We Love Disney 2 Contient : 1937 - BLANCHE NEIGE - Heigh-Ho! – Instrumental 1942 - BAMBI – Je chante pour toi - Zaho 1950 - CENDRILLON – Tendre Rêve - Alizée 1955 - LA BELLE ET LE CLOCHARD – Belle Nuit - Kendji Girac 1957 - ZORRO – Zorro – Thomas Dutronc 1959 - LA BELLE AU BOIS DORMANT – J'en ai rêvé – Nolwenn Leroy 1963 - Le Monde est Petit– Coralie Clément & Zoé Félix 1964 - MARY POPPINS – Chem Cheminée - Jeanne Cherhal 1967 - LE LIVRE DE LA JUNGLE – Aie Confiance - Carmen Maria Vega 1970 - LES ARISTOCHATS – Les aristocats – Olivia Ruiz 1970 - LES ARISTOCHATS – Thomas O'Malley – Renan Luce 1970 - LES ARISTOCHATS – Des gammes et des arpèges – Arielle Dombasle 1989 - LA PETITE SIRENE – Sous l'océan – Henri Salvador & Elie Semoun 1989 - LA PETITE SIRENE – Partir là-bas – Louane 1997 - HERCULE – Le Monde qui est le mien – Jean Baptiste Maunier 1999 - TARZAN – Je veux savoir – Olympe 2013 - LA REINE DES NEIGES – Le Renouveau– Anais Delva & Emmylou Homs Vous aurez la surprise de découvrir à reception de la commande le motif de la pochette. Choix non possible en fonction des arrivages (aléatoire).
REVIVEZ UN MOMENT HISTORIQUE DANS L'HISTOIRE MUSICALE FRANCAISE !!! Michel Polnareff, véritable phénomène de la chanson française est de retour en France, près de 35 ans après son départ pour les U.S.A. C'est en mai dernier qu'il a annoncé sa venue à Bercy en mars 2007. Dix dates exceptionnelles du 2 au 14 mars, complètes en quelques jours de mise en vente. S'en suit une tournée de plus de 40 dates sillonnant toutes les plus grandes villes de France, 2 Bercy supplémentaires, un concert événement, titanesque sous la Tour Eiffel le 14 Juillet 2007. Au total plus de 1,5 million de spectateurs ont été témoins avec, à chaque fois, une émotion palpable, des retrouvailles entre cette légende de la chanson française. Toujours soucieux de ravir de ses fans et de leur plaisir, Michel Polnareff crée, comme à son habitude, l'événement en magasin, en nous offrant en cette fin d'année les DVD live « ZE (re) TOUR 2007 » disponibles en un Coffret double DVD édition LUXE (limitée) incluant : un road book 62 pages, un poster 80X120, un double DVD en Digipack (DVD 1 - le Concert / DVD 2 - les bonus : itw, coulisses de la tournées, jeux de pistes...) et bien d'autres surprises... Le DVD bénéficie d'une qualité sonore 5.1 particulièrement élevée. Cette édition limitée sera complétée par une éditions standard double DVD 5.1 et sous forme de digipaks 3 volets au tirage soigné.
L'ESPRIT D'AVENTURE D'HILARY HAHN LA CONDUIT UNE NOUVELLE FOIS HORS DES SENTIERS BATTUS Aux côtés du pianiste et compositeur Volker Bertelmann (plus connu du public underground sous le nom d'Hauschka) et de Valgeir Sigurosson (le producteur de Björk), la violoniste Hilary Hahn enregistre Silfra. Hilary Hahn et Hauschka ont en commun une formation classique, même si ce dernier a choisi de s'orienter vers la musique expérimentale, en jouant et composant sur des pianos préparés. Le résultat de la collaboration de ces deux artistes qui a priori tout oppose, est un album fascinant, véritable ovni sur le label Deutsche Grammophon. Sur cet album, Hilary Hahn et Hauschka mêlent improvisation et musique expérimentale : Vous écoutez la musique telle qu'elle a été jouée à la première prise car il n'y en a pas eu d'autres. Vous entendez donc exactement ce qui est né à l'instant T où nous avons enregistré. Ce fut pour moi une expérience tellement enrichissante que je me sens nostalgique lorsque j'écoute le disque !, déclare Hilary Hahn. Silfra est une faille près de Reykjavik (capitale de l'Islande, où l'album a été enregistré) où s'entrechoquent les plaques tectoniques de l'Amérique du Nord et de l'Eurasie. Le titre de l'album symbolise donc la rencontre de deux mondes, à la fois musicaux (classique et expérimental) et géographiques (Hilary est originaire des Etats-Unis; Hauschka d'Allemagne). UN ALBUM CREATIF ET INNOVANT, A L'IMAGE DES DEUX ARTISTES QUI L'ANIMENT...
La très attendue bande originale de «TRON : L'Héritage», composée et produite par Daft Punk, le duo génial de l'électronique made in France paraîtra le 6 décembre 2010 pour une sortie simultanée dans le monde entier. Le film produit par Walt Disney Pictures sera projeté en 3D et diffusé à partir du le 9 février 2010 en France. Admirateur, depuis l'enfance, de «TRON», le film révolutionnaire diffusé en 1982, Daft Punk a eu très à coeur de mettre en musique ce nouveau chapitre de l'histoire. Le duo a élaboré une symphonie, interprétée par une centaine de musiciens prestigieux, et enregistrée à Londres, aux Air Lyndhurst Studios. L'album sera composé de titres 100% inédits, une première depuis leur dernier album « Human After All » paru en 2005. Les Daft Punk ont travaillé plus d'un an et demi sur ce projet colossal et le considèrent comme un véritable aboutissement artistique ainsi que la suite logique de leur carrière musicale. Les titres ont été construits comme un voyage musical au coeur du film. Les Daft Punk ont mis leur touche personnelle sur cette musique qui mixe électronique, score et musique classique. Les inspirations sont également très présentes : Giorgio Moroder, Vangelis, Ennio Morricone. Ils nous livrent une BOF ambitieuse qui fera date à n'en pas douter. C'est aussi bien sur leur première BOF.
