LE GUITARISTE MICHAEL SCHENKER, CAPTÉ SUR LE VIF EN CONCERT À TOKYO DEVANT 5 000 FANS DÉCHAÎNÉS, AVEC LES CHANTEURS EMBLÉMATIQUES DE M.S.G. (MICHAEL SCHENKER GROUP) Capté sur le vif à Tokyo dans la salle de l’« International Forum » le 24 août 2016, ce concert historique de Michael Schenker voit la participation de plusieurs chanteurs qui ont collaboré avec le guitariste au fil des années : Gary Barden, Graham Bonnet et Robin McAuley. « Beaucoup de temps a passé depuis notre passage au Budokan avec M.S.G. » s’exclame Schenker. « J’avais vraiment le souhait de revenir au Japon pour une grande fête avec les chanteurs originaux des années 80 qui ont vraiment compté pour moi. J’ai toujours eu un public fidèle dans ce pays et cela me tenait à coeur de célébrer avec mes fans plusieurs décennies de carrière ». Ainsi ce sont 5 000 fans qui ont pris d’assaut la salle de spectacle chauffée à blanc et ont été témoins d’une déferlante sonique rock sauvage et énergisante. « C’est un miracle qu’après toutes ces années un concert comme celui-ci avec les membres originaux du groupe M.S.G. puisse avoir lieu » poursuit le guitariste. « Pouvoir rejouer avec eux sur scène est vraiment enthousiasmant et cela permet aux fans d’avoir une idée de la puissance de la formation originale ». Un grand moment en concert maintenant disponible en plusieurs formats pour tous les fans du groupe.
En pleine tournée avec Eiffel, France Culture contacte ROMAIN HUMEAU (chanteur/ auteur/ compositeur de Eiffel) pour lui proposer l'adaptation d'une oeuvre littéraire de son choix dans le cadre d'une émission sur la radio. Ce dernier choisit 'Vendredi ou les Limbes du Pacifique' de Michel Tournier. Le texte sera réduit par Pauline Thimonier et le récit confié à Denis Lavant qui nous fera pénétrer, avec sa voix unique, dans l'univers de Robinson. En parallèle de la musique instrumentale qu'il a écrite pour le récit, ROMAIN signe et interprète huit chansons qui font écho au texte. Le projet a été enregistré pour partie au studio des Romanos (le studio bordelais des HUMEAU) et dans les studios de la Maison de la Radio avec l'Orchestre National d'île de France et un groupe composé de ROMAIN et deux musiciens, Nicolas Bonnière, fidèle guitariste d'Eiffel et 'bidouilleur', ainsi que le nouveau venu Guillaume Marsault à la batterie. Le projet sera diffusé sur France Culture le dimanche 28 juin et une représentation publique aura lieu le 17 juillet dans le in du Festival d'Avignon, avec Denis Lavant, ROMAIN HUMEAU et les musiciens dans la cour du Musée Calvet. Un programme France Culture de 64' incluant 8 chansons originales et 17 instrumentaux écrits et composés par ROMAIN HUMEAU.
Morgane Ji s'applique à être là où on ne l'attend pas, et c'est sa force. Morgane Ji caractérise de manière flagrante, la fusion d'origines multiples, propre à sa Réunion natale. Un tempérament volcanique, des racines mystérieuses, africaines, indiennes et asiatiques. Concernant son style et son esthétique, et pour parler étiquette, personne n'a réussi jusqu'à aujourd'hui à la mettre dans un pigeonhole. Une alien rock pop dans son pays, un ovni de la world électronique à l'étranger. Sa marque de fabrique, c'est sa signature vocale, polymorphe, rauque, douce, animale. Mystique, guerrière dans l'âme, elle louvoie avec son banjo électrique, entre une drum'n'bass technoïde et les glissés hypnotiques d'un bottle neck sur une guitare. Celle que la presse anglaise a qualifiée de Creole Queen a fait ses premières armes scéniques sur les campus de Norwich, d'East London, au jazz Café de Camden et au Pavilion Theater de Brighton. Au coeur de sa démarche créative, photographie, graphisme et univers sonores oniriques deviennent complémentaires et indissociables. Apres 2 albums autoproduits et plus d'une centaines de concert a l'étranger, Morgane Ji signe avce Aztec Musique et RFI pour son nouvel album Woman Soldier qui symbolise le fighting spirit d'une artiste féminine résolument indépendante et rend hommage aux combats multiples et quotidiens des femmes à travers le monde. POUR CEUX QUI AIMENT Bjork, Ayo...
LE GUITARISTE MICHAEL SCHENKER, CAPTÉ SUR LE VIF EN CONCERT À TOKYO DEVANT 5 000 FANS DÉCHAÎNÉS, AVEC LES CHANTEURS EMBLÉMATIQUES DE M.S.G. (MICHAEL SCHENKER GROUP) Capté sur le vif à Tokyo dans la salle de l’« International Forum » le 24 août 2016, ce concert historique de Michael Schenker voit la participation de plusieurs chanteurs qui ont collaboré avec le guitariste au fil des années : Gary Barden, Graham Bonnet et Robin McAuley. « Beaucoup de temps a passé depuis notre passage au Budokan avec M.S.G. » s’exclame Schenker. « J’avais vraiment le souhait de revenir au Japon pour une grande fête avec les chanteurs originaux des années 80 qui ont vraiment compté pour moi. J’ai toujours eu un public fidèle dans ce pays et cela me tenait à coeur de célébrer avec mes fans plusieurs décennies de carrière ». Ainsi ce sont 5 000 fans qui ont pris d’assaut la salle de spectacle chauffée à blanc et ont été témoins d’une déferlante sonique rock sauvage et énergisante. « C’est un miracle qu’après toutes ces années un concert comme celui-ci avec les membres originaux du groupe M.S.G. puisse avoir lieu » poursuit le guitariste. « Pouvoir rejouer avec eux sur scène est vraiment enthousiasmant et cela permet aux fans d’avoir une idée de la puissance de la formation originale ». Un grand moment en concert maintenant disponible en plusieurs formats pour tous les fans du groupe.
