Le Temple du Soleil a été la première aventure de Tintin à bénéficier d'une prépublication en couleurs, dans le nouveau Journal Tintin, lancé en Belgique en septembre 1946.Pour profiter pleinement des possibilités graphiques que lui offre la double page centrale de l'hebdomadaire, Hergé adopta une mise en pages tout à fait nouvelle, en travaillant à l'horizontale.Toutes les planches de cette version originale sont fidèlement reproduites ici, avec les quelques séquences et les nombreuses cases supprimées lors du remontage de l'album.Une histoire exceptionnelle, à redécouvrir en cinémascope.
Edition en couleur. Une reprise fidèle et moderne d’un grand mythe contemporain.Rubén Pellejero s’empare des codes graphiques d’Hugo Pratt tout enréussissant à les investir de sa propre sensibilité, à travers le soin apportéaux décors, les personnages secondaires et la mise en couleurs.La nouvelle histoire imaginée par le scénariste Juan Díaz Canales réactiveles ressorts de la geste prattienne (fidélité à la parole donnée à unami, chasse au trésor, faits historiques authentiques, etc.) Les dialoguespercutants de ce grand récit d’aventures réjouiront les aficionadosautant qu’ils séduiront les nouveaux lecteurs.
Tous les romans graphiques en noir et blanc de Didier Comès, auteur culte d'(À Suivre), enfin réédités !Cette compilation reprend les premiers romans graphiques en noir et blanc de Comès, dont l'emblématique Silence, portrait d'un simple d'esprit évoluant dans un village ardennais où la sorcellerie et les songes deviennent une réalité tangible. Suivent L'Ombre du Corbeau, une fable fantastique sur la vanité de la guerre, La Belette, autre grand récit ésotérique et rural, Eva, une troublante histoire mêlant sensualité, possession et folie, ainsi que de courts récits inédits en album et parus dans la revue (À suivre). Avec ces récits, Comès démontre sa capacité à toucher au plus profond de l'âme et à construire des ponts entre le monde du visible et de l'invisible.
Tous les romans graphiques en noir et blanc de Didier Comès, auteur culte (À Suivre), enfin réédités !Cette compilation reprend les derniers romans graphiques en noir et blanc réalisés par Comès: L'Arbre-Coeur, une confrontation entre deux êtres en proie à la folie, Iris, une aventure étrange entre passé et présent, humains et animaux, La Maison où rêvent les arbres, un récit poétique sombre et lumineux à la fois, Les Larmes du tigre, une histoire initiatique indienne, Dix de der dans lequel l'auteur revient sur la vanité de la guerre, ainsi que de courts récits inédits en album et parus dans la revue (À suivre). Avec ces récits, Comès démontre sa capacité à toucher au plus profond de l'âme et à construire des ponts entre le monde du visible et de l'invisible.
De Nancy à Marseille, la traque de deux jeunes Français, Alex et Karim, par un ponte de l'extrême droite, cocu et violent...Le chef-d'oeuvre de Baru, qui préfigure les romans graphiques de Larcenet et Davodeau, prix du Meilleur album au festival d'Angoulême 1996.
Reproduit la première présentation (dos toilé, papier épais, couleurs pastels...) de cet album qui raconte comment Tintin part au Tibet pour sauver son ami Tchang.
Congo, Amérique et Cigares furent les seuls albums à être redessinés pour l'édition en couleurs. Ces trois aventures méritaient de profonds remaniements pour se retrouver, au milieu des années quarante, au niveau de qualité graphique et narrative atteint par Hergé à ce moment.Tintin au Congo fut toujours de très bonne vente. On se devait de le sortir rapidement en version couleurs, malgré l'important travail de remaniement jugé nécessaire : quoiqu'à plus de dix ans des indépendances africaines, il fallait adapter l'aventure à l'évolution des sensibilités vis à vis de la colonisation.La nouvelle version de Tintin au Congo sortit en juillet 1946, en même temps que celle de Tintin en Amérique, bientôt suivie par les éditions en couleurs du Lotus et du Sceptre(1947). Ces quatre éditions originales en couleurs sortirent en version dite B1 (référence du BDM) ; soit avec le quatrième plat caractérisé par une nouvelle liste des parutions (avec pour dernier titre Le sceptre d'Ottokar) et le pull à deux couleurs du Capitaine.Le titre de couverture était en réserve blanche sur ciel bleu. il fut remplacé, dès 1948, par un lettrage en noir seul, ce qui permettait l'impression des titres traduits sans modifier d'autres couleurs que le noir.Comme dans beaucoup d'éditions originales, le titre intérieur était imprimé en couleurs, ici en bleu. Là aussi, les impératifs techniques le firent repasser rapidement en noir seul.Il existe des éditions originales à dos rouge, mais c'est le dos jaune, abandonné ensuite pour ce titre, qui caractérise le plus cette première édition et donc aussi son facilé.
