Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.
Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.
Midnight Features est une série de disques imaginée par Emil Amos et Alex Hall de Lilacs & Champagne. Inspirés par la série de comics Marvel What if?, le duo pioche dans différentes ères musicales et se les approprie. Le premier volume, Shower Scene, est inspiré par les musiques de fond d'émissions de TV des années 1970, où les solos frénétiques et sons jazzy accompagnent les histoires de crime, drames et passions. Il s'agit de la première sortie sur laquelle Lilacs & Champagne jouent live. Le groupe mélange instrumentation et sampling, apportant ainsi une nouvelle sensibilité à leur son sans pour autant délaisser l'hybridité stylistique qui avait marqué leurs travaux précédents. De nouvelles palettes sonores sont explorées tout au long des six titres. Sur Sensations, le groupe sonne comme le jazz psyché de Soft Machine, alors que Maple Street se rapproche de l'avant-jazz que Moondog aurait composé s'il avait vécu à l'ère du sample.
The Gallant Club, duo français mais pas French touch pour un sou, formé il y a deux ans par Clément Juttel et Alexander Faem prend un malin plaisir à brouiller les pistes comme les références avec leur pop lumineuse, soufflant le chaud et le froid, se montrant aussi tendre que sulfureux, insaisissable avec ses guitares serpentines et ses claviers menaçants... parfois rassurant et familier, volontiers sarcastique et subversif dans la démarche, dans les paroles des chansons, mais aussi dans la couleur de certains arrangements qui oscillent entre psychédélisme, électro et garage rock. Dignes héritiers des Stranglers, Magazine, Butthole Surfers, Ween, Sparks, Mr Bungle et autres bizarreries pop, leur songwriting amène une touche tout aussi singulière et inclassable que leurs aînés. Un premier single Dear Lost Kingdom aux sonorités synth pop laisse entrevoir un album addictif, ironiquement intitulé Ten Great Shower Songs, empli de hits potentiels !
Après avoir accumulé plus de 100 millions de streams sur leurs précédentes sorties, Riton & Kah-Lo est devenu l'un des duos les plus demandés de la scène electro. Ayant construit une relation musicale solide et organique, qui est apparue d'abord sur les réseaux sociaux, le duo a pris de plus en plus d'ampleur avec chaque single. Fusionnant leurs talents pour créer un certain nombre de hits house d'envergure, dont Rinse & Repeat, nominé aux Grammy, leur premier album, Foreign Ororo, est particulièrement attendu. Incluant une série de collaborations avec les artistes nigérians Mr Eazi et Davido qui apparaissent sur les morceaux Immigration, Catching Feelings et Money, Foreign Oror o illustre les rythmiques vibrantes et dynamiques qui ont permis à Riton & Kah-Lo de devenir si populaires. On y trouve aussi Ready To Make A Move qui présente des sonorités de disco old-school mélangées à une voix chargée d'émotion. Si l'album inclut des hits du duo comme Fasta, Fake ID et Betta Riddim, il offre également de toutes nouvelles productions comme Roll.
Le MC Nolan the Ninja s'est fait un nom à Detroit, se distinguant parmi les plus grands artistes hip-hop de la région. Ses paroles rappellent celles des MC des années 90, avec des structures complexes et des rimes bien trouvées. on associe habituellement Nolan à une énergie frénétique, des chansons débordantes de syllabes et de style. Aujourd'hui, après avoir mûri en tant qu'artiste, Nolan présente une nouvelle approche avec Sportee. Inspirés par une renaissance du lo-fi, le producteur 5ynoT et Nolan The Ninja ont créé le nouvel album dans une configuration minimale, mettant l'accent sur la créativité et la passion. L'album se penche sur le hip-hop du point de vue d'un concurrent, Nolan, un gladiateur dans le sport des rimes. S'inspirant de ses expériences personnelles, le MC trouve le moyen d'insuffler de l'humour dans ses vers implacables. L'album est le résultat de ces efforts précédents à expérimenter inconsciemment différents styles. Son évolution en termes d'élocution et de styles ressemble presque à une remise à zéro : J'avais pris l'habitude de juste faire du boucan mais j'ai travaillé pour ajouter de la substance et de la subtilité à mon flux. précise-t-il.
Il n'y a pas d'intro orchestrale, pas d'interlude en demi-teinte, pas de break shoegaze, et pas de refrain propret sur ce troisième album destructeur de Black Fast. Avec Spectre of Ruin, le groupe de St. Louis dans le Missouri livre un album de pur thrash metal de bout en bout. C'est un marathon technique de thrash vintage avec une approche moderne et quelques touches d'étrangetés ésotériques, le lien manquant entre thrash retro et proto dea th metal. L'album s'ouvre avec Cloak of Lies véritable locomotive qui dévale les rails à toute allure avec détermination et agressivité, alors que des titres comme Famine Angel, Scarecrow and Spectre ou Phantom I Am possèdent des solos puissants et déchirants. Ce nouvel album a été invoqué au Mana Studios de St. Petersburg en Florida, par Erik Rutan, frontman de Hate Eternal, ancien guitariste de Morbid Angel et qui a produit des albums pour des titans tels que Cannibal Corpse,Goatwhore, et Six Feet Under. Le résultat est un disque à l'énorme potentiel de destruction qui va à l'essentiel sans faire de concessions !
En 2017, le producteur hollandais Martyn installé à Washington D.C. a subi une métamorphose qui a commencé par une urgence médicale et qui a abouti dans une transformation musicale. Après avoir survécu à une crise cardiaque, il est rentré dans son studio et a commencé à réévaluer les éléments qui l'ont amené à faire de la musique : le sampling, la mélancolie, la science-fiction, les textures, la polyrythmie, Detroit, mais l'envie de produire à nouveau vient de l'écoute de l'album M'Boom (1979) de Max Roach avec son ensemble de percussions. Créé en l'espace de huit mois, Voids est son premier album pour Ostgut Ton et prend un chemin différent que ces précédents efforts. On y retrouve ses fondations post-dubstep et garage UK recontextualisées avec des éléments de percussions rituelles africaines Nyahbinghi, de drum & bass et de gqom - mélange enfiévré de house urbaine minimaliste et de musiques traditionnelles sud-africaines. Sans concessions ni collaborations cet album plus sombre et plus autobiographique vise à surmonter son traumatisme mais aussi le décès d'un proche, le producteur Marcus Intalex aka Trevino à qui le morceau Manchester est dédié.
Michael Leonhart est devenu très jeune l'un des trompettistes -mais aussi producteur, compositeur et arrangeur- les plus demandés. Ces dix dernières années, il a collaboré avec Yoko Ono, Mos Def, Brian Eno, James Brown, Bill Withers, David Byrne et Todd Rundgren, et a participé à plus de 50 disques du label Truth & Soul. C'est en tournée avec le duo fusion jazz Steely Dan en 2005 qu'il a l'idée de Seahorse and The Storyteller, un concept album mêlant songwriting inspiré de Peter, Paul, Mary & Donovan, Bollywood funk et rock psyché. Cet opéra moderne narre la rencontre de deux créatures mythiques, leur passion et la découverte mutuelle de l'histoire de chacun. Pour l'aider à retranscrire sa vision, Michael Leonhart a fait appel aux meilleurs musiciens de New York, issus d'El Michels Affair, TV On The Radio; The Dap-Kings, Antibalas, Phenomenal Handclap Band et Plastic Ono Band... Cordes, mellotrons, guitares fuzzy, cuivres, farfisa et tout un tas de percussions soutiennent Seahorse and The Storyteller, un opus hautement original à la croisée de RD Burman, The Beatles, Fela Kuti et le psychédélisme 60s...
Le duo dark-pop fer de lance de la scène indé turque revient un nouveau manifeste minimal et engagé. Dans son nouveau manifeste de dark-pop, ZAN, kim ki o change de manière drastique son approche de la mélodie et du chant. Au-delà des sons déjà identifiables du groupe, (les lignes de basses insistantes, les rythmes mécaniques et les synthés dramatiques), ZAN offre une approche généreuse à créer d’autres identités, parfois ironique ou satirique. Rempli de révolte contre l’injustice et déterminé à questionner les conventions, l’album laisse également sa place à l’imagination et voit le groupe groupe travailler à construire de la constance en ces temps incertains. Tout commence par 3 jeunes filles chantant la version turque de Flashdance ‘What A Feeling’ dans les hauts parleurs d’une mosquée après qu’un Imam aie accidentellement laissé le micro ouvert, et se termine par un chant de deuil inspiré par la peine de voir tous ces meurtres perpétués dans les rues. Encensé par Pitchfork, Rough Trade ou encore Les inRocKs, kim ki o confirme avec ZAN son statut de représentant incontournable de la nouvelle scène indé turque. Pour les fans de : Moon Duo, E.D.H., Electrelane, Jens Lenkman, etc.
Le duo dark-pop fer de lance de la scène indé turque revient un nouveau manifeste minimal et engagé. Dans son nouveau manifeste de dark-pop, ZAN, kim ki o change de manière drastique son approche de la mélodie et du chant. Au-delà des sons déjà identifiables du groupe, (les lignes de basses insistantes, les rythmes mécaniques et les synthés dramatiques), ZAN offre une approche généreuse à créer d’autres identités, parfois ironique ou satirique. Rempli de révolte contre l’injustice et déterminé à questionner les conventions, l’album laisse également sa place à l’imagination et voit le groupe groupe travailler à construire de la constance en ces temps incertains. Tout commence par 3 jeunes filles chantant la version turque de Flashdance ‘What A Feeling’ dans les hauts parleurs d’une mosquée après qu’un Imam aie accidentellement laissé le micro ouvert, et se termine par un chant de deuil inspiré par la peine de voir tous ces meurtres perpétués dans les rues. Encensé par Pitchfork, Rough Trade ou encore Les inRocKs, kim ki o confirme avec ZAN son statut de représentant incontournable de la nouvelle scène indé turque. Pour les fans de : Moon Duo, E.D.H., Electrelane, Jens Lenkman, etc.
The Young Sinclairs est un groupe de rock & roll, un point c'est tout. Ils conçoivent et produisent leurs propres enregistrements dans leur ville natale de Roanoke, en Virginie, depuis 2005, sous la direction de l'auteur-compositeur-interprète Samuel Lunsford (aussi connu sous le nom de Stimulator Jones). Bien qu'ils aient un penchant pour les amplis à lampes, les 12 cordes, les tambourins, la réverbération à ressort et les sons analogiques des décennies passées, les Young Sinclairs sont bien plus qu'un simple acte rétro. Le groupe a exploré avec succès de nombreux styles et textures tout au long de son existence, et possède la volonté de continuer d'évoluer sur le plan artistique. Ils ne sont pas seulement la somme de leurs influences ou de leurs collections de disques - ce qu'ils font provient bien d'eux. Leur nouvel album, Out of the Box, est un excellent exemple de ce désir inné d'expansion créative et d'innovation. Le titre de l'album lui-même fait directement référence à cette quête de liberté, et au refus de se limiter à un style, une forme ou une étiquette spécifique. Un mélange de shoegaze, de folk-rock, de psychédélique, de soul, de breakbeats, de drone, de R&B et de pop.