Nouvelle sortie dans la collection Classic Albums, qui raconte les coulisses de l'enregistrement du disque phare des Beach Boys à l'occasion de son 50ème anniversaire Pet Sounds fut enregistré fin 1965 / début 1966, soit un an après que Brian Wilson se soit retiré des tournées. Pendant que le groupe était sur scène, Brian peaufinait en studio des titres complexes faits de plusieurs couches d'orchestrations et d'effets spéciaux. Au retour de tournée, le reste du groupe entra en studio pour coucher les harmonies vocales élaborés qui ont fait leur marque de fabrique. La nouvelle direction musicale créa la stupeur au sein même du groupe, ce que le film explore grâce à des interviews des membres du groupe et des collaborateurs de l'époque. La presse américaine, d'abord perplexe, reconnue plus tard l'importance et l'influence de ce disque. En Europe, notamment en Angleterre, Pet Sounds fut plébiscité et devint immédiatement un succès commercial, s'installant dans le Top 10 pendant 6 mois ! Disque phare des années 60, Pet Sounds méritait une place de choix dans la collection Classic Albums. The Beach Boys Pet Sounds Classic Albums. Le documentaire de Martin Smith sur l'enregistrement du disque phare des Beach Boys. Avec de nombreux extraits des titres de l'album dont God Only Knows, Wouldn't It Be Nice, Sloop John B, I Know There's An Answer, etc En bonus : Plus de 30 minutes d'interviews additionnelles qui ne figurent pas dans le film.
Songwriter, guitariste, chanteur, leader de sa propre formation... A seulement 20 ans, Marcus King déploie sur The Marcus King Band, son deuxième album, un talent tout simplement éblouissant. Puisant aux sources mêmes de la musique américaine, Marcus King décrit lui-même sa musique comme du rock sudiste teinté de soul et de psychédélisme. Sa voix splendidement rauque, son jeu de guitare d’une liberté folle et ses dons de songwriters n’ont jamais mieux été mis en valeur que sur ce nouvel album. L’accompagne un groupe de musiciens formidables avec lequel il est rapidement en train de devenir l’une des attractions scéniques les plus courues des Etats-Unis. Pour ce nouvel album, de nombreux invités viennent prêter main forte à Marcus King, à commencer par Derek Trucks. Mais aucun invité ne joue toutefois un rôle aussi important que Warren Haynes qui produit et joue sur l’album. Je n’avais jamais entendu un musicien aussi jeune faire preuve d’une telle maturité artistique depuis Derek Trucks, confie Warren Haynes. Marcus est très influencé par le blues mais également par le jazz, le rock, la soul... par tous les genres de musique intemporels en fait. On peut entendre ces influences dans sa musique, mais il se les approprie à sa manière. Il possède une de ces voix qui vous emportent sur le champ. Son jeu de guitare en est le prolongement parfait, et réciproquement.
Allez, le suspense assez duré : ce Marilyn Manson-là, sixième album de la goule de l'Ohio, est peut-être son meilleur depuis le premier, « Antichrist Superstar », sorte de mètre étalon que ses fans se sont imposés. Avec plus de réussite que précédemment, malgré le départ du fidèle Twiggy Ramirez, le nouvel empereur du metal continue de catapulter l'auditeur dans les cordes, avec férocité (This Is The New Shit) mais se voit désormais en Monsieur Loyal hystérique (Mobscene). Prenant toujours son rock en fusion très au sérieux (Use Your Fist And Not Your Mouth), et même s'il secoue encore le fantôme du glam avec vigueur (Doll-Dagga Buzz-Buzz Ziggety-Zag), Manson s'est cette fois hasardé sur d'autres terrains, rendus vagues par sa seule présence. L'apport de la nouvelle recrue Tim Skold est flagrant dans les essais teintés d'electro que sont The Golden Age Of Grosteque ou Para-Noir (en duo avec sa compagne Dita Von Teese) transformés par tant d'audace. Plus loufoque, plus cohérent et malsain, mais aussi mieux tourné que les précédents, ce disque souffre encore de carences mélodiques graves, mais laisse à penser que Marilyn a entrepris de répondre de façon éloquente aux multiples questions artistiques qui le taraudent (parce qu'il est aussi curieux qu'intelligent), autrement qu'en hurlant comme un dingue pour se faire entendre.
Tony Allen vient de réaliser un rêve d'enfant. Il assure même qu'avec The Source, douzième opus de sa discographie, il a enregistré le disque de sa vie. Il n'est pas anodin qu'un musicien de 76 ans dont la carrière s'étale sur plus de 50 ans et dénombre des centaines d'enregistrements en studio, fasse un tel aveu Premier album du batteur nigérian pour le prestigieux label Blue Note, The Source symbolise peut être mieux qu'aucune autre référence du catalogue à la fois l'âge classique du label et son présent innovant. L'enregistrement de l'album s'est fait sur bandes analogiques et autour de Tony sont réunis quelques-uns des meilleurs musiciens d'une scène que l'on peine à étiqueter jazz tant elle se caractérise avant tout par sa mobilité et sa créativité. Au total 11 pointures, dont 5 cuivres, ont participé à l'enregistrement de The Source. Plus un guest de marque, Damon Albarn. Les meilleurs albums nous racontent toujours une histoire. Celui-ci nous fait remonter à la source de l'art musical de Tony Allen, autrement dit le Nigéria de la seconde moitié du 20ème siècle ou Tony Odalipo Allen, écoute des disques de ses maîtres américains, Art Blakey, Max Roach, Kenny Clarke, éminents batteurs de l'ère du Be Bop et du Hard Bop. Dans ce contexte particulier, le mot source prend une valeur polysémique. Car ici, il peut s'agir d'un retour au source comme de la mise en relation avec une source sonore . Cette dimension est cruciale tant cet album brille par la variété de ses timbres et la diversité de ses couleurs.
Le groupe de pop rock australien, 5 Seconds Of Summer, composé de 4 amis (Luke, Ashton, Calum, Mickael), commence leur carrière en postant des reprises sur Youtube. Ils sont rapidement repérés par les membres des One Direction et sont invités à faire leurs premières parties en 2013. Après plusieurs EPs sensation classés en hauts des tops sans aucune promotion, le groupe sort un premier album éponyme en 2014 qui se vend à plus d'un million d'exemplaires à travers le monde et se voit certifié platine au Canada, or aux USA et UK. En 2014, est l'année de la consécration pour le groupe qui gagne entre autres le prix de meilleur nouvel artiste aux American Music Awards et 3 MTV Europe Music Awards dont celui du meilleur nouvel artiste. Leur second album Sounds Good Feels Good sorti en 2015 se vend à plus d'un million d'exemplaire dans le monde et se classe #1 iTunes dans plus de 40 pays dès sa sortie (dont UK, USA, Allemagne, Espagne...). Ils sortent en Février un nouveau single Want You Back très attendu par les fans. En France l'engouement autour de ce nouveau single s'est retrouvé sur Twitter ou le hashtag #5SOS s'est retrouvé en Trending Topic. Ce premier titre marque la volonté du groupe de changer de direction artistique et de se tourner vers la pop à l'instar de Maroon 5. Le groupe annoncera une tournée européenne avec un passage par Paris cet automne au Zenith.