Urbaines, exotiques, musicales, drôles, picturales, amoureuses, littéraires, noires, animalières, voyageuses ou un peu tout cela à la fois, voici un riche florilège d'images de Loustal (et autant de clins d'oeil aux univers narratifs et graphiques qu'il aime fréquenter), sous la forme séduisante et inattendue d'un album à colorier.Un livre-objet très tendance et une belle idée de cadeau, à offrir ou à s'offrir.
Cette réédition permettra aux amateurs d'apprécier un album fleurant bon l'ancien : couverture non pelliculée, dos toilé, papier épais pas trop blanc, couleurs pastel... Et pour les spécialistes, le plaisir de dénicher les petites différences dans la couverture, la page de titre, certaines cases, certaines bulles...
La première histoire qui fait peur de Bastien Vivès Oserez-vous entrer dans ce livre ?Auteur culte parmi les plus reconnus de sa génération, Bastien Vivès a notamment publié les romans graphiques Le Goût du chlore, Polina et Une soeur, ainsi que la série Lastman avec Balak et Michaël Sanlaville.Attention Chien méchant est son premier album jeunesse.
Reproduit la première présentation (dos toilé, papier épais, couleurs pastels...) de cet album paru en 1945, qui raconte les péripéties de Tintin en Amérique.
Congo, Amérique et Cigares furent les seuls albums à être redessinés pour l'édition en couleurs. Ces trois aventures méritaient de profonds remaniements pour se retrouver, au milieu des années quarante, au niveau de qualité graphique et narrativeatteint par Hergé à ce moment.Tintin au Congo fut toujours de très bonne vente. On se devait de le sortir rapidement en version couleurs, malgré l'important travail de remaniement jugé nécessaire : quoiqu'à plus de dix ans des indépendances africaines, il fallait adapter l'aventure à l'évolution des sensibilités vis à vis de la colonisation.La nouvelle version de Tintin au Congo sortit en juillet 1946, en même temps que celle de Tintin en Amérique, bientôt suivie par les éditions en couleurs du Lotus et du Sceptre(1947). Ces quatre éditions originales en couleurs sortirent en version dite B1 (référence du BDM) ; soit avec le quatrième plat caractérisé par une nouvelle liste des parutions (avec pour dernier titre Le sceptre d'Ottokar) et le pull à deux couleurs du Capitaine.Le titre de couverture était en réserve blanche sur ciel bleu. il fut remplacé, dès 1948, par un lettrage en noir seul, ce qui permettait l'impression des titres traduits sans modifier d'autres couleurs que le noir.Comme dans beaucoup d'éditions originales, le titre intérieur était imprimé en couleurs, ici en bleu. Là aussi, les impératifs techniques le firent repasser rapidement en noir seul.Il existe des éditions originales à dos rouge, mais c'est le dos jaune, abandonné ensuite pour ce titre, qui caractérise le plus cette première édition et donc aussi son facilé.
