C'est une vraie aubaine ce coffret économique de 22CD qui réunit pour la première fois tous les enregistrements de John Eliot Gardiner d'oeuvres vocales de Bach, réalisés pour Archiv Production et Philips du début des années 1980 à 2000. Les interprétations acclamées d'oeuvres chorales majeures de Bach figurent parmi les plus grands enregistrements de nos jours et font office de référence : L'Oratorio de Noël, la Passion selon Saint Matthieu, la Passion selon Saint Jean et la Messe en si mineur. 12 CD sont consacrés à une large sélection de 37 cantates, odes et motets qui sont tout autant réputées, inclus les favorites Nun komm, der Heiden Heiland, Wachet auf, Herz und Mund und Tat und Leben, et Ich habe genug. On y retrouvera également le Magnificat et la Cantate n° 51 enregistrés pour Philips. Le choix de solistes avec qui Gardiner a travaillé est infaillible : Nancy Argenta, Olaf Bär, Barbara Bonney, Michael Chance, Bernarda Fink, Magdalena Kozená Derek Lee Ragin, Sara Mingardo, Anne Sofie von Otter, Mark Padmore, Anthony Rolfe Johnson, Andreas Schmidt et Stephen Varcoe. La maîtrise du Monteverdi Choir et des English Baroque Soloists est comme toujours imposante. Le livret de 32 pages contient les tracklistings complets et renvoie sur un lien internet où sont disponibles textes chantées et traductions.
Gustavo Dudamel a 24 ans. Il est vénézuélien et a du charisme pour quatre. Le prodige n'a pas l'air juste doué. Il a l'air de connaître le métier comme un vieux briscard - dix ans de carrière déjà !- et il a cette chose indéfinissable mais indéniable : la présence. Il a du panache, mais c'est sans m'as-tu vu. On a de toute évidence affaire à un chef qui n'est plus dans son enfance de l'art. Le Monde, Paris, Novembre 2 005 Il est vénézuélien, est âgé de vingt-quatre ans tout juste, et dans le milieu musical le bruit court que cet admirateur de Claudio Abbado et Simon Rattle est l'un des grands chefs de demain. Trapu, le geste généreux, la battue ferme et volontaire, Gustavo Dudamel ne compte pas sur sa seule énergie pour séduire : il a le sens du rythme, de la couleur, de l'architecture. Chaque pièce est savamment construite, sous une apparence de totale décontraction, le discours est souple et musclé. Les Echos, Paris, Novembre 2 005 Qu'ajouter de plus oeoeoe ! Il est rare qu'un jeune artiste fasse autant l'unanimité ! Son premier album chez Deutsche Grammophon est dédié à deux monuments de la musique : les Symphonies 5 et 7 de Beethoven. Gustavo Dudamel dirige un orchestre de jeunes musiciens, dont Abbado et Rattle ne cessent de louer les qualités. Rattle : Il est pour moi l'un des chefs les plus doués que je n'ai jamais rencontrés. Abbado : Dudamel et l'orchestre des jeunes qu'il dirige m'ont énormément impressionné. Ce jeune chef va changer l'histoire de la musique classique dans les années à venir !
Retrouvez Nelson Freire dans son répertoire de prédilection C'est avec Chopin que Nelson Freire a débuté sa fructueuse collaboration avec Decca il y a 11 ans. A l'occasion de ses 70 printemps, le pianiste Brésilien enregistre son troisième album consacré à son compositeur de prédilection. Après 2 magnifiques récitals solo, il se tourne à présent vers le romantique Concerto n°2, qu'il interprète avec le Gürzenich-Orchester Köln sous la direction de Lionel Bringuier. Ce jeune français de 28 ans est l'une des stars montantes de la direction d'orchestre : nommé chef assistant du Philharmonique de Los Angeles par Esa-Pekka Salonen à 20 ans, puis chef associé du même orchestre par Gustavo Dudamel 3 ans plus tard, il est aujourd'hui le Directeur Musical de l'Orchestre de la Tonnhale de Zürich. Pour compléter ce programme, Nelson Freire interprète parmi les plus belles oeuvres pour piano seul de Chopin : Polonaise, Ballade et autres Mazurkas.
À l'occasion du 15e anniversaire de la disparition de Barbara (24 novembre), Universal réédite le concert légendaire de Pantin ! Du 28 octobre au 21 novembre 1981, Barbara s'installe sous un chapiteau au Nouvel Hippodrome de Paris, porte de Pantin. Plus de 50 000 personnes verront ce spectacle resté encore aujourd'hui dans les mémoires, mythique, diront certains ! Avec six titres inédits en CD, la présente réédition réunit pour la première fois toutes les chansons interprétées par Barbara durant les trois semaines et demie de ce spectacle. Cette fidèle reconstitution du récital intégral a été réalisée à partir des enregistrements effectués lors des trois premières soirées (28, 29 et 30 octobre), de la matinée du 1er novembre et de l'inoubliable dernière le 21 novembre 1981. Nouvelle version avec 6 versions inédites : 1. Fragson 2. À peine 3. À mourir pour mourir 4. Toi 5. Nantes 6. Le père Noël et la petite fille
David Ryan Adams (né le 5 novembre 1974) est un auteur-compositeur-interprète américain de rock/country alternative originaire de Jacksonville, en Caroline du Nord. Poète, peintre et producteur, il est surtout connu pour sa carrière solo prolifique (14 albums à son actif) en marge de ses sides projects, au sein des groupes ou projets tels que Whiskeytown, The Cardinals, The Shining... On lui doit également la production d'albums pour Willie Nelson, Jesse Malin, Jenny Lewis, les Fall Out Boy, ainsi que des collaborations avec (entre autre) Counting Crows, Weezer, Norah Jones... Nominé 5 fois aux Grammy Awards et une fois au Brit Awards, son dernier album, très conceptuel, 1989, sorti en 2015, était composé de reprises, morceau par morceau, de l'album 1989 de Taylor Swift. Son 15ème album nous ramène aux sonorités rock, folk et country qui lui vont si bien.
Don Cherry : trompette, flûtes, douss'n gouni, melodica, orgue, voix Nana Vasconcelos : berimbau, cuica, talking drum, percussions, voix Collin Walcott : sitar, tabla, sanza, hammered dulcimer, percussions, voix Un véritable moment de génie. L'art sans limite aucune de ces trois musiciens. Prônant l'égalité de tous les langages musicaux, anticipant la vague à venir de la world music, s'inspirant des traditions des 5 continents, Codona fut ce qu'aucun autre groupe ne fut, avec un son bien à lui, poétique, très évocateur et reconnaissable de bout en bout. Le trio formé en 1978 à l'initiative de Collin Walcott a fourni l'un des contextes les plus originaux pour le son très mélodique de la trompette de Don Cherry et pour les instruments nombreux dont jouent ces trois musiciens. Le coffret comprend les albums Codona (1978), Codona 2 (1980) et Codona 3 (1982).
Pour la première fois de leur carrière, ces deux géants du blues ont uni leurs forces afin d’enregistrer cet album. Mêlant reprises et compositions originales, 'TajMo' bénéficie de la participation d’artistes tels que Bonnie Raitt, Joe Walsh, Sheila E., Lizz Wright. Sur 'Taj Mo', Taj Mahal et Keb’Mo’ sont au sommet de leur art, leurs styles s’entremêlant pour donner naissance à une musique irrésistible, à la fois fermement ancrée dans la tradition et profondément novatrice. Avec 'Don’t Leave Me Here', Taj Mahal et Keb’Mo’ adressent une véritable déclaration d’amour au Sud des Etats-Unis qui sonne d’emblée comme un classique. Le morceau 'Soul' est quant à lui un subtil mélange de world music et de blues dont seul Taj Mahal a le secret. Les deux musiciens livrent également une version poignante du 'Waiting on the World to Change' de John Mayer à laquelle Bonnie Raitt prête sa voix inimitable.
