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CAPE, JONATHAN
Lancée le 1er Juillet 1916, la bataille de la Somme incarne la folie de la Première Guerre Mondiale. Près de 20.000 soldats britanniques ont été tués et 40.000 autres blessésce premier jour, et on dénombrait plus d'un million de victimes quand l'offensive s'arrêta quelques mois plus tard. Dans The Great War, Joe Sacco a 'décidé de représenter le premier jour de la bataille de la Somme, parce que c'est le lieu où le commun des mortels ne peut plus avoir d'illusions sur la nature de la guerre moderne...'. 'L'héritier de Robert Crumb et de Art Spiegelman' (The Economist) nous décrit les évènements dans un monumental panorama sans parole qui capture l'horreur de la Première Guerre Mondiale : des exercices d'équitation du Général Douglas Haig aux pièces d'artillerie massives, les zones de rassemblement à l'arrière des lignes, les légions de soldats britanniques se faisant tuer en montant au front, les dizaines de milliers de soldats blessés en se repliant, et les morts enterrés en masse. Imprimé sur un papier fin en pliage accordéon, emballé dans un étui cartonné de luxe avec un livret de 16 pages, The Great War est un ouvrage de référence dans la carrière de Joe Sacco, et rend viscéral l'un des jours les plus sanglants de l'Histoire.
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GLENAT
New york, 1902.Alice fleury fête ses vingt ans. une riche demeure, des toilettes de luxe, des domestiques, des cours particuliers... et d'incessantes disputes avec ses parents. alice se fait une autre idée du bonheur, et à la compagnie des siens elle préfère celle de meg, son ancien professeur de dessin. une artiste pleine de vie qui lui fait miroiter d'autres horizons... avant de sombrer à son tour dans une inexplicable mélancolie.Un jour, alors qu'elle s'immerge au côté de meg dans le capharnaüm d'une brocante, alice tombe sur nahik, un superbe livre ancien dont les illustrations lui rappellent étrangement la vieille gravure qui orne son propre salon... intriguée par cette coïncidence, la jeune femme cherche à en savoir davantage sur le mystérieux ouvrage... sans se douter qu'il va l'entraîner sur la piste d'un terrible secret de famille et provoquer l'effondrement de ses plus intimes certitudes...Nahik... roman exceptionnel, objet d'art, trésor bibliophilique, ouvrage sacré, instrument politique ou simple pont entre deux êtres, il est tout cela à la fois. bien que les protagonistes des différents épisodes n'en perçoivent chaque fois qu'une facette, ce livre né d'une très ancienne rencontre entre des fous et des sages va produire sur ceux qui le possèdent ou le convoitent des effets que nul ne peut prévoir.Dix récits autonomes et pourtant liés, à lire indépendamment ou comme une saga, dix chapitres haletants, abordant les passions qui habitent l'homme depuis la nuit des temps, ainsi que ses angoisses face à l'au-delà et ses rapports au divin.
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33,00 €
FUTUROPOLIS
En choisissant de construire sa narration sur 500 pages, Ludovic Debeurme cherche à nous immerger totalement dans l'intimité de ses personnages comme jamais encore un récit de bande dessinée ne l'avait fait auparavant.Page après page, l'auteur nous invite à suivre au quotidien Lucille et Arthur, deux adolescents pour qui la vie n'est ni facile, ni douce. C'est avec justesse, émotion et pudeur qu'il va faire de nous des témoins, jamais des voyeurs, de ces deux vies chahutées.À travers ce récit âpre, rigoureux et sans concession, Ludovic Debeurme ne joue pas le jeu du pathos ou du désespoir, au contraire il sait avec grand talent mettre en lumière la subtilité des sentiments de ses personnages, faire surgir l'énergie, la tendresse et l'amour qui pourront permettre à ces deux êtres en perdition de renaître.En laissant au lecteur le temps d'appréhender ces personnages, en s'attachant à toutes les complexités de leur deux personnalités, Ludovic Debeurme réussit à nous amener à un troublant sentiment de proximité avec ceux-ci.Le livre refermé, Lucille et Arthur ne seront plus de simples personnages de papier mais bien des êtres qu'il vous semblera connaître.
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19,00 €
TABOU
Omaha est une charmante danseuse.Plus exactement, elle est une charmante stripteaseuse. Venue de l'Amérique profonde, elle trouve un succès certain à Mipple City, une métropole de la région des Grands Lacs, au sud de Chicago. Elle y trouve surtout l'amour en la personne de Chuck, un dessinateur publicitaire un tantinet désinvolte. Succès des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, Omaha - The Cat Dancer est le reflet d'une certaine vie fleurant bon les lendemains de révolution sexuelle.Une époque où l'amour libre séduisait encore une importante frange de la jeunesse... et faisait fantasmer l'autre. A la manière des séries télévisées telles que Friands ou Sex and the City, Omaha nous entraîne dans une saga humaine de 1000 pages dans laquelle la charmante chatonne et son gentil minou se confrontent tour à tour au moralisme, au succès, au pouvoir, à la peur... mais cherchent malgré les contraintes à vivre leur amour, un amour pur, libre, dénué de honte.Omaha est la grande oeuvre de Reed Waller et une bonne part de sa vie d'artiste. Son dessin zoomorphique colle parfaitement au personnage comme celui de Walt Disney collait à Mickey. Kate Worley, qui fut la compagne de Reed, apporta au personnage une consistance humaine grâce à un scénario travaillé qui se développe sur près de vingt ans et qui aurait pu durer bien plus si le destin en avait décidé autrement.Il est touchant de constater comme les aventures de Omaha et Chuck semblent reprendre celles de leurs auteurs Kate et Reed. C'est sans doute ce qui rend cette série si plaisante, si humaine.
