Amati possède déjà une solide expérience de la scène et sa notoriété a dépassé les frontières de l'hexagone. De nombreuses places fortes du jazz l'ont déjà programmé. Pour son premier album personnel, Amati Schmitt est entouré de son frère Bronson Schmitt à la guitare rythmique, Xavier Nikq à la contrebasse et Dorado Schmitt au cajôn péruvien et au violon. Le programme est un habile et savant dosage de valses, de swing, de bossa et de balades dans la plus pure tradition Reinhardtienne. Le choix d'inscrire à son répertoire Les Copains d'abord, la plus fameuse des chansons de Georges Brassens, n'est pas le fait du hasard. Ce « Copains d'abord » sonne ici comme une sorte de « Les Anciens d'abord ». Qu'il revisite les compositions de Dorado ou celles de Django c'est toujours avec la même spontanéité, la même fraîcheur et toute l'audace insouciante et fougueuse de la jeunesse. Etranger à la moindre tentation de démonstration, Amati possède la sagesse de ceux qui servent avant de se servir. Ses propres créations sont loin de ressembler aux inconsistants « à la manière de » que nous servent le plus souvent les virtuoses précoces qui ne bluffent que les distraits. Sa sensibilité musicale, l'a conduit à suggérer plutôt que d'affirmer et son inspiration mélodique à se forger un univers personnel dans un domaine musical pourtant soumis à des codes et des rituels aussi caricaturaux qu'aliénants.
The Unraveling dévoile le voyage de Drive-By Truckers, du blues post-électoral au coeur de Memphis jusqu'en 2020, nouvelle année éléctorale aux Etats-Unis. The Unraveling, le dénouement, a été largement inspiré par la situation politique aux Etats-Unis, et arrive pile à temps pour les élections américaines prochaines. Il a été enregistré aux légendaires studios Sam Phillips Recording Service à Memphis, sous la houlette des producteurs Matt Ross-Spang (Jason Isbell, Margo Price) et David Barbe, collaborateur de longue date du groupe. Le nouvel album The Unraveling reçoit quelques invités prestigieux : Patti King des Shins, la violiniste Kyleen King (Brandi Carlile), et Cody Dickinson des North Mississippi All-Stars, qui joue du washboard électrique sur le titre Babies In Cages. Drive-By Truckers entame cette année électorale avec The Unraveling, notre premier nouvel album en 3 ans et demi (l'attente la plus longue entre des nouveaux albums de DBT). Ces années ont été parmi les plus tumultueuses que notre pays ait jamais connues; la dualité, entre l'état généralement positif de notre groupe et être témoin de la destruction de tant de choses auxquelles nous tenons autour de nous, a formé le coeur de l'écriture de cet album. Patterson Hood
C’est le nouvel et troisième album de la collaboration entre le talentueux musicien italien Dario Mollo et le sémillant Glenn Hugues, véritable légende du rock. Cet album s’inscrit dans une veine très classic rock. Laissons l’ex-bassiste de Deep Purple le présenter : Ça fait maintenant quatorze ans que je travaille avec Dario. Le dernier album était sorti il y a onze ans. Il était temps d’en faire un autre. Il m’a contacté il y a six mois et m’a demandé si j’aimerais le faire. Il a fallu que j’y réfléchisse et puis j’ai accepté. J’ai tout fait dans mon propre studio en avril 2015. Je pense avoir tout écrit en une semaine et enregistré en deux jours. J’aime enregistrer ces chansons live. Dario est en Italie et habituellement je vais dans son studio mais j’ai choisi de le faire dans mon propre studio parce que je suis vraiment occupé ici. Je trouve que c’est un très, très bon album, qui succède parfaitement à 'Wild Seed Of Mother Earth'. Dario est le seul guitariste qui soit en dehors de ma vie, dans le sens où je ne le vois pas régulièrement. Mais j’aime beaucoup collaborer avec lui et je le fais parce qu’il y a une génération de fans de rock qui aime ce type de musique venant de moi, ce type de classic rock. La seule musique de ce genre que je fais, c’est pour ce groupe, Voodoo Hill.
Impossible de parler de reggae « made in Italie » sans évoquer les Mellow Mood ! Avec leur new roots énergique et militant, ils ont déjà séduit le public aux quatre coins de la planète et fait le buzz sur le net avec plus de 22 millions de vues pour leur vidéo « Dance inna Babylon ». Le phénomène Mellow Mood n'a pas fini de faire parler de lui ! Leur carrière débute en 2009 avec un 1er album intitulé « Move ! », ils s'imposent rapidement dans la scène indépendante italienne. En 2012, ils rejoignent le principal label discographique indépendant italien, La Tempesta et publient « Well Well Well », un second album qui les impose comme une des révélations reggae la plus séduisante du panorama européen. En 2014, la sortie de « Twinz » élargit encore le champ d'action du groupe de Pordenone, en les amenant à jouer à l'international et sur les scènes des principaux festivals européen (Rototom Sunspalsh, Summerjam, Sziget). Leurs morceaux sont joués par les sound system en Jamaïque et aux quatre coins du monde. Moins d'un an plus tard, le nouvel album « 2 The World » débarque dans les bacs le 7 avril 2015. Un album très attendu qui témoigne d'une constante croissance de la composition musicale, enrichie par des collaborations nationales (Forelock, Andrew I) et jamaïcaines (Tanya Stephens, Jah9, Hempress Sativa, Gideon & Selah).
Les parrains du black metal viennent reconquérir leur trône Depuis ses débuts, Darkthrone, n'a eu de cesse de renouveler sa musique, refusant de s'enfermer dans les archétypes d'un black metal stéréotypé dont ils étaient devenus les héros incontestés. Aussi, aujourd'hui plus que jamais, le célèbre duo continue à explorer ses racines et en capture l'esprit sonique et explosif en nous délivrant une fois de plus un album sans concession toujours aussi primitif et jouissif ! Le groupe reprend donc les choses, là où il les avait laissées en 2010 avec « Circle The Wagons », avec ses riffs dévastateurs qui ont fait sa marque de fabrique mais en allant encore plus loin dans ses escapades des diverses galaxies du cosmos du metal. Ici rien n'est formaté, on plonge dans les annales du trash, du black tout en ne négligeant pas une bonne dose de punk ! 6 titres féroces et dynamiques que se partagent équitablement Nocturno et Fenriz pour un rendu épique qui constitue le meilleur morceau de bravoure de notre combo depuis de nombreuses années. «The Underground Resistance' fût composé et enregistré par le combo entre le printemps 2010 et l'été 2012 au Necrohell 2. La masterisation de l'album fût confiée au texan Jack Control chez Enormous Door aux USA. Quant à la pochette, elle est l'oeuvre de l'icône artistique Jim Fitzpatrick..
Le nouvel album des légendes du Reggae, The Gladiators ! Avec 14 titres mêlant des adaptations des classiques du groupe comme Jah Works ou Look is Deceiving et des nouvelles compositions toujours inspirées par le Roots Rock Reggae telles que Freeman ou le single We Are Not mais avec un son très actuel, le nouvel album des Gladiators prouve qu'ils sont encore dans l'arène pour défendre les couleurs de la culture Jamaicaine ! La trio vocal originel des Gladiators en 1967 se compose de Albert Griffiths, Errol Grandison et David Webber, ces deux derniers étant remplacés quelques années plus tard par Clinton Fearon et Gallimore Sutherland. En 2004, avec l'album Father and sons, Albert Griffiths annonce sa retraite en passant officiellement le flambeau à ses fils : Anthony qui officie déjà depuis plusieurs années à la batterie au sein du groupe et Al au chant, héritier direct de la voix et du charisme de son père. Formés durant leur jeunesse par Albert Griffiths cela fait aujourd'hui plus de dix ans qu'ils perpétuent avec succès le style qui a fait la renommée des Gladiators, tout en y apportant une fraîcheur et une dynamique nouvelle. Le prochain album du groupe Roots Legacy en est la parfaite illustration : le projet d'un artiste mûr, reprenant à la perfection quelques uns des titres d'Albert Griffiths et proposant de nouvelles compositions inédites du groupe.
En 10 ans, Hugo TSR est devenu LE rappeur emblématiqu e de la scène rap indé. Complètement secret et quasi absent des réseaux sociaux, Hugo TSR est l’un des plus suivis et adulés. Hugo TSR est le plus connu des MCs de l’Underground français. Une côte croissante auprès des auditeurs depuis 10 ans, en solo ou avec le TSR Crew, il est devenu (contre son gré) l’icône du boombap français et reconnu comme l’un des meilleurs « kickeurs » de sa génération. Son flow, son écriture soignée et son choix de prods toujours juste ont fait de lui LE rappeur connu de tous dans le milieu du rap. Son attitude, discrète voire mystérieuse, et la simplicité du personnage qu’il incarne, commun à tout un chacun, suscitent un engouement et une identification sans pareils. Cinquième album solo d’Hugo TSR, « roi des punchlines légendaires », entre nonchalance et détachement d’un jeune graffeur qui déambule dans les rues du 18ème arrondissement, décrivant sa ville et sa vie sans épargner le système capitaliste dans lequel il cherche une place où s’épanouir. Adulé par de très nombreux supporters, il remplit de grandes salles de concerts en des temps records et ce sans publicité, ni interview, ni invité sur ses albums. Une musique artisanale et authentique d’un homme qui base sa sensibilité artistique sur des principes de vie fondamentaux. Du rap haut débit, des images, de l’humour, et des détails qui en font un MC hors pair. Pour ceux qui aiment : Le Gouffre - Demi Portion - Scred Connexion - Scylla
Esbjörn Svensson : 10 ans déjà... Un « live » inédit capté à Londres célèbre le trio suédois mythique Le 14 juin 2008, le monde de la musique apprenait la terrible nouvelle de la disparition du pianiste suite à un accident de plongée. La carrière du trio s’arrêtait alors brutalement, en pleine ascension et conquête de la planète entière. Il faut rappeler qu’e.s.t. a été la seule formation européenne à avoir fait la couverture de la Bible américaine du Jazz Downbeat (1934 !). Nombreux sont les groupes qui ont été largement influencés par le trio suédois : Gogo Penguin, Mammal Hands, Portico Quartet, etc...Les concerts du groupe étaient des moments très spéciaux et sortaient des ornières du jazz; il s’agissait d’une expérience inoubliable, quelque part entre Sigur Ros, Radiohead et Keith Jarrett, et le public finissait souvent dans un état second, presque en transe ! Les disques s’arrachaient à l’issue des concerts, et il n’était pas rare d’en vendre deux ou trois cents dans des petites salles de province ! En 2010, le très respecté journal britannique The Times a élu « e.s.t. Live In Hambourg » comme l’album jazz de la décennie 2000-2010 ! Cet album a été enregistré le 20 mai 2005 au Barbican Center de Londres. POUR CEUX QUI AIMENT Brad Mehldau, Keith Jarrett, Avishai Cohen, Michael Wollny
Trois ans se sont déjà écoulés depuis la parution de l'inaugural Black Currents EP, encensé à juste titre dans la presse internationale. Il n'a pas fallu longtemps à Rachel Sermanni pour imposer son écriture si particulière au sein de la scène folk britannique et internationale. Il faut dire que la jeune écossaise n'a pas chômé. Tournées à rallonge en Europe et en Amérique du nord, scènes partagées avec d'autres songwriters, sessions youtube en quantité notable... Rachel Sermanni montre avec ce nouvel opus les signes d'un certain renouvellement musical. Finis les arrangements traditionnels et folkloriques à l'anglaise, il semble que leur ont été préférés le minimalisme à l'américaine et des guitares doucement saturées. Run et Wine Sweet Wine font figure de compositions remarquables à la production des plus appréciables. Le renouveau assumé par ces parades enthousiastes et déterminées a quelque chose de beau et de presque romancé. Le chant délicat et maîtrisé, aux paroles toujours très personnelles et sans complexes, nous guide progressivement vers une mélancolie des plus touchantes : celle que l'on retenait des précédentes compositions. Un bien bel album que l'on saura prendre le temps d'apprécier. En espérant également pouvoir en profiter en concert, où l'intimisme du seul-en-scène permet à Rachel Sermanni de déployer sa voix et sa mélancolie de la plus touchante des manières. (chronique site musical SoundOfViolence)
Fruit d'une longue maturation, son nouvel album marque une étape importante dans le parcours de cette artiste intègre et d'une rare sensibilité Trois voyelles et deux consonnes, comme une unité suave et chantante : le nom d'Awa Ly est déjà une harmonie vocale. Enfant, Awa chantait par instinct et ne pensait pas en faire sa profession. L'idée s'est imposée plus tard, alors que la jeune femme semblait promise à une brillante carrière de productrice. On ne triche pas avec sa destinée : de même qu'Awa, écoutant son coeur, avait quitté la France pour s'installer à Rome, elle n'hésitera pas à s'engager pleinement dans une voie artistique. Comédienne à l'occasion, elle décide de se consacrer entièrement à la musique et enregistre, en 2014, un premier EP intitulé Awa Ly. Son mélange de folk, de jazz et d'emprunts aux musiques du monde séduit, en France comme en Italie, et les concerts s'enchaînent. Fruit d'une longue maturation, son nouvel album marque une étape importante dans le parcours de cette artiste intègre et d'une rare sensibilité. Il s'ancre fortement dans son esthétique avec une présence et une assurance encore plus marquées. A son sujet, Awa évoque une ambiance tribale, mystérieuse et mystique inspirée d'abord par la nature, les racines, la terre. Le folk acoustique se pare de blues, de métriques hypnotiques, de plaintes non appuyées mais profondes.
