Les membres de Zombie Zombie ne sont jamais à cours d idées. En recherche permanente de sons nouveaux et inattendus, ils puisent leur inspiration dans les arts complémentaires, du cinéma aux arts plastiques. Ils signent ici un tout nouvel album. Ce projet est le fruit d une rencontre avec Martin Palisse et Elsa Guérin du Cirque Bang Bang. Pour composer cet album, le groupe s est plongé dans leur univers visuel afin d établir une connexion entre jonglage, mouvement et musique qu elle soit électronique, instrumentale, enregistrée, live, préexistante ou créée spécifiquement. La composition procède par transformation de motifs et superposition de couches mélodiques et rythmiques, correspondant aux principes d écriture chorégraphique autour du jonglage et du déplacement (répétition, transformation, variation). Cette soif d expériences nouvelles et leur curiosité insatiable font la force de leur uvre et la rende unique. L originalité de ce projet prouve, une fois encore, que Zombie Zombie n a pas fini de nous surprendre et de nous hypnotiser !
What News est le 12ème album solo de l'artiste folk écossais Alasdair Roberts, et le 4ème à se concentrer uniquement sur l'interprétation de chansons traditionnelles. Pour cette première sortie dans cette veine depuis 2010, il s'est inspiré des chanteurs écossais Jeannie Robertson, Lizzie Higgins, Duncan Williamson, Elizabeth Stewart et Sheila Stewart. Pour pouvoir se concentrer sur le chant, il a demandé à David McGuinness de jouer les morceaux aux claviers. Ce dernier a été chercher des pianos vintages à l'Université de Glasgow : un grand pianoforte de 1844 et un fortepiano dans le style de Mozart. Il y a ajouté son propre Dulcitone de 1920. Une troisième dimension a été ajoutée au projet avec l'arrivée du sonologue Amble Skuse qui est venu structurer le son à travers des traitements électroniques. Le trio nous offre un véritable délice musical en donnant de nouvelles couleurs aux chansons traditionnelles.
What News est le 12ème album solo de l'artiste folk écossais Alasdair Roberts, et le 4ème à se concentrer uniquement sur l'interprétation de chansons traditionnelles. Pour cette première sortie dans cette veine depuis 2010, il s'est inspiré des chanteurs écossais Jeannie Robertson, Lizzie Higgins, Duncan Williamson, Elizabeth Stewart et Sheila Stewart. Pour pouvoir se concentrer sur le chant, il a demandé à David McGuinness de jouer les morceaux aux claviers. Ce dernier a été chercher des pianos vintages à l'Université de Glasgow : un grand pianoforte de 1844 et un fortepiano dans le style de Mozart. Il y a ajouté son propre Dulcitone de 1920. Une troisième dimension a été ajoutée au projet avec l'arrivée du sonologue Amble Skuse qui est venu structurer le son à travers des traitements électroniques. Le trio nous offre un véritable délice musical en donnant de nouvelles couleurs aux chansons traditionnelles.
UNE RENCONTRE ÉTONNANTE ENTRE LE BATTEUR DE CAN ET LE FILS DE KEVIN COYNE. 'The Obscure Department' est le second album du guitariste/songwriter Robert Coyne. Pour ce second disque il s'est adjoint les services du percussionniste légendaire de Can, Jaki Liebezeit. Ce qui devait n'être qu'un featuring s'est transformé en véritable collaboration entre les deux musiciens. Le jeu de Liebezeit a ouvert toute une palette de rythmes mais aussi de couleurs musicales qui ont habillé parfaitement les chansons sobres et fines de Robert Coyne. Robert Coyne, fils du musicien anglais emblématique Kevin Coyne, et Jaki Liebezeit interagissent tout au long des douze nouvelles chansons de Robert et le plaisir du jeu transpire de ces enregistrements et une suite ne saurait tarder.
UNE RENCONTRE ÉTONNANTE ENTRE LE BATTEUR DE CAN ET LE FILS DE KEVIN COYNE. 'The Obscure Department' est le second album du guitariste/songwriter Robert Coyne. Pour ce second disque il s'est adjoint les services du percussionniste légendaire de Can, Jaki Liebezeit. Ce qui devait n'être qu'un featuring s'est transformé en véritable collaboration entre les deux musiciens. Le jeu de Liebezeit a ouvert toute une palette de rythmes mais aussi de couleurs musicales qui ont habillé parfaitement les chansons sobres et fines de Robert Coyne. Robert Coyne, fils du musicien anglais emblématique Kevin Coyne, et Jaki Liebezeit interagissent tout au long des douze nouvelles chansons de Robert et le plaisir du jeu transpire de ces enregistrements et une suite ne saurait tarder.
Wisdom Teeth est le nouvel EP de la nord-irlandaise Naomi Hamilton, alias Jealous of the Birds. Première sortie complètement inédite depuis Parma Violets, son premier album sorti en 2016, Wisdom Teeth permet à Hamilton de continuer à créer son identité artistique, avec un projet allant de l'indie rock flamboyant à des compositions nocturnes plus calmes. A propos du single Marrow, Hamilton explique : C'est ma tentative d'exprimer ce que c'est que d'être un être humain qui se fraye un chemin à travers ses mondes intérieurs et extérieurs. Après avoir obtenu mon diplôme universitaire il y a un an, je suis devenu beaucoup plus déterminée à me lancer professionnellement dans la musique, les arts et les voyages. Pour moi, Marrow traduit ce sentiment de recherche de l'authenticité sous toutes ses formes. Wisdom Teeth sort à la suite d'une série de dates au Royaume-Uni, et avant qu'elle aille jouer au festival SXSW, où tout a commencé lorsque Canvasback Records a découvert l'incroyable talent de compositrice de Hamilton.