La cantate scénique David offre la musique d'Eleni Karaindrou en accompagnement d'une dramaturgie Egéenne, une pièce en vers écrite par un poète anonyme de l'île de Chios. Son texte, publié pour la première fois en 1979, se prête merveilleusement à un accompagnement musical et la compositrice grecque Eleni Karaindrou se montre parfaitement à la hauteur de l'oeuvre, oscillant de façon imaginative entre le passé et le présent à travers ses compositions pour mezzo-sopranos et barytons, solistes instrumentaux, choeur et orchestre. L'alto évocateur de Kim Kashkashian assis sur un lit de cordes peut rappeler à l'auditeur Le Regard d'Ulysse de Karaindrou. La musique puise également son inspiration de l'univers de l'opéra baroque, les chanteurs Irini Karagianni et Tassis Christoyannopoulos étant mis à l'honneur. David offre un monde de couleurs musicales changeantes. Enregistré en direct au Megaron d'Athènes, l'album fut produit et masterisé par Manfred Eicher et Nikos Espialdis.
Nouveau volume de la Collection 'From The Vault' qui regroupe des concerts historiques des Rolling Stones. Le 20 mai 2015 au Fonda Theater à Hollywood en Californie, le groupe jouait sur scène l’intégralité de Sticky Fingers pour la première et unique fois de sa carrière. Ce concert célébrait la réédition de cet album et le lancement de la tournée Zip Code Tour qui allait sillonner l’Amérique du nord durant deux mois. Le cadre intime du Fonda Theater contrastait avec les stades gigantesques qui allaient accueillir le reste de la tournée, créant ainsi un événement exceptionnel pour les quelques 1200 spectateurs qui avaient réussi à décrocher un billet. Les DVD et le Blu-ray offrent de courtes interventions des membres du groupe entre certains titres. Le CD et le triple vinyle rassemblent tous les titres joués lors de ce concert exceptionnel. Bonus DVD & Blu-ray Titres extraits du concert : 1) All Down The Line 2) When The Whip Comes Down 3) I Can’t Turn You Loose
Nouveau volume de la Collection 'From The Vault' qui regroupe des concerts historiques des Rolling Stones. Le 20 mai 2015 au Fonda Theater à Hollywood en Californie, le groupe jouait sur scène l’intégralité de Sticky Fingers pour la première et unique fois de sa carrière. Ce concert célébrait la réédition de cet album et le lancement de la tournée Zip Code Tour qui allait sillonner l’Amérique du nord durant deux mois. Le cadre intime du Fonda Theater contrastait avec les stades gigantesques qui allaient accueillir le reste de la tournée, créant ainsi un événement exceptionnel pour les quelques 1200 spectateurs qui avaient réussi à décrocher un billet. Les DVD et le Blu-ray offrent de courtes interventions des membres du groupe entre certains titres. Le CD et le triple vinyle rassemblent tous les titres joués lors de ce concert exceptionnel. Bonus DVD & Blu-ray Titres extraits du concert : 1) All Down The Line 2) When The Whip Comes Down 3) I Can’t Turn You Loose
Cet album, c’est mon histoire. Un hommage imaginé dans la plus profonde gratitude pour la musique, les chansons et les artistes qui m’ont tant inspirée au fil de mon chemin. Quelques artistes seulement bien sûr, tant d’autres auraient pu trouver leur place dans cette collection. Ces titres que j’ai choisis sont des sources multicolores issues de toutes les cultures que j’ai eu la chance, le bonheur et la gourmandise d’explorer. Des chansons qui m’ont permis de tant apprendre du monde et de la vie, elles m’ont donné la possibilité de me construire, de devenir chanteuse. Bien au-delà des registres ou des générations, et par-delà le temps qui passe. La musique est un lien magique et éternel, elle est mon ADN et mon bonheur. Elle est le lien qui nous unit si fort, vous et moi, depuis longtemps déjà. Depuis 60 ans. C’est une vie...Tous ces artistes auxquels, humblement, j’emprunte les chansons seront pour toujours, comme l’a écrit Dylan, Forever Young Nana.
Nouveau volume de la Collection 'From The Vault' qui regroupe des concerts historiques des Rolling Stones. Le 20 mai 2015 au Fonda Theater à Hollywood en Californie, le groupe jouait sur scène l’intégralité de Sticky Fingers pour la première et unique fois de sa carrière. Ce concert célébrait la réédition de cet album et le lancement de la tournée Zip Code Tour qui allait sillonner l’Amérique du nord durant deux mois. Le cadre intime du Fonda Theater contrastait avec les stades gigantesques qui allaient accueillir le reste de la tournée, créant ainsi un événement exceptionnel pour les quelques 1200 spectateurs qui avaient réussi à décrocher un billet. Les DVD et le Blu-ray offrent de courtes interventions des membres du groupe entre certains titres. Le CD et le triple vinyle rassemblent tous les titres joués lors de ce concert exceptionnel. Bonus DVD & Blu-ray Titres extraits du concert : 1) All Down The Line 2) When The Whip Comes Down 3) I Can’t Turn You Loose
CECILIA BARTOLI TOUT EN EMOTION ET EN SENSUALITE. Si Cecilia Bartoli est la reine des prouesses techniques et autres feu d'artifices vocaux, son timbre de velours est sans égal pour chanter les émotions les plus profondes. Sospiri est la première compilation regroupant les airs les plus intimistes, touchants ou sensuels que Cecilia Bartoli ait enregistrés. Du baroque au bel canto, découvrez 2 inédits : Cervo in bosco de Vinci, l'un des airs les plus célèbres chantés par Farinelli; et une nouvelle interprétation de Una voce poco fa (extrait du Barbier de Séville), aria qui fit le succès de Cecilia Bartoli à ses débuts. Incontournables ou inattendus, retrouvez également des duos avec Luciano Pavarotti, Bryn Terfel et même le violoniste Maxim Vengerov ! Cerise sur la bûche de Noël, un CD bonus contenant les plus beaux airs sacrés enregistrés par la diva. Le tout dans un packaging luxueux pour un album tout en émotion et en retenue. BEAUCOUP PLUS QU'UNE SIMPLE COMPILATION, LE CADEAU DE NOËL INCONTOURNABLE !
JONAS KAUFMANN RELEVE UN NOUVEAU DEFI MUSICAL S'ils avaient à choisir entre les trois grands cycles de Schubert, la plupart des chanteurs enregistreraient sans doute Le Voyage d'hiver ou Le Chant du Cygne. Jonas Kaufmann a choisi de surprendre en enregistrant La Belle Meunière : « j'ai voulu enregistrer ce cycle avant qu'il ne soit trop tard. La Belle Meunière demande une voix jeune et une âme jeune ! C'est l'histoire d'un garçon qui part à la conquête du monde, joyeux et insouciant, et qui se heurte de plein fouet à l'adversité. L'échec de son amour pour la meunière est sa première expérience de la douleur. Pour que cette candeur soit relativement crédible, l'interprète ne doit pas être trop mûr ». Jonas Kaufmann, accompagné du pianiste Helmut Deutsch, interprète avec passion ces poèmes de Wilhelm Müller, sublimés par la musique de Schubert. CES MELODIES VONT COMME UN GANT AU PLUS ROMANTIQUE DES TENORS !
Capté le 25 novembre 1994 à Miami dans le cadre de la tournée mondiale des Rolling Stones pour présenter l'album 'Voodoo Lounge', ce concert restauré, remixé et remasterisé contient 10 titres inédits. Avec une mise en scène incroyablement futuriste et en avancé sur son temps, cette tournée géante totalisa 134 shows sur 6 continents et 3,5 millions de spectateurs. Trois invités de choix participent au concert de Miami : Sheryl Crow, Robert Cray et Bo Diddley. Pour la première fois, 10 titres qui avaient été coupés au montage à l'époque retrouvent leur place et l'ordre d'origine. Les formats vidéo, comportent 5 titres bonus filmés au Giants Stadium, New Jersey qui n'avaient pas été joués à Miami. Cette nouvelle sortie reflète donc au mieux cette tournée inoubliable des Rolling Stones, donnée entre août 1994 et août 1995.
