XIII a été une fois de plus manipulé, tout d'abord par Minecro, une puissante et mystérieuse compagnie dont le plan était de le faire passer pour el Cascador, héros de la révolution costaverdienne.
Ils sont frères. L'aîné a ce qu'on appelle « le charme du diable » : il est violent, coureur de jupons, joueur, buveur, menteur... Mais il n'y a personne qu'il n'ait réussi à séduire.Le cadet semble plus fragile. Il est plus honnête, plus réservé. C'est le «bon fils », en qui leur père place ses plus grands espoirs. Ils se nomment Calder et Richard Benson. Ils sont les héritiers d'un empire pétrolier, conquis par leur père à la fin du 19e siècle.Par une nuit d'été 1912, ils commettent une frasque de trop : l'un d'eux doit partir. Ce sera Calder. Il disparaît au Mexique, puis est donné pour mort. Richard hérite malgré lui de la fortune familiale. Quelques années plus tard, Richard apprend que son frère est en vie... Et qu'il compte bien revenir, pour reprendre son dû. Richard et Calder Benson sont maintenant ennemis. L'un est un impitoyable capitaine d'industrie, l'autre un aventurier sanguinaire.Leur lutte à mort laissera des traces sur tout le continent américain : de la révolution mexicaine à la mort du Président Warren Harding, en passant par la 1re Guerre Mondiale, la montée du communisme, les débuts de la prohibition, la création de la mafia...Tous les deux sont intelligents, dangereux et avides de pouvoir. C'est le même sang qui coule dans leurs veines, la même voracité qui régit leurs vies. Ce sont tous les deux des Benson, mais un seul sera... Le Maître de Benson Gate.Adieu Calder raconte les événements qui pousseront Calder à fuir et se termine sur son départ. La saga qui se présente sous forme de diptyques indépendants est suffisamment riche pour être développée sur 12 albums.
Édith Hardy mène l'enquête pour retrouver un jeune ingénieur chimiste porteur d'une formule qui semble intéresser beaucoup de monde. Guerre froide sous les ponts du Paris disparu des années 5O. Par un des plus beaux tandem de la bd, le premier volet d'une trilogie policière qui fait penser aux petits plats que mitonnait cette bonne Madame Maigret.Nous sommes en 1955, dans le XIIème arrondissement de Paris. L'Agence Hardy - personnes disparues, recherche généalogiques, problèmes d'héritages - est située dans un passage pavé de la rue du Rendez-vous.Édith Hardy, belle femme d'une quarantaine d'années, veuve, ayant encore quelques restes de splendeur passée (un appartenment à la Nation, une Ford Vedette), a ouvert cette agence pour subsister. Elle a un jeune assistant, Victor Maziero, qui se prend pour un grand détective.Venant rompre le train-train des histoires de maris volages, Gaston Lecauchois propriétaire d'une usine de produits pharmaceutiques propose une affaire à Édith Hardy. Antoine Dubreuil, un de ses jeunes chimistes a disparu emportant la formule d'une nouvelle pommade antiseptique...Bientôt, derrière cette banale affairede pommade, se profilent des enjeux d'une toute autre nature : dans la course aux antibiotiques qui est aussi une des très grandes nouveautés de ces années là, Antoine a fait une découverte qui suscite la convoitise des grandes puissances...Et puis, dernière question : pourquoi Édith hardy fait-elle un terrible rêve récurrant dont elle ne sait ce qu'il annonce...
Édith Hardy mène l'enquête pour retrouver un jeune ingénieur chimiste porteur d'une formule qui semble intéresser beaucoup de monde. Guerre froide sous les ponts du Paris disparu des années 5O. Par un des plus beaux tandem de la bd, le premier volet d'une trilogie policière qui fait penser aux petits plats que mitonnait cette bonne Madame Maigret.Nous sommes en 1955, dans le XIIème arrondissement de Paris. L'Agence Hardy - personnes disparues, recherche généalogiques, problèmes d'héritages - est située dans un passage pavé de la rue du Rendez-vous.Édith Hardy, belle femme d'une quarantaine d'années, veuve, ayant encore quelques restes de splendeur passée (un appartenment à la Nation, une Ford Vedette), a ouvert cette agence pour subsister. Elle a un jeune assistant, Victor Maziero, qui se prend pour un grand détective.Venant rompre le train-train des histoires de maris volages, Gaston Lecauchois propriétaire d'une usine de produits pharmaceutiques propose une affaire à Édith Hardy. Antoine Dubreuil, un de ses jeunes chimistes a disparu emportant la formule d'une nouvelle pommade antiseptique...Bientôt, derrière cette banale affairede pommade, se profilent des enjeux d'une toute autre nature : dans la course aux antibiotiques qui est aussi une des très grandes nouveautés de ces années là, Antoine a fait une découverte qui suscite la convoitise des grandes puissances...Et puis, dernière question : pourquoi Édith hardy fait-elle un terrible rêve récurrant dont elle ne sait ce qu'il annonce...
Don Cenettone, héritier d'un cartel omnipotent, règne sur un Empire alors qu'il n'a que douze ans ! Partagé entre les amusements coutumiers d'un enfant de son âge et les obligations qu'impliquent sa fonction, Don Cenettone doit batailler pour conserver son pouvoir.Et sa vie ...
Jazz Maynard est un musicien génial et un cambrioleur surdoué ? à moins que ce ne soit l'inverse. Il manie la trompette en virtuose et le pied de biche en artiste. Ajoutons, pour faire bonne mesure, que c'est aussi un homme au grand coeur. Jazz connaît une autre musique : celle de la rue, de la grande débrouille et des petites magouilles. Il l'a apprise dans le quartier populaire d'El Raval, à Barcelone, avec ses copains Teo et Judas.Le premier lui est resté fidèle, tandis que le second a joué une autre partition. Il faut dire qu'avec un nom pareil... S'il a parfois quitté Barcelone, direction New York ou Reykjavik, Jazz est toujours revenu dans sa ville natale, comme si les fantômes de son passé le tiraient par la manche. Pas facile d'échapper à la petite musique du destin... Ces intégrales en très grand format, augmentées de dessins inédits, permettent de redécouvrir les scénarios impeccables de Raule, magnifiés par le trait expressionniste de Roger.Une édition exceptionnelle pour une série qui ne l'est pas moins, publiée en deux volumes et en noir et blanc sur un papier de haute qualité.