Wisdom Teeth est le nouvel EP de la nord-irlandaise Naomi Hamilton, alias Jealous of the Birds. Première sortie complètement inédite depuis Parma Violets, son premier album sorti en 2016, Wisdom Teeth permet à Hamilton de continuer à créer son identité artistique, avec un projet allant de l'indie rock flamboyant à des compositions nocturnes plus calmes. A propos du single Marrow, Hamilton explique : C'est ma tentative d'exprimer ce que c'est que d'être un être humain qui se fraye un chemin à travers ses mondes intérieurs et extérieurs. Après avoir obtenu mon diplôme universitaire il y a un an, je suis devenu beaucoup plus déterminée à me lancer professionnellement dans la musique, les arts et les voyages. Pour moi, Marrow traduit ce sentiment de recherche de l'authenticité sous toutes ses formes. Wisdom Teeth sort à la suite d'une série de dates au Royaume-Uni, et avant qu'elle aille jouer au festival SXSW, où tout a commencé lorsque Canvasback Records a découvert l'incroyable talent de compositrice de Hamilton.
Premier album de Cleo T, chanteuse française à l'univers fragile et étincelant, oscillant entre Emilie Simon et Coco Rosie. Cleo T. chante des mélodies aux accents symbolistes, écumées de l'Europe ancienne, d'un romantisme noir à la poésie éclatante. Elle ouvre les portes de son théâtre d'ombre et de lumière pour présenter ce premier album, Songs of Gold & Shadow, enregistré à Bristol avec John Parish, collaborateur légendaire de PJ Harvey. Cleo T. c'est Alice endormie dans la chambre des paons, Salomé dansant au coeur de la Nouvelle Vague, Lorelei haranguant les marins au cabaret de la Dernière chance. Cleo T. c'est une écriture corsetée de dentelle et plumes noires, empreinte d'un mysticisme lumineux et sans retour. De Spleen et d'Idéal. De Bruit et de Fureur. Songs Of Gold & Shadow, c'est un album de 11 titres, un nocturne en bleu et or à la folk incarnée et incandescente. Un cabaret des Temps Modernes, où se croisent lieders berlinois et poésie païenne, une invitation au voyage aux couleurs d'un siècle d'or à jamais disparu. Songs of Gold & Shadow, c'est un songwriting féminin et sauvage, des balades d'amour et de mort pour héroïne à bout de souffle. Sur les routes depuis 2010, Cleo T. traverse l'Europe, piano, harpe, violoncelle et autres malles à mystères en soute, de Berlin à Londres jusqu'au grand Sud italien. Lauréate du prix paris Jeune Talent, on l'a vu à Paris à L'Olympia pour Génération Réservoir et à Solidays. On la retrouvera cette année à l'affiche du prestigieux festival anglais The Great Escape, et en tournée dès le mois d'avril pour un printemps très européen. Le projet est soutenu par la Sacem et le bureau Export. Les yeux noirs, lèvres rouges et cheveux d'or, Cleo T entourée de ses redoutables musiciens font résonner un étrange chant des sirènes, une échappée dangereuse et à rebours, de l'autre côté du miroir.
à peine son dernier album solo Fountain Fire sorti, Bill MacKay est de retour à la séparation harmonique des atomes avec ses six cordes de guitare dans cette nouvelle collaboration avec la violoncelliste Katinka Kleijn, Stir. Bill est un collaborateur passionné, et au cours des sept dernières années, lui et Katinka ont profité des concerts pour élever leur alchimie à une densité organique surprenante, avec des couleurs frappantes inspirées de la musique avant-rock, folk, jazz classique et expérimentale. C'est à la fois un mariage improbable et parfait car les deux musiciens sont connus non seulement pour leur talent, mais aussi pour leur créativité, leur curiosité et leur éventail de genres. Ensemble, ils forment un duo fluide, intuitif, dialogique et prompt à l'improvisation. Stir est centré sur une série de compositions de MacKay, en partie inspirées du roman Le Loup des Steppes de Hermann Hesse. La répétition et l'expansion des thèmes emprunte au monde de la musique de chambre, tandis que les distorsions, le jeu libre et le tranchant d'une grande partie de l'oeuvre s'inspirent clairement des amis du duo dans la noise et de l'avant-garde. Si Jimi Hendrix, Henry Flynt, John Cage, PJ Harvey, Duke Ellington, Eric Satie ou Body/Head vous viennent à l'esprit à l'écoute du disque, vous n'avez pas tort ! Bill MacKay est un guitariste auteur-compositeur-interprète qui nourrit la scène expérimentale rock, avant et folk depuis plus d'une décennie. Il a grandi à Pittsburgh et vit à Chicago depuis 1998. Katinka Kleijn est violoncelliste et vétéran de l'Orchestre symphonique de Chicago (CSO) et de l'International Contemporary Ensemble. Elle est originaire des Pays-Bas et vit à Chicago depuis 1995. Stir est leur premier album complet ensemble et toute la musique y est arrangée par MacKay et Kleijn.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
COMPILATION RéALISéE PAR ROCé Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l'énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d'immigrés. J'ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l'urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des damné.e.s de la terre. Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d'identification, un oubli de l'histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu'elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. A la jonction des luttes de libération des pays d'origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l'Histoire des livres scolaires ne dit pas. Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d'être refermé, nous plongeant dans l'individualisme, le court terme, l'absence de projets de société. Rocé Le digipak deluxe inclut un livret 40 pages et le double vinyle un livret 36 pages avec photos couleurs et pochette originales, une note d'intention rédigée par le rappeur Rocé et un commentaire écrit par les historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, qui décrivent les contextes de l'époque et des pays dont proviennent les morceaux.
