« Nous sommes à la fin du XXIème siècle. L'homme voyage dans l'espace plus vite que la lumière. Il a établi des relations diplomatiques et commerciales avec ce ramassis d'extra-terrestres qu'on appelle « L'Alliance ». La Terre fait partie de cette Alliance, organisation regroupant 124 puissances extraterrestres. Afin de bénéficier des échanges culturels, technologiques et commerciaux, les Terriens ont une mission : protéger la planète Anachron, une planète vivant au stade médiéval, des ingérences extérieures. C'est sur cette planète que s'est réfugié l'ancien nazi Kriegalder poursuivi par le guérillero Varegua... Leur rencontre avec des habitants d'Anachron débouche sur les aventures les plus inattendues... « Anachron » nous entraîne dans une saga épique, épicée par des personnages hauts en couleur. La cohabitation entre les genres, déjà très balisés, de l'heroic fantasy et de la science-fiction, leur apporte une fraîcheur nouvelle. Ce dépaysement total est orchestré de mains de maîtres par Joël Jurion et Thierry Cailleteau, déjà auteur de la célèbre série « Aquablue ». Voici un magnifique coffret réunissant les quatre volumes, le cadeau idéal pour découvrir ou faire découvrir le premier cycle de cette excellente série.
« Qu'est-ce que le Pankat ? Vous n'avez pas une petite idée ? Une manière d'accéder à la force ? Un culte rendu aux ancêtres ? Un chemin vers la sagesse ? Vous pouvez pratiquer toute une vie sans jamais vous poser la question Alors souvenez-vous que le Pankat est avant tout un art de vivre. La seule façon d'envisager cet art est de tout lui donner et de tout attendre de lui en retour. Mais assez parlé place à la boxe !!! » Mané est un jeune homme qui renonce à tout et se rend à Irap, ville qui n'aime pas les perdants, pour apprendre le Pankat, un art de combat qui est aussi une philosophie de vie. Mais l'école de Pankat ne va pas l'accepter si facilement, il doit d'abord faire ses preuves. Et il erre, sans ressources, dans cette ville où la tentation du mal est omniprésente. Mané va se retrouver face à un cruel dilemme, partagé entre le bien et le mal, entre Eïam qui veut lui apprendre l'art noble du combat, et Féssat qui, au contraire, l'entraîne sur la mauvaise pente, celle du crime. Il va falloir choisir « Pankat » est une formidable nouvelle série ayant digéré les influences des manga, des comics, du franco-belge, et lançant des clins d' il aussi bien à « Dragon Ball » qu'à Moebius, à « H.K. » qu'à Emmanuel Guibert. Un vrai régal !
Il était une fois un pays enchanté, peuplé de fées et de chaperons rouges et où les chats étaient bottés. Un pays où les princes charmants épousaient les bergères toujours un peu surprises de voir leur ex-grenouille de mari monter sur une échelle à chaque changement de temps ! Un jour, fruit des amours d'une rose et d'un papillon, naquit une ravissante petite fée que l'on nomma Aveline. Comme de coutume, les autres fées se penchèrent sur le berceau, sauf la méchante Carabosse qu'on avait oublié d'inviter... La sorcière jeta donc sur la pauvre Aveline la malédiction qui suit : Petite fée Aveline, chaque fois que ton coeur sera touché par l'amour tu perdras tes pouvoirs magiques ! . Ainsi débutent les aventures de la Fée Avelin e, imaginées par René Goscinny pour le dessinateur Coq. De 1967 à 1969, au coeur des swinging sixties, les lecteurs de Jour de France ont ainsi pu suivre les déboires de cette charmante nymphette. On retrouve ici toute la verve parodique de René Goscinny associée au charme du dessin de Coq, illustrateur espagnol qui fut l'un des piliers de la presse parisienne de l'époque, grâce à des séries comme Le Docteur Gaudéamus ou Mamzelle Souris. Ce recueil est préfacé par Henri Filippini.
« A mort le poil !! » Tel pourrait être le cri de guerre de Valentine, phobique de toute excroissance pileuse. Jeune femme célibataire et névrosée, elle a cristallisé toutes ses épouvantes dans la quête de la peau lisse ! Et attention, parfois dans ses cauchemars hallucinatoires, les poils rebelles lui parlent ! Ils organisent des sabotages terroristes sur les rasoirs électriques et autres épilateurs et apparaissent lors de ses séances -inutiles- chez le psy. Mais qui pourra bien sauver Valentine de sa solitude insoutenable ? Jennifer sa meilleure copine qui a tout pour être heureuse ? Son psy au bord de la crise de nerf ? Sa mère qui ne l'écoute pas et qui a un chien plein de ... poils !Non, non, l'araignée au plafond de Valentine a encore de beaux jours devant elle. A moins qu'elle trouve un beau Don Juan qui accepte ses allergies aux poils de jambes, d'aisselles, de moustaches, de brosse à dent, de paillasson, de balai, de guirlande, de pinceau... Digne héritière des Frustrés de Brétécher, la série Valentine brosse (sans poil) le portrait d'une jeune femme cynique et désabusée et surtout très très déjantée !! Grâce à un style tranchant et efficace aux couleurs acidulées, ces gags en une planche vous feront rire des malheurs dérisoires et quotidiens de Valentine !
