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MODULOR
Derrière The Explosion se cache le trio formé par Gilbert Cohen alias Gilb'r, moitié de Chateau Flight et chef de file du crew Versatile (machines, production), Fabrizio Rat (piano, synthétiseur) et Giani Caserotto (guitare) du Cabaret Contemporain. Au programme de ce 1er album éponyme, six titres qui s'étirent, façonnés au gré des sessions nocturnes, improvisés autour de motifs ou de séquences de synthétiseur avec l'idée de développer, dans la longueur, des paysages où se perdre et se réinventer. 
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26,99 €
LA BALEINE
Première sortie de ces titres inédits, Inclus 2 cartes postales + linear notes par les artistes. Robert Rental était le nom de scène de Robert Donnachie (1952-2000), un pionnier britannique de la musique post-punk, du bricolage et de la musique industrielle. Originaire de Port Glasgow, en écosse, il s'est installé dans le sud de l'Angleterre avec Thomas Leer à la fin des années 1970, où il a rencontré Glenn Michael Wallis. Glenn enregistrait de la musique avec le groupe Heute et commençait ses projets solo NKVD et Konstruktivists. Tous deux étaient fortement impliqués avec Throbbing Gristle et l'équipe de Industrial Records. à l'été 1979, Robert invita Glenn à se produire dans son studio de Battersea. Robert à la guitare et Glenn sur un synthétiseur EDP Wasp. Pour chaque session de cet été, ils joueraient environ 40 minutes, peut-être plus, défoncé. Robert leur a suggéré de l'enregistrer, en effaçant et en enregistrant plusieurs fois une session pour la suivante. La musique n'avait pas de titres, car ils n'étaient jamais destinés à être publiés. Sur ces enregistrements, Robert aimait jouer comme Robert Fripp de King Crimson, tandis que Glenn canalisait Wolfgang Flur de Kraftwerk. Influencés par des groupes de Krautrock tels que Can, NEU !, Cluster / Harmonia, ainsi que Terry Riley et Brian Eno, le duo a forgé une marque de musique industrielle peu commune. Les boucles de bande et les sons de synthétiseur joués à l'envers évoquent des ambiances sombres et ambiantes. 
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DG DIFFUSION
The Healing Water est conçu spécifiquement pour les Spa, centres de massage et tous les arts de remise en forme, comme un outil puissant pour la relaxation et la méditation. La combinaison entre la musique et le touché crée une amélioration et une élévation de votre sensation de bien-être. L'album contient une piste en continue avec pour caractéristiques acoustiques, classiques et guitares électriques, basse, flûte, clavier, orgue, piano électrique et le synthétiseur. Accompagnement idéal avec l'eau.
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DG DIFFUSION
La vie est un voyage, un voyage à travers le désert vide de notre âme. C'est le temps et l'espace. Les gens rencontrés sur le chemin. Des gens qui n'ont jamais réellement été là, au fond de nous. Combien de temps vais-je parcourir avant d'atteindre moi-même ? Tomasz - instrumentiste (orgues, synthétiseur), créateur de musique électronique et chorale, fasciné par la musique électronique et la musique d'orgue, a créé cette compilation sur l'album Wanderer. Ses musiques sont une expression de ce qu'il a vécu et de ses réflexions sur la vie, un produit d'émotions et d'expériences personnelles. Sur ce CD, vous entendrez une musique qui vous mènera vers un monde complètement différent, et vous aidera à penser et à contempler. 
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HARMONIA MUNDI
Né en 1982 près de Bari, dans les Pouilles, Livio Minafra a commencé, à 10 ans, à étudier le piano avec le professeur Francesco de Santis. Depuis quelques années, il s'est essentiellement produit en soliste après la sortie de son album solo La Fiamma e il cristallo, qui a fait sensation. Il a récemment formé son propre quatuor. Ses thèmes débordent de joie de vivre et du plaisir de jouer, évoluant dans le sens d'un rock progressif (Surprise!!!) et se référant aux rythmes des Balkans (Uzbek). Outre sa voix, Minafra utilise aussi un synthétiseur et un fifre, donnant ainsi une dimension très colorée à son univers musical imaginaire.
