De l'eau a coulé sous les ponts depuis l'époque où le DJing et la production ne constituaient pour TODDLA T que de simples hobbies. En 2011, à l'heure de la sortie de son second album « Watch Me Dance », le jeune anglais officie régulièrement sur la BBC1, a produit les chansons de certaines des plus grandes étoiles de la scène urbaine britannique TINCHY JAMMER, BASY, ROOTS MANUVA, MS DYNAMITE), tourne à travers le monde entier en tant que DJ, possède une flopée de remixes à son actif (HOT CHIP, GYPTIAN, GORILLAZ, MAJOR LAZER, pour ne citer qu'eux) et a récemment fondé son propre label : Girls Music. TODDLA T est un DJ faisant désormais incontestablement partie de la cour des grands. « Watch Me Dance » est un grand pas en avant pour TODDLA T. L'album contentera autant les fans du premier opus « Shinky Shinky » que les milliers de clubbers encore étrangers à ses productions. Ce chef d'oeuvre de dubwise et de street-soul réunit par ailleurs les collaborations prestigieuses de ROOTS MANUVA, SKREAM, MS DYNAMITE, ROSS ORTON, WAYNE MARSHALL, DONAEO, ROISIN MURPHY et SHOLA AMA.
De l'eau a coulé sous les ponts depuis l'époque où le DJing et la production ne constituaient pour TODDLA T que de simples hobbies. En 2011, à l'heure de la sortie de son second album « Watch Me Dance », le jeune anglais officie régulièrement sur la BBC1, a produit les chansons de certaines des plus grandes étoiles de la scène urbaine britannique TINCHY JAMMER, BASY, ROOTS MANUVA, MS DYNAMITE), tourne à travers le monde entier en tant que DJ, possède une flopée de remixes à son actif (HOT CHIP, GYPTIAN, GORILLAZ, MAJOR LAZER, pour ne citer qu'eux) et a récemment fondé son propre label : Girls Music. TODDLA T est un DJ faisant désormais incontestablement partie de la cour des grands. « Watch Me Dance » est un grand pas en avant pour TODDLA T. L'album contentera autant les fans du premier opus « Shinky Shinky » que les milliers de clubbers encore étrangers à ses productions. Ce chef d'oeuvre de dubwise et de street-soul réunit par ailleurs les collaborations prestigieuses de ROOTS MANUVA, SKREAM, MS DYNAMITE, ROSS ORTON, WAYNE MARSHALL, DONAEO, ROISIN MURPHY et SHOLA AMA.
A la découverte d’une jeune pianiste virtuose, Sonya Bach La pianiste coréenne Sonya Bach a été une élève de Lazar Berman et Alicia de Larrocha. Elle est aujourd’hui une artiste de la marque Steinway, portée par une carrière internationale et un large répertoire de concertos, de Liszt à Gershwin, avec de nombreuses créations contemporaines à son actif. Ce disque réunit des oeuvres avec orchestre de J. S. Bach avec l’English Chamber Orchestra, les concertos pour clavier (BWV1052 à 1058) couplés avec les Concertos Italiens (BWV971) au piano seul. Ce programme a été choisi pour une tournée mondiale de concerts avec le Japon et l’Europe en Décembre 2017.
Le chef d'orchestre Kirill Karabits, digne héritier de Lyatoshynsky Ayant absorbé la musique traditionnelle russe et le romantisme de l'Europe occidentale de la fin du XIXe siècle, le compositeur ukrainien Lyatoshynsky a façonné sa propre voix. Influencé par les mouvements modernistes du XXe siècle comme l'expressionnisme et la musique populaire ukrainienne, il est devenu un véritable porte-parole pour sa patrie. Deux pièces maîtresses. La Symphonie n°3, dont Lyatoshynsky dut réécrire le final qui avait soulevé des objections de la part des autorités soviétiques et la ballade symphonique Grazhyna, composée pour célébrer le centenaire de la mort du grand poète polonais, Adam Mickiewicz (1798-1855).
En couplage le maître et l’élève de la musique symphonique russe, défendus par les meilleurs avocats. Le maître et son élève (aspirant?)?. Péché de jeunesse pour l’auteur de Shéhérazade, alors qu’il était officier de marine, sa symphonie use d’une impeccable rhétorique, digne du modèle ‘militaire’ haydnien mais disposant du matériel le plus récent. Son cadet rédige sa copie avec application. Sa démarche est certes plus relâchée mais les ‘da capo’ sont intégralement exécutés. Il n’est que l’essai ad libitum, un scherzo ‘fantastique’, qui déçoit par son peu de rigueur métronomique... Juxtaposées, pour la première fois depuis un siècle, les pièces à conviction sont défendues par les meilleurs avocats.
En 1971, HERVE LAMARRE, qui vient de terminer le tournage en Suède du film Le mariage collectif songe à JEAN PIERRE MIROUZE pour la BO de son film qui prétend faire l'apologie de la vie en communauté et de la liberté sexuelle mais qui en réalité est un navet un peu confus. Pour trouver les fonds nécessaires à sa réalisation, JP MIROUZE se rend chez Bagatelle, éditeur parisien. Au cours du rendez-vous, il pianote la mélodie de Together. Ces quelques notes suffisent à convaincre l'éditeur de financer l'enregistrement de la B.O. BARRY GREEN est alors recruté, sur audition, pour interpréter le générique. Les sessions sont expédiées en une semaine et Jean-Pierre bénéficie du soutien des meilleurs musiciens de l'époque comme JEAN-PIERRE SABAR, organiste de talent, qui sera pour beaucoup dans le succès futur du morceau Sexopolis. A l'issue de ces sessions, 9 morceaux voient le jour. Bagatelle se met alors en quête d'un label pour sortir la B.O. Une poignée de test-pressing sont donc édités, sur de simples acétates. Les morceaux que vous pouvez entendre sur cet album proviennent d'un de ces acétates, retrouvé, donc, en juillet 2010 dans une décharge. Finalement AZ qui accepte de sortir un 45T avec en Face A, le morceau Together présenté comme le « tube » du film, et en face B Sexopolis, considéré comme un instrumental bouche-trou. La sortie du disque passe évidemment totalement inaperçue, avant que le single ne soit redécouvert au début des années 2000 - grâce, ironie du sort - au morceau Sexopolis, et ne devienne le Graal pour les collectionneurs de musique de film du monde entier. Évidemment, impossible de savoir comment l'un des acétates gravés en 1971 a pu finir dans une décharge en 2010. Peu importe. Voilà enfin, quarante ans plus tard, la B.O. intégrale du Mariage Collectif enfin disponible.