Alors... Voilà comment tout a commencé...Yoyo est un bon gros sauvage africain. Tranquille sur son île, il voit un avion américain s'écraser devant lui. Il récupère les survivants encore sonnés avec comme seul but de les bouffer. Mais l'un d'eux se réveille, le prend pour son sauveur, l'emmène aux Etats-Unis, et en fait un être civilisé en même temps que son fils adoptif. Ah... ces bons Américains...Des années après, le vieil homme répondant au nom de Grimaldy est sur son lit de mort. Avant le trépas, il confie à Yoyo un lourd secret. Sa famille est victime depuis des générations de la malédiction de la Lune Noire, et il fait jurer à son protégé qu'il sauvera son arrière-petite-fille, une adorable petite chipie.Et nous suivons alors les aventures du bon Yoyo et de la petite mademoiselle Eve Grimaldy en plein coeur des steppes de Transylvanie, luttant contre les monstres du Voïvode Noir.Réédition en une intégrale des deux albums des Exploits de Yoyo » parus aux Editions Glénat au milieu des années 80 et depuis longtemps épuisés. Vous y retrouverez le verbe truculent de Yann et le trait déjà extrêmement pertinent de Frank Le Gall. Une superbe série qui mélange humour absurde, aventure et science-fiction. Un petit régal.
On raconte des blagues depuis qu'on est gamin dans les cours d'écoles. On les écoute ensuite au comptoir du bistrot avec ses collègues. Lors des sempiternels repas de famille, chacun essaie de sortir son meilleur cru. Les Guides en BD ont donc eu la riche idée de transposer en bande dessinée une sélection des meilleurs histoires drôles de notre patrimoine, des plus célèbres aux petites perles cachées. Leur point commun, dans ce nouvel ouvrage de la collection, c'est qu'il s'agit de blagues destinées à destresser les plus paniqués d'entre vous !Finis l'angoisse, les crises existentielles en veux-tu en voilà, les remises en question, les doutes, les déprimes et les petits tracas du quotidien... Pas de Panique vous détend envous racontant des blagues, en bande dessinée, dont le thème est justement la détente et l'arrêt de la prise compulsive et régulière de Lexomil. Si c'est pas de la belle mise en abîme, ça !Plusieurs auteurs se sont associés pour vous raconter des blagues plus délirantes les unes que les autres et savamment mises en images. Les blagues, une fois qu'on les a lues en bande dessinée, on ne les oublie plus. Pas de Panique ! est un ouvrage hilarant. Il vous permettra de rire et de faire rire aux larmes pendant vos soirées entre amis et vos dîners en famille.
Carmilla est une adolescente de 13 ans vive et jolie, collégienne de 4e appréciée de ses professeurs et de ses camarades de classe, nantie d'une adorable petite soeur, Mina, de 4 ans sa cadette, avec laquelle elle s'entend à merveille et de trois inséparables amies auprès desquelles elle est sûre de trouver, quoiqu'il arrive, aide et réconfort. Tout irait pour le mieux dans la vie de Carmilla s'il n'y avait trois points noirs à son tableau : des oreilles proéminentes qu'elle cache sous un bandeau, Jonathan ; un prince charmant fan de foot qu'elle peine à attacher à ses pas et, pire que tout , un petit frère, encore réduit à l'état d'hypothèse, maisque ses parents semblent bien décidés à vouloir lui offrir. Et ce cadeau-là, Carmilla n'a aucune mais vraiment aucune envie de le recevoir !Voilà une histoire à laquelle toutes les adolescentes pourront sans peine s'identifier ! Car les préoccupations de Carmilla sont celles que rencontrent toutes les jeunes filles : amours naissantes, amitiés indéfectibles, bouleversements familiaux Et c'est avec tendresse que Murail, habitué de la littérature jeunesse, a réussi à dépeindre l'univers de ces petits bouts de femmes en devenir servit par le dessin très actuel de la jeune Laurel.
Le Non-Nommé, créature maléfique à l'incommensurable puissance, a été malencontreusement réveillé par nos héros lors de l'épisode précédent. Après avoir transformé en esclaves les criminels de guerre néo-nazis en fuite et leur chef,Adolfo Kriegadler, il s'apprête à semer la terreur sur la planète Anachron.Pendant ce temps, l'écuyer Aymeric va enfin épouser la belle Ysoldine, dont il a gagné la main en flouant le mercenaire Wodan de sa victoire sur les orques. Celui-ci, ivre de rage, est en route pour le château de Norpath avec la ferme intention d'interrompre les noces. Quant à Hugo Varegua, la disparition de la station orbitale terrienne « Vigilance », dans des circonstances mystérieuses, le condamne à rester à la surfaced'Anachron. C'est finalement une chance, car le barde Falgant va lui révéler que sa mission était loin d'être terminée.Anachron nous entraîne dans une saga épique, épicée par des personnages hauts en couleur et souvent bourrés d'humour. La cohabitation entre les genres, déjà très balisés, de l'heroic fantasy et de la science-fiction, leur apporte une fraîcheur nouvelle. Ce dépaysement total est orchestré de mains de maîtres par Joël Jurion et Thierry Cailleteau, déjà auteur de la célèbre série Aquablue.