Ce concert a été filmé le 7 mai 2016 à Prague lors de sa grande tournée européenne. Hans Zimmer était accompagné d'un groupe, d'un orchestre et d'un choeur, totalisant 72 musiciens dont le guitariste Johnny Marr. La mise en scène est spectaculaire, avec un light-show créant des tableaux visuels étonnants. Hans Zimmer joue de multiples instruments, et apporte régulièrement ses commentaires éclairés pour introduire les titres. Un régal pour les amateurs de musique et de grands films. ?Hans Zimmer est l'un des plus grands compositeurs actuels de musique de films. Sa carrière multi-récompensée remonte au milieu des années 80 lorsqu’il a développé des relations de travail étroites avec des réalisateurs renommés comme Ridley Scott, Tony Scott, Michael Bay, Ron Howard, Gore Verbinski et Christopher Nolan. Il compte à son actif quelques-uns des plus grands blockbusters de tous les temps et des séries TV acclamées comme 'The Crown' et 'Planet Earth II'.
Richard GALLIANO est le maître incontesté de l'accordéon dans le monde de la musique. Créateur de la New-Musette, il offre grâce à ce nouveau style une deuxième vie à l'accordéon. Audacieux, il introduit cet instrument dans le monde du jazz, oubliant les salles de danse et imposant ainsi son propre univers musical. Partageant la scène avec les plus grands, de Michel Portal à Toots Thielmans, de Chet Baker à Michel Petrucciani, Richard Galliano donne des concerts dans le monde entier : 200 jours par an et cela dans des lieux aussi divers ! Il a expérimenté des scènes aussi variées que celles des plus grands festivals de Jazz tout comme la prestigieuse Scala de Milan. Le 6 août 2006, Richard Galliano investit la scène du Festival Jazz in Marciac. Richard Galliano a choisi de scinder en trois parties sa prestation. C'est donc le quintette Tangaria qui ouvre la soirée avec le Tango Pour Claude composé en hommage à Claude Nougaro. Suivront d'autres pièces de Richard Galliano mais aussi d'Hermeto Pascual et d'Astor Piazzolla avec le fameux Libertango. L'accordéoniste, magnifiquement secondé par le jeune violoniste Alexis Cardenas, fait preuve de sa générosité coutumière et le public lui réserve un accueil chaleureux et enthousiaste. Pour la deuxième partie, l'ensemble instrumental du CNR de Toulouse sous la baguette de Jean-Pierre Peyrebelle apporte son concours pour interpréter des originaux signés Galliano et des morceaux de Piazzolla et du pianiste Ivan Paduart. Beauté des arrangements, cohésion et musicalité des cordes déroulant des tapis multicolores pour les improvisations de l'accordéon, toute la séduction de la milonga et du tango se trouvent ici conjuguées. Jubilatoire ! Des musiciens de talent l'accompagnent : Alexis Cardenas, Hamilton de Holanda, Rafael Mejias, Philippe Aerts.
Rock n Roll Consciousness' écrit un nouveau chapitre de l’histoire de Thurston Moore, et promet d’être un sommet créatif pour ceux qui s’intéressent à l’oeuvre de l’artiste. Thurston Moore s’est installé aux studios Church de Londres pour enregistrer de nouvelles chansons avec le producteur Paul Epworth, célèbre producteur et co-auteur entre autres d’Adele, du Pop Group et de Florence & the Machine. Le Thurston Moore Group était sur la route depuis la sortie de l’album 'The Best Day' (2014, Matador), sur lequel on avait découvert James Sedwards à la guitare, Deb Googe de My Bloody Valentine à la basse, et Steve Shelley de Sonic Youth à la batterie. Sur 'Rock n Roll Consciousness', Thurston se concentre sur la force du groupe, ainsi que sur sa beauté et sur ce qu’il a de plus prometteur : le sublime jeu de guitare de James Sedwards s’y déchaine, tout comme l’éthique groove minimaliste de Deb Googe et le dynamisme swing de Steve Shelley.
Ce concert a été filmé le 7 mai 2016 à Prague lors de sa grande tournée européenne. Hans Zimmer était accompagné d'un groupe, d'un orchestre et d'un choeur, totalisant 72 musiciens dont le guitariste Johnny Marr. La mise en scène est spectaculaire, avec un light-show créant des tableaux visuels étonnants. Hans Zimmer joue de multiples instruments, et apporte régulièrement ses commentaires éclairés pour introduire les titres. Un régal pour les amateurs de musique et de grands films. ?Hans Zimmer est l'un des plus grands compositeurs actuels de musique de films. Sa carrière multi-récompensée remonte au milieu des années 80 lorsqu’il a développé des relations de travail étroites avec des réalisateurs renommés comme Ridley Scott, Tony Scott, Michael Bay, Ron Howard, Gore Verbinski et Christopher Nolan. Il compte à son actif quelques-uns des plus grands blockbusters de tous les temps et des séries TV acclamées comme 'The Crown' et 'Planet Earth II'.
Prix spécial pendant 3 mois. Retour en UN 925 au 31 décembre. Après le succès de la Traviata, en CD et en DVD au mois de mai, Anna Netrebko revient avec, n'ayons pas peur des mots, le plus bel album de sa discographie ! Le succès colossal de ses Traviata à Salzbourg l'année dernière, ses scores de ventes à l'International - et bientôt chez nous ! - (Anna vend 300 000 albums en Allemagne. !), confirment que nous sommes bien devant un vrai phénomène. « La » Netrebko est en train de changer le paysage du monde de la musique classique. Ce nouvel album, centré sur le répertoire russe, est un retour aux sources. La légende veut qu'Anna, alors toute jeune, se soit faite embaucher au Kirov en temps que femme de ménage, pour pouvoir assister aux représentations qui s'y donnaient, et pour approcher son idole Valery Gergiev. C'est le chef qui, en effet, qui lança la carrière que l'on connaît aujourd'hui. L'enregistrement a été réalisé au Théâtre Mariinsky; il comporte de grands airs pour soprano (le rôle de Natacha dans Guerre et Paix, qui la fit triompher au Met), la Scène de la Lettre d'Eugène Onéguine. Il recèle de véritables joyaux (écoutez le troisième titre, c'est beau à pleurer), les plages 7 et 10. Ce Russian Album marquera certainement un pas important dans la carrière d'Anna Netrebko en France. Les medias s'intéressent de plus en plus à la chanteuse (le Monde vient de lui consacrer une page le 26 septembre et France 2 a diffusé un concert Netrebko / Villazon / Domingo le 7 juillet). Le public est en train de découvrir une star de l'opéra.
Le nouveau documentaire d’Imre Azem (Ekümenopolis ou l’Istanbul sans fin). Une musique originale d’OME, le leader du groupe de rock psychédélique turc BaBa ZuLa. Le documentaire « Turquie : un combat pour la démocratie » sera diffusé sur ARTE (France et Allemagne) le mardi 11 juillet. C’est la rencontre avec quatre citoyens turcs engagés pour la défense de la démocratie. Mêlant le cheminement des protagonistes aux images d’archive des quatre dernières années, ce documentaire monte combien l’avenir de la Turquie, aujourd’hui indéchiffrable, se joue entre deux réalités, celle de la dictature et celle de la démocratie. Entre plages électro-orientales contemplatives et rock psychédélique turc, la musique d’OME porte autant la problématique du documentaire que la sensibilité de l’auditeur. La musique originale de Turkey on the Edge a été composée et interprétée par OME (Osman Murat Ertel), le leader du fameux groupe - déjanté et engagé - de rock psychédélique turc.