Depuis sa très jeune enfance, la violoniste japonaise Midori joue Bach. Comme elle le dit elle-même, jouer Bach est un apprentissage permanent et en murissant en soi, cette musique devient un refuge. Voyageuse infatigable, Midori a joué Bach dans tous les contextes : pour des réfugiés dans des camps, dans des unités de soins intensifs à l’hôpital, dans des lieux de culte, à des célébrations du souvenir et bien sûr, dans les plus grandes salles de concert du monde. A chaque fois, comme elle le dit à nouveau : « L’interprète et l’auditeur sont transportés par une oeuvre plus grande que la vie.»
Neuf ans ! La Sonate D.664 ? La belle ouvrage d'un compositeur écrivant encore à l’ombre du géant Beethoven; neuf ans plus tard, Schubert, à peine trentenaire, livre, déjà, son ultime Sonate (D.960), quelques semaines avant de disparaître, emporté par la syphilis. Neuf années seulement séparent deux extrémités de sa produc..on, mais il faudra des dizaines et des dizaines d’années pour que ces chefsd’oeuvre soient considérés au même..tre que les dernières symphonies de Mozart ou l’opus 132 ! Ce..e musique est à présent chérie par les interprètes d’aujourd’hui - à l’image de Javier Perianes, de retour chez Schubert après un premier volume remarquable - et plébiscitée par le public !
Le 1er album du groupe de rock français réédité en vinyle pour la première fois depuis sa sortie en 1984 ! OTH est un groupe phare du rock français, qui a laissé une trace indélébile dans le milieu. Formé en 1977, OTH a en effet influencé de nombreux groupes comme par exemple les Sheriff, bien qu'il ne fasse pas vraiment partie de la mouvance punk; il s'agit davantage d'un rock gras et efficace. Mêmes les paroles pourtant sociales conservent une bonne dose d'humour, et ne se prennent pas au sérieux. 1er opus plein de fougue et d'une maturité exemplaire, Réussite restera à jamais le meilleur manifeste d'OTH. POUR CEUX QUI AIMENT Parabellum, Les Sheriff, Les Naufragés, Les Rats
NADA SURF est bien sûr connu pour ses tubes Popular et Always Love pour ne citer qu'eux. Mais c'est aussi l'un des groupes US qui a été le mieux adopté par les français. Sur ce nouvel album, MATTHEW CAWS, DANIEL LORCA et IRA ELIOTT nous offrent un album plein de spontanéité, de fraicheur et d'inventivité. Une efficacité nonchalante et naturelle dont seul NADA SURF a le secret. A l'image de Waiting For Something ou Looking Through, véritables tubes pop, le trio de New York nous offre l'un des meilleurs albums de sa brillante discographie. The Stars Are Indifferent To Astronomy montre toute la sérénité du groupe qui après 15 ans de carrière reste toujours une référence pop américaine.
NADA SURF est bien sûr connu pour ses tubes Popular et Always Love pour ne citer qu'eux. Mais c'est aussi l'un des groupes US qui a été le mieux adopté par les français. Sur ce nouvel album, MATTHEW CAWS, DANIEL LORCA et IRA ELIOTT nous offrent un album plein de spontanéité, de fraicheur et d'inventivité. Une efficacité nonchalante et naturelle dont seul NADA SURF a le secret. A l'image de Waiting For Something ou Looking Through, véritables tubes pop, le trio de New York nous offre l'un des meilleurs albums de sa brillante discographie. The Stars Are Indifferent To Astronomy montre toute la sérénité du groupe qui après 15 ans de carrière reste toujours une référence pop américaine.
Une production soignée en hommage à la violoncelliste russe légendaire Zara Nelsova, à l’occasion du centenaire de sa naissance Deuxième programme commémorant le centenaire de la violoncelliste Zara Nelsova née au Canada de parents russes. Il rassemble une sonate romantique russe et des chefs-d’oeuvre modernes pour violoncelle seul qui ont révolutionné la littérature dédiée à cet instrument : nouveaux modes d'attaque des cordes (sur le chevalet, sur la touche, harmoniques composées, pizzicati de la main gauche, trémolos, trilles, accords décalés...) sans se départir d'une continuité mélodique et rythmique inconnue jusqu’alors. Un témoignage sur l’exceptionnel pouvoir de séduction de son Stradivarius de 1726.
D Morton Feldman : le magicien du temps. Morton Feldman (1926-1987), compositeur américain, était originellement pianiste et cela n'est sans doute pas étranger au fait qu'il ait écrit, entre 1948 avec « Illusions » et 1986 avec « For Stefan Volpe », pas moins de quarante-sept pièces pour piano seul ou pour plusieurs pianos, sans compter évidemment les oeuvres pour piano et autres instruments. Les deux oeuvres présentes sur ce double album représentent les deux extrêmes de cette longue série puisque « Piano Piece » est de 1952 tandis que « Triadic Memories » date de 1981. La présence d'une courte pièce à coté de Triadic Memories, d'une durée d'une heure quarante, tient au fait que la collection Cuicatl souhaite inclure des oeuvres abordables techniquement et donc susceptibles d'être jouées par un grand nombre de musiciens et en particulier les élèves des Conservatoires. Ces deux oeuvres sont interprétées par Pascale Berthelot, pianiste très engagée dans la création musicale contemporaine.