Mesdames et Messieurs, approchez ! ! ! Approchez tous et venez contempler le grand cirque Pazini. Autour de Monsieur Loyal, le directeur, découvrez de grands artistes d'envergure internationale : « Madame Lolita, caissière et chef d'orchestre, Bingo, le célèbrissime clown qui a fait rire de ses facéties le monde entier, et même au-delà, Anton Dzerjinsk, le très fameux motard de la mort sur son fil d'acier, Prince Modolo, venu du coeur de l'Afrique avec ses redoutables lions, et la divine mademoiselle Violette qui exprime toute sa grâce dans un éblouissant numéro d'écuyère. »Cette petite troupe est un véritable ramassis d'artistes ratés, au verbe plus que truculent, à la mauvaise foi évidente et à la bonne humeur contagieuse.Pris pour des romanichels, ils sont sur le point de se faire éjecter d'un petit village paumé par les autorités locales, lorsque Mademoiselle Violette s'échappe avec le lion Vulcain. Et celui-ci, pourtant bien inoffensif et seulement affamé, va semer dans le village une zizanie sans précédent...Dans cette nouvelle et très drôle série qu'est Les Farfelingues, découvrez le dessin vitaminé de Pierre Guilmard et l'imagination débordante de Régis Loisel.
Comment passer à la télé et épater ses voisins ? une télé peut-elle joliment décorer la maison ? la télé peut-elle remplacer une baby-sitter et garder les enfants ? vaut-il mieux avoir une femme, un mari ou une télé ? doit-on installer sa télé dans les wc ou dans le garage ? sit-com, film érotique et météo sont-ils des émissions culturelles ? les variétés sont-elles plus intéressantes que les documentaires scientifiques ? les émissions pour enfants sont-elles trop intellectuelles ? la publicité est-elle hypocrite ou trompeuse ? que choisir : match de foot, feuilleton d'amour ou film d'aventure ? un présentateur télé a-t-il une haleine fétide ? quelles sont les émissions les plus sexuelles ? y a-t-il moyen de s'enrichir avec la télé ? vaut-il mieux se droguer à la télé ou au vin rouge ? comment regarder la télé au travail sans se faire repérer par son chef ? c'est à toutes ces questions et à bien d'autres que se posent celles et ceux qui regardent la télé que le guide de la télé en bande dessinée apporte des réponses.Filmé avec un talent époustouflant par deux téléphiles accomplis, cet album de gags vous entraîne sur les chemins du petit écran avec ferveur et allégresse afin de vous ouvrir toutes grandes les portes de la téléphagie chronique.
Japon, au début de l'ère Edo, quelque part entre le XVIIème et le XVIIIème siècle...Daisuke, désormais sans maître, très marqué par la perte de sa soeur et par son aventure chez Aohige, parcourt l'archipel à la recherche de l'aventure, convaincu qu'il a une quête à effectuer avant de trouver la paix intérieure. Il sauve un nain bousculé par une bande de rônins éméchés, avant de croiser, au détour d'un chemin, une petite fille âgée de six ou sept ans. Nommée Shiro Yuki, elle lui annonce, affolée, qu'elle est traquée par des tueurs. Excellent samouraï, Daisuke tue les hommes sans peine et prend Yuki sous sa protection, qui lui raconte alors son histoire. Elle est l'héritière, orpheline, d'un domaine important convoité par une femme san s scrupules, la cruelle Saori. Celle-ci a engagé de nombreux tueurs pour prendre possession du domaine par la force. Tous les fidèles de Yuki ont été sauvagement assassinés. Daisuke, qui était à la recherche d'une quête nouvelle, sait maintenant ce qui lui reste à accomplir... Même si la tâche ne sera pas des plus aisées...Cette série, ayant inaugurée la collection Equinoxe avec brio, signée par deux surdoués de la bande dessinée, est une véritable merveille. A découvrir d'urgence !
T'as vu la tronche qu'elle a celle-là ? Et toi, t'as vu la tienne ? Dis-donc, t'as une sale tête ce matin ? Et lui, depuis qu'il porte le bouc, ce n'est plus le même homme ! Et elle, pourquoi elle a coupé ses cheveux, on ne la reconnaît plus?... On est tous d'accord sur un point, on juge souvent les gens sur leur faciès, plus souvent à tort qu'a raison d'ailleurs. T'as vu ta tronche ? va enfin vous permettre de le faire correctement, et ce tout en vous fendant la poire.Car Jim et Gaston nous ont concocté un livre poilant sur la morphopsychologie qui décrypte tous les petits secrets de nos apparences physiques. Pourquoi tel nez, telle coupe de cheveux, tel type de lunettes ? Comment joue-t-on avec tous ces éléments et quel sens leur donner véritablement oeAvec mauvaise foi et s'appuyant sur d'authentiques et nombreuses recherches, les auteurs vont détailler une à une les différentes parties de nous-mêmes, jouant avec ce puzzle humain comme autant de raison de balancer les vérités plus ou moins bonnes à avouer. Se moquer de tout le monde, de soi y compris, pour apprendre à s'accepter et à accepter les autres. Le parti d'en rire semble donc la meilleure des solutions. Un livre destiné aux curieux, moqueurs, adeptes du foutage de gueule, pas sûrs d'eux ou trop sûrs d'eux... En fait, tout le monde est concerné par cet album.