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HUMANOIDES ASSOCIES
Une auberge de montagne perdue au milieu de l'hiver va devenir le théâtre d'une surprenante et touchante rencontre : celle de deux hommes solitaires qui vont se découvrir l'un l'autre et se lier d'amitié.- Le premier répond au nom de Martinien Fidèle.De constitution fragile et allergique de nature, c'est un représentant de commerce qui parcourt les routes au volant d'une camionnette déglinguée. Pour lui, la vente d'aspirateurs est un véritable sacerdoce.- Le second, Aimé Carême est encombré d'un corps énorme surmonté par une toute petite tête. En dépit de son prénom, la société ne voit en lui qu'une aberration de la nature. Mais c'est avant tout un homme fin et cultivé qui a parcouru le monde. Grand mélomane, féru de musique classique, son métier consiste à accorder les orgues.Après avoir recueilli un chien errant, l'improbable duo que forment Aimé et Martinien décide de faire route commune en direction de Lanmeurbourg, la ville impériale. Tous deux sont alors loin de se douter que ce simple trajet se transformera en un périple tragique aussi drôle que déroutant.Avec cette nouvelle série, Christophe Bec délaisse ses pinceaux pour prendre la plume. Avec intelligence et sensibilité, il fourbit ses premières armes comme scénariste avec un très beau récit, touchant et humaniste.Côté dessin, le charme opère merveilleusement sous le trait de Mottura, un grand et talentueux dessinateur issu des studios Disney d'Italie qui laisse ici son style aller librement pour la première fois en France.
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GLENAT
Tsukushi Makino est une jeune lycéenne de 16 ans, issue d'un milieu modeste, qui est parvenue à rentrer dans l'un des établissements les plus cotés du pays. Très vite, elle se heurte à une bande de voyous friqués, les « F4 ». Ces derniers font régner la terreur dans le lycée, en attribuant des « cartons rouges » aux élèves qui ont le malheur de ne pas leur plaire.La pauvre Tsukushi se retrouve persécutée moralementpar les quatre garçons. Mais plutôt que de s'aplatir comme les autres et d'attendre que la vague passe, elle décide de leur tenir tête, d'abandonner l'image de la fille sans histoires qu'elle entretenait pour son entrée au lycée pour redevenir la Tsukushi du collège, celle qui ne se laisse pas faire. C'est la guerre !Si Marmalade Boy était un shojo manga davantage destiné aux petites filles, en revanche, Hana yori dango est un récit beaucoup plus mûr, mettant en scène des personnages à la fois attachants, naïfs, et calculateurs ! Au Japon, il fait partie de la liste des « 10 manga les plus marquants » pour les Japonais, toutes tranches d'âge confondues ! En République Populaire de Chine, le gouvernement a interdit la diffusion du dessin animé (mettant en scène une jeunesse rebelle) avant même son arrivée sur les chaînes chinoises, ce dernier ayant sans doute été jugé trop subversif !Quoiqu'il en soit, si vous pensiez que les héroïnes de manga étaient toutes des nymphettes pleurnichardes attendant leur prince charmant en se tournant les pouces, vous risquez d'avoir une surprise en lisant celui-ci !
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27,50 €
FUTUROPOLIS
Les mots du commissaire fédéral résonnent dans la tête du Sergent Kirk: « L'attaque lancée contre moi et mon escorte ne peut rester impunie. Préparons une expédition punitive ! Répression. Ma vengeance sera synonyme de la fin des Comanches ! » Kirk a déjà participé à un massacre d'indiens à Pueblo Negro, il n'a pas envie de voir ce cauchemar se reproduire. Cette crise de conscience pousse le sergent à quitter l'armée américaine. Désormais, il sera du côté des indiens et des plus faibles.Dessiné entre 1953 et 1959 quand il était en Argentine, Sergent Kirk est l'oeuvre la plus prolifique et la plus méconnue d'Hugo Pratt. Les scénarios sont signés d'Héctor Oesterheld, à qui l'on doit également Ernie Pike.Si l'on en croit le père de Corto Maltese, la série ferait 5000 planches au format du fascicule Misterix. En 1967, la série est remontée en un format plus classique, pour le magazine Italien Sgt Kirk (ou sera publiée pour la première fois La Ballade de la mer salée). Les textes d'Oesterheld sont réécrits par Hugo Pratt. Un dépoussiérage qui tient compte de l'évolution du dessin de Pratt, de ces préoccupations, mais aussi de l'évolution du western, qui grâce à un autre italien, Sergio Léone, change de peau.Ce sont ces 900 pages que Futuropolis propose aujourd'hui à la lecture.Sgt Kirk paraîtra en cinq tomes. Le premier tome, de 180 planches sera entièrement inédit en français. En effet, il y a 25 ans, quelques albums du Sgt Kirk, ont été publiés, en commençant par la page 300, et avec une photogravure. douteuse.Ce sera donc pour l'amateur de Pratt, une véritable découverte.
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143,00 €
BD MUST
Margot sait y faire, avec les hommes. Elle alterne baisers et coups de revolver. Certains ont eu droit aux deux traitements. Mais la méthode a un défaut : Ceux qui survivent sont revanchards. Ainsi, Byron Peck et Knut Hoggaard ne sont plus seuls à traquer l'élégante voleuse en terre navajo. Pour Margot, la messe semble dite. À moins que la mystérieuse « femme araignée » ne lui vienne en aide.Visuellement, le travail de Paul Salomone est splendide. Il fait à nouveau preuve d’une grande maîtrise graphique et d’un souci du détail qui se retrouve au niveau des expressions particulièrement jouissives de personnages hauts en couleur et du soin apporté aux arrière-plans. Dynamitant les genres codifiées et bien rangés (L’historique, Le Road-trip, l’Héroic-fantasy, le casse, le western..) Lupano propose un récit original, souvent inattendu, qui exploite des personnages « hors bocal », un peu dans l’esprit des frères Cohen… Album cartonné au format 25*35 cm 280 exemplaires numérotés et signés Couverture originale inédite Sérigraphie 25*35 cm Impression en N/B sur papier couché 200 gr Avec un cahier graphique de 16 pages en couleurs
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GLENAT
Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront.Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business...Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl » dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres « nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront. Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business... Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl» dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres « nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront. Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business... Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl » dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres« nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront. Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business... Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl » dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres « nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront. Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business... Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl » dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres « nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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Mitsuki n'a plus qu'un an à vivre. C'est la révélation brutale que lui font deux « shinigami », des esprits chargés de conduire les humains vers la mort. La jeune fille, qui va sur ses 13 ans, est en effet atteinte d'un cancer de la gorge incurable. Mais Mitsuki ne se résigne pas à mourir si jeune. Pas avant d'avoir pu, au moins, remplir la promesse qu'elle a faite avec Eichi, son ami d'enfance : celui d'avoir réalisé son rêve lorsqu'ils se retrouveront. Aussi, les shinigami acceptent de conclure un marché avec elle : pendant un an, ils feront tout pour faire d'elle une star de la chanson et l'aider à retrouver celui qu'elle aime. Grâce à leurs pouvoirs, Mitsuki pourra ainsi se transformer en une jeune femme et user normalement de sa voix. C'est le début d'une carrière périlleuse dans le show business... Full moon wo sagashite est l'oeuvre d'une mangaka reconnue pour une oeuvre antérieure : Kamikaze Kaitô Jeanne. Avec Full moon, elle détourne les codes du manga dit de « Magical Girl » dans lesquels des très jeunes filles sont capables de changer d'apparence grâce à la magie, et offre une histoire à la fois drôle et romantique, mais aussi dure et terriblement poignante. Le parcours tumultueux de l'héroïne ne sera pas sans rappeler celui des « académiciens » et autres « nouvelles stars » bien connues du petit écran. Le manga a fait l'objet d'une adaptation en dessin animé au succès retentissant au Japon, qui a connu un grand succès outre-atlantique parmi les initiés.
