Junior Makhno. Comme le nom de code d’un virus destructeur encore à l’étude. Si dès la fin des années 90 les premiers signes du danger sont apparus, il a fallu attendre 2007 pour officiellement recenser la première victime : Junior Makhno venait de remporter un concours de remix organisé par Dj Muggs (Cypress Hill) endévitalisant la concurrence. Dès lors, le fléau rythmique n’a plus cessé de se répandre dans le hip hop, augmentant sa vigueur au fur et à mesure des ses productions pour finalement passer l’Atlantique et contaminer les albums de Ill Bill, Goretex (Non Phixion), Vinnie Paz, Jedi Mind Tricks, ou encore Diabolic. Aucune brillance, ni refrains calibrés. Aucune tentative d’arrangements lissés. Avec ses synthés soviétiques, ses beats d’outre-tombe où se balancent scalps de films de série Z et ses boucles oppressantes taillées dans la soul ou les cuivres de guerre, le style Makhno suinte autant la rue que les ambiances post-apocalyptiques. Le MC qui s’inocule une de ses prods doit abandonner toute idée de passer dans la cabine pour chantonner ou raconter des bleuettes. Aussi, au moment de rejoindre la lumière pour exposer au grand jour ses effets dévastateurs et sortir un album sous son seul nom, Junior Makhno a rallié derrière lui une cohorte de MC’s prêts à brutaliser l’instru, à râper la ligne de basse, à taper sur les temps sans se retourner, sans se préoccuper des dégâts causés. Ill Bill, Diabolic et Goretex ont à nouveau répondu présents, rejoignant les nouveaux adeptes Lateb, Chief Kamachi, Dirt Platoon, Vic Spencer, Vendetta Kingz, Planet Asia, IDE & Alucard, Esoteric & Vakill. Rimant avec dans le bras la perfusion délétère posée par Junior Makhno, devenant de leur plein gré les acteurs des quatorze titres de Party Discipline. Quatorze titres que les cuts agités de Dj Djaz et de DJ Nix’On maintiennent sous tension, quatorze titres suffocants où même les pauses instrumentales ne permettent pas de prendre une bouffée d’air frais salvatrice. L’espoir a fait ses valises. Défiguré, le boom-bap est à genoux, prêt à recevoir son injection létale.
Pour la première fois réédité, ce troisième album de la harpiste américaine Carol KLEYN est sorti originellement en 1983. Avec ces arrangements simples mais superbes et sa voix aérienne « Return Of The Sylkie » est un magnifique exemple du talent de cette artiste méconnue.
Pour la première fois réédité, ce troisième album de la harpiste américaine Carol KLEYN est sorti originellement en 1983. Avec ces arrangements simples mais superbes et sa voix aérienne « Return Of The Sylkie » est un magnifique exemple du talent de cette artiste méconnue.
Les légendes du rock britannique rendent hommage à certains de leurs artistes favoris. Inclus dans la tracklist : ZZ Top ‘Just Got Paid’, The Yardbirds ‘Heartful Of Soul’, Mad Season ‘River Do Deceit’, etc. Pour les fans de : Thin Lizzy, Deep Purple, Blue Öyster Cult, etc.
Cette première sortie pour le label Burning Shed est une compilation de deux albums de Nick BEGGS (membre du Steve Hackett Group). On y entend les influences jazz rock (Metheny et Pastorius) mais aussi des ambiances plus atmosphériques voire classique.
Disparu en 1999, BIG L est une légende du rap US. RBC records présente en 2011, sous le titre « THE DANGER ZONE » une série de classiques de BIG L remasterisés ainsi qu'un bon nombre de FREESTYLES inédits à ce jour. Un must pour tous les fans que ne cessent de suivre cet artiste au talent immense. BIG L, Rest In Peace...
Nouvelle collaboration hors-norme pour le duo phare de l’Animalerie ! Requiem/Nativité se détache des disques précédents tout autant du point de vue des compositions d'Oster Lapwass (qui expérimente plus que jamais) que de celui de l'écriture et de l'interprétation de la part de Lucio Bukowski. Il n'est pas question ici seulement de la mort et de la naissance mais des morts et des naissances successives de chaque homme et femme à chaque instant de son existence. Qu'il s'agisse d'art, d'amour, de routine quotidienne ou de questions sociales, rien de linéaire, rien de figé, mais un mouvement continuel : celui de l'expérience et de la beauté, de la terreur et de la création... En ce sens Lucio Bukowski et Oster Lapwass contournent les règles et dogmes propres au rap (qu'il soit moderne ou classique) pour faire naître un album à la couleur singulière et à la musicalité difficilement classable. Les compositions bougent et vivent, se métamorphosant en cours de route tandis que les textes empruntent parfois des voies inhabituelles (recours à la rime embrassée, prose...) et des flows changeant. Le format des chansons lui-même s'inscrit dans le refus du cadre (celles-ci variant de deux à plus de treize minutes). Sans compromis et hors norme.
Nouvelle collaboration hors-norme pour le duo phare de l’Animalerie ! Requiem/Nativité se détache des disques précédents tout autant du point de vue des compositions d'Oster Lapwass (qui expérimente plus que jamais) que de celui de l'écriture et de l'interprétation de la part de Lucio Bukowski. Il n'est pas question ici seulement de la mort et de la naissance mais des morts et des naissances successives de chaque homme et femme à chaque instant de son existence. Qu'il s'agisse d'art, d'amour, de routine quotidienne ou de questions sociales, rien de linéaire, rien de figé, mais un mouvement continuel : celui de l'expérience et de la beauté, de la terreur et de la création... En ce sens Lucio Bukowski et Oster Lapwass contournent les règles et dogmes propres au rap (qu'il soit moderne ou classique) pour faire naître un album à la couleur singulière et à la musicalité difficilement classable. Les compositions bougent et vivent, se métamorphosant en cours de route tandis que les textes empruntent parfois des voies inhabituelles (recours à la rime embrassée, prose...) et des flows changeant. Le format des chansons lui-même s'inscrit dans le refus du cadre (celles-ci variant de deux à plus de treize minutes). Sans compromis et hors norme.