Jazz Maynard est un musicien génial et un cambrioleur surdoué ? à moins que ce ne soit l'inverse. Il manie la trompette en virtuose et le pied de biche en artiste. Ajoutons, pour faire bonne mesure, que c'est aussi un homme au grand coeur. Jazz connaît une autre musique : celle de la rue, de la grande débrouille et des petites magouilles. Il l'a apprise dans le quartier populaire d'El Raval, à Barcelone, avec ses copains Teo et Judas.Le premier lui est resté fidèle, tandis que le second a joué une autre partition. Il faut dire qu'avec un nom pareil... S'il a parfois quitté Barcelone, direction New York ou Reykjavik, Jazz est toujours revenu dans sa ville natale, comme si les fantômes de son passé le tiraient par la manche. Pas facile d'échapper à la petite musique du destin... Ces intégrales en très grand format, augmentées de dessins inédits, permettent de redécouvrir les scénarios impeccables de Raule, magnifiés par le trait expressionniste de Roger.Une édition exceptionnelle pour une série qui ne l'est pas moins, publiée en deux volumes et en noir et blanc sur un papier de haute qualité.
Tequila retrouver Chéryl ! Parti en vain chercher du travail, Tequila se trouve une fois encore face aux Pom-Pom Ninjas (pour leur plus grand malheur, bien sûr). A peine rentré chez lui, sa femme Céryl est enlevée...
Troisième volet de cette série fantastique qui ne ressemble ni à l'heroic fantasy ni à la science-fictiontraditionnelle. Après trois ans dans des geôles sordides, Marc arrivera-t-il à élucider, une fois pour toutes, l'énigme de la planète Aldébaran ?
A Atlanta, Blueberry espère coincer l'assassin Henry S. Bowman. Mais il a surtout rendez-vous avec son passé proche en la personne du capitaine Lewis Norton.
Malgré les apparences, Jon est un fantaisiste : il entend parfois une petite voix intérieure qui lui dit de faire un truc complètement fou. Mettre un kilt, par exemple.C'est sûrement pour ça que sa vie sentimentale est toujours aussi désertique. Pour Noël, sa copine veut un numéro sur liste rouge. On se demande ce qu'elle veut dire par là. Du coup, il appelle Hélène, qui ne souhaite pas sortir avec lui. Tantpis. Il ne veut pas de sa pitié. Sauf si elle insiste... Après, il appelle Monsieur Smith pour lui demander la main de sa fille. Il ne sort pas encore avec elle, mais au point où il en est, c'est un détail.Ses rapports avec Garfield sont nettement plus satisfaisants : quand il exige un peu de respect de sa part, Garfield lui enfourne des frites dans le nez.Garfield a un nouveau copain : la souris Herman Vermin, qui vient d'emménager. Herman se sent comme chez lui, mais il est bien le seul : Garfield a bouffé le poisson rouge et le canari, et il a collé Odie au plafond mais ça n'a pas tenu. Boum.Quand Garfield arbore un large sourire de bonne humeur, c'est le moment de gagner les abris : il va faire une bêtise mais il ne sait pas encore laquelle. Mais parfois, il sombre dans la mélancolie : il a l'impression d'être dans la peau d'un chat tout maigre. Donc, d'un chat qui a faim.Et puis, les anniversaires, c'est comme les lundis, ça revient tout le temps. Voilà que Garfield a déjà 21 ans. Odie s'est scotché des 21 partout, histoire de remuer le couteau dans la plaie, sans doute. Mais la souris Herman le console : son oncle a vécu aussi vieux, et il était complètement gâteux. Tout va bien.
Revoilà Humphrey Luberlu, son fiston Moustic et leur petit animal de compagnie - un rapapus bleu qui a pour spécialité de ranimer n'importe quel truc en éternuant dessus. Les morts, par exemple, puisqu'on est en pleines festivités d'Halloween.Donc, grâce à un éternuement du ratapus, un certain Eustache particulièrement moche - les zombies sont rarement appétissants - sort de sa tombe. Il est très content. Moustic et son copain Max aussi. Ça leur fait une chouette attraction pour Halloween : Eustache le cadavre vivant , un spectacle déconseillé aux âmes sensibles, qu'ils réservent aux copains, moyennant finances. Au début, tout le monde râle : La présentation est trop longue, et il danse pas bien, et z'm'ennuie, et patati et patata. Après, ça devient nettement plus crade, et les gamins refusent de payer un euro de plus pour voir Eustache se moucher dans son cerveau.Le problème, c'est que, dans la foulée, le ratapus a ranimé un autre cadavre moins marrant. Celui de Rocco le boîteux, ancien mafieux local. L'un dans l'autre, Moustic et le ratapus se retrouvent au coeur d'une sanglante affaire concernant Lucrèce, une mocheté sur pattes qui s'occupe de chirurgie esthétique et qui s'est occupée jadis de faire trucider les deux maris de sa soeur Prunette. Et c'est qui, les deux maris de Prunette ? Eustache et Rocco, tous les deux revenus d'entre les morts, l'un avec de bonnes intentions, l'autre pas du tout.La famille Luberlu est déjà loufoque à l'état normal, mais avec Halloween, on est en plein délire. Les mômes et autres amateurs de gore devraient adorer les ambiances de cimetière et le strip-tease de neuneuils d'Eustache - entendez par là qu'il quitte ses yeux pour jongler avec. C'est très frais et printanier. Bien entendu, la rigolade l'emporte sur la trouille, et tout revient dans l'ordre avec une histoire courte dans laquelle Moustic, une fois de plus, essaie de se trouver une nouvelle maman - une belle rousse très sportive qui s'appelle Harissa. Beaucoup trop sportive...
Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l'évitent, redoutant son épée plus virevoltante que la nuée de moustiques d'une chaude nuit d'été. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun qui sait les aimer comme personne.
Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l'évitent, redoutant son épée plus virevoltante que la nuée de moustiques d'une chaude nuit d'été. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun qui sait les aimer comme personne.