The Young Sinclairs est un groupe de rock & roll, un point c'est tout. Ils conçoivent et produisent leurs propres enregistrements dans leur ville natale de Roanoke, en Virginie, depuis 2005, sous la direction de l'auteur-compositeur-interprète Samuel Lunsford (aussi connu sous le nom de Stimulator Jones). Bien qu'ils aient un penchant pour les amplis à lampes, les 12 cordes, les tambourins, la réverbération à ressort et les sons analogiques des décennies passées, les Young Sinclairs sont bien plus qu'un simple acte rétro. Le groupe a exploré avec succès de nombreux styles et textures tout au long de son existence, et possède la volonté de continuer d'évoluer sur le plan artistique. Ils ne sont pas seulement la somme de leurs influences ou de leurs collections de disques - ce qu'ils font provient bien d'eux. Leur nouvel album, Out of the Box, est un excellent exemple de ce désir inné d'expansion créative et d'innovation. Le titre de l'album lui-même fait directement référence à cette quête de liberté, et au refus de se limiter à un style, une forme ou une étiquette spécifique. Un mélange de shoegaze, de folk-rock, de psychédélique, de soul, de breakbeats, de drone, de R&B et de pop.
The Young Sinclairs est un groupe de rock & roll, un point c'est tout. Ils conçoivent et produisent leurs propres enregistrements dans leur ville natale de Roanoke, en Virginie, depuis 2005, sous la direction de l'auteur-compositeur-interprète Samuel Lunsford (aussi connu sous le nom de Stimulator Jones). Bien qu'ils aient un penchant pour les amplis à lampes, les 12 cordes, les tambourins, la réverbération à ressort et les sons analogiques des décennies passées, les Young Sinclairs sont bien plus qu'un simple acte rétro. Le groupe a exploré avec succès de nombreux styles et textures tout au long de son existence, et possède la volonté de continuer d'évoluer sur le plan artistique. Ils ne sont pas seulement la somme de leurs influences ou de leurs collections de disques - ce qu'ils font provient bien d'eux. Leur nouvel album, Out of the Box, est un excellent exemple de ce désir inné d'expansion créative et d'innovation. Le titre de l'album lui-même fait directement référence à cette quête de liberté, et au refus de se limiter à un style, une forme ou une étiquette spécifique. Un mélange de shoegaze, de folk-rock, de psychédélique, de soul, de breakbeats, de drone, de R&B et de pop.
UNE COMPILATION SANS FRONTIèRE DE TITRES CAPTIVANTS UNIS PAR LE RYTHME ET LE GROOVE AVEC ANTIBALAS, COCHEMEA, INNOV GNAWA, MENAHAN STREET BAND, THE BUDOS BAND ET PLUS ! Daptone Records est prêt à vous étreindre de sons soul provenant de tous les coins du monde grâce à sa nouvelle compilation : The Daptone Rhythm Showcase. Plongez dans cette douzaine de chansons captivantes et inédites d'Antibalas (Ìyàmi àjé), Menahan Street Band (Dancer's Mood), Innov Gnawa (El Bouhala - tiré de leur premier longmétrage à venir Lila), ainsi que d'autres morceaux ayant parcouru l'espace et le temps. Préparez-vous à entrer dans cette merveilleuse collection de sons sensuels qui s'étend des cinq arrondissements de New York aux mégapoles animées d'Afrique de l'Ouest, des déserts du Maroc aux paysages sacrés et psychédéliques de l'ouest amérindien, et au-delà. Prenez place dans cette rhapsodie transcontinentale de rythme et de groove. Véritable thérapie musicale pour le corps, l'esprit et l'âme, Daptone répond une fois de plus à toutes nos attentes ! Code de téléchargement inclus.
Black Label Society a annoncé leur 20 Years of Sonic Brewtality Tour, avec pour l'occasion une nouvelle version réimaginée du premier album emblématique du groupe en 1999, Sonic Brew, intitulée Sonic Brew - 20th Anniversary Blend 5.99 - 5.19. La recette originale, mais avec encore plus de saveurs ! L'enregistrement original de 1997 a été masterisé avec beaucoup de décibels, de l'alcool et de la danse, explique Wylde depuis son home studio. Nous avons donc travaillé sur les titres existants en nous concentrant sur les décibels et la danse, mais en remplaçant l'alcool par du viagra et des stéroïdes anabolisants. La nouvelle version remixée de Sonic Brew comprendra deux nouveaux titres bonus : une version groupe/piano complète de Spoke In The Wheel et une version acoustique de Black Pearl. A la fois armée envahissante et carnaval ambulant, Black Label Society parcourt le monde propulsé par la caféine et la cacophonie, invitant au passage tous les nouveaux venus à se joindre à eux et à participer à leur fraternité faite de hardiesse et de hard rock !
Les parrains du doom reviennent avec Sacred, leur premier album en plus de 20 ans. Toujours mené de main de maitre par Scott Wino Weinrich (Saint Vitus, Spirit Caravan, The Hidden Hand, etc.), The Obsessed s'est formé en 1976 et a sorti 3 albums de doom / stoner au début des années 90 dont The Church Within qui est reconnu comme un des piliers du genre. Maintenant, après s'être reformé en 2016, le groupe revient avec un surplus d'énergie et sonne plus puissant et en lien avec son époque avec Sacred. Avec Sacred, The Obsessed délivre 12 brûlots de doom éternels aux riffs puissants et aux rythmiques lourdes et toujours avec la voix éraillée de Scott Wino Weinrich. Sacred est un album qui propulse The Obsessed dans les annales du heavy metal et valait bien d'attendre 20 ans! Pour les fans de : Black Sabbath, Pentagram, Saint Vitus, Spirit Caravan, Candlemass, Pallbearer... La version 1LP standard contient une sous-pochette imprimée et un coupon de téléchargement La version 2LP en gatefold contient 2 sous-pochettes imprimées et un coupon de téléchargement. Elle est réservée exclusivement à l’Europe et contient 2 titres bonus : ‘On So Long’ et ‘Crossroarder’
Les parrains du doom reviennent avec Sacred, leur premier album en plus de 20 ans. Toujours mené de main de maitre par Scott Wino Weinrich (Saint Vitus, Spirit Caravan, The Hidden Hand, etc.), The Obsessed s'est formé en 1976 et a sorti 3 albums de doom / stoner au début des années 90 dont The Church Within qui est reconnu comme un des piliers du genre. Maintenant, après s'être reformé en 2016, le groupe revient avec un surplus d'énergie et sonne plus puissant et en lien avec son époque avec Sacred. Avec Sacred, The Obsessed délivre 12 brûlots de doom éternels aux riffs puissants et aux rythmiques lourdes et toujours avec la voix éraillée de Scott Wino Weinrich. Sacred est un album qui propulse The Obsessed dans les annales du heavy metal et valait bien d'attendre 20 ans! Pour les fans de : Black Sabbath, Pentagram, Saint Vitus, Spirit Caravan, Candlemass, Pallbearer... La version 1LP standard contient une sous-pochette imprimée et un coupon de téléchargement La version 2LP en gatefold contient 2 sous-pochettes imprimées et un coupon de téléchargement. Elle est réservée exclusivement à l’Europe et contient 2 titres bonus : ‘On So Long’ et ‘Crossroarder’
Si le guitariste et songwriter folk anglais John Renbourn est notamment connu pour sa collaboration avec Bert Jansch avec qui il a formé Pentangle, il a eu une carrière solo avant, pendant et après qui a débuté en 1961 et a pris fin en 2015, date de son décès. Il y a 50 ans, aux côtés d'artistes tels Jansch, Davey Graham, Wizz Jones et John Martyn, John Renbourn était au premier plan de la scène revival folk britannique qui flirtait alors avec le blues. Son style propre mélangeait ces traditions avec des influences classiques, jazz, et ethniques et une technique du picking sans égal. Ce live capturé à Kyoto en 1978 a été découvert à titre posthume dans les archives de Satoro Fuji qui avait mis un grand soin dans la réalisation de cet enregistrement. C'est l'artiste Masaki Batoh qui était présent au concert qui rédige les notes du livret. John Renbourn réalise une sublime prestation au Jittoku Coffee House interprétant 13 chansons dont de magnifiques reprises de Reverend Gary Davis, Davey Graham, Mississippi Fred McDowell, Arthur Smith, William Byrd et Charles Lloyd.
Black Label Society a annoncé leur 20 Years of Sonic Brewtality Tour, avec pour l'occasion une nouvelle version réimaginée du premier album emblématique du groupe en 1999, Sonic Brew, intitulée Sonic Brew - 20th Anniversary Blend 5.99 - 5.19. La recette originale, mais avec encore plus de saveurs ! L'enregistrement original de 1997 a été masterisé avec beaucoup de décibels, de l'alcool et de la danse, explique Wylde depuis son home studio. Nous avons donc travaillé sur les titres existants en nous concentrant sur les décibels et la danse, mais en remplaçant l'alcool par du viagra et des stéroïdes anabolisants. La nouvelle version remixée de Sonic Brew comprendra deux nouveaux titres bonus : une version groupe/piano complète de Spoke In The Wheel et une version acoustique de Black Pearl. A la fois armée envahissante et carnaval ambulant, Black Label Society parcourt le monde propulsé par la caféine et la cacophonie, invitant au passage tous les nouveaux venus à se joindre à eux et à participer à leur fraternité faite de hardiesse et de hard rock !
Les parrains du doom reviennent avec Sacred, leur premier album en plus de 20 ans. Toujours mené de main de maitre par Scott Wino Weinrich (Saint Vitus, Spirit Caravan, The Hidden Hand, etc.), The Obsessed s'est formé en 1976 et a sorti 3 albums de doom / stoner au début des années 90 dont The Church Within qui est reconnu comme un des piliers du genre. Maintenant, après s'être reformé en 2016, le groupe revient avec un surplus d'énergie et sonne plus puissant et en lien avec son époque avec Sacred. Avec Sacred, The Obsessed délivre 12 brûlots de doom éternels aux riffs puissants et aux rythmiques lourdes et toujours avec la voix éraillée de Scott Wino Weinrich. Sacred est un album qui propulse The Obsessed dans les annales du heavy metal et valait bien d'attendre 20 ans! Pour les fans de : Black Sabbath, Pentagram, Saint Vitus, Spirit Caravan, Candlemass, Pallbearer... La version 1LP standard contient une sous-pochette imprimée et un coupon de téléchargement La version 2LP en gatefold contient 2 sous-pochettes imprimées et un coupon de téléchargement. Elle est réservée exclusivement à l’Europe et contient 2 titres bonus : ‘On So Long’ et ‘Crossroarder’
Lettuce est a) l'ingrédient principal d'une salade, b) un mot d'argot pour l'argent, c) une herbe verte qui peut être fumée, d) un collectif de funk/jazz/soul/jam/psychedelic/ hip-hop/art rock/ambient/avant-garde/expérimental formé en 1992 par quatre anciens élèves du prestigieux Berklee College Of Music, ou encore e) toutes ces réponses. Enregistré au Colorado Sound dans la banlieue de Denver avec le légendaire ingénieur du son Russ Elevado (D'Angelo, The Roots, Erykah Badu), près de la maison des cofondateurs du groupe, le guitariste Adam Shmeeans Smirnoff et le percussionniste Adam Deitch, Elevate montre un Lettuce qui ne renie pas son passé tout en se propulsant à toute vitesse vers le futur. Avec ce sixième album, le groupe explore ses racines funk inspirées de Tower of Power avec le punchy Ready to Live (reprise d'une chanson de Lydia Pense de Cold Blood), la fanfaronnade à la Prince de Royal Highness et le blues-soul OG de Love Is Too Strong tandis que les sons trip-hop grands formats de paysages audio intergalactiques comme Trapezoid, Gang 10 et Purple Cabbage montrent l'influence des synthés Korg X-911 du saxophoniste Ryan Zoidis et des claviers Rhodes de Nigel Hall.
