allumer le feu. Des danses de transes collectives mais qui finalement ne se pratiquent bien qu à deux... et plus si affinités... Y en a pour tous les goûts, toutes les latitudes et toutes les couleurs. Elles sont faites pour être dansées jusqu au petit matin...
Let's dance ! - Salsa Elles sont increvables ! Ce sont toutes les danses inventées pour allumer le feu. Des danses de transes collectives mais qui finalement ne se pratiquent bien qu à deux... et plus si affinités... Y en a pour tous les goûts, toutes les latitudes et toutes les couleurs. Elles sont faites pour être dansées jusqu au petit matin... avec Machito, Tito Puente, Ray Barretto, Eddie Palmieri, Celia Cruz, Lou Perez, Benny More...
Let's dance ! - Rock'n' roll Elles sont increvables ! Ce sont toutes les danses inventées pour allumer le feu. Des danses de transes collectives mais qui finalement ne se pratiquent bien qu à deux... et plus si affinités... Y en a pour tous les goûts, toutes les latitudes et toutes les couleurs. Elles sont faites pour être dansées jusqu au petit matin... Avec Carmen Amaya, La Paquera de Jerez, Nino Ricardo, Ramon Montoya, Paco De Lucia...
Let's dance ! - Rhythm'n'blues Elles sont increvables ! Ce sont toutes les danses inventées pour allumer le feu. Des danses de transes collectives mais qui finalement ne se pratiquent bien qu à deux... et plus si affinités... Y en a pour tous les goûts, toutes les latitudes et toutes les couleurs. Elles sont faites pour être dansées jusqu au petit matin... Avec James Brown, Marvin Gaye, Otis Redding, Sam Cooke, Ray Charles, Titus Turner...
Plus Hugo Wolf avançait dans la carrière, plus la tentation de composer pour l'orchestre et l'opéra se faisait pressante, voire douloureuse. En orchestrant ses lieder, il put satisfaire son désir inassouvi d'explorer toutes les possibilités de la palette des couleurs de l'accompagnement. Extraordinairement habile, le résultat - et en particulier cette version du Feuerreiter - le rendit célèbre bien au-delà des pays germaniques.
L'Orchestre d'Auvergne, dont les cordes rayonnent bien au-delà de ses frontières régionales, livre un programme aux couleurs de la Bohème des compositeurs tchèques Dvorak, Janacek et Martinu. La mélancolie de la Sérénade pour cordes de Dvorak (dont le mouvement Tempo di Valse, célébrissime, a servi d'écrin à un nombre incalculable de spots publicitaires) diffuse une chaude lumière crépusculaire que font miroiter les oeuvres de ses deux compatriotes. Tout aussi sensuels, la Suite pour cordes de Janacek et l'arrangement pour orchestre du Sextuor de Martinu témoignent du raffinement de la formation dirigée par Roberto Forés Veses.
Le compositeur germano-polonais Franz-Xaver Scharwenka fut une figure majeure du dix-neuivème siècle, et ses quatre concertos pour piano occupent une place centrale dans son corpus relativement mince. Le pianiste Alexander Markovich en présente ici pour la première fois l'intégralité, avec Neeme Järvi et l'Orchestre Symphonique National d'Estonie. Le Concerto pour piano n°1, dédié à Liszt, était à l'origine conçu comme une fantaisie; le concerto n°2 marque l'influence de Chopin et des danses polonaises; le concerto n°3 est hautement romantique, à la fois délicat et passionné; et le concerto n°4, peut-être le meilleur de la série, créé en 1908, est une oeuvre particulièrement haute en couleurs, sorte de montagnes russes du répertoire pour piano.
Electro Violet Nombre de disques : 12LA COLLECTION ENTIERE DE LA CARRIERE SOLO D'IRMIN SCHMIDT, FONDATEUR DE CAN. Mute et Spoon records sortiront l'oeuvre complète de la carrière solo ainsi que les bandes originales d'IRMIN SCHMIDT, compositeur légendaire et créateur de Can. La boxset Electro Violet sortira le 20 Novembre 2015. Après une formation de pianiste classique, de chef d'orchestre et de compositeur, IRMIN SCHMIDT, qui a appris auprès de Stockhausen et Ligeti, fonde Can à la fin des années 1960, sorte de fusion d'une musique classique de nouvel ordre avec du rock et du jazz. Depuis, la puissante influence du groupe n'a jamais faibli et IRMIN SCHMIDT a récemment été fait Chevalier De L'Ordre Des Arts Et Des Lettres pour sa contribution au monde des arts et de la culture. Ce coffret 12CD emporte l'auditeur dans un voyage au coeur de l'oeuvre de l'artiste, depuis Toy Planet (1981), son premier album solo, jusqu'à l'opéra Gormenghast en passant par ses collaborations avec Jono Podmore et Duncan Fallowell sans oublier ses bandes originales.
Fruit d'une intense complicité avec Simon Zaoui, Reflets'articule autour d'oeuvres majeures de la musique française pour basson et piano du début du 20eme siècle : Saint-Saëns, Koechlin, Dutilleux. Ces pièces sont associées à d'autres plus inédites telles Jeanjean et D'Ollone. Ces choix ont toujours été guidés par la recherche de lyrisme et de couleurs qui caractérisent si bien le basson de facture française.