« La Maroc est un superbe endroit pour les musiciens et je ne cesse de le dire autour de moi. A titre personnel, je dirais sans hésiter que c'est l'un de mes endroits préférés dans le monde pour jouer. » Ce nouvel album en concert, enregistré au Maroc en 2009 (Rabat), est une rencontre au sommet entre plusieurs cultures et religions. De son propre aveu, cette troisième visite d'Al Di Meola dans le Royaume est l'un des sommets du guitariste en concert, ce que laisse entendre les nombreuses ovations du public tout acquis à la cause de la légende vivante et de ses nombreux invités, dont plusieurs sont originaires du Maroc. Après 40 années de carrière marquées par une fusion entre jazz, rock puis influences latines ainsi que la réinvention des genres, la technique sophistiquée d'Al Di Meola et son ébouriffante virtuosité s'expriment ici à travers toutes sortes de guitares, l'artiste y mêle ainsi les sonorités douces et chaudes des cordes nylon à celles envoûtantes de l'accordéon ou de l'oud. Une symphonie éclatante de sons et de couleurs pour un concert vibrant et enthousiasmant. POUR TOUS CEUX QUI AIMENT : Return To Forever, Chick Corea, Stanley Clarke, John McLaughlin Paco Di Lucia, The Guitar Trio, Allan Holdworth, Pat Metheny Jean-Luc Ponty, Mahavishnu Orchestra, Larry Carlton, Billy Cobham Weather Report, Jaco Pastorius, John Scofield, Lee Ritenour, etc.
Le 15 juillet marquera le retour triomphal de PET SHOP BOYS avec leur nouvel album studio «ELECTRIC», le premier à paraître sur leur propre label X2 (en collaboration avec Kobalt Label Services). Pour l'occasion, le groupe aux 50 millions d'albums vendus dans le monde s'est associé au producteur STUART PRICE (MADONNA, NEW ORDER) pour enregistrer huit morceaux originaux et une reprise de BRUCE SPRINGSTEEN, «The Last To Die». Enchaînant les tubes en puissance, ce nouvel opus combine à la perfection nappes de synthé vintage et beats phénoménaux. LES LÉGENDES DE LA DANCE MUSIC SONT DE RETOUR AU SOMMET DE LEUR FORME, PRÊTS À ENFLAMMER LE DANCEFLOOR !
Bobby Kimball est un chanteur de pop/rock iconique notamment connu pour être le chanteur de Toto. C’est la voix si reconnaissable de Bobby Kimball qui leur avait donné la teinte dont chacun se souvient. Il a fait partie du groupe de 1977 à 1984, puis l’a rejoint à nouveau de 1998 à 2008. Après un premier album solo en 1994 puis un autre en 1996 avec la participation de John Zaika, ce nouvel opus est un nouvel aperçu du talent de Bobby Kimball. Son rock mélodieux, ses arrangements polyphoniques et ses sons demeurent uniques, son esprit et sa voix inimitables. Pour notre plus grand bonheur.
BIG FOUR / JULIEN SORO : LA JEUNE GARDE DU JAZZ FRANÇAIS Seven Years, quatrième album du quartet Big Four emmené par le saxophoniste Julien Soro, entend célébrer sept années de fructueuses collaborations, d’explorations musicales collectives mêlées à autant de moments de vie. Et pour l’occasion, quoi de mieux que de convier à la fête le talentueux Quentin Ghomari, fer de lance du quintet Papanosh et collègue dans le grand ensemble Ping Machine ? Autour d’un répertoire collaboratif alimenté par chacun des musiciens, le trompettiste apporte un nouveau souffle et fait naître une nouvelle voix dans le débat. L’âge de raison est aussi le moment d’assumer certaines ambitions, dont celle de l’écriture d’une suite pour Julien Soro : Temps Libre. Quatre mouvements qui prennent la forme de métaphores des instants libres qui rythment notre existence : le rêve, la marche, la course et la danse. Il était primordial pour Big Four d’enregistrer ce nouveau disque ‘’live’’ pour graver une énergie immédiate, faire transpirer les complicités et donner à entendre le lâcher prise des musiciens dans cet exercice ‘’sans filet’’. Une forme de nostalgie aussi se dévoile à l’écoute de ce nouvel opus, à l’idée de se voir grandir et accumuler les années. Mais au-delà demeure un désir toujours aussi intact : celui de faire de la musique un terrain de jeu, d’expression libre et d’épanouissement.
De l’ombre à la lumière, telle est la courbe émotionnelle que dessinent les Sonates pour violon et piano de Sergeï Prokofiev, publiées dans les années 1940, intense période de création pour le musicien russe qui travaille alors à son ballet Cendrillon et sa Cinquième Symphonie. La violoniste Alexandra Conunova, lauréate du prestigieux concours Tchaïkovski en 2015, et le pianiste Michael Lifits font une lecture engagée de ces deux partitions de Prokofiev. Véritable synthèse de son style, ces sonates sont caractérisées par un classicisme formel subverti par une virtuosité flamboyante. Leur lyrisme, rongé par l’ironie savoureuse et mordante d’un langage moderne, fruit d’une vision critique du monde, n’en est que plus poignant.
Solenne Païdaissi parcourt le monde avec son violon. Étudiante à Nice, Genève, Londres, Hambourg, puis Philadelphie, elle est lauréate de nombreux concours internationaux à Hanovre, Sion, Gyengnam, Kiev, Varsovie, et remporte le concours international Jacques Thibaud en 2010. Pour ce premier récital pour le label Aparté, elle a choisi de poser ses valises à l’est pour un programme narratif autour de deux compositeurs : Karol Szymanowski et Igor Stravinsky. Avec les Mythes op. 30 (1915) aux titres inspirés des légendes de la Grèce antique, La Fontaine d’Aréthuse, Narcisse, Dryades et Pan, Szymanowski déclare avoir créé un nouveau mode d’expression pour le violon. On y entend la nymphe Aréthuse métamorphosée en fontaine pour échapper aux avances d’un dieu amoureux, le reflet de Narcisse dans l’eau claire, les sarcasmes de Pan... Avant la guerre, Szymanowski avait loué un appartement à Vienne, ville dont la vie culturelle lui avait paru étriquée et suffocante. Les Trois Caprices de Paganini op. 40 (1918) est un commentaire désabusé sur cette ville, et sur Paganini. Le Divertimento sur le Baiser de la fée est une suite composée sur le ballet de Stravinsky, écrite en hommage à Tchaïkovski auquel il emprunte des thèmes de certaines oeuvres de jeunesse. Elle s’inspire du conte d’Andersen La Reine des neiges. Avec la suite italienne Pulcinella, Stravinsky métamorphose la musique de Giovanni Pergolesi, inaugure le style néo-classique et raconte les aventures amoureuses d’un jeune napolitain du nom de Pulcinella (Polichinelle). Solenne Païdassi signe ici un carnet de voyage sur l’imaginaire slave, fantasque et sensuel, à écouter entre deux lectures.