Lettuce est a) l'ingrédient principal d'une salade, b) un mot d'argot pour l'argent, c) une herbe verte qui peut être fumée, d) un collectif de funk/jazz/soul/jam/psychedelic/ hip-hop/art rock/ambient/avant-garde/expérimental formé en 1992 par quatre anciens élèves du prestigieux Berklee College Of Music, ou encore e) toutes ces réponses. Enregistré au Colorado Sound dans la banlieue de Denver avec le légendaire ingénieur du son Russ Elevado (D'Angelo, The Roots, Erykah Badu), près de la maison des cofondateurs du groupe, le guitariste Adam Shmeeans Smirnoff et le percussionniste Adam Deitch, Elevate montre un Lettuce qui ne renie pas son passé tout en se propulsant à toute vitesse vers le futur. Avec ce sixième album, le groupe explore ses racines funk inspirées de Tower of Power avec le punchy Ready to Live (reprise d'une chanson de Lydia Pense de Cold Blood), la fanfaronnade à la Prince de Royal Highness et le blues-soul OG de Love Is Too Strong tandis que les sons trip-hop grands formats de paysages audio intergalactiques comme Trapezoid, Gang 10 et Purple Cabbage montrent l'influence des synthés Korg X-911 du saxophoniste Ryan Zoidis et des claviers Rhodes de Nigel Hall.
Altered Five Blues Band fait de la musique avec cran et assurance. Le frontman Jeff Taylor chante puissamment et la guitare live de Jeff Schroedl atteint de hauts niveaux de créativité et de fluidité. Originaire de Milwaukee le quintette présente assurément la section rythmique la plus funky en dehors de Memphis. Nommé aux Blues Music Awards 2018, le groupe revient pour son deuxième album sur Blind Pig Records, intitulé Ten Thousand Watts. Enregistré pendant quatre jours à Nashville, TN et produit par Tom Hambridge, trois fois lauréat d'un Grammy, les 12 titres font jaillir un orage de musique. Le set démarre avec le boogie brûlant de Right On, Right On et est suivi de Too Mad to Make Up, un titre rock sur une relation en péril. La chanson-titre montre Taylor en train de se pavaner, témoignant de sa puissante passion. Le thème audacieux se poursuit avec Mischief Man, avant que le groupe ne se lâche sur Great Minds Drink Alike, un succès assuré dans les bars. Don't Rock My Blues assouplit le tempo et capture une ambiance traditionnelle. Cet ensemble de chansons succinctes mais libérées reflète l'évolution de l'habileté du groupe dans la composition, mélangée à l'interaction musicale intuitive des membres de longue date.
Haley Fohr et sa voix saisissante voyagent dans un univers mystérieux, à la frontière entre rêves et monde physique. Reaching For Indigo est le 5e album de l’américaine Haley Fohr qui incarne Circuit Des Yeux depuis ses 18 ans, à moins que ce ne soit Circuit Des Yeux qui incarne en réalité Haley Fohr. La native de l’Indiana aujourd’hui basée à Chicago excelle dans la construction d’albums expérimentaux dans lesquels elle observe d’un point de vue inhabituel le monde cérébral et le monde physique entrer en collision, avec des mots et des sonorités à la fois familières et opaques. Toujours aussi mystérieuse, Fohr explique que le titre Reaching For Indigo fait référence « à un épisode qui est arrivé dans ma vie le 22 Janvier 2016. » et ce mystère résonne dans le monde sonore tourmenté et romantique dans lequel elle évolue sur quatre octaves avec sa voix fantomatique. Succédant au remarqué In Plain Speech (paru en 2015 sous le pseudonyme de Jackie Lynn) et co-produit par Haley Fohr et Cooper Crain, il traversera les années comme l’une des pierres angulaires de la discographie d’une des songwriters les plus énigmatiques mais aussi les plus talentueuses de la scène DIY actuelle. Pour les fans de : Lee Ranaldo, Julia Holter, Corey Hanson, Oneohtrix Point Never, etc.
Haley Fohr et sa voix saisissante voyagent dans un univers mystérieux, à la frontière entre rêves et monde physique. Reaching For Indigo est le 5e album de l’américaine Haley Fohr qui incarne Circuit Des Yeux depuis ses 18 ans, à moins que ce ne soit Circuit Des Yeux qui incarne en réalité Haley Fohr. La native de l’Indiana aujourd’hui basée à Chicago excelle dans la construction d’albums expérimentaux dans lesquels elle observe d’un point de vue inhabituel le monde cérébral et le monde physique entrer en collision, avec des mots et des sonorités à la fois familières et opaques. Toujours aussi mystérieuse, Fohr explique que le titre Reaching For Indigo fait référence « à un épisode qui est arrivé dans ma vie le 22 Janvier 2016. » et ce mystère résonne dans le monde sonore tourmenté et romantique dans lequel elle évolue sur quatre octaves avec sa voix fantomatique. Succédant au remarqué In Plain Speech (paru en 2015 sous le pseudonyme de Jackie Lynn) et co-produit par Haley Fohr et Cooper Crain, il traversera les années comme l’une des pierres angulaires de la discographie d’une des songwriters les plus énigmatiques mais aussi les plus talentueuses de la scène DIY actuelle. Pour les fans de : Lee Ranaldo, Julia Holter, Corey Hanson, Oneohtrix Point Never, etc.
DES TEXTES INTENSES PORTéS PAR L'éPURE DE SUBLIMES MéLODIES Se Passer Des Visages pourrait bien être l'album qui, paradoxalement, impose le faciès de Tom Poisson comme indispensable en 2020. Plus de quinze ans après le début de sa carrière, ce nouvel opus est en effet un recueil de chansons qu'il distille à visage découvert. Ces titres éclairent la personnalité de l'artiste d'un halo assez nouveau. Les thèmes abordés ici, la violence conjugale (Trois Bleus De Plus), le drame des migrants (Se Passer des Visages) ou l'émancipation face à nos propres démons (Ma Peur) forment l'architecture des chansons, qu'il déploie sur des airs parfois légers, sautillants, où la mélodie semble alléger la profondeur des textes. Les mélodies, les guitares, arborent une simplicité, une épure qui séduit d'emblée. Les arrangements laissent alors la part belle aux motifs plus complexes, agencés par Tom Poisson et ses acolytes Alexandre Léauthaud et Fred Pallem. Ce travail d'orfèvre ouvre aussi la voie à des gimmicks synthétiques (14 Ans Plus Tard) qui servent la rythmique avec entêtement. Puis Tom Poisson fait mouche quand il dévoile une connivence avec Laurence Jaillet sur l'espiègle Les Fantômes, ou avec CLIO pour l'épilogue La Chanson. Au final, si se passer des visages est une option, et parfois une nécessité, se passer de ces dix chansons de Tom Poisson devient difficile dès la première écoute.
DES TEXTES INTENSES PORTéS PAR L'éPURE DE SUBLIMES MéLODIES Se Passer Des Visages pourrait bien être l'album qui, paradoxalement, impose le faciès de Tom Poisson comme indispensable en 2020. Plus de quinze ans après le début de sa carrière, ce nouvel opus est en effet un recueil de chansons qu'il distille à visage découvert. Ces titres éclairent la personnalité de l'artiste d'un halo assez nouveau. Les thèmes abordés ici, la violence conjugale (Trois Bleus De Plus), le drame des migrants (Se Passer des Visages) ou l'émancipation face à nos propres démons (Ma Peur) forment l'architecture des chansons, qu'il déploie sur des airs parfois légers, sautillants, où la mélodie semble alléger la profondeur des textes. Les mélodies, les guitares, arborent une simplicité, une épure qui séduit d'emblée. Les arrangements laissent alors la part belle aux motifs plus complexes, agencés par Tom Poisson et ses acolytes Alexandre Léauthaud et Fred Pallem. Ce travail d'orfèvre ouvre aussi la voie à des gimmicks synthétiques (14 Ans Plus Tard) qui servent la rythmique avec entêtement. Puis Tom Poisson fait mouche quand il dévoile une connivence avec Laurence Jaillet sur l'espiègle Les Fantômes, ou avec CLIO pour l'épilogue La Chanson. Au final, si se passer des visages est une option, et parfois une nécessité, se passer de ces dix chansons de Tom Poisson devient difficile dès la première écoute.
Dans l'univers de la chanson française, peu d'artistes ont été capables de créer un univers bien à eux. Immédiatement identifiable par une tessiture de voix, un imaginaire visuel fort ou encore des paroles mêlant poésie, confessions et questionnements sur notre monde. Najoua Belyzel est de ces artistes. Après un premier single percutant, Gabriel, qui va s'installer pendant tout l'hiver 2006 sur les ondes, la chanteuse enchaîne. Avec son producteur, co-auteur et compositeur Christophe Casanave (Marc Lavoine, Hélène Ségara...), elle sort deux albums, écoule plus de 600.000 disques dont un sublime Viola en duo avec Marc Lavoine. Grâce à YouTube, où ses clips cumulent plusieurs millions de vues son succès dépasse nos frontières. 2019 signera le retour du duo avec un troisième album coup de poing intitulé Phénix. On y retrouve ce même univers unique électro-pop, envoûtant, ces gimmicks entêtants et des paroles qui ne laisseront personne indifférent. Après un premier single, Cheveux aux Vents, dévoilé en septembre dernier, Najoua revient avec un deuxième extrait, le captivant Tu Me Laisses Aller accompagné de nombreux remixes pensés pour les clubs (Agrume, People Theatre, Valhalla Skies Project) et d'un clip réalisé une nouvelle fois par Thierry Vergnes (Céline Dion, Amir...).