2018 sera sans conteste encore une fois une année Eddy Mitchell avec la sortie du nouveau volume de La même tribu. Eddy Mitchell Intégrale Acte 1 : 1962-1979 vient célébrer plus de 50 ans d'une carrière remarquable et exemplaire, Cette nouvelle intégrale regroupe l'ensemble de ses enregistrements studio et live réalisés entre 1962 et 1979. Présentée sous la forme d'un luxueux livre d'art, elle contient 23 CD et un livret de 48 pages. Les albums sont présentés dans l'ordre chronologique des enregistrements. Au total plus de 370 titres, 20 albums studio, 3 albums live et de nombreux bonus tracks (EP, singles, B-sides, raretés, versions anglaises, italiennes et espagnoles, etc...) Le livret est richement illustré de nombreuses photos rares et inédites qui nous éclairent sur la carrière de Monsieur Eddy. Contenu de l'intégrale : 23 CD : Intégrale des enregistrements studio et live 1962 - 1979 - 20 albums studio : Voici Eddy... c'était le soldat Mitchell - Eddy in London - Panorama - Toute la ville en parle... Eddy est formidable - Du rock n'Roll au Rhythm n'Blues - Perspective 66 - Seul - De Londres à Memphis - 7 colts pour Schmoll - Mtchellville - Rock n'Roll - Zig-Zag - Dieu bénisse le Rock n'Roll - Ketchup électrique - Rocking in Nashville - Rocking in Nashville - Made in USA - Sur la route de Memphis - La dernière séance - Après minuit - C'est bien fait - -3 albums Live : Olympia 69 - Olympia 75 - Eddy Mitchell Live / Palais des sports 78
Après avoir écumé les pubs et autres salles de concert des alentours de Dublin, Phil Lynott et ses acolytes sont remarqués par le label DECCA en 1970. Les Irlandais de Belfast sortent leur premier opus en 1971 et commencent une carrière qui sera jalonnée de succès, de séparations douloureuses et de drames. La mort de Phil Lynott en 1986 va enterrer toutes possibilités de reformation d'un groupe que le leader emblématique avait dissout en 1984. Une tentative de reformation du groupe aura été tentée en 1996, mais sans Phil Lynott la tache paraissait bien trop ardue tant il incarnait se groupe avec force et détermination. Les hits Jailbreak, Boys are Back In town ou Dancing In The Moonlight et Wiskey In The Jar résonnent encore comme autant de bons souvenirs d'un groupe dont l'ADN restera l'authenticité et la puissance. Retrouvez à travers cette réédition le troisième album de ce groupe phare du Rock Irlandais. En 1973, la machine est lancée et les sceptiques se font de plus en plus rare tant Phil Lynott et ses acolytes imposent leur vision d'un Rock fédérant aussi bien amateurs de Blues, de Pop Groovy et de Hard Rock. C'est Justement en cette année 1973 que le groupe sort un Vagabonds Of The Western World qui tournera la page d'un Trio pour laisser place à une formation plus fournie et qui verra Eric Bell remplacé l'année suivante par Scott Gorham et Gary Moore.
Grâce à l'édition de ce nouveau coffret de 3CD dans la collection Old & New Masters regroupant des enregistrements de John Abercrombie parus entre 1978 et 1980, plusieurs disques importants font un retour bienvenu au catalogue ECM, parus à l'origine sous les titres Arcade, Abercrombie Quartet et M. A la tête d'un quartet composé de Richie Beirach, George Mraz et Peter Donald historiquement le premier groupe entièrement conçu et dirigé par Abercrombie le guitariste entreprit de donner une nouvelle orientation à sa musique, se dégageant progressivement d'un style marqué par le jazz-rock pour s'engager dans un univers plus impressionniste et original, caractérisé par un rapport nouveau à l'espace et au timbre. Abercrombie et le pianiste Richie Beirach, qui avaient déjà donné de nombreuses preuves de leurs affinités musicales en tant qu'improvisateurs, composèrent la quasi-totalité du répertoire du groupe. Le contrebassiste George Mraz et le batteur Peter Donald apportèrent au projet leur créativité et leur savoir-faire. A l'occasion de cette édition, les enregistrements réalisés à Oslo et Ludwigsburg sous la direction artistique de Manfred Eicher – ont été remasterisés à partir des sources analogiques d'origine. Première parution en CD de ces disques dans la plupart des pays du globe (Arcade a été un temps très bref disponible au Japon), elle vient répondre à la demande pressante des fans d'Abercrombie et de Beirach mais aussi de nombreux collectionneurs du label ECM.
L'un de ses deux nouveaux projets, célébration des femmes qui ont bouleversé le cours de l'histoire à travers la figure emblématique d'Oum Kalthoum, véritable monument de l'histoire du peuple arabe, qu'Ibrahim a beaucoup écouté depuis son enfance. N'étant moi-même pas chanteur, j'essaie à travers mon instrument de transmettre cet amour que j'ai pour un art finalement extrêmement peu pratiqué, celui de Tarab. C'est évidemment très complexe de tenter d'expliquer ce qu'est le Tarab en musique, puisque c'est une émotion, une sensation d'extase, un art de vivre heureux, alors il m'a semblé plus judicieux de tenter une expérience, un exercice de style, celui de la traduction musicale. Avec le pianiste Frank Woeste nous avons transcrit dans un jazz assez conventionnel, mais nous l'espérons innovant de par son métissage, l'un des plus grands succès de la diva égyptienne : Alf Leila Wa Leila ( Les Mille et une Nuits). Ces mélodies arabes que nous reprenons, bien que fondamentalement traditionnelles, se mélangent très facilement aux harmonies, et aux rythmes du jazz new yorkais. Le point commun entre ces deux cultures musicales est l'improvisation, et c'est sur ce terrain que s'inscrit le dialogue. C'est le dénominateur commun qui rend l‘échange possible. Enregistré et mixé à New York avec la même équipe que l'album Wind (2011) qui était un hommage à Miles Davis, c'est en toute logique que j'ai envisagé Kalthoum comme une continuité de cette belle aventure discographique avec Larry Grenadier (Contrebasse), Clarence Penn (Batterie), Mark Turner (Saxophone) et Frank Woeste (piano).