3èME ALBUM FEAT. MASTA ACE & OPEN MIKE EAGLE PRODS PAR ?UESTLOVE, MF DOOM, MARK RONSON, PRINCE PAUL, MEMORY MAN, JAMES POYSER & KENNY SEGAL L'écriture du rappeur américain MC Paul Barman est d'un autre niveau. Le niveau qui lui vaut le rare privilège d'être cité dans l'Oxford English Dictionary. Le niveau qui signifie que l'on n'avait jamais utilisé tel ou tel mot de cette façon mais que ça sera désormais la norme. Le niveau où la princesse n'est pas dans un autre château. Pour (((Echo Chamber))) le troisième album de MC Paul Barman et le premier depuis 2009, ?uestlove des Roots a produit pas moins de 6 titres. On y trouve également des productions de Mark Ronson, MF Doom, Prince Paul, James Poyser (The Roots), Kenny Segal et Memory Man, des featuring de Masta Ace et Open Mike Eagle, des scratches de l'anglais DJ Yoda, du sound design par Steinski et une conception graphique par Graham Hill. Une équipe de poids lourds pour un album qui va résonner pendant longtemps ! Inclus un livret 12 pages avec les paroles.
Depuis ses débuts avec un fichier envoyé d'un ordinateur de New Delhi jusqu'à une tournée mondiale avec un groupe formé sur Internet, Skyharbor a défié les conventions de bout en bout. En 2012, leur premier album Blinding White Noise attire l'attention des médias et réunit des fans de plus en plus nombreux au point de lancer leur deuxième album Guiding Lights en 2014 via une campagne de crowdfunding qui dépassera les attentes. Le groupe americano-indien charme les foules sur scène avec un metal progressif aérien. En France, on les remarques en première partie de Deftones à l'Olympia en 2017. Pour ce troisième album le groupe est parti en Australie pour enregistrer avec le producteur Forrester Savell. Résultat d'un travail de près de quatre ans, Sunshine Dust délivre l'émotion et les atmosphères vaporeuses entendues précédemment mais ajoute quelques chamboulements tectoniques. Le mur du son immersif de Skyharbor, plus fin et précis que jamais, brille avec une nouvelle chaleur presque entièrement analogique. Le groupe, soudé par les expériences communes de ses membres, fait un bond en avant et repousse avec grâce les frontières qui séparent les structures traditionnelles de la dextérité technique.
4 titres du dernier album de S U R V I V E remixés par Lena Willikens, Not Waving, Sam Haar (Blondes) et Justin K Broadrick aka JK Flesh (Godflesh, Jesu). Pour les fans de : John Carpenter, Trent Reznor, Tangerine Dream, Boards Of Canada, The Haxan Cloak, Zombi, Visible Cloaks, Floating Points, etc.
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.
Passion Like Fire est le septième album de Tamia, chanteuse soul / R&B de Toronto nommée six fois aux Grammy Awards mais aussi productrice et actrice. Elle a collaboré avec Quincy Jones, Barry White, Eric Benet et tourné avec Beyoncé, Alicia Keys, R Kelly. Pour ce nouvel album qui marque les 20 ans de son premier effort éponyme paru en 1998, Tamia a retrouvé trois producteurs avec lesquels elle avait déjà travaillé, les faiseurs de hits Salaam Remi (Amy Winehouse, Jazmine Sullivan, Miguel), Lil Ronnie (Mary J. Blige, R. Kelly, Britney Spears) et Shep Crawford (Deborah Cox, Neil Young). Pour la première fois elle collabore avec le producteur latino Andres Torres (Marc Anthony). Passion Like Fire a été séquencé de façon à miroiter les différentes étapes d'une relation, on y trouve le brûlant premier single Leave It Smokin', la ballade Deeper, le mid-tempo Stay, Better avec une vibe rappelant Sade ou encore la potentielle chanson des mariages de 2018 Today I Do. Mais Tamia est avant tout une voix passionnée, puissante, soyeuse et envoûtante !
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.
Depuis ses débuts avec un fichier envoyé d'un ordinateur de New Delhi jusqu'à une tournée mondiale avec un groupe formé sur Internet, Skyharbor a défié les conventions de bout en bout. En 2012, leur premier album Blinding White Noise attire l'attention des médias et réunit des fans de plus en plus nombreux au point de lancer leur deuxième album Guiding Lights en 2014 via une campagne de crowdfunding qui dépassera les attentes. Le groupe americano-indien charme les foules sur scène avec un metal progressif aérien. En France, on les remarques en première partie de Deftones à l'Olympia en 2017. Pour ce troisième album le groupe est parti en Australie pour enregistrer avec le producteur Forrester Savell. Résultat d'un travail de près de quatre ans, Sunshine Dust délivre l'émotion et les atmosphères vaporeuses entendues précédemment mais ajoute quelques chamboulements tectoniques. Le mur du son immersif de Skyharbor, plus fin et précis que jamais, brille avec une nouvelle chaleur presque entièrement analogique. Le groupe, soudé par les expériences communes de ses membres, fait un bond en avant et repousse avec grâce les frontières qui séparent les structures traditionnelles de la dextérité technique.
Kalipo, de son vrai nom Jakob Häglsperger, est un producteur d'origine bavaroise, notamment connu pour faire partie de la formation électro punk allemande Frittenbude. En tant que Kalipo, l'artiste basé à Berlin adopte une direction musicale différente et moins sauvage, sa musique se situant entre sa passion pour le downtempo et la musique rave. En plus de partager ses compétences de producteur et remixeur avec une grande variété d'artistes au cours de ces dernières années, il est également apparu sur plusieurs compilations Stiff Little Spinners. Le premier album de Kalipo, Yaruto, suivait le récit abstrait d'une biographie impersonnelle en créant des ambiances correspondant à certaines étapes de la vie. Yaruto est sorti sur Antime Records, le label berlinois dirigé par Martin Steer, également membre de Frittenbude. Depuis ses premiers enregistrements dans sa chambre natale en Bavière jusqu'à ses enregistrements avec Frittenbude et son travail aux multiples facettes en tant que Kalipo, Jakob Häglsperger a toujours travaillé dur et été motivé par la passion et l'ambition qui ont amené autant d'oeuvres d'art uniques et intemporelles. Trois ans après son deuxième album, Wanderer, Kalipo revient avec Space Bob.