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24,99 €
WARNER MUSIC
Le 27 avril 1978, Foreigner donne un concert sold-out au célèbre Rainbow Theatre de Londres. Quarante ans plus tard, cette performance mémorable du groupe original avait été restaurée à partir des bobines du concert filmé et remixée et remasterisée dans une édition collector exceptionnelle. Ce concert, interprété par le line-up original de Foreigner incluant Mick Jones (guitare lead, claviers, choeurs), Lou Gramm (chant lead, percussions), Ian McDonald (guitares, claviers, saxophone, flûte, choeurs), Al Greenwood (claviers, synthétiseur), Ed Gagliardi (basse, choeurs) et Dennis Elliott (batterie, choeurs) capture l'essence d'un groupe qui allait bientôt devenir une des formations les plus importantes de tous les temps. 
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17,99 €
WARNER MUSIC DV
Le 27 avril 1978, Foreigner donne un concert sold-out au célèbre Rainbow Theatre de Londres. Quarante ans plus tard, cette performance mémorable du groupe original avait été restaurée à partir des bobines du concert filmé et remixée et remasterisée dans une édition collector exceptionnelle. Ce concert, interprété par le line-up original de Foreigner incluant Mick Jones (guitare lead, claviers, choeurs), Lou Gramm (chant lead, percussions), Ian McDonald (guitares, claviers, saxophone, flûte, choeurs), Al Greenwood (claviers, synthétiseur), Ed Gagliardi (basse, choeurs) et Dennis Elliott (batterie, choeurs) capture l'essence d'un groupe qui allait bientôt devenir une des formations les plus importantes de tous les temps. 
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14,99 €
WARNER MUSIC
Sorti en 1983, Eliminator est le huitième album studio du groupe de blues rock américain ZZ Top, Mélange de blues rock et de synthétiseur, c’est le plus grand succès commercial du groupe - il est disque de diamant aux États-Unis. En 1989, Rolling Stone le classe en 39e position sur sa liste des 100 plus grands albums des années 1980. En 2003, le même magazine le classe 396e dans sa liste des 500 plus grands albums de tous les temps. Cet album restera classé 157 semaines dans le Billboard 200 où il atteindra la 9e place. C’est le premier album du groupe, depuis ZZ Top's First Album, dont le titre n'évoque pas la culture hispanique, même si Gibbons dit en plaisantant qu’il faut comprendre « El Iminator ». Au Royaume-Uni, l’album est actuellement quatre fois disque de platine.
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15,99 €
WARNER MUSIC DV
Sorti en 1983, Eliminator est le huitième album studio du groupe de blues rock américain ZZ Top, Mélange de blues rock et de synthétiseur, c’est le plus grand succès commercial du groupe - il est disque de diamant aux États-Unis. En 1989, Rolling Stone le classe en 39e position sur sa liste des 100 plus grands albums des années 1980. En 2003, le même magazine le classe 396e dans sa liste des 500 plus grands albums de tous les temps. Cet album restera classé 157 semaines dans le Billboard 200 où il atteindra la 9e place. C’est le premier album du groupe, depuis ZZ Top's First Album, dont le titre n'évoque pas la culture hispanique, même si Gibbons dit en plaisantant qu’il faut comprendre « El Iminator ». Au Royaume-Uni, l’album est actuellement quatre fois disque de platine.
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WARNER MUSIC DV
Sorti en 1983, Eliminator est le huitième album studio du groupe de blues rock américain ZZ Top, Mélange de blues rock et de synthétiseur, c’est le plus grand succès commercial du groupe - il est disque de diamant aux États-Unis. En 1989, Rolling Stone le classe en 39e position sur sa liste des 100 plus grands albums des années 1980. En 2003, le même magazine le classe 396e dans sa liste des 500 plus grands albums de tous les temps. Cet album restera classé 157 semaines dans le Billboard 200 où il atteindra la 9e place. C’est le premier album du groupe, depuis ZZ Top's First Album, dont le titre n'évoque pas la culture hispanique, même si Gibbons dit en plaisantant qu’il faut comprendre « El Iminator ». Au Royaume-Uni, l’album est actuellement quatre fois disque de platine.