Après avoir exploré l’histoire du rap en 125 titres, la collection Basics revient sur 50 ans de musique afro-américaine, de Louis Jordan à Frank Ocean en passant par Marvin Gaye, Aretha Franklin, James Brown, Parliament ou Usher. Au menu, 130 titres répartis sur 12 disques vinyles (ou 4 double-CD) retraçant la fabuleuse épopée des musiques noires en terre américaine, entre blues, soul, funk, disco, new jack swing et r’n’b moderne. Sélectionné par un expert - Thomas Blondeau, spécialiste du genre, journaliste aux Inrockuptibles, à Libération et au monde diplomatique - cette épaisse compilation revient sur l’histoire d’un genre majeur : de Ray Charles à Jodeci, elle rend palpable les évolutions musicales, technologiques mais aussi sociétales qui ont accompagné la communauté noire américaine pendant 50 ans. Des champs de coton aux tours de béton, Basics navigue ainsi entre l’underground et le mainstream, entre la superstar Stevie Wonder et les méconnus Prophets & His Disciples, retraçant en 4 volumes l’histoire d’un genre musical importé d’Afrique à fond de cale pour truster aujourd’hui le sommet des classements discographiques du monde entier. Chaque titre bénéficie d’un commentaire qui éclaire tour à tour son enregistrement, son inspiration, son impact ou son influence, replaçant chaque chanson dans un contexte historique, social ou musical. Basics est un pavé d’histoire de la musique, une occasion inédite de se replonger dans ses classiques, de (re)découvrir hits imparables et pépites méconnues. Une collection unique en son genre, une immersion totale dans un genre incontournable.
Nouvel album étincelant. Après le succès de son album Gouach, sorti en 2012, le pianiste/compositeur Jacky Terrasson fait ses débuts sur le label Impulse! avec Take This, un nouvel album étincelant qui saisit la quintessence d'un tempérament musical constitué de nombreuses facettes puisant dans des influences post-bop moderne, pop, hip-hop ou classique européenne, et qui souvent fait appel à des rythmes et mélodies africains ou afro-antillais. Pour l'accompagner sur Take This il réunit le bassiste américain Burniss Travis, et de nouveaux musiciens dont le batteur cubain Lukmil Perez Tito Puente, Giovanni Mirabassi, le percussionniste malien Adama Diarra Dee Dee Bridgewater, Salif Keita et Sly Johnson, chanteur et human beatboxeur virtuose ex Saian Supa Crew, Camille, Eric Truffaz. Ensemble ils forment un combo hip-cosmopolite représentant l'ampleur d'une vision jazz globale mais qui affirme ses racines afro-américaines. Take This est doté de quatre titres originaux magnifiques : Kiff, Dance, November et Letting Go mais il y a également de nouvelles lectures surprenantes dans ce disque, des reprises qui vont de standards jazz Un Poco Loco de Bud Powell, Blue In Green de Miles Davis et Bill Evans, Take Five de Paul Desmond au duo piano-voix fascinant avec Come Together signé des Beatles, en passant par l'exubérance du tube afro-caribéen d'Henri Salvador, Maladie D'Amour (1950), ou encore le remodelage jazz/hip-hop du succès international pop de Gotye, Somebody That I Used to Know (2011). Take This est une aventure musicale supplémentaire dans l'oeuvre de Terrasson.
L'époque yéyé est depuis longtemps révolue mais l'interprète de « Tombe la neige » (1963) est toujours à l'affiche sur scène, en vedette et avec un répertoire de cinq décennies, et non dans une tournée de type Âge tendre et tête de bois. De nostalgie il est toujours un peu question chez Salvatore Adamo qui revient facilement, avec l'expérience que l'âge lui confère (72 ans), sur ses années les plus insouciantes. Il s'en amuse avec Joyce Jonathan qui joue le rôle de sa fille dans l'exquis « De père à fille », lui reprochant son petit ami... musicien (« Oui papa, j'aime un saltimbanque / Qui aura jamais un sou en banque / Toi tu as trimé toute ta vie pour payer tes meubles à crédit »). Dans « Les jours passent », le ton se fait plus introspectif, sans tourner à la gravité. La mélancolie est aussi de mise avec le poétique « Des mots dans le vent », à l'arrangement sobre et classique signé Andrew Powell, comme les autres chansons de l'album produit par Jo Francken, qui donne une belle couleur musicale à l'ensemble. L'accompagnement acoustique, tantôt intimiste, tantôt orchestral, n'est jamais surchargé. Une trame électronique tapisse même « Je viens de plus loin ». Ce qui ressort surtout de L'Amour n'a jamais tort est le sentiment de jeunesse qu'il dégage, dès le titre d'ouverture, « Chantez ». L'interprète à la voix joliment éraillée, comme à ses vingt ans, entraîne ces treize pièces avec une certaine malice au coin des lèvres. Avec grand charme, légèreté et un brin d'auto-dérision, Adamo enchante sur « Ho'oponopono », «...Et pourtant elle même » et « Lola & Bruno (L'amour n'a jamais tort) ». Une réussite.
Doté de l'une des voix les plus particulières et facilement identifiables de la planète, et à la tête d'une carrière phénoménale, Andrea Bocelli a déambulé sans effort dans les territoires de la musique classique et populaire. Il a réécrit l'histoire de la musique, en totalisant des ventes mondiales de plus de 60 millions d'albums, se classant en tête des charts partout dans le monde, avec des albums et singles acclamés par la critique, et remportant une collection impressionnante de prix prestigieux, dont un Golden Globe dans la catégorie de la Meilleure Chanson, ainsi que des nominations pour les Grammy Awards et les Oscars! Sa présence dominante dans les charts pop est également indéniable - exploit unique, quatre de ses albums ont occupé les charts pop américains simultanément. Les publics de chaque coin du globe sont enchantés par la passion véhiculée par la voix formidable d'Andrea, et en même temps touchés par la tendre intimité et l'humble générosité avec laquelle il offre son don si spécial. Aujourd'hui, avec Vivere, un «Best Of» spectaculaire réunissant quelques-unes de ses chansons les plus populaires, «Con Te Partirò», «Vivere», «Il Mare Calmo Della Sera», «Romanza» ainsi que quatre nouveaux titres exceptionnels, dont de nouvelles collaborations avec Laura Pausini, le pianiste Lang Lang et Kenny G, et Hélène Ségara... Voici une nouvelle fois une parfaite occasion de célébrer le talent extraordinaire de l'homme que le producteur mondialement célèbre David Foster appelle : «mon chanteur préféré au monde». La sortie de ce Best Of sera accompagnée d'un plan promotionnel exceptionnel (Star Academy, Vivement Dimanche, JT, Methode Cauet, Ruquier...), d'un partenariat France Bleu et d'un marketing TV ambitieux.