Parker est le prototype du dur à cuir sans états dâmes, brutal et violent. Ce personnage a été créé par le « pape » du polar américain, Don Westlake, alias Richard Stark. Et cest la superstar du comics Darwyn Cooke qui adapte ici le premier roman de la série dans un style parfait : noir, au couteau, et sensuel. Parker est un gangster dur, froid, brutal, qui néprouve que très rarement le moindre sentiment. On le découvre arrivant à New York, après avoir traversé lAmérique. Parker est très en colère. Parker a la colère froide. Parker a été roulé sur un coup, et presque tué par sa propre femme. Il naura de cesse de retrouver Lynn. Il naura de cesse de retrouver celui par qui tout est arrivé. Et il naura de cesse de retrouver les 40.000 dollars quon lui a carrotés. Parker se fiche de savoir combien de cadavres il devra semer sur sa route pour arriver à ces fins. Parker veut se venger et retrouver son argent, et tant pis sil doit se frotter à la mafia. Pour cela, il lui faudra, et nous avec, plonger au coeur de lAmérique de la pègre et du crime, lAmérique des personnages sans foi ni loi. (traduction : Tonino Benacquista !)
Déjà le tome 3 de cette aventure pleine d'émotion, tout en profondeur et qui ne prend pas les enfants pour des idiots. Toujours plus d'action, plus d'amitié, plus de peinture !Un dessin à la hauteur du sujet, avec des illustrations réalisées à la peinture à l'huile !
Sur l'île où vit Orlando, les chaussettes disparaissent mystérieusement ! Orlando devra faire preuve de toute son astuce pour mettre la main sur un étrange voleur qui sème la zizanie sur sa petite île.
C'est le printemps ! Les amoureux cueillent les fleurs, merveilleux signes avant-coureurs du renouveau de mère nature. Eugène Lacrymo, notre Gégène à nous, n'a même pas à se baisser pour ramasser les nouveaux pavés qui vrombissent dans l'air printanier. C'est livraison à domicile. D'autant que la maison Comte Andan, fournisseur attitré de tout ce qui conteste et manifeste, vient de recevoir un nouveau modèle : joli robe, beau granit gris souris, bien équilibré en main, design parfait, ligne d'avant ? garde, poids idéal, il renvoie au musée la vieille relique de 68 que votre papa vous a légué avec des sanglots dans la voix (publique).C'est aussi le printemps pour Pamela, la CRS un tantinet obsédée sexuelle qui peut enfin dévoiler ses jolies formes. Ses collègues adoptent aussi sec le profil bas. Car la collègue ne pense qu'à ça . Toujours volontaire pour les séances de secourisme la Pamela, surtout lors des cours de bouche-à-bouche.À propos de bouche-à-bouche, un qui aurait dû se méfier, c'est Gédéon, le fiston de Gégène. Embrasser un crapaud peut avoir des conséquences familiales insoupçonnées. Notez que le lancer de manifestant, une spécialité Gégène, a aussi de fâcheuses répercussions sur sa vie familiale, en particulier nocturne. Chaque métier à ses petits ennuis.Et ses dommages collatéraux ! On ne remerciera jamais assez Achdé et Cauvin d'avoir osé montrer les risques pris par de pauvres CRS obligés de taper, qui sur un médecin, qui sur un moniteur de saut à l'élastique. Ou encore d'avoir accepté de divulguer comment un être sensible, sain et équilibré tel qu'Eugène Lavcrymo, peut se retrouver coiffé d'une flamboyante coiffure indienne ou le corps couvert de bien curieuses peintures de guerre (urbaine).Un grand merci aussi aux auteurs pour leur contribution constante à l'enrichissement du vocabulaire des rues. Cressons de latrines, couillons de la lune, croupions mouillés, testicules de mulets, Chtouille de yeti, tréponèmes asmathiques, zézettes de canaris feront, c'est sûr, la joie de tous !
« Largent fait le bonheur », nous dit la devise de la Banque Princière de Neuilly. Tout bon président de la République se doit donc denseigner à sa progéniture les règles du maniement de la carte gold, le choix dune montre plaquée or, ou la rédaction dun CV pour gagner plus en travaillant moins.
n 4 pl.: Billet surprise + Simple routine + Opération 'Jeunes mariés' + Spécialité maison + Le troisième témoin ; en 6 pl.: Une lanterne pour un petit poucet + L'évasion du cormoran ; en 8 pl.: Les victimes + La passagère + Barney voit rouge ; en 10 pl.: Djinn a disparu + L'otage.
Jdrou, la jeune Rousse dont Lien Rag s'est épris, a été capturée par une bande de chasseurs esclavagistes. Désespéré, le glaciologue va tout tenter pour retrouver sa compagne. Sa route croise celle de Yeuse qui, bien que jalouse, accepte de l'aider dans ses recherches...
À l'occasion de la sortie des Cinq conteurs de Bagdad, réédition sous forme d'intégrale de ce chef d'oeuvre de la collection Poisson Pilote.La légende du roi Gilgamesh est l'une des plus anciennes légendes connues puisqu'elle date de l'époque mésopotanienne, au XVIIe siècle avant J.-C. ! Autant dire une base fabuleuse pour tous les amateurs de contes épiques et de mythologie. Gilgamesh est le roi légendaire d'Uruk, fils de la déesse Ninsuna et du demi-Dieu Lugalbanda.Jeune et beau, il a tout pour lui mais, malgré cela, il règne en despote sur son royaume. Le peuple décide alors de se venger en faisant appel au Dieu Anu qui charge la déesse Aruru de créer un homme semblable à Gilgamesh afin de rivaliser avec lui. C'est comme cela que le colosse Enkidu est créé !Seulement les choses prennent vite une tournure imprévue puisque si les deux hommes se livrent bien bataille, c'est tout bêtement à cause d'une histoire de femmes. Et, qui plus est, ils finissent par se respecter à l'issue de leur conflit et même à s'apprécier ! Ce retournement de situation n'est pas sans poser quelques problèmes à la population d'Uruk et aux Dieux eux-mêmes.