Fountain Fire est le deuxième album solo de Bill MacKay à sortir chez Drag City. Le voyage musical continu du guitariste installé à Chicago est une conversation intérieure qui suit un chemin sur une carte usée dessinée de sa propre main. Un chemin qui passe par des recoins familiers et des endroits inconnus, catalysant un style autant épris de musique traditionnelle qu'avant-gardiste et qui résulte en son album le plus ample et le plus puissant à ce jour. On peut l'entendre dès le morceau d'ouverture, alors que la lave et les lacs de Pre-California frémissent avant ébullition, Bill assemble un pont de guitares qui superpose faisceaux acoustiques grondants, structures électriques distordues et arches slidées. En sautant audacieusement depuis des points fixes, il réalise des découvertes synergiques en plein air. Le style de composition de MacKay est à son stade le plus évolué, suivant des trajectoires en forme de serpentins à l'intérieur de motifs, réalisant des aller-retours de tonalité avec un flair instinctif et un sen stoic de l'inévitable, forgeant une mosaïque sonore qui respire et grandit organiquement pour remplir l'espace du morceau. Cependant il y a bien plus qu'une prouesse technique et une maîtrise harmonique captivante. Les morceaux de Bill MacKay sont des miniatures cinématographiques impressionnistes inspirées autant par sa passion du septième art que de la littérature. Alors que pièces musicales changent de focus dans un mouvement hallucinatoire, Bill ajoute un nouvel élément dans la partie : une paire de chansons chantées, à la fois austères et chargées émotionnellement au point de donner la chair de poule. Au côté du flux instrumental aux couleurs en permanent changement de Fountain Fire, ces moments chantés brillent avec un éclat aveuglant, comme un mirage dans le désert. Le feu du titre de l'album marque une continuité dans la vie de Bill; sa généalogie, son histoire, son astrologie, l'effet brûlant de la diapositive surexposée du titre Arcadia. C'est aussi un sceau pour marquer le chaos qui nous entoure.
Fountain Fire est le deuxième album solo de Bill MacKay à sortir chez Drag City. Le voyage musical continu du guitariste installé à Chicago est une conversation intérieure qui suit un chemin sur une carte usée dessinée de sa propre main. Un chemin qui passe par des recoins familiers et des endroits inconnus, catalysant un style autant épris de musique traditionnelle qu'avant-gardiste et qui résulte en son album le plus ample et le plus puissant à ce jour. On peut l'entendre dès le morceau d'ouverture, alors que la lave et les lacs de Pre-California frémissent avant ébullition, Bill assemble un pont de guitares qui superpose faisceaux acoustiques grondants, structures électriques distordues et arches slidées. En sautant audacieusement depuis des points fixes, il réalise des découvertes synergiques en plein air. Le style de composition de MacKay est à son stade le plus évolué, suivant des trajectoires en forme de serpentins à l'intérieur de motifs, réalisant des aller-retours de tonalité avec un flair instinctif et un sen stoic de l'inévitable, forgeant une mosaïque sonore qui respire et grandit organiquement pour remplir l'espace du morceau. Cependant il y a bien plus qu'une prouesse technique et une maîtrise harmonique captivante. Les morceaux de Bill MacKay sont des miniatures cinématographiques impressionnistes inspirées autant par sa passion du septième art que de la littérature. Alors que pièces musicales changent de focus dans un mouvement hallucinatoire, Bill ajoute un nouvel élément dans la partie : une paire de chansons chantées, à la fois austères et chargées émotionnellement au point de donner la chair de poule. Au côté du flux instrumental aux couleurs en permanent changement de Fountain Fire, ces moments chantés brillent avec un éclat aveuglant, comme un mirage dans le désert. Le feu du titre de l'album marque une continuité dans la vie de Bill; sa généalogie, son histoire, son astrologie, l'effet brûlant de la diapositive surexposée du titre Arcadia. C'est aussi un sceau pour marquer le chaos qui nous entoure.
COMPILATION RéALISéE PAR ROCé Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l'énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d'immigrés. J'ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l'urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des damné.e.s de la terre. Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d'identification, un oubli de l'histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu'elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. A la jonction des luttes de libération des pays d'origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l'Histoire des livres scolaires ne dit pas. Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d'être refermé, nous plongeant dans l'individualisme, le court terme, l'absence de projets de société. Rocé Le digipak deluxe inclut un livret 40 pages et le double vinyle un livret 36 pages avec photos couleurs et pochette originales, une note d'intention rédigée par le rappeur Rocé et un commentaire écrit par les historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, qui décrivent les contextes de l'époque et des pays dont proviennent les morceaux.