La réédition vinyle de leur septième album sorti en 1998 PIAS et KICKING RECORDS se sont associés pour rééditer sur support vinyle les albums les plus marquants du quintet. Après SOLEIL DE PLOMB, DU GOUDRON ET DES PLUMES et LES 2 DOIGTS DANS LA PRISE, tous tirés à 1000 exemplaires et d'ores et déjà sold out, c'est au tour des 2 derniers albums en date du groupe, ALLEGRO TURBO et ELECTROCHOC, de reprendre des couleurs après une re-masterisation bien calibrée!
Un album qui redonne des couleurs à la pop hexagonale ! Issu de la nouvelle scène francophone, le groupe PENDENTIF avait déjà brillamment marqué les esprits avec l’album ‘Mafia douce’. Ils reviennent 4 ans plus tard avec un bijou pop, aux influences synthétiques d’un Toro Y Moi ou un Blood Orange. Entre mélodies addictives, rythmes chaloupés, atmosphères cotonneuses et refrains entêtants, difficile de les placer dans une case. POUR CEUX QUI AIMENT Etienne Daho, Petit Fantôme, Moodoïd, Baden Baden...
Un album qui redonne des couleurs à la pop hexagonale ! Issu de la nouvelle scène francophone, le groupe PENDENTIF avait déjà brillamment marqué les esprits avec l’album ‘Mafia douce’. Ils reviennent 4 ans plus tard avec un bijou pop, aux influences synthétiques d’un Toro Y Moi ou un Blood Orange. Entre mélodies addictives, rythmes chaloupés, atmosphères cotonneuses et refrains entêtants, difficile de les placer dans une case. POUR CEUX QUI AIMENT Etienne Daho, Petit Fantôme, Moodoïd, Baden Baden...
Le plus essentiel des groupes alternatifs ! Lo'Jo invente dans ce nouvel album enregistré aux quatre coins de la planète sa propre musique universelle, avec des couleurs électro-acoustiques qui apportent un éclairage surprenant et inédit. Chaque morceau possède une modernité pop avec son lot de fulgurances poétiques et d’inventions rythmiques. Le groupe dont personne désormais ne conteste l’aura poursuit sa trajectoire unique et livre un album puissant. Une seconde naissance ! POUR CEUX QUI AIMENT Albin de la Simone, Miossec, Arno, Camille
Ce double album compile les merveilles du catalogue authenticité ainsi qu'un grand nombre d'enregistrements jamais édités en CD. Tous les grands orchestres de ces temps magiques sont présents comme le Bembeya Jazz, Kélétigui et ses Tambourinis, Balla et ses Balladins. Mais on y découvre également des raretés (Syli Autentic, Kebendo Jazz...) enregistrés par tous ces orchestres qui bataillaient pour remporter les célèbres Festivals des Arts et leur permettaient de démarrer une célèbre carrière.
La musique du compositeur Michael Fine est très évocatrice car elle déploie un imaginaire visuel très poétique : ses partitions naissent d'improvisations au piano et sont nourries de ses voyages et de ses lectures. De la Corée et ses palais (At the Gate) à l'écosse de l'écrivain Alexandre McCall Smith (Brother Fox), le monde défile sous nos oreilles aux grés des saisons (Seasonal Rites). Une immersion sonore d'autant mieux réussie que Michael Fine est également un producteur récompensé d'un Grammy pour son expertise dans la prise de son. En outre, lui-même clarinettiste, Michael Fine écrit sa musique en musicien. Le Royal Scottish National Orchestra, dirigé par Philip Mann, déploie une vaste palette de couleurs pour donner vie à l'imaginaire du compositeur.
ANDRé ISOIR, Le chercheur d'orgue Parmi les Chorals pour orgue de Jean-Sébastien Bach, il en est dont la forme évoque davantage une somptueuse partie d'accompagnement qu'une oeuvre soliste. Leur véritable magnificence demeure en quelque sorte virtuelle et semble appeler l'adjonction d'un choeur pour s'épanouir pleinement. Cette remarque vaut tout particulièrement pour le long choral Herr Gott, dich loben wir BWV 725, version luthérienne du Te Deum latin... André Isoir ressuscitant un Te Deum de Bach, ça ne laisse pas indifférent ! D'abord parce que la reconstruction est aussi solide qu'intelligente. Surtout parce que le grand organiste savait jouer de toutes les couleurs de l'orgue. Ajoutez une bonne dose d'engagement personnel et de for intérieur; des choeurs enhardis par la redécouverte et la sûreté du propos. Il en naît un disque stupéfiant de cohérence et de vérité.
Pendant longtemps, la musique du Japon fut perçue comme un ensemble de musiques traditionnelles inaccessible, ou une contrée rock excentrique entre la pop kleenex de groupes pour teenagers et la techno du Yellow Magic Orchestra... Cette compilation vient remettre les choses en place, en proposant un échantillon haut en couleurs qui passe par toute une panoplie de groupes créatifs. Leur démarche passe par le rock, le jazz, l'électro, la dance, le dub, et on y trouve des accents contrastés qui puisent à la fois dans des racines culturelles très anciennes et dans une avantgarde inventive.