On ne présente plus le Quatuor Hermès, devenu le plus brillant de la jeune génération des quatuors français grâce à un parcours solide, sans faute et sans esbroufe. Après un disque Schumann encensé par la presse et le public, les 4 musiciens nous offre ici un programme qu’ils ont dans la tête et les doigts depuis très longtemps, mais... on n’enregistre pas les quatuors de Ravel, Debussy et Dutilleux à la légère ou pour une amourette à laquelle tous les quatuors succombent de façon irrépressible. « Le hasard fait de cet enregistrement se trouve être celui de nos 10 ans ! Mais comme rien n’est jamais qu’uniquement fruit du hasard, c’est aussi le privilège du temps, de ces années partagées ensemble et donc de la sagesse qui en a été finalement le déclencheur, comme un amour qui prend le temps ». De ce lien entre «les Hermès» et ces oeuvres magistrales est né cet enregistrement d’une maturité exceptionnelle, ou émotion, poésie et fusion quasi irréelle vous saisissent dès les premières mesures de Ravel, et ne vous lâchent plus jusqu’au dernier accord du quatuor de Debussy. Cet art si particulier des Hermès de vous prendre immédiatement la main et ne pas la lâcher est le résultat d’un travail subtil où fluidité, choix des timbres, des couleurs, des atmosphères vous racontent des histoires avec engagement et fraîcheur. Une sorte d’élégance naturelle, équilibre entre spontanéité et profond respect des grands maîtres, de la musique tout simplement.
Les deux premiers Requiem polyphoniques de notre histoire, deux oeuvres éblouissantes aux sonorités graves et profondes, magnifiées par les voix d’homme de Diabolus in Musica. Ces deux Requiem de Johannes Ockegem (+1497) et Pierre de la Rue (1518) développent dessonorités profondes grâce à une utilisation stupéfiante et inédite des registres graves, et des audaces musicales peu communes (ambitus, jeux rythmiques, contrastessaisissants, expressionismesinhabituels...). Les deux grands musiciens y font preuve d’une maîtrise et d’une virtuosité étonnantes, toujours au service de l’émotion. En cette aube de la Renaissance, la sensibilité religieuse se modifie et l’ars moriendi (art de bien mourir) prend une place fondamentale dans la dévotion et ses manifestations artistiques les plus spectaculaires. Les messes pour les défunts, jusqu’alorstraditionnellement chantées de façon sobre et retenue en plain-chant, sont désormais mises en polyphonie, comme toutes les autres messes. Premier enregistrement dans cette version originale uniquement à voix d’hommes. L’enregistrement des deux premiers Requiem de notre histoire. Diabolus in Musica est un ensemble français de musique ancienne fondé à la fin des années 1980 par Dominique Touron, puis dirigé depuis 1992 par Antoine Guerber. Il est spécialisé en musique médiévale, allant du chant grégorien aux p olyphonies du XVe siècle. Son répertoire favori est la musique française composée aux XIIe et XIIIe siècles.
LE RETOUR DE LA REINE DU FOLK ANGLAIS DANS UNE ODE À LA FÉMINITÉ FAITE DE 9 PÉPITES À LA BEAUTÉ EXTRAORDINAIRE A 27 ans seulement, la stngwriter anglaise Laura Marling strt stn sixième album, Semper Femina sur stn prtpre label More Alarming Records, via Kobalt/ [PIAS]. Ptur cet album, Laura Marling a fait appel à Blake Mills, guitariste de Band Of Horses et prtducteur de Alabama Shakes. Semper Femina dtnne ftrme aux inspiratitns lyriques de Laura, au gré de ses réflexitns sur la féminité. Ce nmest pas un album-ctncept en sti, mais lmoeuvre et stn thème se dépltient, smentremêlent et interpellent au fil de lméctute. Les deux premiers singles, ‘Wild Firem, « perle folk low-tempo et envoûtante » (FIP) et ‘Soothingm, dtnt le clip vtluptueux révèle les talents de réalisatrice de Laura, tnt recueilli des critiques plus que favtrables et tnt valu à lmalbum une place dans les ‘40 albums les plus excitants de l’année 2017’ des INROCKS. Lmanntnce de Semper Femina fait suite au succès de la série de ptdcasts de Laura, ‘Reversal of the Muse’ qui sminterrtgeait sur lminfluence de la présence féminine dans le prtcessus créatif, en échangeant avec diverses invitées dtnt HAIM tu Dolly Parton. Semper Femina est un album riche et enrichissant, une prtductitn mature et brute, par lmune des musiciennes les plus talentueuses et prtlifiques de sa génératitn. Pour ceux qui aiment : Alela Diane, Lisa Hannigan, Iron & Wine, Mumford & Sons, Joni Mitchell...
Après Les Danaïdes et Les Horaces, Les Talens Lyriques concluent leur cycle des opéras français d'Antonio Salieri avec le premier enregistrement mondial de Tarare. Souvent placé injustement dans l'ombre de Mozart, son génial contemporain, Salieri signe ici un authentique chef-d'oeuvre, sur l'unique livret jamais écrit par Beaumarchais. Salieri a le goût de l'exotisme et nous transporte, à la manière de Mozart dans L'Enlèvement au sérail, dans un orient fantasmé à travers les lunettes de la philosophie prérévolutionnaire des Lumières. L'infatigable Christophe Rousset, attaché à redonner vie aux partitions rares ou mystérieusement dans l'ombre, mène un casting cinq étoiles : Le capitaine Tarare (Cyrille Dubois), s'introduit chez le sultan Atar (Jean-Sébastien Bou) afin de délivrer sa bien-aimée, l'esclave Astasie (Karine Deshayes). Sous la trame amoureuse, on devine le réquisitoire de Beaumarchais qui met en scène, en 1787, la révolte du peuple contre le pouvoir tyrannique du sultan - si bien qu'on peut s'étonner que l'intrigue échappât aux mailles de la censure royale de l'époque ! La musique épouse les quiproquos, rebondissements et scènes de grand spectacle du récit pour donner naissance à un opéra qui regarde vers le romantisme, interprété avec jubilation par Les Talens Lyriques et Les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles. De quoi redorer définitivement le nom de Salieri.
Le légendaire groupe de métal australien livre un nouvel album explosif et brutal avec Reverence ! Le 4 mai, PARKWAY DRIVE sortent leur très attendu 6ème album sur le label Epitaph. Reverence est le nouvel album de Parkway Drive qui suit Ire paru en 2015, Comme chaque album sorti depuis que le groupe s’est créé en 2002, Reverence vise une nouvelle fois le disque d’or sur les terres australiennes. Ire avait aidé à asseoir la domination du groupe sur les festivals européens, aujourd'hui Reverence pousse l'ambition créative et artistique de Parkway Drive encore plus loin. Aujourd'hui Parkway Drive est le genre de groupes capable de remplir des stades « Reverence » étend la gamme acoustique du groupe et offre des morceaux encore plus dévastateurs. Sur des chansons comme « The Void » - dont le refrain « Welcome To A World Of Pain » incarne brillamment le ton de Reverence - Parkway Drive fait passer son énergie violente dans des rythmes rapides et des voix brutales livrant des mélodies profondément contagieuses. Cette énergie se retrouve aussi sur chaque morceau comme sur l’indispensable et explosif « Prey », véritable hymne aux riffs exténuants et aux accords de guitare complexes. Reverence est un disque courageux et innovant, à l’image du chant profond de Winston, avec cet album le groupe part une nouvelle fois à la conquête du monde. POUR CEUX QUI AIMENT System of a Down, Slipknot, Bring Me The Horizon, Architects
LE RETOUR DE LA REINE DU FOLK ANGLAIS DANS UNE ODE À LA FÉMINITÉ FAITE DE 9 PÉPITES À LA BEAUTÉ EXTRAORDINAIRE A 27 ans seulement, la stngwriter anglaise Laura Marling strt stn sixième album, Semper Femina sur stn prtpre label More Alarming Records, via Kobalt/ [PIAS]. Ptur cet album, Laura Marling a fait appel à Blake Mills, guitariste de Band Of Horses et prtducteur de Alabama Shakes. Semper Femina dtnne ftrme aux inspiratitns lyriques de Laura, au gré de ses réflexitns sur la féminité. Ce nmest pas un album-ctncept en sti, mais lmoeuvre et stn thème se dépltient, smentremêlent et interpellent au fil de lméctute. Les deux premiers singles, ‘Wild Firem, « perle folk low-tempo et envoûtante » (FIP) et ‘Soothingm, dtnt le clip vtluptueux révèle les talents de réalisatrice de Laura, tnt recueilli des critiques plus que favtrables et tnt valu à lmalbum une place dans les ‘40 albums les plus excitants de l’année 2017’ des INROCKS. Lmanntnce de Semper Femina fait suite au succès de la série de ptdcasts de Laura, ‘Reversal of the Muse’ qui sminterrtgeait sur lminfluence de la présence féminine dans le prtcessus créatif, en échangeant avec diverses invitées dtnt HAIM tu Dolly Parton. Semper Femina est un album riche et enrichissant, une prtductitn mature et brute, par lmune des musiciennes les plus talentueuses et prtlifiques de sa génératitn. Pour ceux qui aiment : Alela Diane, Lisa Hannigan, Iron & Wine, Mumford & Sons, Joni Mitchell...