KOKOKYINAKA est une expérience immersive et aussi intense qu'une promenade à midi sur un marché africain... OY (alias Joy Frempong), la chanteuse Suisso-Ghanéenne aux multiples talents fait certainement partie d'une espère rare : à la fois à l'aise dans un son excentré, et doté d'un penchant pour l'écriture de mélodies inoubliables et dont on peut difficilement se débarrasser. Trois ans après son premier album enjoué First Box Then Walk, OY est de retour avec une offrande : un nouveau LP intitulé de manière cryptique Kokokyinaka. Le résultat fait plier les genres, un ragoût généreusement assaisonné d'electronica aux accents africains, le tout accompagné d'une garniture d'histoires somptueuses et de proverbes colorés. Kokokyinaka est un disque conceptuel et mélodique conçu comme la bande son d'un road-trip à bord d'un poids lourd. La voix de Joyce mue tout du long, changeant de palettes de couleurs, de textures, de styles; un peu comme les histoires qui y sont racontées et qui relient entre eux des dialogues entendus au hasard, des proverbes et des contes populaires. La base de samples très dynamiques inclut un parachute, des feux d'artifice et une chaussure. Ces samples ont été en grande partie enregistrés lors de voyages au Mali, au Burkina Faso, au Ghana et lors d'un séjour en Afrique du Sud. L'écriture et la composition du disque à proprement parler ont eu lieu dans des studios à Berlin sous la houlette du batteur talentueux, producteur et co-auteur Lleluja-Ha. Kokokyinaka est une oeuvre mature qui exhibe la versatilité de Joy Frempong en tant que compositeur, chanteuse et conteuse, mais c'est avant tout un témoignage de son approche unique de l'electronica : fulgurant, complètement expérimental et pourtant submergé de mélodies attendrissantes.
KOKOKYINAKA est une expérience immersive et aussi intense qu'une promenade à midi sur un marché africain... OY (alias Joy Frempong), la chanteuse Suisso-Ghanéenne aux multiples talents fait certainement partie d'une espère rare : à la fois à l'aise dans un son excentré, et doté d'un penchant pour l'écriture de mélodies inoubliables et dont on peut difficilement se débarrasser. Trois ans après son premier album enjoué First Box Then Walk, OY est de retour avec une offrande : un nouveau LP intitulé de manière cryptique Kokokyinaka. Le résultat fait plier les genres, un ragoût généreusement assaisonné d'electronica aux accents africains, le tout accompagné d'une garniture d'histoires somptueuses et de proverbes colorés. Kokokyinaka est un disque conceptuel et mélodique conçu comme la bande son d'un road-trip à bord d'un poids lourd. La voix de Joyce mue tout du long, changeant de palettes de couleurs, de textures, de styles; un peu comme les histoires qui y sont racontées et qui relient entre eux des dialogues entendus au hasard, des proverbes et des contes populaires. La base de samples très dynamiques inclut un parachute, des feux d'artifice et une chaussure. Ces samples ont été en grande partie enregistrés lors de voyages au Mali, au Burkina Faso, au Ghana et lors d'un séjour en Afrique du Sud. L'écriture et la composition du disque à proprement parler ont eu lieu dans des studios à Berlin sous la houlette du batteur talentueux, producteur et co-auteur Lleluja-Ha. Kokokyinaka est une oeuvre mature qui exhibe la versatilité de Joy Frempong en tant que compositeur, chanteuse et conteuse, mais c'est avant tout un témoignage de son approche unique de l'electronica : fulgurant, complètement expérimental et pourtant submergé de mélodies attendrissantes.
Pour célébrer les 20 ans de la sortie de ce classique d’alternative metal, TVT Records sort pour la toute première fois une version vinyle (avec deux galettes de couleur jaune néon). Inclut les tites : ‘Black’, ‘Too Close To Hate’ et ‘Bitch’. Produit par Mark Mendoza et Jay Jay French (Twisted Sister). Un nouvel album de Sevendust est prévu pour 2018 sur Rise Records.
Après avoir quitté son poste de label manager d’Osgut Ton en 2012 et un 1er album solo salué (Folk, 2015) le résident du Panorama Bar du Berghain revient avec Work. Jetant les ponts entre la house et la pop alternative, Höppner démontre son goût pour le détail et sa capacité à créer des compositions d’une finesse et d’une technicité remarquables. Un album très personnel rempli d’émotions palpables qui dépasse les simples morceaux pour club en documentant l’intérêt de son auteur pour les hybrides sonores et les combinaisons de genres. Pour les fans de : Shed, Steffi, Marcel Fengler, etc.
