George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !
Le super hero du blues nous propose enfin son tour de force a londres en version cd. Le 28 Octobre dernier, Joe Bonamassa avait sorti non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présentait les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars 2013 à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. Voici enfin le pendant audio 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors qu'au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même...
LE NOUVEL ALBUM DU TITAN DU BLUES Attention légende ! Vétéran de la scène blues rock, Walter Trout n'a sans doute jamais été reconnu à sa juste valeur en France. Pourtant le bonhomme possède un CV à faire pâlir bon nombre de musiciens. Il a, entre-autre, passé cinq ans au sein des Bluesbreakers de John Mayall, a été membre de Canned Heat, a accompagné John Lee Hooker et Joe Tex. Le dernier disque en date de Walter Trout, We're all together in this a remporté un immense succès mondial : pas moins de quatre prix du meilleur album de blues de l'année à sa sortie. Aussi c'est souvent compliqué de rebondir après une telle réussite car on est forcément attendu au tournant ! Aussi, Walter Trout a décidé de marcher dans les pas des grands artistes qu'il a toujours admiré, des artistes qui osent prendre des risques comme Neil Young ou Bob Dylan car on ne sait jamais à quoi va ressembler leur nouvel album. Et ainsi celui qui vient de recevoir la consécration pour un album de compositions personnelles, nous prend complètement à contrepied en nous offrant aujourd'hui une collection de magnifiques reprises. Et une de fois de plus, il nous démontre qu'il est tout sauf un artiste ordinaire. En effet, ici on est loin du choix habituel de reprises de grands standards qu'on a déjà entendus sous cinquante versions différentes ou des plus gros hits du blues. Walter Trout a délibérément choisi des titres anciens et obscures qui ont rarement été repris. Voilà la genèse de Survivor Blues, le nouvel opus de l'un des plus grands bluesmen contemporains.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
CD 1 1. La romance de paris - Charles Trenet 2. Les grands boulevards - Yves Montand 3. Sous les ponts de paris - Colette Renard 4. Le pont mirabeau - Leo Ferre 5. Les feuilles mortes - Juliette Greco 6. Les amants de paris - Edith Piaf 7. A saint-germain des prés - Henri Salvador 8. Pigalle - Georges Ulmer 9. Sous le ciel de paris - Jacqueline Francois 10. L'obélisque - Guy Beart 11. Un gamin de paris - Mick Micheyl 12. La bastille - Jacques Brel 13. Le vent - Georges Brassens 14. Bal, petit bal - Francis Lemarque 15. Le voyage a robinson - Cora Vaucaire 16. Paris, voici paris - Tino Rossi 17. Rue saint-vincent - Les Freres Jacques 18. Le rythme de paris - Jacques Pills & Le Jazz De Paris 19. Paris chéri - Luis Mariano 20. Nini peau d'chien - Patachou 21. Ciel de paris - Henri Salvador 22. Le pavé de ma rue - Rene Louis Lafforgue 23. On ne voit ca qu'a paris - Danielle Darrieux & Pierre Mingand 24. Journee de paris - Georges Guetary 25. Paris je t'aime d'amour - Maurice Chevalier CD 2 1. J'aime paris au mois de mai - Charles Aznavour 2. La marie vison - Yves Montand 3. Paris canaille - Catherine Sauvage 4. L'ame des poètes - Charles Trenet 5. Julie la rousse - Rene Louis Lafforgue 6. Les amoureux des bancs publics - Georges Brassens 7. Les enfants qui s'aiment - Juliette Greco 8. I love paris - Luis Mariano 9. Les cloches de notre dame - Leo Ferre 10. Ballade des places de paris - Les Freres Jacques 11. Le moulin de la galette - Lucienne Delyle 12. A paris - Francis Lemarque 13. Paris, tu n’as pas changé - Jean Sablon 14. Oui je t'aime ô paris - Yvonne Printemps 15. Les grands magasins - Jean Constantin 16. Paris c'est trop grand pour moi - John William 17. L'air du brésilien - Dario Moreno 18. Elle fréquentait la rue pigalle - Edith Piaf 19. Voilà la seine - Andre Claveau 20. La fête a neu neu - Maurice Chevalier 21. Le mal de paris - Mouloudji 22. Ca, c'est paris - Colette Renard 23. Retour a montmartre - Cora Vaucaire 24. Nuits de paris - Georges Ulmer 25. La seine - Jacqueline Francois CD 3 1. Padam padam - Edith Piaf 2. Depuis que je suis a paris - Jean Sablon 3. Ménilmontant - Charles Trenet 4. La complainte de la butte du film french cancan - Cora Vaucaire 5. Les cris de ma ville - Charles Aznavour & Pierre Roche 6. Il n’y a qu’un paris - Andre Dassary 7. L’ile saint louis - Michele Arnaud 8. Les rues de paris - Mouloudji 9. Le flamenco de paris - Leo Ferre 10. La rue des blancs manteaux - Juliette Greco 11. Moulin rouge - Line Renaud 12. La chanson des fortifs - Frehel 13. Paris la nuit - Jacqueline Francois 14. Cœur de paris - Andre Claveau 15. French cancan - Eddie Barclay 16. Les halles de paris - Les Freres Jacques 17. Dédé de montmartre - Albert Prejean 18. Métro - Yves Montand 19. J'ai deux amours - Josephine Baker 20. C'est papa c'est parisien - Georges Milton 21. Bois de boulogne patins a roulettes - Francis Lemarque 22. Je suis née dans le faubourg st-denis - Mistinguett 23. Quand on voit paris d'en haut opérette chanteur de mexico - Luis Mariano 24. Paris tour eiffel - Jacques Helian 25. Paris sera toujours paris - Maurice Chevalier CD 4 1. A joinville le pont - Bourvil 2. Quand on s'promène au bord de l'eau - Jean Gabin 3. Rue de lappe - Mouloudji 4. Rue lepic - Yves Montand 5. Place du tertre opérette la route fleurie - Georges Guetary 6. Mademoiselle de paris - Jacqueline Francois 7. Paris champagne - Luis Mariano 8. Sur les pavés de paris - Leo Marjane 9. Les quais de la seine - Lina Margy 10. Sur les quais du vieux paris - Lucienne Delyle 11. Fleur de paris - Jacques Helian 12. Notre dame de paris - Edith Piaf 13. Revoir paris - Charles Trenet 14. A la villette - Arletty 15. A paname un soir - Berthe Sylva 16. Mefiez vous de paris du film elena et les hommes - Juliette Greco 17. Y'a qu'a paris pour ca - Colette Renard 18. Attends moi sous l'obélisque - Georges Milton 19. La guinguette a ferme ses volets - Damia 20. La marche de ménilmontant - Maurice Chevalier 21. Oui je suis de paris - Mistinguett 22. De la madeleine a l’opera - Lucienne Boyer 23. Paris - Edith Piaf 24. A paris dans chaque faubourg - Lys Gauty 25. Bonjour paris - Renee Lebas
La nouvelle livraison de l'un des plus excitants guitaristes blues rock du moment ! Sorti en avril 2010, « Innerrevolution », le dernier album studio en date du guitariste / chanteur Philip Sayce a permis à cet artiste d'exception de prendre son envol en France. Suite aux excellentes critiques reçues par ce disque, Philip a enfin pu jouer dans l'Hexagone en tête d'affiche à Paris, au Réservoir, puis un peu partout en première partie de Deep Purple. Ces nombreux concerts ont prouvé qu'il était non seulement l'un des meilleurs guitaristes « blues rock » du circuit, mais aussi un chanteur irréprochable doublé d'un excellent compositeur. Intitulé « Ruby Electric », ce nouvel opus à l'avantage de présenter les deux faces que public a pu découvrir : 6 magnifiques nouveaux titres studio (dont un duo avec Melissa Etheridge sur « Let The Love In ») suivis de 8 titres « live » chargés d'énergie et de feeling (produits par le légendaire Eddie Kramer). Un disque mi live/mi studio à prendre comme une avant le véritable nouvel album studio déjà prévu pour début 2012. Né en 1976 au pays de Galles, Philip Sayce a grandi à Toronto, au Canada, où il a découvert la guitare en écoutant Eric Clapton, Ry Cooder et Dire Strait. Outre Jimi Hendrix et Stevie Ray Vaughan, il cite aussi B. B. King, Albert King, Albert Collins, Buddy Guy et Robert Cray comme principales influences. Après avoir accompagné Jeff Healey, Uncle Kracker et Melissa Etheridge, Philip Sayce avait sorti un premier album solo « Peace Machine » en 2005.
Le retour du guitariste de Cacophonie avec la participation de Steve Vai, Joe Bonamassa, Marty Friedman, Joe Satriani ! Jason Becker est le guitariste compositeur quiest atteint de SLA depuis 27 ans. La sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée, dans le monde francophone, maladie de Charcot, est une maladie neurodégénérative des motoneurones qui provoque une paralysie générale. Il a commencé sa carrière de musicien à 17 ans au sein du groupe Cacophonie avec Marty Friedman (Megadeth). Ses albums en solo ont été une grande source d'inspiration pour toute la scène guitare, metal et rock. A 20 ans, il intègre le groupe du déjà très célèbre David Lee Roth, période au cours de laquelle, ils sortent l'album A Little Ain't Enough, le 4ème album de David Lee Roth qui deviendra rapidement Disque d'Or. C'est malheureusement, peu de temps après, que Jason sera diagnostiqué comme étant victime de SLA. En 2012 est sorti le documentaire Jason Becker : Not Dead Yet. Ce doc qui retrace la vie de Jason a été primé dans de nombreux festival. Il a également récemment fait la couverture du magazine GUITAR PLAYER, avec le titre de meilleur shredder de tous les temps ! Aujourd'hui, il continue à composer et à sortir des morceaux grâce à un système de communication inventé par son père qui bénéficie également désormais à d'autres personnes atteintes de cette maladie très rare et terrible. De nombreux invités de marque ont tenu à participer à ce projet hors norme : Steve Vai, Joe Bonamassa, Paul Gilbert, Neal Schon, Marty Friedman, Greg Howe, Richie Kotzen, Matt Bissonette, Gregg Bissonette, Joe Satriani, Trevor Rabin Aussi à l'écoute de cet album, on constate avec bonheur que la maladie n'a en rien entamé les capacités créatives et artistiques de Jason Becker !