Le set complet du Live At Hammersmith 1973 du groupe légendaire Mott The Hoople en format double LP inédit, une édition ultra limitée ! Live at Hammersmith 1973 est probablement le meilleur enregistrement live des archives de Mott the Hoople. Le groupe était alors à son sommet, surfant sur leurs tubes All the Young Dudes et Roll Away the Stone, et faisant la promotion de leur album MOTT alors placé dans le Top 10 et acclamé par la critique. Le 14 décembre 1973, Mott the Hoople joue deux concerts à l'Hammersmith Odeon; le deuxième est devenu célèbre dans le folklore rock : au moment de l'heure du couvre-feu, les fans envahisseurs se sont battus avec le personnel de la salle et les stewards tandis que Mott continuait de jouer. Ce vinyle capture le feu et l'énergie du concert et de cette lutte. Ils ont conclu cette soirée mémorable avec une version torride de Walkin' with a Mountain, des interprétations étincelantes de Sweet Jane, Sucker et l'inoubliable Deadly Medley. La passion, la puissance et la gloire de Mott The Hoople sont toutes réunies dans cette édition limitée. SIX DES NEUF TITRES APPARAISSENT POUR LA PREMIERE FOIS SUR VINYLE. Cette version unique de 'Live at Hammersmith 1973' est présentée en double LP 180g gatefold. Elle contient des photos d'époque, des notes écrites par Campbell Devine (leader de MtH) et une réplique d'affiche 84x56cm de la tournée britannique de 1973.
KACY & CLAYTON ont tout d’abord rencontré Jeff Tweedy dans les coulisses de l’auditorium Fillmore de San Francisco en septembre 2016. Le groupe a ensuite été invité à faire la première partie de Wilco à la quatrième nuit de leurs habituelles cinq dates. Alors que le duo attendait pour faire ses balances, Jeff apparu derrière le rideau et se présenta. Dans la discussion qui suivit, Kacy Anderson, Clayton Linthicum et Jeff Tweedy évoquent leur appréciation mutuelle de Davy Graham. S’en suit une invitation à venir enregistrer au studio de Wilco, le Loft, où le groupe se rendra seulement quelques semaines plus tard. En janvier 2017, KACY & CLAYTON reviennent au Loft accompagnés d’une section rythmique et de nouvelles chansons. En 8 jours, le groupe enregistre 9 morceaux avec Jeff Tweedy à la production et l’ingénieur du son du Loft, Tom Schick. Ces 9 morceaux forment ce qui constituera le quatrième album du duo, The Siren’s Song. Pendant qu’ils écrivaient et enregistraient The Siren’s Song, KACY & CLAYTON trouvaient l’inspiration dans la musique de Sammi Smith, The Everly Brothers, Link Wray, les disques country avec du clavecin, The Sir Douglas Quintet, Gene Clark, Jeannie C. Riley, et également dans la musique de chanteurs anglais traditionnels comme Peter Bellamy and the Watersons. The Siren’s Song est un produit de toutes ces influences et une progression extraordinaire dans la recherche sonore du groupe.
On ne présente plus Eric Bibb. Sa notoriété s'est considérablement étendue en France (comme à travers le monde) ces dernières années et il est aujourd'hui l'un des artistes de blues et de folk music les plus représentatifs de la nouvelle génération. Eric Bibb montre la voie du futur et propose une vision totalement rafraichissante et créative des musiques populaires américaines originales. Eric est au sommet de son art en scène et tous ces concerts se terminent régulièrement par des standing ovations. Un concert d'Eric Bibb est quelque chose d'unique. La radio Fip a décidé de capturer deux de ces moments magiques, le 13 mars et le 2 décembre 2008, afin de les restituer au public sous forme de ce double digipak. Dans le concert qui figure sur le CD 1 Eric est accompagné de son groupe au complet (seconde guitare, basse, batterie), dans le concert qui figure du CD 2, il est accompagné de son batteur et d'Amar Sundy à la guitare électrique. Le CD 2 sera agrémenté d'un sujet vidéo de 20 minutes tourné sur les lieux du concert (live & interview). Ces enregistrements sont d'une qualité artistique et technique remarquable. Ils ont été mixés par l'un des meilleurs ingénieurs du son de Radio France avec un soin tout à fait particulier. Toute l'équipe de Fip a fait le maximum pour optimiser ces enregistrements et permettre une réussite totale. Ce LIVE À FIP fera date dans la carrière d'Eric Bibb. Il sera tout à la fois son LIVE ABSOLU ainsi qu'un BEST OF des meilleurs titres de ces quinze dernières années.
Le pianiste allemand Michael Wollny, récompensé en France par le « Prix du musicien européen » décerné par l'Académie du Jazz, fait paraître coup sur coup deux superbes albums. Ici, Wartburg capté sur le vif en concert avec la participation d’Emile Parisien. Considéré comme le chef de file de la jeune scène allemande de jazz, le pianiste Michael Wollny a été encensé en solo, en duo (avec Heinz Sauer ou Joachim Kühn) et bien sûr en trio. En 2013 sortait le magnifique Thrill Box enregistré avec le trio de Vincent Peirani, mais quand on parle de ce virtuose on pense bien sûr à son « art du trio ». Récompensé en 2014 par l'Académie du Jazz pour son album Weltentraum (ffff Télérama), le pianiste revient avec deux nouveaux coups de maître : un album « live » en trio avec les fidèles batteur Eric Schaefer et bassiste suisse Christian Weber, et en studio avec le trio accompagné d’un magnifique ensemble classique dirigé par Geir Lysne. Virtuose romantique et lyrique, maître dans l'art de l'improvisation et des développements harmoniques, Michael Wollny nous offre des compositions finement ciselées ainsi que des arrangements de pièces au carrefour du classique, classique contemporain, jazz. Wollny et ses musiciens nous invitent dans un monde poétique élégant et rythmé, envoûtant et mystérieux. Enregistré à Wartburg (Rittersaal) le 15 septembre 2017
Le légendaire groupe de métal australien livre un nouvel album explosif et brutal avec Reverence ! Le 4 mai, PARKWAY DRIVE sortent leur très attendu 6ème album sur le label Epitaph. Reverence est le nouvel album de Parkway Drive qui suit Ire paru en 2015, Comme chaque album sorti depuis que le groupe s'est créé en 2002, Reverence vise une nouvelle fois le disque d'or sur les terres australiennes. Ire avait aidé à asseoir la domination du groupe sur les festivals européens, aujourd'hui Reverence pousse l'ambition créative et artistique de Parkway Drive encore plus loin. Aujourd'hui Parkway Drive est le genre de groupes capable de remplir des stades Reverence étend la gamme acoustique du groupe et offre des morceaux encore plus dévastateurs. Sur des chansons comme The Void - dont le refrain Welcome To A World Of Pain incarne brillamment le ton de Reverence - Parkway Drive fait passer son énergie violente dans des rythmes rapides et des voix brutales livrant des mélodies profondément contagieuses. Cette énergie se retrouve aussi sur chaque morceau comme sur l'indispensable et explosif Prey, véritable hymne aux riffs exténuants et aux accords de guitare complexes. Reverence est un disque courageux et innovant, à l'image du chant profond de Winston, avec cet album le groupe part une nouvelle fois à la conquête du monde. POUR CEUX QUI AIMENT System of a Down, Slipknot, Bring Me The Horizon, Architects
Le pianiste allemand Michael Wollny, récompensé en France par le « Prix du musicien européen » décerné par l'Académie du Jazz, fait paraître coup sur coup deux superbes albums. Ici, Wartburg capté sur le vif en concert avec la participation d’Emile Parisien. Considéré comme le chef de file de la jeune scène allemande de jazz, le pianiste Michael Wollny a été encensé en solo, en duo (avec Heinz Sauer ou Joachim Kühn) et bien sûr en trio. En 2013 sortait le magnifique Thrill Box enregistré avec le trio de Vincent Peirani, mais quand on parle de ce virtuose on pense bien sûr à son « art du trio ». Récompensé en 2014 par l'Académie du Jazz pour son album Weltentraum (ffff Télérama), le pianiste revient avec deux nouveaux coups de maître : un album « live » en trio avec les fidèles batteur Eric Schaefer et bassiste suisse Christian Weber, et en studio avec le trio accompagné d’un magnifique ensemble classique dirigé par Geir Lysne. Virtuose romantique et lyrique, maître dans l'art de l'improvisation et des développements harmoniques, Michael Wollny nous offre des compositions finement ciselées ainsi que des arrangements de pièces au carrefour du classique, classique contemporain, jazz. Wollny et ses musiciens nous invitent dans un monde poétique élégant et rythmé, envoûtant et mystérieux. Enregistré à Wartburg (Rittersaal) le 15 septembre 2017
KACY & CLAYTON ont tout d’abord rencontré Jeff Tweedy dans les coulisses de l’auditorium Fillmore de San Francisco en septembre 2016. Le groupe a ensuite été invité à faire la première partie de Wilco à la quatrième nuit de leurs habituelles cinq dates. Alors que le duo attendait pour faire ses balances, Jeff apparu derrière le rideau et se présenta. Dans la discussion qui suivit, Kacy Anderson, Clayton Linthicum et Jeff Tweedy évoquent leur appréciation mutuelle de Davy Graham. S’en suit une invitation à venir enregistrer au studio de Wilco, le Loft, où le groupe se rendra seulement quelques semaines plus tard. En janvier 2017, KACY & CLAYTON reviennent au Loft accompagnés d’une section rythmique et de nouvelles chansons. En 8 jours, le groupe enregistre 9 morceaux avec Jeff Tweedy à la production et l’ingénieur du son du Loft, Tom Schick. Ces 9 morceaux forment ce qui constituera le quatrième album du duo, The Siren’s Song. Pendant qu’ils écrivaient et enregistraient The Siren’s Song, KACY & CLAYTON trouvaient l’inspiration dans la musique de Sammi Smith, The Everly Brothers, Link Wray, les disques country avec du clavecin, The Sir Douglas Quintet, Gene Clark, Jeannie C. Riley, et également dans la musique de chanteurs anglais traditionnels comme Peter Bellamy and the Watersons. The Siren’s Song est un produit de toutes ces influences et une progression extraordinaire dans la recherche sonore du groupe.