Congo, Amérique et Cigares furent les seuls albums à être redessinés pour l'édition en couleurs. Ces trois aventures méritaient de profonds remaniements pour se retrouver, au milieu des années quarante, au niveau de qualité graphique et narrative atteint par Hergé à ce moment.Tintin au Congo fut toujours de très bonne vente. On se devait de le sortir rapidement en version couleurs, malgré l'important travail de remaniement jugé nécessaire : quoiqu'à plus de dix ans des indépendances africaines, il fallait adapter l'aventure à l'évolution des sensibilités vis à vis de la colonisation.La nouvelle version de Tintin au Congo sortit en juillet 1946, en même temps que celle de Tintin en Amérique, bientôt suivie par les éditions en couleurs du Lotus et du Sceptre(1947). Ces quatre éditions originales en couleurs sortirent en version dite B1 (référence du BDM) ; soit avec le quatrième plat caractérisé par une nouvelle liste des parutions (avec pour dernier titre Le sceptre d'Ottokar) et le pull à deux couleurs du Capitaine.Le titre de couverture était en réserve blanche sur ciel bleu. il fut remplacé, dès 1948, par un lettrage en noir seul, ce qui permettait l'impression des titres traduits sans modifier d'autres couleurs que le noir.Comme dans beaucoup d'éditions originales, le titre intérieur était imprimé en couleurs, ici en bleu. Là aussi, les impératifs techniques le firent repasser rapidement en noir seul.Il existe des éditions originales à dos rouge, mais c'est le dos jaune, abandonné ensuite pour ce titre, qui caractérise le plus cette première édition et donc aussi son facilé.
Exterminateur 17 se bat, seul, face à des organisations criminelles devenues planétaires, qui se sont donné rendez-vous sur une planète lointaine, aux confins des mondes. Parviendra-t-il à déjouer le plus grand complot de l'univers ? La suite de la saga d'Ellis, toujours dessinée par Igor Baranko, suivie d'hommages graphiques à Exterminateur 17 dûs à Laurent Theureau et à Serge Clerc. Et toutes les réponses aux questions que vous vous êtes posées dans l'album précédent.
Congo, Amérique et Cigares furent les seuls albums à être redessinés pour l'édition en couleurs. Ces trois aventures méritaient de profonds remaniements pour se retrouver, au milieu des années quarante, au niveau de qualité graphique et narrative atteint par Hergé à ce moment. Tintin au Congo fut toujours de très bonne vente. On se devait de le sortir rapidement en versioncouleurs, malgré l'important travail de remaniement jugé nécessaire : quoiqu'à plus de dix ans des indépendances africaines, il fallait adapter l'aventure à l'évolution des sensibilités vis à vis de la colonisation. La nouvelle version de Tintin au Congo sortit en juillet 1946, en même temps que celle de Tintin en Amérique, bientôt suivie par les éditions en couleurs du Lotus et du Sceptre(1947). Ces quatre éditions originales en couleurs sortirent en version dite B1 (référence du BDM); soit avec le quatrième plat caractérisé par une nouvelle liste des parutions (avec pour dernier titre Le sceptre d'Ottokar) et le pull à deux couleurs du Capitaine. Le titre de couverture était en réserve blanche sur ciel bleu. il fut remplacé, dès 1948, par un lettrage en noir seul, ce qui permettait l'impression des titres traduits sans modifier d'autres couleurs que le noir. Comme dans beaucoup d'éditions originales, le titre intérieur était imprimé en couleurs, ici en bleu. Là aussi, les impératifs techniques le firent repasser rapidement en noir seul. Il existe des éditions originales à dos rouge, mais c`est le dos jaune, abandonné ensuite pour ce titre, qui caractérise le plus cette première édition et donc aussi son fac-similé.
Grand ours blanc est tâché de jaune d'oeuf ! Petit ouistiti se moque de son ami... Qui devient rouge de colère ! C'est sous un ciel gris qu'ils se réconcilient. Que c'est chouette d'être amis ! C'est en suivant les aventures de Petit Ouistiti et de ami Grand Ours Blanc que les enfants vont découvrir les couleurs -et se les approprier d'autant mieux qu'elles seront associées à une histoire drôle et tendre à la fois.
Reprend le premier album de«Rackham le Rouge», paru en couleurs en 1944. Avec«Le secret de la Licorne», il marque l'entrée définitive dans les albums de Tintin du capitaine Haddock, tandis que de nouveaux personnages agrandissent la famille Tintin : le professeur Tournesol et les Dupond-Dupont.