LE GUITARISTE MICHAEL SCHENKER, CAPTÉ SUR LE VIF EN CONCERT À TOKYO DEVANT 5 000 FANS DÉCHAÎNÉS, AVEC LES CHANTEURS EMBLÉMATIQUES DE M.S.G. (MICHAEL SCHENKER GROUP) Capté sur le vif à Tokyo dans la salle de l’« International Forum » le 24 août 2016, ce concert historique de Michael Schenker voit la participation de plusieurs chanteurs qui ont collaboré avec le guitariste au fil des années : Gary Barden, Graham Bonnet et Robin McAuley. « Beaucoup de temps a passé depuis notre passage au Budokan avec M.S.G. » s’exclame Schenker. « J’avais vraiment le souhait de revenir au Japon pour une grande fête avec les chanteurs originaux des années 80 qui ont vraiment compté pour moi. J’ai toujours eu un public fidèle dans ce pays et cela me tenait à coeur de célébrer avec mes fans plusieurs décennies de carrière ». Ainsi ce sont 5 000 fans qui ont pris d’assaut la salle de spectacle chauffée à blanc et ont été témoins d’une déferlante sonique rock sauvage et énergisante. « C’est un miracle qu’après toutes ces années un concert comme celui-ci avec les membres originaux du groupe M.S.G. puisse avoir lieu » poursuit le guitariste. « Pouvoir rejouer avec eux sur scène est vraiment enthousiasmant et cela permet aux fans d’avoir une idée de la puissance de la formation originale ». Un grand moment en concert maintenant disponible en plusieurs formats pour tous les fans du groupe.
Le nouvel album de la folk star norvégienne, mélodies soignées, guitares brillantes et message universel (en anglais) pour la sauvegarde de la Terre : un régal du genre !
Le premier album du producteur Vester Koza, originaire de Manchester : pour les amateurs de Call Super, Aphex Twin, Squarepusher, d'IDM et de mélodies électroniques.
Réédition double LP de « Where Shall You Take Me », le cinquième album de DAMIEN JURADO, à l'occasion des dix ans de sa sortie. On y retrouve des demos inédites ainsi que l'EP «Just In Time For Something» pour la première fois disponible en vinyle.
L'album le plus personnel et émotionnel de la carrière du guitariste de Blues-Rock Lorsque j'ai commencé à écrire cet album, j'ai tout de suite su que ce serait l'un des plus gros défis de ma carrière. Pas par manque de matériel ou d'envie, mais parce que j'ai réalisé que si cet album devait transmettre tout ce que j'avais à dire, alors j'aurais à creuser au plus profond de moi-même et à me confronter à des souvenirs et à des émotions auxquels je n'avais pas envie de faire face. Je devrais être totalement honnête dans mon écriture ou cela ne fonctionnerait pas. Mes chansons traitent de l'isolation, du désespoir, et des heures sombres, mais ce n'est pas un album lugubre pour autant : la plupart des chansons ont un ton positif, un tempo entrainant, sont chargées de guitare et doivent être écoutées fort! Je suis incroyablement fier du résultat et trouve cet album particulièrement inspiré. POUR CEUX QUI AIMENT Popa Chubby, Tommy Castro, Lucky Peterson, Joe Bonamassa
L'intégrale des dix sonates pour violon et basse continue du Premier Livre de sonates de François Francoeur ! Dans son neuvième projet pour Glossa, la claveciniste Mitzi Meyerson s'entoure de ses collègues finlandais Kreeta-MariaKentala (violon) et Lauri Pulakka (violoncelle). Ce nouvel enregistrement est dédié à François Francoeur, musicien membre des Vingt-Quatre Violons du Roi, violoniste du Concert Spirituel puis, sur le tard, co-directeur de l'Opéra de Paris. L'écriture mêle l'élégance française à l'énergie italienne dans un équilibre parfait de ces esthétiques en portant la griffe de Francoeur. Les cantabile tendres et les pastorales bucoliques évoquent un monde en voie de disparition (le musicien allait mourir deux ans avant la Prise de la Bastille), le tout étant rythmé par des danses (presque) sauvages et certains mouvements d'une virtuosité décoiffante.
Pièces espagnoles pour cordes. La famille instrumentale des guitares demeure le truchement ancestral de la musique espagnole, l'accompagnateur des chants profonds et danses rituelles et populaires d'Andalousie et d'autres provinces. Depuis plus d'un siècle, cet instrument est devenu fréquemment une voix parmi d'autres cordes, partenaire en chambre à la manière de Boccherini puis de Paganini, puis ayant pris son essor de soliste à part entière comme soliste (Concerto de Aranjuez de Rodrigo) et pièces de chambre (Ponce, Sor, Tarrega, Albeniz, Granados...). La célèbre guitariste slovaque Miriam RORIGUEZ BRÜLLOVA vient ici rendre hommage à Andrès Ségovia, le commanditaire et créateur du Quintette op.143 de Castlenuovo-Tedesco (1895-1968) en 1950, qui, en concerto, traita la guitare à l'égal du piano et du violon (2° Concerto 'Les Prophètes'). Un florilège peu fréquent de pièces espagnoles pour cordes seules
LE GUITARISTE MICHAEL SCHENKER, CAPTÉ SUR LE VIF EN CONCERT À TOKYO DEVANT 5 000 FANS DÉCHAÎNÉS, AVEC LES CHANTEURS EMBLÉMATIQUES DE M.S.G. (MICHAEL SCHENKER GROUP) Capté sur le vif à Tokyo dans la salle de l’« International Forum » le 24 août 2016, ce concert historique de Michael Schenker voit la participation de plusieurs chanteurs qui ont collaboré avec le guitariste au fil des années : Gary Barden, Graham Bonnet et Robin McAuley. « Beaucoup de temps a passé depuis notre passage au Budokan avec M.S.G. » s’exclame Schenker. « J’avais vraiment le souhait de revenir au Japon pour une grande fête avec les chanteurs originaux des années 80 qui ont vraiment compté pour moi. J’ai toujours eu un public fidèle dans ce pays et cela me tenait à coeur de célébrer avec mes fans plusieurs décennies de carrière ». Ainsi ce sont 5 000 fans qui ont pris d’assaut la salle de spectacle chauffée à blanc et ont été témoins d’une déferlante sonique rock sauvage et énergisante. « C’est un miracle qu’après toutes ces années un concert comme celui-ci avec les membres originaux du groupe M.S.G. puisse avoir lieu » poursuit le guitariste. « Pouvoir rejouer avec eux sur scène est vraiment enthousiasmant et cela permet aux fans d’avoir une idée de la puissance de la formation originale ». Un grand moment en concert maintenant disponible en plusieurs formats pour tous les fans du groupe.