Pour présenter ce nouvel album, laissons la parole à Daniel Humair : « Dans une vie d'artiste, les rencontres sont nombreuses. C'est un des privilèges de ma profession. J'ai eu la chance de côtoyer d'immenses personnalités qui m'ont souvent inspirées et qui m'ont fait progresser dans mes travaux. Une rencontre avec Vincent Peirani qui date de son passage au Conservatoire de Paris m'a donné envie de découvrir un peu plus le potentiel absolument incroyable de par sa fantaisie et sa connaissance de toutes les formes musicales de ce musicien que j'aime tant. Vincent Peirani est un incroyable virtuose et son univers musical est si riche que souvent je me demande comment un jeune musicien peut posséder un bagage et une connaissance aussi pointue de toutes les musiques du monde. A l'écoute de son disque, on entend qu'il maîtrise aussi bien les trois temps de la valse que les folklores des musiques d'Europe de l'Est, qu'il fait «tourner» les pulsations authentiques de l'Amérique du Sud, interprète avec sérieux les pièces classiques ou contemporaines et, surtout, la justesse de son approche fait de lui, un musicien unique et singulier. On se rend compte à l'écoute des pièces de ce disque que depuis longtemps Vincent Peirani a domestiqué son instrument pourtant complexe car difficile dans l'articulation des accents et mises en place du jazz. C'est l'univers multimusique de Vincent qui s'exprime dans Thrill Box, en compagnie de musiciens parfaitement choisis que j'ai la chance de bien connaître car partenaires de jeu réguliers et qui sont ici particulièrement inspirés et disponibles. »
Pendant près de 50 ans, TOWER OF POWER a su créer sa propre marque de fabrique et sa propre définition de la musique soul-funk. Depuis 1968, le groupe a ravi ses fans grâce à son expérience scénique et musicale, affichant complet lors de ses tournées, chaque année. Les sections rythmiques posent un groove puis sans comme aucun n’autre n’a su le faire avant eux. Plusieurs musiciens du groupe ont d’ailleurs participé aux albums de Ray Charles, Elton John, Rod Stewart, Eddy Mitchell et Aerosmith. Ils ont une manière d’approcher la musique et de conduire le son au travers de l’écriture, des arrangements, du mixage et des performances scéniques qui est véritablement incomparable. Si vous ajoutez à ce cocktail énergisant un leader vocal, alors vous êtes en présence de l’un des groupes les plus dynamiques de la scène soul-funk. C’est durant l’été 2017 que sortiront 4 albums cultes du groupe : « The East Bay archives, Vol. 1 » (concert capté le 23 Avril 1973), qui les montre déjà au T.O.P. de leur performance alors qu’ils ne sont qu’au début de leur jeune carrière, à l’égal de ce qu’étaient les lives enflammés de James Brown dans les années 70; « Oakland Zone » (2003) et « Great American Soulbook » (2009) comptent parmi leurs albums les plus funky et l’album « 40th Anniversary » retrace 40 ans de carrière et de maîtrise scénique au travers d’un CD et d’un DVD documentaire. Pour les fans de : Average White Band // Maceo Parker // Ohio Players
The Gloaming trace de nouveaux chemins en connectant la richesse de la tradition folk Irlandaise à la scène musicale contemporaine New Yorkaise. Des titres de Sean-nós lancinants aux mélanges instrumentaux entrainants, ils créent une nouvelle alchimie musicale entre traditions ancestrales, expérimentation et modernité. « Leurs performances sur scène ont été révélatrice. Leurs futurs concerts conforteront le potentiel de ce groupe et en feront une des grandes forces de la musique Irlandaise » The Irish Times « The Gloaming est un mélange fantastique de talents passionnés et émouvants, qui ont créé leur propre style musical. » Peter Gabriel The Gloaming se compose du maître du violon traditionnel Martin Hayes, du guitariste Dennis Cahill, du chanteur de Sean-nós Iarla Ó Lionáird, du joueur de violon norvégien (hardingfele) Caoimhin Ó Raghallaigh et du pianiste New-Yorkais Thomas Bartlett (alias Doveman) - cinq musiciens, aux carrières respectives bien remplies, qui créent ensemble une musique nouvelle alliant des mélodies languissantes à un style progressif. Bien que chargée des traditions Irlandaises, la musique de The Gloaming n'a rien de nostalgique, mais démontre une vraie personnalité et une vraie identité. Les paroles sont tirées de l'histoire et de la littérature Irlandaise, ancienne et nouvelle. La musique, entraînante et sentimentale, lancinante et pleine d'émotions, est jouée avec l'autorité des virtuoses. Elle sonne ancienne sans pour autant être une pâle copie de la musique d'autrefois.
MR RED HORN IS BACK ! Le Funk Unit du célèbre tromboniste Nils Landgren est de retour avec « Unbreakable », qui ajoute un nouveau chapitre à l’histoire de ce groupe déjà légendaire ! Un titre lourd de sens pour un groupe qui existe depuis 25 ans et qui sort son 10ème album ! « Tout au long de ces années, nous avons connu des hauts et des bas mais l’amour de la musique a toujours été le plus fort. Nous sommes donc devenus ‘’inséparables’’ », déclare Nils Landgren. Et quel casting dans ce groupe ! Ray Parker Jr., guitariste, chanteur - songwriter et producteur. Il a travaillé avec Stevie Wonder, Aretha Franklin, Tina Turner, Diana Ross... et a écrit plusieurs hits dont l’archi célèbre « Ghostbusters » en 1984. Le trompettiste Randy Brecker : 6 Grammy Awards à son actif, il a commencé sa carrière en tant que membre de « Blood Sweat and Tears » et dans les « Jazz Messengers » d’Art Blakey et bien sûr avec son frère Michael (« Brecker Brothers ») Tim Hagans, trompettiste jazz, arrangeur et compositeur originaire de Dayton, Ohio. Nominé 3 fois aux Grammy, il a d’abord tourné avec Stan Kenton et Woody Herman et a enregistré avec Steps Ahead, Maria Schneider, Joe Lovano. « Unbreakable » a été enregistré en November 2016 dans les légendaires studios Atlantis à Stockholm, qui a vu le passage d’artistes tels que ABBA, Scorpions, Elvis Costello et Esbjörn Svensson.
Fondés en 1975 et 1983, les labels JMS et CREAM RECORDS ont toujours soutenus des artistes créatifs au profil international. Tournés vers le jazz dans toutes ses composantes, ilsrevendiquent la collaboration avec des artistes majeurs comme Henri Texier, Didier Lockwood, Martial Solal, UZEB, Allan Holdsworth, Gordon Beck, Louis Sclavis et de nombreux autres. Aujourd'hui les deux labels s'attachent à poursuivre les enregistrements de nouveaux projets avec ces artistes tout en rééditant, en CD comme en Vinyl, un fond de catalogue devenu légendaire. A l'image de sa contrebasse, Henri Texier est un pilier, un repère au milieu du jazz et de la musique en général. Après un début de carrière fulgurant, à la fin des années 1960, aux côtés des géants américains du be bop comme Bud Powell, Donald Byrd, Dexter Gordon ou Kenny Clarke, Henri Texier se situe par son originalité à l'avant -garde de la musique du monde bien avant le terme. La preuve avec ses deux premiers enregistrements effectués sur le label JMS : Amir (1975) et Varech (1977) réédités en vinyle pour satisfaire une demande venue des quatre coins du monde grâce à plusieurs DJ tels que Bonobo, Chinese Man, Be Svendsen, etc... qui utilisent des extraits de ces deux albums dans leur remix. Les compositions : Amir, Le Piroguier, Les Là -bas, l'Eléphant, Quand le Blues s'en ira, etc.. et bien d'autres sont considérés aujourd'hui comme des standards.
Ce sont les retrouvailles de la chanteuse irlandaise Susan McKeown et du new-yorkais Lorin Sklamberg, chanteur du groupe The Klezmatics. Leurs débuts, en 2006 avec Wonder Wheel, avaient été récompensés par un grammy dans la catégorie « meilleur album de world music contemporaine ». Puisant avec naturel et intelligence aux sources d'un répertoire yiddish exceptionnel et d'un patrimoine populaire irlandais haut en couleurs, passant d'une langue et d'une tradition à l'autre, la voix d'alto angélique et sensuelle de McKeown et le timbre ténor émouvant et expressif de Sklamberg bénéficient du soutien d'un groupe d'une extraordinaire souplesse. Histoires juives et irlandaises, accents de passion, danses emmenées par la guitare, le violon et l'accordéon, chants funèbres, romances, on est au coeur d'un mariage entre le mysticisme juif et la tradition gaélique. Au fil de son travail, le duo forge un lien entre deux traditions immigrées venues de loin, et qui sont déjà enracinées au coeur de l'identité collective de l'Amérique. Il n'est pas inutile de rappeler, outre les Klezmatics, quelques faits d'armes des deux comparses. Susan McKeown a notamment collaboré avec Natalie Merchant, Pete Seeger, Linda Thompson, et Billy Bragg. Quant à Lorin Sklamberg, qui a aussi composé pour le cinéma, on a pu le voir avec des artistes aussi divers que Don Byron, Itzhak Perlman, Chava Alberstein, Natalie Merchant, Emmylou Harris, ou Arlo Guthrie.
Pendant près de 50 ans, TOWER OF POWER a su créer sa propre marque de fabrique et sa propre définition de la musique soul-funk. Depuis 1968, le groupe a ravi ses fans grâce à son expérience scénique et musicale, affichant complet lors de ses tournées, chaque année. Les sections rythmiques posent un groove puis sans comme aucun n’autre n’a su le faire avant eux. Plusieurs musiciens du groupe ont d’ailleurs participé aux albums de Ray Charles, Elton John, Rod Stewart, Eddy Mitchell et Aerosmith. Ils ont une manière d’approcher la musique et de conduire le son au travers de l’écriture, des arrangements, du mixage et des performances scéniques qui est véritablement incomparable. Si vous ajoutez à ce cocktail énergisant un leader vocal, alors vous êtes en présence de l’un des groupes les plus dynamiques de la scène soul-funk. C’est durant l’été 2017 que sortiront 4 albums cultes du groupe : « The East Bay archives, Vol. 1 » (concert capté le 23 Avril 1973), qui les montre déjà au T.O.P. de leur performance alors qu’ils ne sont qu’au début de leur jeune carrière, à l’égal de ce qu’étaient les lives enflammés de James Brown dans les années 70; « Oakland Zone » (2003) et « Great American Soulbook » (2009) comptent parmi leurs albums les plus funky et l’album « 40th Anniversary » retrace 40 ans de carrière et de maîtrise scénique au travers d’un CD et d’un DVD documentaire. Pour les fans de : Average White Band // Maceo Parker // Ohio Players
Le retour de Takana Zion avec son troisième album studio 'Rasta Government' s'annonce déjà comme le renouveau du Reggae Roots. Enregistré en Jamaïque avec l'élite des musiciens de Kingston : Sly Dunbar à la batterie, Sticky Thompson aux percussions, Robbie Linn aux claviers et la participation du grand Capleton. Si Takana Zion a pu saisir l'opportunité d'enregistrer avec Steven Stewart au studio 'Harry J', c'est grâce à une autre pointure de la musique jamaïquaine : Sam « Junior » Clayton des Mystic Revelation Of Rastafarï. Conseiller musical de Takana depuis trois ans et co-producteur du disque. On y retrouve une dizaine de morceaux cousus de fil roots, avec un son à la fois organique et moderne, comme cette guitare lumineuse sur «Give Thanks To Jah», ou les magnifiques envolées de cuivres sur « Rasta Gouvernement». La session de studio avec Capleton restera parmi les meilleurs souvenirs de son aventure jamaïquaine ( « The Glory »). Sur de nombreux autres morceaux, Takana combine des refrains entêtants et des textes engagés. Il insiste sur l'importance de ses messages : « Rise Up » incite à redresser la tête et à garder l'espoir en cette période de crise internationale, alors que « Rasta Gouvernement » plaide pour une nation qui réhabiliterait la fraternité et la liberté d'expression entre les citoyens, valeurs essentielles qui semblent s'estomper dans nos pays. Guinéen d'origine, ses concerts remplissent des stades en Afrique de l'Ouest. Il rend hommage à son dialecte natal le 'malinké' sur le morceau (« M'Bife »).