Invités à Sydney pour un congrès d'astronautique, Tintin, le capitaine Haddock et le professeur Tournesol embarquent à bord de l'avion privé du milliardaire Carreidas. Mais l'appareil est détourné et se pose sur une île minuscule aux mains de Rastapopoulos.
Un fragment de météorite est tombé dans les mers arctiques. En compagnie de scientifiques, Tintin et le capitaine Haddock montent une expédition pour récupérer un échantillon.
Au tournant du millénaire. Il est animateur pour le dessin animé Kirikou et la sorcière. Ausein d’un groupe d’amis, il recherche une alternative au contexte morose de ces années 90. Elle débarque à Angoulême, en quête d’un destin artistique. Ils se rencontrent, elle l’attire, elle le repousse, il la protège. Et progressivement, une relation amoureuse s’instaure, intense et exclusive, faite d’attraction-répulsion et de dépendance mutuelle.Cette relation dévorante va les couper du monde, et un processus destructeur transformera le face à face en un combat aussi bestial que nécessaire. Le couple finira par se déliter, ils se perdront sans s’être jamais appartenu, mais cette rupture annoncera une renaissance. Xavier Mussat a mis dix ans à concevoir puis finaliser cet album dur et poignant, récit d’une grande densité, riche inventions et de ruptures graphiques qui bousculent les codes du genre. Représentant assumé d’une bande dessinée exigeante, radicale et évidemment militante, il a confié à Casterman le soin de publier ce livre à vif. On pense à Louis Calaferte ou à Jonathan Caouette. Et tous apprécieront ce travail minutieux, d’une lisibilité parfaite, qui est aussi le portrait acéré d’une génération idéaliste en lutte avec le réel et les transformations libérales de notre monde.
Un beau coffret à tirage limité pour offrir ou s'offrir tout Corto d'un coup.L'intégrale des aventures de Corto en couleur, rassemblées en 7 albums cartonnés dans un même coffret ! Ce bel objet est un cadeau parfait pour les fêtes de fin d'année. Une excellente occasion pour se replonger dans les pérégrinations du plus célèbre des gentilshommes de fortune et renouer avec la magie intacte de l'art d'Hugo Pratt.
Une nouvelle édition tout en couleurs.En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire reçoivent la visite d’un diamantaire du 9e arrondissement. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs et un trafic de diamants, Nestor Burma mène l’enquête à La Maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes… Lorsqu’en mars 2013 Nicolas Barral signe son premier album de la série Nestor Burma, il choisit de rendre hommage aux albums de Tardi et de le réaliser en niveau de gris. Alors que les stocks du tirage d’origine touchent à leur fin, l’auteur nous propose une version intégralement mise en couleurs de son récit et augmentée des planches parues dans les 3 journaux de prépublication et restées depuis inédites en album.
Un oubli incompréhensible vient enfin d'être réparé. Voici le premier guide consacré aux Cités obscures. Grâce au voyage accompli par François Schuiten et Benoît Peeters et à quinze années de recherches minutieuses, il est aujourd'hui possible de découvrir dans toute sa richesse un univers trop longtemps considéré comme mythique.On trouvera notamment dans ce Guide :. des cartes et des plans, des précisions sur la faune et la flore, les Beaux-Arts, les sciences et les techniques.... une description des principaux lieux de Passage : le Palais de Justice de Bruxelles, le métro Arts et Métiers à Paris, le Musée A. Desombres.... des renseignements pratiques sur le logement, les moyens de transports, la cuisine et les vins.... une évocation de grandes Cités comme Alaxis, Blossfeldtstad, Calvani ou Xhystos.... des portraits de personnages illustres ou injustement méconnus comme Joseph Abraham, Ernest Dersenval, Marie-Laure Duraine de Montignac, Eugen Robick, Tina Tonero, Axel Wappendorf...Un outil indispensable pour les sceptiques comme pour les passionnés. Une invitation au voyage, à l'étude et à la rêverie.
