La vallée dans laquelle a échoué Tutu va-t-elle connaître l'hiver éternel ? Que peut faire la fillette, aidée par ces drôles de lapins idiots, le mystérieux cerf-voleur et le chat de sa pension, pour empêcher cela ? Arrivera-t-elle à s'enfuir ? Mais surtout, parviendra-t-elle à retrouver son monde ? Le dénouement approche. et il sera très surprenant !
L'action se déroule quelque part avant (ou après, c'est selon) J.-C., à la période dite de l'apeupréhistoire. Selon les auteurs, cette période aurait été peuplée de drôles de créatures dont Nabuchodinosaure (Nab pour les intimes). Pas tout à fait dinosaure ni vraiment homme, Nab est toutefois doué de parole et, surtout, d'un solide sens de l'humour qui lui permet de supporter les désagréments de l'apeupréhistoire...
De gag en gag, les jours se suivent et ne se ressemblent pas pour autant chez Odilon et Suzy Smala. Les enfants grandissent en âge et pas forcément en sagesse... Ronald ne communique plus guère que par SMS ou par e-mail. Arthur est le superhéros des zéros. Le coeur de Magali n'arrête pas de balancer, et voilà maintenant qu'elle ambitionne d'être la « nouvelle star » ! La famille surmontera-t-elle le trac de son premier « Live » à la télé ?
Années 50. Yann Calec et Rosanna sont installés à Rouen. Pour Yann, il est devenu difficile de dénicher le commandement d'un tramp. À force d'obstination, il trouvera finalement un poste en Indochine alors que cette région est en plein conflit. Ce nouvel épisode de Tramp, thriller maritime passionnant, débute le troisième cycle asiatique qui comptera 2 albums.
Il s'agit du troisième volume de Long John Silver - Le Labyrinthe d'Émeraude - dans sa version luxe qui permet d'apprécier le travail d'orfèvres des auteurs grâce au grand format.Une façon d'apprécier chaque détail pour une série qui rencontre un immense succès et qui est dorénavant éditée aux États Unis.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraienttous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
L'action se déroule quelque part avant (ou après, c'est selon) J.-C., à la période dite de l'apeupréhistoire. Selon les auteurs, cette période aurait été peuplée de drôles de créatures dont Nabuchodinosaure (Nab pour les intimes). Pas tout à fait dinosaure ni vraiment homme, Nab est toutefois doué de parole et, surtout, d'un solide sens de l'humour qui lui permet de supporter les désagréments de l'apeupréhistoire.
Alix Yin Fu, jeune membre des « Tigresses Blanches », triade secrète qui s'allie aux services secrets communistes pour aider la Nouvelle Chine, fait ses débuts d'agent secret. Cette édition intégrale nous raconte avec l'humour et le charme qui font la signature de Yann et Conrad, la 1ère mission de la jeune Alix.
À l'occasion d'une sortie de classe plan-plan, Pol et son copain Sergueï détournent la destination du bus en trafiquant le GPS. Direction : l'Enfer ! La petite blague prend des odeurs de soufre quand les deux enfants, leur maîtresse et toute la classe se retrouvent VRAIMENT en enfer. Voici une sortie scolaire bourrée d'humour et de rebondissements pour Pol, le hérisson polisson, susceptible, hyperactif et colérique.
Parti à la recherche de son père disparu, Paul arrive à destination des champs d'algues sur lesquels pousse l'un des trésors de la planète Altaïr-3 : les perles. Il réussit à se faire embaucher sur place, dans l'espoir d'avoir un signe de vie de son père mais le Stepanerk, créature extra-terrestre intelligente et puissante, n'est plus là pour veiller sur lui... Second titre de cette prometteuse série de science-fiction signée Leo et Icar.
Derrière ce qualificatif abstrait se cache un tout nouveau prototype de robo sapiens, un androïde capable de penser, d'apprendre, de ressentir, mais aussi de souffrir.Car ian est aussi une personne, avec des questionnements, et des émotions encore incertaines face aux situations qui le dépassent. il va pourtant devoir faire ses preuves, et vite, pour convaincre de sa viabilité les scientifiques et les actionnaires de l'artificial intelligence research institute !.