À la croisée du polar noir et de l'histoire d'amour, Le Client de Zidrou et Man narre avec sensibilité une histoire dure se déroulant dans le milieu de la prostitution.Le Client, Augustin Mirales, infiltre le milieu de la prostitution pour retrouver la femme dont il est tombé amoureux, une fille de charme équatorienne, nommée Maria-Auxiliadora Alaya. Après une tentative de fuite du « Paraíso » où elle travaillait, celle-ci a été transférée dans un autre night-club. Augustin, client tenace et très épris, va jusqu'à kidnapper la fille du propriétaire du club de prostituées pour obliger ce dernier à retrouver celle qu'il appelle « son ange déchu ». Augustin aura-t-il assez de sang-froid pour affronter le milieu hostile et crépusculaire de la prostitution ? Retrouvera-t-il sa bien-aimée ?Après Lydie, La Peau de l'ours et Folies Bergère, le nouveau one-shot de Zidrou, Le Client, dévoile avec sensibilité le milieu de la prostitution, sa violence, ses codes, et l'aliénation psychique et physique des femmes qui subissent ce commerce de la chair. Toutefois, de ce sombre enfer de la prostitution surgit une lueur d'espoir : l'amour inconditionnel que se vouent Augustin et Maria-Auxiliadora.Merveille en matière de graphisme, ce one-shot met particulièrement bien en scène ce choc de l'ombre et de la lumière en alternant des planches d'un bleu profond, à l'ambiance nocturne, et d'autres plus solaires...Racontée sur le mode épistolaire, l'histoire est empreinte d'une poésie déchirante. Le narrateur – un homme doux, féru d'art et amoureux de la beauté plastique du corps féminin –, bouleversé par ce que son enquête lui fait découvrir, raconte à sa soeur le milieu de la prostitution. Sa plume, émouvante, donne sans conteste à cet album toute sa dimension humaine.
Que les choses soient bien claires : il a beau avoir un regard de cocker endormi et une démarche d'éléphant sorti du lit (surtout au moment d'aller prendre son bain), Garfield est un CHAT. Un chat qui a tout compris de la vie. Pour lui, le bonheur consiste à écraser les araignées, engloutir des cookies, profiter de la sieste et harceler Jon, son maître neurasthénique qui court (en vain) après les filles. Garfield fête ses 25 ans. Comme il dit, la forme n'a rien à voir avec le nombre d'années . C'est vrai : il est toujours aussi drôle ! En strips de trois cases ou sur une pleine page, le papa de Garfield n'a qu'une seule obsession : faire rire ses lecteurs.Il peut dormir tranquille (pour ça, il n'a qu'à prendre modèle sur Garfield) : c'est réussi ! Depuis 1978, date de la première apparition de son félin fainéant, Jim Davis a enchaîné les succès au même rythme que celui-ci a englouti les hamburgers. Publié dans 2300 journaux et décliné sur plus de 6000 produits vendus dans 69 pays, son chat aux capacités digestives hors du commun possède d'indéniables atouts : un coup de crayon diablement efficace, un sens de la répartie qui tue et un talent naturel pour le farniente.Bon anniversaire ! Jim Davis est né en 1945 dans l'Indiana (Etats-Unis). Tout comme Jon, le maître de Garfield, il a grandi dans une ferme. Et comme lui, il vivait avec un chat – ou plutôt, avec des chats : à la ferme, il y en avait... 25 ! Pourtant, après des débuts dans une agence de publicité, sa première bande dessinée, Gnorm the Gnat, fut consacrée à des insectes. Un jour, Jim Davis s'est rendu compte qu'il existait quantité de strips mettant en scène les chiens, mais que très peu prenaient un chat pour héros. Garfield était né !Depuis, cet animal gros, paresseux et cynique (c'est son créateur qui parle) n'a pas fait que s'empiffrer et embêter le malheureux Jon. Il a surtout remporté un énorme succès : 37 albums publiés (dont 24 ont figuré sur la liste des meilleures ventes du New-York Times), des récompenses en pagaille (Prix du meilleur strip d'humour en 1981 et 1985) et des adaptations en dessin animé et à la télé
Fin d'une enquête incroyable pour miss Kathy, agent du MI6 : les projets terrifiants d'une civilisation extraterrestre qui manipule l'ADN humain et animal menacent la planète entière. Le dénouement est à la hauteur des promesses de cette série passionnante écrite par les auteurs de Kenya !
Depuis plus de 5 ans, chaque semaine dans La Croix, Annie Goetzinger illustre la chronique L'humeur des jours. Voici pour la première fois un recueil des plus beaux dessins parus, commenté par Bruno Frappat.Un panorama doux-amer de l'actualité contemporaine.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Les copains, le boulot, les amours. Surtout les amours.Côté boulot, Jérémie (une sorte de Duduche 2003) oeuvre chez Concept Video Games. Jean-Jacques rame dans la BD et Sandrine vend des viennoiseries au métro Robespierre. Et puis il y a Florence, qui tient l'accueil de Concept Video Games.Côté amour, par un dimanche de pluie, Florence aborde Jérémie. Ça le trouble affreusement, car Florence a un truc qui le rend fou : ses pieds. Et aussi ses fesses quand elle se penche pour ranger des dossiers, mais surtout ses pieds.Pourtant, rien n'est simple. Florence veut et Jérémie voudrait, mais Jérémie se noie dans ses maladresses pathétiques, jusqu'au moment où, enfin, il atterrit mort de trouille dans le lit de Florence. Et pourquoi voulait-elle tant sortir avec lui ? Parce qu'ilest gentil et rigolo, et donc, capable de comprendre si elle lui dit qu'elle est frigide. Gros moment d'émotion : Jérémie ne sait pas ce que ça veut dire. Alors elle lui explique.Désormais lancé dans la quête laborieuse de l'orgasme ? Florence aimerait mieux qu'il la lâche, avec ses orgasmes ?, Jérémie s'en va consulter le Pr Ollambébé, grand marabout de Barbès. Lequel gentil marabout lui livre une recette formidable, mais incomplète pour cause de descente de police assez brutale. (Ce qui nous vaudra une merveilleuse fin d'épisode.) Il y a les amours des autres, aussi. Trop rapides pour Jean-Jacques ( On a à peine parlé deux mots et paf ) et jetables pour Sandrine ( C'est ma faute, t'es génial, on reste amis ), mais toujours touchantes.Si on ajoute les galères de boulot, le hip-hop et les castagnes, on a le portrait d'une génération qui, comme les précédentes ? mais avec son propre langage, hilarant de vérité ? patauge dans la méthode erreurs et tâtonnements . Le tout porté par un dessin craquant et un humour aussi percutant que sensible.Si bien que Riad Sattouf (copain d'atelier de Sfar et Blain, lauréat du Prix Découverte au festival de Chambéry) confirme son talent avec une série qui s'annonce particulièrement novatrice et attachante.