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8,99 €
WAGRAM DV
Ratatat est un duo américain composé de Mike Stroud et Evan Mast. Originaires de Brooklyn, le combo sort un premier album chez XL Recordings sobrement intitulé Ratatat, enregistré dans l'appartement de Mike Stroud sur un simple Powerbook. La musique de Ratatat se résume à 3 instruments : guitare, basse et synthétiseur. En effet, aucune partie vocale n'est présente sur ce premier album. Ils semblent habités par une étrange mélancolie, qui évoque l’agréable douceur lente de certains morceaux de New Order, ou encore les premiers disques de techno viscérale, comme ceux de Black Dog, joués au ralenti. Ratatat, en un coup de maître que ne renierait pas Kraftwerk, vient de faire subir un lifting à la pop électronique : une jouvence sans voix, une romance sans paroles, qui la laisse plus éloquente que jamais. Les Inrocks
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DG DIFFUSION
Pour son sixème CD de relaxation musicale Bernadette Blin a choisi de nous emmener dans une promenade dans la nature. Pour ce faire, elle a fait appel pour la première fois aux sonorités acoustiques de la guitare classique. Choix insolite au départ, mais choix pertinent, vous en jugerez vous-mêmes.. Comme toujours dans la collection Relaxation musicale vous trouverez sur ce CD deux pistes, l'une comprenant le texte de Bernadette sur la musique, l'autre vous présentant la musique seule. Cette dernière pouvant être utilisée comme musique d'ambiance pour une atmosphère d'intimité et de tranquillité. Texte de Bernadette Blin, Musique de et par M. Clément-Faivre (guitare classique et synthétiseur).
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15,99 €
LA BALEINE
McFarlane Reality Guest est le nom collectif du trio dirigé par McFarlane. En tant que membre du groupe Twerps, McFarlane traverse depuis quelques années une musique pop mélodique centrée sur la guitare tout en respectant un langage musical unique et très personnel. Ta Da est son premier album solo, sorti à l'origine dans son Australie natale sur Hobbies Galore. Synthétiseur et saxophone, la déclaration vocale de McFarlane est une déclaration accentuée, simple et factuelle. Alors que le précédent travail de McFarlane dans Twerp faisait référence à une guitare pop anglaise des années 80, Ta Da présente différentes influences, plongées dans la musique psychédélique et les synthés. C'est un mélange brillant et habile nageant dans le minimalisme de Young Marble Giants imbibé de pop dénudée et semblable à celui de Kevin Ayers qui donne un sens à la créative banlieue de Melbourne aux visages à moitié reconnus sous un soleil aveuglant.
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20,99 €
LA BALEINE
McFarlane Reality Guest est le nom collectif du trio dirigé par McFarlane. En tant que membre du groupe Twerps, McFarlane traverse depuis quelques années une musique pop mélodique centrée sur la guitare tout en respectant un langage musical unique et très personnel. Ta Da est son premier album solo, sorti à l'origine dans son Australie natale sur Hobbies Galore. Synthétiseur et saxophone, la déclaration vocale de McFarlane est une déclaration accentuée, simple et factuelle. Alors que le précédent travail de McFarlane dans Twerp faisait référence à une guitare pop anglaise des années 80, Ta Da présente différentes influences, plongées dans la musique psychédélique et les synthés. C'est un mélange brillant et habile nageant dans le minimalisme de Young Marble Giants imbibé de pop dénudée et semblable à celui de Kevin Ayers qui donne un sens à la créative banlieue de Melbourne aux visages à moitié reconnus sous un soleil aveuglant.
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20,99 €
LA BALEINE
Pendant les légendaires années Forst, Roedelius avait un espace de travail privé avec un orgue Farfisa, une machine à bande Revox-A77, un écho et un synthétiseur qu'il empruntait de temps en temps au studio d'à côté.Il expérimentait, s'exerçait, laissait libre cours à son imagination, à toute heure du jour ou de la nuit, quand il n'était pas en studio avec Dieter Moebius et/ou Michael Rother au travail sur du nouveau matériel Cluster ou Harmonia. Roedelius a toujours laissé la bande tourner, afin d'analyser plus efficacement les idées ainsi captées lors d'écoutes répétées. Pour la première fois, ces travaux de Roedelius ont été numérisés et mis à la disposition du public en 2014 sur un coffret limité de 500 unités appelé Roedelius Tape Archive 1973-1978. Les enregistrements nous offrent un aperçu approfondi de le processus créatif de sa musique. Des notes fugaces, des éclats d'idées, pour ainsi dire, des moments d'inspiration. Des exercices de doigt, des expériences en harmonie, des études de rythme sont également conservés sur ces bandes magnétiques. Ici, l'essence de ces 3 LPs sont sur cette compilation.