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275,00 €
BDMUST
Jari est un grand classique de la bande dessinée Franco Belge dessinée par Raymond Reding. Cette série est parue dans le Journal Tintin, en plusieurs épisodes de 1957 à 1978.Juste après avoir rencontré le chirurgien et champion de tennis Jimmy Torrent, qui finira par le prendre sous sa protection, le jeune orphelin Jari est frappé violemment par une balle. Le garçon, qui se révèle être un surdoué de la raquette, manque de peu de perdre la vue… S’en suivent alors dix grandes aventures de 30 puis 62 ou 44 planches, avec la note nécessaire d’humour et de suspens pour en faire un réel succès. Malgré le succès rencontré (le premier album édité par le Lombard en 1960 fit l’objet d’une adaptation radiophonique et la carrière du jeune tennisman sera même couronnée par une première place au référendum du journal), « Jari » ne pu profiter d'une publication cohérente et suivie. Grâce à BD Must l'intégrale des aventures de Jari est enfin disponible. Contenu : Intégrale en 12 albums cartonnés couleurs Format Classique (22 x 30 cm) 1000 exemplaires numérotés Imprimé sur papier d’art Munken 1 dossier exclusif numéroté de 16 pages écrit par Gilles Ratier 12 ex-libris numérotés
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26,35 €
CAHIERS DESSINES
Longtemps ses dessins furent jugés impubliables par les rédactions parisiennes.Jusqu'au jour où Pierre Fournier poussa la porte de , Hara-Kiri, qui lui offrit sa première tribune. Il rêvait alors de devenir un grand dessinateur, mais pas humoristique . Il voulait aussi retourner dans la montagne de sa Savoie natale pour y élever des vaches. Dans Charlie Hebdo, il fut le premier à hurler contre tous les pollueurs, des pétroliers du Torrey Canyon aux chimistes de l'agroalimentaire, des bétonneurs aux promoteurs du 100% nucléaire.Sa résistance ne s'appelait pas encore écologique, il devint pourtant leporte-parole de nombreux contestataires d'après 1968. Bientôt à l'étroit dans les pages de Charlie Hebdo, il dirigea son propre mensuel en novembre 1972 : La Gueule ouverte, sous-titré le journal qui annonce la fin du monde . Tandis que les manifestations anti-atomiques se succédaient en réunissant des milliers de personnes dans toute la France, Fournier mourut subitement d'une crise cardiaque.Il avait trente-six ans. Peu avant, entraîné dans ce combat militant harassant, il avait songé à revenir à sa véritable passion: le dessin. Pendant cinq ans il avait accumulé des carnets de toute taille. Pris sur le vif dans le métro, dans les bars, dans sa famille ou en pleine nature, les dessins de cette époque restèrent enfermés trente ans dans des caisses. Les voici donc enfin visibles. Dans la première partie de ce Cahier, Danielle Fournier, son épouse, retrace la vie de ce visionnaire inspiré et véhément qui cachait un dessinateur intimiste, a l'inspiration déroutante.
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25,50 €
CORNELIUS
Né en 1932, Jacques Lob se lance dans une carrière de dessinateur en 1956, sans avoir fait d'études. Il vivote de petits boulots alimentaires et vend dessins d'humour ou de science-fiction.En 1960, il est de la première équipe de HaraKiri. Sur les conseils de Remo Forlani il va voir Jean-Michel Charlier, de Pilote, qui le pousse à se consacrer au scénario. Lob collabore à Pilote jusqu'en 1988, mais aussi à Vaillant, Tintinet Spirou, où il scénarise deux aventures de Jerry Spring pour Jijé.C'est en travaillant pour Chouchou de Daniel Filipacchi, qu'il rencontre Georges Pichard, avec qui il réalise, de 1969 à )985, un pastiche de roman populaire, Blanche Epiphanie. Son nom figure au sommaire de toutes I~s revues dites adultes, de Charlie Mensuel à L'Echo des Savanes, en passant par Métal Hurlant, Circus ou Fluide Glacial. Il y scénarise pour Mandryka, Daniel Goossens, Ted Benoît, Jean-Claude Forest et bien d'autres.En 1972, il crée, avec Marcel Gotlib, le personnage de Superdupont. Puis il écrit, pour Alexis, Le Transperceneige, histoire d'un « train perpétuel» traversant un monde figé sous une carapace de glace. Lob revient au dessin, parodiant science-fiction et super-héros avec L'Homme au landau (197), Roger Fringant (1976) et Batmax (1981). En 1986, le Grand Prix de la ville d'Angoulême salue ce scénariste polyvalent et prolifique.Jacques Lob meurt en 1990. Depuis 2004, un prix portant son nom récompense un scénariste de bande dessinée pour l'ensemble de son oeuvre.