Comme L'étoile mystérieuse avant lui, le titre Le secret de La Licorne parut en couleurs dès la première édition en album. Mais la pré-publication dans la presse quotidienne (Le Soir) s'était faite en noir et blanc, par petits strips de quelques cases. Le fac-similé reproduit, comme à l'habitude, l'édition originale. Datée de 1943, celle-ci se reconnaît aux numéros d'autorisation de l'occupant allemand, au bas de la quatrième de couverture : 1785 - 1786 - 1787. On relève peu de différences de texte ou de dessin entre cette première version et celle qui est diffusée aujourd'hui : la correction d'un belgicisme, de l'une ou l'autre faute d'orthographe ou de typographie (Monsieur devient, plus correctement : monsieur, sans majuscule superflue). Le pavillon de La Licorne n'est pas à fond bleu, dans les planches alors qu'il semble l'être sur la couverture et le deviendra par la suite, après quelques réimpressions. Pour beaucoup de tintinophiles, ce cycle de deux albums (Le secret de La Licorne et Le trésor de Rackam le Rouge) constitue un sommet de l’art d’Hergé, sur le plan graphique et celui de la narration.
Un space opera, de l'amour et de l'aventure... tout en couleurs !Le maléfique et tout-puissant Agurda projette d'attaquer la Terre et d'y établir un empire sur lequel il régnera en maître ! Pour arriver à ses fins, il a besoin de l'immense énergie que Mina, la fille-comète, abrite en elle. Sazan et ses nouveaux alliés, les pirates du dimanche qui forment le Gang Pique-nique, auront-ils assez de leur courage et leur ingéniosité pour défier l'armée d'Agurda ?
Avec un art de l'ombre et de la lumière, un jeu des couleurs et des mouvements, Prado nous offre une version très personnelle et sensible de l'oeuvre écrite et composée par Prokofiev en 1936.
Nerei est une jeune femme qui étudie les beaux-arts àTokyo. Elle est devenue la maîtresse d'un de ses professeurs. Mais sa relation insatisfaisante avec ce dernier et le surmenage lui font quitter peu à peu la réalité pour le monde onirique qu'elle s'est construit et où elle retrouve Kaya, une de ses amies qui s'est suicidée.
La reproduction de la version originale : une édition qui se distingue des suivantes par la présence de deux symboles incas jaunes, en page de titre intérieure.
Dévoile par les textes et les dessins, au rythme des promenades, les rues d'Istanbul, ses personnages, ses couleurs, ses odeurs et les paysages des ports et des villages de Turquie visités alentour.
Recueil de l'ensemble des travaux en couleurs, sauf les aquarelles, réalisés par l'auteur hors du champ de la bande dessinée : illustrations, images rares ou oubliées à la gouache, à l'encre de Chine ou au fusain
Ce grand album luxueux propose un panorama complet du travail de François Schuiten : scénographie, architecture, peinture, etc.Depuis quarante ans, François Schuiten construit une oeuvre singulière et polymorphe. Elle s’est d’abord déclinée en bande dessinée, culminant avec succès dans la série Les Cités obscures en compagnie de Benoît Peeters. Mais cet horloger du rêve a très vite tissé des liens avec le cinéma, les arts de la scène et la muséographie. Architecte de l’événement, intervenant dans la ville autant que dans la vie, Schuiten a réalisé d’immenses scénographies comme «A Planet of Visions » à l’Exposition Universelle de Hanovre (cinq millions de visiteurs en 2000), du design urbain (la station de métro Arts et Métiers à Paris, la Dentelle Stellaire à Lille), de la conception de décors et de costumes pour l’opéra comme pour le cinéma, ou encore l’aménagement de lieux prestigieux (la Maison Autrique et le futur Train World à Bruxelles, la Maison Jules Verne à Amiens). Quant aux projets qui sont restés des utopies de papier, ce livre les révèle dans toute leur ampleur…Nouvelle édition corrigée, sous couverture souple avec rabats.
Sous-titré «Des Cités Obscures à la Ville lumière», Images réunitpour la première fois les documents rares que Paris a inspiré àl’artiste. Grands dessins en noir et blanc, peintures à l’acrylique,illustrations réalisées pour illustrer un inédit de Jules Verne, scénographiesdessinées pour la station Arts et Métiers ou projetsconçus pour le Grand Paris, François Schuiten nous livre tout sonimaginaire, en grand format.