Le plus impitoyable mafieux de la BD est de retour !Dans les années 1930, Lucas Torelli, dit « Torpedo », était une légende des faubourgs de New-York. Un sicilien âpre à la cogne et détendu de la gâchette qui a su ne se faire que des amis - les autres ne sont plus là pour en parler. Près de quarante ans plus tard, la Grande Pomme a pas mal changé. Torpedo, pas tellement. Et alors qu'un petit scribouillard s'apprête à écrire un article sur la famille Caputo, les démons du passé de Torpedo refont surface. En même temps que ses sales vieilles habitudes...Le personnage légendaire créé par Enrique Sanchez Abuli est de retour après trois décennies d'absence sans nouvelles histoires ! Cet événement s'accompagne d'un renouveau graphique puisque c'est l'Argentin Eduardo Risso (Je suis un vampire, 100 Bullets) qui relève avec brio le défi de succéder à Jordi Bernet ; mais également narratif : exit les faubourgs obscurs des années trente, bienvenue dans la New-York illuminée des années disco ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le passage du temps a laissé quelques traces sur le visage de notre gangster... mais surtout pas mal sur son âme.Sortant simultanément dans deux éditions couleurs et noir et blanc, Torpedo 1972 est un album à lire avec un plaisir aussi graphique que coupable.
Premier tome d'un diptyque plein de sorcellerie, de tendresse et d'action !Zora est une pétillante sorcière de 12 ans qui vit, avec sa grand-mère Babouchka, sur le toit d'un immeuble parisien. Victimes de la chasse aux sorcières, elles ont trouvé refuge dans une étrange maison, invisible aux yeux des Nonsorciers et entourée d'un immense jardin magique qui les protège de tous dangers. La vie pourrait être douce mais entre la jeune fille et son aïeul : c'est la guerre. Babouchka n'aspire qu'à une chose que sa petite fille ait une vie normale, une vie dans le monde des Nonsorciers. Zora refuse de céder, elle, ce qu'elle veut, c'est être une sorcière ! Partir à l'aventure, sauver le monde, avoir une existence survoltée pleine de monstres, de périls et de dangers ! Malheureusement, sa grand-mère use de ses pouvoirs pour l'envoyer, contre son gré, au collège du coin... Loin des sortilèges et des potions, Zora découvre les histoires d'amitié, le besoin d'indépendance, les moqueries des camarades, les élans amoureux. Mais ces nouvelles expériences ont un prix que Zora n'est pas prête à payer : la magie. Une attitude qui risque de mettre en danger toute la communauté des sorcières...En abordant avec délicatesse et humour les questions de la différence et de la transmission, Les sortilèges de Zora forme un récit merveilleux aussi attachant qu'intelligent.
Le début de la fin des temps !Une immense vague glaciaire a frappé l'ensemble du territoire. Seule épargnée de la catastrophe, devenue terre d'asile pour tous les réfugiés climatiques, la nation du Petitghistan doit revoir ses grands plans de conquête du monde, puisque c'est justement le reste du monde qui vient frapper à sa porte. Même le triste palais volant du baron chagrin s'est ecrasé dans les terres gelées. Et le maître des lieux y est retrouvé refroidi. Mort. Lui qui devait vivre jusqu'à la fin des temps ! Cela voudrait-il dire que celle-ci est finalement arrivée ? Et que vont bien pouvoir y faire Manie Ganza, Eugène, La Perue et tous les saugres ?Réponses dans l'ultime tome d'Azimut, toujours aussi brillamment orchestré par le talent conjugué de Lupano et Andreae. Porté par un langage enlevé, une inventivité folle et un graphisme baroque, cette série à part dans le paysage de la bande dessinée nous embarque toujours plus loin dans un univers exaltant où le fantastique et l'absurde servent de masque aux plus profondes préoccupations existentielles humaines.À l'occasion de cette nouveauté, le premier volume de Azimut paraît dans une nouvelle édition spéciale 50 ans Glénat, avec couverture inédite et jaquette-poster reversible.
Le plus impitoyable mafieux de la BD est de retour !Dans les années 1930, Lucas Torelli, dit « Torpedo », était une légende des faubourgs de New-York. Un sicilien âpre à la cogne et détendu de la gâchette qui a su ne se faire que des amis - les autres ne sont plus là pour en parler.Près de quarante ans plus tard, la Grande Pomme a pas mal changé. Torpedo, pas tellement. Et alors qu'un petit scribouillard s'apprête à écrire un article sur la famille Caputo, les démons du passé de Torpedo refont surface. En même temps que ses sales vieilles habitudes...Le personnage légendaire créé par Enrique Sanchez Abuli est de retour après trois décennies d'absence sans nouvelles histoires ! Cet événement s'accompagne d'un renouveau graphique puisque c'est l'Argentin Eduardo Risso (Je suis un vampire, 100 Bullets) qui relève avec brio le défi de succéder à Jordi Bernet ; mais également narratif : exit les faubourgs obscurs des années trente, bienvenue dans la New-York illuminée des années disco ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le passage du temps a laissé quelques traces sur le visage de notre gangster... mais surtout pas mal sur son âme.Sortant simultanément dans deux éditions couleurs et noir et blanc, Torpedo 1972 est un album à lire avec un plaisir aussi graphique que coupable.