Après le disque de diamant de l'album Vieillir avec toi composé par Calogero et un détour par Cuba avec Habana, l'album Le présent d'abord est un nouveau virage spectaculaire comme Florent Pagny les aime depuis toujours - Partir dans de nouvelles aventures, c'est ma spécialité, avoue-t-il. Le présent d'abord mêle les générations et les univers : Florent Pagny a confié la réalisation de son album à Dany Synthé (Sapés comme jamais de Maître Gims, les tubes de MHD, Black M...). Ce mélange de générations et de cultures musicales est le prototype de cet album, pour lequel Florent Pagny chante des titres de Maître Gims, Slimane, Lionel Florence, Nazim (Amir, Claudio Capéo, Kendji Girac, Alma...), Antoine Essertier (Vianney, Daran, June The Girl...) et de toute une génération de jeunes auteurs et compositeurs. Un album introspectif et serein dans lequel Florent Pagny y chante sur des mélodies imparables le présent, ses bonheurs, ses combats, ses amours, la puissance du rêve et de l'imagination. Un nouvel album à la fois intime et universel, aux émotions puissantes. Heureux et grave, souriant et réfléchi, il prend à bras-le-corps des sujets plus graves et n'oublie pas les drames donnant ainsi une éclatante leçon de vie. Mais Florent Pagny refuse d'être un maître à penser, il clame au contraire La beauté du doute : Ne me demande pas / Où se trouve le droit chemin / Même si chacun a le sien / Personne ne connaît sa route / Et c'est la beauté du doute . L'album l'Everest est déjà triple disque de platine, et la tournée L'Everest tour s'est vendue à travers toute la France à plus de 500 000 billets. Nouvelle version collector de l'album disponible le 03 novembre.
Après 7 ans d'absence, le groupe légendaire d'électro-pop Saint-Etienne, sort leur nouvel album Words & Music by Saint Etienne. Saint Etienne entretiennent une relation durable et inaltérable avec la musique pop. Après les collages résolument anglais du premier album Foxbase Alpha, les tournures plus sombres de Tiger Bay, et les paysages électroniques glacials de Sound of Water, ce trio composé de Pete Wiggs, Sarah Cracknell et Bob Stanley a su impacter un nouveau dynamisme à cette neuvième réalisation du trio en studio, tout en gardant leur identité. On y retrouvera un fil conducteur fait de thèmes et souvenirs déclenchés par la musique, reconstituant l'ensemble de leur oeuvre. Words and Music by Saint Etienne est un album qui traite de l'influence de la musique sur la vie. Dans cette intention, l'album s'ouvre avec Over the Border, une réflexion ironique et émouvante sous forme de récit parlé avec la chanteuse Sarah Cracknell. C'est une introduction en matière puissante et symbolique pour un album qui installe les jalons de l'électro-pop. Des titres comme I've Got Your Music et DJ sont confortablement installés à côté des superbes complaintes I Threw It All Away et 25 Years, alors que résonnent également les nuances gospel de Record Doctor. Le rapport émotionnel et parfois rédempteur musique/auditeur, n'aura jamais été autant célébré et vénéré que dans ce nouvel album. Comme ils le disent eux-mêmes, on ne peut pas retourner en arrière. Avec Words and Music By Saint Etienne ils ont su créer un album rejoignant cette riche lignée faite de musiciens pop de talents. Avec des titres tels que When I Was 17 ou Tonight le 1er single (produit par Tim Powell et mixé par Richard X), le groupe Saint Etienne retrouve la fraîcheur de leurs premiers albums.
Après les 450.000 exemplaires vendus de ses CARNET DE BORD (sorti en octobre 2004), LAVILLIERS a démarré un nouveau périple, une nouvelle aventure musicale. SAMEDI SOIR A BEYROUTH, son nouvel album, suit le fil conducteur d'une soul qui prend sa source dans le Tenessee et aborde les rivages jamaïcains pour finir sa course en France. C'est ainsi que Lavilliers conçoit l'avenir, rappeler sans cesse qu'il se nourrit de ce mélange éternel des genres et des cultures. En ce sens, il est toujours aux prises avec la plus forte actualité et la modernité. Ouvrant ses chansons aux chants du monde, le revoilà donc ambassadeur des couleurs, du mouvement, des échanges. Il nous rappelle que la soul, le reggae, la poésie se répondent et sont l'écho de nos propres mémoires. Aux côtés d'un Lavilliers en très grande forme, quelques guests de choix : WILLIE MITCHELL, orfèvre de la Memphis Soul, orchestrant des cuivres et des cordes voluptueux, échos d'une soul 70's très à l'honneur sur nombre de titres. JEHRO, révélé l'an dernier par un album chaud et habité, vient aussi prêter mains fortes à Lavilliers sur deux chansons pamphlétaires et suaves. TRYO apporte aussi sa gouaille sur un titre bonus tout en ironie...Enfin, les fans se procurant le livre disque collector auront la bonne surprise d'y découvrir un autre bonus exclusif, en duo avec RAUL PAZ. SAMEDI SOIR A BEYROUTH confirme avec succès le renouvellement d'un Lavilliers plus que jamais ancré dans le travail des mots, la douceur et la force des mélodies. Son regard est en toujours en éveil sur un monde qui le nourrit sans cesse et fait vivre en lui un métier d'artiste à son apogée.