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10,95 €
JUNGLE
Retrouvez la famille la plus déjantée d'Amérique. Du gag potache à la parodie, Springfield est à nouveau le théâtre des tribulations des renommés Simpson, caricature satirique de la famille américaine moyenne. Un humour à plusieurs registres où tous les âges y trouveront leur compte.- A la chasse au papier.Après être devenu livreur de journaux, Bart parvient à prendre le contrôle de la presse deSpringfield ! Très vite, il se rend compte que c'est un tout nouveau monde de bêtises à grande échelle qui s'ouvre à lui. Mais après avoir fait publier des fausses informations dans son intérêt, Bart passe à la vitesse supérieure : faire courir la rumeur d'une mite géante qui attaque Springfield !- Le monstre du golf.La fièvre du golf a atteint Springfield mais pour M. Burns, il y a beaucoup trop d'adolescents qui le dérangent sur le green. Qu'à cela ne tienne, M. Burns va construire son propre golf ! Mais seulement, il choisit de le construire à la place de la réserve naturelle de Springfield, ce qui ne va pas plaire à Lisa Simpson, et sa troupe de scouts, les mini-mésanges. M. Burns, ancien membre des mésanges, va devoir s'engager dans une bataille de badges contre Lisa.
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14,50 €
GLENAT
L'innocence ne dure qu'un temps...1755. Sébastien est un jeune et chétif garçon, sujet à de violentes crises d'épilepsie. Toute sa famille est préoccupée par son état de santé fragile, peu compatible avec son esprit aventureux. Alors que sa mère s'en inquiète auprès de la sublime Comtesse de Senanges, celle-ci décide de le prendre sous son aile. D'une grâce et d'une intelligence redoutable, elle devient pour le jeune garçon qui ne connaissait des femmes que ses servantes, ses soeurs et sa mère, l'incarnation même de la féminité. Elle lui apprend les codes de son monde, celui d'une aristocratie impitoyable, où jeux de masques, intrigues amoureuses et secrets d'alcôves font loi. Peu à peu, leur liaison évolue. Sébastien devient plus qu'un simple protégé...Maintes fois adapté au cinéma, Les Liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos est un roman majeur du XVIIIe siècle et probablement l'un des plus grands chefs-d'oeuvre de la littérature française. Mais comment le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil en sont arrivés à devenir les personnages manipulateurs que nous connaissons tous ? C'est ce qu'imagine cette bande dessinée qui, dans un respect total de la cohérence de l'oeuvre, raconte la jeunesse des deux protagonistes. Entre passions et faux-semblants, le scénario ciselé de Stéphane Betbéder nous replonge avec une force toute littéraire dans le monde cruel et feutré de la haute société libertine, auquel le dessin sensuel de Djief, en héritier d'Yslaire, vient apporter un supplément de beauté noire et de réalisme.
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16,50 €
REVIVAL
En 1979 et 1980, Carlos Trillo et Alberto Breccia décident d'adapter certains contes de fées popularisés par les frères Grimm et repris antécédemment par l'usine Disney. À l'époque, l'Argentine est encore aux prises avec la dictature. Blanche-Neige, Cendrillon, Hansel et Gretel, Le Petit Chaperon rouge, La Belle au bois dormant... Écrasés par les années de plomb, les deux auteurs vont alors truffer leurs histoires de messages sous-jacents qui, à l'aube du xxie siècle, deviennent éclairants. Carlos Trillo et Alberto Breccia sont deux grands maîtres de la bande dessinée argentine. Le premier ne racontait jamais pour ne rien dire. Le second, génial dessinateur capable de toutes les audaces, a créé dans Qui a peur des contes de fées un univers graphique singulier à base de peinture, de collage et de papier découpé. Cette édition reprend les cinq contes réinventés par Trillo et Breccia vers 1980. Ces histoires, parues à l'origine dans El Péndulo, Hurra, Alter Alter et SuperHumor, n'avaient jamais été recueillies en français. Préface de Fernando Ariel Garcia.
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12,00 €
GLENAT
Bruxelles, 1934 : Georges, 27 ans, est dessinateur publicitaire et auteur de bande dessinée dans le supplément pour enfants d'un quotidien catholique, Le XXe siècle. Il est marié à Germaine, d'un an son aînée. Ils n'ont pas d'enfants. Apprenant que Georges va envoyer son héros de papier en Chine pour une nouvelle histoire, un abbé le met en garde : il nedoit pas vexer ses étudiants chinois avec des lieux communs et des clichés. Pour l'aider dans sa documentation, il lui présente Tchang, étudiant en art de 26 ans qui va ouvrir Georges à l'art et la culture chinoise.Entre les deux artistes naît une profonde amitié. Dimanche après dimanche, la relation de maître à élève va céder la place à une complicité amoureuse rendant Germaine jalouse. Mais Tchang est manipulé par Tong, son compagnon de chambre à l'université, communiste convaincu qui entend bien appliquer le précepte chinois Yang wei zhong yong : « utiliser les étrangers pour qu'ils servent la Chine ». Tchang, qui travaille maintenant étroitement avec Georges, truffe les pages de la BD de slogans anti-impérialistes et anti-japonais. Les autorités japonaises sont scandalisées et tentent de se débarrasser de lui, mais enlèvent par erreur Tong...
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16,00 €
LA CINQUIEME COUCHE
Tout le monde veut connaître le Secret. La méfiance règne. Accéder au Secret relève de l'ascension sociale. Changer de condition sociale donne accès au Secret, le Secret conforte ce changement de condition sociale. Conserver le Secret assoit le pouvoir de son détenteur et le maintient dans sa position de domination. Gilles, nouvellement coopté dans la confrérie des détenteurs du Secret, fait son apprentissage dans la sphère très fermée de ce club de privilégiés, inaccessible au commun des mortels. Il découvre les mécanismes qui sous-tendent la violence dans les rapports sociaux. L'un des membres de cette corporation d'élus l'exprime simplement : Il n'y a pas de fortune sur Terre qui pousse sur autre chose que des corps d'infortunés.Le Secret incarne la part ésotérique de la lutte des classes. Le coopté est transfiguré, s'animalise, devient méconnaissable aux yeux de ses anciens congénères de basse extraction. Le secret est une drogue qui ne drogue que les autres. Se pourrait-il que nous, pauvres diables de lecteur, nous puissions avoir accès au Secret grâce à ce livre ?L.L. de Mars signe ici une fable/farce politico-sociale féroce, et fait la part belle à l'expressivité picturale de son dessin en tirant parti de toutes les possibilités expressives de sa discipline pour rendre la violence et la cruauté de son récit : collages, encres, crayons, pastels dans une explosion de couleurs, de matières et une mise en page décomplexée. Les cases se décloisonnent, les visages s'estompent, la couleuret les figures circulent librement dans les planches et se contaminent.Les cases se décloisonnent, les visages s'estompent, la couleur et les figures circulent librement dans les planches et se contaminent.