Les copains, le boulot, les amours. Surtout les amours.Côté boulot, Jérémie (une sorte de Duduche 2003) oeuvre chez Concept Video Games. Jean-Jacques rame dans la BD et Sandrine vend des viennoiseries au métro Robespierre. Et puis il y a Florence, qui tient l'accueil de Concept Video Games.Côté amour, par un dimanche de pluie, Florence aborde Jérémie. Ça le trouble affreusement, car Florence a un truc qui le rend fou : ses pieds. Et aussi ses fesses quand elle se penche pour ranger des dossiers, mais surtout ses pieds.Pourtant, rien n'est simple. Florence veut et Jérémie voudrait, mais Jérémie se noie dans ses maladresses pathétiques, jusqu'au moment où, enfin, il atterrit mort de trouille dans le lit de Florence. Et pourquoi voulait-elle tant sortir avec lui ? Parce qu'il est gentil et rigolo, et donc, capable de comprendre si elle lui dit qu'elle est frigide. Gros moment d'émotion : Jérémie ne sait pas ce que ça veut dire. Alors elle lui explique.Désormais lancé dans la quête laborieuse de l'orgasme Florence aimerait mieux qu'il la lâche, avec ses orgasmes, Jérémie s'en va consulter le Pr Ollambébé, grand marabout de Barbès. Lequel gentil marabout lui livre une recette formidable, mais incomplète pour cause de descente de police assez brutale. (Ce qui nous vaudra une merveilleuse find'épisode.) Il y a les amours des autres, aussi. Trop rapides pour Jean-Jacques ( On a à peine parlé deux mots et paf ) et jetables pour Sandrine ( C'est ma faute, t'es génial, on reste amis ), mais toujours touchantes.Si on ajoute les galères de boulot, le hip-hop et les castagnes, on a le portrait d'une génération qui, comme les précédentes mais avec son propre langage, hilarant de vérité patauge dans la méthode erreurs et tâtonnements . Le tout porté par un dessin craquant et un humour aussi percutant que sensible.Si bien que Riad Sattouf (copain d'atelier de Sfar et Blain, lauréat du Prix Découverte au festival de Chambéry) confirme son talent avec une série qui s'annonce particulièrement novatrice et attachante.
Une nouvelle collection est née. Fraîche comme un gardon. Pas le genre à nager en eau tiède. Plutôt ... nouvelle vague. Bon. Une fois évacuées les images maritimes et poissonnières, on peut dire que Poisson Pilote - dont la partie Pilote évoque le journal où naquit une magnifique génération d'auteurs - est une collection pas comme les autres, dans la mesure où elle ressemble plus à une école qu'à un ramassis de livres de même format qui parleraient tous de la pêche à la morue, par exemple.D'ailleurs, quand Poisson Pilote sera devenue culte - ça lui pend au nez -, on la citera comme la célèbre école qui eut le bon goût de naître un 1er avril. (Poisson d'avril, rions un peu...) En attendant, Poisson Pilote est une famille (un banc, si vous voulez) d'auteurs spécialement inventifs qui ont avancé dans la BD comme on explore une terre vierge. Pour ne citer qu'eux : David B., Manu Larcenet, Frank Le Gall, Pierre Le Gall, Fabrice Parme, Joann Sfar, Lewis Trondheim.Si farfelues que soient leurs trajectoires, elles donnent le sentiment d'une cohérence et d'une exigence : on dirait que ces gens-là ont vraiment réfléchi à cette forme d'art et aux immenses possibilités qu'elle offrait. Ou alors ça leur est venu comme ça, en faisant cuire le café. Allez savoir. Ils existaient déjà, la collection Poisson Pilote a été créée pour eux.Pour ces auteurs déconcertants qui, un jour ou l'autre, reçoivent le fameux courrier : Votre projet est absolument formidable mais il n'entre dans aucune de nos collections. Signé : l'éditeur. Les voilà donc rassemblés, heureux comme des poissons dans l'eau. (Ben voyons.) Que leurs histoires se passent au Texas ou à Venise au XVIe siècle, qu'elles racontent une invasion extraterrestre ou les états d'âme d'une mouche, peu importe : ils ont tous une vision forte du monde, inattendue, décalée.Ajoutez à ça un graphisme innovant, une gestion élégante de l'absurde, un poil de culture mais pas trop (faut pas charger), de l'intelligence à revendre - et vous avez Poisson Pilote. V'là du mieux sous les mers, comme dirait le capitaine Nemo.
Garfield ne connaît qu'un chemin entre son lit et sa gamelle : tout schuss, à fond et tant pis pour les autres. Piétinant Odie et Jon, rien ne saurait l'arrêter dans sa course à la goinfrerie et aux calories. Gare aux imprudents ! ! !
La fumée blanche confirmant l'élection d'un nouveau pape s'est élevée au-dessus du Vatican. Mais, n'est-ce pas le démon qui vient de ceindre la tiare pontificale ? Sur la foi d'un signe merveilleux, le sombre cardinal Trebaldi s'est fait élire à la succession de saint Pierre...Un miracle aurait fait apparaître la croix de saint Pierre au coeur de la ville éternelle, dans les entrailles mêmes du palais ancestral des Trebaldi ! Chercheur réputé de reliques lucratives, le Scorpion a suffisamment décortiqué les textes anciens et fouillé les sous-sols de Rome pour avoir des doutes sur l'authenticité de cette miraculeuse et très opportune apparition. Il est vrai que la tradition de l'Eglise situe le martyre de l'Apôtre à Rome.Un des rares cardinaux à encore oser s'opposer à l'orgueilleux Trebaldi charge le Scorpion de retrouver la vraie croix, seul moyen de dénoncer l'illégitimité du nouveau souverain pontife. Pour mener à bien cette difficile mission, il lui faut échapper à la vigilance des moines guerriers à la solde de Trebaldi. Il lui faut en outre prendre la route d'Istanbul et se lancer à la découverte d'un passé fort mystérieux.