Les 6 Sonatines de Maurice Emmanuel constituent un monument que bien peu d'interprètes visitent. Quelle lacune ! Chacune de ces oeuvres est en soi un monde, où domine l'esprit proprement «ludique » du compositeur, un esprit en totale contradiction avec le visage du musicologue savant que l'on se satisfait à peindre. Emmanuel se plaît à jouer des modes (antiques ou... hindous) pour tisser un canevas harmonique toujours renouvelé et qui annonce des conquêtes ultérieures. Après l'intégrale des mélodies, la musique de chambre et la musique symphonique, voici le legs pianistique de Maurice Emmanuel. Et pour le servir, ce pianiste, incontournable en musique française, Laurent Wagschal, acclamé lors de la parution du disque Pierné voici deux ans. Il enouvelle l'exploit, aérant la texture du discours, imposant du «grand» piano. Le CD est complété par un DVD bonus, évoquant Emmanuel à travers des interviews (Dutilleux...) et des extraits musicaux, notamment avec Laurent Wagschal.
La musicienne électronique expérimentale américaine Katie Gately utilise une pléthore de programmes informatiques pour transformer sa voix en constructions sonores denses et parfois troublantes. Ses compositions imprévisibles vont de l'industriel à des chansons pop ludiques et abstraites, avec un sens de l'humour absurde et une oreille pour le rythme et la mélodie. Elevée à Brooklyn et actuellement basée à Los Angeles, Katie Gately a obtenu un diplôme en production cinématographique et conception sonore de l'Université de Californie du Sud, mais n'a jamais suivi de formation musicale formelle. En 2012, elle a commencé à télécharger ses compositions sur Soundcloud et à la fin 2013, elle avait sorti un EP éponyme de 12 sur Public Information et une cassette EP sur Blue Tapes. En 2015, Katie Gately apparaît sur le LP Fated de Nosaj Thing et remixe la chanson Family de Bjork. Ses deux premiers EP ont été célébrés par NPR, Fact, Quietus, Stereogum, Drowned in Sound, Pop Matters, et bien d'autres.
La musicienne électronique expérimentale américaine Katie Gately utilise une pléthore de programmes informatiques pour transformer sa voix en constructions sonores denses et parfois troublantes. Ses compositions imprévisibles vont de l'industriel à des chansons pop ludiques et abstraites, avec un sens de l'humour absurde et une oreille pour le rythme et la mélodie. Elevée à Brooklyn et actuellement basée à Los Angeles, Katie Gately a obtenu un diplôme en production cinématographique et conception sonore de l'Université de Californie du Sud, mais n'a jamais suivi de formation musicale formelle. En 2012, elle a commencé à télécharger ses compositions sur Soundcloud et à la fin 2013, elle avait sorti un EP éponyme de 12 sur Public Information et une cassette EP sur Blue Tapes. En 2015, Katie Gately apparaît sur le LP Fated de Nosaj Thing et remixe la chanson Family de Bjork. Ses deux premiers EP ont été célébrés par NPR, Fact, Quietus, Stereogum, Drowned in Sound, Pop Matters, et bien d'autres.
Brahms ou la passion de la sérénité Amaury Coeytaux, Raphaël Perraud et Geoffroy Couteau brillent au firmament des musiciens français. Unis par une longue complicité musicale et humaine, ils rendent hommage au plus universel des musiciens romantiques... Leur intégrale des trios pour violon, violoncelle et piano de Johannes Brahms est un accomplissement musical et humain, l'hommage de trois musiciens épris de liberté à un compositeur qui refusa sans cesse le jeu social. Défendre chacun des chefs-d'oeuvre de Brahms dit aussi l'exigence musicale de ces interprètes à travers ce programme. écrit en 1891 sous l'impulsion du fameux clarinettiste Richard Muhlfeld, le Trio pour clarinette rouvre la dernière période créatrice de Brahms, qui avait auparavant décidé de renoncer à la composition. Cette oeuvre est considérée comme faisant partie de ses meilleures pièces instrumentales. Elle est ici sublimée par le talent de Nicolas Baldeyrou.