Dans l'univers de la chanson française, peu d'artistes ont été capables de créer un univers bien à eux. Immédiatement identifiable par une tessiture de voix, un imaginaire visuel fort ou encore des paroles mêlant poésie, confessions et questionnements sur notre monde. Najoua Belyzel est de ces artistes. Après un premier single percutant, Gabriel, qui va s'installer pendant tout l'hiver 2006 sur les ondes, la chanteuse enchaîne. Avec son producteur, co-auteur et compositeur Christophe Casanave (Marc Lavoine, Hélène Ségara...), elle sort deux albums, écoule plus de 600.000 disques dont un sublime Viola en duo avec Marc Lavoine. Grâce à YouTube, où ses clips cumulent plusieurs millions de vues son succès dépasse nos frontières. 2019 signera le retour du duo avec un troisième album coup de poing intitulé Phénix. On y retrouve ce même univers unique électro-pop, envoûtant, ces gimmicks entêtants et des paroles qui ne laisseront personne indifférent. Après un premier single, Cheveux aux Vents, dévoilé en septembre dernier, Najoua revient avec un deuxième extrait, le captivant Tu Me Laisses Aller accompagné de nombreux remixes pensés pour les clubs (Agrume, People Theatre, Valhalla Skies Project) et d'un clip réalisé une nouvelle fois par Thierry Vergnes (Céline Dion, Amir...).
Originaire de l’Essonne, Dandyguel a fait ses armes dans les open mic’. Son parcours de freestyleur est récompensé le 26 juin 2012, lorsqu’il devient Champion de France du contest End Of the Weak (EOW), Il cultive son côté MC en officiant dans de multiples événements tels que Beatdance Contest (Festival Paris Hip Hop), Paris Dance Delight, End of the Weak, Session 2 Style... En 2014, il devient chroniqueur sur France Ô, dans l’émission Le Labô et intervient dans plusieurs programmes télévisés sur C8. Avant tout amateur de musique, Dandyguel s'inspire de différents courants qu'il réinjecte dans son rap tant au niveau des textes que des instrus; des samples jazz, reggae, Gwo-ka et bossa nova. En 2012, Dandyguel sort la mixtape ‘Dandyseries vol.1’, suivi de l’EP ‘Retour Authentik’ en 2013. Pour la réalisation de son deuxième opus ‘Ça Graille’ en 2015, Dandyguel s'entoure de Busta Flex et Dj Sek de Time Bomb. Il fait appel à des beatmakers tels Zekwe Ramos, Oliver Drumdreamers (Deen Burbigo), Tismé et Busta Flex et partage le micro avec Ol Kainry, A2H, Swift Guad et des nouveaux venus comme PLB, et Mme Sow. Aujourd'hui, en 2017, c'est la sortie de son 1er album 'Trophée'. Ses textes parlent d'égotrip, de la vie quotidienne, de la banlieue et des femmes. Thèmes qu'il aborde comme toujours entre sérieux et dérision avec sa voix grave et une élocution de qualité, marque de fabrique de son flow !
Originaire de l’Essonne, Dandyguel a fait ses armes dans les open mic’. Son parcours de freestyleur est récompensé le 26 juin 2012, lorsqu’il devient Champion de France du contest End Of the Weak (EOW), Il cultive son côté MC en officiant dans de multiples événements tels que Beatdance Contest (Festival Paris Hip Hop), Paris Dance Delight, End of the Weak, Session 2 Style... En 2014, il devient chroniqueur sur France Ô, dans l’émission Le Labô et intervient dans plusieurs programmes télévisés sur C8. Avant tout amateur de musique, Dandyguel s'inspire de différents courants qu'il réinjecte dans son rap tant au niveau des textes que des instrus; des samples jazz, reggae, Gwo-ka et bossa nova. En 2012, Dandyguel sort la mixtape ‘Dandyseries vol.1’, suivi de l’EP ‘Retour Authentik’ en 2013. Pour la réalisation de son deuxième opus ‘Ça Graille’ en 2015, Dandyguel s'entoure de Busta Flex et Dj Sek de Time Bomb. Il fait appel à des beatmakers tels Zekwe Ramos, Oliver Drumdreamers (Deen Burbigo), Tismé et Busta Flex et partage le micro avec Ol Kainry, A2H, Swift Guad et des nouveaux venus comme PLB, et Mme Sow. Aujourd'hui, en 2017, c'est la sortie de son 1er album 'Trophée'. Ses textes parlent d'égotrip, de la vie quotidienne, de la banlieue et des femmes. Thèmes qu'il aborde comme toujours entre sérieux et dérision avec sa voix grave et une élocution de qualité, marque de fabrique de son flow !
Wear Your Wounds a été créé par le fondateur de Converge, Jacob Bannon. Conçu à l'origine comme un projet solo, il s'est transformé en un quintet qui s'associe également à d'autres artistes. Wear Your Wounds a sorti WYW, leur premier double album, en 2017. Un groupe de musiciens a ensuite été formé pour un certain nombre de concerts, dont le Roadburn Festival 2017 et le Desert Festival UK. Plus tard dans l'année, sort leur album expérimental Dunedevil, qui accompagne le livre d'art abstrait éponyme de Bannon. En 2018, Wear Your Wounds sort son album Live at the BBC enregistré au Studio Maida Vale. Cette même année, le groupe a également joué certains concerts sur la côte Est et en Europe, y compris une apparition au Roadburn Festival 2018, organisé par Bannon. Rust on the Gates of Heaven est le nouvel album de Wear Your Wounds. C'est la première fois que le line-up officiel du groupe, composé de Jacob Bannon (Converge), Mike McKenzie (The Red Chord, Stomach Earth, Unraveller), Adam McGrath (Cave In, Nomad Stones), Sean Martin (Twitching Tongues, ex-Hatebreed, ex-Kid Cudi) et Chris Maggio (ex-Trap Them, ex-Sleigh Bell), écrit et enregistre vraiment ensemble. Les musiciens Ben Chisholm (Chelsea Wolfe, White Horse) et Gared O'Donnell (Planes Mistaken For Stars, Hawks and Doves) font également une apparition sur l'album.
Voici maintenant trois ans que les Rennais des Madcaps sillonnent la France et ses contrées limitrophes avec leurs guitares nacrées italo-japonaises et leurs vieux tambours à paillettes. Avec leurs 150 concerts au compteur, ils ont pu obtenir la carte vermeille du réseau autoroutier du rock français et ainsi réaliser de substantielles économies pour retourner au studio Kerwax, temple de l’enregistrement analogique de l’ouest armoricain. Là, ils y ont enregistré « Slow Down », leur troisième album, à quatre et en direct dans la même pièce afin de capturer l’énergie de six mois de tournées qui ont façonné ce disque. Si les deux précédents albums étaient essentiellement l’ouvrage de Thomas Dahyot, Slow Down s’équilibre et voit Bastien Bruneau et le petit nouveau Wenceslas Carrieu s’affirmer en tant que chanteurs, compositeurs, signant à eux deux cinq des morceaux du disque. Changement de personnel et nouvelles directions musicales donc; et pourtant les Madcaps n’ont jamais autant sonné comme un seul homme. Ils continuent de creuser leur sillon rock’n’roll, mais ont mis de côté le garage adolescent de leurs débuts. Les mélodies pop sont toujours de mise toutefois les morceaux sont plus épurés, aérés, laissant ainsi place à des cuivres, pianos, orgues, congas & guitares acoustiques, donnant tour à tour des accents rhythm & blues, glam, soul, western ou calypso au disque.
Wear Your Wounds a été créé par le fondateur de Converge, Jacob Bannon. Conçu à l'origine comme un projet solo, il s'est transformé en un quintet qui s'associe également à d'autres artistes. Wear Your Wounds a sorti WYW, leur premier double album, en 2017. Un groupe de musiciens a ensuite été formé pour un certain nombre de concerts, dont le Roadburn Festival 2017 et le Desert Festival UK. Plus tard dans l'année, sort leur album expérimental Dunedevil, qui accompagne le livre d'art abstrait éponyme de Bannon. En 2018, Wear Your Wounds sort son album Live at the BBC enregistré au Studio Maida Vale. Cette même année, le groupe a également joué certains concerts sur la côte Est et en Europe, y compris une apparition au Roadburn Festival 2018, organisé par Bannon. Rust on the Gates of Heaven est le nouvel album de Wear Your Wounds. C'est la première fois que le line-up officiel du groupe, composé de Jacob Bannon (Converge), Mike McKenzie (The Red Chord, Stomach Earth, Unraveller), Adam McGrath (Cave In, Nomad Stones), Sean Martin (Twitching Tongues, ex-Hatebreed, ex-Kid Cudi) et Chris Maggio (ex-Trap Them, ex-Sleigh Bell), écrit et enregistre vraiment ensemble. Les musiciens Ben Chisholm (Chelsea Wolfe, White Horse) et Gared O'Donnell (Planes Mistaken For Stars, Hawks and Doves) font également une apparition sur l'album.
La chanteuse aux millions de ventes, Crystal Gayle a interprété des chansons d'une grande variété de genres au cours de sa carrière primée, mais n'a pourtant jamais consacré un album à la classic country. C'est désormais chose faite avec You Don't Know Me, son premier album en 15 ans ! L'album pourrait surprendre ceux qui associent Crystal à un son de quartiers chics, particularité qui fit d'elle une star dans les charts country et de la pop contemporaine. You Don't Know Me est une collection dans laquelle l'artiste acclamée explore les chansons de légendes de la country comme George Jones, Patsy Cline, Buck Owens et Eddy Arno Crystal a fait la première partie de certains de ces artistes originaux, dont Marty Robbins, Eddie Arnold, Jack Greene, son frère Jay Lee Webb, George Jones, Faron Young, Buck Owens, Johnny Rodriguez et Merle Haggard. Cet album est intimement lié à Crystal puisque plusieurs membres de sa famille y ont participé, sous différentes formes; ses soeurs, Loretta Lynn et Peggy Sue, collaborent pour la première fois avec elle dans Put It Off Until Tomorrow, écrite par Dolly Parton; son fils, Christos Gatzimos, a coproduit, enregistré ainsi que mixé l'album et son cousin, Alex Giavis, et sa fille, Catherine Gatzimos, ont élaboré la pochette. On trouve en bonus track une démo de son single I Cried The Blue Right Out Of My Eyes enregistrée alors qu'elle était encore au lycée, initialement écrite par Loretta Lynn.
Ysa Ferrer naît à Oran d'un père d'origine algérienne et d'une mère française. Elle se fait connaître sur le petit écran dans la série Seconde B dont 104 épisodes seront diffusés sur France 2. En parallèle, elle écrit et compose avec Daniel Castano ses premiers titres. Ysa Ferrer a un univers bien à elle. Une musique pop électro, des visuels très travaillés. Elle aborde avec une grande liberté des thèmes parfois tabous comme la recherche d'identité ou la bisexualité. Elle devient une véritable icône gay et la presse la surnomme la Kylie Minogue française. Elle enchaîne les tubes et va jusqu'à jouer avec Katy Perry. En 2018 elle sort son single Née Sous X pour annoncer la couleur de son sixième album. XYZ, album finement calibré, fait référence aux générations X, Y, Z qui ont influencé son parcours musical et nous plonge en totale immersion des années 80 à aujourd'hui. Avec ses treize titres, ce nouvel album s'impose comme le reflet pur de l'artiste Ysa Ferrer par sa profondeur, sa sensibilité, tout comme sa folie et sa grande fantaisie. C'est un habile mélange de styles, où cohabitent des productions électro pop comme Née sous X, Tu Pédales ou Follow Me et d'autres plus sensuelles, épurées comme Je Sortirai Grandie, Passe Encore ou A l'évidence. De la pureté naïve de la vibration d'une corde de guitare sèche à la précision d'un son synthétique, en passant par des choeurs d'enfants et des cordes, XYZ est un disque multigénérationnel nous offrant treize pépites à écouter sans modération.