La lune a servi de dépotoir aux humains qui voulaient se débarrasser de leurs déchets nucléaires. Elle a explosé et ses poussières ont entouré la Terre, empêchant les rayons du soleil de passer. Le froid, jusqu'à - 100 degrés, et la glace sont devenus le danger principal pour l'Homme. Les humains sont obligés de vivre sous des dômes et de porter une combinaison isotherme.Les compagnies ferroviaires ont tissé les seuls liens de survie entre les dômes : les rails ! C'est par eux que circule l'électricité, c'est grâce à eux que les trains relient les hommes. Pour les compagnies ferroviaires, c'est l'occasion d'imposer leurs lois, dont la première : Hors du rail, pas de vie. Elles se sont partagé la Terre et dirigentle monde sans concession.Les Roux sont issus d'une manipulation génétique dont on ne connaît pas encore l'origine. Ils vivent nus, résistant aux températures les plus extrêmes. Ils sont considérés comme des animaux ou des sous-hommes.Lien Rag est glaciologue. Il rencontre par hasard Yeuse, une danseuse nue. Puis croise la route de Floa Sadon, riche héritière de la TransEuropéenne. Tout baignerait pour Lien s'il ne se posait pas des questions interdites : d'où viennent réellement les Roux ? Pourquoi la sécurité de la TransEuropéenne{idem} a-t-elle déplacé et détruit tout un dôme oeIl devient l'ennemi public numéro 1 ! Il sera arrêté, torturé, trahi... mais rencontrera aussi quelques fidèles prêts à tout pour l'aider.Ce premier cycle se termine à la naissance de Jdrien, le fils que Lien Rag a eu avec une Rousse.Le Studio Jotim est une équipe soudée qui rassemble de jeunes auteurs français, pleins d'enthousiasme et de talent.Si cette oeuvre nous propulse dans un avenir lointain, elle évoque des questions très contemporaines : les dictatures, la bipolarisation, le dérèglement climatique causé par les manipulations de l'Homme...Une série sans équivalent dans la BD. Une suite d'aventures palpitantes, vécues par des personnages émouvants.L'adaptation en BD des romans best-sellers de G.J. Arnaud - 1re intégrale de 328 pages des 7 premiers tomes.
Sur le front allemand, au printemps 1945 : la guerre ne laisse que mort et destruction dans son sillage. Pour échapper à l'horreur du présent, Al, soldat américain, seul rescapé de son unité, se plonge dans les souvenirs de sa vie new-yorkaise.Fils d'immigrés allemands, né aux États Unis, il n'a pas dix ans quand, en une nuit, sous l'oeil satisfait de ces Américains anti-étrangers, il perd ses parents et son foyer dans un terrible incendie. Tournant le dos à ses origines, Al n'a pas d'autre choix que de vivre dans la rue ; il devient Bootblack, un « cireur de chaussures ». Avec son ami Shiny, ils parviennent tant bien que mal à survivre en se serrant les coudes. Six ans plus tard, en 1935, ils font la rencontre de Buster et de l'ambitieux Diddle Joe. Et puis, il y a Maggie, cette fille dont Al est amoureux et dont il souhaite ardemment gagner l'estime. Et ce, même si elle lui fait bien comprendre qu'ils ne vivent pas dans le même monde.New York n'offre aucun avenir pour les miséreux, Al l'a bien compris. Il est donc bien décidé à gagner plus d'argent, quels qu'en soient les moyens. Mais il n'imagine pas, alors, que la guerre qui menace lui donnera bientôt rendez-vous avec son passé...
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d'indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu'il porte en tatouage. Sa position est d'autant plus inconfortable qu'une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s'intéressent à lui. Ce récit d'espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d'un album à l'autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l'histoire récente de son pays.Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l'histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.Après un bref passage dans l'hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissentdirectement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d'un album par an. Cette série s'impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.
Revoilà Garfield, la honte de la race féline, au sommet de sa forme : fainéant, goinfre et d'assez mauvaise humeur. S'il arbore un sourire, c'est qu'il s'est noué les oreilles derrière la tête. Il déteste les facteurs, le camping, Nermal (le chaton le plus mignon du monde) mais il adore les cadeaux de Noël et il a une vie sportive : il écrase les araignées.Il se découvre aussi une vocation d'ornithologue et s'embarque avec un guide, une paire de jumelles et une poêle à frire. Ce qui nous ramène à la gastronomie. Jon et lui sont faits pour s'entendre : Jon aime faire la cuisine, Garfield aime bouffer - à un détail près : le ketchup sur le chameau bouilli l'indispose.Pour ce qui est de sa flegme légendaire, il est très pointilleux sur le vocabulaire : il ne dort pas encore, comme le prétend Jon, il dorttoujours. Ca fait une différence. Il a du mal à gérer sa vie affective : Jon est trop radin à son goût sur le plan des gratouillis, Odie le débecte avec ses coups de langue force 7. Avec Spookie l'ours en peluche, ça va : en voilà au moins un qui ne la ramène pas. Et puis, on peut noter que dans ce 15ème album, Garfield apporte sa modeste contribution à l'esprit olympique en battant son propre record de rot : 43 secondes chrono.
Adapté du célébrissime dessin animé éponyme, Oggy et les cafards met en scène un chat glouton et débonnaire aux prises avec trois odieux cafards prets à tout pour prendre le controle de la maison.