Revolve, est en passe de confirmer le succès acquis avec la sortie de Tribute son premier album, L' accueil de Come And Get It, son nouveau single, confirme le succès obtenu sur sa collaboration récente avec Calvin Harris pour le hit Blame qui s'est retrouvé n°1 des charts partout dans le monde. Revolve a tout d'un classique, intemporel mais jamais rétro. S'ouvrant sur une introduction de l'acteur Idris Elba, cet album a été réalisé par John lui-même, et enregistré entre Los Angeles, Londres et Miami, aux cotés d'une redoutable équipe de musiciens et réalisateurs dont Greg Kurstin (Sia, Beyoncé, Ellie Goulding, Katy Perry & Lana Del Rey), le légendaire Charlie Wilson du groupe The Gap Band, présent sur le tube imparable Tiring Game, Jack Splash et la section cuivres de Jerry Hey (reconnu pour son travail sur l'album Thriller de Michael Jackson et avec Quincy Jones). Revolve a été enregistré titre par titre, une approche que John a emprunté à son ami Calvin Harris.
Gérald De Palmas revient avec Sortir. Ce titre n'est pas seulement un paradoxe par goût du paradoxe : Gérald est vraiment sorti, pour revenir. Sorti de ses habitudes, de ses couleurs de toujours, de son image mi-blues mi-chanson. Dès Au bord de l'eau, le premier single extrait de l'album, on comprend pourquoi et comment il s'est passé cinq ans depuis son précédent album. Sortir est écrit et arrangé comme pour accompagner un film (des films, même !) à la fois romanesque, spectaculaire et intime. Ainsi, Qui s'occupe d'elle passe du blues dépouillé à des couleurs sonores venues des films de science-fiction, L'Ange perdu alterne les bricolages à la Magical Mystery Tour et le gros plan traité en Cinemascope, Indemne est semé, derrière sa structure de tube évident, de bribes de dialogues de cinéma en noir et blanc... Dans une larme agit comme un déclic : la mélodie un peu country sonne comme bien d'autres de ses tubes, mais avec une production plus large, une imagerie plus romanesque. Pour ses textes, Gérald est encore allé loin dans l'exploration des intermittences du coeur et dans l'introspection de ses failles personnelles. Seule personnalité extérieure intervenant pendant ces dix-sept mois de studio, Eagle-Eye Cherry a écrit le texte et chanté en duo Pandora's Box, groove ethnique luxuriant et nerveux. Jamais De Palmas n'avait proposé un album aussi dense en tubes potentiels. A découvrir de toute urgence !
« Brigitte Engerer est l'une des pianistes les plus brillantes et les plus originales de sa génération. Son jeu se caractérise par son sens artistique, son esprit romantique, son ampleur. La perfection de sa technique, ainsi que par une science innée d'établir le contact avec l'auditoire. » Ainsi parlait Stanislas Neuhaus, son professeur, grand maître et magnifique pianiste dont les leçons la marqueront de façon indélébile et influenceront toute sa carrière et sa pensée musicale. Au début des années 1980, Brigitte Engerer a vu son nom franchir les frontières et se parer d'une réputation d'excellence qui la quittera plus : depuis qu'elle a été repérée par Herbert von Karajan pour jouer avec l'Orchestre Philharmonique de Berlin puis à participer aux fêtes du centenaire de l'orchestre, elle est invitée par les orchestres et les chefs les plus renommés, et côtoie des partenaires prestigieux quand elle se consacre à la musique de chambre. Tout au long de sa carrière, elle a gravé nombre de disques dans de prestigieuses maisons de disques, qui lui ont valu de nombreuses récompenses.
« Brigitte Engerer est l'une des pianistes les plus brillantes et les plus originales de sa génération. Son jeu se caractérise par son sens artistique, son esprit romantique, son ampleur. La perfection de sa technique, ainsi que par une science innée d'établir le contact avec l'auditoire. » Ainsi parlait Stanislas Neuhaus, son professeur, grand maître et magnifique pianiste dont les leçons la marqueront de façon indélébile et influenceront toute sa carrière et sa pensée musicale. Au début des années 1980, Brigitte Engerer a vu son nom franchir les frontières et se parer d'une réputation d'excellence qui la quittera plus : depuis qu'elle a été repérée par Herbert von Karajan pour jouer avec l'Orchestre Philharmonique de Berlin puis à participer aux fêtes du centenaire de l'orchestre, elle est invitée par les orchestres et les chefs les plus renommés, et côtoie des partenaires prestigieux quand elle se consacre à la musique de chambre. Tout au long de sa carrière, elle a gravé nombre de disques dans de prestigieuses maisons de disques, qui lui ont valu de nombreuses récompenses.
L'histoire de Tubular Bells : 17 ans, Mike Oldfield commence à composer des bribes de ce qui deviendra Tubular Bells et enregistre une maquette avec un magnétophone Bang & Olufsen prêté par Kevin Ayers. Il bricole l'appareil, de telle sorte qu'il parvient à réaliser des overdubs tout seul, ce qui lui permet de superposer le son de sa Telecaster, d'une basse Fender Precision, d'un orgue Farfisa et d'un xylophone, sans doute un jouet pour enfants. À l'été 1971, il fait le tour des maisons de disques avec sa maquette, sans succès. La démo a cependant la chance de plaire à Tom Newman, qui travaille au studio The Manor que monte le jeune entrepreneur Richard Branson. En 1971, ce dernier est en train de mettre sur pied un réseau de magasins de disques et il tente sans succès de trouver une maison de disques pour publier la musique du jeune guitariste. Ce n'est cependant qu'en 1972 que Richard Branson décide de créer son propre label et qu'il propose à Mike Oldfield de figurer parmi les premiers artistes de Virgin. Tubular Bells sort le 25 mai 1973, quelques jours après le vingtième anniversaire de Mike. Il s'agit d'un album de musique instrumentale présentant un seul long morceau de rock symphonique sur chaque face du 33 tours. Tous les instruments ou presque sont tenus par Mike Oldfield, ce qui a nécessité, pour l'époque, des prouesses techniques lors de l'enregistrement. Richard Branson porte l'album auprès des médias anglais et le fameux disc-jockey anglais John Peel programme les deux faces complètes de l'album dans son émission de rock à la BBC. L'album va connaître un succès colossal et devenir une des plus grosses ventes de l'histoire de la musique, ce qui est remarquable pour une musique purement instrumentale. La reprise du thème introductif en tant que thème principal du film l'Exorciste, quelques mois plus tard, va amplifier ce succès.
L'histoire de Tubular Bells : 17 ans, Mike Oldfield commence à composer des bribes de ce qui deviendra Tubular Bells et enregistre une maquette avec un magnétophone Bang & Olufsen prêté par Kevin Ayers. Il bricole l'appareil, de telle sorte qu'il parvient à réaliser des overdubs tout seul, ce qui lui permet de superposer le son de sa Telecaster, d'une basse Fender Precision, d'un orgue Farfisa et d'un xylophone, sans doute un jouet pour enfants. À l'été 1971, il fait le tour des maisons de disques avec sa maquette, sans succès. La démo a cependant la chance de plaire à Tom Newman, qui travaille au studio The Manor que monte le jeune entrepreneur Richard Branson. En 1971, ce dernier est en train de mettre sur pied un réseau de magasins de disques et il tente sans succès de trouver une maison de disques pour publier la musique du jeune guitariste. Ce n'est cependant qu'en 1972 que Richard Branson décide de créer son propre label et qu'il propose à Mike Oldfield de figurer parmi les premiers artistes de Virgin. Tubular Bells sort le 25 mai 1973, quelques jours après le vingtième anniversaire de Mike. Il s'agit d'un album de musique instrumentale présentant un seul long morceau de rock symphonique sur chaque face du 33 tours. Tous les instruments ou presque sont tenus par Mike Oldfield, ce qui a nécessité, pour l'époque, des prouesses techniques lors de l'enregistrement. Richard Branson porte l'album auprès des médias anglais et le fameux disc-jockey anglais John Peel programme les deux faces complètes de l'album dans son émission de rock à la BBC. L'album va connaître un succès colossal et devenir une des plus grosses ventes de l'histoire de la musique, ce qui est remarquable pour une musique purement instrumentale. La reprise du thème introductif en tant que thème principal du film l'Exorciste, quelques mois plus tard, va amplifier ce succès.