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25,50 €
CORNELIUS
Le marais (1965-1966), Les fleurs rouges (1967-1968) et La vis (1968-1972) nous montraient Yoshiharu Tsuge atteindre progressivement la pleine puissance de son art et fonder le watakushi manga (la bande dessinée du moi).Après la publication de Neiji Shiki (La vis) en 1968, Tsuge poursuit son exploration de l'autofiction, incluant désormais une part autobiographique et onirique dans son travail.Après son passage dans la revue Garo, Tsuge ne cesse de se réinventer et commence à tisser la suite de sa carrière bien que ses publications se fassent de plus en plus rares.Plus sombres qu'à ses débuts, les récits qui composent ce quatrième volume marquent ainsi l'apparition de thèmes inédits, caractéristiques de sa nouvelle orientation, et qui reviendront comme des motifs récurrents. Le quotidien en couple, la vacuité des voyages, le désir de changement de carrière ou encore les souvenirs de jeunesse deviennent des sources d'inspiration pour Tsuge, qui extériorise grâce au dessin une forme de mal-être social. Ce besoin de revenir sur les expériences marquantes de sa vie atteint son apogée avec l'histoire L'usine d'électroplastie d'Ôba, où l'auteur revient pour la première fois sur son enfance et plus particulièrement sur son travail dans un atelier d'électroplastie dans la province d'Ôba. Une période décisive sur laquelle il reviendra régulièrement jusqu'à la fin de sa carrière et qui délivre un témoignage précieux sur le mode de vie des oubliés du succès économique.Ce nouveau volume inédit de l'anthologie que nous consacrons à Yoshiharu Tsuge, présente ainsi un auteur au sommet de son art, en perpétuelle remise en question des codes de narration de la bande dessinée, de ses thèmes et de son propre passé.
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16,90 €
HICOMICS
Vous pensez connaître les Rangers Ninja ? Vous êtes sûrs ? Vous rêvez de voir les Tortues et April O'Neil en armure ? Mieux encore : vous pensez être prêts pour le démentiel Turtlezord ? Découvrez le premier vrai crossover d'envergure entre les deux univers culte de Haim Saban, Peter Laird et Kevin Eastman. Les Rangers débarquent à New York en quête de Tommy Oliver, le Ranger Vert, et découvrent ce dernier aux prises avec les Tortues Ninja.Fonçant tête baissée dans la mêlée pour l'aider, les cinq héros font face aux fils de Splinter. Mais alors que la raison les rattrape, les Power Rangers découvrent que Tommy s'est associé avec Shredder et son terrible clan Foot. Suite à sa trahison, ils vont devoir faire équipe avec les Tortues afin de trouver un moyen de le ramener à la raison et d'empêcher la destruction du monde des mains de Rita Repulsa et de l'ennemi juré des quatre frères.Les plus grands enfants savent que Power Rangers et Tortues Ninja se sont déjà croisés dans les années 90. Véritable déclaration d'amour aux Rangers et aux Tortues, Power Rangers & Tortues Ninja capture l'essence des uns et des autres, de leurs fratries respectives à leurs galeries de vilains tous plus terribles les uns que les autres. Magnifié par le dessin de Simone Di Meo, véritable révélation de ce début de décennie, et brillamment mis en scène par Ryan Parrott, Power Rangers & Tortues Ninja délivre l'un des meilleurs crossovers que vous aurez la chance de lire, et le plus beau, sans aucun doute.
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129,00 €
DUPUIS
Une magistrale leçon de dessin au travers d'une biographie passionnanteC'est à l'instigation de René Matthews, l'un des éditeurs, que Jijé s'attaque en 1941 à sa monumentale biographie de Don Bosco, qui constituera un des best-sellers de cette époque : plus de 200 000 exemplaires vendus en diverses rééditions noir et blanc de 1943 à 1949. Cette illustration d'un sujet imposé l'a passionné, mais ne satisfait néanmoins plus son souci grandissant de perfectionnisme. En bien des points,il a manqué de documentation et n'a pu se rendre sur place pour croquer l'atmosphère italienne, les décors, monuments et visages typiques. Après un séjour sur les lieux du récit, il s'attaque à une nouvelle version entièrement redessinée et complétée, passant de 99 à 106 planches malgré quelques suppressions. Édité et réédité en albums couleurs à partir de 1951, cette seconde approche d'une vie passionnante et exemplaire constituera un nouveau best-seller, toujours disponible de nos jours dans la collection Figures de Proue. Grâce à la juxtaposition des deux versions, ce volume permet de suivre pas à pas l'évolution de Jijé dans un cadre précis. Le lecteur attentif découvre ainsi d'un même regard les variantes, les anecdotes que l'auteur a jugé utile d'ajouter ou de supprimer dans la refonte, la reconstitution de plus en plus authentique des décors et la transformation graphique de certains personnages ou de scènes que l'artiste estimait trop vieillies ou maladroites. Son traitement du noir et blanc, ainsi que son choix de cadrages, évoluent vers la perfection. Entre ces deux pôles, Jijé est passé du stade d'amateur très doué à celui de Maître parfaitement conscient de ses moyens.