Une jeune mère de famille, un employé de bureau quadragénaire, un adolescent perturbé, et un retraité paisible vont être confrontés à un cas de conscience quasi insoluble : on propose à chacun de tuer l'un d'entre eux en échange d'un million de dollars Mais alors que tous jusqu'ici avaient réussi à éloigner cette proposition diabolique de leurs pensées, voilà que les événements se précipitent pour les pousser à la tentation. A commettre l'irréparable. Insidieusement, l'alternative de ce million qui pourrait changer leur vie les serine inlassablement. Moses retombe dans l'alcool et la culpabilité : cet argent lui permettrait d'offrir un traitement adapté à son épouse. Sarah risque de perdre la garde de ses enfants si elle ne remet pas un peu « d'ordre » dans son ménage. Henry, outre ses problèmes de jeu, vient de se faire licencier par un patron qui l'ahumilié pendant douze longues années. Seul Tobey semble prendre parfaitement acte des pulsions qui le poussent à tenir de plus en plus fermement ce pistolet dans la main « Les scrupules tombent, l'égoïsme et la cupidité reprennent le dessus Car large est le chemin qui mène à la perdition ».Les personnages se cherchent, se croisent, s'éloignent, se croisent à nouveau, créant un récit dans l'esprit de Short Cuts ou de Pulp Fiction assez inédit en bande dessinée.
Un détective privé à la recherche de tableaux disparus.Pour Kazimir Doen, ancien flic allergique à l'autorité devenu détective privé spécialisé dans les milieux de l'Art, une nouvelle affaire n'est pas juste une nouvelle affaire. C'est aussi un moyen de garder la tête hors de l'eau. Car suite à un drame personnel Kazimir vivote en pleine dépression. Aussi lorsqu'une administratrice du Musée d'Art Moderne Georges-Pompidou lui demande d'enquêter sur une célèbre série de tableaux qu'elle aimerait acquérir, la trilogie des «Carrés», de Boskovich, disparus depuis la fin des années 30, Kazimir n'hésite pas. Courir le monde à la recherche de ces trois tableaux éparpillés lui semble être une bonne occasion de tromper son mal-être mélancolique. Première étape : la République Centrafricaine, un petit pays pas forcément touristique. Mais c'est le pays où le premier tableau de la trilogie de Boskovich, le «Carré noir sur fond blanc», serait entre les mains d'un ancien nazi qui l'avait confisqué à son possesseur juif, envoyé dans les Camps de la Mort. Kazimir, porté par un regain de combativité, se met donc en chasse. Il ignore encore que sa traque n'aura rien de simple. Et que les couleurs respectives des trois Carrés - noir, rouge et blanc - seront aussi celles de son état d'esprit, du désespoir vers une possible rédemption...
Être taxi à New-York.Après 20 ans sur des tournages de films et de séries, Benoît Cohen se sent vidé. L'enthousiasme s'est échappé. L'envie d'arrêter l'écriture et de poser un temps la caméra s'est tout entière emparée de lui. En 2015, cela fait un an qu'il réside à New-York et, pour se nourrir de la richesse de la métropole, il décide de devenir chauffeur de taxi. Dans une école du Queens, il apprend les ficelles du métier, fait la rencontre de ses futurs collègues (tous précaires, tous migrants...) et affronte le labyrinthe administratif qui mène à la licence de Taxi driver. Au volant de l'emblématique Yellow Cab, il arpente big Apple, observe les visages de ses milliers de passagers, discute... et fait régulièrement face aux préjugés qui entourent sa nouvelle profession. Ceux qui entraînent les clients, les flics et la ville entière à le considérer aléatoirement avec passivité, gentillesse ou agressivité...Benoît Cohen voulait écrire un film. Pourtant, la matière qu'il extrait de cette expérience sociale le marque profondément et l'amène à emprunter des chemins insoupçonnés. Le projet se transforme en roman autobiographique intercalé de réflexions sur le processus créatif. D'abord édité chez Flammarion, il prend dorénavant la forme d'une sublime bande dessinée grâce à Chabouté. Une aventure sensible, profondément humaine, devenue livre au graphisme époustouflant qui rend un vibrant hommage à la plus célèbre des cités américaines.
Ce récit autobiographique commence le 11 septembre 2001, à New York. L'auteur, Henrik Rehr, habite à 200 mètres du World Trade Center. Ce jour-là, comme tous les jours, sa femme Evelyn part au travail en emmenant leur fils aînéDylan à l'école. Lui reste travailler à la maison en s'occupant de leur second enfant de deux ans. A 8h48, un premier avion s'abat sur l'une des Twins Towers... La suite appartient à l'histoire...Mardi 11 Septembre n'est pas un ouvrage d'analyse politique ou historique de cette catastrophe. C'est l'histoire d'un être humain, perdu au coeur d'un événement, d'un homme face à la perte d'un être cher. Les premières pensées de Henrik vont à sa femme, qu'il n'arrive pas à joindre à son bureau. Quand ilsparviennent enfin à se parler, il se rendent compte que ni l'un ni l'autre n'a de nouvelles de Dylan. Pour Henrik, cette angoisse lui remémore la naissance de son fils, où sa femme fut atteinte d'une grave maladie caractérisée par des convulsions accompagnées de coma. Si, en apparence, le cerveau n'étais pas atteint, Evelyn avait pourtant perdu ses esprits, délirant constamment. Henrik s'est demandé pendant plusieurs jours s'il n'allait pas devoir commencer une nouvelle vie avec un nourrisson et une épouse devenue folle. Ces flashes-back intimes ponctuent le récit du 11 septembre où l'on suit l'évacuation du quartier et la recherche de Dylan... qu'Henrik retrouvera heureusement sain et sauf.