Street Fighting Years est le neuvième album studio de Simple Minds, le groupe écossais de rock/new wave. Il est le dernier grand album du groupe et il marque le départ de Michael MacNeil après la tournée qui suivit. Cet album bien ficelé et très marqué par la présence de thèmes engagés, marque l'apogée de la formation. Musicalement, on abandonne le style commercial pour se plonger dans une musique plus introspective avec un mélange de technologie et d'instruments naturels. On renoue même avec ses origines écossaises en utilisant violon, accordéon, flûte écossaise et cornemuse. Soulignons la présence de Lou Reed, Stewart Copeland et Manu Katché. Notons que dû à des frictions entre les réalisateurs de l'album et Gaynor et Giblin, ces derniers ne sont considérés ici que comme musiciens engagés et que Malcom Foster remplace Giblin pour la tournée. Gaynor revient comme membre officiel durant la tournée qui suit.
La découverte rap de 1999 : un Visage pâle virtuose accro à l'humour noir et aux images choc. White trash hip-hop de Detroit, le dénommé Marshall Mathers (M & M, d'où le pseudo) avait sorti un premier album en 1996, Infinite, passé inaperçu. Puis il fut repéré par un homme au flair sûr, Dr. Dre, et signé sur son label Aftermath. Roi de la provoc' et des textes sans concession, Eminem/Slim Shady y va franco : J'en n'ai rien à battre, Dieu m'a amené ici pour foutre le boxon. (...) Tu m'étonnes que mon cerveau soit niqué, je suis né pendant un tremblement de terre ! Le garnement ne respecte strictement rien ni personne (excepté sa fille Hailie) : drogue, violence, dérives psychologiques en tout genre sont pour lui autant de sujets de plaisanterie, au même titre que le sida. Il n'épargne pas moins ses propres parents et la mère de sa fille, également brocardés sans pitié. Mais c'est surtout son flow preste, mis en valeur par la production sobre de Dr. Dre sur trois titres, qui met tout le monde d'accord.
Rares sont les musiques ayant laissé une empreinte aussi forte sur une oeuvre cinématographique que celles de John Williams. Juste à temps pour la sortie du nouveau Star Wars en décembre, Decca présente ce double album réunissant les plus célèbres thèmes de la première trilogie Star Wars, interprétées par le compositeur lui-même à la tête du Boston Pops Orchestra. Retrouvez les musiques légendaires de la Guerre des Etoiles, mais aussi les thèmes tirés de la bande originale d'E.T. et des Rencontres du Troisième Type, quelques-uns des morceaux les plus connus des bandes originales d'Alien, de Star Trek et de Battlestar Galactica ainsi que Les Planètes, poème symphonique de Gustav Holst ayant grandement inspiré les compositions de Williams. Plus de deux heures de musique pour voyager à travers le cosmos et redécouvrir les oeuvres légendaires ayant marqué non seulement l'histoire du cinéma, mais aussi la musique du XXème siècle.
Bryn Terfel fêtera ses 50 ans avec l'un des plus grands rôles de sa vie Der Fliegende Holländer (Le Vaisseau fantôme ou Le Hollandais volant) peut être considéré comme le premier chef-d'oeuvre du maitre du romantisme allemand Richard Wagner. On y retrouve déjà certains des grands thèmes qui constitueront l'univers wagnérien : l'errance, le sacrifice ou encore la rédemption par l'amour. Pour la première fois en 25 ans de carrière, le célèbre baryton-basse Bryn Terfel incarne Le Hollandais, créature surnaturelle condamnée à errer éternellement sur les océans pour avoir défié Dieu, qui ne pourra obtenir son salut que par l'amour absolu d'une femme Bryn Terfel partage la scène avec un casting d'exception dans lequel on retrouve notamment Matti Salminen (Daland) et Anja Kampe (Senta). La direction est confiée au chef d'orchestre français Alain Altinoglu, dans une mise en scène réalisée par le responsable de l'Opéra de Zurich, Andreas
Les meilleurs titres de l'icône de la Nouvelle Vague signés Gainsbourg, Katerine, Bassiak, Godard... Inclus 'Sous le soleil exactement' + des inédits dont 2 duos avec Howe Gelb. Anna Karina a toujours chanté, souvent dans des films. Depuis Une femme est une femme en 1960 où elle interprète La chanson d'Angela écrite par Jean-Luc Godard et composée par Michel Legrand, Anna Karina a chanté 'Bassiak' (Rezvani) toujours pour Godard et surtout Serge Gainsbourg qui a conçu pour elle son unique comédie musicale 'Anna' en 1967. Icône de la Nouvelle Vague, l'actrice d'origine danoise propose une compilation de chansons de films dont certaines sont éditées ici pour la première fois (extraits des films 'Last song' de Dennis Berry et 'Haut, Bas, Fragile' de Jacques Rivette) ainsi que des titres de son album écrit par Philippe Katerine). En bonus, plusieurs chansons originales viennent compléter cette rétrospective dont 2 duos enregistrés en 2017 avec Howe Gelb, artiste-phare de la scène rock américaine. 'Je suis une aventurière' lance avec son regard bleu pétillant celle qui a passé sa vie à jouer, chanter et danser sous les regards enamourés de George Cukor, Tony Richardson, Luchino Visconti, Rainer Werner Fassbinder, Raoul Ruiz ou Jonathan Demme et qui doit son nom de scène à Coco Chanel.
Pour la première fois en DVD, retrouvez le groupe mythique de Seatle en live pendant la tournée Nevermind. Ce DVD (dont le son et l'image ont été restaurés), contient également des interview exclusives! Indispensable.
Verve Records réédite au format vinyle (collection Back to Black) l'intégralité des albums originaux enregistrés par Diana Krall pour les labels Impulse et Verve.
Pour la première fois, un CD/DVD réunissant tous ses plus grands succès en version live avec plus d'1h40 de spectacle enregistré au Théâtre du Châtelet à Paris.
1 - Ballade pour adeline 2 - La vie en rose 3 - Valse n°2 4 - Indigo 5 - Tristesse 6 - Barcarolle 7 - Couleur tendresse 8 - Memory 9 - Adeline a grandi 10 - Lady di 11 - Chanson d'amour 12 - Beyond the sea 13 - Lettre à ma mère
THE ROYAL FESTIVAL HALL (1962) : Filmé le 1er juin 1962, ce concert a été donné devant la royauté au Royal Festival Hall de Londres, dans le cadre d’une tournée caritative mondiale que Frank Sinatra avait entrepris pour collecter des fonds pour l’enfance. Le sextet de Bill Miller accompagne Sinatra qui interprète 'At Long Last Love','I’ve Got You Under My Skin', 'I Get A Kick Out Of You', 'Ol’ Man River', 'I Could Have Danced All Night' et beaucoup d’autres. LIVE AT CARNEGIE HALL (1980) : Filmé en juin 1980 au fameux Carnegie Hall de New York, ce concert présente Frank Sinatra accompagné par un grand orchestre, quelques temps après la sortie de son disque phare 'Trilogy'. On y retrouve plusieurs titres de cet album comme 'Summer Me', 'Street Of Dreams', 'You And Me', 'The Song Is You' et le thème de 'New York, New York', mais aussi les grands classiques de Sinatra comme 'The Lady Is A Tramp', 'Come Fly With Me' et 'I’ve Got You Under My Skin'.
Avec plus de 12 ans de carrière et plus de 20 millions d'albums vendus, Shaggy nous propose pour la première fois un best of réunissant TOUS les tubes de sa carrière (période EMI et Universal)
Alors qu’il était devenu une véritable rock star en Yougoslavie avec son groupe Bijelo Dugme (Le Bouton Blanc), Goran Bregovic va, à partir de la fin des années 80, construire, sous son nom, puis de nouveau avec Bijelo Dugme mais aussi avec son Orchestre des mariages et enterrements, une discographie unique et personnelle. Unique car il est le seul à avoir distillé sa connaissance des traditions balkaniques dans des genres aussi divers que le rock, la pop, le reggae, le tango, la musique électronique ainsi que la musique classique. Personnelle car il suffit d’entendre une seule note de chansons telles que 'Presidente', 'Ederlezi' ou 'Bella Ciao' pour reconnaître « le son Goran Bregovic ». L’artiste, aujourd’hui installé entre Paris et Belgrade mais qui traverse le monde de part en part pour d’incessantes tournée, a ainsi crée un univers musical à nul autre pareil dont cette sélection de vingt titres invite à redécouvrir toutes les couleurs et tous les paysages.