Le retour très attendu du trio fusion mené par Robben Ford Après treize ans de pause, le groupe Jing Chi, composé du guitariste Robben Ford, du bassiste Jimmy Haslip (Yellowjackets, Tommy Bolin, Steely Dan) et du batteur Vinnie Colaiuta (Sting, Frank Zappa, Steely Dan), a enregistré son quatrième album, co-produit par Jimmy Haslip et Robben Ford. La mission du label était de placer ces musiciens hautement talentueux et aux univers différents dans son studio, en laissant tourner la bande d’enregistrement. Cet opus s’inscrit en quelque sorte dans la tradition de la « Super Session », avec l’accent mis sur la composition. Sont invités en « guest » le saxophoniste Jeff Coffin et le trompettiste Mike Haynes. Le résultat est un blues « groovy » gorgé de soul qui met de bonne humeur ! « Ces enregistrements sont une ode à a musicalité à la créativité. Nous sommes comme une famille, c’est une collaboration entre nous trois presque télépathique par moment, cela nous permet de nous concentrer sur l’essentiel et de donner une unique direction à la musique. Je vois le projet comme la libération d’une énergie sonore débridée : la fusion du R’n’B, du groove, du funk, du jazz et des mélodies pop ! » (Jimmy Haslip) POUR CEUX QUI AIMENT Tower Of Power, Joe Bonamassa, Johnny Winter, Lucky Peterson, Eric Bibb, The Rolling Stones, Johnny Lang, Popa Chubby, Johnny Winter, Stevie Ray Vaughan, etc.
Soul Jazz Records réédite le deuxième album du légendaire Steve Reid, l'un de ses albums les plus profonds et radicaux, en édition LP et CD limitées. Rhythmatism est l'un des albums les plus profonds et radicaux de l'extraordinaire batteur et compositeur Steve Reid. Il joue accompagné de grand jazzmen tels que Arthur Blythe 'alias Black Arthur', Charles Tyler, David Wertman parmi d'autres. Steve Reid est né dans le sud du Bronx et a grandi dans le Queens à New York. Il a joué dans la formation du Harlem's Apollo Theatre, accompagnant James Brown, ainsi que dans Sun Ra's Arkestra. Il vivait à côté de John Coltrane, travaillait dans un grand magasin avec Ornette Coleman, avait un fils qui jouait de la batterie avec NWA. Il a commencé sa carrière dans les années 1960 comme batteur à Motown quand il a joué sur Martha et The Vandellas Heatwave, alors âgé de 14 ans. En 1974, il crée le Legendary Master Brotherhood et fonde le label indépendant Mustevic Sound pour sortir son premier album Nova en 1976. Cet album est publié ici dans son intégralité et avec une pochette originale complète. Rhythmatism est le deuxième d'une série de disques indépendants qu'il a sorti dans les années 1970. En tant qu'artiste de jazz radical, Steve Reid a joué avec un groupe extraordinaire d'artistes dont Miles Davis, Sun Ra, Fela Kuti, James Brown, Ornette Coleman, Lester Bowie, Freddie Hubbard...
23 mai 2017. C’est à cette date que Richie Beirach fêtera ses 70 ans. Il a joué avec Stan Getz, Chet Baker, Dave Liebman, etc. Le 23 mai est également la date d’anniversaire de son fidèle partenaire, le violoniste Gregor Huebner, qui lui aura 50 ans. Les deux musiciens jouent ensemble depuis plus de 20 ans. « Richie me dit toujours que nous jouons ensemble de la même façon que lorsque nous échangeâmes nos premières notes à New York en 1996 dans mon petit appartement de Spring Street. Notre lien musical s’est développé et approfondi, mais c’est vrai que nous jouons toujours avec la même joie et spontanéité que lors de nos premières rencontres. » déclare Huebner. Enregistré suite à une résidence d’une semaine au Birdland de la Big Apple, le matériel thématique est varié. Huebner continue : « La musique de certains compositeurs est plus propice à l’improvisation que d’autres. Par exemple, Bach était un formidable improvisateur et cela s’entend dans sa musique. C’est le cas d’autres compositeurs romantiques ou même de Bartok. Le mix de répertoires dans cet album est typique pour nous; jazz, classique, compositions, Bach, Coltrane...; chaque pièce apporte sa pierre à l’édifice mais toutes sont connectées à l’improvisation. ». A noter les musiciens de haut vol qui entourent le duo : Michael Brecker, et la formidable section rythmique composée de George Mraz et Billy Hart. 20 ans de collaboration admirablement célébrés tout au long de cet album.
BETTY DAVIS est la preuve vivante que les femmes peuvent être visionnaires dans le monde de la musique, et notamment du rock et de la pop. Elle a influencé les musiciens les plus reconnus et admirés de ces dernières décennies comme Prince, Erykah Badu ou bien Outkast qui ne seraient très certainement pas ce qu’ils sont si elle n’avait pas exercé son art. Mais elle a également servi à nombre de musiciens comme The Chambers Brothers ou The Commodores. Mariée à Miles Davis, c’est elle qui l’a introduit à la magie du rock psychédélique en lui faisant connaître Jimi Hendrix. The Columbia Years 1968 - 1969 regroupe les sessions bien connues des fans de Betty et Miles au studio Columbia sur ces deux années. Ce sont neuf morceaux inédits produits par Miles Davis et Teo Macero, sur lesquels Betty rugit de son incroyable voix. On note une formation assez incroyable : le batteur de Jimi Hendrix Experience Mitch Mitchell, le guitariste John McLaughlin, Herbie Hancock au clavier et le bassiste et ami de Dylan et Miles, Harvey Brooks. Se rajoutent à cette bande déjà géniale le bassiste Billy Cox (Bands Of Gypsys), le saxophoniste Wayne Shorter et l’organiste Larry Young. C’est avec le soutien de BETTY DAVIS elle-même que Light In The Attic présente cet album au public pour la première fois. Ces sessions historiques ont clairement préparé l‘album révolutionnaire de Miles Davis Bitches Crew de 1970.
Jon McClure est le Révérend - le nouveau phénomène britannique. Le single Heavyweight Champion Of The World, est n°1 sur Radio 1 en Angleterre,n°8 de l'airplay general anglais. On lui a peut-être accordé un titre d'ordre religieux, mais JON MCCLURE n'est pas un homme d'église. C'est un prêcheur c'est sûr - donnant des sermons à des milliers de convertis lors de spectacles à Sheffield sa ville natale - mais ses comptes urbains compromirent tout, au nom de n'importe quel dieu. Demandez à n'importe qui de sa troupe sur cet attachant jeune homme de 24 ans et, Seigneur, ils vous diront : Il est le doyen de la scène musicale de Sheffield. Un poète punk plein de passion. Après avoir passé ses années d'apprentissage avec les gens qui allaient bientôt faire partie des meilleurs groupes de Sheffield, MCCLURE assuma son nouveau statut à la mi-2005 et était sur le point de prendre une nouvelle voie musicale. En Janvier 2006 les fans ont rapidement commencé a s'échanger les sons sur internet, l'été qui suivit le buzz avait tellement pris d'ampleur que le groupe performa au 'The Plug' de Sheffield à guichet fermé. Pris par le succès, le groupe entame sa première tournée du Royaume-Unis, soutenant STEEL CITY et les ARTIC MONKEYS. Jon passa le reste de l'année à mettre en route son 'Reverend Soundsystem', avant de signer au label 'Wall Of Sound' et de disparaître en studio avec THE MAKERS et le producteur JAGZ KOOMER (Primal Sream, Kasabian) pour mettre en oeuvre sa vision musicale.
Le pianiste allemand Michael Wollny, récompensé en France par le « Prix du musicien européen » décerné par l'Académie du Jazz, fait paraître coup sur coup deux superbes albums. Ici, Oslo enregistré en studio avec un ensemble classique, brouillant définitivement les frontières entre jazz, rythmes rock binaires et expérimentations. Considéré comme le chef de file de la jeune scène allemande de jazz, le pianiste Michael Wollny a été encensé en solo, en duo (avec Heinz Sauer ou Joachim Kühn) et bien sûr en trio. En 2013 sortait le magnifique Thrill Box enregistré avec le trio de Vincent Peirani, mais quand on parle de ce virtuose on pense bien sûr à son « art du trio ». Récompensé en 2014 par l'Académie du Jazz pour son album Weltentraum (ffff Télérama), le pianiste revient avec deux nouveaux coups de maître : un album « live » en trio avec les fidèles batteur Eric Schaefer et bassiste suisse Christian Weber, et en studio avec le trio accompagné d’un magnifique ensemble classique dirigé par Geir Lysne. Virtuose romantique et lyrique, maître dans l'art de l'improvisation et des développements harmoniques, Michael Wollny nous offre des compositions finement ciselées ainsi que des arrangements de pièces au carrefour du classique, classique contemporain, jazz. Wollny et ses musiciens nous invitent dans un monde poétique élégant et rythmé, envoûtant et mystérieux. Enregistré aux studios Rainbow (Oslo) du 5 au 7 septembre 2017
Le pianiste allemand Michael Wollny, récompensé en France par le « Prix du musicien européen » décerné par l'Académie du Jazz, fait paraître coup sur coup deux superbes albums. Ici, Oslo enregistré en studio avec un ensemble classique, brouillant définitivement les frontières entre jazz, rythmes rock binaires et expérimentations. Considéré comme le chef de file de la jeune scène allemande de jazz, le pianiste Michael Wollny a été encensé en solo, en duo (avec Heinz Sauer ou Joachim Kühn) et bien sûr en trio. En 2013 sortait le magnifique Thrill Box enregistré avec le trio de Vincent Peirani, mais quand on parle de ce virtuose on pense bien sûr à son « art du trio ». Récompensé en 2014 par l'Académie du Jazz pour son album Weltentraum (ffff Télérama), le pianiste revient avec deux nouveaux coups de maître : un album « live » en trio avec les fidèles batteur Eric Schaefer et bassiste suisse Christian Weber, et en studio avec le trio accompagné d’un magnifique ensemble classique dirigé par Geir Lysne. Virtuose romantique et lyrique, maître dans l'art de l'improvisation et des développements harmoniques, Michael Wollny nous offre des compositions finement ciselées ainsi que des arrangements de pièces au carrefour du classique, classique contemporain, jazz. Wollny et ses musiciens nous invitent dans un monde poétique élégant et rythmé, envoûtant et mystérieux. Enregistré aux studios Rainbow (Oslo) du 5 au 7 septembre 2017
Un troisième album qui frôle la perfection (Si si, on vous jure !) On pourrait vous rappeler l’histoire d’alt-J, leur formation à Leeds, le tourbillon du premier album en 2012, la confirmation avec le deuxième en 2014. Les scènes des plus grands festivals de France. Des morceaux comme ‘Breezeblocks’, ‘Matilda’ ou ‘Left Hand Free’ qui sont devenus de vrais hymnes indés. Mais pourquoi regarder le passé alors que l’avenir est si prometteur ? Quelques privilégiés ont déjà entendu RELAxER, le troisième album studio d’alt-J. Médias ou anonymes, nous leur laissons la parole. ‘ Excellent, et assez surprenant !‘ T.M. (Journaliste) ‘Je suis tombée totalement amoureuse de cet album’ A.L. (Journaliste) “Quel plaisir de retrouver la musique du trio, sa douceur, ses mélodies délicates et ses voix reconnaissables parmi cent autres !’ TSUGI Ciel que c’est bon d’être ainsi sans repères’ J-D.B. (Journaliste) ‘The album is just fxxxx mindblowing.’ L.R. (DG adjointe) ‘Je le trouve vraiment BEAU. Tous les morceaux sont forts. Leur son unique se confirme [...] ça ressemble vraiment à plus rien d’autre qu’à alt-J » J.H. (attaché de presse) ‘Du grand Alt-J!’ ROLLING STONE Imposant et majestueux’ R.M (Grand Compte) ‘C’est peut-être le moment de dire à tous les groupes qui avaient prévus de sortir un disque cette année que c’est pas la peine hein.’ O.B. (journaliste) C’est tout ce que j’attendais d’alt-J pour ce troisième album… et bien plus encore. Des morceaux qui parlent autant à votre cerveau qu’à votre coeur’ M.D. (Label Manager) ‘L’album EST MAGNIFIQUE j’en reste SANS VOIx !!!’ L.J. (attaché de presse)