Un grand classique musical (oeuvre intégrale) raconté aux enfants. Des comédiens se mêlent à l’orchestre symphonique et font revivre pour nous l’histoire de L’apprenti sorcier, telle que l’ont conçue Goethe et Paul Dukas ! Cela se passait dans un temps où les sorciers et les magiciens faisaient la loi sur la terre. Nul ne pouvait rien sans leur aide, par contre, eux pouvaient tout... Et les hommes, qui faisaient parfois appel à leurs services, avaient pour eux le plus profond respect... tout en les craignant plus que la foudre ou les maladies les plus terribles... C’est que les sorciers, comme les magiciens, pouvaient aussi faire le mal, si on avait le malheur de leur déplaire...
L’Orchestre du XVIIIe Siècle continue le voyage musical vibrant entrepris par son fondateur, Frans Brüggen, avec des chefs invités. L’orchestre aborde la puissante Missa Solemnis de Beethoven avec Daniel Reuss, déjà précédé d’un im-mense respect sur ce répertoire en enregistrant de nombreuses oeuvres chorales à la tête de la Cappella Amsterdam. Ce fantastique choeur hollandais possède toutes les qualités, particulièrement l’agilité vocale et un sens dramatique aigu, pour aborder cette oeuvre glorieuse et solennelle. De son côté, L’Orchestre du XVIIIe Siècle sait interpréter Beethoven sur instruments d’époque, comme le montrent déjà le cycle des symphonies interprétées en concert, les concertos pour piano et ou encore Fidelio. Ce bagage est ab-solument nécessaire pour une oeuvre aussi exigeante que la Missa Solemnis (composée entre 1819 et 1923). Ce nouvel enregistrement est non seulement accompagné d’un livret élégant mais également d’un choix d’images prises par la photographe (et violoniste !) Annelies van der Vegt durant une tournée aux Pays-Bas avec cette Missa Solemnis.
MEW, le groupe originaire de Copenhague, présente Visuals, un sommet de l’oeuvre de ce groupe, l’un des plus ambitieux et inventifs du rock, sur Play It Again Sam. Jonas tjerre, le chanteur de MEW qui a l’habitude de travailler sur le visuel d’un album dès lors qu’il est terminé, a décidé, pour ce septième disque, de renverser l’ordre des choses, imaginant d’abord des visuels et voyant ensuite comment ils pouvaient influencer la musique. Totalement autoproduit, la genèse de l’album a commencée lors de la tournée de l’album +-, en 2015, dans leurs bus et dans leurs chambres d’hôtels et s’est poursuivie à Copenhague pour la mise en forme des démos. Le trio souhaitait faire un album spontané, conservant l’énergie qu’il avait acquis sur scène. Entre le groove festif de « Learn Our Crystals », le rock atmosphérique de « Ay Ay Ay », le balancement soul au feeling R’n’B de « Shoulders » et la merveilleuse glissade de « In A Better Place », le groupe atteint avec Visuals un sommet créatif. Après vingt ans de carrière, MEW possède l’irrépressible exubérance d’un groupe sur son premier album. Visuals voit MEW à son niveau le plus compact et à l’alchimie interne plus puissante que jamais. Pour les fans de : tloc Party, Sigur Rós, Kashmir, The Raveonettes
Le projet VOLTS du Quatuor Tana est un état des lieux de la musique pour quatuor à cordes et électronique : innovant et créatif Les diverses techniques de cette rencontre de musique mixte sont présentées ici, de la bande préenregistrée (Romitelli), en passant par le temps réel et improvisé (Nouno), pour arriver enfin aux Tana Instruments (Arroyo, Canedo, Havel), nouvelle génération d'instruments hybrides permettant la diffusion de l'électronique via leur caisse de résonance et non plus via des enceintes externes. Le Quatuor Tana livre ici un disque sans concession, pluriel, inscrivant d’ores et déjà cette musique dans la tradition du quatuor à cordes moderne.
Le duo folk australien revient avec un album sobre, délicat, au songwriting somptueux. Sculptor peut être écouté fort parce que la musique de Luluc est magistrale dans son minimalisme. Il y a un avant et un après la musique de Luluc - un virage qui touche les gens avec une force rare. Avec Sculptor, Luluc élargi sa palette sonore grâce à sa collaboration à succès avec Aaaron Dessner de The National, coproducteur sur Passerby. Le multi-instrumentaliste, chanteur et producteur Steve Hassnett a enregistré un large spectre d'instruments pour entièrement répondre à une vision audacieuse et complète pour ce troisième album. Randell et Hassett ont presque écrit, enregistré et produit cet album eux-mêmes, mais leur vision est loin d'être étriquée. En plus de Mascis (Dinosaur Jr.), plusieurs amis ont collaboré sur Sculptor, Jim White de Dirty Three joue de la batterie sur Genius', ou les musiciens Matt Eccles à la batterie et Dave Nelson aux cors. L'enregistrement a eu lieu dans le nouveau studio de Luluc à Brooklyn, qu'ils ont eux-mêmes construit. POUR CEUX QUI AIMENT Bon Iver, The National
Saint Bartlett s'ouvre avec une grandeur jamais entendue chez DAMIEN JURADO, comme s'il avait définitivement abandonné sa cabane dans laquelle il a toujours composé, pour revêtir de nouveaux atours orchestraux. D'une grandiloquence pondérée, mesurée, DAMIEN JURADO gonfle son mellotron, ses claquements de main jouent de la stéréo et ses tambours créent un ciel immense dans lequel les chansons volent et planent. Enregistré avec RICHARD SWIFT dans son studio, DAMIEN JURADO a absorbé l'empreinte Spectoresque pour écrire une oeuvre de taille, semblable aux écritures mystiques de VAN MORRISON, SCOTT WALKER et WAYNE COYNE.