Après trois ans d'absence, les britanniques de TUNNG reviennent avec un cinquième album, le splendide Turbines, à l'occasion de leurs 10 ans de carrière. Leur album le plus concis à ce jour. Turbines est le premier album de TUNNG pour lequel les six membres étaient présents à chaque étape de l'enregistrement. Ils se sont rapprochés du producteur BEN 'BENGE' EDWARDS pour puiser dans son arsenal de synthétiseurs (le «synth museum») et apporter des sonorités toujours plus originales à leurs compositions. Le résultat est un album flamboyant, riche en couleurs et en émotions. TUNNG et son folk expérimental teinté d'électro, baptisé « sci-fi folk rock », nous transporte avec ses mélodies aériennes portées par des nappes de synthé vintage, des arpèges de guitare joués à la main et des arrangements toujours aussi impressionnants !
Après trois ans d'absence, les britanniques de TUNNG reviennent avec un cinquième album, le splendide Turbines, à l'occasion de leurs 10 ans de carrière. Leur album le plus concis à ce jour. Turbines est le premier album de TUNNG pour lequel les six membres étaient présents à chaque étape de l'enregistrement. Ils se sont rapprochés du producteur BEN 'BENGE' EDWARDS pour puiser dans son arsenal de synthétiseurs (le «synth museum») et apporter des sonorités toujours plus originales à leurs compositions. Le résultat est un album flamboyant, riche en couleurs et en émotions. TUNNG et son folk expérimental teinté d'électro, baptisé « sci-fi folk rock », nous transporte avec ses mélodies aériennes portées par des nappes de synthé vintage, des arpèges de guitare joués à la main et des arrangements toujours aussi impressionnants !
Le premier enregistrement par Valery Gergiev de l'iconique partition Petrushka de Stravinsky ! Petrushka est l'une des oeuvres les plus célèbres de Stravinsky. C'est le fruit de sa collaboration avec le mécène russe Diaghilev qui a également produit L'Oiseau de feu et le Sacre du printemps. Présentée ici dans sa version originale de 1911, la musique est haute en couleurs. A découvrir sur l'album, un autre bijou moins connu du compositeur : le Jeu de cartes (1937). Ce ballet est né de l'enthousiasme de Stravinsky pour les cartes, en particulier le poker. La musique fantaisiste met l'accent sur le Joker trompeur qui se croit imbattable, grâce à sa capacité de caméléon à devenir n'importe quelle carte... une perle !
Troisième récital d'hommage à l'art immaculé de 'ABM', qui ressuscite son classicisme de jeu et sa perfection de toucher, digne tantôt des enluminures les plus finement taillées, celles du vrai baroque et des peintures d'orfèvre de Salvador Dali, tantôt aux exigences de la formidable gamme de couleurs subtilement dosées en leur intensité dont il use dans Chopin comme dans Debussy.
Pour son premier disque, Klarthe Quintet se tourne vers la musique française et met en parallèle deux époques : La fin du XIXème siècle avec deux oeuvres majeures du répertoire pour quintette à vent que sont les quintettes de Paul Taffanel et de George Onslow, joyaux de lyrisme et de phrasé propres à ces instruments et à cette période. Puis le XXIème siècle, avec deux pièces commandées pour cet enregistrement, où le rythme, les contrastes et les couleurs que peuvent apporter le quintette à vent prédomineront. L'utilisation des percussions par les musiciens du quintette eux-mêmes dans « Amazonian Dreams » de Jean-François Verdier décrit un univers parfois méditatif, parfois tribal mais surtout une invitation au voyage vers de nouveaux paysages sonores inédits pour cette formation alors que « Five o’clock » de Karol Beffa s’inscrit dans une veine pulsée, motorique, quasi mécanique mettant en valeur l’élément rythmique typiquement « clock ».
Le rap mélodique et funky de Mixcity Mixcity est un groupe français, originaire de Nantes, Jazz - Hiphop - Slam au groove envoûtant. Pour cet album, le clavieriste Jean-Patrick Cosset, originaire de Nantes, et son groupe Mixcity décident de revenir aux racines du groove, enrichies par cette vision moderne de l'électro hexagonale. Des moments jazzy teintés de boucles électro, des influences hip hop et pop, Mixcity est souvent comparé à Erik Truffaz ou Herbalizer. Les instruments (guitare et voix / basse / claviers / batterie) restent omniprésents et, marque de fabrique de Mixcity, proposent un répertoire ouvert, des mélodies catchy efficaces qui s'enchaînent comme un carnet de voyage aux milles couleurs.
Au fil d’un voyage musical dans la diversité des pays, des esthétiques, des compositeurs et des styles de tout le continent américain, Pablo Villegas marie la sensualité de la musique brésilienne, la nostalgie du tango, la vivacité des rythmes vénézuéliens, l’humanité de John Williams et les couleurs originales du bluegrass nord-américain. Bienvenue à bord !