Si la fin des années 80 marque la naissance et le choc gangsta rap avec le couronnement du groupe NWA, c'est surtout à travers son premier album que Dr Dre avec sa vision novatrice et ses prods sophistiquées, a fait exploser le courant G-Funk. Ce son laidback qui colle à l'image ensoleillée et cool que renvoie la Californie, on le retrouve notamment avec le morceau de Leon Haywood samplé sur le classique « Nuthin but a G Thang ». Influencés par le groove et les sonorités P-Funk, énormément de rappeurs ont largement piochés dans la discographie de George Clinton et ses 2 groupes Parliament et Funkadelic, dont on retrouve 3 titres dans la sélection. La recette synthé/grosse basse, DJ Quik et Eazy E avec ses protégés du groupe Above the Law l'avaient aussi utilisés en samplant des groupes Funk tels que Brass Construction, One Way, les Bar-kays ou Fatback. Et tandis que le LBC crew produit et signé par Snoop Dogg s'était approprié le redoutable « Heartbreaker » du groupe de funk electronique Zapp, Ice Cube reprenait lui le beat et la guitare funky du leader Roger Troutman sur « How to survive in South Central », avant de faire dans le mélodique en samplant du Gap Band. Impossible aussi de ne pas sélectionner les Ohio Players avec le titre « Funky Worm » qui sert de base à tout hymne West Coast qui se respecte. Enfin, le symbolique et versatile 2Pac, avait rappé sur des morceaux ayant samplés des titres aussi variés qu'un jazz-funk spatial de Quincy Jones, ou un classique Funk 80s de Kleer pour le remix de « California Love ».
Si la fin des années 80 marque la naissance et le choc gangsta rap avec le couronnement du groupe NWA, c'est surtout à travers son premier album que Dr Dre avec sa vision novatrice et ses prods sophistiquées, a fait exploser le courant G-Funk. Ce son laidback qui colle à l'image ensoleillée et cool que renvoie la Californie, on le retrouve notamment avec le morceau de Leon Haywood samplé sur le classique « Nuthin but a G Thang ». Influencés par le groove et les sonorités P-Funk, énormément de rappeurs ont largement piochés dans la discographie de George Clinton et ses 2 groupes Parliament et Funkadelic, dont on retrouve 3 titres dans la sélection. La recette synthé/grosse basse, DJ Quik et Eazy E avec ses protégés du groupe Above the Law l'avaient aussi utilisés en samplant des groupes Funk tels que Brass Construction, One Way, les Bar-kays ou Fatback. Et tandis que le LBC crew produit et signé par Snoop Dogg s'était approprié le redoutable « Heartbreaker » du groupe de funk electronique Zapp, Ice Cube reprenait lui le beat et la guitare funky du leader Roger Troutman sur « How to survive in South Central », avant de faire dans le mélodique en samplant du Gap Band. Impossible aussi de ne pas sélectionner les Ohio Players avec le titre « Funky Worm » qui sert de base à tout hymne West Coast qui se respecte. Enfin, le symbolique et versatile 2Pac, avait rappé sur des morceaux ayant samplés des titres aussi variés qu'un jazz-funk spatial de Quincy Jones, ou un classique Funk 80s de Kleer pour le remix de « California Love ».
En 2002, le tout premier volume de la série Le Pop mettait en valeur le renouveau de la scène française qui tirait alors son inspiration de la pop, du minimalisme et du son indé. 16 ans plus tard, la scène française est plus vigoureuse que jamais comme le démontre Le Pop 9 : Au Début en 16 chansons. Cette nouvelle génération est clairement plus influencée par les styles de production dérivant de l'electro, du R&B et du hip-hop. Polo & Pan (Canopée) sont ainsi deux DJ, la chanteuse de Hollydays (Les Insatisfaits) apprécie Rihanna alors que son partenaire lui préfère Amon Tobin et Aphex Twin, Angèle (Je Veux Tes Yeux) est la soeur du rappeur Roméo Elvis, Ezéchiel Pailhès (éternel été) est le cofondateur du duo electro Nôze. On trouve également Laurie Darmon (Rupture), lauréate du Prix George Moustaki, qui se fait accompagner sur scène d'un beatboxer, le groupe de pop indé La Femme (Où Va Le Monde), récompensé deux fois aux Victoires de la Musique, qui utilise jusqu'à quatre synthés en concert, et Chaton (Poésies) qui a recours à l'autotune. Flavien Berger (La Fête Noire) livre une pièce minimaliste évoquant Suicide, Ali Daniel (à Peine Défigurée) met en musique Paul Eluard sur un fond musical afrobeat. Parmi les autres pépites de la compilation on croisera Eddy Crampes (Automne), Achille (Nina), Pomme (De Là-Haut), Paradis (Sur Une Chanson En Français), Gérald Kurdian (La Mer du Nord), Adrien Soleiman (Poisson Volant) et Alexia Gredy Paradis. Cette génération marque un nouveau début pour une scène française multi-facettes des plus créatives !
Le producteur suisse Idealist revient avec son deuxième LP intitulé Mind Field avec huit nouveaux morceaux à tendance dub. Basé à Zurich, en Suisse, le producteur et DJ Idealist est devenu une figure respectée des scènes house dubby et techno au cours des cinq dernières années via ses sorties sur Echocord et ses labels Idealistmusic et Details Series, en obtenant au fur et à mesure le soutien de Mike Huckaby, Dana Ruh, Tini et Mandar pour n'en citer que quelques-uns. Nous le voyons donc revenir sur le label de Copenhague, Echocord, avec le successeur de Firewood Street sorti en 2016. L'album commence avec Explorer, qui donne le ton avec des percussions croustillantes, des séquences flottantes et des phases de dub aérien avant que Dimension n'emploie des subs vibrants, des accords d'orgue synthétisé et des percussions analogiques granuleuses. Stage One est un exemple brillant de dub-techno efficace tandis que Golden Places offre quelque chose de différent, avec une basse groovy, des battements de 303 et des cordes cinématographiques. MITH augmente le niveau d'énergie avec un rythme dynamique et robuste, ainsi que de sombres effets modulatoires avant que Singularity ne nous ramène en territoire deep avec des sons de synthé voltigeants, des pads vacillants et une batterie elastique. Smoke and Mirrors se construit sur une boucle avec des synthés affutés, des percussions cahoteuses et des tressautements de hats avant que Final Cut ne clôture l'album avec une basse agitée et des percussions brutes. L'ensemble se déploie avec des nuances subtiles faisant de cet album une nouvelle perle à découvrir d'urgence.
Au cours de ces vingt dernières années, le chemin de Terence Fixmer à travers le paysage fluctuant de la techno aura été tout sauf direct. Le producteur, musicien et DJ français, fondateur du label Planète Rouge, a en effet longtemps été influencé par la périphérie des sous-genres de la dance d'Europe continentale, l'electronic body music (EBM), l'acid et le new beat, avant de les combiner dans son propre style hybride et futuriste avec des classiques comme Muscle Machine en 2001 ou Between the Devil en 2004 avec Douglas McCarthy (Nitzer Ebb). Alors que ce son a été redécouvert et reforgé récemment par une nouvelle génération de producteurs, Fixmer se dirige avec Through the Cortex vers une différente sorte d'electro, teintée d'indus, davantage menée par des séquenceurs analogues, des mélodies et des sons ultra saturés de synthés que par la batterie et percussions. En huit morceaux et 40 minutes, ce nouvel album est un disque techno avec une voix - ou plutôt de multiples voix - qui guide l'auditeur à travers un espace hypnotique. Les morceaux vont du funk d'Expedition inspiré par le Assaut de John Carpenter au martèlement musculaire de Fury en passant par le magnétisant single Accelerate qui évoque Suicide et sur lequel Fixmer utilise sa voix comme un instrument, ou encore la redescente stellaire teintée de krautrock A Halo Somewhere. Throught the Cortex reflète la vision unique de Terence Fixmer des sous-genres de la techno mais aussi de la musique électronique en générale, une approche très large qui se traduit par un son multiforme qui nécessite de nombreuses écoutes pour se dévoiler entièrement.
Au cours de ces vingt dernières années, le chemin de Terence Fixmer à travers le paysage fluctuant de la techno aura été tout sauf direct. Le producteur, musicien et DJ français, fondateur du label Planète Rouge, a en effet longtemps été influencé par la périphérie des sous-genres de la dance d'Europe continentale, l'electronic body music (EBM), l'acid et le new beat, avant de les combiner dans son propre style hybride et futuriste avec des classiques comme Muscle Machine en 2001 ou Between the Devil en 2004 avec Douglas McCarthy (Nitzer Ebb). Alors que ce son a été redécouvert et reforgé récemment par une nouvelle génération de producteurs, Fixmer se dirige avec Through the Cortex vers une différente sorte d'electro, teintée d'indus, davantage menée par des séquenceurs analogues, des mélodies et des sons ultra saturés de synthés que par la batterie et percussions. En huit morceaux et 40 minutes, ce nouvel album est un disque techno avec une voix - ou plutôt de multiples voix - qui guide l'auditeur à travers un espace hypnotique. Les morceaux vont du funk d'Expedition inspiré par le Assaut de John Carpenter au martèlement musculaire de Fury en passant par le magnétisant single Accelerate qui évoque Suicide et sur lequel Fixmer utilise sa voix comme un instrument, ou encore la redescente stellaire teintée de krautrock A Halo Somewhere. Throught the Cortex reflète la vision unique de Terence Fixmer des sous-genres de la techno mais aussi de la musique électronique en générale, une approche très large qui se traduit par un son multiforme qui nécessite de nombreuses écoutes pour se dévoiler entièrement.
Anadol est le projet de synth-folk de Gözen Atila, l'artiste sonore et photographe turque basée à Berlin. Uzun Havalar, son troisième album, s'inspire d'improvisations collectives sur des chansons folkloriques du Moyen-Orient appelées 'uzun hava'. Sous sa direction, elles se transforment en ballades riches en atmosphères synthétiques où les nombreux musiciens improvisent ensemble créant des sons d'une complexité fascinante. Anadol les a enregistrés durant de longues sessions à Istanbul. On peut entendre des batteurs rire et jouer de la guitare, des compositeurs hurler, des annonces en français et des cris qui ne correspondent à aucune langue connue, des collectionneurs de disques jouant sur les oscillateurs, et des trompettes transperçant de spacieux échos. Anadol libère Gözen Atila d'une approche plutôt académique de la composition électronique qu'elle a apprise durant ses études en technologie musicale à Istanbul. Elle appelle son éducation le côté sombre de la musique sérieuse et a d'abord essayé de s'y conformer avant de s'en écarter avec l'aide de la synth-pop lo-fi. En tant que productrice de pièces radiophoniques et artiste experte de l'enregistrement sur le terrain, elle a développé un sens particulier du timing, du montage et de la conception sonore. Son projet Anadol marche sur les traces d'expérimentateurs solitaires comme Bruce Haack et The Space Lady : on retrouve leur curiosité enfantine pour les sons électroniques, repoussant les limites de l'équipement minimal. Sur Uzun Havalar, elle traduit son parcours expérimental en ballades folkloriques aériennes. L'album est initialement sorti sur cassette via Kinship en 2018.
