Zaza Fournier est une chanteuse à voix doublée d'une chanteuse à textes. Ses chansons qu'elle accompagne à l'accordéon se dévoilent sous perfusion Piaf, Fréhel mais aussi Elvis, Carl Perkins. Brodé sur de sthèmes universels, elles parlent d'amour et de romantisme avec une pointe de suave cruauté Après s'être fait remarquer en fin d'année dernière avec son premier album, Zaza Fournier revient avec une nouvelle édition de ce disque comprenant en bonus 2 inédits et une reprise de Love me tender d'Elvis Presley et la vidéo du clip de la Vie à 2, un mini portrait de zaza Fournier en chanson et un extrait live.
KORPIKLAANI a déjà sorti en sept ans, pas moins de six albums, et enchaîné autant de tournées, devenant ainsi à plus d'un égard le représentant le plus populaire du Folk Metal. Avec Ukon Wacka, autant le dire tout de suite, les fans de la première heure ne seront pas déroutés. Original et envoutant, il remplit également à merveille son contrat d'efficacité. Musicalement les 6 finlandais restent fidèles à euxmême. On retrouve toujours cet esprit festif où l'accordéon et le violon sont harmonieusement mêlés à des riffs de guitare endiablés. Ukon Wacka est un album fabuleux, mélange de Metal à la voix éraillée et de Folk festif, tout droit sortie des légendes scandinaves.
Enregistré en 2011, lors d'un concert d'exception sur deux soirées au San Francisco's Great American Music Hall, l'album comprend 12 chansons produites par Cooder et l'ensemble Corridos Famosos, dans lequel on compte Joachim Cooder à la batterie, Robert Francis à la basse, Terry Evans, Arnold McCuller et Juliette Commagère aux choeurs, Flaco Jimenez à l'accordéon et les dix musiciens de l'ensemble de cuivres mexicain La Banda Juvenil. Live in San Francisco comprend les chansons originales et des interprétations de pièces de l'ensemble de la carrière de Cooder, de classiques comme « Boomer's Story » et « Dark End Of The Street » aux compositions plus récentes tel que « Lord Tell Me Why » et « El Corrido de Jesse James », en passant par Sam the Sham and the Pharaohs « Whooly Bully » and Lead Belly's « Goodnight Irene ». PRODUIT PAR RY COODER
Tony Allen est depuis longtemps reconnu comme le batteur le plus original de la planète, et l'un des musiciens les plus influents du continent noir. Son jeu est influencé par le highlife, la soul-funk, le jazz, et les rythmes traditionnels nigérians. En compagnie de Fela Kuti et du groupe Africa 70's avec qui il a joué quinze ans, Allen a créé l'afrobeat, cette musique à la rythmique hypnotique, basée sur peu d'accords qui sont joués en boucle par des guitares et des claviers, agrémentés de riffs de cuivres puissants et mélodiques, le tout étant lié au contexte social politique et urbain de son époque. Ce style est devenu une force dominante en Afrique et une référence dans le monde. L'album Secret Agent, magnifique démonstration d'afrobeat, signe le début d'Allen chez World Circuit, et sa première sortie depuis qu'il a créé The Good, The Bad, And The Queen avec Damon Albarn, Paul Simenon et Simon Tong. L'afrobeat connaît actuellement un regain d'intérêt et, pour les fans de hip-hop, de funk et de jazz, Allen qui est le gardien de sa flamme est vénéré comme son maître vivant. Produit par Tony Allen lui-même, Secret Agent a été enregistré avec son groupe de tournée de longue date, composé de musiciens du Nigeria, du Cameroun, de la Martinique et de France. La musique est ancrée dans la tradition afrobeat (guitare lancinante, claviers funk, chants qui se répondent, cuivres durs et gras) avec quelques rebondissements inattendus comme l'accordéon de l'arrangeur et joueurs de claviers Fixi sur quelques titres. Avec au centre, bien sûr, le rythme lui-même, encore plus en avant maintenant qu'il ne l'était dans Africa 70 le légendaire groupe de Fela Kuti. Allen fusionne les différents rythmes dans un mouvement irrésistible vers l'avant, il dirige la musique comme une flèche qui n'a qu'un but à atteindre : la transe.