KRS-ONE & BUCKSHOT unis sur un même album ? Oui, vous ne rêvez pas, c'est bien une réalité avec «SURVIVAL SKILLS», l'événement hip hop de la rentrée conduit avec brio par les icons east coast KRS-One & Buckshot ! Cet album fera date dans l'histoire du hip-hop, comme certaines autres pièces maitresses qui ont vu des monuments du hip hop s'associer. Ce projet, bien avant sa sortie, a déjà fait couler beaucoup d'encre des 2 cotés de l'Atlantique. bien entendu sur les noms des 2 maîtres de cérémonie réunis pour l'occasion mais aussi sur le who's who qui a été invité à participer à «Survival Skills», pour n'en citer que quelques-uns : DJ Revolution, Mary J Blige, Talib Kweli, Pharoahe Monch, Smif N Wessun, Bounty Killer. rien que ça ! Le premier single, ROBOT, à générer plus de 15,000 downloads sur iTunes aux US, France, UK, Japon en une semaine. tandis que la video est en forte rotation sur des chaines tels que MTV (US, France, UK.), VH1, le titre joué activement sur HOT 97 (NY), Generation (Paris), BBC Radio 1 (UK) et playlisté par les plus grands DJ de la planête. Après la sortie de l'album solo de B-Real, le label Duck Down tape encore très fort avec ce «futur classic» qui va ravir les fans des deux stars mais aussi tous les amoureux du hip hop, des plus jeunes aux plus avertis.
à notre époque de grande consternation aux états-Unis, il faut America's Funnyman pour montrer la voie vers un peu d'amour et de divertissement. Avec ses cordes vocales et un orchestre de studio complet derrière lui, Neil Hamburger est de retour pour ramener à la vie certaines des plus grandes chansons de son époque. Connu pour ses spectacles comiques, Neil n'est pas en reste en matière de divertissement musical. Avec Still Dwelling, la touche Neil Hamburger est appliquée à un véritable pot-pourri de compositeurs du 20ème siècle, de Frank Loesser à Lennon & McCartney ou encore d'Andrew Lloyd Webber à T.S.O.L. Sans oublier Ann & Nancy Wilson, Mark Eitzel, et Sonny Curtis. Ce projet ambitieux a débuté avec une poignée de standards populaires que Neil Hamburger et son accompagnateur de choix, Erik Paparozzi, ont régulièrement présenté en concert. Constatant l'accueil positif qu'ils recevaient à chaque spectacle, Neil et Erik ont entrepris de ré-enregistrer ces chansons en studio. Au fil du temps, des célébrités telles que John Rabbit' Bundrick (The Who), Probyn Gregory (Brian Wilson, Beach Boys), Tanya & Petra Haden, Bar McKinnon (Mr. Bungle), Mikael Jorgenson (Wilco), D.J. Bonebrake (X) et beaucoup d'autres ont été accueillis pendant les sessions d'enregistrement, et des groupes d'amis et de membres de la famille ont contribué au chant. Parmi eux Jack Black et Mike Patton (Faith No More) pour un passage mémorable sur la reprise du Everything's Alright! de Jesus Christ Superstar. De nos jours, il est rare qu'un album pop utilise les talents de compositeurs aussi diversifiés, un goût éclectique que Neil partage avec son alter-ego Gregg Turkington. Avec un large éventail de styles sous les arrangements magnifiquement agencés de Paparozzi, Still Dwelling suggère une nouvelle définition de l'ère du Great American Songbook, incarnant une riche tradition qui a continué d'évoluer et de muter jusqu'à la fin du siècle. En fait, les albums comme Still Dwelling sont trop rares de nos jours ! Vous seriez davantage susceptible de trouver un album comme celui-ci dans une friperie que dans les magasins de disques d'aujourd'hui. Il était temps ! Avec Still Dwelling, Neil Hamburger fait face à son public comme jamais auparavant, avec un coeur littéralement rempli d'amour.
Sergio Mendoza et son orchestre sont connus pour la richesse de leur musique, mélange de différentes musiques latines. Mendoza la décrit comme du Mambo Indie est en fait une fusion de cumbia, mambo, merengue et ranchera.
à notre époque de grande consternation aux états-Unis, il faut America's Funnyman pour montrer la voie vers un peu d'amour et de divertissement. Avec ses cordes vocales et un orchestre de studio complet derrière lui, Neil Hamburger est de retour pour ramener à la vie certaines des plus grandes chansons de son époque. Connu pour ses spectacles comiques, Neil n'est pas en reste en matière de divertissement musical. Avec Still Dwelling, la touche Neil Hamburger est appliquée à un véritable pot-pourri de compositeurs du 20ème siècle, de Frank Loesser à Lennon & McCartney ou encore d'Andrew Lloyd Webber à T.S.O.L. Sans oublier Ann & Nancy Wilson, Mark Eitzel, et Sonny Curtis. Ce projet ambitieux a débuté avec une poignée de standards populaires que Neil Hamburger et son accompagnateur de choix, Erik Paparozzi, ont régulièrement présenté en concert. Constatant l'accueil positif qu'ils recevaient à chaque spectacle, Neil et Erik ont entrepris de ré-enregistrer ces chansons en studio. Au fil du temps, des célébrités telles que John Rabbit' Bundrick (The Who), Probyn Gregory (Brian Wilson, Beach Boys), Tanya & Petra Haden, Bar McKinnon (Mr. Bungle), Mikael Jorgenson (Wilco), D.J. Bonebrake (X) et beaucoup d'autres ont été accueillis pendant les sessions d'enregistrement, et des groupes d'amis et de membres de la famille ont contribué au chant. Parmi eux Jack Black et Mike Patton (Faith No More) pour un passage mémorable sur la reprise du Everything's Alright! de Jesus Christ Superstar. De nos jours, il est rare qu'un album pop utilise les talents de compositeurs aussi diversifiés, un goût éclectique que Neil partage avec son alter-ego Gregg Turkington. Avec un large éventail de styles sous les arrangements magnifiquement agencés de Paparozzi, Still Dwelling suggère une nouvelle définition de l'ère du Great American Songbook, incarnant une riche tradition qui a continué d'évoluer et de muter jusqu'à la fin du siècle. En fait, les albums comme Still Dwelling sont trop rares de nos jours ! Vous seriez davantage susceptible de trouver un album comme celui-ci dans une friperie que dans les magasins de disques d'aujourd'hui. Il était temps ! Avec Still Dwelling, Neil Hamburger fait face à son public comme jamais auparavant, avec un coeur littéralement rempli d'amour.