ALBUM LIVE INSTRUMENTAL DES SUéDOIS ENTRE ROCK PSYCHé, PROG & STONER Ceux qui ont eu la chance de voir Dungen sur scène sont conscients de l'expérience transformatrice qui les attend, de la façon dont le groupe assemble une fine et ardente tapisserie de chansons. Live, le nouvel album de Dungen, est le fil doré et scintillant qui maintient tout cela ensemble. Il met en lumière le groupe sur son propre terrain de jeu, gardant pour l'occasion un jeu fougueux et des solos époustouflants, des éléments de leurs moments les plus inspirés assemblés en une seule pièce par le producteur Matthias Glava qui a travaillé sur Stadsvandringar, Allas Sak et Haxän. Live a été enregistré fin novembre 2015, au Stora Teatern à Göteborg et au Victoriateatern à Malmö. Gustav Ejstes semble au sommet de son art, dirigeant des courants d'énergie et de mélodie avec la précision d'un contrôleur aérien. On retrouve le toucher magistral du guitariste Reine Fiske qui s'illustre également au Mellotron. Le bassiste Mattias Gustavsson et le batteur Johan Holmegard sont comme à leur habitude imperturbables et maintiennent l'ensemble tels une colonne vertébrale remuant sauvagement. Rejoints à ces occasions par le saxophoniste suédois Jonas Kullhammar, ce furent sans aucun doute des expériences intenses. Entièrement instrumental, y compris la reprise de Ain't So Hard To Do de Doug Jerebine, Live met en avant ce que Dungen fait de mieux : attaquer la musique avec l'âme pure d'un fan et la virtuosité incandescente d'un maître. Live renferme la quintessence du groupe, ses envolées, ses moments d'improvisation, cette cohésion née par le son, tout ce qui l'a hissé au sommet du mouvement psychédélique.
COMPILATION RéALISéE PAR ROCé Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l'énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d'immigrés. J'ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l'urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des damné.e.s de la terre. Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d'identification, un oubli de l'histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu'elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. A la jonction des luttes de libération des pays d'origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l'Histoire des livres scolaires ne dit pas. Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d'être refermé, nous plongeant dans l'individualisme, le court terme, l'absence de projets de société. Rocé Le digipak deluxe inclut un livret 40 pages et le double vinyle un livret 36 pages avec photos couleurs et pochette originales, une note d'intention rédigée par le rappeur Rocé et un commentaire écrit par les historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, qui décrivent les contextes de l'époque et des pays dont proviennent les morceaux.
Né en Louisianne, Marc Broussard a été biberonné par la musique de son père Ted, guitariste de The Boogie Kings et membre du Hall of Fame de Louisianne. La scène vibrante de Lafayette lui a permis d'exercer son art de l'enfance à l'âge adulte. Après un premier EP autoproduit à 20 ans, il signe avec Island Records et sortira plusieurs albums en major aux cours des 10 années suivantes. Il décide plus récemment de retourner à ses racines indépendantes, ce qui lui permet d'être plus créatif, plus productif, et plus libre. Ainsi en 2016 il réalise avec succès un album de reprises soul dont il reverse la moitié des bénéfices à l'oeuvre de charité City of Refuge. Avec son nouvel album enregistré à Carmel, en Californie, Marc démontre sa facilité à passer de la soul à la pop, de la country au jazz. La plupart des morceaux ont été co-écrits avec son ami de longue date Jimmy McGorman que l'on retrouve également à la production. Si la plupart des chansons sont de nouvelles compositions, on trouve tout de même trois reprises : Baton Rouge de Frankie Miller, I'll Stand by You de The Pretenders et une sublime interprétation du Mercy Mercy Me de 1971 de Marvin Gaye. A l'inverse de son effort précédent, Marc opte pour des arrangements et interprétations plus personnelles. Le slow-funk du morceau Anybody Out There écrit de la perspective d'un sans-abris et le douloureux R&B de Wounded Hearts s'inscrivent profondément dans la tradition bayou soul de la Nouvelle-Orléans et peuvent évoquer The Neville Brothers. I Miss You, compagnon de route idéal, le catapulte aux côtés de Tom Petty et Bruce Springsteen, alors que Don't be Afraid to Call Me est une ode à d'anciens amis, perdus en cours de route, habitée par une magnifique mélodie.
COMPILATION RéALISéE PAR ROCé Je fais partie de cette génération qui a vu naître le rap français, et avec lui l'énorme engouement pour cette musique des enfants de la deuxième et troisième génération d'immigrés. J'ai voulu creuser au-delà du rap, fouiller les artistes de la langue française qui véhiculent la poésie de l'urgence, la poésie à fleur de peau, engagée malgré elle parce que le contexte ne lui donne pas le choix. La poésie des damné.e.s de la terre. Ce projet, musical et de patrimoine, répond à un besoin : (re)donner la voix aux nouvelles générations qui évoluent en France avec une absence d'identification, un oubli de l'histoire de leurs parents dans le paysage politique et culturel qu'elles traversent en grandissant. Il écrit une autre histoire de la musique en français. A la jonction des luttes de libération des pays d'origines, des luttes ouvrières, des exils, il cristallise une époque où les luttes bâtissaient des fraternités, des affirmations, de la dignité, des liens entre les peuples opprimés et des convergences que l'Histoire des livres scolaires ne dit pas. Ce disque est donc un constat, un bout de mémoire qui montre que le champ des possibles était ouvert un court moment, avant d'être refermé, nous plongeant dans l'individualisme, le court terme, l'absence de projets de société. Rocé Le digipak deluxe inclut un livret 40 pages et le double vinyle un livret 36 pages avec photos couleurs et pochette originales, une note d'intention rédigée par le rappeur Rocé et un commentaire écrit par les historiens, Naïma Yahi et Amzat Boukari-Yabara, qui décrivent les contextes de l'époque et des pays dont proviennent les morceaux.
KOKOKYINAKA est une expérience immersive et aussi intense qu'une promenade à midi sur un marché africain... OY (alias Joy Frempong), la chanteuse Suisso-Ghanéenne aux multiples talents fait certainement partie d'une espère rare : à la fois à l'aise dans un son excentré, et doté d'un penchant pour l'écriture de mélodies inoubliables et dont on peut difficilement se débarrasser. Trois ans après son premier album enjoué First Box Then Walk, OY est de retour avec une offrande : un nouveau LP intitulé de manière cryptique Kokokyinaka. Le résultat fait plier les genres, un ragoût généreusement assaisonné d'electronica aux accents africains, le tout accompagné d'une garniture d'histoires somptueuses et de proverbes colorés. Kokokyinaka est un disque conceptuel et mélodique conçu comme la bande son d'un road-trip à bord d'un poids lourd. La voix de Joyce mue tout du long, changeant de palettes de couleurs, de textures, de styles; un peu comme les histoires qui y sont racontées et qui relient entre eux des dialogues entendus au hasard, des proverbes et des contes populaires. La base de samples très dynamiques inclut un parachute, des feux d'artifice et une chaussure. Ces samples ont été en grande partie enregistrés lors de voyages au Mali, au Burkina Faso, au Ghana et lors d'un séjour en Afrique du Sud. L'écriture et la composition du disque à proprement parler ont eu lieu dans des studios à Berlin sous la houlette du batteur talentueux, producteur et co-auteur Lleluja-Ha. Kokokyinaka est une oeuvre mature qui exhibe la versatilité de Joy Frempong en tant que compositeur, chanteuse et conteuse, mais c'est avant tout un témoignage de son approche unique de l'electronica : fulgurant, complètement expérimental et pourtant submergé de mélodies attendrissantes.
KOKOKYINAKA est une expérience immersive et aussi intense qu'une promenade à midi sur un marché africain... OY (alias Joy Frempong), la chanteuse Suisso-Ghanéenne aux multiples talents fait certainement partie d'une espère rare : à la fois à l'aise dans un son excentré, et doté d'un penchant pour l'écriture de mélodies inoubliables et dont on peut difficilement se débarrasser. Trois ans après son premier album enjoué First Box Then Walk, OY est de retour avec une offrande : un nouveau LP intitulé de manière cryptique Kokokyinaka. Le résultat fait plier les genres, un ragoût généreusement assaisonné d'electronica aux accents africains, le tout accompagné d'une garniture d'histoires somptueuses et de proverbes colorés. Kokokyinaka est un disque conceptuel et mélodique conçu comme la bande son d'un road-trip à bord d'un poids lourd. La voix de Joyce mue tout du long, changeant de palettes de couleurs, de textures, de styles; un peu comme les histoires qui y sont racontées et qui relient entre eux des dialogues entendus au hasard, des proverbes et des contes populaires. La base de samples très dynamiques inclut un parachute, des feux d'artifice et une chaussure. Ces samples ont été en grande partie enregistrés lors de voyages au Mali, au Burkina Faso, au Ghana et lors d'un séjour en Afrique du Sud. L'écriture et la composition du disque à proprement parler ont eu lieu dans des studios à Berlin sous la houlette du batteur talentueux, producteur et co-auteur Lleluja-Ha. Kokokyinaka est une oeuvre mature qui exhibe la versatilité de Joy Frempong en tant que compositeur, chanteuse et conteuse, mais c'est avant tout un témoignage de son approche unique de l'electronica : fulgurant, complètement expérimental et pourtant submergé de mélodies attendrissantes.
Installé au rang des grands représentants de la nouvelle scène néo-soul UK après le succès de son premier album Memories en 2018, Ady Suleiman entame 2019 avec la sortie du deuxième projet de sa carrière, Thoughts & Moments Vol. 1, une mixtape sur laquelle le joyau de Nottingham parcourt plus largement le spectre R&B, avec une aisance mélodique et une élégance vocale toujours plus distinguables. Enregistré à Stockholm et produit par Maths Time Joy (Gallant), Grades (Nao, Dua Lipa, Khalid), Winta James (Nas & Damian Marley) et Family_Time, Thoughts & Moments Vol.1 est un recueil de chansons nées à partir des mémos vocaux du téléphone d'Ady, bien souvent en tournée ces derniers mois. Je ne voulais pas enchaîner tout de suite avec un autre album, je voulais un peu de temps pour expérimenter. J'avais besoin de me sentir totalement libre. Ces chansons ont été conçues à partir de mes idées, mes ambiances et textes enregistrés sur mon téléphone. Nous sommes passés de l'acoustique à l'électrique, les gars ont ajouté leurs ingrédients et ont emmené les morceaux plus loin. Les interludes symbolisent l'esprit de ma démarche sur ce projet, j'ai enregistré mes vibrations sans contraintes confie le britannique de 26 ans. Brillant auteur-compositeur à la voix profondément émouvante, Ady Suleiman surprend par sa capacité à adapter sans le moindre filtre ses expériences de vie en chansons. Il se distingue de ses contemporains par un subtil équilibre entre R&B assurément moderne et classicisme néo-soul, des textes aussi sensibles que sincères, ce qui lui vaut l'admiration de fans de renom des deux côtés de l'Atlantique - de Chance the Rapper, Leon Bridges et Joey Bada$$ (avec lequel il a collaboré) à Michael Kiwanuka, Lianne Le Havas ou encore la jeune Mahalia. Vinyle rouge.
