Dirty Henry est inspecteur de police à New York, « Big Apple » comme il l'appelle. Sa ville, il la connaît par c ur, depuis le temps qu'il en arpente les trottoirs sales lors des longues nuits d'enquête ou de filature. Car il est là, toujours, à veiller pour que la loi soit respectée. Car comme il le dit lui-même : « La loi est dure, mais c'est ma loi ». Henry est toujours accompagné de son fidèle chien, Bullet, et ensemble ils mènent leur vie de policiers. Et voilà qu'on leur confie la responsabilité d'un petit nouveau, Patrick Flannagan. Mais Henry est un inspecteur gaffeur, lourdeau, roublard et pas toujours très finaud Est-ce vraiment la meilleure personne pour former un jeune policier ? Surtout qu'il n'arrête pas de lui répéter : « Pr ends-en de la graine, poussin, répète Dirty à son jeune équipier, c'est encore le meilleur moyen pour un poulet de grandir » Version humoristique de « L'inspecteur Harry » et du grand Clint Eastwood, cette bande dessinée signée par le tandem de « L'Effaceur » est une grande réussite du genre !
Dirty Henry est inspecteur de police à New York, « Big Apple » comme il l'appelle. Sa ville, il la connaît par c ur, depuis le temps qu'il en arpente les trottoirs sales lors des longues nuits d'enquête ou de filature. Car il est là, toujours, à veiller pour que la loi soit respectée. Car comme il le dit lui-même : « La loi est dure, mais c'est ma loi ». Henry est toujours accompagné de son fidèle chien, Bullet, et ensemble ils mènent leur vie de policiers. Et voilà qu'on leur confie la responsabilité d'un petit nouveau, Patrick Flannagan. Mais Henry est un inspecteur gaffeur, lourdeau, roublard et pas toujours très finaud Est-ce vraiment la meilleure personne pour former un jeune policier ? Surtout qu'il n'arrête pas de lui répéter : « Pr ends-en de la graine, poussin, répète Dirty à son jeune équipier, c'est encore le meilleur moyen pour un poulet de grandir » Version humoristique de « L'inspecteur Harry » et du grand Clint Eastwood, cette bande dessinée signée par le tandem de « L'Effaceur » est une grande réussite du genre !
Un polar palpitant, musclé et rocambolesque, dans une ambiance à la Chester Himes, où se bousculent truands à la petite semaine, gangs afro-américains et police corrompue.En 1975, dans les sous-sols d'Harlem, Lennox Motumba s'enfonce un peu plus dans le tout pourri de la Big Apple. Cette fois, fort d'une drogue que lui a fournie son ami Mose, il espère doper un chien péruvien et lui faire remporter le Grand Ball, tournoi clandestin de combats de chiens. Le vainqueur doit empoche une jolie somme. Mais dans l'affaire, au grand désespoir de Dolorès, sa compagne exaspérée, Lennox perd son chien et ne gagne rien.Toujours poursuivis par une police toute corrompue qui compte bien leur faire leur fête, Lennox, Mose et Dolorès se rendent au Pérou pour faire l'acquisition d'une nouvelle bête auprès du Sentier Lumineux. Avec la bonne dose de drogue, celui-ci devrait se transformer en véritable monstre.
Être taxi à New-York.Après 20 ans sur des tournages de films et de séries, Benoît Cohen se sent vidé. L'enthousiasme s'est échappé. L'envie d'arrêter l'écriture et de poser un temps la caméra s'est tout entière emparée de lui. En 2015, cela fait un an qu'il réside à New-York et, pour se nourrir de la richesse de la métropole, il décide de devenir chauffeur de taxi. Dans une école du Queens, il apprend les ficelles du métier, fait la rencontre de ses futurs collègues (tous précaires, tous migrants...) et affronte le labyrinthe administratif qui mène à la licence de Taxi driver. Au volant de l'emblématique Yellow Cab, il arpente big Apple, observe les visages de ses milliers de passagers, discute... et fait régulièrement face aux préjugés qui entourent sa nouvelle profession. Ceux qui entraînent les clients, les flics et la ville entière à le considérer aléatoirement avec passivité, gentillesse ou agressivité...Benoît Cohen voulait écrire un film. Pourtant, la matière qu'il extrait de cette expérience sociale le marque profondément et l'amène à emprunter des chemins insoupçonnés. Le projet se transforme en roman autobiographique intercalé de réflexions sur le processus créatif. D'abord édité chez Flammarion, il prend dorénavant la forme d'une sublime bande dessinée grâce à Chabouté. Une aventure sensible, profondément humaine, devenue livre au graphisme époustouflant qui rend un vibrant hommage à la plus célèbre des cités américaines.