Cet album live, témoigne à merveille de l'inépuisable richesse de l'oeuvre du chanteur/pianiste/guitariste de la Nouvelle-Orléans. C'était très touchant de voir tous ces gens me rendre hommage, mais j'ai abordé ce concert comme n'importe quel autre. Voilà en quels termes le légendaire Dr. John, accueilli en 2011 au sein du Rock and Roll of Hame et récompensé à six reprises par les Grammy Awards, évoque son nouvel album, The Musical Mojo of Dr. John : Celebrating Mac & His Music. Disponible dans un coffret réunissant un double CD et un DVD ou simplement en double CD, The Musical Mojo of Dr. John est un document tout simplement unique. Lors de ce concert enregistré au Saenger Theatre de la Nouvelle-Orléans, certains des plus grands noms de la musique ont en effet rejoint Dr. John sur scène pour lui rendre un hommage vibrant, interprétant avec lui 22 des plus belles chansons d'une carrière couvrant six décennies. On retrouve ainsi Bruce Springsteen, Jason Isbell n Mavis Staples, Ryan Bingham, John Fogerty, Allen Toussaint, Irma Thomas, Terence Blanchard, John Boutté, Big Chief Monk Boudreaux, le Dirty Dozen Brass Band, George Porter Jr. et Zigaboo Modeliste des Meters ou encore Aaron, Charles et Cyril Neville. A la tête d'un all-star band local comprenant le claviériste des Allman Brothers et des Rolling Stones Chuck Lavell, le célèbre pianiste néo-orléanais John Gros, le guitariste des Meters, Brian Stoltz, le batteur Kenny Aronoff et la tromboniste Sarah Morrow, complice musicale de Dr. John depuis bien des années déjà, le bassiste Don Was assume quant à lui la fonction de directeur musical.
Disque 1 1. Mon Amant De Saint-Jean 2. Shostakovich : Second Waltz 3. Valse No. 2 4. Toselli : Nightingale Serenade 5. Aimer, Boire Et Chanter 6. Limelight (Main Theme) 7. Butterfly 8. Valse De L'Empereur 9. Concierto De Aranjuez 10. Monnot : Milord (Edith Piaf) 11. Loewe : I Could Have Danced All Night (My Fair Lady) 12. Loewe : With A Little Bit Of Luck (My Fair Lady) 13. Doyle : My Father's Favorite (Sense And Sensibility) 14. Pour Un Flirt 15. Heut' Ist Der Schönste Tag 16. La Montanara 17. Lloyd Webber : Memory (Cats) 18. Ob Blond, Ob Braun 19. Gilbert : The White Horse Inn Disque 3 1. Einzug Der Gladiatoren 2. Schneewalzer 3. Blaze Away 4. Auf Einem Persischen Markt 5. J. Strauss II : Radetzky Marsch 6. Bummelpetrus 7. Die Letzte Rose 8. Verdi : Triumph Marsch (Aida) 9. Manha De Carnaval 10. Bizet : Bizet : Habanera (Carmen) 11. Taki : Mondschein Kojo No Tsuki 12. Frühlingsblüten Sakura 13. Mein Herr Marquis (Fledermaus) 14. Dostal : Flieger Marsch 15. Arlen : Over The Rainbow 16. Wiener Praterleben (Sportpalastwalzer) 17. Traditional : The Wild Rover 18. Wie Sjoen Os Limburg Is Disque 3 1. Ballade 2. Romeo & Juliet : Aimer 3. J.S. Bach : Air 4. Grieg : Peer Gynt Suite No.1 Opus 46 : 1. Morning 5. Giazotto : Adagio In G Minor 6. Mascagni : Cavalleria Rusticana : Intermezzo Sinfonico 7. Shostakovich : The Gadfly : Romance 8. Sondheim : Send In The Clowns 9. Beethoven : Romance In F 10. Verdi : La Traviata : Overture 11. Saint-Saëns : Carnival Of The Animals : The Swan 12. Elgar : Salut D'Amour Opus 12 13. Traditional : Greensleeves 14. Haydn : Serenade 15. Mozart : Piano Concerto No.21 In C K467 Elvira Madigan : 2. Andante [feat. Jo Huijts] 16. Puccini : Madame Butterfly : Aria 17. Grieg : Peer Gynt Suite No.1 Opus 46 : 2. Aase's Death 18. Khachaturian : Spartacus : Adagio
Aux Etats-Unis, la source la plus riche en musiques traditionnelles américaines est sans doute La Nouvelle-Orléans, ville-pionnière du jazz et du blues. La série télévisée Treme de la chaîne HBO - série créée par les deux écrivains/ producteurs David Simon et Eric Overmyer, également créateurs de The Wire pour cette même chaîne HBO - entremêle histoires de musiciens avec celles vécues par leurs concitoyens en essayant de se reconstruire une vie après le passage de l'ouragan Katrina, tout en préservant les traditions musicales et culturelles de leur ville, leur unique héritage. Avec une sortie prévue mi-avril 2012, l'album Treme, Music from the HBO Original Series, Season Two fournit une illustration époustouflante de la musique faite par de nombreux musiciens de La Nouvelle-Orléans (et bien d'autres artistes), musique qui est intégrée dans chaque épisode de la série. Cette bande originale sera également disponible en téléchargement. La Saison Deux de Treme abonde en images sonores qui témoignent de l'étonnante richesse de l'actuelle musique nouvelle-orléanaise : voici des fanfares, du rock 'roots', du jazz traditionnel, des musiques R&B et Cajun... le tout accompagné d'un clin d'oeil dédié à la tradition pianistique de la ville (avec Henry Butler, Jon Cleary, Dr. John, Tom McDermott et David Torkanowsky, tous mis en évidence). Également dans cet album : la collaboration 'une-fois-dans-lavie- jamais-à-répéter', entre les néo-funksters Galactic, l'iconique Dirty Dozen Brass Band et le rappeur Juvenile. Enregistré 'live' dans les rues et clubs de La Nouvelle-Orléans, ces titres capturent l'infatigable esprit de résistance des habitants de la plus grande métropole musicale de l'Amérique. Difficile d'imaginer une vue d'ensemble plus fascinante de la musique contemporaine de La Nouvelle-Orléans, que cette bande sonore de 18 titres extraits de la deuxième saison de cette série innovante.