Mexican Summer propose la réédition des premiers albums du groupe culte et mystérieux, les new yorkais de Lansing-Dreiden. Remasterisés, pressés sur vinyle pour la première fois, avec des titres bonus, dans une edition limitée à 500 copies chacun dans un packaging deluxe et un artwork inédit en relief métallisé.
Mexican Summer propose la réédition des premiers albums du groupe culte et mystérieux, les new yorkais de Lansing-Dreiden. Remasterisés, pressés sur vinyle pour la première fois, avec des titres bonus, dans une edition limitée à 500 copies chacun dans un packaging deluxe et un artwork inédit en relief métallisé.
LE GROUPE DE DEATHCORE CALIFORNIEN FAIT UN RETOUR SALVATEUR AUX ORIGINES The Serpent Servant (2009), There Will be Violence (2010), Baptized in Filth (2012), et Death Will Reign (2013), n'ont jamais abandonné la volonté du groupe de combiner une sombre représentation de l'état actuel de l'humanité avec l'espoir d'une vie renouvelée arrachée aux griffes de la mort, alors même qu'ils exploraient et incorporaient divers aspects du métal et du thrash. Impending Doom s'éloigne des facilités offertes par l'industrie pour renaître avec un sixième album vindicatif, puissant et musicalement imbibé de sang à l'image de leur premiers efforts. S'ils ont par le passé travaillé avec des producteurs de haut niveau comme Zeuss (Rob Zombie, Hatebreed, Queensrÿche) et Will Putney (Every Time I Die, The Amity Affliction, Thy Art Is Murder), ils ont décidé pour ce sixième album de retourner à la source et à leur première méthode de travail avec un voile de mystères sonores. Ils ont fait appel à Christopher Eck qui avait produit leur premier album. C'est un traumatisme musical brutal absolu constitué de rédemptions et résolutions désespérées. Pas de compétition, pas de compromis, pas de carriérisme. Impending Doom est ressuscité, plus pur que jamais, uni par une vision collective cherchant à créer les missives métal les plus massives imaginables.
à peine son dernier album solo Fountain Fire sorti, Bill MacKay est de retour à la séparation harmonique des atomes avec ses six cordes de guitare dans cette nouvelle collaboration avec la violoncelliste Katinka Kleijn, Stir. Bill est un collaborateur passionné, et au cours des sept dernières années, lui et Katinka ont profité des concerts pour élever leur alchimie à une densité organique surprenante, avec des couleurs frappantes inspirées de la musique avant-rock, folk, jazz classique et expérimentale. C'est à la fois un mariage improbable et parfait car les deux musiciens sont connus non seulement pour leur talent, mais aussi pour leur créativité, leur curiosité et leur éventail de genres. Ensemble, ils forment un duo fluide, intuitif, dialogique et prompt à l'improvisation. Stir est centré sur une série de compositions de MacKay, en partie inspirées du roman Le Loup des Steppes de Hermann Hesse. La répétition et l'expansion des thèmes emprunte au monde de la musique de chambre, tandis que les distorsions, le jeu libre et le tranchant d'une grande partie de l'oeuvre s'inspirent clairement des amis du duo dans la noise et de l'avant-garde. Si Jimi Hendrix, Henry Flynt, John Cage, PJ Harvey, Duke Ellington, Eric Satie ou Body/Head vous viennent à l'esprit à l'écoute du disque, vous n'avez pas tort ! Bill MacKay est un guitariste auteur-compositeur-interprète qui nourrit la scène expérimentale rock, avant et folk depuis plus d'une décennie. Il a grandi à Pittsburgh et vit à Chicago depuis 1998. Katinka Kleijn est violoncelliste et vétéran de l'Orchestre symphonique de Chicago (CSO) et de l'International Contemporary Ensemble. Elle est originaire des Pays-Bas et vit à Chicago depuis 1995. Stir est leur premier album complet ensemble et toute la musique y est arrangée par MacKay et Kleijn.
LE GROUPE DE DEATHCORE CALIFORNIEN FAIT UN RETOUR SALVATEUR AUX ORIGINES The Serpent Servant (2009), There Will be Violence (2010), Baptized in Filth (2012), et Death Will Reign (2013), n'ont jamais abandonné la volonté du groupe de combiner une sombre représentation de l'état actuel de l'humanité avec l'espoir d'une vie renouvelée arrachée aux griffes de la mort, alors même qu'ils exploraient et incorporaient divers aspects du métal et du thrash. Impending Doom s'éloigne des facilités offertes par l'industrie pour renaître avec un sixième album vindicatif, puissant et musicalement imbibé de sang à l'image de leur premiers efforts. S'ils ont par le passé travaillé avec des producteurs de haut niveau comme Zeuss (Rob Zombie, Hatebreed, Queensrÿche) et Will Putney (Every Time I Die, The Amity Affliction, Thy Art Is Murder), ils ont décidé pour ce sixième album de retourner à la source et à leur première méthode de travail avec un voile de mystères sonores. Ils ont fait appel à Christopher Eck qui avait produit leur premier album. C'est un traumatisme musical brutal absolu constitué de rédemptions et résolutions désespérées. Pas de compétition, pas de compromis, pas de carriérisme. Impending Doom est ressuscité, plus pur que jamais, uni par une vision collective cherchant à créer les missives métal les plus massives imaginables.