Marseille, 1900. Clément est un ouvrier apprécié de tous. Un homme juste et droit, père de famille, mais dont la vie semble receler d’étranges secrets. Sa mort sera aussi brutale que mystérieuse.Gennevilliers, 1909. Les trois enfants de Clément ont grandi. Livrés à eux-mêmes, privés de leur mère qui croupit en prison, ils n’ont que la faim et la violence comme horizon. Un jour, une femme âgée prend contact avec eux. Elle se dit comtesse et prétend avoir connu leur père. Elle est à la fois étrange et rassurante, excentrique et attachante. Elle s’appelle Aristophania Bolt.Pour les arracher à leur vie de misère, elle les emmène loin de leur grisaille quotidienne et des morsures de l’hiver. Direction le Sud, son soleil et ses calanques, ses rivières et ses paysages sauvages. Direction l’Azur – c’est ainsi qu’elle nomme ce qui ressemble, pour les trois orphelins émerveillés, au Paradis sur terre.Mais il faut se méfier des apparences. Toute médaille a son revers, et l’Azur n’échappe pas à cette règle. Derrière la beauté et la lumière, de sourdes menaces étendent leur ombre. Elles ont pour nom Barboza, le chasseur de rats, ou encore le Roi banni et sa sinistre cour de laquais. Tous attendent leur heure, tapis dans les recoins des quartiers sombres de Marseille. Aristophania, la dernière fée d’Azur, convoquera toutes les ressources de sa magie afin de protéger les enfants et de les révéler à leur Destin…Avec Aristophania, Xavier Dorison et Joël Parnotte inaugurent une saga de French fantasy en quatre tomes, qui navigue entre fantastique flamboyant et réalisme social, entre merveilleux et romantisme noir. Bienvenue en Azur, mais attention à ses dangers…
Dans Snoopy et les Peanuts 1955-1956, Charles Schulz a bel et bien atteint, au terme d'une demi décennie, son rythme de croisière. C'est une période de consolidation qui n'accueille aucun nouveau personnage (l'éphémère Charlotte Braun y est même congédiée), mais qui voit les neuf autres s'installer confortablement dans les rôles et personnalités qui feront leur gloire.Snoopy fait un grand bond dans la douce excentricité qu'on lui connaît, initiant une longue série d'imitations - Sa couverture de sécurité bien en main, Linus apprend à parler et n'a plus à subir en silence les affronts de sa soeur. Pig-Pen développe sa philosophie de la saleté, le béguin de Lucy pour Schroeder devient inébranlable, et Charlie Brown se voit pour la première fois, éliminé d'un match de base-ball, privé de cerf-volant et dupé par Lucy au moment de tirer dans un ballon !Même les fans les plus fervents des Peanuts découvriront de nombreux nouveaux épisodes, car plus de la moitié des strips de ce volume n'avaient jamais été publiés en recueil depuis leur parution dans la presse, il y a un demi- siècle !
Pour Cutie B. la grande aventure quotidienne continue. Elle doit s'intégrer dans son cercle de nouveaux amis, convaincre ses parents de ne pas déménager une fois de plus, et découvrir qui est ce mystérieux inconnu qui la courtise. Il y a aussi ce nouveau locataire qui s'est installé dans son placard...
« Le Monde fascinant des problèmes » est la somme de toute une vie.Un livre essentiel pour revenir de tout et surtout du bout du tunnel, là où passent les trains de mesures en prenant la tangente dans de grands cris sauvages.
La fumée blanche confirmant l'élection d'un nouveau pape s'est élevée au-dessus du Vatican. Mais, n'est-ce pas le démon qui vient de ceindre la tiare pontificale ? Sur la foi d'un signe merveilleux, le sombre cardinal Trebaldi s'est fait élire à la succession de saint Pierre.Un miracle aurait fait apparaître la croix de saint Pierre au coeur de la ville éternelle, dans les entrailles mêmes du palais ancestral des Trebaldi ! Chercheur réputé de reliques lucratives, le Scorpion a suffisamment décortiqué les textes anciens et fouillé les sous-sols de Rome pour avoir des doutes sur l'authenticité de cette miraculeuse et très opportune apparition. Il est vrai que la tradition de l'Eglise situe le martyre de l'Apôtre à Rome.Un des rares cardinaux à encore oser s'opposer à l'orgueilleux Trebaldi charge le Scorpion de retrouver la vraie croix, seul moyen de dénoncer l'illégitimité du nouveau souverain pontife. Pour mener à bien cette difficile mission, il lui faut échapper à la vigilance des moines guerriers à la solde de Trebaldi. Il lui faut en outre prendre la route d'Istanbul et se lancer à la découverte d'un passé fort mystérieux.
Un hors-série consacré au thème du boulot : ou comment parler job avec humour. Cet album reprend des gags sur le sujet parus dans les épisodes précédents, et on s'aperçoit que Parker et Badger ne sont décidément pas faits pour le monde du travail !
Un hors-série consacré au thème du boulot : ou comment parler job avec humour. Cet album reprend des gags sur le sujet parus dans les épisodes précédents, et on s'aperçoit que Parker et Badger ne sont décidément pas faits pour le monde du travail !
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d'indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu'il porte en tatouage. Sa position est d'autant plus inconfortable qu'une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s'intéressent à lui. Ce récit d'espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis.La longue traque se poursuit d'un album à l'autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l'histoire récente de son pays. Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l'histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.Après un bref passage dans l'hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d'un album par an. Cette série s'impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d'indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu'il porte en tatouage. Sa position est d'autant plus inconfortable qu'une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s'intéressent à lui. Ce récit d'espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis.La longue traque se poursuit d'un album à l'autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l'histoire récente de son pays. Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l'histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.Après un bref passage dans l'hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d'un album par an. Cette série s'impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.
On pensait la magie disparue de ce monde, les créatures fabuleuses tombées dans l'oubli, c'était sans compter sur les Elfées.Ce groupe de quatre musiciennes porte l'espoir de tout le peuple féérique. Lou, Nina, Yoshi et Izel vont s'unir pour faire revivre ces Légendes.
Rien ne va plus pour Dottie. Howard Hugues n'a pas tenu sa promesse de libérer Gary de chez les Russes. Réussira-t-elle à le faire s'évader du goulag, et à échapper au milliardaire mégalomane ? Sûrement pas sans l'aide de... Poison Ivy ! Ce sixième tome conclut en beauté le deuxième triptyque de la série Pin-Up.
Le vin en 48 pages drôles et claires ! L'équipe scientifique du labo Ça m'intéresse nous emmène au coeur des vignobles français pour tout nous apprendre sur le vin : ses origines, ses terroirs, ses méthodes de production et toutes les questions que l'on peut se poser à son sujet ! Qu'est ce qu'une AOC ? Comment obtient-on le rosé ? Qu'est qu'un « grand cru » ?
Supermuscleman et le Docteur Krok ont la joie mauvaise de vous annoncer la naissance de leur ignoble bébé Toxine. Il a les yeux rouges, la langue fourchue, les pieds palmés, une syntaxe épouvantable et il cherche Sardine pour lui casser la figure !