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16,99 €
LA BALEINE
Pendant les légendaires années Forst, Roedelius avait un espace de travail privé avec un orgue Farfisa, une machine à bande Revox-A77, un écho et un synthétiseur qu'il empruntait de temps en temps au studio d'à côté.Il expérimentait, s'exerçait, laissait libre cours à son imagination, à toute heure du jour ou de la nuit, quand il n'était pas en studio avec Dieter Moebius et/ou Michael Rother au travail sur du nouveau matériel Cluster ou Harmonia. Roedelius a toujours laissé la bande tourner, afin d'analyser plus efficacement les idées ainsi captées lors d'écoutes répétées. Pour la première fois, ces travaux de Roedelius ont été numérisés et mis à la disposition du public en 2014 sur un coffret limité de 500 unités appelé Roedelius Tape Archive 1973-1978. Les enregistrements nous offrent un aperçu approfondi de le processus créatif de sa musique. Des notes fugaces, des éclats d'idées, pour ainsi dire, des moments d'inspiration. Des exercices de doigt, des expériences en harmonie, des études de rythme sont également conservés sur ces bandes magnétiques. Ici, l'essence de ces 3 LPs sont sur cette compilation.
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20,49 €
PIAS
27 ANS APRES ZEN BRAKES VOL 1, LA TOUTE PREMIERE SORTIE DU LABEL NINJA TUNE, BOGUS ORDER REVIENT AVEC ZEN BRAKES VOL 2 En 1990, Bogus Order sortaient Zen Brakes vol 1, la toute première sortie de Ninja Tune. L’année dernière Bogus Order ressuscitait le temps d’un EP Bullnose Step EP paru sur le label Ahead Of Our Time et cette année, ils dévoilent Zen Brakes Vol 2, la suite d’un projet historique paru il y a 27 ans. Parallèlement à cette sortie, Bogus Order dévoileront Pixi, une application IOS basée sur le concept de « synthèse granulaire » qui a été utilisé pour créer l’imagerie de l’album. Actuellement, cette application existe sous 2 formes : une version synthétiseur modulaire pour ipad et un player pour téléphones et pads. Zen Brakes Vol 2 contiendra une application avec un player contenant des titres de l’album avec lesquels les utilisateurs pourront interagir pour créer et uploader des images pour accompagner la musique, permettant de créer des remixes visuels de leurs propres images. L’album sera également disponible dans une édition limitée CD qui contiendra 10 variations différentes de pochettes, chacune coincidant avec un titre de l’album. Pour ceux qui aiment : Coldcut 
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PIAS
LE NOUVEL ALBUM DE LA SUPERSTAR DE L'ELECTRO DANCE MUSIC W : /2016ALBUM/, huitième album studio du producteur canadien d'EDM deadmau5, porte simplement le nom du répertoire dans lequel les morceaux étaient enregistrés sur l'ordinateur de Joel Zimmerman, de son vrai nom. Le DJ, nommé 6 fois aux Grammy Awards depuis le début de sa carrière en 2008, est aussi régulièrement dans les tops mondiaux des DJ les plus populaires, tout en continuant à se faire remarquer via son activité sur Twitter. L'albu.. est sorti en version digitale le 2 décembre dernier, via son label mau5trap Recordings et contient plusieurs morceaux que Zimmerman avait partagés sur son compte SoundCloud, avant que celui-ci ne se fasse hacker. Zimmerman a présenté l'albu.. en annonçant « une vibe fantaisiste, de science fiction des années 80 », qu'il attribuait à son acquisition d'un synthétiseur Prophet 10. W : /2016ALBUM/ présente une finition et une réflexion évidentes, qui le différencient largement d'un simple mix mainstream, en promouvant une vision plus Progressive des musiques électroniques. Pour Rolling Stone, « c'est la nouvelle oeuvre d'un artiste dont la capacité à bousculer les attentes est exaltante ». « Cet opus conforte deadmau5 dans sa musicalité » DJ MAG Les versions CD et vinyles seront toutes deux limitées et contiendront un morceau inédit, non présent sur la version digitale. Le vinyle sera sous la forme d'un 2LP, présenté dans un packaging deluxe. 