Après Secret Devil (2015, Instant Records) qui l’a propulsé sur le radar de nombreux médias à l’international, l’américaine revient entourée de son groupe The Deltas pour explorer son héritage hispanique. A la fois personnel et provoquant, cet album est un joyau mélangeant surf psychédélique, cabaret punk, de soul et de rock latin pour créer un ensemble pop légèrement macabre et loufoque dominé par le timbre particulier et la puissance de la voix d’Hernandez. Pour les fans de : Tacocat, CSS, The Ting Tings
Après Secret Devil (2015, Instant Records) qui l’a propulsé sur le radar de nombreux médias à l’international, l’américaine revient entourée de son groupe The Deltas pour explorer son héritage hispanique. A la fois personnel et provoquant, cet album est un joyau mélangeant surf psychédélique, cabaret punk, de soul et de rock latin pour créer un ensemble pop légèrement macabre et loufoque dominé par le timbre particulier et la puissance de la voix d’Hernandez. Pour les fans de : Tacocat, CSS, The Ting Tings
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
Grand retour de Justus KÖNHCKE sur Kompakt. Entre House, Techno et ballades acides. Justus Könhcke & The Wonderful Frequency Band est le premier album de Justus KÖNHCKE depuis 5 ans. 2013 est une année faste pour Komapkt qui fête ses 20 ans et voit le retour du producteur house sur 10 titres entre house, house et ballade acid.Justus KÖNHCKE retrouve Eric D. Clark, son compagnon au sein de Whirlpool Productions pour un titre disco sensuel. Justus KÖNHCKE collabore aussi avec Andi Toma de Mouse On Mars pour un titre plus pop qui montre le talent du producteur pour embrasser les différents genres. La version vinyle inclut le CD.
Grand retour de Justus KÖNHCKE sur Kompakt. Entre House, Techno et ballades acides. Justus Könhcke & The Wonderful Frequency Band est le premier album de Justus KÖNHCKE depuis 5 ans. 2013 est une année faste pour Komapkt qui fête ses 20 ans et voit le retour du producteur house sur 10 titres entre house, house et ballade acid.Justus KÖNHCKE retrouve Eric D. Clark, son compagnon au sein de Whirlpool Productions pour un titre disco sensuel. Justus KÖNHCKE collabore aussi avec Andi Toma de Mouse On Mars pour un titre plus pop qui montre le talent du producteur pour embrasser les différents genres. La version vinyle inclut le CD.
Le groupe de doom/death finlandais sort son premier album pour Relapse. Combinant les riffs groovy à la High On Fire ou Cathedral avec une pointe de death metal old-school à la Autopsy ou Dismember, Effigies Of Evil est la preuve de la fascination de Hooded Menace pour le death metal classique des années 90, le doom des années 70 et les films d'horreurs cultes. Pour les fans de : High On Fire, Asphyx, Autopsy, Incantation, Winter...
Le groupe de doom/death finlandais sort son premier album pour Relapse. Combinant les riffs groovy à la High On Fire ou Cathedral avec une pointe de death metal old-school à la Autopsy ou Dismember, Effigies Of Evil est la preuve de la fascination de Hooded Menace pour le death metal classique des années 90, le doom des années 70 et les films d'horreurs cultes. Pour les fans de : High On Fire, Asphyx, Autopsy, Incantation, Winter...
15 ans après l’album Black Dialogue le duo The Perceptionists composé de Mr. Lif et Akrobtik revient avec Resolution, un album qui couvre les différents épisodes traversés entre temps et qui ont abouti à des changements de vie radicaux pour les 2 MCs. Pour les fans de : El-P, Akrobatik, Mr. Lif, Brother Ali, Dilated People, etc.
Originalement prévu pour le 13 septembre, l'album a du être repoussé au 15 novembre. The Apprenticeship of Mr. Smith : (The Birth of Ne-Yo) est programmé pour être une des surprises de cette fin d'année, un véritable cadeau pour tout les fans de Ne-Yo et de R'n'B ! Composé et produit par Deon Evans, producteurs de 2Pac (Changes, Ghetto Gospel...), ces pépites, même si elles ont été enregistrées avant que Ne-Yo ne signe un contrat major, sonnent comme du Ne-Yo d'aujourd'hui. L'album est composé de 11 titres soulfull R'n'B, dont 4 hits (Magic, Amazing You, Angel / Stranger et The End ) qui vont à coup sûr tourner sur l'ensemble des dance-floors et radios de la planète. The Apprenticeship of Mr. Smith : (The Birth of Ne-Yo) est la genèse de la star du R'n'B mais est la combinaison parfaite de l'ensemble des 3 albums de Ne-Yo cumulant plusieurs millions de ventes. Un must pour les fans en cette fin d'année et les années à venir !
Pour son premier disque pour Relapse (après un premier album pour Forcefield l'an dernier), WINDHAND pose la barre très haut. Non seulement « Soma » est un album de doom de très haute volée, certains diront d'ailleurs que c'est un classique à classer aux côtés de Reverend Bizarre, Sleep ou encore Electric Wizzard, mais c'est surtout un grand disque de rock épique aux riffs lourds et précis. On pense à la rencontre parfaite entre Nirvana et Black Sabbath, entre une musique puissante et lourde et un certain sens des mélodies évidentes et entêtantes. « Soma » postule déjà au titre d'album « heavy » de l'année. Pour les fans de Electric Wizard, Sleep, Black Mountain, Dead Meadow, Black Angels, Royal Thunder, Uncle Acid & The Deadbeats...