Les quatre épisodes des deux plus célèbres lézards de la bande dessinée (!) seront désormais regroupés dans une édition intégrale « petit format » de 196 pages. Un bijou d'humour pour tous publics signé Fabien Vehlmann et Gwen de Bonneval.
Le Petit Livre rock 2013, c'est encore plus d'anecdotes, de souvenirs, d'instantanés, de play-lists, de stars, de losers, de tubes et de pépites. Tout pour découvrir, ou redécouvrir, soixante ans d'une musique qui a transformé notre monde, le rock and roll !
Le monde a basculé aux Etats-Unis en 1929. Des dieux sont apparus pour vite se multiplier, Pendant que l'humanité commençait à s'éteindre lentement... L'histoire telle que nous la connaissons a changé. C'est l'histoire des dieux et des hommes.
Telenko, chauffeur de taxi new yorkais, passe ses journées à trimbaler des loques dans des quartiers pourris, avec la hantise de claquer comme ce type, dans un film, qui écoutait son coeur s'arrêter tous les quinze battements.Telenko a le coeur fatigué - un peu de tachychardie, quelques extrasystoles, sans compter le stress du métier et le plaisir sans cesse renouvelé de se faire traiter de nul par Martha, sa femme : elle est vissée sur un fauteuil roulant et elle le hait. On ne divorce pas d'une épouse à roulettes, Telenko !Elle finira par avoir sa peau, c'est sûr. Comme cette salope qu'il vient de charger dans son taxi et qui se fait tripatouiller par son amant sous le nez de son vieux mari sub-clabotant.Alors, il décide de tuer Martha.Mais il faut des tripes, pour abattre sa femme de sang-froid. D'autant plus qu'elle lui réserve une surprise assez dure à avaler...Un scénario parfaitement bouclé et un dessin musclé pour une balade noire sur fond sepia, seulement éclairée par le jaune du taxi et celui du fauteuil roulant. Un thriller intimiste dans une jungle de béton, construit comme une musique qui bat au rythme inégal d'un coeur foutu.
Alger, une communauté juive du début du XXe siècle. Au centre de l'action, le chat du rabbin. Tordant, le chat : un squelette à oreilles, une dégaine de poubelle, un goût prononcé pour la discussion - c'est un chat parlant. En l'occurrence, il raconte à Zlabya, sa maîtresse adorée (et fille du rabbin), la vérité sur le Malka des Lions - un cousin qui doit arriver prochainement, tout auréolé et légende. On le dit capable de dompter un lion, même les yeux fermés. La vérité, c'est qu'il a pour ami un vieux lion poussif avec lequel il a monté un numéro : le lion effraie le monde, le Malka arrive et arrange tout. Ce qui lui attire gloire et récompenses variées.En attendant, le rabbin a un problème : le consistoire israélite de France exige de lui qu'il fasse une dictée. En effet, s'il veut être agréé rabbin officiel au lieu de juste rabbin comme ça , il doit écrire en français - pour faire la prière en hébreu à des Juifs qui parlent arabe, note le chat dans sa grande sagesse.Le chat est désolé : Mon maître, qui aime tant les livres,est en train de louper sa dictée. Ce qui le pousse, en désespoir de cause, à invoquer le nom de Dieu alors que c'est interdit. Résultat : il perd la parole, retrouve son statut de chat qui fait miaou, et le voilà incapable de donner son avis quand sa maîtresse adorée projette d'épouser un type qui ne lui plaît pas. Heureusement, pour notre plus grand plaisir, il continue de penser : Il va te prendre ta fille et tu seras vieux et elle sera enceinte et elle sera vieille et elle aura des enfants qui seront vieux et tout le monde mourra. C'est très triste, mais on note deux bonnes nouvelles : contre toute attente, le rabbin a réussi sa dictée - le consistoire français il est très fier de vous - et toute la smala reviendra bientôt dans l'Exode.Après La Bar-Mitsva, premier épisode encensé par la critique, Sfar nous donne encore une fois un chef-d'oeuvre d'intelligence, d'humour et de tendresse - trois vertus qui s'expriment autant dans les dialogues, captivants et savoureux, que dans le dessin, merveilleux de finesse et de drôlerie.La préface de cet album est signée Fellag.
L'identité du redoutable révolutionnaire Islero, alias le docteur Carlos Finlay, n'a pas encore été révélée au W.E.S.T, envoyé à Cuba par le gouvernement américain afin de veiller au «bon déroulement des élections» (sic).Objectif avoué de la Maison Blanche : faire de Cuba un État aux bottes des Américains. La raison est d'abord économique : les richesses naturelles de l'île ont entraîné d'importants investissements notamment de la part de la United Fruit qui entend conserver sa main mise. Mais sur place la situation est explosive, la révolution couve, le candidat présenté par les Américains n'a pas le soutien d'une grande partie de la population qui ne jure que par Islero.Au comble des tensions, les membres de W.E.S.T sont écartelés par leur mission officielle et leurs sentiments personnels. Des souvenirs douloureux ressurgissent pour Morton Chapel qui va devoir affronter l'énigmatique colonel Wheyler, Bart s'entiche d'Isela, une belle cubaine qu'il va pourtant devoir trahir, Joe est de plus en plus troublé par Kathryn qui a elle même été envoûtée par Islero grâce à sa maîtrise du vaudou cubain, la Santeria.Tout est en place pour un final agité !Une aventure passionnante sur fond d'enjeux politiques et économiques qui explique comment Cuba a failli être le 46e État américain. Authentique...
Il était d'un naturel féroce et sanguinaire qui se trahissait dans les moindres choses comme dans les grandes...Dans tous les combats de gladiateurs donnés par lui ou quelqu'un d'autre, il faisait égorger même ceux qui tombaient par hasard pour observer leur visage quand ils expiraient.
Accablé par le meurtre de son fils adoptif?, Wayne Shelton est plus que jamais résolu à se venger de l'ex-GI Hooker qui l'a laissé pour mort au Vietnam. L'enquête qui lui est confiée sur le vol d'une cargaison de prototypes va l'aider à remonter jusqu'au repaire de son ennemi désormais redoutable et insaisissable pirate en Mer de Chine.