WOW Tour’ est le premier DVD Live de Superbus. Enregistré entre octobre 2006 et novembre 2007, ce DVD illustre l’ambiance et l’atmosphère purement rock’n roll, DU groupe de rock français du moment. Ce DVD disponible en édition classique et limitée comprend : un live enregistré au Zénith de Paris, un making off de la tournée, et uniquement dispo. sur l’édition limitée, un ‘Unplugged’ (audio) façon Nirvana enregistré à Bruxelles en Janvier 2008. Ce DVD live est la conclusion à plus d’1 an ½ de tournée avec l’album ‘WOW’. Au cours de ces derniers mois, SUPERBUS a acquis le statut de groupe référence de la scène rock française : 300 000 albums vendus - 3 singles, 3 tubes : ‘Butterfly’, ‘Lola’, ‘Travel the world’.. Plus de 150 dates de concerts à guichets fermés ! - Une victoire de la musique pour : ‘Album pop rock de l’année’ - Un NRJ Awards pour ‘Groupe de l’année’ Ce DVD est également un flashback sur tous les tubes du groupe depuis 7ans, et la sortie de leurs premiers opus sur lesquels on retrouve : Tchi Cum Bah, Aéromusical, Radio Song, Pop’n Gum, Sunshine, Sex Baby Sex etc...
Usurpateur d'identité occasionnel pour les besoins narratifs de ses chansons, Renan Luce possède une forte personnalité d'auteur-compositeur qui rénove d'anciens canons de la chanson folk made in France (Le Forestier, Moustaki, Dick Annegarn...) en leur faisant croiser ses héritiers récents les plus turbulents (Thomas Fersen, Albin de La Simone). Il a 26 ans aujourd'hui, il a déjà écumé des scènes aux capacités extrêmes... des bars borgnes à trois tables jusqu'au Zénith, en première partie de Bénabar. L'an dernier, il a proposé un rendez-vous dominical pendant trois mois dans un théâtre parisien pour y rôder un répertoire dont on commence, ici et là, à louer l'originalité, la subtilité mais également la manière unique dont la voix de Renan le transporte. Enfin, tout récemment, il a reçu une première distinction lors du très réputé festival Alors chante ! de Montauban, d'où il est reparti lesté du prix le plus convoité : celui du public. Jean-Louis Pierot, orfèvre de la mise en son (Alain Bashung, Etienne Daho, Brigitte Fontaine, Miossec...) a su préserver l'équilibre aérien entre les textes de Renan et des mélodies instantanées. Ce « savoir doser », cette façon d'oser aussi des formes musicales nouvelles pour chacune ou presque de ses chansons, cette écriture saillante, déjà unique, font que Renan Luce en impose d'emblée. « Cherche regard neuf sur les choses... » dit « L'iris et la rose », la dernière chanson son premier album. Ne cherchons plus.
RETROUVEZ L'INCENDIAIRE ELINA GARANCA EN HEROÏNE ROMANTIQUE ! Après avoir campé une Carmen torride et déjà mythique aux côtés de Roberto Alagna sur les planches du Metropolitan Opera de New York (DVD Deutsche Grammophon), la mezzo-soprano Lettonne Elina Garanca fait son grand retour au disque avec Romantique. Le timbre de velours d'Elina Garanca et sa technique vocale lui permettent de chanter une palette de rôles exceptionnels, des héroïnes mozartiennes à la musique contemporaine, en passant par le bel canto et les héroïnes dramatiques. Elina Garanca enregistre aujourd'hui les grandes héroïnes du répertoire romantique : Dalila de Saint-Saëns (Samson et Dalila), Sapho de Gounod, ou encore Jeanne d'Arc de Tchaïkovsky (La Pucelle d'Orléans) pour ne citer qu'elles. Romantique est un disque tout en profondeur dramatique, dans lequel Elina Garanca fait une fois de plus preuve d'un talent incomparable de comédienne. La Filarmonica del Teatro Comunale di Bologna dirigée par Yves Abel est un véritable écrin musical pour la voix d'Elina Garanca. UN BIJOU DE ROMANTISME !
Le premier album exceptionnel de Nick Mulvey, First Mind, paru en 2015, avait révélé un artiste défiant les conventions et adepte de l'inattendu. Ce disque aux couleurs multiples, tout en rythmes originaux, avait prouvé les talents de guitariste de l'artiste dont les chansons étaient toutes irrésistibles. Par les temps qui courent, nous tentons tous de trouver notre place, et Nick ne fait pas exception à la règle, mais s'il faut en passer par un appel aux armes pour trouver la réponse à cette question, alors il est peut-être temps de passer à l'action. Unconditional, le premier titre de Mulvey en deux ans, est une chanson complexe et rythmée dans la veine de First Mind, mais suffisamment novatrice pour paraître fraîche, unique et excitante. Brian Eno, qui a insisté sur l'importance de cet esprit communautaire lors d'une série de rencontres avec Mulvey avant l'enregistrement du disque, a demandé à l'artiste de s'ouvrir davantage et d'accepter de partager son fardeau. L'idée d'ouverture est très présente dans les paroles écrites par Nick, qui a abandonné les métaphores pour des textes plus concrets, plus clairs et plus humains. C'est un Nick Mulvey beaucoup plus détendu qui accouche aujourd'hui de Wake Up Now. Un Nick bien dans sa peau, qui a bâti autour de lui une communauté avec laquelle il est en parfait accord, une communauté au coeur de laquelle la musique et l'échange occupent une place primordiale, comme sur cet album. Wake Up Now est l'oeuvre d'un artiste britannique de grand talent, prêt à toutes les nouvelles aventures.
Un premier album vendu déjà à plus de 400 000 exemplaires, une tournée qui a débuté en 2010 et qui comptabilise aujourd'hui près de 300 dates (avec pas moins de 10 dates parisiennes COMPLETES dont 5 Zénith) soit près d'1 millions de spectateurs ! : Ben l'Oncle Soul est définitivement un des artistes qui a le plus marqué l'actualité musicale en 2011. Ses performances scéniques hors pair ont séduit un très large public, de l'ouverture de prestigieux festivals de Jazz (Juan les Pin, Montauban...) aux Festivals Chansons les plus reconnus (Les Francofolies de la Rochelle...). Le grand public et les professionnels ne s'y sont pas trompés, Ben L'Oncle Soul a reçu cette année la Victoire de la Musique de l'artiste révélation scène 2011 ! Et, chose assez rare pour être soulignée, l'engouement s'est poursuivi à l'étranger avec des dates historiques comme l'ouverture du très prestigieux Festival de Jazz à Montréal, une tournée à guichets fermés aux Etats-Unis, et un prix remis pour la toute première fois en Allemagne à un artiste français (les Live Entertainment Award pour la tournée des clubs de l'année en Allemagne). Ce LIVE PARIS est bien plus qu'un live classique, c'est un spectacle incroyable qui reprend les succès de l'album ("Soulman", "Seven Nation Army"...) tout en rendant hommage aux plus grands artistes soul (avec des reprises d'Otis Redding, Curtis Mayfield....) le tout mené avec une énergie folle. On y retrouvera aussi les participations de Beat Assailant, 20syl, d'Hoccus Pocus...