Dès le départ, PHOEBE KILLDEER a voulu écrire et créer sa propre musique. Dès sa jeunesse, elle écoutait déja ce qui allait devenir ses principales influences : TOM WAITS, ART OF NOISE, YMA SUMAC, NICK CAVE, CARMEN MCRAE... Elle a alors commencé à écrire et à chanter ses compositions tout en collaborant à de nombreux projets BANG GANG, BASEMENT JAXX, TRUE STORIES, ERNEST SAINT LAURENT, ZERO DB... En 2004, elle participe au deuxième album de NOUVELLE VAGUE, Bande à Part, piloté par MARC COLLIN. Le succès du disque déclenche une tournée mondiale de plus de trois ans. D'emblée, le public est captivé par la voix hors du commun de PHOEBE, sa très forte personnalité et son extraordinaire présence scénique. PHOEBE KILLDEER a produit un premier album extrême et contrasté où la fragilité et l'introspection se heurtent à un barrage de rock, de blues et de soul, à la fois brillant et abouti. Mon album met en scène les choses que j'apprécie le plus dans ce petit monde, les gens et leur manière, ce qui les rend si uniques. Nous sommes une source intarissable d'émotions, de sentiments, de réactions, de tourments et de surprises. Je voulais que le son du disque reflète l'originalité de ces différents aspects alors Marc et moi avons mélangés cuivres décalés, vibraphones fantomatiques, guitares nerveuses et percussions tribales pour créer ces atmosphères. Après six semaines de travail, je suis partie à San Francisco mixer l'album. C'est Oz Fritz, ingénieur du Mule Variations de Tom Waits qui s'y est attelé. Il a réussi à donner à l'album son caractère
Un troisième album qui frôle la perfection (Si si, on vous jure !) On pourrait vous rappeler l’histoire d’alt-J, leur formation à Leeds, le tourbillon du premier album en 2012, la confirmation avec le deuxième en 2014. Les scènes des plus grands festivals de France. Des morceaux comme ‘Breezeblocks’, ‘Matilda’ ou ‘Left Hand Free’ qui sont devenus de vrais hymnes indés. Mais pourquoi regarder le passé alors que l’avenir est si prometteur ? Quelques privilégiés ont déjà entendu RELAxER, le troisième album studio d’alt-J. Médias ou anonymes, nous leur laissons la parole. ‘ Excellent, et assez surprenant !‘ T.M. (Journaliste) ‘Je suis tombée totalement amoureuse de cet album’ A.L. (Journaliste) “Quel plaisir de retrouver la musique du trio, sa douceur, ses mélodies délicates et ses voix reconnaissables parmi cent autres !’ TSUGI Ciel que c’est bon d’être ainsi sans repères’ J-D.B. (Journaliste) ‘The album is just fxxxx mindblowing.’ L.R. (DG adjointe) ‘Je le trouve vraiment BEAU. Tous les morceaux sont forts. Leur son unique se confirme [...] ça ressemble vraiment à plus rien d’autre qu’à alt-J » J.H. (attaché de presse) ‘Du grand Alt-J!’ ROLLING STONE Imposant et majestueux’ R.M (Grand Compte) ‘C’est peut-être le moment de dire à tous les groupes qui avaient prévus de sortir un disque cette année que c’est pas la peine hein.’ O.B. (journaliste) C’est tout ce que j’attendais d’alt-J pour ce troisième album… et bien plus encore. Des morceaux qui parlent autant à votre cerveau qu’à votre coeur’ M.D. (Label Manager) ‘L’album EST MAGNIFIQUE j’en reste SANS VOIx !!!’ L.J. (attaché de presse)
TROISIEME ALBUM STUDIO DES LEGENDES DU METAL NORVEGIEN Après Mork, Peaceville signe un autre nom célèbre du black metal scandinave. Formé en 1991 à Ytre Enebakk en Norvège, Fleurity a réussi à imposer son approche expérimentale et très personnelle du black metal. Le groupe est articulé depuis toujours autour du duo Alexander Nordgaren, guitariste de tournée des notoires Mayhem, et Svein Egil Zweizz Hatlevik, Umoral, Strid, Dødheimsgard. Après une floppée de EP et deux albums,The White Death arrive presque à 20 années d’écart de « Department of Apocalyptic Affairs » et le groupe retourne vers le style de son mythique premier album de 1995 « Min tid skal komme » mais cette fois avec une part bien plus expérimentale, sarcastique et dépouillée de tout artifice ! Le résultat est encore plus sombre et dérangeant que ce que Fleurity avait pu nous délivrer jusqu’alors : un opus profond et brut, prenant mais complètement hors-norme car aux frontières de l’étrange et de l’abstrait ! Pour cet album, le duo s’est adjoint les sévices du bassiste/chanteur Czral-Michael Eide (Virus, Aura Noir), de la chanteuse Linn Nystadnes (Deathcrush, Oilskin), de la flutiste Krizla (Tusmørke, Alwanzatar) et du chanteur Filip Roshauw (The Switch). The White Death a été mixé par le « parrain » de la noise norvégienne, Lasse Marhaug et masterisé par Greg Chandler (Esoteric) aux Priory Studios, avec une pochette réalisée par le fameux Trine+Kim Design Studio (Ulver, Darkthrone).
A tout juste 25 ans, Jurdan Rakei, chanteur, producteur et multi-instrumentiste d’origine néo-zélandaise désormais basé à Londres, s’est forgé une place de choix parmi les talents prometteurs d’un R&B moderne et ouvert, en prise avec son époque. Un univers qu’il développe plus en longueur sur Wallflower, son deuxième album, disponible le 22 septembre 2017 chez Ninja Tune. Une envolée de sa jeune carrière que Jordan doit avant tout à lui-même. Son exceptionnel talent musical (il écrit, chante, joue la plupart des instruments présents sur ses disques…) se mêle à une ambition acharnée de prouver son statut d’artiste complet. Un talent singulier d’écriture révélée sur son EP Groove Curse en 2014 et confirmée par la sortie de Cloak, son tout premier album deux ans plus tard. Largement soutenu par la presse spécialisée, Cloak contribue à établir Jurdan Rakei comme une voix au talent déjà bien affirmé, à l’écriture subtile et à la sensibilité étonnante. Auréolé de collaborations pour Disclusure, Taku, FKJ, Tum Misch et Richard Spaven, Jurdan Rakei signe chez Ninja Tune et sort dans la foulée un single en juin 2017, Sorceress, premier extrait de son album à venir. Piochant autant dans les références R&B moderne incontournables (Frank Ocean, The Weeknd…) que dans des influences plus subtiles, jazz, psychédélique ou même reggae par moments, cachées sous les productions cousues main, Jurdan Rakei enveloppe le tout de sa voix délicate et aérienne, qu’il manie avec une indiscutable aisance.
A tout juste 25 ans, Jurdan Rakei, chanteur, producteur et multi-instrumentiste d’origine néo-zélandaise désormais basé à Londres, s’est forgé une place de choix parmi les talents prometteurs d’un R&B moderne et ouvert, en prise avec son époque. Un univers qu’il développe plus en longueur sur Wallflower, son deuxième album, disponible le 22 septembre 2017 chez Ninja Tune. Une envolée de sa jeune carrière que Jordan doit avant tout à lui-même. Son exceptionnel talent musical (il écrit, chante, joue la plupart des instruments présents sur ses disques…) se mêle à une ambition acharnée de prouver son statut d’artiste complet. Un talent singulier d’écriture révélée sur son EP Groove Curse en 2014 et confirmée par la sortie de Cloak, son tout premier album deux ans plus tard. Largement soutenu par la presse spécialisée, Cloak contribue à établir Jurdan Rakei comme une voix au talent déjà bien affirmé, à l’écriture subtile et à la sensibilité étonnante. Auréolé de collaborations pour Disclusure, Taku, FKJ, Tum Misch et Richard Spaven, Jurdan Rakei signe chez Ninja Tune et sort dans la foulée un single en juin 2017, Sorceress, premier extrait de son album à venir. Piochant autant dans les références R&B moderne incontournables (Frank Ocean, The Weeknd…) que dans des influences plus subtiles, jazz, psychédélique ou même reggae par moments, cachées sous les productions cousues main, Jurdan Rakei enveloppe le tout de sa voix délicate et aérienne, qu’il manie avec une indiscutable aisance.
Au fil du temps, Marc Cary s'est forgé la réputation d'un des pianistes contemporains les plus inventifs, un bandleader dont la curiosité musicale englobe non seulement le jazz, mais aussi le hip-hop, la musique électronique, la musique classique indienne. Cary est également un accompagnateur très recherché, d'une grande finesse et dont l'excellente réputation repose notamment sur ses 12 ans de collaboration (initiés en 1994) avec la chanteuse, auteur hors-pair et icône du jazz, Abbey Lincoln. For the Love of Abbey, le premier album solo piano de Cary, est un hommage intime qui met en avant la richesse de l'oeuvre de Lincoln, témoignage de son sens inné de la mélodie et de son prodigieux talent d'écriture. Les compositions d'Abbey gagnent à être écoutées avec une approche instrumentale pour rendre honneur à leur richesse, car elles pourraient tout aussi bien être interprétées de cette façon raconte Cary au journaliste Willard Jenkins, auteur des textes du disque For the Love of Abbey. L'engagement de Cary avec Lincoln dépasse en longueur celui de tous les autres pianistes. Cary suivait pourtant les pas d'excellents musiciens : Mal Waldron, Hank Jones, Wynton Kelly et Kenny Barron, entre autres. Même dans un style plus dépouillé, en solo piano sur For the Love of Abbey, Cary crée des morceaux d'une variété orchestrale et d'une profondeur étonnantes. Lorsqu'on l'interroge sur la leçon la plus importante qu'il retire de ses années de collaboration avec Abbey Lincoln, Cary répond : Apprendre à se défaire des choses dont on n'a pas besoin, et revendiquer ce qui vous appartient.
DANS LA LIGNÉE D’ANGEL OLSEN ET DE SHARON VAN ETTEN, DÉCOUVREZ LE PREMIER ALBUM DE LA SONGWRITER AMÉRICAINE SIGNÉE CHEZ FULL TIME HOBBY C’est sur un heureux accident que commença la carrière de Katie Von Schleicher : alors qu’elle était en stage à Da Da Bing Records à New-York, son directeur, Ben Goldberg, lui proposa de réaliser une cassette que le label sortira par la suite. Sa première composition auto-produite et enregistrée était née; une pop étrange, vaporeuse et acidulée. Avec sa cassette sortie sous pseudonyme, Von Schleicher attise la curiosité autour de Bleaksploitation, à tel point que l’album sortira également en vinyle au printemps 2016. Sur son premier album, Von Schleicher frappe encore avec des sonorités magiques et inflexibles. Shitty Hits est une ode aux lumineux et brillants titres qui fleurissaient sur les ondes des radios des années 70; les morceaux sur lesquels on conduit et les autres sur lesquels on pleure aussi de temps à autre. Du début à la fin, Shitty Hits traite des sentiments d’isolation et de faiblesse. Avec des vocalises saturées, des percussions distordues et des riffs de guitare continuels, Shitty Hits tacle le snobisme, la quête du parfait en faveur de l’humanité imparfaite. Inspiré par des sons à la Paul McCartney ou par l’album Sketches For My Sweetheart The Drunk de Jeff Buckley, Shitty Hits a été créé sur un magnétophone cassette Tascam 488 dans la maison d’enfance de la chanteuse dans le Maryland. Où Bleaksploitation entretenait un gentil nihilisme acoustique, Shitty Hits regorge de confiance et de maturité. Pour ceux qui aiment : Andy Shauf, Kevin Morby, Patti smith, Angel Olsen...