Margot Saint-Benoît est dépêchée sur le chantier de l'abbaye en construction dont le maître-bâtisseur vient de mourir mystérieusement. Margot, dont les propres compétences ne sont plus à prouver, reprend les rênes du chantier avec l'assentiment de Messire Bertrand, maître d'ouvrage et frère de la future abbesse. Mais rapidement, des évènements tragiques vont venir contrarier la construction de cette abbaye novatrice .Peu à peu, Margot est perturbée par des visions macabres. Visions qui s'avèrent refléter une réalité que chacun essaie tant bien que mal de lui cacher : une série d'abominables meurtres sacrificiels ensanglante Eyglière depuis plusieurs semaines déjà ! Étrangère, femme, et progressiste, la jeune Margot devient vite le bouc émissaire de ces faits pour le moins troublants.Malgré l'animosité des compagnons et l'hypocrisie environnante, Margot décide de continuer le chantier tout en menant l'enquête. Grâce au soutien de Messire Bertrand et l'aide d'une jeune fille étrange perçue comme un suppôt du diable par les compagnons, elle va ainsi découvrir des secrets qui l'entraîneront vers un destin tragique.Un polar fantastique et médiéval en deux tomes, porté par le scénario passionnant de Michael Le Galli, tout à fait dans la veine du Nom de la Rose ou des romans de Ken Follet, et par le dessin de Marie Jaffredo dont les pages en couleurs directes sont à couper le souffle.
Il y a toujours quelque chose de pourri au Royaume de Gorre... C'est toujours quand on croit que l'on va être tranquille cinq minutes, que le téléphone sonne pour vous rappeler que rien ne va plus. Au royaume de Gorre, c'est la même chose. La prophétie en suspend, la vie ne peut poursuivre son cours normal. Les morts ne trouvent plus le repos, d'anciens monstres se réveillent, le service public ne fait pas grève, et surtout, le succube nommé Rose s'est une nouvelle fois échappé. Tristan et Iseult, de louches chasseurs de démons, sont envoyés à la recherche de la seule personne ayant réussi à tenir tête au démon des années auparavant : Arno Van Malt, l'exorciste homéopathe. Que découvriront-ils au cours de leur enquête oeQuels sont les ingrédients qui entrent dans la composition du tonique qu'Arno Van Malt commercialise ? Iseult est-elle vraiment une femme ? Qui est le mystérieux démon nommé Bleuet qui poursuit Arno et Woody en dévastant tout sur son passage ? Pourquoi tout le monde est-il à la recherche d'Arno et Woody, alors qu'ils sont clairement les dernières personnes à qui je confierais mon enfant ? Rose est-elle si méchante ? Peut-on faire un résumé de l'album en moins de dix lignes oeEn tout cas, une chose est sûre :Woody, l'enfant marqué du destin, objet de toutes les convoitises, est celui parqui tout commença et par qui tout doit finir.
Salut ! Vous commencez à nous connaître, maintenant, mon copain Sboub et moi. Vous savez aussi qu'on est complètement fans de cinéma. On en est même tellement fans, qu'on s'amuse tous les jours à rejouer nos films préférés. Vous voulez avoir quelques exemples de notre nouvel album ? Alors, en voici : « Le Pacte des Loups » (mais on a remplacé la bête mystérieuse par un pitbull), « La Soupe aux choux » (il suffit de savoir péter pour faire venir un extraterrestre sur Terre), « Usual Suspects » (face au proviseur, on sauve notre peau en inventant une histoire avec les noms des objets autour de nous), ou bien « Abyss » (qu'on réinterprète dans la salle de bains), ... Mais mon copain Sboub il a toujours pas plus de chance... il continue demourir chaque fois à la fin...Série de gags en une planche, Sboub est un véritable pavé dans la mare de la bande dessinée d'humour et conjugue les talents de faire rire aux larmes toutes les générations de lecteurs, mais également de cinéphiles. En prenant comme cibles certains des films les plus célèbres du patrimoine français et mondial, puis en les tournant en dérision par l'intermédiaire de leurs deux personnages loufoques, Seb Floc'h et Pierre Loyvet ont réussi leur pari. Un humour qui doit tout autant à « South Park » qu'à « Beavis & Butthead », à la Belgium and French Touch qu'à Monsieur Cinéma. Un régal...
Attention ! Série parodique ! ! !Lizina est l'une des sorcières du Pays des Onze Forêts. Un matin, elle réalise que son balai nommé Béjart refuse de voler en journée. La seule solution est de trouver un enchanteur. En partant à sa recherche, elle rentre en contact avec la reine de la Forêt Molle qui lui indique que l'enchanteur Lhommdor . jj pourrait l'aider, mais celui-ci a été enlevé par les deux sorcières Maria'ka et Célin'di. Ces deux bannies désirent faire une carrière dans la chanson. Mais comme toutes les sorcières chantent faux et que l'enchanteur Lhommdor . jj refuse de leur apprendre, elles l'ont tout simplement séquestré.En compagnie de la fifille Tabata, membre de la suite de la reine Molle, Lizina part sur les traces d e celui qui pourrait faire voler à nouveau son balai Béjart. En chemin, elles vont rencontrer toutes sortes de dangers, des moutons carnassiers, des chasseurs de sorcières, des elfes, le dragon Pili-Pili, pour enfin pénétrer dans la forêt Calcinée. Le voyage s'annonce mouvementé... Humour et second degré sont au rendez-vous de cette nouvelle série ! Dizier et Weykmans, jeunes auteurs qui signent tous deux leur premier album, nous montrent avec jubilation que l'heroic fantasy peut aussi être sujet à une grosse tranche de rigolade !