Wiener Blut, opérette posthume du père du Beau Danube Bleu et de quelques incontournables tubes au bon goût viennois, créé l'année de sa mort en 1899, est né d'un très singulier collage des plus populaires musiques de son répertoire. C'est, dit-on, pour pallier les diffi cultés fi nancières de son théâtre, Le Theater an der Wien, où fut créée la majorité des oeuvres de Strauss junior, qu'Adolf Müller, son directeur et chef d'orchestre eut l'idée de « fabriquer » une opérette inédite à partir d'airs connus du maître. Il en commanda le livret à Victor Léon et Léo Stein, les futurs librettistes de La Veuve Joyeuse de Franz Lehar. Ceux-ci prirent pour titre Wiener Blut, « sang viennois » comme on dirait «bon bec de Paris», une valse que tout Vienne fredonnait et dansait depuis 1873... Ils y injectèrent d'autres rengaines connues, Grüss Dich Got, Aimer, boire et danser, Stoss an, etc... Müller lia le tout d'une sauce musicale de gourmet en parfaite fi délité au compositeur. Le tout au service d'une histoire de couple boiteux, d'un Don Juan sans foi ni loi, et de résistance à l'envahisseur. Car nous sommes au lendemain d'une guerre - celle de la Succession d'Autriche - où déjà ! - la Prusse avait envahi la perle du Danube. Le comte tombeur de jupons y prend ses marques de sympathie avec l'occupant, tandis que la comtesse, sa fi dèle épouse se retire chez ses parents en signe de protestation pour cause d'incompatibilité de moeurs et de culture... Tout un programme à découvrir dans cette production pleine d'humour, fi lmée en 1971, servie par des voix magnifi ques. Un must !!!
Sur ma route donc. Alors, encore un énième best of me direz-vous et pourquoi ? Impôts mal évalués, pression de la maison de disque qui doit faire du chiffre en fin d'année, manque cruel d'inspiration ? Et bien non, rien de tout ça fort heureusement et je tiens à rassurer ceux qui m'aiment bien : Je suis en règle, je crois en l'administration fiscale, et même si, en effet, le père Noël doit impérativement passer par les maisons de disque en décembre, la mienne a l'élégance de ne pas m'en parler. Enfin pour ce qui est de l'inspiration, je dois avouer avec un peu de prétention que je suis assez fier du single qui accompagne l'album. J'éprouve aujourd'hui plus de plaisir et moins de pression quand j'écris. J'espère le faire plus souvent pour les autres d'ailleurs. Alors pourquoi ce premier best of ? Tout simplement parce que j'en avais envie. J'avais envie comme un gamin de ranger ma collec de petites voitures rouges, vertes, et bleues côte à côte, et puis, d'arrêter deux secondes de jouer pour les regarder. Quelque chose comme dix huit singles ! Tout commence donc avec Sur la route enregistré en 1993 jusqu'à l'inédit qui accompagnera ce best of en 2011. 18 ans, 18 chansons, ce n'est pas éreintant comme rythme, certes, mais constant et régulier. Et puis, ça fait un compte rond, j'aime bien. J'y ai ajouté deux ou trois petites choses moins connues, comme la maquette de Marie, différente de l'imparable version de Johnny. Du live, avec des arrangements revus et corrigés pour l'occasion, des chansons d'album que j'aurais aimé avec le recul, voir sortir en single. Voilà ma route, un cheminement un peu solitaire. Ni sur la grande autoroute de la variété, ni sur les chemins tortueux des branchés ultra. Mon besoin viscéral d'esthétisme m'aurait mis mal à l'aise sur la première et le snobisme apeuré des seconds m'a toujours horripilé. Plutôt solitaire donc, mais avec quelques belles rencontres déterminantes. Pour finir, je veux vous remercier de m'avoir lu, peut être même écouté. Et comme j'aime aussi le cinéma, je paraphraserai Jack Nicholson quand il dit en anglais dans le texte à l'occasion d'un bilan de carrière : You ain't seen nothing yet !
Créé il y a maintenant dix ans, le groupe Dead By April revient avec leur quatrième album Un son plus mature, une collaboration avec le producteur international Ben Grosse (connu pour ces projets réalisés avec Marilyn Manson, Splipknot, Alter Bridge ou encore Disturbed) et une apparition exclusive d’un des chanteurs les plus respectés de Suède, Tommy Körberg. Le style de Dead By April se reconnait encore une fois à l’écoute de Worlds Collide, à travers les ballades puissantes comme Perfect the Way You Are ou les morceaux plus agressifs mais tous aussi percutants comme This Is My Life. Le chanteur a imposé plus de puissance dans sa voix, ce qui ajoute de la dynamique et du caractère à l’album. Un véritable challenge pour le groupe, qui aurait pu s’asseoir sur ses acquis et son succès déjà obtenu grâce à des albums aboutis et une reconnaissance singulière des fans. Dead By April aborde des sujets sérieux comme le harcèlement sur Internet, la haine des autres par la critique facile. Worlds Collide est un cri dénonçant les différences, les différends, met le doigt où ça fait mal.
Le présent album regroupe à la fois des airs célèbres du répertoire traditionnel de cette illustre maison l'Opéra Garnier, mais également des ouvrages qui ont marqué son histoire. Ainsi les deux premiers actes de La Juive de Halévy sont choisis pour le programme d'inauguration. C'est à la suite d'un concours que l'architecte Charles Garnier est choisi en 1861 pour le projet de construction du nouvel opéra de Paris. Les travaux débuteront cette même année et l'ouvrage sera inauguré le 5 janvier 1875, après le percement de l'Avenue de l'Opéra, qui offre une perspective grandiose sur la somptueuse façade de pur style Second Empire du nouvel opéra. La Thaïs, de Massenet, sera créée dans cette même salle le 16 mars 1894. Mais l'histoire la plus intéressante concerne la Carmen de Bizet : l'ouvrage d'origine étant un opéra-comique, il ne peut de ce fait être représenté sur une scène d'opéra. Ernest Guiraud va, après la mort de Bizet, adapter l'oeuvre qui rentre ainsi au répertoire des plus grandes scènes internationales. Pourtant, ce n'est qu'en 1959 que Carmen fera son entrée au Palais Garnier, pour sa réouverture en présence du Général de Gaulle, dans la somptueuse mise en scène de Raymond Rouleau. Jane Rhodes assure le rôle-titre, la direction musicale étant confiée à Roberto Benzi. Un extrait de l'enregistrement de cet évènement figure dans cet album qui regroupe également les artistes d'hier ou d'aujourd'hui, français ou étrangers, qui ont contribué à la renommée mondiale de cette salle magnifique.
Malgré sa toute petite taille, qu'accentuaient les formes généreuses de sa guitare, Cochran était un géant qui laissera une oeuvre incandescente, marquée par l'urgence de sa courte vie. Pour Summertime Blues, Somethin' Else ou la rage de C'mon Everybody.
Sorti en 1973, Genesis Live est le premier album live du groupe de rock progressif Genesis. Les titres de cet album ont été enregistrés au départ pour l'émission de radio américaine King Biscuit Flower Hour. Les membres de Genesis ne comptaient pas sortir d'album en public, mais Tony Stratton-Smith, le patron de leur label Charisma Records, arriva à les convaincre de sortir cet album pour combler le temps qui sépare Foxtrot et son successeur, Selling England by the Pound. Le groupe a longtemps hésité à sortir cet album de peur qu'il ne révèle les carences du show live par rapport à l'enregistrement studio. En effet, les mélodies, parfois fort complexes et rapides (notamment les partitions des claviers dans la pièce Supper's Ready), n'étaient pas toujours interprétées à la perfection en concert (malgré le haut niveau technique des musiciens), ce qui contrariait les membres de Genesis. Cet album eut pour avantage de fournir aux fans les plus dévoués du groupe un précieux témoignage des concerts de Genesis avec Peter Gabriel car le groupe ne diffusa plus d'enregistrement live jusqu'au départ de Gabriel en 1975 (le disque Seconds Out ne sortit qu'en 1977, avec Phil Collins au chant). L'album fut enregistré le 25 février 1973 au De Montfort Hall de Leicester (excepté la chanson Return of the Giant Hogweed qui fut enregistré la veille à Manchester au Free Trade Hall) pendant la tournée qui suivit la sortie de Foxtrot (1972). La couverture de la pochette représente le groupe sur scène pendant l'interprétation du titre Apocalypse in 9/8, chanson incorporée dans la pièce de vingt-trois minutes Supper's Ready. On reconnait le costume de Gabriel avec son « casque » rouge aux formes géométriques. Cette pièce ne figure cependant pas sur l'album live; elle fut retirée de l'album, qui, au lieu d'être un double album, devint un simple 33 tours. Néanmoins, quelques exemplaires d'un pressage promotionnel pour les radios du double album initialement prévu existent (sur le label néerlandais Philips Records). En Grande-Bretagne, cet album atteignit la 9e place dans les charts et se classa à la 105e place du Billboard 200 aux États-Unis. Cet album fut dedicacé à Richard MacPhail, tour manager de Genesis depuis 1970, qui quitta ces fonctions en avril 1973 pour se tourner vers de nouveaux horizons.