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BELIEVE DV
Le vent a tourné, la fumée s'est envolée, le feu brûle... Après le succès de son dernier album Be Sensational et une tournée de plus de 200 concerts, Jeanne Added revient avec un nouvel album, Radiate. A travers celui-ci, la chanteuse rayonne, elle chante avec une ferveur enivrante d'émotions. Vraie, proche, détendue, elle chante à visage découvert. Pour son second opus, Jeanne Added Explique : j'avais envie de plus de voix, c'est-à-dire d'entendre ma voix telle que je connais, de la faire entendre dans un spectre plus large. Frédéric Soulard (qu'elle connait depuis le Conservatoire National Supérieur de Paris, membre du groupe Limousine) et Mar Kerr (ancien batteur des Rita Mitsouko) forment ensemble Maestro et signent la production de l'album Deux immenses musiciens, précise-t-elle, Fred est chez lui dans n'importe quelle machine, n'importe quel synthétiseur et Mark est un grand programmateur de boîte à rythme, et un batteur imparable. De plus ils sont absolument irrésistibles en live, Maestro c'est tendu, excitant, physique. Pour le duo Maestro, elle a une manière unique de concentrer son énergie, il y a une densité et une direction dans chaque phrase qu'elle chante. Il nous restait à rentrer dans ce son, cette démarche et son exigence expliquent-ils. Magistrale, la voix de Jeanne Added est irrésistible. Elle irradie, ensorcèle, désarme, trouble. Elle rend addict, amoureux.se, heureux.se, vivante. Les dieux sont furieux, épidermiques et volcaniques, la voix de Jeanne Added soulève des montagnes, nos montagnes. Les grandes, les petites.
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13,99 €
BELIEVE DV
Le vent a tourné, la fumée s'est envolée, le feu brûle... Après le succès de son dernier album Be Sensational et une tournée de plus de 200 concerts, Jeanne Added revient avec un nouvel album, Radiate. A travers celui-ci, la chanteuse rayonne, elle chante avec une ferveur enivrante d'émotions. Vraie, proche, détendue, elle chante à visage découvert. Pour son second opus, Jeanne Added Explique : j'avais envie de plus de voix, c'est-à-dire d'entendre ma voix telle que je connais, de la faire entendre dans un spectre plus large. Frédéric Soulard (qu'elle connait depuis le Conservatoire National Supérieur de Paris, membre du groupe Limousine) et Mar Kerr (ancien batteur des Rita Mitsouko) forment ensemble Maestro et signent la production de l'album Deux immenses musiciens, précise-t-elle, Fred est chez lui dans n'importe quelle machine, n'importe quel synthétiseur et Mark est un grand programmateur de boîte à rythme, et un batteur imparable. De plus ils sont absolument irrésistibles en live, Maestro c'est tendu, excitant, physique. Pour le duo Maestro, elle a une manière unique de concentrer son énergie, il y a une densité et une direction dans chaque phrase qu'elle chante. Il nous restait à rentrer dans ce son, cette démarche et son exigence expliquent-ils. Magistrale, la voix de Jeanne Added est irrésistible. Elle irradie, ensorcèle, désarme, trouble. Elle rend addict, amoureux.se, heureux.se, vivante. Les dieux sont furieux, épidermiques et volcaniques, la voix de Jeanne Added soulève des montagnes, nos montagnes. Les grandes, les petites.