Saint Bartlett s'ouvre avec une grandeur jamais entendue chez DAMIEN JURADO, comme s'il avait définitivement abandonné sa cabane dans laquelle il a toujours composé, pour revêtir de nouveaux atours orchestraux. D'une grandiloquence pondérée, mesurée, DAMIEN JURADO gonfle son mellotron, ses claquements de main jouent de la stéréo et ses tambours créent un ciel immense dans lequel les chansons volent et planent. Enregistré avec RICHARD SWIFT dans son studio, DAMIEN JURADO a absorbé l'empreinte Spectoresque pour écrire une oeuvre de taille, semblable aux écritures mystiques de VAN MORRISON, SCOTT WALKER et WAYNE COYNE.
«Lapalux est capable de concevoir des morceaux aux tendances IDM tout en restant accessibles. » Tsugi Lapalux sortira le 30 juin prochain son 3ème album Ruinism sur Brainfeeder, le label de Flying Lotus. Inspiré partiellement par le concept d’hypnagogie, un état de semi-conscience entre la veille et le sommeil, Ruinism explore cette notion et le producteur anglais nous emmène dans les limbes entre la vie et la mort. Dans cet espace où le fini et l’infini s’entremêlent. Ruinism est né suite au score pour la pièce théâtrale ‘Depart’ que Lapalux a écrit et qui a été joué au cimetière de l’East London; dans cet album Stuart Howard (aka Lapalux) déconstruit et reconstruit le son, et mêle de nombreuses palettes sonores. De cette déconstruction sonore nait une oeuvre à la beauté subtile et délicate. On retrouve sur Ruinism les collaborations de Louisahhh, JFDR (Jófríður Ákadóttir) du groupe Gangly entre autres. La direction artistique image est elle confiée à Marielle Tepper et les formats physiques comportent notamment une édition 2LP deluxe produite en collaboration avec le très prestigieux Atelier Imprimerie du Marais. Lapalux de son vrai nom Stuart Howard est un producteur britannique connu pour ses expérimentations et son utilisation de « textures » sonores. Ruinism sera son 3ème album sur Brainfeeder. Il s’est également fait remarquer à travers ses remixes pour Mirrors, The Acid et Young Thug. Pour ceux qui aiment : Mount Kimbie, Shlohmo...
«Lapalux est capable de concevoir des morceaux aux tendances IDM tout en restant accessibles. » Tsugi Lapalux sortira le 30 juin prochain son 3ème album Ruinism sur Brainfeeder, le label de Flying Lotus. Inspiré partiellement par le concept d’hypnagogie, un état de semi-conscience entre la veille et le sommeil, Ruinism explore cette notion et le producteur anglais nous emmène dans les limbes entre la vie et la mort. Dans cet espace où le fini et l’infini s’entremêlent. Ruinism est né suite au score pour la pièce théâtrale ‘Depart’ que Lapalux a écrit et qui a été joué au cimetière de l’East London; dans cet album Stuart Howard (aka Lapalux) déconstruit et reconstruit le son, et mêle de nombreuses palettes sonores. De cette déconstruction sonore nait une oeuvre à la beauté subtile et délicate. On retrouve sur Ruinism les collaborations de Louisahhh, JFDR (Jófríður Ákadóttir) du groupe Gangly entre autres. La direction artistique image est elle confiée à Marielle Tepper et les formats physiques comportent notamment une édition 2LP deluxe produite en collaboration avec le très prestigieux Atelier Imprimerie du Marais. Lapalux de son vrai nom Stuart Howard est un producteur britannique connu pour ses expérimentations et son utilisation de « textures » sonores. Ruinism sera son 3ème album sur Brainfeeder. Il s’est également fait remarquer à travers ses remixes pour Mirrors, The Acid et Young Thug. Pour ceux qui aiment : Mount Kimbie, Shlohmo...
Caroline Rose nous dévoile un album mature, profond et terriblement éffronté ! « Les compositions sur LONER reflètent ma vie ces dernières années. J'ai appris, pour le meilleur et pour le pire, comment devenir membre du monde moderne et il s’avère que ce monde est terrifiant. Fatiguée des chansons tristes sans fonds, j'ai décidé de me concentrer sur des thèmes forts et inspirants comme la misogynie, les grossesses non-planifiées, le capitalisme, l'anxiété, la solitude et la mort - et d’envelopper de tels sujets dans un burrito pop... Il est difficile d'être sérieux tout le temps et les chansons tristes ont parfois juste besoin d'un cocktail. Loner reflète les styles de musique que j'aime - Pop, Folk, Punk, Electro et la Surf Music - jetés dans un shaker avec une louche de satire effrontée. » Loner a été coproduit par Caroline Rose et Paul Butler (Devendra Banhart, Michael Kiwanuka, St. Paul et The Broken Bones), enregistré en Californie du Nord et mixé par Andrew Sarlo (Big Thief, Nick Hakim, Show Me The Body) à Brooklyn, NY. POUR CEUX QUI AIMENT Angel Olsen, Big Thief, Margaret Glaspy
Le songwriter sort une collection de ses meilleurs morceaux, retraçant un quart de siècle de carrière. Le premier album studio de David Gray est sorti il y a 23 ans, en 1993. Le songwriter anglais a cependant été placé sous le feu des projecteurs six ans après, avec la sortie de White Ladder. Il s’en est suivi une succession d’albums références pour toute une génération. En octobre sortira une collection des meilleurs morceaux de David Gray, parcourant un quart de siècle de composition de musique. Pour accompagner ce ‘Greatest Hits’, deux morceaux complétement inédits seront glissés dans l’album. Ce sont Smoke With Fire et Enter Lightly.