Le producteur L'ORANGE s'est allié avec le rapper de Topeka (Kansas) pour un disque puant les bas-fonds. Glauque et abstrait à souhait, les beats de L'ORANGE sont habités par le flow de STIK FIKA. Avec des featurings de Rapsody, Open Mike Eagle, MindsOne, Has-Lo, 7even Thirty et yU et des cuts signés DJ IRon.
Le trio de dream pop de Birmingham JAWS revient avec un troisième album, le plus ambitieux jusqu'ici, intitulé The Ceiling. Enregistré avec Gethin Pearson, qui avait produit Simplicity en 2016, cet album marque un bond en avant musical pour le groupe, qui ajoute de nouvelles textures et perfectionne le son qui lui est propre depuis ses débuts.
Moritz Simon Geist, artiste multimédia et musicien robotique, sort son premier disque. Il s'agit du premier disque techno au monde joué entièrement par des robots futuristes qu'il a fabriqués par ses propres moyens. Tous les sons de cet album sont effectivement joués par des machines : des petits moteurs qui tapent sur du métal, des robo-kalimbas futuristes imprimées en 3D, des cliquetis venant de pièces récupérées sur d'anciens disques durs. Plusieurs années ont été nécessaires à Geist pour construire, ajuster, tester et jouer de tous ses instruments robotiques. Ses Robots Soniques tentent de repousser les limites de l'imaginable. Il l'avait déjà fait en 2012 avec son robot 808 bien connu - une boîte à rythmes emblématique devenue réelle, de 4 mètres sur 2, et remplie de pièces robotiques qui jouent des instruments en direct et devant le public. Maintenant, Moritz Simon Geist va encore plus loin dans la découverte du monde inconnu et futuriste de la techno robotique. Pour arriver à son but, il s'est associé aux sorciers berlinois de Mouse On Mars et s'est plongé dans l'histoire de la musique mécanique et des expériences des débuts de la musique électronique. Lorsque vous écoutez des robots jouer, vous réalisez qu'ils sonnent avec précision, mais contrairement aux sons numériques, ils transmettent un immense sentiment organique. Aucun beat n'est comme l'autre, tout se joue avec la physicalité acoustique réelle et donc l'erreur réelle. Et en même temps, la nature répétitive des robots les rend parfaits pour jouer de la musique électronique. C'est à la fois industriel et organique. Ce que Moritz Simon Geist a imaginé est un enregistrement stupéfiant de ce qui est possible aujourd'hui : explorer les sons mécaniques qui emplissent notre monde. Geist crée ainsi une bande-son éclatante de l'automatisation implacable et de la fragilité physique qui façonnent la société d'aujourd'hui.
Natif de l’Etat de New-York, Tone Chop s’associe avec une étoile montante de la scène canadienne, le producteur canadien Frost Gamble (Royce Da 5’9’’, Tragedy Khadafi, Slaughterhouse, Horshoe Gang, Crooked I, etc.), pour sortir cette pépite boom bap avec des featuring de Kool G Rap, Tragedy Khadafi, Planet Asia, DNA, etc.
Le trio de dream pop de Birmingham JAWS revient avec un troisième album, le plus ambitieux jusqu'ici, intitulé The Ceiling. Enregistré avec Gethin Pearson, qui avait produit Simplicity en 2016, cet album marque un bond en avant musical pour le groupe, qui ajoute de nouvelles textures et perfectionne le son qui lui est propre depuis ses débuts.
Moritz Simon Geist, artiste multimédia et musicien robotique, sort son premier disque. Il s'agit du premier disque techno au monde joué entièrement par des robots futuristes qu'il a fabriqués par ses propres moyens. Tous les sons de cet album sont effectivement joués par des machines : des petits moteurs qui tapent sur du métal, des robo-kalimbas futuristes imprimées en 3D, des cliquetis venant de pièces récupérées sur d'anciens disques durs. Plusieurs années ont été nécessaires à Geist pour construire, ajuster, tester et jouer de tous ses instruments robotiques. Ses Robots Soniques tentent de repousser les limites de l'imaginable. Il l'avait déjà fait en 2012 avec son robot 808 bien connu - une boîte à rythmes emblématique devenue réelle, de 4 mètres sur 2, et remplie de pièces robotiques qui jouent des instruments en direct et devant le public. Maintenant, Moritz Simon Geist va encore plus loin dans la découverte du monde inconnu et futuriste de la techno robotique. Pour arriver à son but, il s'est associé aux sorciers berlinois de Mouse On Mars et s'est plongé dans l'histoire de la musique mécanique et des expériences des débuts de la musique électronique. Lorsque vous écoutez des robots jouer, vous réalisez qu'ils sonnent avec précision, mais contrairement aux sons numériques, ils transmettent un immense sentiment organique. Aucun beat n'est comme l'autre, tout se joue avec la physicalité acoustique réelle et donc l'erreur réelle. Et en même temps, la nature répétitive des robots les rend parfaits pour jouer de la musique électronique. C'est à la fois industriel et organique. Ce que Moritz Simon Geist a imaginé est un enregistrement stupéfiant de ce qui est possible aujourd'hui : explorer les sons mécaniques qui emplissent notre monde. Geist crée ainsi une bande-son éclatante de l'automatisation implacable et de la fragilité physique qui façonnent la société d'aujourd'hui.