LE GRAND VOYAGEUR MUSICAL TITI ROBIN UNIT LES SONORITES INDIENNES ET L’INTENSITE DU ROCK Depuis plus de 30 ans, Titi Robin navigue aux confluences des cultures tziganes, orientales et européennes, jouant la guitare, l’oud, le bouzouq et demeurant le compositeur exclusif de ces nombreux projets. Après 20 albums, sa musique change de peau et d’outils avec Rebel Diwana. Pour la première fois, l’artiste pose sa voix sur ses propres mots et utilise la guitare électrique, instrument emblématique de la culture occidentale, tout cela sans rien abdiquer de sa vision et de son approche modale, mélodique et rythmique. Recueil de poèmes acérés et sensuels, Rebel Diwana est en vérité la réaffirmation d’un regard aigu sur le monde qui, dans un même mouvement, en saisit la violence et la beauté. POUR CEUX QUI AIMENT Rodolphe Burger, Hubert-Félix Thiéfaine, Erik Marchand, Faiz Ali Faiz
Depuis le succès des Backyard Babies ou des Hellacopters, la Suède est devenue un véritable réservoir inépuisable de groupes de rock. Crazy Lixx est l'un de ces groupes, qui s'est fait remarquer en 2008 lorsque leur guitariste Vic Zino les a quittés pour rejoindre la plus grosse écurie Hardcore Superstar. Leurs deux premiers opus ont été très bien accueillis par la presse internationale. Leur développement n'est pas le fruit d'un marketing intense ou d'un agent au bras long, mais bel et bien d'une rigueur dans les heures de répétition et tournées incessantes. Ce troisième opus est le plus solide de leur discographie. Hautement chargé en adrénaline, l'album est parsemé de clins d'oeil aux années 80 : Skid Row, Def Leppard (pour les harmonies vocales notamment), Bon Jovi, Crashdiet, Aerosmith, etc. Mais, tout en privilégiant le fun et l'accessibilité, la production est très moderne et efficace, notamment du côté des riffs acérés. A consommer sans modération !
La nouvelle perle du sud de Londres, entre ombre et lumière, pose une voix soul sur des instrus entre hip-hop et lo-fi pour un mélange spirituel et profondément attachant.
A l‘heure d‘une Europe en panne d‘amour, l‘histoire de cette voix enchanteresse venue d‘Écosse prouve que l‘Europe de la musique est bien vivante. En effet, après un exil en famille dans notre Languedoc, c‘est finalement de retour en Grande Bretagne que Fraser Anderson est découvert par le label allemand Membran. Il aura fallu 10 ans à cet orfèvre du folk moderne à la voix enchanteresse pour sortir un album sur un label alors que c‘est son quatrième. Avec des participations aussi emblématiques que Danny Thompson (Basse pour John Martyn, Nick Drake), Dick Pearce (trompette, Ronnie Scott Quintet), le Martin Ditcham (percussions, Sade) et Max Middleton (Rhodes avec Jeff Beck, John Martyn), « Little Glass Box » est un album folk immaculé aux effleurements soul jazz, incorrigiblement tendre et enjoué. Les 12 titres de Little Glass Box s ‘affranchissent sans effort des contraintes du temps et de l’espace pour nous embarquer dans un instant unique et suspendu, comme ont su le faire avant lui, à des époques différentes, Leonard Cohen, Nick Drake, Dave Van Ronk ou encore Ray Lamontagne. Tel un artisan passionné et passionnant cet auteur compositeur conte dans un style folk délicieusement nostalgique ses anecdotes de vie en toute simplicité, jouant sans frime... sans concession... quand l’inspiration se présente... naturellement. N’est-ce pas là la marque des plus grands ?
APRÈS L’ACCUEIL DITHYRAMBIQUE ACCORDÉ À SON SIDE PROJECT BLUES, FINK POURSUIT SA TRAJECTOIRE SANS FAUTE ET NOUS LIVRE UN SUBLIME NOUVEL ALBUM AUTHENTIQUE, INTENSE ET À LA PRODUCTION PARFAITEMENT SOIGNÉE Il y a quelques mois à peine, Fink sortait le Sunday Night Blues Club, un projet parallèle tourné vers le blues. L’album eut un accueil presse dithyrambique. Le très prolifique Fin Greenall revient aujourd’hui avec un nouvel album studio, enregistré avec le producteur Fluud aux manettes. Intense, brut mais avec production soignée, cet album marque un retour en grandes formes pour Fink. Au sujet du Sunday Night Blues Club : Poignant mais néanmoins couillu. LES INROCKUPTIBLES Un bijou postmoderne L’OBS Pour ceux qui aiment : Nick Mulvey, Patrick Watson, José Gonzalez
« J’ai attendu longtemps avant d’écouter les 'Sonate en si mineur' de mes grands prédécesseurs, les Maîtres... tous si différents. Car j’ai très tôt fait de cette oeuvre mon histoire, tant j’étais porté par l’événement que je vivais. Cette Sonate peut se décliner à volonté, selon l’inspiration, le caractère, l’humeur de l’interprète... Elle peut suivre l’instant, le sentiment, ou se tenir debout, noble ! Toutes différentes, elles restent pourtant toutes La Sonate de Liszt. » De la Sonate en si aux transcriptions pour piano de Wagner, le romantisme de Franz Liszt trouve en Roger Muraro un interprète de premier choix. Habitué à penser les accords comme des couleurs, le pianiste nous transporte de l’ombre à la lumière avec un jeu tout en nuances, une énergie rayonnante et une virtuosité prodigieuse. Une exécution bouleversante de simplicité, transcendée par une prise de son de référence pour ce premier enregistrement chez La Dolce Volta.
Après la parenthèse musclée, délicieusement drôle et méchante NARCO TERROR, c'est avec un plaisir proche de la jubilation que je vous annonce le retour de NARROW TERENCE! Les frères Puaux reviennent en quartet, accompagnés de leurs complices Alexandre Viudes et Patrik Lerchmüller, pour nous présenter leur 4ème opus! Au fil des douze nouveaux titres, cet album - mixé par Phil Avril - arpente les influences musicales et visuelles du groupe : : du roman noir de Simenon aux cauchemars gothiques d'un Dracula, de Danny Elfman à John Barry... et un duo avec Troy Von Balthazar - autre référence majeure - pour ponctuer le tout. On ressort de ce 'Rumble-O-Rama' comme d'une salle obscure, un peu ébloui, la tête remplie d'images, où se croisent sirènes et assassins, vampires et filles perdues, explosions de rage et bonaces salvatrices. Un album à leur image : : polymorphe, colérique, grand format.
Le nouvel album de la folk star norvégienne, mélodies soignées, guitares brillantes et message universel (en anglais) pour la sauvegarde de la Terre : un régal du genre !