Frank BRETSCHNEIDER est un musicien et compositeur de Berlin qui oeuvre depuis 1996. Il a publié de nombreux albums pour Raster-Noton et son nouvel opus est construit sur une série d'improvisations enregistrées dans son studio en 2011 et 2012. On y retrouve son sens du rythme, sa production ultra précise et son goût pour les hautes-fréquences.
Nouvel album pour le quatuor doom de Portland ! Inspiré par la science-fiction dystopique et la difficile réalité actuelle Portals Into Futility contient 5 titres pour plus de 56 minutes d'un doom/sludge élégamment dépressif et particulièrement bien construit. Avec un son évoluant entre dynamique et et force, Usnea plonge dans un deathmetal dissonant, des structures vocales variées et des compositions cinématiques tout en maintenant une puissance monumentale, une brutalité, une violence et une touche mélodique que l’on pouvait déjà retrouver dans leurs oeuvres antérieures. Pour les fans de : YOB, Thou, Disembowelment, Graves At Sea, Ufomammut, Old Man Gloom, Inverloch, etc.
Depuis 2007 le trio allemand Wareika, composé de Florian Schirmacher (chant, claviers, percussions), Henrik Raabe (guitares, claviers, percussions) et Jakob Seidensticker (MPC, boites à rythmes, mix), partage sa passion pour une house jazzy, minimaliste et répétive mais néanmoins épique, véritable kaléidoscope de mélodies et de motifs polyrythmiques. Pensé comme un seul morceau, l'ambitieux Water, Sky, Sun, Wood est le 5ème album du groupe, le 1er pour le label japonais Mule Musiq. Un album mêlant les influences house, techno, jazz et musiques du monde pour un résultat profondément captivant.
Ewan Pearson est un adepte de la secte KOMPAKT depuis plus de 4 ans en participant chaque année au prestigieux plateau du SONAR organisé par le label. Aujourd'hui il sort son premier mix sur la série « WE ARE PROUD OF OUR CHOICES » pour laquelle les précédents mixes ont été réalisés par MICHAEL MAYER, DJ KOZE, TOBIAS THOMAS, et SUPERPITCHER.Ce mix exceptionnel est le troisième de EWAN PEARSON après celui réalisé pour K7 dans le cadre des séries « Piece Work » et après la floppée de remixes réalisés pour DEPECH MODE, GOLDFRAPP, CHEMICAL BROTHERS, M83.. Un véritable bijou de mix, de gout, et de talent au service d'un des labels les plus aboutis de ces dernières années.
Nouvel album pour le quatuor doom de Portland ! Inspiré par la science-fiction dystopique et la difficile réalité actuelle Portals Into Futility contient 5 titres pour plus de 56 minutes d'un doom/sludge élégamment dépressif et particulièrement bien construit. Avec un son évoluant entre dynamique et et force, Usnea plonge dans un deathmetal dissonant, des structures vocales variées et des compositions cinématiques tout en maintenant une puissance monumentale, une brutalité, une violence et une touche mélodique que l’on pouvait déjà retrouver dans leurs oeuvres antérieures. Pour les fans de : YOB, Thou, Disembowelment, Graves At Sea, Ufomammut, Old Man Gloom, Inverloch, etc.
Premier album pour Relaspe du groupe néo-zélandais ULCERATE. ULCERATE joue un death-metal atmosphérique et sombre mais également puissant et rapide. Un peu comme un mélange de Neurosis et Morbid Angel. Pour les fans de Gorguts, Portal, Deathspell Omega, Spawn of Possession, Nile, Decrepit Birth, Psycroptic.
Premier album pour Relaspe du groupe néo-zélandais ULCERATE. ULCERATE joue un death-metal atmosphérique et sombre mais également puissant et rapide. Un peu comme un mélange de Neurosis et Morbid Angel. Pour les fans de Gorguts, Portal, Deathspell Omega, Spawn of Possession, Nile, Decrepit Birth, Psycroptic.
Originaire de Denver, PRIMITIVE MAN sort son premier album de doom apocalyptique. En 7 titres aux riffs lent et lourd, PRIMITIVE MAN produit une musique des plus sombres où feedbacks, voix effrayantes et guitares puissantes ne font rien pour détendre l'atmosphère. Pour les fans de Grief, Buzzoven, Melvins, Nails, Inter Arma, Dragged Into Sunlight...
Originaire de Denver, PRIMITIVE MAN sort son premier album de doom apocalyptique. En 7 titres aux riffs lent et lourd, PRIMITIVE MAN produit une musique des plus sombres où feedbacks, voix effrayantes et guitares puissantes ne font rien pour détendre l'atmosphère. Pour les fans de Grief, Buzzoven, Melvins, Nails, Inter Arma, Dragged Into Sunlight...
En tant que DJ, Fonkynson partage régulièrement l’affiche avec des artistes de renommée comme The Magician ou Birdy Nam Nam. Pour son premier album complet, Fonkynson cherche l'inspiration dans la future house pour nous offrir une collection pointue de morceaux destinés aux dancefloors. Les singles qui précèdent cet album ont déjà accumulé plus de 300 000 écoutes sur des plates-formes numériques et ont permis à Fonkynson de se faire une place au sommet des charts de Hype Machine. « Navigant entre la house, le disco et évidemment le funk, le producteur français basé à Montréal, propose une multitude de sons joyeux dont la bonne humeur et les groupes de potes semblent être les maîtres mots. Parfait combo pour l’été. » TSUGI
Sorti à l'origine en 1978, Un Homme dans l'Univers a été composé par Janko Nilovic. Cet album a pour intention de décrire musicalement les événements du monde, un regard sur les actualités par le sommaire. C'est l'album le plus cinématographique jamais enregistré par le maestro et il sera repressé par Broc Recordz en 2019 pour la première fois à seulement 500 copies !