DANS LA LIGNÉE D’ANGEL OLSEN ET DE SHARON VAN ETTEN, DÉCOUVREZ LE PREMIER ALBUM DE LA SONGWRITER AMÉRICAINE SIGNÉE CHEZ FULL TIME HOBBY C’est sur un heureux accident que commença la carrière de Katie Von Schleicher : alors qu’elle était en stage à Da Da Bing Records à New-York, son directeur, Ben Goldberg, lui proposa de réaliser une cassette que le label sortira par la suite. Sa première composition auto-produite et enregistrée était née; une pop étrange, vaporeuse et acidulée. Avec sa cassette sortie sous pseudonyme, Von Schleicher attise la curiosité autour de Bleaksploitation, à tel point que l’album sortira également en vinyle au printemps 2016. Sur son premier album, Von Schleicher frappe encore avec des sonorités magiques et inflexibles. Shitty Hits est une ode aux lumineux et brillants titres qui fleurissaient sur les ondes des radios des années 70; les morceaux sur lesquels on conduit et les autres sur lesquels on pleure aussi de temps à autre. Du début à la fin, Shitty Hits traite des sentiments d’isolation et de faiblesse. Avec des vocalises saturées, des percussions distordues et des riffs de guitare continuels, Shitty Hits tacle le snobisme, la quête du parfait en faveur de l’humanité imparfaite. Inspiré par des sons à la Paul McCartney ou par l’album Sketches For My Sweetheart The Drunk de Jeff Buckley, Shitty Hits a été créé sur un magnétophone cassette Tascam 488 dans la maison d’enfance de la chanteuse dans le Maryland. Où Bleaksploitation entretenait un gentil nihilisme acoustique, Shitty Hits regorge de confiance et de maturité. Pour ceux qui aiment : Andy Shauf, Kevin Morby, Patti smith, Angel Olsen...
Fruit du métissage culturel du 18ème, l'un des quartiers parisiens les plus cosmopolites, GEORGIO prolonge dignement cette école d'écriture popularisée par la SCRED CONNEXION, FLYNT, HUGO. Plus jeune que ces derniers et représentant une nouvelle génération, née en 1993, GEORGIO se fait connaître en 2012 avec un EP en téléchargement gratuit dont est extrait le clip Homme de l'ombre qui connaît alors un gros succès (vu plus de 230 000 fois sur Youtube). HOLOGRAM LO' est le beatmaker et Dj du groupe 1995 depuis ses débuts. Il a réalisé les productions de la plupart des singles du groupe notamment La suite et Flingue dessus. 1995 totalise avec son album Paris Sud Minute sorti chez Universal le 31 décembre dernier et ses 2 EPs précédents plus de 100 000 ventes. Bénéficiant d'une énorme fan base internet et d'un gros buzz médiatique, le groupe a assis sa notoriété par des tournées marathon tant en France qu'à l'étranger faisant de 1995 le groupe le plus médiatisé et représentatif de cette nouvelle génération d'artistes rap. Soleil d'hiver est la première sortie, en dehors de 1995, entièrement produite par HOLOGRAM LO'. Le duo s'est attaché à travailler les thèmes et les concepts pour aboutir à cet EP 9 titres qui sonne comme un classique du genre. Les invités sont triés sur le volet que ce soit ALPHA WANN (1995), VALD, LOMEPAL sur le titre Sex, Drug & Rock'n'Roll et KOMA (SCRED CONNEXION) et C.SEN sur Paris North Face, hommage de rigueur au 18ème. Le projet bénéficie d'une excellente exposition grâce au relais sur les réseaux sociaux de 1995. Et Soleil d'hiver est porté par le premier titre Saleté de rap qui connaît un excellent démarrage.
LE TRÈS ATTENDU 1ER ALBUM DE KUTMAH AVEC DES GUESTS DE QUALITÉ DONT JONWAYNE ET GONJASUFI... « je suis content qu’on puisse finalement découvrir le 1er album d’un des DJs les plus influents du beat movement » Flying Lutus Kutmah sortira le 11 août son très attendu 1er album TROBBB! (The Revenge Of Black Belly Button) chez Big Dada. L’album comporte un casting incroyable de guests avec entre autres : Gunjasufi, Junwayne, Naturebuy Flaku, Ta’Raach, Jeremiah Jae, Zeruh, Zackey Furce Funk, N8NOFACE, Sach, Akellu G Light et DJ Chris P Cuts. L’album est un mélange de boucles expérimentalo-méditatives, de rap abstrait avec des sonorités punk / noise et allant même chercher du côte du folk / blues par moment. C’est aussi et surtout un album sentimental, très ancré dans les références à son passé mais tout en étant tourné vers le futur. Kutmah, de son vrai nom Justin McNulty est un DJ et producteur de Hip Hop né à Brighton. À l’âge de 12 ans, il déménage à Hollywood avec ses parents et devient membre de la webradio associative Dublab. Ses premières productions voient le jour en 2006 sur la compilation japonaise The Suund uf L.A puis un EP de 9 titres paru sur Puu-Bah. En 2010, en raison de complications liées à son statut d’immigrant, il est placé dans un centre de détention pendant 2 mois. Lors de cette période, il fait une série de 39 dessins qui après son extradition vers l’Angleterre seront exposées dans quelques galeries. En 2011/12, il sort une série de mixes en éditions limitées intitulés The New Error. Pour ceux qui aiment : Daedelus, Jeremiah Jae, Illum Sphere
Depuis ces vingt dernières années, Mamer est considéré comme l'un des artistes les plus influents et novateurs de la Chine. Il puise son inspiration dans les poésies et les chansons des plaines ou il a grandi, et il a influencé toute une génération d'orchestres et de musiciens chinois. Le répertoire de son album Eagle est fait de chansons des plaines qui sont traditionnellement chantées à une seule voix et accompagnée du dombra, un instrument à deux cordes. Tout en préservant leur lyrisme et leurs paroles souvent instructives, Mamer a adapté et réactualisé ces chansons pour le public du vingt-et-unième siècle. Mamer a grandi à plus de 3000 kilomètres de Pékin, dans l'une des contrées les plus lointaines de l'Asie Centrale, aux confins de la frontière avec la Russie et le Kazakhstan. Issu d'une famille de dix enfants, c'est en compagnie de son père et son grand-père qu'il a appris ces fameuses chansons traditionnelles des plaines. Après des débuts fracassants sur la scène country alternative chinoise avec son groupe IZ, il publie Eagle, son premier album solo. Avec un son plus chaleureux, plus intime que ses enregistrements avec IZ, le disque révèle Mamer dans un état d'esprit plus introspectif. Il propose une collection de chansons qui traitent de thèmes universels : la nature de l'homme, l'équilibre fragile que nous entretenons avec la nature, les tentations de la modernité. Enregistré à Pékin et Urumqi, produit par Robin Haller et Matteo Scumaci, Eagle offre aussi un... duel de banjos avec le virtuose américain Bela Fleck Celebration, ainsi qu'un titre bonus qui est un remix signé par le regretté Hector Zazou, un des plus fervents admirateurs de Mamer, et dont c'est là l'un des tout derniers travaux.
LE TRÈS ATTENDU 1ER ALBUM DE KUTMAH AVEC DES GUESTS DE QUALITÉ DONT JONWAYNE ET GONJASUFI... « je suis content qu’on puisse finalement découvrir le 1er album d’un des DJs les plus influents du beat movement » Flying Lutus Kutmah sortira le 11 août son très attendu 1er album TROBBB! (The Revenge Of Black Belly Button) chez Big Dada. L’album comporte un casting incroyable de guests avec entre autres : Gunjasufi, Junwayne, Naturebuy Flaku, Ta’Raach, Jeremiah Jae, Zeruh, Zackey Furce Funk, N8NOFACE, Sach, Akellu G Light et DJ Chris P Cuts. L’album est un mélange de boucles expérimentalo-méditatives, de rap abstrait avec des sonorités punk / noise et allant même chercher du côte du folk / blues par moment. C’est aussi et surtout un album sentimental, très ancré dans les références à son passé mais tout en étant tourné vers le futur. Kutmah, de son vrai nom Justin McNulty est un DJ et producteur de Hip Hop né à Brighton. À l’âge de 12 ans, il déménage à Hollywood avec ses parents et devient membre de la webradio associative Dublab. Ses premières productions voient le jour en 2006 sur la compilation japonaise The Suund uf L.A puis un EP de 9 titres paru sur Puu-Bah. En 2010, en raison de complications liées à son statut d’immigrant, il est placé dans un centre de détention pendant 2 mois. Lors de cette période, il fait une série de 39 dessins qui après son extradition vers l’Angleterre seront exposées dans quelques galeries. En 2011/12, il sort une série de mixes en éditions limitées intitulés The New Error. Pour ceux qui aiment : Daedelus, Jeremiah Jae, Illum Sphere
COLDCUT & ADRIEN SHERWOOD (ON-U SOUND), DEUX MONSTRES SACRÉS DE LA SCÈNE UNDERGROUND BRITISH UNISSENT LEURS EFFORTS POUR UN ALBUM COLLABORATIF AVEC ENTRE AUTRES LEE ‘SCRATCH’ PERRY, ROOTS MANUVA, CE’CILE, TODDLA T, JUNIOR REID, DAVE TAYLOR (SWITCH / WITH YOU) Coldcut et Adrian Sherwuud (tête pensante du légendaire label On-U Sound) sont deux pionniers de la musique britannique. Unis par un esprit franc-tireur, ils ont une histoire profondément liée. Le projet ‘Outside The Echo Chamber’ de Coldcut x On- U Sound à paraître sur Ahead Of Our Time (le 1er label de Culdcut) est un album d’electro-dub qui met en exergue une ferveur politique et une jubilation sonore. Le projet rassemble une impressionnante équipe de musiciens et vocalistes incluant : Roots Manuva, Junior Reid, Lee Scratch Perry et Ce’Cile entre autres et a été enregistré entre Londres, Ramsgate, La Jamaïque et Los Angeles (où le coproducteur et poids lourds de la dance Dave Taylur (Switch & With Yuu) est maintenant basé. Tuddla T a aussi contribué à la production de 2 titres. ‘Outside The Echo Chamber’ est un appel au melting-pot musical britannique. Au coeur du projet, on retrouve également les collaborateurs de longue date de On-U Suund, Skip McDonald à la guitare et DuugWimbish à la basse. Ces deux faisaient partie du ‘house band’ du label pionnier de rap Sugar Hill et ont contribué à quelques albums clés de l’époque comme « The Message » de Grandmaster Flash entre autres. Dans le sombre contexte politique de ce début 2017, la chaleur et l’ouverture d’esprit derrière ce projet est plus que jamais la bienvenue.