Cap sur Manchester, le quatuor féminin fait du bruit et ça fait du bien ! PINS c’est 4 filles originaires de Manchester à l’énergie rock et au look 90’s. Avec ce nouvel album Wild Nights, le quatuor confirme son ascension sur la scène indé, comme en témoigne le single Too Little Too Late en ligne depuis quelques semaines accompagné d’un clip soutenu par la marque Saint Laurent. Le morceau débute avec une ligne de basse bien présente mais relativement calme pour évoluer au cours du morceau laissant ainsi la batterie rentrer pour un final explosif. Enregistré par Dave Catching (QOTSA, Eagles of Death Metal), Wild Nights est un bel album de 11 titres à paraître sur le prolifique label Bella Union. Après avoir tourné aux côtés de Warpaint, The Fall ou encore Crocodiles, PINS sera sur scène au printemps 2015.
Une version inédite du Requiem en première mondiale ! 1791 : année chargée pour Mozart qui, lorsqu’on lui commande un requiem, travaille déjà sur La Flûte enchantée et doit bientôt livrer La Clémence de Titus. On connait la suite : la commande remise à plus tard, l’épuisement jusqu’à la mort, une oeuvre laissée inachevée et dont la complétion, après plusieurs sollicitations auprès de différents compositeurs, reviendra à Süssmayr. Cette version s’est imposée peu à peu comme la plus proche des intentions de Mozart mais n’est pas exempte de défauts d’écriture ou d’orchestration. En 2016, un jeune compositeur français, Pierre-Henri Dutron, a convaincu René Jacobs de produire son propre réaménagement du Requiem complété par Süssmayr. Créé avec grand succès lors de cinq concerts européens en novembre 2016, cette révision fait l’objet de son premier enregistrement studio, en exclusivité pour harmonia mundi.
Un retravail post-classique de l'album World Be Gone donne naissance à World Beyond ERASURE, le groupe emmené par Andy Bell et Vince Clarke depuis plus de trente ans, sort son nouvel album, World Beyond via Mute. Ce projet est un retravail post-classique de son précédent album World Be Gone. Pour ce faire, ERASURE s'est entouré d'Echo Collective, un collectif de musiciens post-classique de Bruxelles. Les morceaux ainsi retravaillés prennent une nouvelle dimension, dans une atmosphère songeuse visant à partager leur réflection sur le monde actuel et les récents bouleversements politiques. Malgré leur réputation de groupe à la musique synthpop, cette collaboration est une suite naturelle à l'EP du groupe The Two Ring Circus sorti en 1987 sur lequel figurait déjà plusieurs interprétations orchestrales. POUR CEUX QUI AIMENT Pet Shop Boys, Alphaville, Duran Duran, Jimmy Somerville, Depeche Mode
APRÈS L’ACCUEIL DITHYRAMBIQUE ACCORDÉ À SON SIDE PROJECT BLUES, FINK POURSUIT SA TRAJECTOIRE SANS FAUTE ET NOUS LIVRE UN SUBLIME NOUVEL ALBUM AUTHENTIQUE, INTENSE ET À LA PRODUCTION PARFAITEMENT SOIGNÉE Il y a quelques mois à peine, Fink sortait le Sunday Night Blues Club, un projet parallèle tourné vers le blues. L’album eut un accueil presse dithyrambique. Le très prolifique Fin Greenall revient aujourd’hui avec un nouvel album studio, enregistré avec le producteur Fluud aux manettes. Intense, brut mais avec production soignée, cet album marque un retour en grandes formes pour Fink. Au sujet du Sunday Night Blues Club : Poignant mais néanmoins couillu. LES INROCKUPTIBLES Un bijou postmoderne L’OBS Pour ceux qui aiment : Nick Mulvey, Patrick Watson, José Gonzalez
L'album le plus personnel et émotionnel de la carrière du guitariste de Blues-Rock Lorsque j'ai commencé à écrire cet album, j'ai tout de suite su que ce serait l'un des plus gros défis de ma carrière. Pas par manque de matériel ou d'envie, mais parce que j'ai réalisé que si cet album devait transmettre tout ce que j'avais à dire, alors j'aurais à creuser au plus profond de moi-même et à me confronter à des souvenirs et à des émotions auxquels je n'avais pas envie de faire face. Je devrais être totalement honnête dans mon écriture ou cela ne fonctionnerait pas. Mes chansons traitent de l'isolation, du désespoir, et des heures sombres, mais ce n'est pas un album lugubre pour autant : la plupart des chansons ont un ton positif, un tempo entrainant, sont chargées de guitare et doivent être écoutées fort! Je suis incroyablement fier du résultat et trouve cet album particulièrement inspiré. POUR CEUX QUI AIMENT Popa Chubby, Tommy Castro, Lucky Peterson, Joe Bonamassa
Après la parenthèse musclée, délicieusement drôle et méchante NARCO TERROR, c'est avec un plaisir proche de la jubilation que je vous annonce le retour de NARROW TERENCE! Les frères Puaux reviennent en quartet, accompagnés de leurs complices Alexandre Viudes et Patrik Lerchmüller, pour nous présenter leur 4ème opus! Au fil des douze nouveaux titres, cet album - mixé par Phil Avril - arpente les influences musicales et visuelles du groupe : : du roman noir de Simenon aux cauchemars gothiques d'un Dracula, de Danny Elfman à John Barry... et un duo avec Troy Von Balthazar - autre référence majeure - pour ponctuer le tout. On ressort de ce 'Rumble-O-Rama' comme d'une salle obscure, un peu ébloui, la tête remplie d'images, où se croisent sirènes et assassins, vampires et filles perdues, explosions de rage et bonaces salvatrices. Un album à leur image : : polymorphe, colérique, grand format.