Ce disque a été produit par Glyn Johns. C'est la première fois que Johns dirigeait seul un enregistrement des Who; auparavant, il n'était que producteur associé. L'enregistrement eut lieu aux studios Shepperton Sound Stage avec l'assistance du studio mobile de Ronnie Lane durant les mois d'avril et mai 1975. Le tout commença par une séance d'improvisation le 4 avril, continua en mai, et les overdubs furent rajoutés en juin. Le mixage fut effectué aux studios Island, Notting Hill, Londres, durant les mois de juillet et d'août. Pete Townshend souffrait du syndrome de la page blanche au moment de l'écriture de The Who By Numbers. Il a dit plus tard que pratiquement tout ce qu'il avait écrit à l'époque s'était retrouvé sur l'album mis à part une poignée de chansons, ce qui contraste avec le projet Lifehouse et Quadrophenia où l'auteur s'était montré très prolifique. Le disque est plus souvent connu pour être le plus « sombre » et personnel écrit par le guitariste Pete Townshend. Il est certain que les thématiques dominantes sont particulièrement déprimantes. Presque toutes les chansons de l'album présentent une vision de l'existence particulièrement désabusée, voire morbide à certains moments. However Much I Booze et They Are All in Love sont des exemples de cette ambiance désespérée. Il faut rappeler que Pete Townshend s'est toujours inspiré de ses tourments intérieurs dans son écriture, toujours avec une certaine forme d'honnêteté, comme dans My Generation ou Pictures of Lily. Ici, le contexte personnel de Pete Townshend était assez défavorable. La musique de ce disque est assez différente des albums précédents, bien que se plaçant dans la lignée du style des Who. Les synthétiseurs ont pratiquement disparu (ils reviendront en force dans l'album suivant, Who Are You); les compositions sont bien moins complexes que celles de Quadrophenia. Cependant, on retrouve plusieurs marques de fabrique des Who : virtuosité de la section rythmique (John Entwistle en particulier), mélange de guitares acoustiques et électriques, harmonies vocales, le tout joué avec une énergie particulière.
« Elle est encore plus démente et fashion que Gwen Stefani, peut s'avérer aussi rock&roll qu'Amy Whinehouse, pose sur un beat à retourner le dancefloor comme Rihanna, aime les mélodies pop et les paillettes comme Abba...Son album The Fame est celui qu'aurait du faire Madonna... » Si vous êtes branché soirées dans les clubs du Lower East Side de NY, vous êtes certainement tombés sur cette jeune performer New Yorkaise d'origine italienne passionnée de musique, fan de David Bowie et de Queen (elle tire son nom du titre « Radio Gaga »). Queen, Lady Gaga l'est sans contexte. Showgirl, elle s'est fait un nom dans les clubs via ses titres contagieux et des performances « shock art » démentes, théâtrales, trash-glamour et sans tabou. La miss danse, chante, joue du synthé, s'improvise DJ et retourne chaque lieu dans lequel elle passe. Elle finit même son show suspendue à une boule à facettes sur la musique d'Orange Mécanique. C'est dans ce contexte peu banal qu'elle rencontre Akon et Red One (à l'origine de tubes pour Kat Deluna, Shakira, Enrique Iglesias, Michael Jackson...). Stupéfaits par le personnage, ils décident de la signer sur Konlive (le label d'Akon) / Interscope et de produire son premier opus. The Fame (la célébrité) est le titre de cet album aux sonorités Pop, Dance, Rock et Urbaines. « Mon but en tant qu'artiste est de livrer un album pop d'une manière innovante », annonce Lady Gaga, qui a écrit tous ses textes, composé l'ensemble des mélodies et joué la plupart des parties de synthé. Just Dance, le premier single, fait l'unanimité ! Véritable carton sur les radios dance aux US et dans toute l'Europe (Top 20 de l'airplay européen), le titre est 20ème de l'airplay radio en France, en forte rotation sur NRJ comme sur Fun Radio. Le clip est massivement joué par toutes les chaînes musicales et le single déjà Top 15 des téléchargements et ventes de sonneries ! Le clip a été vu plus de 200 000 fois sur Daily Motion en à peine un mois. The Fame s'annonce comme un gros album avec pas moins de 5 tubes potentiels !
« Elle est encore plus démente et fashion que Gwen Stefani, peut s'avérer aussi rock&roll qu'Amy Whinehouse, pose sur un beat à retourner le dancefloor comme Rihanna, aime les mélodies pop et les paillettes comme Abba...Son album The Fame est celui qu'aurait du faire Madonna... » Si vous êtes branché soirées dans les clubs du Lower East Side de NY, vous êtes certainement tombés sur cette jeune performer New Yorkaise d'origine italienne passionnée de musique, fan de David Bowie et de Queen (elle tire son nom du titre « Radio Gaga »). Queen, Lady Gaga l'est sans contexte. Showgirl, elle s'est fait un nom dans les clubs via ses titres contagieux et des performances « shock art » démentes, théâtrales, trash-glamour et sans tabou. La miss danse, chante, joue du synthé, s'improvise DJ et retourne chaque lieu dans lequel elle passe. Elle finit même son show suspendue à une boule à facettes sur la musique d'Orange Mécanique. C'est dans ce contexte peu banal qu'elle rencontre Akon et Red One (à l'origine de tubes pour Kat Deluna, Shakira, Enrique Iglesias, Michael Jackson...). Stupéfaits par le personnage, ils décident de la signer sur Konlive (le label d'Akon) / Interscope et de produire son premier opus. The Fame (la célébrité) est le titre de cet album aux sonorités Pop, Dance, Rock et Urbaines. « Mon but en tant qu'artiste est de livrer un album pop d'une manière innovante », annonce Lady Gaga, qui a écrit tous ses textes, composé l'ensemble des mélodies et joué la plupart des parties de synthé. Just Dance, le premier single, fait l'unanimité ! Véritable carton sur les radios dance aux US et dans toute l'Europe (Top 20 de l'airplay européen), le titre est 20ème de l'airplay radio en France, en forte rotation sur NRJ comme sur Fun Radio. Le clip est massivement joué par toutes les chaînes musicales et le single déjà Top 15 des téléchargements et ventes de sonneries ! Le clip a été vu plus de 200 000 fois sur Daily Motion en à peine un mois. The Fame s'annonce comme un gros album avec pas moins de 5 tubes potentiels !