Avant de s'atteler à une carrière de compositeur pour Atlantic Records dans les années 70, Gene McDaniels s'est fait connaître avec son disque Tower of Strength au début des années 60. Cette édition de ce classique R&B / soul comprend trois titres bonus inédits. Vinyle 180 gr avec pochette gatefold.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
Vivus ! est le résultat de la captation de 2 concerts de DEATH, l'un des pionnier du métal, dans un package double CD deluxe. Le disque 1 contient les prouesses réalisées par le groupe au Whisky A Go-Go de Los Angeles alors que le disque 2 est un enregistrement brillant de DEATH lors du festival à Dynamo Open Air. « Vivus ! » est indispensable pour tous les fan de métal.
Robert Coyne est le fils du musicien, peintre et auteur Kevin Coyne, décédé fin 2004. Il a d'abord travaillé comme musicien, entre autres avec son père, mais aussi avec Eric Burdon, The Barracudas, Les Scientists, Amy Rigby, Spooky Tooth, Sky Saxon et Chris Wilson des Flamin 'Groovies, pour n'en nommer que quelques-uns. Out of Your Tree, son second album solo sur Meyer Records après Woodland Conspiracy en 2010, est à la fois une suite et une rupture délibérée des trois albums qu'il a enregistrés, également pour Meyer Records, avec le légendaire batteur de Can, Jaki Liebezeit, décédé en janvier 2017. Alors que la répétition mystique est commune à Out of Your Tree et à la trilogie Liebezeit, le rythme du nouvel album est plus méditatif, parfois surnaturel. Aux instrumentations de batterie et de guitare acoustique encore clairsemées s'ajoutent des éclairs de guitares, de claviers et de basse, souvent colorés avec des bandes d'écho et de réverbération évoquant le doo-wop des années 50 et le New York avant punk de Suicide, deux des principales influences de Coyne. Les percussions particulières de Werner Steinhauser, ami et collaborateur de longue date, et ancien partenaire musical de Kevin Coyne, le père de Robert, ajoute une continuité musicale et émotionnelle, tout comme le chant de la femme de Robert, Wendy, la seule autre musicienne de l'album.
Découvrez le nouvel album du groupe passé maître des riffs déchirants. Inspiré du space rock de COMETS ON FIRE et des sonorités analogiques de GOBLIN, ce nouvel opus est une petite bombe d'evil rock prog mêlé à du rock 70's. Des morceaux traduisant leur poigne instinctive et brutale de l'instrument, pour une succession de blasts terrassants.
Voici la réédition de The Meeting, troisième album solo de Martin Barre, paru originellement en 1996 ! Martin Barre, célèbre pour sa carrière de guitariste au sein du légendaire groupe prog rock Jethro Tull, façonne un son et un style qui lui sont propres sur ces chansons uniques ! Disponible en version deluxe digipak comprenant un livret.
Les pionniers du heavy metal Judas Priest reviennent avec la réédition de leur tout premier album Rocka Rolla, avec la pochette classique reprenant l'image des bouteilles de Coca-Cola, pour la première fois en relief avec une pochette gaufrée et un vinyle vert bouteille cola 180 GR.
Club mythique parisien crée en 1988, le REX CLUB demeure à ce jour le temple français de la musique électronique de part son histoire et les artistes qui s'y produisent régulièrement. Pour la première fois en 22 ans, le REX CLUB donne jour à « REXPERIENCE «, sa 1ere compilation mixée. Une évidence pour le REX CLUB que de confier le soin de la sélection et du mix à son plus ancien résident, D'JULZ. En, Djulz démarre sa résidence « Bassculture ». Devenu aujourd'hui l'un des vrais rendez-vous incontournable du REX CLUB, Bassculture a vu passer un bon nombre d'artistes de renoms, tels que Steve Bug, Josh Wink, Loco Dice, Luciano, Onur Ozer, Cassy, Sebo K etc. C'est à travers ces années que D'julz s'est construit une notoriété de Dj confirmé mais aussi de producteur émérite. Cet artiste reconnu dispose de plus d'une corde à son Arc et crée, il y a quelques mois son premier label « Bassculture », du même nom que ses soirées. Après seulement quelques releases, BASSCULTURE s'est hissé très rapidement au rang des labels référents en house et chacune des releases se retrouve chartés par la majorité des artistes de la scène électronique. Dans cette REXPERIENCE Vol1, D'Julz se livre à un exercice qu'il connait bien, Séduire son public par un mix groovy, fin et sensible, tout à l'image de ses sets. On retrouve dans ce mix quelques inédits mais aussi des titres plus anciens que l'on se délecte à redécouvrir. La sélection est parfaite et le mix excelle en fluidité. Les mélodies et rythmiques house nous bercent et nous envoutent tout au long du Mix. La « Rexperience » démarre par « un dimanche sans fin » d'ICub et ses ambiances dub. On ne se lasse pas d'écouter W!ld & Monsieur K « Not now i'm dancing (Anonym remix) ». On redécouvre « kalooo », de LEMOS, le premier ep du label Bassculture. C'est la parfaite alchimie avec working night par John Thomas (Octave one remix), mixée avec Holloway de Damian Schwartz. D'julz nous promène tout au long du mix, pour clôturer sur « Lagenthal » de Jagged remixé par Brother Vibes. Des titres de choix finement ajustés, plus qu'une expérience c'est la REXPERIENCE de D'julz.
Sur son second album pour Black Jazz, Bishop joue du piano acoustique, électrique et de l'orgue avec un style flamboyant qui en fait un must soul-jazz. Personne l : Bass - Gerald Brown, Drums - Bahir Hassan, Flute, Saxophone - Ronnie Laws, Keyboards - Walter Bishop, Jr., Percussion - Shakur M. Abdullah, Vibraphone - Woody Murray.
Le groupe de Chicago revient avec son premier album pour Relapse. Entre noise épique, black metal et drone, Return To Annihilation est un album massif qui plaira aux fans de Horseback, Sunn0))), Swans, Wolvserpent, Yellow Swans, Earth, Nadja... Edition limitée en vinyle vert menthe.