L'écossais Alasdair Roberts est de retour avec sa folk étincelante pour un neuvième album solo. Si jusqu'en 2007 il reprenait et rénovait le répertoire traditionnel écossais, il a finalement abandonné le pur folklore musical celte pour explorer l'art de la composition. Avec Pangs il continue cette démarche créatrice et innovante et s'éloigne de l'austérité acoustique de son précédent album sorti en 2015. Il fait ici la part belle à la guitare électrique et s'entoure d'un groupe. Pangs reflète la modernité de son compositeur et sa volonté de s'éloigner de la folk classique pour se diriger vers des morceaux plus expérimentaux. Le trio composé de Roberts, Alex Nielson et Stevie Jones a également accueilli des invités tels que Debbie Armour, Tom Crossley, Rafe Fitzpatrick ou encore Jessica Kerr. Un album d'une puissance et d'une beauté uniques mêlant les racines de la folk à une approche brillamment contemporaine. Pour les fans de : Bonnie Prince Billy, Meg Baird, King Creosote, Ryley Walker, etc.
L'écossais Alasdair Roberts est de retour avec sa folk étincelante pour un neuvième album solo. Si jusqu'en 2007 il reprenait et rénovait le répertoire traditionnel écossais, il a finalement abandonné le pur folklore musical celte pour explorer l'art de la composition. Avec Pangs il continue cette démarche créatrice et innovante et s'éloigne de l'austérité acoustique de son précédent album sorti en 2015. Il fait ici la part belle à la guitare électrique et s'entoure d'un groupe. Pangs reflète la modernité de son compositeur et sa volonté de s'éloigner de la folk classique pour se diriger vers des morceaux plus expérimentaux. Le trio composé de Roberts, Alex Nielson et Stevie Jones a également accueilli des invités tels que Debbie Armour, Tom Crossley, Rafe Fitzpatrick ou encore Jessica Kerr. Un album d'une puissance et d'une beauté uniques mêlant les racines de la folk à une approche brillamment contemporaine. Pour les fans de : Bonnie Prince Billy, Meg Baird, King Creosote, Ryley Walker, etc.
Deux des meilleurs groupes heavy de Virginie partagent un split album aux relents de heavy doom pour un voyage acide en enfer. Windhand délivre deux titres de doom apocalyptique alors que Satan's Satyrs opte pour 3 titres de metal punk satanique.
Pour ce nouvel album Low Cut a pris l'option de partir seul au front. Compositions 100% sampling, les machines installées dans les sillons des disques comme des derricks dans un champ de pétrole, Low Cut a su tirer des vinyles sélectionnés les secondes les plus précieuses. Origine, artiste, année, label, le secret restera de mise. Tout juste Low Cut consent-il à dévoiler le rock progressif italien sur la liste des composants. Des boucles de sitar, de piano, de synthétiseurs. Des boucles expressives, nostalgiques ou énigmatiques pour des voyages où la pesanteur est abolie. Où les claviers futuristes permettent un décollage astral quand les guitares ramènent errances étendues désertiques et ocres, avec pour seuls compagnons un soleil agressif et des coyotes attendant leur tour. Des boucles filtrées, travaillées, déstructurées, pour des expériences qui mêlent l'encens et le double zéro, pour des virées dans des bande-son en 16mm où la nature apaisante laisse place à l'oppression urbaine en quelques claquements de caisse. BPM ralentis, breakbeats accentués et groove actionné par les cordes ronronnantes d'une vraie basse, Stoned Ride décline climats et ambiances avec une continuité et une progression logique. Celle d'un trip hip hop instrumental avec Low Cut en seul machiniste.
En un peu moins de 4 ans, les fervents porteurs de la flamme d'un death metal old-school Gruesome (avec des membres passés et présents de Exhumed, Possessed, Malevolent Creation) se sont fait la réputation d'être un des tous meilleurs groupes de la scène. Pour leur second album, après la sortie d'une paire de EP, Gruesome reprend la formule de Spiritual Healing de Death à savoir incorporer un son plus cérébral, des parties mélodiques élaborées, des éléments de thrash et des textes socialement engagés. Enregistré avec le producteur Jarrett Pritchard (Exhumed, 1349, Goatwhore) au New Constellation Studios à Orlando, Twisted Prayers voit faire ce que Gruesome sait faire de mieux en 8 titres pour 40 minutes. La pochette est encore signée du légendaire Ed Repka (Death, Atheist, Massacre). On notera la présence de la guitare de James Murphy (Death, Obituary, Testament) pour quelques solo bien sentis. Pour les fans de Death, Obituary, Autopsy, Morbid Angel, Cannibal Corpse, Possessed.