Musique anglaise du XVIIème avec une claveciniste étonnante, Caroline Huynh Van Xuan, avec la découverte de compositeurs inconnus, pour la première fois au disque avec cet enregistrement. A partir de 1660, et après une longue période d’austérité artistique, la musique se démocratise en Angleterre, elle sera jouée dans les tavernes, les théâtres, opéras et salles de concert, et chaque fête devient un véritable festival populaire. C’est dans ce contexte que sont publiées de nombreuses oeuvres pour clavecin. Des manuscrits conservés à la British Library ont permis à la claveciniste Caroline Huynh Van Xuan de construire un programme cohérent, varié, et riche en couleurs qui réunit à la fois des pièces de compositeurs célèbres (Purcell, Haendel, Geminiani), mais aussi de très nombreuses découvertes de compositeurs oubliés, voire complètement inconnus, et premières au disque. Le programme se conclut par un bond dans le temps de 300 ans pour un arrangement d’une chanson de Sting, Moon over Bourbon Street, en un ‘ground’ pour clavecin envoûtant.
Une série de rééditions pour l'anniversaire du premier album du groupe THROBBING GRISTLE célèbre cette année le 40ème anniversaire de la date de sortie de leur premier album The Second Annual Report Of Throbbing Gristle avec une série de rééditions à paraître le 3 novembre sur Mute. THROBBING GRISTLE est un groupe légendaire à l'influence très importante et encore présente dans différents domaines de la culture, de la musique aux arts en général. The Taste of TG (A Beginner's Guide To The Music Of Throbbing Gristle) est une compilation de l'oeuvre du groupe déjà sortie en 2004 sur Mute. La réédition propose une nouveau titre 'Almost A Kiss' dans le tracklisting ainsi que le format vinyle pour la première fois. POUR CEUX QUI AIMENT Cabaret Voltaire, Joy Division, The Velvet Underground, Stockhausen
Le rap mélodique et funky de Mixcity Mixcity est un groupe français, originaire de Nantes, Jazz - Hiphop - Slam au groove envoûtant. Pour cet album, le clavieriste Jean-Patrick Cosset, originaire de Nantes, et son groupe Mixcity décident de revenir aux racines du groove, enrichies par cette vision moderne de l'électro hexagonale. Des moments jazzy teintés de boucles électro, des influences hip hop et pop, Mixcity est souvent comparé à Erik Truffaz ou Herbalizer. Les instruments (guitare et voix / basse / claviers / batterie) restent omniprésents et, marque de fabrique de Mixcity, proposent un répertoire ouvert, des mélodies catchy efficaces qui s'enchaînent comme un carnet de voyage aux milles couleurs.
Somptueux coffret consacré au claviériste et compositeur américain George Duke (1946-2013). Dans un boîtier entoilé composé de six vinyles respectant les 180 grammes, nous avons pu constater à quel point cet interprète est bien plus que le précurseur du smooth jazz. Provenant de la firme MPS, ce qui est un gage de qualité, tout oscille entre le « gros funk » entrecoupé de musique brésilienne. Entouré de quelques costauds comme la chanteuse Flora Purim, le percussionniste Airto Moreira ou le guitariste Daryl Sterman, George Duke donne des couleurs appréciables aux années de Face In Reflection, Feel, Liberated Fantaisies et le titre phare : The Era Will Prevail. Pour collectionneurs avertis.
Le Maroc est un superbe endroit pour les musiciens et je ne cesse de le dire autour de moi. A titre personnel, je dirais sans hésiter que c’est l’un de mes endroits préférés dans le monde pour jouer. Ce nouvel album en concert, enregistré au Maroc en 2009 (Rabat), est une rencontre au sommet entre plusieurs cultures et religions. De son propre aveu, cette troisième visite d’Al Di Meola dans le Royaume est l’un des sommets du guitariste en concert, ce que laissent entendre les nombreuses ovations du public tout acquis à la cause de la légende vivante et de ses nombreux invités, dont plusieurs sont originaires du Maroc. Après 40 années de carrière marquées par une fusion entre jazz, rock puis influences latines ainsi que la réinvention des genres, la technique sophistiquée d’Al Di Meola et son ébouriffante virtuosité s’expriment ici à travers toutes sortes de guitares, l’artiste y mêle ainsi les sonorités douces et chaudes des cordes nylon à celles envoûtantes de l’accordéon ou de l’oud. Une symphonie éclatante de sons et de couleurs pour un concert vibrant et enthousiasmant.
Le quatuor est le dernier en date d'une lignée prestigieuse grunge New Yorkaise rythmée par le punk. WIVES est le groupe d'une ville, produit de son anxiété, de son bruit de ses arts et de son énergie. WIVES, c'est la dissonance de SONIC YOUTH, l'énergie des premiers PIXIES, les ricanements intelligents et cérébraux de MARK E SMITH de THE FALL. Waving Past Nirvana est un manifeste du son WIVES avec son phrasé quasi parlé très rap 80's des couplets qui laisse place aux guitares grunge 90's pour un refrain rugissant. Toujours ancré dans le réel, WIVES rejette toute illumination spirituelle du Nirvana.
« J’ai attendu longtemps avant d’écouter les 'Sonate en si mineur' de mes grands prédécesseurs, les Maîtres... tous si différents. Car j’ai très tôt fait de cette oeuvre mon histoire, tant j’étais porté par l’événement que je vivais. Cette Sonate peut se décliner à volonté, selon l’inspiration, le caractère, l’humeur de l’interprète... Elle peut suivre l’instant, le sentiment, ou se tenir debout, noble ! Toutes différentes, elles restent pourtant toutes La Sonate de Liszt. » De la Sonate en si aux transcriptions pour piano de Wagner, le romantisme de Franz Liszt trouve en Roger Muraro un interprète de premier choix. Habitué à penser les accords comme des couleurs, le pianiste nous transporte de l’ombre à la lumière avec un jeu tout en nuances, une énergie rayonnante et une virtuosité prodigieuse. Une exécution bouleversante de simplicité, transcendée par une prise de son de référence pour ce premier enregistrement chez La Dolce Volta.