C'est donc le 1er avril que BLACK STONE CHERRY sortira son cinquième album. Intitulé « Kentucky » il s'agira du premier disque disponible sur Mascot Label Group, leur nouveau label. Ce titre est bien entendu directement inspiré de l'état où réside le quatuor. Il souligne également une sorte de retour aux sources. Ça n'est d'ailleurs pas un hasard non plus, si l'enregistrement a été réalisé au Barrick Recording, là même où le groupe avait enregistré son premier album il y a maintenant 8 ans. Lorsque l'on lui parle de ce nouvel album, le chanteur / guitariste, Chris Robertson ne cache pas son enthousiasme : « Nous sommes plus qu'heureux de pouvoir enfin sortir un disque comme « Kentucky » ! Depuis la sortie de notre premier album, nous tenions à revenir là où tout a commencé et c'est enfin possible ! Le propriétaire du studio, qui en est aussi l'ingénieur du son, ses supers équipements et BLACK STONE CHERRY ont été à nouveau réunis pour réaliser un disque bien particulier. On est reparti de là où l'on avait commencé et il s'est produit quelque chose de magique. Le cœur et l'âme de ces nouvelles chansons reflètent à la fois qui nous étions en 2006 et qui nous sommes devenus. Il y a quelque chose de très spécial derrière chacun de ces morceaux et je suis très impatient de pouvoir les partager avec le public! » Et le guitariste Ben Wells d'ajouter : « C'est de loin l'album le plus heavy, le plus agressif, que nous ayons jamais conçu. C'était notre objectif, même si nous sommes entrés en studio sans être trop préparés. Nous voulions que notre créativité se développe au fur et à mesure du processus. Le studio et l'équipe ont fait le reste. Au niveau des paroles, pas mal de gens devraient se reconnaitre dans nos textes, car nous relatons des trucs que nous avons vécus, ou sommes en train de vivre. Il s'agit du premier album que nous avons pu produire à 100%. Ça se sent. L'auditeur va se prendre en pleine gueule.
Joe Bonamassa est actuellement l'incontournable guitariste de blues rock !!! Ce tout nouvel album est tout simplement époustouflant!!! Classé N° 1 au Bilboard, le génial guitariste, chanteur et compositeur JOE BONAMASSA revient avec un nouvel opus intitulé « The Ballad Of John Henry » qui sera disponible le 24 Février 2009. Ce nouvel album (son 9ème) contient 12 titres partagés entre compositions originales et reprises de titres signés Ailene Bullock, Tom Waits et Tony Joe White entre autres. Joe Bonamassa continue avec cet album sa collaboration avec le producteur Kevin Shirley (Led Zeppelin, Aerosmith, Black Crowes). Faut il rappeler que Joe Bonamassa (guitariste prodige) démarra sa carrière à l'âge de 12 ans et que c'est le maître B.B.King qui l'engagea pour ouvrir ses concerts. Depuis, Joe continue de jouer avec B.B.King ainsi qu'avec d'autres légendes du blues. «The Ballad Of John Henry» marque les 20 ans de carrière de Joe Bonamassa en tant que musicien professionnel. Le guitariste dit que ce nouvel album reflète son plus gros travail à ce jour et que le titre The Ballad Of John Henry,est un hommage musclé de blues rock à l'encontre de ses héros qui l'ont inspiré. A découvrir les cover versions de As The Crow Flies, (Tony Joe White), Jockey Full Of Bourbon, (Tom Waits),Funkier Than A Mosquito's Tweeter,(Ailene Bullock), Feelin' Good(Anthony Newley/Leslie Bricusse), et le grandiose Stop! (vendu à 2,5 millions de copies) de la chanteuse Anglaise Sam Brown (qui débuta en 1976 avec les Small Faces sur l'album « In The Shades ») et qui cosigna ce hit avec Greg Sutton/Bruce Brody. Joe Bonamassa est de nouveau accompagné par les brillants musiciens que sont Carmine Rojas (bass), les deux batteurs Anton Fig et Bogie Bowles ainsi que par Rick Melick (keyboards) et Blondie Chaplin (rhythm guitar). C'est également le 1er album de Joe Bonamassa ou l'on peut entendre des cuivres (Lee Thornburg et David Woodford).
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.