Notre monde, dans un futur probable. Yann a été laissé pour mort par ses camarades, et S.A.M., le seul robot qui n'ait jamais cherché à leur faire de mal, a été abandonné sur la scène du drame, inutilisable. Des semaines plus tard, l'hiver est arrivé. La situation des jeunes gens et des enfants est dramatique. Malgré les dangers, Ella et ses amis continuent de sortir, à la recherche de nourriture, de médicaments ou de matériel. Un jour, ils tendent un piège aux robots qui les traquent.
Quand Alexander Martin, un jeune agent de l'Indian Political Service, vient prendre son poste aux Indes, il pense qu'il va garder le contrôle de la situation et profiter des plaisirs offerts aux exilés.Mais lorsqu'il est confronté aux mystères des coutumes indigènes, aux réalités de la cohabitation entre Indiens et Britanniques, il perd pied. Il est obligé de revoir ses conceptions simplistes pour résoudre les crimes sanglants qui bouleversent la colonie.
1949. Kathy Austin est envoyée par le MI6 pour comprendre ce qui se passe en pleine forêt amazonienne, où aurait été aperçue une créature aux pouvoirs inquiétants. Des clichés, retrouvés sur le cadavre d'un photographe et transmis au consul anglais de Manaus, révèlent en effet la silhouette d'un être immense, au physique presque inhumain. S'agit-il, une nouvelle fois, d'une manifestation extraterrestre ? La suite de cette série captivante signée Leo, Rodolphe et Marchal.
Accablé par le meurtre de son fils adoptif, Wayne Shelton est plus que jamais résolu à se venger de l'ex-GI Hooker qui l'a laissé pour mort au Vietnam. L'enquête qui lui est confiée sur le vol d'une cargaison de prototypes va l'aider à remonter jusqu'au repaire de son ennemi désormais redoutable et insaisissable pirate en Mer de Chine... Une série d'aventure musclée créée par l'auteur de XIII et brillamment reprise par Thierry Cailleteau, le scénariste d'Aquablue.
1949, au Brésil. Alors qu'il longe un bras de l'Amazone en pirogue, un photographe arrive dans un dispensaire anglais tenu par un révérend. Avant de mourir, il lui confie d'étranges photos. Le révérend les apporte au consulat anglais, à Manaus, la capitale de l'Amazonie : sur l'un des clichés, on distingue une créature qui semble n'avoir rien d'humain... Il n'en faut pas plus pour alerter le MI6 et son agent spécial miss Austin !
Alors que Sylvain et Sylvette souhaitent mener une vie calme entourée de leurs amis à poil et à plumes, les 4 compères, toujours aussi affamés, cherchent à s'emparer de leurs garde manger. Mais c'est sans compter sur les milles animaux de la forêt qui multiplient pièges et inventions pour repousser les nuisibles loin des deux enfants.
L'action se déroule quelque part avant (ou après, c'est selon) J.-C., à la période dite de l'apeupréhistoire. Selon les auteurs, cette période aurait été peuplée de drôles de créatures dont Nabuchodinosaure (Nab pour les intimes). Pas tout à fait dinosaure ni vraiment homme, Nab est toutefois doué de parole et, surtout, d'un solide sens de l'humour qui lui permet de supporter les désagréments de l'apeupréhistoire
Apparu pour la première fois en 1963 dans les pages de Pilote, Blueberry, série créée par Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, est aujourd'hui la référence absolue en matière de western. Retrouvez les aventures de Mike Steve Donovan, héros époustouflant qui, à l'instar de son sosie, Bebel, devient l'icône d'une génération rebelle. Une superbe intégrale. et un tirage limité !