Les légendes norvégiennes du Black Metal se reforment et présentent leur premier album studio tant attendu ! Réunissant des membres d'Arcturus, Mayhem, Thorns et 1349 pour un chef-d'oeuvre de Black Metal, Peaceville est fier de présenter le PREMIER album studio tant attendu de MORTEM, les légendes norvégiennes récemment reformées. Lorsque l'on revient sur l'histoire du black metal, certains noms sont familiers comme Mayhem, Burzum, Darkthrone. Mais dans l'ombre se cache un autre grand fournisseur des ténèbres du grand Nord. Formé par Marius Vold et Steinar Sverd Johnsen en 1989, Mortem est l'un des premiers groupes à se démarquer de la scène Black Metal norvégienne. Il publie la démo très convoitée et brutale intitulée Slow Death', avec Euronymous & Dead of Mayhem respectivement producteur et artiste. Après la sortie de Slow Death, le groupe se disloque et ses membres forment ensuite Arcturus et Thorns, devenus piliers de la scène Black Metal et au-delà. Dans un moment de nostalgie et de désir de créer une musique plus brutale qu'Arcturus, Mortem a été ravivé. Ainsi, l'album tant attendu, intitulé Ravnsvart, possède la même brutalité et le même esprit que l'incarnation originale, avec des éléments nouveaux, tous conçus de manière unique dans la veine des premiers sons du Black Metal scandinave, élaboré en un chef-d'oeuvre d'horreur malsain. Hellhammer (du légendaire Mayhem) à la batterie, Tor Stavenes (de 1349/Svart Lotus), à la basse, rejoignent le duo.
ROADS est le premier album du Léa Castro 5tet. Le projet nait en 2010, tout d'abord en duo, quand Léa Castro débute sa collaboration avec le pianiste et violoniste Antoine Delprat. En 2013, le contrebassiste Alexandre Perrot, le batteur Ariel Tessier et le saxophoniste Rémi Fox les rejoignent. Entre compositions originales et standards revisités, le jazz se teinte de soul et de pop, reflétant le parcours d'une jeune génération de musiciens de jazz qui a écouté toutes sortes de musiques. Ils ne cachent pas l'impact reçu sur leur développement artistique de grands artistes, dont la musique déborde volontiers du cadre du Jazz comme Brad Mehldau, e.s.t., Michael Brecker, Avishai Cohen... On sent combien le quintet se réjouit en revisitant des titres des Beatles, Duran Duran ou Elliot Smith. Mais ce qui séduit d'emblée à la première écoute, c'est la voix d'alto envoûtante de Léa Castro, pleine de swing, de douceur enveloppante et de force tranquille. Influencée à la fois par de grandes dames du Jazz telles que Nina Simone, Carmen McRae ou Diane Reeves, et par les figures de la Soul que sont Otis Redding et Bill Withers, certaines de ses compositions puisent aussi leur inspiration dans un imaginaire coloré, de l'Espagne à l'Orient, sur les traces des origines Nord-Africaines de Léa Castro. L'instrumentation originale du quintet se voit déconstruite ou enrichie selon les titres, avec ou sans piano, avec violon ou flûte, batterie ou cajon, et des choeurs... On passe d'une énergie débordante à la douceur d'une musique de chambre où les timbres se mélangent subtilement, avec pour fil conducteur la voix et les émotions.
L'énergie dramatique et une intuition mystérieuse et infaillible permettant de faire vibrer les couleurs et le sens du texte, qui caractérisent la façon dont Claudio Cavina aborde ces dernières années la musique de Monteverdi, se retrouvent avec bonheur dans cette interprétation de Il ritorno d'Ulisse in patria. Après avoir signé des versions admirables, et admirées, de l'Orfeo et de Poppea, Cavina interprète à présent le texte immortel d'Homère célébrant la constance et la vertu. Créé à Venise il y a plus de 350 ans, Le Retour d'Ulysse dans sa patrie ne nous est parvenu qu'en une seule partition (conservée à Vienne) dont Monteverdi n'est probablement pas l'unique compositeur; conscient de cet état de choses auquel s'ajoutent certaines limitations du manuscit, Cavina applique sa grande expérience et son savoir-faire à recréer l'inspiration du Crémonais et présente ainsi sous une lumière nouvelle le monde opératique vénitien au coeur du XVIIème (ce que nous avons pu apprécier dans son récent enregistrement de Artemisia de Cavalli). Cavina s'entour des instrumentistes de La Venexiana et d'un excellent groupe de chanteurs (auxquels Cavina participe) : aux cîotés de Anicio Zoki Giustiniani (Ulysse) et de José Maria Lo Monaco (Pénélope), nous pouvons applaudir Roberta Mameli et Makoto Sakurada, entre autres, dans les rôles principaux. L'oeuvre a été enregistrée à Mondovi après avoir été jouée à Amsterdam, Paris, Regensburg ou Stuttgart. Stefano Russomanno, dont les essais accompagnent tout l'odyssée monteverdienne de Cavina chez Glossa, contribue une fois encore en signant un texte incisif pour cette édition.
Les icônes pop-punk font leur grand retour avec un sixième album qui signe un véritable retour aux sources. Les cinq super musiciens de GOOD CHARLOTTE sont sur le point de sortir leur sixième album, Youth Authority sur le label des Madden Brothers, MDDN, distribué par Kobalt. Actifs depuis les années 90, GOOD CHARLOTTE comptent cinq albums et deux collaborations à leur actif. Le groupe a, dans les années 2000, joué un rôle crucial dans le pop-punk, notamment avec leurs deux singles Little Thing et Festival Song qui en ont posé les bases. Et leur album The Young And The Hopeless, vrai succès mondial, a complétement propulsé la pop-punk dans la stratosphère et a fait d'eux de vraies superstars, détenteurs de nombreux disques de platines (notamment The Chronicles of Life and Death de 2004 ou encore Good Morning Revival en 2007). Ces années d'activité bien chargées poussent le groupe à prendre un peu le large après leur dernier album, Cardiology. Leur retour, c'est en novembre dernier qu'ils ont décidé de le faire après cinq ans de silence, en sortant une vidéo pour leur chanson « Makeshift Love » qui réunit tous les éléments qui ont fait de Good Charlotte ce qu'on a tant aimé. Enregistré par John Feldmann, leur producteur de toujours, cette sortie s'est accompagnée d'un concert au Troubadour à West Hollywood... un triomphe ! Après quelques concerts au Royaume Uni en février, une tournée US en avril, et la sortie de leur nouvel album Youth Authority sur MDDN le 15 juillet, Good Charlotte semble se faire une joie de revenir sur les devants de la scène, et nous aussi !
Les icônes pop-punk font leur grand retour avec un sixième album qui signe un véritable retour aux sources. Les cinq super musiciens de GOOD CHARLOTTE sont sur le point de sortir leur sixième album, Youth Authority sur le label des Madden Brothers, MDDN, distribué par Kobalt. Actifs depuis les années 90, GOOD CHARLOTTE comptent cinq albums et deux collaborations à leur actif. Le groupe a, dans les années 2000, joué un rôle crucial dans le pop-punk, notamment avec leurs deux singles Little Thing et Festival Song qui en ont posé les bases. Et leur album The Young And The Hopeless, vrai succès mondial, a complétement propulsé la pop-punk dans la stratosphère et a fait d'eux de vraies superstars, détenteurs de nombreux disques de platines (notamment The Chronicles of Life and Death de 2004 ou encore Good Morning Revival en 2007). Ces années d'activité bien chargées poussent le groupe à prendre un peu le large après leur dernier album, Cardiology. Leur retour, c'est en novembre dernier qu'ils ont décidé de le faire après cinq ans de silence, en sortant une vidéo pour leur chanson « Makeshift Love » qui réunit tous les éléments qui ont fait de Good Charlotte ce qu'on a tant aimé. Enregistré par John Feldmann, leur producteur de toujours, cette sortie s'est accompagnée d'un concert au Troubadour à West Hollywood... un triomphe ! Après quelques concerts au Royaume Uni en février, une tournée US en avril, et la sortie de leur nouvel album Youth Authority sur MDDN le 15 juillet, Good Charlotte semble se faire une joie de revenir sur les devants de la scène, et nous aussi !
LES NOUVEAUX VENUS DE CHEZ JAGJAGUWAR NOUS DÉVOILE DANS CE PREMIER ALBUM UNE POP DELICATE ET SOLAIRE Midnight Sister - le projet des deux créatifs Juliana Giraffe et Ari Bazuulian - arrive à nous via les paysages isolés de la vallée de San Francisco - ses couleurs, ses diners, sa folie et ses lumières éblouissantes. Résidents de longue date de la vallée, les deux membres de Midnight Sister ont toujours été inspiré par la mythologie autour de leur ville et en particulier par son histoire paradoxale à la fois tragique et enchanteresse. Saturn Over Sunset pourrait presque être vu comme l’adaptation album du film Short Cuts de Rubert Altman, où chaque chanson est l’observation des personnages étranges qui vivent dans cette vallée. Juliana est la fille d’un DJ de Los Angeles et a été biberonnée à la disco et à la musique de David Buwie. Les paroles et mélodies qu’elle compose lui sont venues alors qu’elle contemplait Sunset Boulevard à travers sa petite fenêtre. Sa ‘fenêtre arrière’, comme elle l’appelle, lui permet de faire travailler son imagination et de créer les paroles qui accompagneront les compositions d’Ari. Ce dernier est déjà entrainé grâce à son activité d’arrangeur de pop étrange pour des artistes comme Tubias Jessu Jr. et Alex Izenberg. C’est la première fois que Giraffe écrit et joue et c’est également la première fois que Baluuzian joue de la pure pop. Saturn Over Sunset dessine les coins les plus curieux d’Hollywood. On en ressort les yeux troubles, ébloui par le paysage devenu tout à coup rose et orange, que l’on aperçoit à travers les palmiers et le brouillard. Puur ceux qui aiment : Weyes Bluud, Alduus Harding, Angel Olsen
CÔTE EST ET CÔTE OUEST : KEVIN EUBANKS ET SES MUSICIENS DE HAUT VOL GRAVENT UN ALBUM CONÇU ENTRE NEW YORK ET LOS ANGELES « EAST WEST TIME LINE » Avec Jeff « Tain » Watts, Dave Holland, Mino Cinelu, Nicholas Payton, etc. Depuis presque trente ans maintenant, la carrière de Kevin Eubanks a connu un essor pour le moins impressionnant. Celui que nombreux ont d’abord découvert comme acolyte de Branford Marsalis ou Steve Coleman est depuis devenu l’un des instrumentistes les plus en vue des États-Unis. Le guitariste a été pendant vingt ans le directeur musical du Tonight Show de Jay Leno, un emploi qui l’a évidemment appelé à côtoyer nombre de pointures du jazz, du blues et du pop. Après son duo remarqué avec Stanley Jordan paru en 2015, le guitariste revient avec un enregistrement gravé avec deux groupes distincts, l’un situé côte ouest, et l’autre côte est. Le premier réunit à Los Angeles le batteur Marvin « Smitty » Smith, le bassiste Rene Camacho, l’ancien protégé de Miles Davis Mino Cinelu (percussions) et le saxophoniste Bill Pierce. Du côté de New York, on retrouve le swing irrésistible de la section rythmique formée par deux légendes vivantes, Jeff « Tain » Watts et Dave Holland, ainsi que le pianiste Orrin Evans et le trompettiste new yorkais Nicholas Payton. Ces deux sessions, captées à Los Angeles et New York, offrent le parfait écrin aux prouesses de Kevin Eubanks, qui jamais ne sacrifie le sens mélodique au profit de son éblouissante technique. Deux sessions riches et inspirées, dirigées par l’un des maîtres contemporains de la six cordes.