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7,99 €
MODULOR
EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
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9,99 €
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EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
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21,99 €
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Certains disques ne sont pas aussi simples qu'ils en ont l'air. La plupart sont des capsules de beauté et de vision créative, ou des objets sublimes d'expression qui occupent les domaines abstraits. Mais quelques-uns proposent aussi des philosophies discrètes, réalisées dans le son : Jefre Cantu-Ledesma (Tarentel, The Alps), un vétéran de Mexican Summer, le prouve dans sa dernière aventure, Tracing Back The Radiance. Se démarquant radicalement des mélodies aux accents pop qui ont défini ses récentes créations, ses formes expérimentales offrent une réflexion dynamique sur les termes et les possibilités du discours et de la collaboration; un vaste paysage ambiant d'abstractions, de textures et de tons. Une méditation lente et délicate; un espace ouvert ponctué par les harmoniques retenues du vibraphone, du traitement, de la flûte, de la pedal-steel, du synthétiseur, du piano, de l'orgue et de la voix. Tracing Back The Radiance est né de quelques notes de piano, d'un besoin de changement et d'un processus en évolution qui se situe quelque part entre la conversation et la vision, et un jeu sauvage de cadavre exquis - Cantu-Ledesma agissant ici en tant que contributeur, serviteur, et force directrice d'un casting all-stars de voix : John Also Bennett, Marilu Donavan, Chuck Johnson, Gregg Kowalsky, Mary Lattimore, David Moore, Meara O'Reilly, Jonathan Sielaff, Roger Tellier Craig et Christopher Tignor, chacun intervenant depuis divers endroits d'Amérique du Nord. Avec un clin d'oeil aux étapes historiques de la musique ambiante et électroacoustique, ainsi qu'aux pionniers minimalistes italiens comme Gusto Pio, Lino Capra Vaccina et Francesco Messina + Raul Lovisoni, Cantu-Ledesma poursuit l'une des entreprises les plus ambitieuses, élégantes et passionnantes de sa carrière, tout en maintenant la facilité et l'ouverture du langage musical qui l'ont guidé à travers les années. Un magnifique baume immersif, mélancolique et contemplatif bien en accord l'époque trouble de sa conception.
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21,99 €
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Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!. 
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12,99 €
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Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!. 
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18,99 €
UNIVERSAL MUSIC
Avec Selling England by the pound, Genesis atteint sa pleine majorité et maîtrise parfaitement composition et production. Troisième volet de la trilogie glorieuse du Genesis à cinq, l'album est beaucoup plus net que ses prédécesseurs. En regard de Nursery Cryme par exemple, le son est beaucoup plus clair, moins caverneux. L'expérience du groupe se sent dans l'utilisation de la guitare électrique, beaucoup moins maladroite que dans certains titres précédents. Steve Hackett maîtrise désormais à la perfection ses effets, saturation et whammy se mettent en place avec harmonie dans des solos torturés et virtuoses. C'est le cas dans Dancing with the moonlit night ou dans le long solo débordant de sensibilité de Firth of Fifth, considéré par de nombreux fans comme le meilleur morceau de Genesis. Banks a également acquis une expérience profitable. Il a considérablement diversifié les claviers sur cet album. L'orgue hammond et le piano accoustique sont toujours présents, mais de nombreux synthétiseurs se font entendre, sans excès. En témoigne l'époustouflant solo de synthé qui clôt The cinema show, par ailleurs véritable prouesse collective d'arpèges et de contre-chant. Les cassures de rythme sont encore plus présentes que sur les albums précédents, et surviennent avec une célérité et un précision remarquables. Les musiciens ne sont pourtant âgés que de 22 à 23 ans. Succès européen, Selling England by the pound est l'occasion d'une tournée et d'un carton avec le single I know what I like, qui apparaît avec le recul comme étant le morceau le plus faible de l'album bien que non dénué de charme. C'est Firth of Fifth qui décroche la palme avec son mélange magique de piano et d'orgue, son solo de flûte repris par la guitare, et sa construction irréprochable. On retiendra également la prouesse rythmique de The Battle of Epping forest (Phil Collins est