Par leur profonde complicité, ce duo a méticuleusement façonné un diamant musical étincelant et aux multiples nuances L'univers sonore de Kristallen se délecte du moment où les surfaces et les bords des cristaux scintillent, et durant lequel se détachent des couleurs inattendues. Il y a un certain calme, et aussi de la place pour que l'imagination se déploie. Nils Landgren et Jan Lundgren ont une vision cohérente du jazz de chambre lyrique qui coule doucement et naturellement. Plutôt que de réclamer notre attention, c'est une musique qui révèle sa vraie beauté quand on l'écoute attentivement. Leur façon instinctive d'intérargir pouvait déjà être admirée sur leur hommage à Leonard Bernstein, Some Other Time. Aujourd'hui, leur sixième sens, leur approche authentique et leur goût pour les mêmes styles musicaux est d'autant plus évident. Un esprit nordique, des émotions profondément romantiques, une coloration impressionniste et une affirmation de la tradition du jazz américain : tout cela imprègne Kristallen et lui apporte une magie particulière.
Pour son nouveau disque Soave e virtuoso, Alexis Kossenko est parti sur les traces de partitions rares de l’ère baroque. Des partitions qui nous rappellent que le répertoire italien, s’il fait la part belle au violon et à la voix, n’en a pas moins choyé les instruments à vent.À la tête de son ensemble Les Ambassadeurs, le chef et flûtiste Alexis Kossenko interprète avec régal des concertos tout en contrastes de Tartini, Vivaldi et Sammartini. Tantôt voluptueuses, tantôt redoutablement acrobatiques, ces partitions exigent du soliste technique et sensibilité. Avec une virtuosité jubilatoire, jamais gratuite mais au service de l’expressivité, Alexis Kossenko, aussi à l’aise à la flûte traversière qu’à la flûte à bec, redonne vie en couleurs aux oeuvres des trois compositeurs italiens.
Par leur profonde complicité, ce duo a méticuleusement façonné un diamant musical étincelant et aux multiples nuances L'univers sonore de Kristallen se délecte du moment où les surfaces et les bords des cristaux scintillent, et durant lequel se détachent des couleurs inattendues. Il y a un certain calme, et aussi de la place pour que l'imagination se déploie. Nils Landgren et Jan Lundgren ont une vision cohérente du jazz de chambre lyrique qui coule doucement et naturellement. Plutôt que de réclamer notre attention, c'est une musique qui révèle sa vraie beauté quand on l'écoute attentivement. Leur façon instinctive d'intérargir pouvait déjà être admirée sur leur hommage à Leonard Bernstein, Some Other Time. Aujourd'hui, leur sixième sens, leur approche authentique et leur goût pour les mêmes styles musicaux est d'autant plus évident. Un esprit nordique, des émotions profondément romantiques, une coloration impressionniste et une affirmation de la tradition du jazz américain : tout cela imprègne Kristallen et lui apporte une magie particulière.
Une série de rééditions pour l'anniversaire du premier album du groupe THROBBING GRISTLE célèbre cette année le 40ème anniversaire de la date de sortie de leur premier album The Second Annual Report Of Throbbing Gristle avec une série de rééditions à paraître le 3 novembre sur Mute. THROBBING GRISTLE est un groupe légendaire à l'influence très importante et encore présente dans différents domaines de la culture, de la musique aux arts en général. The Second Annul Report Of Throbbing Gristle est leur premier album, sorti à l'origine le 04 novembre 1977, et représente toute l'essence rebelle du groupe mythique, tant sur le plan politique que sur la façon de composer de la musique et des sons. POUR CEUX QUI AIMENT Cabaret Voltaire, Joy Division, The Velvet Underground, Stockhausen
L’Ensemble Amarillis, dans cette réédition de son disque de 2006 consacré à Telemann, interprète un programme de sonates en duo et trio du compositeur. Celui-ci, esprit encyclopédique - comme d’usage au XVIIIe siècle, trouva le temps de se passionner pour les plantes et de pratiquer aussi bien la flûte que le violon ou le clavecin. Fin connaisseur des possibilités de chacun de ces instruments, il composa ces partitions savoureuses où se déploient les plus heureuses combinaisons de timbres, et dont l’énergie rappelle la danse. Musicien à la curiosité insatiable, Telemann fut surtout un voyageur, inspiré des influences européennes, où les savoirs côtoient joyeusement les arts. Réputés à l’international et récompensés des plus hautes distinctions, les musiciens de l’Ensemble Amarillis, emmenés par la flûtiste Héloïse Gaillard, rivalisent de malice virtuose pour restituer la fraîcheur et l’esprit joueur du compositeur allemand disparu il y a tout juste 250 ans.