Elle est encore plus démente et fashion que Gwen Stefani, peut s'avérer aussi rock&roll qu'Amy Whinehouse, pose sur un beat à retourner le dancefloor comme Rihanna, aime les mélodies pop et les paillettes comme Abba...Son album The Fame est celui qu'aurait du faire Madonna... Si vous êtes branché soirées dans les clubs du Lower East Side de NY, vous êtes certainement tombés sur cette jeune performer New Yorkaise d'origine italienne passionnée de musique, fan de David Bowie et de Queen (elle tire son nom du titre Radio Gaga ). Queen, Lady Gaga l'est sans contexte. Showgirl, elle s'est fait un nom dans les clubs via ses titres contagieux et des performances shock art démentes, théâtrales, trash-glamour et sans tabou. La miss danse, chante, joue du synthé, s'improvise DJ et retourne chaque lieu dans lequel elle passe. Elle finit même son show suspendue à une boule à facettes sur la musique d'Orange Mécanique. C'est dans ce contexte peu banal qu'elle rencontre Akon et Red One (à l'origine de tubes pour Kat Deluna, Shakira, Enrique Iglesias, Michael Jackson...). Stupéfaits par le personnage, ils décident de la signer sur Konlive (le label d'Akon) / Interscope et de produire son premier opus. The Fame (la célébrité) est le titre de cet album aux sonorités Pop, Dance, Rock et Urbaines. Mon but en tant qu'artiste est de livrer un album pop d'une manière innovante, annonce Lady Gaga, qui a écrit tous ses textes, composé l'ensemble des mélodies et joué la plupart des parties de synthé. Just Dance, le premier single, fait l'unanimité ! Véritable carton sur les radios dance aux US et dans toute l'Europe (Top 20 de l'airplay européen), le titre est 20ème de l'airplay radio en France, en forte rotation sur NRJ comme sur Fun Radio. Le clip est massivement joué par toutes les chaînes musicales et le single déjà Top 15 des téléchargements et ventes de sonneries ! Le clip a été vu plus de 200 000 fois sur Daily Motion en à peine un mois. The Fame s'annonce comme un gros album avec pas moins de 5 tubes potentiels !
Si l'on en croit l'illustration de pochette, Eric Clapton a recouvré, sinon la forme, tout du moins le sens de la paillardise. Si l'on en croit la musique qu'il fait entendre, il a retrouvé un jeu de guitare plus léger que son humour. Fidèle à son album du retour chez les vivants (461 Ocean Boulevard - 1974 -, ou la sanction de la fin de l'addiction aux drogues dures), celui qui a eu à gérer le surnom de God, octroyé par des fans légèrement exaltés, a conservé le line-up initial du groupe des retrouvailles avec l'inspiration, puisque seul le batteur Al Jackson Jr. ne s'aligne pas sur la ligne de départ d'une longue tournée, dont E.C. Was Here constitue le point d'orgue. Pour le reste, George Terry assume avec une constante humilité (il en faut face à pareil soliste) la seconde guitare, le bassiste Carl Radle et le batteur Jamie Oldaker proposent une section rythmique efficace sans brutalité, et le claviériste Dick Sims déroule quelques intéressants contrepoints aux phrases de son leader. Quant à Yvonne Elliman, son chant enrichit notablement les capacités - limitées en la matière - du patron. La fête (fortement marquée du sceau du blues), débute donc pat le « Have You Ever Loved A Woman » de Billy Myles, qui fit les beaux jours de Derek and the Dominos. Un peu plus loin, c'est le « Driftin' Blues » de Charles Brown, ou un emprunt au répertoire de Robert Johnson (« Rambling On My Mind ») qui permettent au leader de s'illustrer, par un jeu toujours aussi limpide et distingué. Après tout, Clapton reste le blanc capable du plus d'émotion avec un minimum de notes sur un manche, comme un parangon de l'économie expressionniste. On pourra se déclarer surpris de retrouver également ici deux sélections en droite ligne de l'aventure éphémère de Blind Faith : « Presence Of The Lord », de la main de Clapton, reste le chant liturgique le plus émouvant jamais composé par l'Anglais. Quant à « Can't Find My Way Home », la chanson rejoint absolument les plus belles mélodies jamais signées par Steve Winwood. Un album comme un bulletin de santé positif, et comme une fête entre amis, E.C. Was Here eut un parcours flatteur aux États-Unis (vingtième position dans les classements de vente), et, s'il fut boudé par le marché européen, jouît d'un succès incontestable en France.
Une oeuvre déroutante, obsessionnelle, complexe, provocatrice et cynique. Un pavé dans l'amer qui semble dire qu'il vaut mieux rire de nos vies moroses et éphémères, plutôt que de s'attrister sur nos sorts. Un disque pas si concept que l'on a voulu nous faire croire, tant il laisse entrevoir aux initiés la face sombre de l'artiste. Contrairement à ses albums précédents, Philippe Katerine n'a pas travaillé avec le groupe Recyclers, mais s'est entouré du DJ Gonzales et de Renaud Letang. Le style s'en ressent avec une nette orientation vers les musiques électroniques minimalistes et une production beaucoup plus soignée. Son titre est un clin d'oeil au Human After All de Daft Punk, car, selon Katerine faire partie d'un groupe où tout le monde se ressemble est une idée atroce. L'humain est robot et le robot est humain d'une certaine façon. Le moins que l'on puisse dire est que ce disque marque ainsi un véritable virage chez l'artiste. Exit les ambiances sophistiquées et les collages audio, Gonzales réalise ici une musique fine et efficace, mêlant groove et esprit vintage, au profit d'un univers faussement naïf et surréaliste. Mi-enfant, mi-provocateur, le Katerine de Robots Après Tout s'est vite révélé au grand public grâce à des pépites étudiées pour le dancefloor. Les boîtes à rythmes remplacent ici les cordes habituelles. Chaque événement de la vie quotidienne du chanteur est narré de façon fantasque et cauchemardesque (l'histoire vraie avec Marie Le Pen). Le ton est lancé. Katerine se moque de tout et ne respecte rien. Pas même ce qu'il est. Mais, hormis les singles déjantés et disco-house 100% VIP, Louxor j'adore et Bordeline, que tout le monde reprend en choeur, y compris à la télévision, une part plus mélancolique est visible à travers Numéros ou 78.2008. Tout s'organise autour d'un axe théâtral, sublimé sur scène par un véritable second souffle rock. Et ceux qui auront l'oreille attentive relèveront sans mal la détresse et l'angoisse qui caractérisent l'ensemble de la discographie de l'artiste. L'Homme y est exposé face à une société consumériste et obsédée par les chiffres ou les numéros. Des âmes solitaires en prise avec les absurdités contemporaines. Une sorte de névrose universelle sur le stress, la paranoïa, les artifices et l'inconscient collectif.