MEW, le groupe originaire de Copenhague, présente Visuals, un sommet de l’oeuvre de ce groupe, l’un des plus ambitieux et inventifs du rock, sur Play It Again Sam. Jonas tjerre, le chanteur de MEW qui a l’habitude de travailler sur le visuel d’un album dès lors qu’il est terminé, a décidé, pour ce septième disque, de renverser l’ordre des choses, imaginant d’abord des visuels et voyant ensuite comment ils pouvaient influencer la musique. Totalement autoproduit, la genèse de l’album a commencée lors de la tournée de l’album +-, en 2015, dans leurs bus et dans leurs chambres d’hôtels et s’est poursuivie à Copenhague pour la mise en forme des démos. Le trio souhaitait faire un album spontané, conservant l’énergie qu’il avait acquis sur scène. Entre le groove festif de « Learn Our Crystals », le rock atmosphérique de « Ay Ay Ay », le balancement soul au feeling R’n’B de « Shoulders » et la merveilleuse glissade de « In A Better Place », le groupe atteint avec Visuals un sommet créatif. Après vingt ans de carrière, MEW possède l’irrépressible exubérance d’un groupe sur son premier album. Visuals voit MEW à son niveau le plus compact et à l’alchimie interne plus puissante que jamais. Pour les fans de : tloc Party, Sigur Rós, Kashmir, The Raveonettes
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
Voici le tant attendu This Is The Last Communique From The Weathermen [oe], une superbe compilation de 17 titres des maîtres de l'electro old school, de 1985 à 2007. Tous les titres ont été remasterisés pour l'occasion. Les WEATHERMEN se compose de BRUCE GEDULDIG au chant et de JEAN-MARC LEDERMAN pour la partie instrumentale. Depuis 1985, ils ont sorti des albums sur des labels aussi prestigieux que PIAS, Wax Trax ou encore Mute US. Ils ont émergé dans le milieu des années 80s, créant leur propre sous catégorie qui n'a jamais reçu de vraies dénominations. Combinant mélodies pêchues et commentaires sociaux sarcastiques, les WEATHERMEN se sont imposés au fil du temps comme des valeurs sûres de la scène musicale internationale.
A partir de 2-3 ans. C'est frais, plein de tendresse, poétique, et d'une grande qualité. Le langage du coeur. Paris Match. Jo Akepsimas sait qu'une bonne chanson se cultive avec une bonne musique : pas forcément celle qui fait du boucan, du tape à-l'oreille, mais celle qui accompagne le mot, la voix, transporte l'auditeur, sans pour autant bouder les instrumentations contemporaines. Tout est fleuri de notes précises, précieuses, prêtes à se laisser cueillir. Panorama. Au milieu de douze chansons très enlevées, un dialogue merveilleux avec deux enfants... Les petits apprendront vite 'Mon anniversaire' ou 'Le Clown', 'Si tu pars en voyage' et l'étonnante 'Petite chaussette'. Panorama
De tout temps les mères ont établi les premières relations avec leurs bébés par la voix, les berceuses, les jeux de doigts et les comptines. Dès la mise en place des modes d'accueil de la petite enfance, ce fut au tour des professionnels de ce milieu de s'approprier ce mode d'expression privilégié pour entrer en relation avec le bébé et l'accompagner ainsi dans son développement. Psychologues, éducateurs et psychomotriciens ont écrit de nombreux textes mettant en avant les apports de ces jeux dans la construction psychique et cognitive de l'enfant. Ce DVD vous offre les différentes facettes d'un répertoire de jeux de doigts afin d'y découvrir rythmes, intonations et variations pour garder toujours en éveil le plaisir de la découverte.
«Lapalux est capable de concevoir des morceaux aux tendances IDM tout en restant accessibles. » Tsugi Lapalux sortira le 30 juin prochain son 3ème album Ruinism sur Brainfeeder, le label de Flying Lotus. Inspiré partiellement par le concept d’hypnagogie, un état de semi-conscience entre la veille et le sommeil, Ruinism explore cette notion et le producteur anglais nous emmène dans les limbes entre la vie et la mort. Dans cet espace où le fini et l’infini s’entremêlent. Ruinism est né suite au score pour la pièce théâtrale ‘Depart’ que Lapalux a écrit et qui a été joué au cimetière de l’East London; dans cet album Stuart Howard (aka Lapalux) déconstruit et reconstruit le son, et mêle de nombreuses palettes sonores. De cette déconstruction sonore nait une oeuvre à la beauté subtile et délicate. On retrouve sur Ruinism les collaborations de Louisahhh, JFDR (Jófríður Ákadóttir) du groupe Gangly entre autres. La direction artistique image est elle confiée à Marielle Tepper et les formats physiques comportent notamment une édition 2LP deluxe produite en collaboration avec le très prestigieux Atelier Imprimerie du Marais. Lapalux de son vrai nom Stuart Howard est un producteur britannique connu pour ses expérimentations et son utilisation de « textures » sonores. Ruinism sera son 3ème album sur Brainfeeder. Il s’est également fait remarquer à travers ses remixes pour Mirrors, The Acid et Young Thug. Pour ceux qui aiment : Mount Kimbie, Shlohmo...
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
Caroline Rose nous dévoile un album mature, profond et terriblement éffronté ! « Les compositions sur LONER reflètent ma vie ces dernières années. J'ai appris, pour le meilleur et pour le pire, comment devenir membre du monde moderne et il s’avère que ce monde est terrifiant. Fatiguée des chansons tristes sans fonds, j'ai décidé de me concentrer sur des thèmes forts et inspirants comme la misogynie, les grossesses non-planifiées, le capitalisme, l'anxiété, la solitude et la mort - et d’envelopper de tels sujets dans un burrito pop... Il est difficile d'être sérieux tout le temps et les chansons tristes ont parfois juste besoin d'un cocktail. Loner reflète les styles de musique que j'aime - Pop, Folk, Punk, Electro et la Surf Music - jetés dans un shaker avec une louche de satire effrontée. » Loner a été coproduit par Caroline Rose et Paul Butler (Devendra Banhart, Michael Kiwanuka, St. Paul et The Broken Bones), enregistré en Californie du Nord et mixé par Andrew Sarlo (Big Thief, Nick Hakim, Show Me The Body) à Brooklyn, NY. POUR CEUX QUI AIMENT Angel Olsen, Big Thief, Margaret Glaspy
Le pianiste Barry Douglas parcoure l’oeuvre pour piano seul de Schubert, en voyageur poétique et sensible Voici le troisième volume consacré à la musique pour piano seul de Franz Schubert par le pianiste britannique Barry Douglas. Dans cette série d’enregistrements, l’interprète a mis un soin particulier dans le choix des pièces : ici on retrouve en couplage les tardifs Sonate D958 et Six Moments Musicaux. Puis le programme se clôture avec deux transcriptions de lieder du maître, dues à son ami Franz Liszt, dont Barry Douglas donne le meilleur de l’expressivité poétique et sensuelle.