Roberte Mamou « Poétesse des Sons » C’est en ces termes que la revue musicale « Diapason » s’exprimait lors du « Diapason d’Or » qui lui fût décerné pour son enregistrement CD consacré à Mozart. La magie qui se dégage du clavier de Roberte Mamou, personnalité musicale aux nombreuses couleurs, est une merveilleuse alchimie qui s’explique tout autant par les saveurs et parfums de Tunisie où elle passa son enfance que par ses dix années comme Maître de Chant à l’Opéra Royal de La Monnaie à Bruxelles mais surtout par l’amour - passion qu’elle porte depuis toujours à la musique sous toutes ses formes. Roberte Mamou s’est produite en soliste avec les plus grands orchestres et ensembles. Citons l’Orchestre symphonique de Berlin, La Philharmonie de Dresde, L’Orchestre Royal de La Monnaie, Les Solistes de Moscou, Le Collegium Instrumental de Bruges, L’Orchestre National de Lille, etc... « L’intégrale de ses sonates de Mozart en cinq CD est digne de figurer dans la collection des mélomanes les plus exigeants » Diapason
Pop baroque et tragi-comédie musicale CLAIRE DITERZI cultive depuis plus de 20 ans une démarche éminemment transmusicale. L’an dernier, Le Monde la désignait d’ailleurs comme la « pionnière » parmi tous les musiciens qui s’emploient aujourd’hui à « casser le mur du son » et à frotter leur musique aux autres arts de la scène. Ce 8ème album est ainsi un nouvel objet sonore (et scénique) non identifié : les 12 chansons qui composent L’arbre en poche forment en effet la bande son du spectacle éponyme, qu’elle a écrit et mis en scène. Un spectacle dont le propos est avant tout un manifeste contre les ravages que l’homme inflige à son environnement. Entre concept album et tragi-comédie, CLAIRE DITERZI confie pour la première fois certaines de ses compositions à la voix d’un autre, le contre-ténor Serge Kakudji. POUR CEUX QUI AIMENT CAMILLE
Pop baroque et tragi-comédie musicale CLAIRE DITERZI cultive depuis plus de 20 ans une démarche éminemment transmusicale. L’an dernier, Le Monde la désignait d’ailleurs comme la « pionnière » parmi tous les musiciens qui s’emploient aujourd’hui à « casser le mur du son » et à frotter leur musique aux autres arts de la scène. Ce 8ème album est ainsi un nouvel objet sonore (et scénique) non identifié : les 12 chansons qui composent L’arbre en poche forment en effet la bande son du spectacle éponyme, qu’elle a écrit et mis en scène. Un spectacle dont le propos est avant tout un manifeste contre les ravages que l’homme inflige à son environnement. Entre concept album et tragi-comédie, CLAIRE DITERZI confie pour la première fois certaines de ses compositions à la voix d’un autre, le contre-ténor Serge Kakudji. POUR CEUX QUI AIMENT CAMILLE
Avec ce disque consacré à Bach, Fabrizio Chiovetta confirme les qualités déjà largement saluées dans Haydn et Schubert : grande délicatesse de toucher, variété des couleurs mais aussi rigueur toute classique du trait. Ce programme lui permet de faire valoir également une liberté dans le phrasé, un sens mélodique trop rares dans ce répertoire. Au rebours du Bach sévère et mathématicien que ces pages célèbres nous ont souvent fait entendre, voici un Bach plein d'esprit et d'humeurs, semblant presque parfois improviser au fil d'une inspiration que le cadre formel ne contraint pas, mais nourrit. Ce Bach à hauteur d'homme semble ici nous parler directement - et nous ne percevons que mieux la lumineuse profondeur de son génie.
Après le ‘’Choc’’ du Monde de la Musique remporté par son premier album solo, puis le ‘’Choc’’ de Jazz Magazine en 2016 pour son interprétation remarquée du Concerto d’Andy Emler ‘’Ciel de Sable’’ avec l’Orchestre Victor Hugo, Yvan Robilliard revient en solo : The Unspoken se traduit par le non-dit... Choisir des couleurs, des rythmes, des paysages sonores, les mélanger au gré de ses envies, les façonner pour raconter une histoire, son histoire. « Le piano solo est un challenge. C’est une mise à nue complète où je suis face à moi-même et à mes auditeurs. C’est une prise de risque en permanence, sans filet, où tout peut arriver. Laisser mon inconscient prendre place pour aller vers l’inconnu et le partager avec mon public. Raconter mon histoire, tout l’amour que j’éprouve pour la musique, une de mes raisons de vivre qui me pousse chaque jour à donner toujours davantage. Voilà pour moi le défi à relever à chaque concert. Partage, Émotion, Énergie, Lâcher prise, Transmission, Authenticité, tels sont mes maîtres mots. » Yvan Robilliard « Cette nouvelle production du pianiste Yvan Robilliard est une petite merveille. Merveille d’engagement, de passion, d’expression forte, voire brutale, d’une musique vécue avec une rare intensité. » Jazz Magazine / Jazzman
En 16 ans d'activité, le duo LES BOUCLES ETRANGES a fignolé son caractère identitaire au travers d'une discographie dense, volontairement constituée de maxis (plus de 80 !) des centaines de dates, et un album en 2002 PSI . La sortie de Portail 46, leur deuxième album en 16 ans signifie donc beaucoup : un événement dans le parcours du groupe et une contribution de poids pour les mélomanes de l'underground. Portail 46 a été conçu en deux temps : Six morceaux sont le fruit du travail de ces cinq dernières années sortis sur divers maxis. Le reste de l'album a été enregistré avec MC TABLOÏD, soit six morceaux d'anthologie où il oscille en roue libre entre le crooner freak, le soul brother affirmé et le prédicateur allumé. Sur des esquisses mélodiques progressives, il passe au gré de son délire par une dizaine de couleurs vocales différentes. LES BOUCLES ETRANGES restent irréductibles sur leur terrain. La grande classe, quand on sait mesurer le combat qu'il faut livrer au quotidien pour mener pareille barque à bon port. C'est ce qu'ils font avec cet album, et avec une fraîcheur intacte.