Les chasseurs de son de WEWANTSOUNDS reviennent avec une sélection du dimanche matin très spéciale et un mix sonore de titres triés sur le volet. SUNDAY MIXTAPE est une sélection de pop ensoleillée, grooves indés, disco lascive, electro servi frais. le tout agrémenté de quelques raretés cultes et d'une once de jazz. Sunday Mixtape, la potion sonore idéale pour vous remettre d'aplomb après une longue nuit à faire la fête. La plupart des titres de cette mixtape sont encore confidentiels au-delà du cercles de connaisseurs et présentent de jeunes artiste en devenir, à l'exception de la diva anglaise ALA.Ni et du succès récent de son album jazz mélancolique ou de L'Impératrice, la future sensation disco-pop française, qui fait de plus en plus parler d'elle. En dévoilant ces titres récents, le spécialiste parisien Olivier Pellerin crée une atmosphère colorée et détendue tout au long des 16 morceaux qui constituent cette mixtape. Vous y entendrez la nouvelle chanteuse nouvelle vague Laure Briard, le duo groovy américain Bones & Beeker, les producteurs de house minimale Roscius et Shigeto ou encore Domenique Dumont et ses rythmes baléariques qui font le buzz. Sunday Mixtape présente aussi quelques pépites cultes comme Farewell to Wendo de Mock & Toof, Hoping de Louie Austen ou Still You de Justine & The Victorian Punks, une rareté discoïde new-yorkaise de 1979 qu'on doit à l'égérie française Justine et au saxophoniste Avant jazz Peter Gordon, fréquent collaborateur d'Arthur Russell. Cette balade décontractée se conclut par deux petits joyaux jazz de Billie Holiday et Bob McFadden en point d'orgue d'une sélection à la sensualité revigorante et ensoleillée. Sunday Mixtape vous fera espérer que la journée soit sans fin.
DEUXIEME ALBUM DE LA LAURéATE DE LA NOUVELLE STAR Après deux années passées à interrompre la course effrénée des voyageurs, EMJI s'inscrit à la onzième saison de la Nouvelle Star. Dès ses premières prestations, elle impressionne par la maîtrise de ses réinterprétations des titres de Kate Bush, Blondie ou encore Sia. Survolant la compétition de sa voix puissante et cristalline, elle remporte la finale du télé-crochet et présente le titre Toboggan écrit par Jérôme Attal et arrangé par Mathias Malzieu (Dionysos). Le premier album d'EMJI, Folies Douces, sort en 2016 chez Polydor et présente une pop ciselée. En parallèle, elle se consacre à un tout nouveau projet en rejoignant la troupe de la comédie musicale Les 3 Mousquetaires. EMJI y interprète la sulfureuse Milady de Winter et instaure dans chacune de ses apparitions une véritable théâtralité. Après un triomphe au Palais des Sports, le spectacle se poursuit avec une tournée des Zéniths de France. Pour son second opus, Je Tu Elles, EMJI fait appel à Olivier Leducq producteur et réalisateur (Julien Doré, Big Flo & Oli, Louane...) dont les influences urbaines apportent des sonorités plus actuelles tout en conservant les qualités mélodiques inhérentes à EMJI. Je Tu Elles se veut le reflet des expériences et des rencontres d'une jeune trentenaire, EMJI y rassemble des histoires de femmes à travers leurs différents combats qu'elle aborde telles des guerrières. Sous ses allures pop et plus urbain que Folies Douces, Je Tu Elles aborde les sujets du féminisme, de l'homosexualité, de l'infidélité ou de la liberté sexuelle sous forme de témoignages de femmes fortes à la féminité assumée. Enfin libre de ses choix artistiques, EMJI prend un nouveau départ qui, à l'image du single Vegas, est à la fois inattendu et percutant. Préparez-vous à une expérience riche en émotions !
Kompakt présente un nouveau projet audiovisuel du producteur danois Kasper Bjorke, un album ambient et post-classique conceptuel à la fois épique et captivant. The Fifty Eleven Project interprète les montagnes russes émotionnelles vécues par Kasper depuis le diagnostic de son cancer il y a cinq ans. La semaine de sortie célèbre les deux ans de rémission. La base de l'album a été composée par Kasper et le sorcier des claviers Claus Noreen à Copenhague dans le studio de ce dernier avec des synthés, séquenceurs, echos et reverbs analogiques et vintages. L'ordinateur n'intervient que dans la phase d'enregistrement. Les parties de violons, altos et violoncelle sont composées et jouées par le compositeur italien composer Davide Rossi qui a aussi travaillé avec Ennio Morricone, Jon Hopkins, Röyksopp, The Verve et Goldfrapp. Les parties de piano sont composées et interprétées par le musicien danois Jakob Littauer (Jatoma) sur un vieux piano droit dans un studio ou sur un Steinway Grand Piano dans la salle de concert du Royal Danish Music Conservatorium. Du Sleep de Max Richter au Mary Casio : Journey to Cassiopeia d'Hannah Peel en passant le Music for Installations de Brian Eno, The Fifty Eleven Project continue une riche veine de travail par des compositeurs contemporains qui explorent une situation/condition, réalisé avec une perspective fonctionnelle et thérapeutique. L'aspect visuel a été réalisé en collaboration avec le laboratoire culturel Prxjects et l'artiste, réalisateur et photographe acclamé de Los Angeles Justin Tyler Close qui a créé des vidéos artistiques pour chacun des 11 morceaux ainsi qu'un clip reprenant des extraits de chaque film. Les films seront présentés à l'exposition d'art cinématographique au Klub de Copenhague du 12 au 21 octobre avant de tourner en Europe et aux Etats-Unis. Le visuel du coffret a été réalisé par l'artiste renommé Landon Metz. Le coffret contient plus de deux heures de musique réparties sur 3 vinyles 180 gr translucides.
LA NOUVELLE COMPILATION ANTHOLOGY PAR MIKEY YOUNG & KEITH ABRAHAMSSON POWER POP, FOLK PSYCHé, SOFT ROCK 70S 100% TRISTESSE GARANTIE L'époque à laquelle vous vivez vous a-t-elle déjà déprimé ? Vous ne serez peut-être pas toujours capable de vous sortir de cette tristesse, mais vous pourrez au moins adoucir votre spleen avec des chansons comme celles-ci. Mikey Young (Total Control / Eddy Suppression Ring) et Keith Abrahamsson (directeur artistique chez Anthology Recordings) collaborent à nouveau après leur compilation Follow The Sun (2017) pour vous proposer Sad About the Times, une collection de jammers nord-américains des années 70. Avec un soupçon de jangles de la côte Ouest par-ci parlà, ces titres traversent la frontière entre la power pop de l'époque et les jams de fin de soirées sponsorisées par la drogue. Vous pouvez également entendre des échos de folk rock, de soft rock, et même détecter quelques flashbacks psychédéliques. Cependant malgré les écarts de genre, l'atmosphère de Sad About The Times reste dominée par un chant habité. Ces chansons s'inscrivent dans le sillage des années 60 psychédéliques, après que l'idéalisme extravagant ait fait son temps et que les auteurs-compositeursinterprètes aient pris de l'ascendant. Après la fête, place à la réalité. Tous ces titres auraient pu être des hits. A leur manière, tous véhiculent subtilement des émotions universelles, difficiles à décrire mais faciles à ressentir. La tristesse peut être une affirmation de la vie; ces chansons peuvent ouvrir cette porte. Si elles ne le pouvaient pas, elles ne seraient pas si agréables. Heaven is boring, hell is where the action is [on s'ennuie au paradis, c'est en enfer que ça se passe] a dit quelqu'un; mais si vous mélangez les deux ensemble, vous pourriez trouver des chansons comme celles-ci. 20 titres avec Willow, Jim Spencer, Sky, Emmett Finley, David Chalmers, Hoover, Perth County Conspiracy, Jode, Norma Tanega et bien plus. Artwork réalisé par Brian Blomerth.
LA NOUVELLE COMPILATION ANTHOLOGY PAR MIKEY YOUNG & KEITH ABRAHAMSSON POWER POP, FOLK PSYCHé, SOFT ROCK 70S 100% TRISTESSE GARANTIE L'époque à laquelle vous vivez vous a-t-elle déjà déprimé ? Vous ne serez peut-être pas toujours capable de vous sortir de cette tristesse, mais vous pourrez au moins adoucir votre spleen avec des chansons comme celles-ci. Mikey Young (Total Control / Eddy Suppression Ring) et Keith Abrahamsson (directeur artistique chez Anthology Recordings) collaborent à nouveau après leur compilation Follow The Sun (2017) pour vous proposer Sad About the Times, une collection de jammers nord-américains des années 70. Avec un soupçon de jangles de la côte Ouest par-ci parlà, ces titres traversent la frontière entre la power pop de l'époque et les jams de fin de soirées sponsorisées par la drogue. Vous pouvez également entendre des échos de folk rock, de soft rock, et même détecter quelques flashbacks psychédéliques. Cependant malgré les écarts de genre, l'atmosphère de Sad About The Times reste dominée par un chant habité. Ces chansons s'inscrivent dans le sillage des années 60 psychédéliques, après que l'idéalisme extravagant ait fait son temps et que les auteurs-compositeursinterprètes aient pris de l'ascendant. Après la fête, place à la réalité. Tous ces titres auraient pu être des hits. A leur manière, tous véhiculent subtilement des émotions universelles, difficiles à décrire mais faciles à ressentir. La tristesse peut être une affirmation de la vie; ces chansons peuvent ouvrir cette porte. Si elles ne le pouvaient pas, elles ne seraient pas si agréables. Heaven is boring, hell is where the action is [on s'ennuie au paradis, c'est en enfer que ça se passe] a dit quelqu'un; mais si vous mélangez les deux ensemble, vous pourriez trouver des chansons comme celles-ci. 20 titres avec Willow, Jim Spencer, Sky, Emmett Finley, David Chalmers, Hoover, Perth County Conspiracy, Jode, Norma Tanega et bien plus. Artwork réalisé par Brian Blomerth.