Le groupe de Chicago revient avec son premier album pour Relapse. Entre noise épique, black metal et drone, Return To Annihilation est un album massif qui plaira aux fans de Horseback, Sunn0))), Swans, Wolvserpent, Yellow Swans, Earth, Nadja... Edition limitée en vinyle vert menthe.
Post-garage, post-surf, post-psyché, post-lo-fi... Voici quelques-uns des termes employés par les médias pour décrire la musique de TY SEGALL. Ce mignon natif de Laguna Beach, Californie. À seulement vingt-cinq ans, il possède une culture musicale suffisamment gargantuesque pour bluffer les kids nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas connue : Eddie Cochran, Captain Beefheart, The Beach Boys, The Flamin' Groovies, The Thrashmen, The Kinks, The Red Krayola, Black Sabbath, The Troggs, T-Rex, The Pretty Things, Pavement, Beck... Mélomane omnivore et stakhanoviste, il a déjà officié au chant, à la guitare et à la batterie dans de nombreux groupes (Love Death, The Traditional Fools, Epsilons, Party Fowl, The Perverts, Sic Alps) et a fait paraître plus d'une vingtaine d'enregistrements sous son nom (dont quatre albums), avant de devenir un phénomène indie à la sortie de Melted (2010), troisième LP légèrement moins crasseux. Création jouissive et festive, perdue entre la folie brute d'un Syd Barrett et le panthéisme d'un Donovan, Twins nous renvoie des parfums de liberté, de joie toute simple où les orgues et les solos guitares dégoisent leur bonne humeur et leurs stupéfiants. Maîtrise technique, gaité de la composition, TY SEGALL renouent avec les volutes psychédéliques d'un Red Krayola première période. Ce disque est un plaisir sans limites.
Post-garage, post-surf, post-psyché, post-lo-fi... Voici quelques-uns des termes employés par les médias pour décrire la musique de TY SEGALL. Ce mignon natif de Laguna Beach, Californie. À seulement vingt-cinq ans, il possède une culture musicale suffisamment gargantuesque pour bluffer les kids nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas connue : Eddie Cochran, Captain Beefheart, The Beach Boys, The Flamin' Groovies, The Thrashmen, The Kinks, The Red Krayola, Black Sabbath, The Troggs, T-Rex, The Pretty Things, Pavement, Beck... Mélomane omnivore et stakhanoviste, il a déjà officié au chant, à la guitare et à la batterie dans de nombreux groupes (Love Death, The Traditional Fools, Epsilons, Party Fowl, The Perverts, Sic Alps) et a fait paraître plus d'une vingtaine d'enregistrements sous son nom (dont quatre albums), avant de devenir un phénomène indie à la sortie de Melted (2010), troisième LP légèrement moins crasseux. Création jouissive et festive, perdue entre la folie brute d'un Syd Barrett et le panthéisme d'un Donovan, Twins nous renvoie des parfums de liberté, de joie toute simple où les orgues et les solos guitares dégoisent leur bonne humeur et leurs stupéfiants. Maîtrise technique, gaité de la composition, TY SEGALL renouent avec les volutes psychédéliques d'un Red Krayola première période. Ce disque est un plaisir sans limites.
Un album conçu par 3 des plus grands esprits du jazz moderne : le saxophonist anglais Julian Argüelles, le percussioniste norvégien Helge Andreas Norbakken et certainement le plus grand pianiste portugais Mário Laginha, auteur de 8 des compositions. Dix titres aux mélodies complexes et lyriques qui célèbrent ce qu’il se fait de mieux dans le jazz européen aujourd’hui. Pour les fans de : Eldar Djangirov, Edward Simon, etc.
Le producteur de Caroline du Nord revient avec un 3e album inspiré d’un jazz épuré et de la musique du début du 20e siècle. Bien que le ton soit sombre cet album album s’appuie sur l’absurde pour combiner des histoires sombres avec les productions de L’Orange les plus lustrée à ce jour. Avec en featuring : Del The Funky Homosapien, Blu & Elzhi, Koreatown Oddity, Chuuwee & Solemn Brigham et Oddisee.
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Le groupe de metal Inter Arma, originaire de Richmond, continue de tracer son propre chemin ambitieux en mélangeant de façon épique doom, sludge et hard psych. Dans Sulphur English, leur nouvel album, le groupe explore plus profondément les sons doom prog organiques qui ont rendu Paradise Gallows et Sky Burial tellement excitants, tout en élargissant encore davantage la gamme psych-folk qui a fait de ces albums des oeuvres nobles. Peu de groupes de metal ont déjà fait un usage aussi efficace des instruments acoustiques que celui de Inter Arma. La guitare acoustique que l'on retrouve ainsi sur Stillness est aussi efficace que n'importe quelle basse saturée. Sur Observances of the Path on trouve une pièce de piano réverbéré qui déroule le tapis pour The Atavist's Meridian, un des sommets de l'album qui nous entraîne dans un royaume évoquant un Paradise Lost encore plus obscur, un Om encore plus agressif et un Kylesa encore plus rêveur qui joueraient tous ensemble. Peu de groupes font de la musique aussi captivante qu'Inter Arma. Leurs chansons calmes, presque méditatives, résonnent jusqu'à ce que vous soyez prêts à vous jeter d'un pont, puis c'est vous qu'ils jettent avec force ! Pour les fans de Neurosis, Cult of Luna, Yob, Thou, Ulcerate, Mastodon.
Voici la réédition de The Meeting, troisième album solo de Martin Barre, paru originellement en 1996 ! Martin Barre, célèbre pour sa carrière de guitariste au sein du légendaire groupe prog rock Jethro Tull, façonne un son et un style qui lui sont propres sur ces chansons uniques ! Disponible en version deluxe digipak comprenant un livret.
Premier album sortant sous son propre nom pour Anton Kubikov, la moitié du duo mythique SCSI-9 et membre proéminent de la scène électro russe. Whatness couvre un vaste territoire sonore en s’aventurant sur les terres du drone, de l’ambient dub ou encore du piano minimaliste, tout en restant fidèle à une esthétique émotionnelle sereine et captivante. Un tour de force de l’un des tous meilleurs compositeurs d’ambient aujourd’hui.