Neuf solos enregistrés dans l'intimité du salon d'un jazzman parisien, sur un piano de concert Steinway récemment restauré, par la crème des pianistes de jazz de la capitale (et quelques invités), réunis dans un élégant coffret de 9 CD aux couleurs de Paris. Avec Franck Amsallem, Pierre de Bethmann, Vincent Bourgeyx, Pierre Christophe, Laurent Coq, Laurent Courthaliac, Alain Jean-Marie, Fred Nardin et Manuel Rocheman.
Cet enregistrement est splendide. Diapason Ces deux chefs-d'oeuvre, très prisés tout au long du XVIIIe siècle, sont parmi les aboutissements de la synthèse musicale de la religion, des arts de la danse et du théâtre. Les effets spectaculaires côtoient les moments de pur recueillement. Autant dire que la mise en place et l'interprétation de la Chapelle Royale sont ici superlatives. Répertoire Les solistes appartiennent tous à la fine fleur actuelle du chant baroque et assurent la totale réussite de cette gravure. Une nouvelle réussite de Philippe Herreweghe participant à la redécouverte de l'oeuvre de Gilles, l'un des fleurons de la musique liturgique de la fin du Grand Siècle. Compact Ce titre est paru pour la première fois en 1990.
Les Concertos de Mozart par Jean Efflam Bavouzet et la Manchester Camerata : un modèle d’équilibre et de précision sans jamais oublier le lyrisme et les sentiments du romantisme naissant. La collaboration autour de la musique de Mozart entre Jean Efflam Bavouzet et Gabor Takacs-Naguy à la tête de la Manchester Camerata est un modèle d’équilibre et de précision. Pour ce second volume sur les concertos de Mozart est consacré aux deux Concertos N° 14 & 19 (K449 & K459), deux exemples parfaits d’une période très créatrice du compositeur dans laquelle le style opératique influence très sensiblement la musique instrumentale : lyrisme, sentiment, couleurs orchestrales nouvelles avec l’utilisation intenses des cuivres dans le Concerto N°19. Les Divertimenti qui accompagnent les Concertos sont d’une absolue légèreté.
Nommos est une oeuvre électronique basée sur une fiction présentée, lors d’une exposition sur l’art des Dogons (un peuple du Mali) à New York dans les années 70. Les Dogons sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures inspirées des croyances religieuses qu’ils ont reçues de visiteurs extraterrestres parmi lesquels figurent les Nommos, des esprits mi-homme mi-poisson, venus de Sirius. On l’aura compris, l’oeuvre présentée dans ce disque est hors norme. Composée en 1979 par le prolifique producteur américain Craig Leon (Ramones, Blondie, Joshua Bell, Luciano Pavarotti...), Nommos ne se veut pas anthropologique, mais une extrapolation musicale de ce qu’aurait pu être la musique que les Nommos ont amené de leur planète. Les synthétiseurs endiablés aux couleurs techno, punk, new age, risquent bien de décoiffer les voyageurs qui monteront à bord de cet ovni sonore.
Qui l’a déjà vu sur scène sait qu’Eric Schaefer est tellement plus qu’un batteur qui se contente d’accompagner ! Il creuse un sillon unique derrière ses fûts, prend des risques, apporte à la musique des couleurs inouïes. Compositeur de talent, qui s’affranchit des barrières stylistiques, un journaliste l’a un jour prénommé « l’étoile centrale de la scène jazz allemande ». Passionné par ses voyages au Japon, il s’y est établi trois mois afin d’y étudier la philosophie et la religion. Le Pays du Soleil Levant a été aussi pour le musicien une magnifique terre d’exploration et d’inspiration. C’est durant son séjour qu’il compose de nouveaux titres et décide de rentrer à Berlin afin d’enregistrer sans attendre un nouvel album. Il collabore avec de nombreux artistes japonais afin de créer un pont inattendu entre la musique traditionnelle de ce pays envoûtant et la musique occidentale. Une ode à la philosophie de vie japonaise magnifiée en musique !