A peine remise d'une rencontre riche en émotions avec ren, kyôko quitte son déguisement de volatile enrobé pour relever un nouveau défi : une audition pour un spot publicitaire ! mais une aspirante de la section love me peut en cacher une autre.En effet, notre héroïne retrouve sa grande amie kanaé parmi les candidates ! cette dernière ne semble toutefois pas au mieux de sa forme : la présence d'une terrible concurrente semble mettre à mal sa confiance habituelle. dans ce 5e tome, un nouveau personnage haut en couleurs ba donner du fil à retordre à kyôko et kanaé, qui n'auront d'autre choix que de s'unir pour lui résister !.
Dernier album mis en couleur. Il a été entièrement redessiné par Hergé avant la colorisation mais les planches de la première édition diffèrent assez peu des éditions actuelles.
Recueil de l'ensemble des travaux en couleurs, sauf les aquarelles, réalisés par l'auteur hors du champ de la bande dessinée : illustrations, images rares ou oubliées à la gouache, à l'encre de Chine ou au fusain
Un fétiche arumbaya a disparu du musée ethnographique. Mais le plus étrange est qu'il réapparaît le lendemain. Flairant la supercherie, Tintin se rend en Amérique du Sud...
Un très joli petit livre en tissu qui propose un premier imagier pour les tout-petits autour des véhicules et des couleurs. Pin pon, pin pon ! Attention, voilà le camion de pompier rouge ! - Vroum vroum ! Tu as vu la belle voiture verte ? - Et regarde dans le ciel, l'avion blanc ! Les étiquettes colorées et les pages qui crissent et qui crépitent feront aussi la joie des plus petits ! Avec une sangle à scratch, pour l'attacher n'importe où, et des pages en tissu, qui résistent à tous les temps, ce livre deviendra l'incontournable de vos trajets en poussette !
Exploite des thèmes (politique, sport, science, arts, etc.) en combinant texte et image et en les situant dans un futur plus ou moins proche (2024, 2030, 2037, etc.).
Une nouvelle édition en couleurs du 2e album des aventures du célèbre marin maltais,«Sous le signe du Capricorne», paru en 1979. Les premiers chapitres de la saga de Corto Maltese, en 1913, à hauteur du tropique du Capricorne.
Nourri de nombreuses contributions inédites, un grand album fait écho à l’exposition consacrée à Enki Bilal par le Musée des arts et métiers.Récemment célébré et fortement médiatisé au Musée du Louvre avec l’exposition « Les Fantômes du Louvre », Enki Bilal revient au sommaire de l’actualité au début de l’été avec une autre grande exposition dans un lieu de prestige parisien : le Musée des Arts et Métiers. Inaugurée le 3 juin, cette exposition sera ouverte au public en continu jusqu’en février 2014 et s’accompagne d’un ouvrage qui lui fait écho, publié par Casterman.Sous-titré Mecanhumanial, l’album est un livre qui prolonge l’exposition, par l’image et par les mots. Structuré autour du travail graphique de Bilal dans tous ses aspects y associe de nombreux objets inattendus tirés du fonds du musée, les uns et les autres se répondant pour bâtir un imaginaire et un paysage mental inédits. Divers auteurs invités, complètent ce panorama en donnant, leur vision de l’aventure de la technique et de l’humain.La direction ainsi que l’introduction générale de l’ouvrage sont assurées par le commissaire de l’exposition, Benoît Mouchart assisté de Gaëtan Akyuz.
Reproduit la première présentation de cet album paru en 1947 qui raconte les aventures de Tintin en Syldavie alors qu'un complot est fomenté contre le roi de ce petit pays des Balkans.
Petit vingtième», en 1934-1935, cette aventure de Tintin marque une étape dans la création d'Hergé. Celui-ci améliora en effet la qualité graphique, la documentation et le scénario de sa série.