tout simplement dément sur ce morceau), les moments planants à la Pink Floyd de After the ordeal (probablement dû en grande partie à Steve Hackett), et l'exceptionnelle transition entre The cinema show et Aisle of plenty. Le premier se change soudainement en un long solo de synthétiseur dans lequel Banks décale progressivement la gamme jusqu'à rejoindre celle du morceau suivant, qui n'est autre qu'une reprise très émouvante du premier titre de l'album, Dancing with the moonlit knight. Cette structure (un thème musical reproduit au début et à la fin de l'album, celui de la fin étant amené par une fugue aux claviers) sera reprise plusieurs fois dans les albums futurs de Genesis après le depart de Peter Gabriel. Les paroles se diversifient, le groupe semble avoir soif de détente et les contes s'effacent derrière des thématiques plus acerbes et européennes (on reconnaît facilement la reine des peut-être, the queen of may be..., prête à céder les traditions de son pays au monde marchand). The Battle of Epping forest évoque une guerre des gangs en Irlande du Nord. L'ensemble reste toutefois bien grimé derrière les symboles et l'abstraction. Selling England by the pound est un album immaculé. Difficile de trouver une ombre à un tableau aussi parfait (trop ?). Probablement un des tout meilleurs albums de Genesis. Julien Oeuillet - Copyright 2017 Music Story
Cultura  
18,99 €
UNIVERSAL MUSIC DV
Avec Selling England by the pound, Genesis atteint sa pleine majorité et maîtrise parfaitement composition et production. Troisième volet de la trilogie glorieuse du Genesis à cinq, l'album est beaucoup plus net que ses prédécesseurs. En regard de Nursery Cryme par exemple, le son est beaucoup plus clair, moins caverneux. L'expérience du groupe se sent dans l'utilisation de la guitare électrique, beaucoup moins maladroite que dans certains titres précédents. Steve Hackett maîtrise désormais à la perfection ses effets, saturation et whammy se mettent en place avec harmonie dans des solos torturés et virtuoses. C'est le cas dans Dancing with the moonlit night ou dans le long solo débordant de sensibilité de Firth of Fifth, considéré par de nombreux fans comme le meilleur morceau de Genesis. Banks a également acquis une expérience profitable. Il a considérablement diversifié les claviers sur cet album. L'orgue hammond et le piano accoustique sont toujours présents, mais de nombreux synthétiseurs se font entendre, sans excès. En témoigne l'époustouflant solo de synthé qui clôt The cinema show, par ailleurs véritable prouesse collective d'arpèges et de contre-chant. Les cassures de rythme sont encore plus présentes que sur les albums précédents, et surviennent avec une célérité et un précision remarquables. Les musiciens ne sont pourtant âgés que de 22 à 23 ans. Succès européen, Selling England by the pound est l'occasion d'une tournée et d'un carton avec le single I know what I like, qui apparaît avec le recul comme étant le morceau le plus faible de l'album bien que non dénué de charme. C'est Firth of Fifth qui décroche la palme avec son mélange magique de piano et d'orgue, son solo de flûte repris par la guitare, et sa construction irréprochable. On retiendra également la prouesse rythmique de The Battle of Epping forest (Phil Collins est tout simplement dément sur ce morceau), les moments planants à la Pink Floyd de After the ordeal (probablement dû en grande partie à Steve Hackett), et l'exceptionnelle transition entre The cinema show et Aisle of plenty. Le premier se change soudainement en un long solo de synthétiseur dans lequel Banks décale progressivement la gamme jusqu'à rejoindre celle du morceau suivant, qui n'est autre qu'une reprise très émouvante du premier titre de l'album, Dancing with the moonlit knight. Cette structure (un thème musical reproduit au début et à la fin de l'album, celui de la fin étant amené par une fugue aux claviers) sera reprise plusieurs fois dans les albums futurs de Genesis après le depart de Peter Gabriel. Les paroles se diversifient, le groupe semble avoir soif de détente et les contes s'effacent derrière des thématiques plus acerbes et européennes (on reconnaît facilement la reine des peut-être, the queen of may be..., prête à céder les traditions de son pays au monde marchand). The Battle of Epping forest évoque une guerre des gangs en Irlande du Nord. L'ensemble reste toutefois bien grimé derrière les symboles et l'abstraction. Selling England by the pound est un album immaculé. Difficile de trouver une ombre à un tableau aussi parfait (trop ?). Probablement un des tout meilleurs albums de Genesis. Julien Oeuillet - Copyright 2017 Music Story
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