Aaron Hemphill, ex-Liars, défie toute logique avec son premier album solo sous le nom de Nonpareils Aaron Hemphill présente son premier album solo intitulé Scented Pictures qu’il sortira sous le nom de Nonpareils le 6 avril 2018 via Mute/[PIAS]. Ce sont ses premières chansons depuis son départ de Liars en 2016. Les morceaux sur Scented Pictures, enregistrés à Berlin, sont directement inspirés de concepts en lien avec la mémoire ou plus précisément avec l’expérience sensorielle de la mémoire. Ils débordent de couleurs et d’idées luxuriantes bien que leurs structures cherchent à défier toute logique afin d’explorer des recoins psychédéliques étranges et sauvages. Ayant cherché de nouvelles sources d’inspirations après une longue période où la musique instrumentale était sa seule préoccupation, Scented Pictures voit l’écriture de Hemphill prendre une nouvelle forme, se transformant en quelque chose de plus aérien et abstrait; sans pour autant sacrifier les hooks. POUR CEUX QUI AIMENT Liars, Battles, Suuns
Aaron Hemphill, ex-Liars, défie toute logique avec son premier album solo sous le nom de Nonpareils Aaron Hemphill présente son premier album solo intitulé Scented Pictures qu’il sortira sous le nom de Nonpareils le 6 avril 2018 via Mute/[PIAS]. Ce sont ses premières chansons depuis son départ de Liars en 2016. Les morceaux sur Scented Pictures, enregistrés à Berlin, sont directement inspirés de concepts en lien avec la mémoire ou plus précisément avec l’expérience sensorielle de la mémoire. Ils débordent de couleurs et d’idées luxuriantes bien que leurs structures cherchent à défier toute logique afin d’explorer des recoins psychédéliques étranges et sauvages. Ayant cherché de nouvelles sources d’inspirations après une longue période où la musique instrumentale était sa seule préoccupation, Scented Pictures voit l’écriture de Hemphill prendre une nouvelle forme, se transformant en quelque chose de plus aérien et abstrait; sans pour autant sacrifier les hooks. POUR CEUX QUI AIMENT Liars, Battles, Suuns
Brandon Coleman publie un premier album aux accents jazz et funk. Ayant grandi à Los Angeles, Brandon Coleman a appris le piano et l'orgue grâce à son frère musicien lui aussi Marcus Coleman qui lui en a appris les premiers rudiments. Par la suite, il fait des études de musique à Colburn School of Performing arts (le Julliard de la côte ouest comme il dit) ou il a appris le jazz sous la tutelle du saxophoniste Lee Secard et trompettiste M. Clay Jenkins. Par la suite il a travaillé avec les plus grands noms parmi lesquels Alicia Keys, Roy Hargrove, Angie Stone etc... Il fait partie depuis quelques années du groupe de Kamasi Washington qu'il accompagne également sur scène. POUR CEUX QUI AIMENT Roy Hargrove, Thundercat, Kamasi Washington
Brandon Coleman publie un premier album aux accents jazz et funk. Ayant grandi à Los Angeles, Brandon Coleman a appris le piano et l'orgue grâce à son frère musicien lui aussi Marcus Coleman qui lui en a appris les premiers rudiments. Par la suite, il fait des études de musique à Colburn School of Performing arts (le Julliard de la côte ouest comme il dit) ou il a appris le jazz sous la tutelle du saxophoniste Lee Secard et trompettiste M. Clay Jenkins. Par la suite il a travaillé avec les plus grands noms parmi lesquels Alicia Keys, Roy Hargrove, Angie Stone etc... Il fait partie depuis quelques années du groupe de Kamasi Washington qu'il accompagne également sur scène. POUR CEUX QUI AIMENT Roy Hargrove, Thundercat, Kamasi Washington
« La Maroc est un superbe endroit pour les musiciens et je ne cesse de le dire autour de moi. A titre personnel, je dirais sans hésiter que c'est l'un de mes endroits préférés dans le monde pour jouer. » Ce nouvel album en concert, enregistré au Maroc en 2009 (Rabat), est une rencontre au sommet entre plusieurs cultures et religions. De son propre aveu, cette troisième visite d'Al Di Meola dans le Royaume est l'un des sommets du guitariste en concert, ce que laisse entendre les nombreuses ovations du public tout acquis à la cause de la légende vivante et de ses nombreux invités, dont plusieurs sont originaires du Maroc. Après 40 années de carrière marquées par une fusion entre jazz, rock puis influences latines ainsi que la réinvention des genres, la technique sophistiquée d'Al Di Meola et son ébouriffante virtuosité s'expriment ici à travers toutes sortes de guitares, l'artiste y mêle ainsi les sonorités douces et chaudes des cordes nylon à celles envoûtantes de l'accordéon ou de l'oud. Une symphonie éclatante de sons et de couleurs pour un concert vibrant et enthousiasmant. POUR TOUS CEUX QUI AIMENT : Return To Forever, Chick Corea, Stanley Clarke, John McLaughlin Paco Di Lucia, The Guitar Trio, Allan Holdworth, Pat Metheny Jean-Luc Ponty, Mahavishnu Orchestra, Larry Carlton, Billy Cobham Weather Report, Jaco Pastorius, John Scofield, Lee Ritenour, etc.
Après être sortis indemnes de la Guerre des étoiles, ne soyez pas passifs en attendant la fin du monde. Plongez-vous dans l'univers de Magma avec l'album à ne manquer sous aucun prétexte : Un voyage qui vous mènera du Japon à l'Oural en passant par les steppes d'Asie centrale, et qui au passage rend hommage à la musique soul de la Tamla Motown. Déjà interprété en concert et très attendu par les nombreux fans du groupe, le titre « Félicité Thosz », dominé par la voix céleste de Stella Vander, est un concentré de toutes les couleurs qui ont rendu cette formation culte inclassable !