20 ans de musique éclectique, unique, rebelle, toujours novatrice Au début des années 90, le reggae, la dub, la bhangra, le rock et les musiques orientales sont des styles étiquetés et séparés. Cette compilation raconte comment une bande de musiciens, DJs, compositeurs et chanteurs se sont retrouvés pour innover, mixant ces différents genres, poussant les premiers synthés et ordinateurs à leur capacité maximale. TRANSGLOBAL UNDERGROUND est né de ce mouvement. Porté par l’incroyable talent de la chanteuse principale Natacha Atlas, le groupe connait très vite le succès, guidant cette dernière vers une éclatante carrière solo. Pourtant, ils n’ont jamais cessé de collaborer afin de maintenir cette vision de la musique qui explose les frontières et conserve un son si particulier, toujours d’actualité, même 20 ans après. POUR CEUX QUI AIMENT MASSIVE ATTACK, BACHAR MAR KHALIFE, GOTAN PROJECT
Le célèbre concerto pour piano en La mineur de Grieg avec le Bergen Philharmonic, qui créa le concerto et Jean-Efflam Bavouzet en soliste L’interprétation du célèbre concerto pour piano de Grieg par Jean- Efflam Bavouzet était très attendue. Cet enregistrement devient un événement quand on sait que le Bergen Philharmonic Orchestra est l’orchestre qui créa le chef d’oeuvre de Grieg. Placé sous la direction d’Edward Gardner, l’orchestre et le soliste donnent une version passionnée, puissamment romantique, sans oublier la majesté du propos nécessaire à l’interprétation de ce concerto porté par une seule idée : l’émancipation de l’humain et l’expression de ses sentiments les plus hauts. En couplage on trouvera un florilège des plus beaux moments avec choeur et orchestre de l’autre chef d’oeuvre de Grieg, le Peer Gynt, tiré d’un conte traditionnel scandinave.
Joel Hoekstra, identifié par des millions de fans comme le guitariste actuel de Whitesnake, s’était déjà taillé une belle réputation dans le milieu rock grâce à son travail avec Night Ranger ou Trans Siberian Orchestra. Aujourd’hui, entouré d’un casting de toute première classe, il fait paraître chez Frontiers le premier album de son nouveau « side project », Joel Hoekstra’s 13. « Il y a quelques années, j’avais fait paraître trois albums solo principalement instrumentaux et axés sur la guitare. Mais mon souhait actuel était de réaliser cette fois un enregistrement plus élaboré en termes de production, d’arrangements et de composition, dans un genre pour lequel je suis davantage reconnu, le rock mélodique. C’est ainsi que j’ai créé mon propre groupe avec certains de mes musiciens favoris ». Avec à ses côtés des artistes de la trempe de Jeff Scott Soto (chant), Russell Allen (chant), Tony Franklin (basse), Vinny Appice (batterie) et Derek Sherinian (claviers), le guitariste a produit un album rock d’excellente facture, que l’on peut décrire comme la rencontre de Dio, pour les passages les plus « heavy », et de Foreigner, pour le côté plus « smooth ». Cet album, qui traite par ailleurs des grandes étapes de l’existence et de ses vicissitudes, a été conçu avant que Joel Hoekstra rejoigne Foreigner et a reçu le soutien entier de David Coverdale.
Parfois, les projets les plus intéressants sont ceux créés dans des circonstances inhabituelles. C’est la preuve pour celui du groupe Down’N’Outz, mené par le chanteur des Def Leppard, Joe Elliott, secondé par le groupe The Quireboys. En 2009, ils se sont formés lors du concert légendaire d’hommage à Mott The Hoople au Hammersmith Odeon. Joe Elliott (au chant, à la guitare et au piano), est accompagné des membres de Quireboys : Paul Guerin à la guitare, Guy Griffin, également à la guitare, Keith Weir au piano, Phil Martini à la batterie, et pour finir Ronnie Garrity à la basse, membre de Raw Glory. S’ensuivit l’accueil enthousiaste du public, cette formation d’une nuit a créé un projet d’une vie qui sort une nouvelle pépite. Le groupe a déjà sorti deux albums uniquement en Angleterre et aux USA. Ces albums sont entièrement construits à partir de cover de musiques d’artistes tels que Mott The Hoople, British Lions et Ian Hunter.
Au mitan de l’année 2014, George Lynch et Oni Logan se rencontrent en studio et conviennent d’enregistrer un nouvel album studio de Lynch Mob. Voici donc Rebel, leur second opus pour Frontiers. Sur cet enregistrement, on retrouve les musiciens vétérans Jeff Pilson à la basse (ex Dokken et Dio, actuellement avec Foreigner) et Brian Tichy à la batterie (Whitesnake, Billy Idol, Slash, etc.); cette section rythmique assure une solide fondation à cet édifice qui résonne tel un véritable wall of sound. Chris « The Wizard » Collier, sorcier de la production, est aux manettes pour l’ensemble du processus d’enregistrement. Le timbre naturel des instruments est ainsi respecté et les parties vocales sonnent de façon très aérée et réaliste. Conclusion : le duo Lynch-Logan, très bien épaulé, propose un hard rock stylé 80’ d’excellente facture avec une production ample teintée de sonorités groove et blues.
Depuis le succès des Backyard Babies ou des Hellacopters, la Suède est devenue un véritable réservoir inépuisable de groupes de rock. Crazy Lixx est l'un de ces groupes, qui s'est fait remarquer en 2008 lorsque leur guitariste Vic Zino les a quittés pour rejoindre la plus grosse écurie Hardcore Superstar. Leurs deux premiers opus ont été très bien accueillis par la presse internationale. Leur développement n'est pas le fruit d'un marketing intense ou d'un agent au bras long, mais bel et bien d'une rigueur dans les heures de répétition et tournées incessantes. Ce troisième opus est le plus solide de leur discographie. Hautement chargé en adrénaline, l'album est parsemé de clins d'oeil aux années 80 : Skid Row, Def Leppard (pour les harmonies vocales notamment), Bon Jovi, Crashdiet, Aerosmith, etc. Mais, tout en privilégiant le fun et l'accessibilité, la production est très moderne et efficace, notamment du côté des riffs acérés. A consommer sans modération !