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25,00 €
BD FUGUE
Tirage d'art : format 30 x 40 cm numéroté et signé, limitéeà 60 exemplaires en exclusivité pour BDfugue. Sur papier deluxe mat 324 g non couché format : 30x40 cm Tirage : 60 exemplaires. Pour nos voeux 2020, c'est Alexandre Clérisse qui se prête au jeu de l'hommage au 9ème Art.Celui qui a si ludiquement honoré les réalisateurs cultes de cinéma avec son recueil d'illustrations Alfred, Quentin et Pedro sont sur un plateau... livre non seulement ses influences mais aussi la vision qu'il a de son métier.Au premier abord apparaît la solitude de l'artiste dans son atelier mais est-on chez Alexandre Clérisse ou dans sa tête ?Au mur de son imaginaire se côtoient les bandes dessinées de sa jeunesse, les auteurs contemporains qui l'inspirent, les albums de ses amis et ses lectures récentes avec quelques-uns des titres les plus marquants de 2019.C'est la combinaison mouvante de toutes ces influences qui forgent le travail de l'artiste à qui l'on doit, avec son compère Thierry Smolderen, les géniaux Souvenirs de l'empire de l'Atome, L'Été Diabolik et très récemment Une année sans Cthulhu.Cette illustration exclusive fait l'objet d'un tirage d'art limité à 60 exemplaires, signé par Alexandre Clérisse est distribué dans les librairies BDfugue et sur BDfugue.com.
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15,00 €
MISMA
Après avoir travaillé jusqu'à l'épuisement total dans les studios Disney, Walt sombre dans une profonde dérive : il se laisse aller, ne se nourrit plus et finit par perdre complètement la tête. Sa femme Liliane décide de prendre les choses en main et l'amène à la Clinique Von Spatz. Située sur les magnifiques collines de Santa Monica, cette maison de santé réputée accueille des grands noms de l'Art en crise ou en surmenage en vue d'une réinsertion artistique. Encadrés par des psychiatres compétents, les patients suivent un programme précis : art thérapie, séances de groupe, coaching personnel, ateliers de bd, expositions, mais aussi alimentation des pingouins, dressage des faucons, etc, etc… Anna Haifisch, artiste elle-même, connait bien les affres de la création et s'en amuse ici. Sa Clinique Von Spatz est le reflet du monde de l'Art avec ses doutes, ses frustrations, ses échecs. On ne s'étonnera même pas de croiser parmi ses patients, Tomi Ungerer et Saul Steinberg, venus ici comme Walt soigner leur mal-être artistique. Anna Haifisch, elle, a trouvé son antidote contre l'ennui. Elle joue avec l'espace, les formes, les cadrages. Son sens de l'épuration et l'omniprésence du blanc dans ses cases évoque sans cesse l'angoisse de la page blanche. Et si les couleurs chatoyantes aux tons primaires donnent une tonalité optimiste à l'album, le dessin tout en fébrilité, à la plume, est là pour rappeler que la guérison ne tient qu'à un fil et qu'il faudra beaucoup de patience...Ça tombe bien, Clinique Von Spatz est un petit paradis pour artistes où l'on prend le temps de laisser venir l'inspiration.
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30,00 €
DUPUIS
Lorsque la Seconde Guerre mondiale est déclarée, nombreux sont les hommes valides à être dépêchés en urgence pour servir la France ; parmi eux, Addi, séminariste sur le point de rentrer dans les ordres à Dakar. Contraint d'échanger sa robe contre l'uniforme militaire, le jeune Français sénégalais se confrontera à un tout autre monde, un champ de bataille où les hommes s'exécutent sans concession et où la moindre marque de douceur est une rareté. Aux côtés de son amiIbrahim, Addi sera fait prisonnier, échappera à la mort, développera un réseau d'entraide pour les minorités étrangères. Et rencontrera l'amour en la personne de Jeanne, une institutrice. Mais les sentiments terrestres sont-ils compatibles avec les voeux religieux ? Peut-on oublier Dieu et la guerre dans les yeux d'une femme ?Récit de guerre, histoire d'amour, Plus près de toi dépeint des instants de grâce au coeur des grands conflits européens de la moitié du XXe siècle. Cette histoire à la sensibilité rare, qui confronte l'horreur à la religion et la violence aux sentiments, est douée d'une force remarquable.Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.
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24,95 €
DUPUIS
Le lac de l'Homme-mort , paru pour la première fois en 1957 chez Dupuis et dont la dernière réédition datait de 1978, est de ces albums inscrits dans la mythologie de la bande dessinée franco-belge.Maurice Tillieux y a injecté tout ce qui faisait son talent et l'intensité de ses histoires : de la puissance des ambiances et des mises en scène à l'humour et à l'épaisseur de ses personnages, en passant par les nuances de mystère et la minutie de ses cadrages, Marc Jaguar est un concentré de son art.60 ans après sa parution, Le lac de l'Homme-mort est un album unique dans la carrière de son auteur, et n'en demeure pas moins le chef-d'oeuvre oublié d'un des grands maîtres du polar, disparu voici bientôt 40 ans.Cette nouvelle édition - enfin ! - rend hommage au dessinateur dans une préface écrite par José-Louis Bocquet, grand amateur de cette oeuvre exceptionnelle, et présente les huit premières pages en fac-similé de l'épisode suivant, intitulé Les camions du diable.Dessinées en 1956, ces pages resteront sans suite. Accompagnée d'un frontispice imprimé sur beau papier, cette réédition s'inscrit dans la continuité de l'intégrale Gil Jourdan pour poursuivre avec passion l'exploration de l'oeuvre de Tillieux.