L'action se déroule quelque part avant (ou après, c'est selon) J.-C., à la période dite de l'apeupréhistoire. Selon les auteurs, cette période aurait été peuplée de drôles de créatures dont Nabuchodinosaure (Nab pour les intimes). Pas tout à fait dinosaure ni vraiment homme, Nab est toutefois doué de parole et, surtout, d'un solide sens de l'humour qui lui permet de supporter les désagréments de l'apeupréhistoire.
Été 1864. La guerre de Sécession déchire les États-Unis. Un certain Allan Pinkerton pense avoir trouvé une solution définitive pour arrêter les conflits : priver les armées sudistes de leurs chefs les plus valeureux. Les complots se multiplient... Et le jeune lieutenant Blueberry pourrait bien y êtreentraîné malgré lui.Intégrale regroupant 4 albums : T10 à 13.
L'action se déroule quelque part avant (ou après, c'est selon) J.-C., à la période dite de l'apeupréhistoire. Selon les auteurs, cette période aurait été peuplée de drôles de créatures dont Nabuchodinosaure (Nab pour les intimes). Pas tout à fait dinosaure ni vraiment homme, Nab est toutefois doué de parole et, surtout, d'un solide sens de l'humour qui lui permet de supporter les désagréments de l'apeupréhistoire.
Un ange déchu cherchant à réintégrer le paradis embauche trois jeunes dotés de pouvoirs paranormaux pour délivrer une famille de la malédiction des Éphémères qui la frappe. Après Garance, capable d'entrer dans les souvenirs, Dominique, tantôt fille et tantôt garçon, et Hugo, apte à percer les pensées de ses partenaires, sont à leur tour mis à contribution...
Le principe de Reporter est simple : nous suivons un jeune journaliste français qui, envoyé aux quatre coins du monde, vit en direct des événements qui ont marqué l'histoire contemporaine. Dans ce premier tome, il est envoyé aux États-Unis en 1965 pour faire un reportage sur les mouvements des droits civiques des Afro-Américains. Il sera amené à suivre les marches de Selma et assistera à l'assassinat de Malcom X.
Satire féroce de la vie en entreprise, Dans Mon Open Space fait chaque semaine le bonheur des lecteurs de Challenges. En évitant les clichés et en grattant là où ça fait mal, James a su, dans des saynètes d'une demi-page, trouver le ton juste pour brosser un tableau cruel et jouissif des rapports humains dans l'entreprise.
Norman K. Barron dirige une petite équipe de MEDIACOPS des policiers tout en muscles, toujours dans les coups les plus spectaculaires et bardés de caméras permettant à des millions de téléspectateurs désoeuvrés de les suivre en direct 24 heures sur 24 dans leurs dangereuses investigations. Sa nouvelle équipière, Oshii Feal, sera-t-elle en mesure de l'aider à neutraliser le Triangle rouge, l'un des plus cruels serial killers de l'histoire ?Un nouveau massacre vient d'être perpétré par un monstre que les médias appellent le Triangle rouge. Comme d'habitude, les victimes ont été massacrées avec une sauvagerie inouïe et le mystérieux tueur semble doté d'une force colossale. On pense même qu'il est truffé de nanomachines militaires développant considérablement les capacités physiques.A la grande satisfaction de la chaîne de télé qui l'emploie, c'est l'enquêteur vedette Norman K. Barron qui va se lancer en direct à la poursuite de ce redoutable criminel. L'audimat promet de grimper d'autant plus haut que Barron a une revanche personnelle à prendre sur cet ignoble tueur : celui-ci a en effet exterminé l'équipier que la star des policiers considérait comme un frère.La jeune Oshii Feal, qui va désormais le seconder, sera-t-elle à la hauteur ? Neutraliser « le Triangle rouge » ne sera pas une mince affaire. Pour Oshii, cette promotion est l'occasion de montrer qu'elle est aussi capable d'être une star et elle est bien résolue à saisir sa chance. Mais voici que l'enquête s'avère plus complexe que prévu. Le tueur a l'air d'un super-héros issu d'un film d'horreur ou d'une BD fantastique et s'en prend à l'élite médiatique.Un psychopathe vengeur qui tuerait des pervers ? Cela ne colle pas avec les massacres précédents ! Oshii découvre en outre qu'être une célébrité du petit écran, livrée aux regards de millions de gens, n'est pas un statut enviable. D'autant que cette trame un peu déjà-vu n'est faite que pour faire vibrer le public.Car les initiés, eux, savent qu'elle est bidouillée en permanence par des experts en marketing... Pour que ce qui est réel soit toujours plus excitant !!