Héro du pop punk, le groupe NEW FOUND GLORY est de retour avec son très attendu septième album Radiosurgery . Sur ce nouveau disque, le groupe de Floride renouvelle sa collaboration avec NEAL AVRON, déjà producteur de Catalyst en 2004. Les talents de ce dernier mêlés au génie des musiciens américains avaient permis à l'album de faire son entrée à la troisième place du top Billboard 200, pour se hisser ensuite rapidement au premier rang. Le réputé producteur s'est entre-temps perfectionné en travaillant pour les monstres des charts FALL OUT BOY et LINKIN PARK. Sur Radiosurgery, NEW FOUND GLORY comblera autant les fans purs et durs que les nouveaux venus récemment convertis
Little Milton était un bluesman électrique polyvalent, un chanteur émouvant, un guitariste évocateur, un auteur-compositeur accompli et un chef d'orchestre talentueux. Son style et ses rythmes endiablés combinent des éléments de R&B, de blues et de soul. En fait, Milton a souvent été comparé par les critiques à B.B. King et Bobby Blue Bland, qui étaient les principaux représentants du blues élégant et urbain. Cet album compile 30 titres que Little Milton a gravé au début de sa carrière pour différentes marques entre 1953 et 1962. Parmi les points culminants, on peut citer de magnifiques morceaux tels que le super single de R&B So Mean to Me, le stomper I Need Somebody, I'm a Lonely Man, la ballade Cross My Heart et le rockin' Hey, Girl, pour ne citer qu'eux.
Lorsque Vincent d'Indy écrivit sa Seconde symphonie en 1902, un certain Debussy mettait Pelléas et Mélisande entre les oreilles ébahies de ses contemporains. Sans doute le malheureux d'Indy, pétri de tradition - voire un chouïa réactionnaire, au moins dans sa conception de la société, mais aussi un peu de la musique - en fit-il un peu de température, car sa Seconde s'apparente plus au romantisme tardif français qu'à l'avant-garde pourfendeuse d'anciens. Et quand bien même il semblait admirer l'audace et l'invention de son jeune collègue, il ne pouvait pas ne pas saisir que son temps était révolu, sa symphonie datée d'avance. Alors, chers auditeurs, un conseil : écoutez cette oeuvre magnifique comme si elle n'avait pas d'âge, pas de date de composition, pas de passé, pas de futur; comme si elle n'existait que pour elle-même, un monolithe tombé du ciel ardéchois si cher à d'Indy. Autre paysage, la Forêt Noire - en Allemagne, eh oui, bien que le musicien fût assez férocement nationaliste - évoquée dans les Tableaux de voyage de 1892 (pour la version orchestrale, les pièces pour piano initiales datant de 1889), tour à tour sombre et schubertienne, même si le ton reste résolument français. Enfin, la musique de scène pour la pièce Karadec du très-oublié André Alexandre, un des petits bijoux de d'Indy, écrit dans un esprit quelque peu bretonnisant, nous rappellera combien il aimait les thèmes d'inspiration folklorique ou populaire.
Enflammant les dancefloors européens depuis la sortie de son album Attack Decay Sustain Release, le duo de Bristol formé par James Ford (producteur des Arctic Monkeys,Klaxons, Last Shadow Puppets...) et Jas Shaw a choisi la fine fleur de l'electro pour le remixer : Inclus les remixes de DANTON EEPROM, JOAKIM, CHROME HOOF, COSMO VITELLI, SHIT ROBOT un des disques les plus jouissifs de l'été. Pas de Justice sans SMD. LES INROCKUPTIBLES Cet album tombe à pic : il compile 20 ans d'acid-house, sans embaumement, avec luxure TECHNIKART Tous les ingrédients sont réunis pour faire d'eux les héros de la scène anglaise. Incontournables! TSUGI Le duo britannique est en passe de devenir le groupe le plus prisé de l'année MAGIC
Le rayonnement universel de Corelli Au cours de sa carrière, Fabio Biondi a développé une empathie remarquable pour la musique italienne à travers les siècles et, en particulier, la sonate pour violon du début de la période baroque. L'un des talents de Biondi consiste en l'art de concevoir des programmes passionnants. Ainsi, ce nouvel album dédié au violon du XVIIIe naissant illustre l'influence de Corelli sur ses collègues compositeurs de Dresde, Venise, Padoue, Londres ou Amsterdam. Soutenu par le continuo de son Europa Galante, Biondi interprète des sonates de Vivaldi, Corelli, Geminiani, Tartini et Locatelli. Il nous restitue avec délice le parfum enivrant de cette musique italienne du XVIIIe siècle.
Trois oeuvres majeures de Ralph Vaughan Williams par l'Orchestre Philharmonique de Bergen dirigé par Sir Andrew Davis Commencé il y a 25 ans par le chef Richard Hickox, la série intégrale sur Vaughan Williams se poursuit sous la direction musicale de Sir Andrew Davis à la tête du Bergen Philharmonic Orchestra. Ce volume très attendu ouvre sur la majestueuse Sinfonia Antartica puis le Concerto pour deux Pianos, interprété par l’infatigable duo Hélène Mercier / Louis Lortie. Suit une incroyable interprétation par le baryton Roderick Wiliams et la soprano Mari Eriksmoen du cycle des Last Four Songs. Le disque est enregistré en SACD pour un son surround particulièrement adapté aux oeuvres interprétées ici.
Un seul regard sur le trio de Schubert - et toute la misère de la condition humaine disparaît, le monde est comme neuf, écrit Robert Schumann en 1836 du Trio D898 de Schubert. Il témoigne la même admiration pour l'autre grand trio du compositeur viennois, D929, et notamment son Andante con moto à l'allure de marche funèbre, qui devait accéder plus tard à la célébrité cinématographique grâce au Barry Lyndon de Kubrick - pour Schumann, un soupir qui s'amplifie jusqu'au cri d'angoisse. Ici, trois interprètes hors pair mettent en lumière chaque nuance de ces oeuvres infiniment fascinantes à l'aide d'un instrumentarium d'époque, dont la réplique d'un splendide pianoforte viennois de 1827.