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25,40 €
FUTUROPOLIS
Rites ancestraux et soirées karaoké rythment la vie des autochtones. « Troub's a eu la bonne idée, ou la chance, de pousser jusqu'à Long Apari et de s'y poser quelque temps, d'y vivre, d'y respirer l'air du temps qui passe, un peu de l'air d'antan. » Explique Bernard Sellato ethnologue et spécialiste de Bornéo, dans sa préface. « .Long Apari est resté un havre de paix relative, où la vie coule encore au rythme des travaux agricoles, comme le fleuve à celui des crues et étiages. Des chiens, des chats, des poules, mais pas de « hello mister ». Bien sûr, la télé est là, incontournable, se substituant aux veillées de contes à la torche de résine, elle-même remplacée par le néon. Mais au-delà de Long Apari, il n'y a plus rien, on ne peut pas aller plus loin. On croit, en remontant aux sources du fleuve, pouvoir remonter le temps. Mais ce temps n'est plus. Voici donc une savoureuse chronique d'un fleuve et du temps qui coule. » Grand bourlingueur, Troub's ne part jamais sans son matériel de dessin : « En voyage, j'ai toujours sur moi des carnets de tailles différentes pour dessiner, et un petit pour écrire. Tout commence là, je note assidûment, obsessionnellement peut être, tout ce qui me fait réagir, sans aucune censure. J'accumule et c'est un vrai plaisir. Ensuite, de retour dans mon atelier, j'essaye d'y mettre de l'ordre. Pour ce livre, j'ai commencé par reprendre mes écrits pour en faire un texte cohérent et lisible par n'importe qui, un journal de bord. Ensuite, j'ai placé les croquis fait sur place, un peu comme des illustrations du texte. Et pour finir, j'y ai inclus des pages de bd, des strips, aux endroits où cela me paraissait importun. »
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12,00 €
LA CINQUIEME COUCHE
Dans le jargon de l'imprimerie, le blanco est un exemplaire d'un livre relié mais non imprimé qui permet à l'éditeur de se faire une idée précise de l'objet fini et d'en éprouver des variantes (apparence, poids, épaisseur, grammage et main du papier, etc.) lorsqu'il sort des formats usuels. Blanco s'inscrit strictement dans la tradition de la bande dessinée franco-belge telle qu'elle a été décriée naguère par Jean-Christophe Menu lorsqu'il fustigea la standardisation des formats, donc des contenus, dans les pamphlets d'Éprouvettes, en forgeant l'expression qui fit flores « 48cc » (abréviation de « 48 pages cartonné-couleurs », le standard industriel auquel ne dérogeaient pas encore les éditeurs mainstream).Le principal apport à la bande dessinée de l'éditeur L'Association est sans conteste d'avoir créé ce terme pour désigner ce que, par son ubiquité même, on ne percevait pas, ce format se confondant avec la bande dessinée elle-même. Blanco est un 48cc. Puisque le format lui-même charrie des significations autant qu'il les génère, Blanco dit et montre ni plus ni moins que n'importe quelle bande dessinée de ce format et de ce standard. Elle a simplement été épurée de ses scories jusqu'à l'os pour n'être plus que la quintessence de tout un genre qui a déjà assez lassé.
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25,00 €
CA ET LA
Entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2015, le dessinateur canadien Dakota McFadzean a dessiné chaque jour un strip en quatre cases pour le mettre en ligne sur son site internet. Soit in fine un total de mille huit cent vingt-cinq strips dessinés sur une période de quatre ans ! C'est un accomplissement remarquable pour un jeune auteur (bien que ce type de contrainte soit familier aux dessinateurs de la presse quotidienne).Mais le plus remarquable est la facilité avec laquelle Dakota McFadzean jongle avec l'humour noir et l'absurde. Alternant brillamment des histoires complètement surréalistes avec des strips plus introspectifs, Dakota McFadzean sait varier les effets allant du gore à la poésie, avec un sens du rythme et de la réplique qui fait mouche à chaque fois...Puisque les éditions çà et Là font bien les choses, va être publiée l'intégrale des strips de Dakota McFadzean en deux volumes de plus de 300 pages chacun, reprenant les strips de 2011 à 2013 déjà publiés sous forme de recueil au Canada chez Conundrum Press mais également les strips réalisés entre 2014 et 2015, entièrement inédits au format papier in the whole wide world.
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59,00 €
PARIS-MUSEES
Auteur prolifique, Robert Crumb est une figure de la culture underground américaine, et probablement l'un des plus grands dessinateurs de ces cinquante dernières années. Son oeuvre a profondément marqué le monde de la BD américaine et française, et tous s'accordent à voir en Crumb celui a changé le dessin par son trait, d'une énergie et d'une densité sans égales. Il est le premier Américain à avoir reçu le Grand prix d'Angoulême en 1999, et le seul à avoir bénéficié d'expositions dans les musées du monde entier, à San Francisco, Cologne et Vienne.Né à Philadelphie en 1943, il commence très tôt à dessiner avec ses deux frères des albums de bandes dessinées inspirés de comics animaliers.Lors du Summer of Love de San Francisco en 1967, il invente toute une série de personnages devenus cultes : Fritz the Cat, Mister Natural, Snoid. Ses sujets favoris sont les mythes américains tels que la famille, le sexe, la vie urbaine, les hippies, l'argent, etc. Mais son sujet de prédilection reste sa vie. En effet, dès les années 70 il entreprend une production plus autobiographique dans laquelle il raconte sans pudeur ses obsessions, ses angoisses, ses relations avec les femmes, ou encore sa passion pour le jazz des années 20.Le catalogue retrace le parcours graphique de Crumb depuis ses premiers dessins dans les revues Help !, Zap et Weirdo, jusqu'aux planches de son dernier album La Genèse, une adaptation littérale du premier livre de la Bible, en passant par ses carnets de dessins jamais publiés.Avec les textes français/anglais de Sébastien Gokalp, Joann Sfar, Jean-Pierre Mercier, Todd Hignite et Jean-Luc Fromental.
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39,00 €
DANIEL MAGHEN
Été comme hiver est l'artbook consacré au travail de Jean-Pierre Gibrat de ces vingt dernières années, en particulier autour des séries Le Sursis, Le Vol du corbeau et Mattéo. L'auteur a lui-même sélectionné ses meilleurs dessins, supervisé la création du livre et porté le plus grand soin à la reproduction de ses dessins. Fait rare chez les auteurs de bande dessinée, Gibrat partage son temps entre ses séries et les illustrations qu'elles lui inspirent. On peut «lire» ses illustrations dans la continuité de ses albums, que l'on retrouve ses héroïnes en plein exode, parmi les réfugiés fuyant Paris, ou sur le quai d'une gare, regagnant la capitale après la défaite allemande.À travers ces dessins réalisés en couleur directe, Gibrat nous offre sa représentation de la beauté féminine, mélange de force, de fragilité, d'humour et de sensualité. On ne peut s'empêcher de tomber amoureux des femmes de Gibrat ! Jeanne, Cécile et Amélie sont mise à l'honneur dans ces pages grand format, dans les contextes historiques des événements du XXe siècle ou dans la simplicité de leur vie quotidienne, assises à la terrasse d'un café, dans le métro parisien ou songeuses, faisant quelques pas sur la plage.Tout au long du livre, dans une longue interview menée par son amie Rebecca Manzoni, Jean-Pierre Gibrat se dévoile et nous fait partager avec humour et sincérité son goût de l'Histoire, de la représentation féminine, ses influences en dessin, en littérature, en cinéma, et son parcours original, depuis les premières caricatures à la façon des Grandes Gueules jusqu'à ses derniers albums, en passant par l'incroyable richesse des années « Pilote ».