Bidule, le cochon d'Inde de Jules et son meilleur copain, va mal. Si mal que les parents l'ont mis à la poubelle un peu hâtivement. En fait, d'après le vétérinaire (un type sensible et délicat qui a disséqué pas mal de cochons d'Inde dans sa jeunesse), il lui reste deux jours à vivre avec son cancer. Désespéré, Jules refuse. Et avec ce qu'on appelle justement l'énergie du désespoir, il va secouer toute la planète (et même les autres), ainsi qu'un Prix Nobel et quelques chercheurs extraterrestres, pour tenter de sauver Bidule. D'abord il fugue en Angleterre avec Bidule, où Virginia Wilkins, génétitienne, Prix Nobel et maman de Janet, Janis et Jane, propose de lui fabriquer un clone immortel. Mais Jules ne veut pas d'un clone immortel, il veut son Bidule à lui, vivant. Ensuite, entraînant avec lui son papa devenu radioactif (voir épisode précédent) et beaucoup plus rigolo que d'habitude, il retrouve en Ecosse ses amis Tim et Salsifi, natifs d'Alpha du Centaure, avec qui il embarque pour Titan. De retour en Ecosse avec les médicaments capables de sauver Bidule et un contre-temps spatio-temporel qui lui a fait perdre une année terrestre, il retrouve une Janet montée en graine et un Bidule qui pète de santé. Beaucoup trop, en fait. Comprenant que Bidule est mort et que Madame Wilkins s'est adonnée à son péché mignon (le clonage), Jules écoute enfin les conseils avisés de Tim : Il faut savoir accepter la mort et passer à aut'chose, sinon ça te rapporte que des emmerdes. On ne saurait mieux dire. Et, du même coup, il accepte de grandir. On apprend des tas de choses sur la vie et la mort des cellules, sur le mythe d'Orphée (dont on avait un peu oublié la fin), sur le climat qui règne en été dans la région de Saturne (méthane liquide et pluie d'azote à 170°) et sur la façon dont on finit par accepter l'inacceptable pour revenir du côté de la vie. Le tout, traité avec légèreté, humour et sensibilité, s'adresse aux enfants comme aux adultes, tout le monde étant bien forcé un jour de regarder cette nuisance en face : la mort.
Le corps nu d'un homme est découvert un jour sur une plage des environs de Barcelone. L'homme est inidentifiable, les poissons ont dévoré son visage, l'unique indice est un tatouage sur la peau : « Né pour révolutionner l'enfer ». La phrase sonne comme un avertissement et Carvalho est chargé de découvrir l'identité de l'homme. Une enquête qui embarque le lecteur, des rues de Barcelone au quartier rouge d'Amsterdam, où le sens du message se dévoilera peu à peu.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger),de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Et revoilà Dieu, qui commence à en avoir par-dessus la tête de ces Terriens. En particulier de la clique de dirigeants de Vivaxis, une multinationale spécialisée en biotechnologies et en recherche génétique. Dieu n'hésite pas à mouiller sa chemise et venir sur terre leur dire leurs quatre vérités : qu'ils arrêtent de se prendre pour les maîtres du monde, nom de... Enfin, nom de lui ! Un album en forme de dénonciation des dérives et autresméfaits du capitalisme et du pouvoir des actionnaires.