Tom Cleggan est un ancien terroriste de l'I.R.A qui oeuvrait à l'époque sous le pseudonyme de Tower . Porté disparu depuis des années, il a refait sa vie en Italie, auprès d'une jolie femme qui ignore tout de son passé politique. Il tente depuis plusieurs années de couler des jours paisibles, mais ses anciens démons le poursuivent. Alors que l'Irlande est sur le point de conclure enfin la paix, une nouvelle vague d'attentats signés Tower frappe la population. Au même moment, des tueurs retrouvent sa trace, prouvant les connexions entre les services secrets britanniques et la mafia italienne. Tower retourne ensuite à Belfast, bien décidé à retrouver la piste de son ancien supérieur, qui veut maintenant sa peau. Baignant malgré lui dans un climat d'une violence inouïe, il doit lutter tant contre ses anciens alliés que contre les autorités, pour sauver sa peau, prouver son innocence et espérer enfin vivre en paix. Tower est une grande série d'action où un homme doit se battre seul contre un complot qui cherche à le broyer. Du suspense et de l'aventure rehaussés par une approche détaillée de l'actualité contemporaine en Irlande du Nord. Face au très bon accueil public du premier tome, les éditions Vents d'Ouest accompagnent la sortie du tome 2 par la réédition du premier volume. La série Tower se pré sente maintenant avec une nouvelle maquette, beaucoup plus moderne et dynamique, à l'image de cette série de grande qualité.
Tom Cleggan est un ancien terroriste de l'I.R.A qui oeuvrait à l'époque sous le pseudonyme de Tower . Porté disparu depuis des années, il a refait sa vie en Italie, auprès d'une jolie femme qui ignore tout de son passé politique. Il tente depuis plusieurs années de couler des jours paisibles, mais ses anciens démons le poursuivent. Alors que l'Irlande est sur le point de conclure enfin la paix, une nouvelle vague d'attentats signés Tower frappe la population. Au même moment, des tueurs retrouvent sa trace, prouvant les connexions entre les services secrets britanniques et la mafia italienne. Tower retourne ensuite à Belfast, bien décidé à retrouver la piste de son ancien supérieur, qui veut maintenant sa peau. Baignant malgré lui dans un climat d'une violence inouïe, il doit lutter tant contre ses anciens alliés que contre les autorités, pour sauver sa peau, prouver son innocence et espérer enfin vivre en paix. Tower est une grande série d'action où un homme doit se battre seul contre un complot qui cherche à le broyer. Du suspense et de l'aventure rehaussés par une approche détaillée de l'actualité contemporaine en Irlande du Nord. Face au très bon accueil public du premier tome, les éditions Vents d'Ouest accompagnent la sortie du tome 2 par la réédition du premier volume. La série Tower se pré sente maintenant avec une nouvelle maquette, beaucoup plus moderne et dynamique, à l'image de cette série de grande qualité.
Franchement, ça fait combien de temps que vous n'avez pas invité une personne du sexe opposé chez vous ? Vous vous souvenez encore à quoi ça ressemble, au fait, le sexe opposé ? Car on dirait bien justement que le sexe, vous y êtes opposé, mais complètement opposé ! Non mais sérieusement, vous croyez que c'est avec vos habitudes de vieux garçon, de vieille fille, que vous allez rencontrer l'âme soeur ? Car vous en avez des tics, ça ! Et des habitudes, et des manies, et tout ça fait peur aux gens, et plus le temps passe, plus il devient difficile de séduire... Mais en même temps, en tant que célibataire endurci, vous êtes quand même bien tranquille ! Personne pour vous courir sur le haricot, vous engueuler ou vous sommer de ranger tout de suite vos chaussettes sales, ou pire, de l'emmener en week-end ! Bref, vous êtes célibataire, et que ça vous plaise ou non, c'est comme cela ! Vous vous reconnaissez ? Vous reconnaissez l'un ou l'une de vos proches ? Courez vite vous procurer le « Guide du célibataire », ouvrage qui met le doigt là ou vous avez mal, mais avec beaucoup d'humour et peu de sérieux... Un guide ou le bon sens des auteurs s'allie à la perfection avec leur goût de la dérision... Il est dessiné par Clech et scénarisé par Jacky Goupil, le « grand manitou » de cette collection d'humour qui rencontre un énorme succès ! Les titres se sont en effet déjà vendus à plus de 1.000.000 d'exemplaires. A chaque événement de la vie correspond une bande dessinée pleine d'humour et d'imagination. Des livres tout public qui font d'excellentes idées de cadeaux.