Le XIXe siècle : une période essentielle pour comprendre la France aujourd'hui.Le XIXe siècle est un siècle de grands bouleversements en France, et dans toute l'Europe. Les régimes politiques se succèdent les uns après les autres au gré des révolutions, les arts se développent et l'industrie explose. La France entre de plain-pied dans la révolution industrielle ! À travers cette bande dessinée, venez découvrir la France au temps de la machine à vapeur, des mines de charbon et de l'avènement de la République. Avec six doubles pages documentaires pour approfondir le sujet.
Née dans les pages du périodique Spirou en mars 1965, Sibylline est un délicieux personnage de petite souris évoluant dans un univers champêtre, et vivant des aventures pleines de fantaisie. Elle est environnée d’une ribambelle de seconds rôles pittoresques et attachants, et a pour adversaire le rat noir Anathème.Casterman entreprend de publier l’intégrale des aventures de Sibylline. Cinq volumes organisés de façon chronologique sont prévus, pour un total de plus de 1000 pages. Cette édition définitive fait l’objet d’un travail très soigné de restauration des planches, afin de leur redonner la chaleur des couleurs vintage.
Vous avez souri (souris ?) avec Le Chat, vous avez ri avec Le Retour du Chat, alors vous allez vous tordre avec La Vengeance du Chat, le seul personnage qui saitse couper en quatre, au sens propre, pour faire plaisir à ses lecteurs et qui parle aussi bien de football que de grande peinture.Cette nouvelle édition en couleurs du Chat vous permettra de savourer 56 pages de « geluckeries » pur jus.
Une leçon de bon non-sens par le Chat, personnage au caractère incisif à la logique tortueuse et imparable. Désormais en couleurs. Reprend en version couleur et en 48 pages, l'album éponyme paru en 80 pages en version bibliothèque.
Carcès, dans le midi profond, celui qu'on ne voit jamais sur les cartes postales : la France des villages désertés, des entreprises qui ferment, des combines et des arrangements avec la loi.C'est là que Théo et Clara ont choisi de se retrouver pour une virée aux couleurs de leurs souvenirs communs, quelque chose qui ressemble à un pèlerinage. Mais un pèlerinage qui tournerait vite à la vengeance, puis à la tuerie. Reste à savoir sur quoi au juste repose la vendetta de Clara et Théo.Une dérive meurtrière en noir majeur, sur fond de solitude et de tristesse moderne.
Cette nouvelle édition de l'un des grands classiques de l'oeuvre de Pratt a fait l'objet d'un relettrage intégral et bénéficie d'une nouvelle maquette. Le format est identique aux nouvelles éditions des histoires de Corto Maltese en couleurs, avec pelliculage mat.
Premier album de guerre (paru en 1943), dans lequel Hergé a imaginé une aventure extra-européenne sur fond de trafic de drogue, qui fait apparaître le capitaine Haddock, un marin déchu et ivrogne qui deviendra l'inséparable compagnon de Tintin.
Qui prend encore le temps, aujourd'hui, de grimper à un arbre, en pleine ville ? D'observer les oiseaux, ou de jouer dans les flaques d'eau après la pluie ? D'aller jusqu'à la mer pour lui rendre un coquillage dont on ne sait comment il est arrivé chez soi ? L'homme qui marche, que l'on apprend à connaitre à travers ses balades, souvent muettes et solitaires, rencontre parfois un autre promeneur avec qui partager, en silence, le bonheur de déambuler au hasard.Cette réédition de L’Homme qui marche, premier livre de Jirô Taniguchi jamais paru en langue française, a été réalisée pour célébrer le vingtième anniversaire de sa publication chez Casterman.Elle a fait l’objet d’une nouvelle traduction et d’une nouvelle adaptation graphique. Elle comporte en outre, pour la première fois,toutes les pages couleurs de la version originale et est augmentée de récits inédits.
Pour celui qui connaît les albums des Cités Obscures, les surprises seront nombreuses. Car ce volume très dense permet enfin de disposer de cartes détaillées, d'une tentative de chronologie, d'évocations de la faune et de la flore, des Beaux- Arts et des sciences. On y trouve aussi des précisions sur la cuisine, les vins et les spectacles.On y apprend bien de nouveaux éléments sur des villes comme XHYSTOS, URBICANDE et CALVANI, des personnages comme Eugen ROBICK, Axel...