Velvet Desert Music Vol.1 est la première édition d'une nouvelle série de compilations sur Kompakt, réalisée par l'un des figures de proue de la musique électronique à Cologne, Jörg Burger (alias The Modernist, The Bionaut, Burger/Ink et bien d'autres). Velvet Desert Music Vol. 1 assemble des éléments rock, folk, country, surf, krautrock et psychédélique à de la musique électronique contemporaine. Velvet Desert Music Vol.1 contient des titres inédits et des remixes de Matias Aguayo (Terrapin), Fantastic Twins, Paulor, Rebolledo, Sascha Funke & Cosmo Vitelli, Superpitcher, The Modernist, et plus. Avec une ambiance et une atmosphère unique, cette compilation partage certaines similitudes avec la série Pop Ambient de Kompakt dans la mesure où elle ne ressemble pas à une compilation classique de différents artistes mais s'écoute comme si c'était l'album d'un groupe imaginaire. Jörg Burger est en charge du concept et de la sélection. Les styles de musique qu'il réunit ont eu une forte influence sur son travail depuis de nombreuses années. Il a désormais créé une plateforme pour les mettre en avant. En plus de présenter sa propre musique, Jörg Burger a invité des amis et artistes proches qui partagent des influences musicales similaires. Tous les morceaux ont été spécialement composés ou remixés pour la compilation, y compris le premier morceau de Burger/Ink depuis la sortie de l'emblématique Las Vegas sur Harvest et Matador Records en 1996.
Leoniden, à savoir Jakob Amr, Djamin Izadi, JP Neumann et les frères Lennart et Félix Eicke, créent avec leur musique une recette à la fois voluptueuse et explosve. On se sent comme en 1990, comme le suggère l'un des titres de l'album, qui a fait connaître le groupe. Leurs chansons sont de véritables blockbusters, parfaites pour la bande originale d'un film de Godzilla de la fin des années 90 ! Vinyle doré.
Le groupe de metal Inter Arma, originaire de Richmond, continue de tracer son propre chemin ambitieux en mélangeant de façon épique doom, sludge et hard psych. Dans Sulphur English, leur nouvel album, le groupe explore plus profondément les sons doom prog organiques qui ont rendu Paradise Gallows et Sky Burial tellement excitants, tout en élargissant encore davantage la gamme psych-folk qui a fait de ces albums des oeuvres nobles. Peu de groupes de metal ont déjà fait un usage aussi efficace des instruments acoustiques que celui de Inter Arma. La guitare acoustique que l'on retrouve ainsi sur Stillness est aussi efficace que n'importe quelle basse saturée. Sur Observances of the Path on trouve une pièce de piano réverbéré qui déroule le tapis pour The Atavist's Meridian, un des sommets de l'album qui nous entraîne dans un royaume évoquant un Paradise Lost encore plus obscur, un Om encore plus agressif et un Kylesa encore plus rêveur qui joueraient tous ensemble. Peu de groupes font de la musique aussi captivante qu'Inter Arma. Leurs chansons calmes, presque méditatives, résonnent jusqu'à ce que vous soyez prêts à vous jeter d'un pont, puis c'est vous qu'ils jettent avec force ! Pour les fans de Neurosis, Cult of Luna, Yob, Thou, Ulcerate, Mastodon.
Violence From the Vault compile les derniers enregistrements de la première formation des fondateurs du métal sludge, celle qui a enregistré le remarquable album Sore en 1994. Il ne contient que des morceaux inédits enregistrés par BUZZOVEN en 1995 et disponibles pour la première fois depuis. Violence Of The Vault est le testament d'un des groupes les plus uniques et injustement oublié de l'underground américain.
Les Texans d'IRON AGE ont partagé l'affiche de RISE &FALL, COLD WORLD, FUCKED UP et TRASH TALK depuis leurs débuts en 2005. Haut dignitaires de la tendance crossover à la CORROSION OF CONFORMITY, IRON AGE dévie cependant sur The Sleeping Eye de leur influence thrash initiale pour porter leur son NYHC vers une fin plus sombre et plus éloquente avec des plages atmosphériques et doom. A suivre!
Ce disque est une introduction fabuleuse à un pionnier majeur du jazz moderne. L'influence de Coltrane imprègne le développement du jazz tout au long des années 60 et 70 et, avec Miles Davis, il est peut-être le musicien de jazz le plus important de la seconde moitié du XXe siècle. Live In The 60's contient des enregistrements issus de lives réalisés pour des émissions de radio lors de sa tournée aux états-Unis entre 1961 et 1965.
Premier album sortant sous son propre nom pour Anton Kubikov, la moitié du duo mythique SCSI-9 et membre proéminent de la scène électro russe. Whatness couvre un vaste territoire sonore en s’aventurant sur les terres du drone, de l’ambient dub ou encore du piano minimaliste, tout en restant fidèle à une esthétique émotionnelle sereine et captivante. Un tour de force de l’un des tous meilleurs compositeurs d’ambient aujourd’hui.
Paru en 2009 sur le label allemand Kompakt, Take My Breath Away est le deuxième album du DJ et producteur electro brésilien Gui Boratto. Il y confirme son inimitable talent de mélodiste avec un album qui touche tous les genres de la musique électronique d'une main de maître. Chaque titre est une véritable perle musicale pour un voyage sonore exemplaire traçant des chemins de traverse dans la techno, l'ambient et l'électro pop.
Nouvelle compilation du label Stag-O-Lee. Les deux DJs de Stay Sick! enflamment les dancefloors de Brighton depuis 2008 à coup de 45T de titres proto soul, rock n roll, surf, rythm n blues ou twist. Ils emploient ici leurs talents de diggers pour constituer cette compilation qui inclut entre autres dans sa tracklist Phil Campos, Jimmy Shaw, Robert Parker, The Sentinals, The Idols ou encore Jessi Hill.