En produisant « Reciprocity », Olivier Le Goas réalise un rêve de longue date. Avec Kevin Hays au piano, Nir Felder à la guitare et Phil Donkin à la contrebasse, il s'entoure de musiciens internationalement connus et forme avec eux le quartet idéal pour interpréter ses compositions. Le batteur compose ses morceaux au piano, bien qu'il n'ait jusqu'à présent jamais utilisé cet instrument dans ses albums. Pour la première fois, il l'intègre donc à ses compositions à travers le jeu de Kevin Hays. A quatre, ils font de Reciprocity un album indispensable. Olivier Le Goas compose avec un véritable sens de la musicalité, du lyrisme, et un goût prononcé du détail. Il donne aux musiciens un réel espace de liberté, leur permettant de s'épanouir au fil des morceaux. Un album mélodique, dans lequel Olivier Le Goas joue délicatement avec les contrastes, entre groove, blues et folk.
Le trio de Los Angeles revient avec un nouvel album au hip-hop radical, insoumis et aventureux La visionnaire de science-fiction Octavia Butler a déclaré un jour qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil, mais il y a de nouveaux soleils. L'aphorisme pourrait s'appliquer à n'importe quelle forme d'art où les contours de base sont fixés, mais l'appétit pour l'innovation reste infini. Entrez dans Clipping, les maîtres du genre de la fiction flash dans un monde hip-hop solidement enraciné dans les mémoires. Si les confessionnaux à la première personne règnent historiquement, le trio de rappeurs Daveed Diggs et les producteurs William Hutson et Jonathan Snipes ont passé la dernière demi-décennie à terraformer leur propre terrain, rempli de labyrinthes conceptuels et de chaos industriel. Ils ont conjuré une émanation mutante de l'avenir, construite à des angles bizarres sur les fondations sacrées du passé. Leur troisième album pour Sub Pop, There Existed an Addiction to Blood, les trouve en train d'interpréter une autre secte de rap à travers leur lentille singulière. Il s'agit de la transmutation de l'horreur par le clip, un sous-genre volontairement absurde et créativement significatif qui a fleuri au milieu des années 90. C'est un noyau d'horreur qui absorbe le sang passé et le replante dans un organisme différent, immortel mais dangereusement vivant. C'est un nouveau soleil, aveuglément lumineux et construit pour brûler vos rétines.
Le trio de Los Angeles revient avec un nouvel album au hip-hop radical, insoumis et aventureux La visionnaire de science-fiction Octavia Butler a déclaré un jour qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil, mais il y a de nouveaux soleils. L'aphorisme pourrait s'appliquer à n'importe quelle forme d'art où les contours de base sont fixés, mais l'appétit pour l'innovation reste infini. Entrez dans Clipping, les maîtres du genre de la fiction flash dans un monde hip-hop solidement enraciné dans les mémoires. Si les confessionnaux à la première personne règnent historiquement, le trio de rappeurs Daveed Diggs et les producteurs William Hutson et Jonathan Snipes ont passé la dernière demi-décennie à terraformer leur propre terrain, rempli de labyrinthes conceptuels et de chaos industriel. Ils ont conjuré une émanation mutante de l'avenir, construite à des angles bizarres sur les fondations sacrées du passé. Leur troisième album pour Sub Pop, There Existed an Addiction to Blood, les trouve en train d'interpréter une autre secte de rap à travers leur lentille singulière. Il s'agit de la transmutation de l'horreur par le clip, un sous-genre volontairement absurde et créativement significatif qui a fleuri au milieu des années 90. C'est un noyau d'horreur qui absorbe le sang passé et le replante dans un organisme différent, immortel mais dangereusement vivant. C'est un nouveau soleil, aveuglément lumineux et construit pour brûler vos rétines.
La BO du drame historique de Akira Kurosawa en version LP. Hayasaka signe une composition plutôt symphonique pour l’un des films japonais les plus célèbres dans le monde. Edition spéciale en vinyle 180grammes.
Pour son deuxième album sur Chandos, le jeune Ferio Saxophone Quartet présente un ensemble unique d'arrangements marquants du répertoire baroque, de Corelli à Handel en passant par Bach.
Le groupe Mama Kaya chante pour les plus grands de la famille. Vocal et instrumental à souhait, textes poétiques ou nostalgiques, ce disque plein de couleurs tourne comme une ronde de chansons.
Ripples de Malia, est une relecture blues et acoustique de son album de 2004 Echoes Of Dreams En 2004, la voix jazzy pleine de soul de la chanteuse Malia ensorcelait le public et la critique avec un album resté longtemps un favori, intitulé Echoes Of Dreams. L'album présenté ici n'est pas un remake mais la nouvelle version de titres extraits de l'album de 2004, dans un format musical complètement différent. Pour rendre un hommage sincère à ses racines africaines, Malia a choisi de donner à cette nouvelle version le son d'un blues profond, gorgé de soul qui met en valeur plus encore la force et la passion véhiculées par sa voix puissante. Le pianiste Alexandre Saada se fait l'accompagnateur et l'arrangeur subtil de cette aventure musicale qui emporte au loin la version initiale, comme les vagues sur l'océan... ripples... POUR CEUX QUI AIMENT Nina Simone, Terry Callier
L’attente d’un DVD live de VANDEN PLAS va enfin cesser ! Après leur seul et unique « Spirit of live », enregistré à Paris (Elysée Montmartre) et sorti en 2000, le groupe sort « The Seraphic Live Works ». Nul besoin de prouver la qualité de leurs performances scéniques pour ce groupe de prog-metal, notamment après des tournées dans de nombreux pays et une apparition sur le Prog Power Festival à Atlanta en 2011. Raison pour laquelle les VANDEN PLAS ont décidé de partager une nouvelle fois leur expérience scénique avec leurs fans... « The Seraphic Live Works » contient un CD et un DVD en édition limitée. Il met en scène un groupe à l’apologie de sa notoriété, avec un public euphorique face à eux. L’énergie qui découle de se live va marquer les esprits éternellement ! A ne pas rater : La version de onze minutes de « Silently » est une démonstration explosive de Prog-Metal !