Dans le désert de Tiköo, sur la planète Shrög, un convoi du Consortium de la Paix ramène une expédition archéologique de contrées peu explorées. A son bord, le professeur Zopal au comble de l'allégresse ! En effet, il a réussi à déchiffrer les runes de la perle de savoir des Ugöys ! Grâce à cette relique, il pourra découvrir les secrets de cette glorieuse civilisation. Malheureusement, une bande d'avides pirates met fin aux ambitions du professeur : nul ne réchappe au dynamitage du véhicule. Inconscient du prix de ce qu'ils ont entre les mains, les pilleurs repartent avec ce qu'ils pensent être de la pacotille. Néanmoins, cet incident parvient jusqu'aux plus hautes sphères de Shrög et le Mage-Commandeur doit se résoudre à rappeler l'affilié Buck sur le terrain. Baroudeur compétent et entraîné pour toutes les situations, c'est aussi un dragueur sans complexe. Ainsi, lorsqu'on lui adjoint les services du professeur Loola Onatop, aussi érudite que raffinée, les quiproquos et les situations cocasses s'enchaînent sans retenue ! Cependant, l'importance de la perle et les secrets qu'elles renferment peut bouleverser la face de Shrög. Loola, Buck et Käliz en ont conscience. Maniant humour et aventure avec brio, Frédéric Campoy et Bruno Campoy dressent un monde richement coloré et exotique. Leur héros Buck, croisementd'Indiana Jones et de James Bond, et ses deux acolytes, la sculpturale Loola et le « presque honnête » Käliz, nous plongent dans une grande saga de science-fiction, menée tambours battants !
Vous en avez vraiment ras le bol de tout ? De votre femme ? De votre mari ? De payer des impôts ? Des embouteillages le matin en partant au boulot ? De votre boulot, justement ? De votre patron ? De votre secrétaire ? De vos voisins ? De votre belle-mère ? De votre banquier ? De la mondialisation ? De la guerre ? Des hommes politiques ? De la corruption ? De votre collègue de bureau qui fait le même boulot que vous, en moins bien, mais qui gagne pourtant le double de votre salaire ? De la météo tout le temps déprimante, et surtout quand vous partez en week-end ? De payer 15 euros pour un jambon-beurre et une bière ? Des gamins qui réclament tout le temps de l'argent de poche sans même balancer un s'il te plait ou un merci ? Des animateurs télé ringards ? Des chanteuses québécoises gueulardes qui vendent pourtant des millions de disques ? De BHL ? De Jean-Edouard qui couche avec Jenifer après Loana ? De la tartine qui tombe tout le temps du côté confiture ? De la chaussette que vous avez au pied sans parvenir à mettre la main sur la seconde planquée au fond de la commode ou, pire, restée dans le sac de linge sale ? Des grèves de bus ? Des chiens qui défèquent dans la rue ? Des gens qui discutent au cinéma comme s'ils étaient dans leur salon ? Du budget de l'armée ?Si vous répondez oui à au moins une de ces questions, Le Guide du ras le bol vous est destiné !Un guide ou le bon sens des auteurs s'allie à la perfectionavec leur goût de la dérision... Il est dessiné par Christian Godard, en personne, grand scénariste et dessinateur de BD depuis des décennies, et scénarisé par Jacky Goupil, le grand manitou de cette collection d'humour qui rencontre un succès énorme ! Les titres se sont en effet déjà vendus à plus de 1.000.000 d'exemplaires. A chaque événement de la vie correspond une bande dessinée pleine d'humour et d'imagination. Des livres tout public qui font d'excellentes idées de cadeaux.
Qui n'a pas vibré face au courage de Doc Justice ? Qui ne s'est pas esclaffé devant les gags de Pifou ? Qui ne s'est pas extasié de la hardiesse de Fanfan La Tulipe ? Et Pif le chien ? Et Dicentim ? Des dizaines de générations ont appris à apprécier la bande dessinée à travers les histoires publiées dans le magazine Pif Gadget. Le 13 octobre 1944 est la date de naissance du « Jeune Patriote » d'obédience communiste. A l'issue de la guerre, le magazine ouvre ses pages à la bande dessinée et devient au numéro 31 le journal « Vaillant » qui restera dans toutes les mémoires. En effet, ouvert sur le monde et sur les nouveaux talents, ce journal tentera toujours d'éduquer en s'amusant chaque semaine. En 1969, l'hebdomadaire décide d'adopter le patronyme de son héros fétiche et se rebaptise donc le Journal de Pif. En y adjoignant un gadget quelques années plus tard, la formule devient magique : la légende est en marche. Malheureusement, en 1993, celui qui est devenu Pif Gadget ne satisfait plus son lectorat qui s'effiloche et cesse donc de paraître. Il faut attendre 2004, pour le revoir renaître de ses cendres sous forme de mensuel présidé par François Corteggiani au sein de l'Humanité.De nombreux auteurs de talent se sont succédés et ont aiguisé leur premières armes dans ces pages. Gotlib, Mandryka, Pratt ont publié leurs premières histoires dans Pif. Mais bien d'autres encore en ont assuré le succès. Cet ouvrage vous invite à découvrir quelques-unes des séries qui ont fait la réussite de cet hebdomadaire inoubliable. Et si le menu vous convient, d'autres albums vous permettront de poursuivre ce voyage au royaume de Pif Gadget. En voici la teneur : des gags de Pif par Louis Cance, de Pifou (Mas),de Placid et Muzo (Morri), de Léo ( Mas), des aventures de Docteur Justice (Ollivier et Marcello), de Robin des bois ( Ollivier et Coelho ), de Davy Crockett (Ollivier et Kline), de la Pension Radicelle (E. Gire), de Jacques Flash ( Castex et Lenvers) , de Ragnar (Ollivier et Coelho) et de Fanfan la Tulipe ( Sani et Gaty) Bref, près de 560 pages de pur bonheur !