Suite à un déménagement à Austin, il n’a pas fallu longtemps pour que Whitney Rose tombe amoureuse du Texas. South Texas Suite est en faite une étude méticuleuse du son et de l’espace mais aussi de circonstances inattendues pour celle qui a tourné avec Sam Outlaw. Impressionnée par l’atmosphère accueillante et chaleureuse d’Austin et de sa communauté musicale, il ne lui fallut que 2 jours pour enregistrer South Texas Suite au côté d’une longue liste de musiciens chevronnés comprenant, entre autres, le guitariste Redd Volkaert (ancien membre du groupe Merle Haggard et vainqueur d’un Grammy Awards), le claviériste Earl Poole Ball, qui a passé deux décennies au côté de Johnny Cash, le bassiste Kevin Smith et le batteur de The Mavericks Tow Lewis. Whitney Rose délivre ainsi une véritable lettre d’amour au ‘Lone Star State’ dans cet EP profondément romantique, un brin nostalgique et à la dimension intimement personnelle. Pour les fans de : The Mavericks, Dale Watson, Sam Outlaw, Nikki Lane, etc.
THE STRANGER est un projet de James Leyland Kirby plus connu sous le pseudonyme de The Caretaker. Watching Dead Empires In Decay est son premier album depuis 2008. C'est également son premier disque pour Modern Love. C'est un mix de rythmes claustrophobes et de paysages sonores à la David Lynch. Pour les fans de Eraserhead, Wolf Eyes, Cut Hands, Boards Of Canada...
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
Deux des meilleurs groupes heavy de Virginie partagent un split album aux relents de heavy doom pour un voyage acide en enfer. Windhand délivre deux titres de doom apocalyptique alors que Satan's Satyrs opte pour 3 titres de metal punk satanique.
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
PELICAN rejoint l'écurie Southern Lord pour un sublime quatrième album What We All Come To Need, plus lourd que son prédécesseur, comme si PELICAN avaient décidé de reprendre les bases de leurs débuts pour les pousser plus loin dans la noirceur rock. Avec la participation exceptionnelle de GREG ANDERSON (SUNN0)))), AARON TURNER (ISIS), ALLEN EPLEY (SHINER, LIFE AND TIMES), et BEN VERELLEN (HELMS ALEE), et au final certainement le disque le plus inspiré du groupe à ce jour.
Sur son second album pour Black Jazz le sous-estimé saxophoniste Rudolph Johnson montre une rare confiance dans une approche directe et émotionnelle du Jazz : on retrouve des touches Coltraniennes mais aussi un son plus hard bop. A l'opposé de ses contemporains il rejette des influences extérieures pour se concentrer sur un Jazz plus pur. Personnel : Bass - Kent L Brinkley, Drums - Douglass J. Sides, Piano - Kirk Lightsy, Saxophone (Tenor) - Rudolph Johnson.
Auteur du méga-hit ‘Dancing In The Moonlight’ qui figure de façon récurrente dans les 10 meilleurs titres feel-good le quatuor britannique Toploader revient avec un 4e album. Fêtant cette année ses 20 ans d’existence pouvant s’appuyer sur plus de 2 millions d’albums vendus et une série de single parvenus aux sommets des charts, le groupe continue d’user de son savoir pour délivrer 10 nouveaux titres pop entêtants et bourrés d’énergie. Pour les fans de : Robbie Williams, Starsailor, Orson, etc.
Steve Moore, un des deux membres de Zombi, revient avec une nouvelle bande originale d'un film d'horreur. Pour la B.O. de The Mind's Eyes démontre son talent à construire des ambiances mais aussi des thèmes musicaux forts. Sur plus de 85 minutes Steve Moore oscille entre tension et horreur avec bonheur. Pour les fans de Zombi, Goblin, S U R V I V E, Trans Am, John Carpenter, Mogwai, Tangerine Dream, Explosions In The Sky.
Horace Andy aussi surnommé SLEEPY et originaire de Kingston JAMAIQUE a débuté sa carrière à la fin des années 60 pour 2 célèbres producteurs que son PHIL PRATT et COXSONE DODD le patron de STUDIO ONE. Il enregistra des tracks devenus de véritables classiques du genre tels que « SKYLARKING », « Money » ou encore « Serious Thing ». Au milieu des années 70 il sort le légendaire album « In The Light » ensuite réédité sur le label BLOOD & FIRE. Début des années 80 il sort « Dance Hall Style » véritable pièce maitresse avant de rejoindre MASSIVE ATTACK pour les albums « BLUE LINES » et « PROTECTION » qui le propulsent au rang de star mondiale aussi bien dans le monde du reggae que celui de la musique électronique. Aujourd'hui HORACE ANDY revient avec un album de 14 titres profondément ROOTS enregistré pour MINOR7FLAT5, le label d'ANDREAS « BROTHERMAN » CHRISTOPHERSEN déjà connu pour ses productions pour TURBULENCE, LUCIANO, ANTHONY B, SIZZLA, CAPLETON, BEENIE MAN, BOUNTY KILLER, JUNIOR KELLY... On y retrouve un line up extraordinaire avec LEROY « HOUSE MOUTH » WALLACE à la batterie, DEAN FRAZER au sax, BONGO HERMAN et SKY JUICE aux percussions... Toutes les voix ont été enregistrées au studio de DUKE REIDS, et les riddims à TUFF GONG, MIXING LAB et BIG YARD