La tradition et la modernité, le corps et l'âme, ces forces opposées sont précisément la matière première du clarinettiste Rolf Khun, patriarche du jazz libre européen Rolf Khun a d'abord été connu par le biais de son frère le pianiste Joachim Khun, avec qui il incarne le jazz libre européen. Avec cet enregistrement Yellow & Blue Rolf Khun continue, à 88 ans, à défricher de nouveaux territoires : ici il revisite des ballades éternelles dans un format qui intègre le piano poétique de Franck Chastebier, la basse subtile de Lisa Wulff et les percussions brillantes de Tupac Mantilla. Sur le choix de ce répertoire, Rolf Khun s'explique en toute simplicité : J'ai choisi quelques-unes de mes ballades préférées pour ce disque, sans aucun effet de mode, mais parce qu'elles sont éternelles et poignantes. POUR CEUX QUI AIMENT Joachim Kuhn, Vienna Art Orchestra, Tim Berne
Go big or go home est une phrase que nous avons tous murmurée, criée ou entendue plusieurs fois dans notre vie. Pour les hard rockers suédois Crashdiet, c'est l'expression phare de leur motivation depuis leurs premiers pas au début des années 2000. Le groupe a connu des turbulences dans sa carrière, avec des décès, des changements de line-up, et une histoire d'abus de substances qui ont fait rougir certains hard rockers légendaires des années 80. Cependant, les membres de Crashdiet sont aussi connus pour se relever et retourner au combat à chaque fois. Leur mélange indéniable de rock des années 80 et d'éléments punk leur a permis de se faire un nom dans la renaissance du genre sleaze et glam (ou hair metal). En septembre 2019, ils sortiront leur cinquième album studio Rust, suivi d'une tournée européenne avec le groupe norvégien The Cruel Intentions et les suédois Highride.
Parmi les artistes qui ont cotoyé Benjamin Britten, un personnage hors du commun a focalisé l'attention du compositeur anglais : Mstislav Rostropovitch. L'entente qui s'établit entre les deux hommes aboutit à la création d'une sonate pour violoncelle et piano donnée le 7 juillet 1961 au Festival d'Aldeburgh, et de la Symphonie pour violoncelle et orchestre que Rostropovitch joua en première audition dans la grande salle du conservatoire de Moscou le 12 mars 1964. Le musicien russe a raconté avec son humour coutumier les circonstances de la création des 3 Suites pour violoncelle de son illustre ami britannique : «[...] Britten devait me présenter à la princesse Mary (soeur de la reine mère) qui vivait au château d'Harewood dans le Yorkshire. Je décidai que je devais faire une révérence avec rotation à 360° et génuflexion - à peu près ce que j'avais vu faire dans les ballets de Tchaikovsky au Bolchoï. Benjamin, effrayé à l'idée de tant d'extravagance, passa la majeure partie du voyage à tenter de m'en dissuader. [...] Juste avant d'arriver à Harewood, nous nous arrêtâmes à Lincoln pour déjeuner. Britten était dans un état de quasi-panique. C'est alors que j'eus un éclair de génie. Je me saisis d'un menu du restaurant et y rédigeai un contrat moitié en allemand, moitié en charabia qui débutait ainsi : «Je soussigné, Benjamin Britten, en échange de la suppression de la révérence que Slava devait faire à Son Altesse Royale, m'engage à lui écrire trois grandes oeuvres pour violoncelle.» Il signa et sous peu remplit son contrat : c'est ainsi que virent le jour trois oeuvres de génie, les trois Suites pour violoncelle seul.» Après les suites de Bach, les suites de Britten sont le deuxième sommet auquel les violoncellistes doivent se mesurer dans leur vie. Véritables chefs-d'oeuvre de musicalité nécessitant une technique plus qu'exigeante, ces trois monuments font partie de ces morceaux qu'on met une vie à peaufiner. Le jeune Antoine Pierlot s'est lancé à l'ascension de ces crêtes et nous offre sa grande virtuosité dans ce programme enregistré live aux Flâneries Musicales de Reims. Il fait sonner son instrument aussi bien dans l'ample déclamation ouvrant la Suite n°2 que dans les pizz nerveux de la «serenata» de la Suite n°1, ou dans les ricochets galopants, pleins de noblesse ibérique, de la «marcia». Antoine Pierlot triomphait en 2009 dans le cloître Saint-Remi de Reims avec les trois suites de Bach. La maîtrise de son instrument et son extrême musicalité ne sont plus à vanter. La filiation de Bach à Britten est évidente. Antoine Pierlot n'a aucun mal à nous en convaincre.
Doomsquad a commencé en 2010 lorsque les frères et soeurs Trevor, Jaclyn et Allie Blumas ont enregistré leurs premiers morceaux dans un style folk artisanal. La fratrie a ensuite très vite fait la découverte de la trance et du beatmaking éléctronique. Leur jeune projet, porté par leur fascination pour la culture dance et les rythmes, a vite fleuri en un vrai projet artistique. Depuis, le trio canadien est passé par une techno aux atmosphères sombres et méditatives avec leur premier abum Kalaboogie, puis s’éloignant de leurs origines avec l’EP Pagentry Suite. On voit alors apparaître des synthés disco agrémentés de beats inspirés des musiques africaines contrastant avec des voix franches et des paroles tranchantes sur les thèmes de la myoginie ou du consumérisme. Cette année sortira Total Time, le second album du groupe, écrit et enregistré dans le désert du Nouveau-Mexique. Le groupe revient ici à ses origines et offre des beats sombres entrecoupés de chants incantatoires et hypnotiques. Les titres ont été enregistrés avec de nombreux collaborateurs et tout particulièrement les jumeaux Jesse et Josh Hasko (North America) qui intègrent de surcroit la formation live de Doomsquad. Imaginées pour emmener l’auditeur à travers une expérience de possession du temps, d’intemporalité, les chansons de Total Time sont également faites pour le pousser sur la piste de danse.