On associe volontiers au nom des deux illustres pianistes du XIXe siècle, Charles-Valentin Alkan et Franz Liszt, un style fondé sur la virtuosité transcendante. Pourtant, le caractère funèbre et élégiaque des oeuvres tardives de Liszt, tout comme la splendide Sonate pour piano et violoncelle op.47 écrite par Alkan au milieu du siècle, reflètent un idéal commun d’expression épuré, ainsi qu’une vision poétique de la musique instrumentale. Le terrain de la musique de chambre s’impose comme domaine privilégié où se manifestent les tendances méditatives, spirituelles et expérimentales chez les deux créateurs, nourris d’une haute culture littéraire, musicale et religieuse.
Summer Dancing est le fruit d’une heureuse rencontre entre l’auteur compositeur et producteur anglais ANDY LEWIS et JUDY DYBLE, front-singer du célèbre groupe de folk Fairport Convention. Malgré leurs 20 ans d’écart, JUDY DYBLE & ANDY LEWIS cultivent le même goût pour l’enfance et le psychédélisme; Summer Dancing est un kaléidoscope d’instants fugaces ruraux capturés au travers des mélodies qui puisent leurs origines dans la pop urbaine des années 60. Le résultat est un mélange d’amours perdues et d’amitiés douces, inspiré par une joie de vivre que partage les deux artistes. Pour les fans de : Fairport Convention, Sandy Denny
Les membres fondateurs d'Alcatrazz, Graham Bonnet (chant), Jimmy Waldo (piano) et Gary Shea (basse), se sont réunis après 33 ans pour une série unique de concerts à Osaka, Nagoya et Tokyo, au Japon en mars 2017. Pour cette occasion spéciale, Mark Benquechea (batterie) et Conrado Pesinato (guitare), tous deux du Graham Bonnet Band, ont rejoint le groupe. En plus de cette prestation d'adieu unique captée en audio et vidéo, cette édition contient des morceaux inédits tirés des sessions originales enregistrées en 1985, dont une chanson, Emotion avec un jeune Steve Vai à la guitare.
La rétrospective du fondateur de Can éditée en vinyle pour la première fois ! Après une éductation musicale classique, Irmin Schmidt fonde le groupe Can dans les années 60, qui ne cessera d'étendre son influence jusqu'à encore aujourd'hui, laissant une trace indélibile sur la musique moderne. Après sa dissolution à la fin des 70's, Schmidt retourne à son travail solo et le résultat est une oeuvre vaste : 8 albums, un ballet, et plus de 100 participations cinématographiques. Irmin Schmidt associe ce qui normalement s'affronte : rock, pop, jazz, classique, electro, ambient. Aujourd'hui il sort une compilation de son travail solo et dans le cinéma. VILLA WUNDERBAR paraîtra le 22 novembre sur Mute et Spoon en coffret 4 vinyles. Les deux premiers albums dans le coffret Villa Wunderbar sont des compilations du travail d'Irmin Schmidt en tant qu'artiste solo durant ces 30 dernières années, tandis que les deux autres - sélectionnés et présentés par le réalisateur Wim Wenders - sont un aperçu du travail de l'artiste en tant que compositeur pour le cinéma et la télévision pour lesquels Wenders a écrit de nombreuses notes.
« Il faut avoir un amour démesuré envers Schumann pour s’engager dans un projet de cette nature. » Réaliser une intégrale de l’oeuvre pour piano seul de Robert Schumann est une aventure folle. L’enregistrer lors de quinze concerts est un roc à dompter, surmonté de pièges à déjouer mais aussi un long voyage intérieur. Comme un peintre qui ressent le besoin d’étaler devant lui, toile après toile, son oeuvre, Dana Ciocarlie vit pleinement le besoin de bâtir quelque chose qui s’inscrit dans la durée... alors que son rôle habituel s’arrête à la fin d’une représentation ponctuelle. Son moyen d’expression est l’interprétation, et son univers est schumannien. Elle se sent chez elle dans l’univers musical de Schumann habité par la passion, le tourment, les allusions littéraires, l’humour et l’élan spontané. Cette lutte perpétuelle et hallucinée avec le destin, voilà ce qui est magnifique chez Schumann. Cette première mondiale d’intégrale live de l’oeuvre pour piano seul de Robert Schumann n’a pu s’obtenir qu’au prix d’un travail titanesque appelé à faire date !
Stephen Pearcy, plus connu comme étant le fondateur et chanteur du groupe RATT, a travaillé dur pour élaborer ce très attendu quatrième album solo, tout en continuant sa tournée à travers les Etats-Unis. Avec plus de 15 millions d'albums vendus et plusieurs albums d'or et de platine rien qu'aux Etats-Unis avec RATT, tous ses projets solos, groupes et compilations, on n'arrête plus Stephen Pearcy. Ce musicien multi-facettes et influence de nombreux artistes actuels nous propose une nouvelle fois de voyager avec lui le temps de son album « Smash », voyage pour lequel nous embarquons sans hésiter. Et vous ?
Elégance, perfection du phrasé mozartien et équilibre font de Jean Efflam Bavouzet un grand interprète de Mozart. Le pianiste Jean Efflam Bavouzet signe ici le troisième et dernier volume d'une série pour le label Chandos consacrée aux six concertos que le jeune Mozart de 28 ans a écrit dans le courant de la seule année 1784. Avec l'orchestre de chambre la Manchester Camerata, placé sous la direction du jeune chef hongrois Gabor Takacs-Nagy. Ici ce sont les concertos N° 15 (KV450) et 16 (KV451), avec le quintette pour piano et vents (KV452) qui forment les dernières compositions de la fameuse année 1784, un sommet créatif du compositeur.
A l'occasion de cet anniversaire le disque est réédité en version remasterisée enrichi de nombreux bonus des sessions des démos enregistrées quelque part à Londres aux Animal House studios et que nous pensions perdues. Ces versions de travail non définitives accompagneront Etienne Daho durant des semaines avant qu'il ne décide de produire le disque. Le temps d'un album, Etienne Daho troque son costume de chanteur à succès pour celui de producteur, pour le plus grand plaisir de tous. En réécoutant ce disque après 30 ans, on réalise à quel point Etienne Daho a apporté charme et sensibilité musicale à cet album. C'est la chanteuse française de renommée mondiale, Françoise Hardy qui a enregistré les choeurs sur le titre Tommy and Co.