Un an après avoir conquis le coeur des fans de jazz avec We Could Be Lovers, son premier album chez Impulse! Records, Sarah McKenzie revient avec le sensationnel Paris in the Rain. Comme pour son précédent disque, la chanteuse/pianiste/compositrice/arrangeuse australienne née à Melbourne il y a 28 ans a collaboré avec le producteur Brian Bacchus (Norah Jones, Lizz Wright et Gregory Porter). Le résultat ? Un album fascinant alternant standards et compositions originales qui met une nouvelle fois en évidence l'incroyable musicalité de l'artiste. Plongeant leurs racines dans la tradition du Great American Songbook, les compositions de Sarah McKenzie sont pour beaucoup dans l'énergie contagieuse qui émane de Paris in the Rain. Outre la chanson donnant son titre à l'album et Road Chops, l'artiste nous offre trois compositions originales où la subtilité est le maître mot. Sur One Jealous Moon, un morceau bluesy où Ralph Moore délivre un solo d'anthologie, Sarah McKenzie chante un texte empreint d'une profonde poésie, mettant une nouvelle fois en évidence son talent inné pour jouer avec les mots. Si Paris in the Rain met une nouvelle fois en lumière ses talents de compositrice, cet album nous rappelle également que Sarah McKenzie est une interprète au talent fou, comme le prouvent magistralement ses versions de Day in Day Out de Johnny Mercer et Rube Bloom, Embraceable You de George et Ira Gerschwin, Triste d'Antonio Carlos Jobim, Little Girl Blue de Richard Rodgers et Lorenz Hart ainsi que Tea for Two de Vincent Youmans et Irving Caesar.
ROSSO : LE PREMIER ALBUM D'AIRS BAROQUES ITALIENS DE PATRICIA PETIBON La soprano Patricia Petibon est connue et admirée pour ses interprétations fascinantes et audacieuses, où le jeu d'actrice importe autant que l'agilité vocale. L'opéra baroque italien était donc une évidence pour son nouvel album, Rosso, dont elle a sélectionné les airs elle-même. Les sublimes Lascia ch'io pianga et Ah ! mio cor de Haendel sont entourés de perles rares de ses contemporains ou prédécesseurs (Vivaldi, Porpora...). Ne manquez pas Quando voglio de Sartorio, c'est un tube ! Avec les héroïnes de Rosso, Patricia Petibon nous invite à «un voyage à travers l'âme et l'exacerbation des sentiments». Le titre de l'album (rouge en italien) exprime à lui seul les émotions contrastées réunies sur ce disque : on passe du rire aux larmes, de la fureur à la douceur ou encore à la mélancolie. Spécialistes du genre, le Venice Baroque Orchestra dirigé par Andrea Marcon, insufflent une énergie et un rythme extraordinaires à Rosso. Patricia Petibon résume parfaitement l'esprit de Rosso : «ÇA SWINGUE ET C'EST ROCK & ROLL !»
2017 est une très belle année pour Renaud avec une tournée à guichet fermé. Pour accompagner cette année exceptionnelle, voici Les années béton, l'intégrale studio et Live 1975-1983, présentée sous la forme d'un luxueux livre d'art, elle contient 11 CD, 1 DVD et un livret de 48 pages. Les albums sont présentés dans l'ordre chronologique des enregistrements. Au total plus de 138 titres dont 11 versions alternatives. Le DVD constitué d'archives de l'INA contient le meilleur des apparitions TV de Renaud. Le livret richement illustré par de nombreuses photos rares et inédites, nous éclaire sur la carrière de Renaud. Le texte de Didier Varrod, nous explique la conception de chaque album et de ses principales chansons, et nous parle des influences et des collaborations artistiques du chanteur. Contenu de l'intégrale Contenu audio Amoureux de Paname - Place de ma mob - Ma gonzesse - Marche à l'ombre - Le retour de Gérard Lambert - Morgane de toi - Renaud à Bobino - Le p'tit bal du samedi soir - Un Olympia pour moi tout seul CD bonus 1. L'auto-stoppeuse- Version alternative 2. Banlieue rouge- Version alternative 3. J'ai raté Télé-Foot- Version alternative 4. Mon beauf'- Version alternative 5. La blanche- Version alternative 1 6. La blanche- Version alternative 2 7. Soleil immonde - Version alternative 8. Étudiant - poil aux dents - Version alternative 1 9. Étudiant - poil aux dents - Version alternative 2 10. Doudou s'en fout - Version alternative 1 11. Doudou s'en fout- Version alternative 2 Contenu vidéo Archives INA (1975-1983) - 2 heures et 10 minutes Contenu éditorial 1 livret de 48 pages richement illustré Texte : Didier Varrod
STING interprète ses Chansons les Plus Célèbres avec un orchestre symphonique ! Le projet Symphonicities : Pour son nouvel album - et sa tournée internationale - Sting interprète ses plus grands tubes, ré-arrangés entre autres par Michel Legrand, Rob Mathes, Steven Mercurio, Robert Sadin. Parmi les autres points forts de l'album : des titres du 'songbook' Police, tels que Every little thing she does is magic, «Roxanne» et Every breath you take ainsi que des chansons rendues célèbres par sa carrière solo telles que «Englishman in New York,» «Fragile,» «Fields of gold » ou «Russians». Il est également rejoint par un quartet comprenant Dominic Miller (son guitariste de longue date), David Cossin (multi-percussionniste, spécialiste des nouvelles musiques expérimentales et membre des Bang on a Can All- Stars), Jo Lawry (chant) et Ira Coleman (basse). Sting n'en est pas à sa première exploration de la musique classique. Le succès de son album Songs from the Labyrinth (un #1), disque d'interprétations pour luth construit autour de la musique du compositeur du 16ème siècle John Dowland (2006), et de If On A Winter's Night... (2009) ont ouvert la voie à ce nouveau projet.
Fille d'Afrique, d'Europe et d'Amérique, du jazz, du hip-hop et de la pop, Neneh Cherry eut, la première, le talent d'allier afro-beat et house music. Pour ce premier album, Neneh s'était entourée des futurs Massive Attack.
Un DVD live colossal accompagné d’un livret de photos pour se remémorer une semaine de juin passée au Parc des Princes, c’est tout ce que pouvaient espérer les fans de Johnny Hallyday.
Après un premier élégant EP encensé par la critique, voici le tant attendu premier album de Cascadeur, «The Human octopus». Gagnant du prix CQFD 2008 (tremplin inrocks) et révélation des Francofolies de La Rochelle 2010, cet ovni musical propose tout un univers onirique, quasi lunaire, à travers lequel il revisite ses amours musicaux de toujours, de Radiohead à Nina Simone, d'Antony & the Johnsons à Érik Satie. L'homme qui ne montre jamais son visage (caché par un casque de pilote de chasse) est à la fois auteur, compositeur, interprète, musicien, arrangeur et mixeur. Réfugié dans son home studio qu'il se plaît à baptiser Cascadrome, il a oeuvré seul pour livrer ce très personnel opus qui affiche une candeur et un condensé d'émotions rares. En live, Cascadeur propose une prestation à la mise en scène soignée, habilement habillée de projections pour une expérience unique, qui n'a pas fini de subjuguer. Cette sortie d'album sera accompagnée d'une tournée dans toute la France dont un Café de la Danse le 23 mars et les festivals d'été