Au lendemain d'une explosion qui a détruit un quartier de la ville, Gaël se réveille dans la chambre d'une jeune inconnue. Comment est-il arrivé chez elleoe Qu'a-t-il bien pu faire la veille pour que ses vêtements soient tout déchirés et ensanglantésoe Carole, son amour secret, hante de plus en plus ses pensées...Le regard interpellé d'un jeune auteur de BD sur les effets pervers et désastreux des inégalités et de l'insécurité dans la société qui l'entoure.
Bidule, le cochon d'Inde de Jules et son meilleur copain, va mal. Si mal que les parents l'ont mis à la poubelle un peu hâtivement. En fait, d'après le vétérinaire (un type sensible et délicat qui a disséqué pas mal de cochons d'Inde dans sa jeunesse), il lui reste deux jours à vivre avec son cancer. Désespéré, Jules refuse.Et avec ce qu'on appelle justement l'énergie du désespoir, il va secouer toute la planète (et même les autres), ainsi qu'un Prix Nobel et quelques chercheurs extraterrestres, pour tenter de sauver Bidule. D'abord il fugue en Angleterre avec Bidule, où Virginia Wilkins, génétitienne, Prix Nobel et maman de Janet, Janis et Jane, propose de lui fabriquer un clone immortel. Mais Jules ne veut pas d'un clone immortel,il veut son Bidule à lui, vivant.Ensuite, entraînant avec lui son papa devenu radioactif (voir épisode précédent) et beaucoup plus rigolo que d'habitude, il retrouve en Ecosse ses amis Tim et Salsifi, natifs d'Alpha du Centaure, avec qui il embarque pour Titan. De retour en Ecosse avec les médicaments capables de sauver Bidule - et un contre-temps spatio-temporel qui lui a fait perdre une année terrestre -, il retrouve une Janet montée en graine et un Bidule qui pète de santé.Beaucoup trop, en fait. Comprenant que Bidule est mort et que Madame Wilkins s'est adonnée à son péché mignon (le clonage), Jules écoute enfin les conseils avisés de Tim : Il faut savoir accepter la mort et passer à aut'chose, sinon ça te rapporte que des emmerdes. On ne saurait mieux dire. Et, du même coup, il accepte de grandir. On apprend des tas de choses sur la vie et la mort des cellules, sur le mythe d'Orphée (dont on avait un peu oublié la fin), sur le climat qui règne en été dans la région de Saturne (méthane liquide et pluie d'azote à - 170°) et sur la façon dont on finit par accepter l'inacceptable pour revenir du côté de la vie.Le tout, traité avec légèreté, humour et sensibilité, s'adresse aux enfants comme aux adultes, tout le monde étant bien forcé un jour de regarder cette nuisance en face - la mort.
Un miracle ! Il n'y a pas d'autre mot pour décrire ce recueil de gags inédits. Le créateur de la Rubrique-à-Brac s'est replongé dans ses archives et a déniché enquêtes, pages d'actualité, tranches de vie et autres sommets de l'humour gotlibien. « Un miracle », vous dis-je ! Cette version des Inédits est enrichie de nouvelles pages, tirées, notamment, tirées de Vive la Gaule, un ouvrage épuisé depuis plus de vingt ans.
L'expédition dirigée par Jedediah dans le but de coloniser la planète Antarès tourne au cauchemar. L'ultra-religieux, aveuglé par ses convictions, provoque de nouvelles tensions au sein de l'équipe. Cela permet à Kim de reprendre la main et, grâce aux liens qui l'unissent à l'extraterrestre Sven, de poursuivre son combat acharné pour retrouver sa fille. Ce sixième volume d'Antarès apporte une superbe conclusion à ce troisième cycle des Mondes d'Aldébaran.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Sifarfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Troisième volume de cette série qui met en scène Josef, personnage issu de la série Tramp, à la vie particulièrement mouvementée ! Cette fois, Josef, dont le rêve est de devenir pilote, réussit à intégrer l'Aéropostale qui en est à ses balbutiements. À l'instar de Saint-Exupéry ou Mermoz, Josef accomplit alors des missions périlleuses, et traversera la Méditerranée pour aller au Maghreb et vivre enfin une aventure à sa mesure.