Pure Bliss est une odyssée pop onirique et psychédélique de l'auteur-compositeur et multi-instrumentiste américain Shmu, coproduite par le gourou du psyché Vinyl Williams. Pure Bliss a longtemps été un album mis de côté, un projet prenant la poussière, pendant que Samuel Chown était occupé à sortir d'autres titres sous le nom de Shmu, Zorch et à travers une multitude d'autres projets, ainsi qu'à faire de nombreuses tournées en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Certaines chansons de l'album possèdent des démos remontant à 2004, lorsque Samuel n'avait que 17 ans. La majeure partie de l'oeuvre a cependant pris corps lors d'une période intense d'écriture et d'enregistrement entre 2014 et 2015, une sorte de journal musical qui relate les luttes de Chown contre l'anxiété et les troubles intenses du sommeil. L'ambiance du disque résulte en grande partie de la réflexion et de la réaction de Chown à cette période incertaine et étrange de sa vie. C'est une tentative d'exprimer ce bouleversement intérieur ainsi qu'un reflet de son expérience extérieure, à la recherche d'un sentiment de connexion avec lui-même, ainsi qu'une tentative d'atteindre le pur bonheur, au milieu d'une période sombre. Ce n'était jamais le moment pour Chown de sortir le disque ou de finir les démos jusqu'à ce qu'il les fasse écouter en 2018 au multi-instrumentiste et visionnaire Lionel Williams du groupe Vinyl Williams dont Chown allait par la suite devenir le batteur. Durant deux jours intenses, toute la batterie a été ré-enregistrée, suivie de quelques semaines de mixage, de mastering, de ré-amplification et dans quelques cas, Williams a ajouté des parties aux chansons. Ce dernier étant le seul a avoir participé à cette épopée shoegaze/dream pop de 60 minutes. Musicalement, l'album apparaît comme un mélange des musiques qui ont inspiré Chown lors de son enfance passée au Canada dans les années 90, à savoir ses 3 groupes préférés de l'époque : Smashing Pumpkins, My Bloody Valentine et Radiohead. Pure Bliss s'inscrit dans la continuité des disques classiques de shoegaze/dream pop, tels que Loveless. Cet album retrace le parcours de Chown depuis ses débuts avec le morceau Voices, réalisé alors qu'il était adolescent, jusqu'au plus récent Tempera Madonna; un parcours qui s'étend littéralement sur plus de 15 ans, laissant entrevoir une sorte de cycle de naissance, mort et de renaissance.
Pure Bliss est une odyssée pop onirique et psychédélique de l'auteur-compositeur et multi-instrumentiste américain Shmu, coproduite par le gourou du psyché Vinyl Williams. Pure Bliss a longtemps été un album mis de côté, un projet prenant la poussière, pendant que Samuel Chown était occupé à sortir d'autres titres sous le nom de Shmu, Zorch et à travers une multitude d'autres projets, ainsi qu'à faire de nombreuses tournées en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Certaines chansons de l'album possèdent des démos remontant à 2004, lorsque Samuel n'avait que 17 ans. La majeure partie de l'oeuvre a cependant pris corps lors d'une période intense d'écriture et d'enregistrement entre 2014 et 2015, une sorte de journal musical qui relate les luttes de Chown contre l'anxiété et les troubles intenses du sommeil. L'ambiance du disque résulte en grande partie de la réflexion et de la réaction de Chown à cette période incertaine et étrange de sa vie. C'est une tentative d'exprimer ce bouleversement intérieur ainsi qu'un reflet de son expérience extérieure, à la recherche d'un sentiment de connexion avec lui-même, ainsi qu'une tentative d'atteindre le pur bonheur, au milieu d'une période sombre. Ce n'était jamais le moment pour Chown de sortir le disque ou de finir les démos jusqu'à ce qu'il les fasse écouter en 2018 au multi-instrumentiste et visionnaire Lionel Williams du groupe Vinyl Williams dont Chown allait par la suite devenir le batteur. Durant deux jours intenses, toute la batterie a été ré-enregistrée, suivie de quelques semaines de mixage, de mastering, de ré-amplification et dans quelques cas, Williams a ajouté des parties aux chansons. Ce dernier étant le seul a avoir participé à cette épopée shoegaze/dream pop de 60 minutes. Musicalement, l'album apparaît comme un mélange des musiques qui ont inspiré Chown lors de son enfance passée au Canada dans les années 90, à savoir ses 3 groupes préférés de l'époque : Smashing Pumpkins, My Bloody Valentine et Radiohead. Pure Bliss s'inscrit dans la continuité des disques classiques de shoegaze/dream pop, tels que Loveless. Cet album retrace le parcours de Chown depuis ses débuts avec le morceau Voices, réalisé alors qu'il était adolescent, jusqu'au plus récent Tempera Madonna; un parcours qui s'étend littéralement sur plus de 15 ans, laissant entrevoir une sorte de cycle de naissance, mort et de renaissance.
On peut se demander : A l'époque des playlists streaming et de l'omniprésence des mixes en libre accès, à quoi sert la compilation d'un label ? La réponse est simple : les labels effectuent encore un tri, indispensable dans ce tsunami de musique auquel nous sommes confrontés chaque jour. Les labels s'efforcent d'établir un climat de confiance entre les artistes et les auditeurs. C'est comme ton restaurant préféré au coin de la rue. Sur l'impulsion du moment, on peut toujours trouver plus excitant cet endroit branché qui vient de s'ouvrir ailleurs. Mais quand l'effet nouveauté estompé, on retourne toujours dans son lieu de prédilection. L'endroit où l'on connaît votre nom et le dernier verre est offert par la maison. C'est ce que Kompakt est devenu pour des générations de fans et d'artistes. Et la série de compilation Total sert de menu : toujours varié mais reconnaissable instantanément. Comme d'habitude, Total propose une collection des plus grands titres de ces dernières années, la crème de la crème de Kompakt avec une production ininterrompue de singles complétée par huit titres inédits exclusifs qui sont tous disponibles sur l'édition vinyl 2LP de Total 19. Avec Jurgen Paape, les célèbres frères Voigt, Thomas/Mayer et Jörg Burger - tous les pères fondateurs sont à bord. Les artistes Sascha Funke et Justus Köhncke font leur retour tant attendu, ce dernier avec un hommage pervers à Patrick Cowley appelé Mindless Sex Track. Le jeune Julian Stetter de Cologne remixe Albert Luxus, une formation pop locale en plein essor. Le Colognais Jonathan Kaspar fait ses débuts au label avec son titre Renard. DJ Balduin est définitivement à surveiller en 2020. Son énorme E.W.B.A.A. transcende le populisme amical d'un ancien hymne de Love Parade tout en capturant l'esprit sincère du renouveau électro actuel. Vortex de Rex The Dog et Serenade de Tom Demac illustrent parfaitement pourquoi Kompakt est encore aujourd'hui l'un des labels les plus joués et les plus vendus de la musique électronique. Dans une scène plus fragmentée que jamais, ces deux producteurs ont livré de véritables succès consensuels qui sont appréciés sur toutes les tailles et formes de planchers au-delà des frontières du genre. La seconde moitié appartient complètement à une toute nouvelle génération de cette série bien-aimée comme Anna, Yotam Avni, Extrawelt, Raxon, Blackrachas, John Monkman et La Fleur aux côtés de des membres à plein temps que sont Patrice Bäumel, Kölsch et Gui Boratto. Les niveaux d'énergie sont très élevés et le message est très clair : on n'arrêtera jamais de danser comme ça !
Lorsque vous faites une compilation aujourd'hui, que vous voulez la sortir et que les gens l'achètent et l'écoutent, l'histoire que vous racontez doit être vraiment intéressante. Florian Seyberth et Peter Heider ont toujours une super histoire à raconter. Mieux connus sous le nom de Boozoo Bajou, les deux compositeurs et producteurs originaires de Nuremberg en Allemagne ont créé leur propre univers sonore depuis la sortie de leur premier album Satta en 2001. Quelques compilations sur des labels tels que Stereo Deluxe, !K7 ou Apollo, filiale de R & S, et deux albums plus tard, Seyberth & Heider ont ensuite trouvé leur concept phare avec Shimmer. Shimmer - A Selection by Boozoo Bajou Vol. 1 est sorti en 2017, et Boozoo Bajou présente maintenant une nouvelle sélection de 17 morceaux de musique populaire des cinq dernières décennies triés sur le volet. Le premier volume avait finalement une atmosphère un peu sombre, se souvient Florian Seyberth. Nous avons donc décidé que le volume 2 devait être un peu plus lumineux. Nous avons grandi à une époque où le DJing et les compilations étaient entièrement dédiés au storytelling. Aujourd'hui, ces activités semblent être réduites à de simples compétences techniques et à la possession d'un énorme disque dur. Nous espérons que Shimmer peut remettre la lumière sur cet esprit qui semble s'être perdu il y a quelque temps. Le morceau d'ambient folk moderne Allocate de Damien Jurado annonce parfaitement la couleur avec un ton très soul, avant que Infinite Avenue de Carmen Villain apporte une certaine mélancolie scandinave positive. Michael Nau suit avec l'envoutant Smooth Aisles qui permet de conserver l'ambiance émouvante chaleureuse de ce deuxième volume de Shimmer. Tarbox Poltergeist de The Entourage Music and Theater Ensemble est l'un des premiers classiques de la musique ambient et folk. Initialement sorti sur Folkways et plus tard réédité par le label Tompkins Square, il nous introduit à une perspective fascinante de la scène multidisciplinaire et contre-culturelle de la danse, de la musique et du théâtre au milieu des années 70 aux états-Unis. Quelle transition parfaite avec le titre instrumentale hypnotique Oscura Primavera du groupe légendaire Can. Uhuuus et Daytripper sont deux morceaux inédits de Boozoo Bajou, qui nous amènent à la seconde moitié de la compilation. Le duo révèle son expertise en matière de pop européenne des années 1980, avec notamment le mystérieux On A Trouvé... d'Isabelle Mayereau. On trouve également Raf Rundell avec Within Without, Valentina Mora et son morceau aux sonorités psychédéliques Ash Walk, et Al Chem, avec le joyeux et rythmé No Hopper. Faire suivre ces trois titres de musique électronique moderne avec un standard de Neville Brothers est un choix fort. Avec sa batterie clairsemée, sa voix monocorde et ses paroles simples, Sons And Daughters, de l'album classique de 1990 Brother's Keepe r, ne ressemble à aucun autre morceau de Neville. Sur Darkness, Fat Jon The Ample Soul Physician met à jour cet esprit avec un groove drum & bass qui amène joliment au titre The Border de Astronauts, etc., une mélodie indie-pop lente et accrocheuse. Vient ensuite Brigitte de la légendaire romancière, compositrice et interprète Brigitte Fontaine paru en 1972. Shimmer Vol. 2 se doit donc de boucler la boucle avec deux instrumentaux : Ceremony de Gaussian Curve, publié sur le très populaire label hollandais Music From Memory, qui va bien au-delà des sonorités habituelles de l'ambient, et bien sûr, Shimmer de Boozoo Bajou qui terminent eux-même cette merveilleuse compilation avec ce morceau éponyme et inédit. Donc si vous recherchez une belle histoire avec une bonne intrigue, Shimmer - A Selection By Boozoo Bajou Vol. 2 est faite pour vous !