Il fallait un caractère bien trempé pour succéder aux célébrissimes Frustrés dans les pages du Nouvel Obs. Ça tombe bien car du caractère, Agrippine, n'en manque pas. Coincée entre ses parents trop tolérants, ses crises existentielles, ses copines et son petit frère, Agrippine traverse l'âge ingrat d'une adolescente d'aujourd'hui avec un humour féroce et une mauvaise fois absolument réjouissante. Réédition en grand format.
Islande, XVIIe siècle. Ici, la puissance de la sorcellerie est sans limite. Parti de France pour découvrir l'origine de ses visions, Jacques l'a bien vite appris à ses dépens. Sur cette île lointaine et mystérieuse, les luttes de pouvoir, la mort et la réincarnation sont ordinaires. Aujourd'hui, le voyage touche à sa fin, alors que les dernières révélations sont sur le point d'éclater : qui du bien ou du mal l'emportera oe
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à uneécole qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Le chat glouton se remet au travail pour son apparition printanière ! L'album met en scène les cruelsdilemmes de notre chat préféré : doit-il se resservir à manger deux ou trois fois ? Est-il impératif d'interrompre sa sieste quand de la nourriture apparaît ? Faut-il se moquer de Jon, son maître, ou bien se moquer de lui ? Une bonne nuit de sommeil, est-ce douze ou vingt heures ? Allez Garfield, au travail !
Voici enfin réuni en un seul volume l'un des plus grands sommets de l'humour et de la dérision en Bande Dessinée, la rencontre de deux maîtres incontestés du 9e art. Au scénario, l'immense René Goscinny et aux pinceaux le non moins génial Marcel Gotlib pour plus de 200 pages de dossiers hilarants sur des sujets aussi importants que comment faire manger bébé ? ou le doublage.Ce monument comportera, en plus, une couverture originale. Absolument incontournable !
1950.Yann calec, jeune capitaine du belle hélène , se retrouve malgré lui au coeur d'une escroquerie à l'assurance montée par son armateur. ayant découvert la vérité, il est alors piégé par un agent de la compagnie, complice de l'armateur et est expédié dans un bagne à l'occasion d'une escale en colombie. plongé en enfer, il n'aura de cesse de s'évader pour sauver sa vie et son cargo.Un fantastique thriller maritime sur fond de baraterie.
Une nouvelle collection est née. Fraîche commeun gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Dans ce sixième tome des intégrales de Sylvain et Sylvette, retrouvez nos deux héros, leurs amis les animaux de la forêt, mais aussi les Compères pour de nouvelles aventures pleines de rire et de malice. Avec Les Bonnes Idées de Renard, bêtises et courses-poursuites sont au rendez-vous !
Sous le titre générique des 7 Vies de l'épervier, Juillard et Cothias ont animé l'une des plus fabuleuses épopées racontées en bande dessinée. Une fresque historique (nous sommes au XVIII e siècle) qui évoque l'histoire de personnages hors du commun. Plume aux vents constitue la suite directe de cette série avec, pour personnage central, Ariane de Troïl à la recherche de son père et de son passé.
Lorsque Fabien Vehlmann le scénariste de Seuls, associé à Gwen, imagina pour la collection « Poisson Pilote » les aventures de ces deux lézards appelés Samedi & Dimanche, il mit en place un univers à la fois poétique, drôle et décalé qui fonctionne merveilleusement. L'une des forces de cette série est d'aborder chaque histoire, qui se déroule sur une île imaginaire, avec second degré : une véritable réflexion sur le sens de la vie. Une merveille à lire et à relire !
Alors que le tome 8 de la série clôt le cycle pétrolier, retrouvez dans une superbe intégrale à prix réduit le premier cycle de Black Op, la formidable série d'espionnage de Desberg et Labiano. Une plongée fascinante dans les arcanes du pouvoir américain pour comprendre comment la CIA a aidé la mafia russe à renaître afin de faire tomber le bloc soviétique.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elleressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.