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9,00 €
JEAN-CLAUDE GAWSEWITCH
Pénélope est une illustratrice parisienne de 25 ans. Elle vit dans le plus petit appartement du monde, sous les toits. En compagnie de son chat rose, sa collection de chaussures et ses tracas quotidiens : sa réticence à faire du sport, sa mère envahissante, son chéri qui ne l'écoute pas, ses clients qui la paient en retard, son incapacité à mettre de l'autobronzant correctement et ses talons aiguilles qui se coincent entre les pavés. Heureusement pour elle, il reste les copines langues de vipère, les soldes, les séries télé, lesweek-ends à Londres, la presse People et les macarons à la fleur d'oranger.Pénélope possède un tas de petits défauts : elle râle, parle beaucoup trop, manque parfois de tact, arpente compulsivement les magasins, insulte les automobilistes sur les pistes cyclables, ne fait la vaisselle qu'une fois par semaine, dépense trois fois ce qu'elle gagne, passe la moitié de sa vie au téléphone, mange n'importe quoi, s'obstine à essayer de rentrer dans un 36, s'insurge (selon les saisons) contre le froid ou le chaud, reste des heures dans la salle de bains, et fait parfois preuve d'une grossièreté effrayante.Pénélope Bagieu nous raconte, dans cette bande dessinée, les petites histoires et péripéties de cet attachant personnage, tour à tour drôles, émouvantes et toujours passionnantes. Pénélope Bagieu a 25 ans et travaille comme illustratrice pour la publicité, la presse et l'édition. Tous les prétextes sont bons pour raconter tous les jours, en dessin, sa vie tout à fait fascinante sur le blog de son double virtuel, Pénélope Jolicoeur, qui réunit quotidiennement 7000 visiteurs environ.
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8,00 €
GLENAT
Après son bain forcé dans le lac de Joux, Gil débarque dans un petit hôtel suisse dont le patron lui parle d'une étrange secte basée dans la région qui porte le nom de « Renaissance ». Il s'est intégré à ce groupe mystico-ésotérique pour approfondir ses recherches sur la disparition de sa femme et celles-ci n'ont pas progressé d'un iota. Mais il y retrouve néanmoins le fameux Range-Rover blanc, et découvre un bien étrange laboratoire où sont enfermés souris, rats et singes...Quelles curieuses manipulations peuvent bien y être pratiquées ?... Parallèlement, la belle Djida Feschaoui poursuit son enquête pour retrouver Gil. C'est parce que le professeur Medjic semblait bien louche qu'il fut décidé de l'approcher. C'est ce mystérieux homme que la belle-mère de Gil a appelé avant de mourir, et c'est lui qui aujourd'hui donne une conférence saluée par tous où il annonce être capable d'éradiquer le cancer et de donner à l'homme la pilule de jouvence éternelle. Ne serait-il pas lié à cette étrange secte et à ses expériences génétiques ?... Et ne serait-il pas tout simplement le responsable de l'enlèvement de l'épouse de Gil ?... Le suspense est à son comble et les indices commencent à proliférer... Gil St-André parviendra-t-il à retrouver sa femme vivante ?... En tous cas nous le saurons tous à la fin de cet album, car ce cinquième tome marque la fin d'un premier cycle d'aventures qui va s'achever sur les chapeaux de roues ! Le scénario à engrenages remarquablement huilés de Kraehn et le dessin à la parfaite ligne claire de Vallée sont deux des clefs de la réussite de cette grande série. Chef de file de la collection « Bulle Noire », elle conquiert un public de plus en plus important !
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15,00 €
LA CINQUIEME COUCHE
Frag est une expérience limite. Ses personnages évoluent dans le théâtre du monde comme sur les niveaux d'un jeu de plateforme, sous le regard d'un Dieu indifférent et muet, figuré par un coq étêté. Trois hommes sont sur un bateau. Trois squelettes sur un autre. Un coq tombe dans l'eau. Qu'est-ce qui reste ? Au gré des courants, ces marins malgré eux subissent le monde, les vagues, les nuages, puisqu'ils ne peuvent être ailleurs. Ils ont faim parfois. Ils pêchent et s'ils ne pêchent rien, mangent la jambe de l'un d'entre eux. C'est un jeu de plateforme à trois niveaux : dans l'eau, à sa surface, et dans le ciel. Les interactions, dans ce microcosme, ne peuvent que nous en rappeler d'autres...On ne présente plus l'oeuvre singulière et exigeante d'Ilan Manouach.Après Les Lieux et les choses qui entouraient les gens, désormais, La Mort du Cycliste et Arbres en plastique, feuilles en papier... et les paysages sans ciel d'Ilan Manouach, on attendait impatiemment une expérience narrative et séquentielle qui promettait d'être radicale. Frag est cette expérience limite. Ses personnages évoluent dans le théâtre du monde comme sur les niveaux d'un jeu de plateforme, sous le regard d'un Dieu indifférent et muet figuré par un coq étêté, tantôt tête, tantôt corps.
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30,00 €
DUPUIS
Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.Août 1944, les Allemands résistent toujours à l'assaut américain dans Saint-Malo. Depuis Cézembre, ils défendent leurs positions et l'île semble inexpugnable. Les hommes malouins toujours prisonniers dans le fort voient les combats de loin. Ewan, désespéré à l'idée que Françoise puisse être morte dans la bataille pour reprendre la cité, décide de porter le message de la Résistance aux Alliés en traversant à la nage, et de la chercher...Françoise de son côté a débarqué sur l'île de Cézembre contre son gré. Embarquée par le traître Bastien, elle va découvrir une garnison poussée dans ses derniers retranchements aux ordres d'un militaire visiblement convaincu que le IIIème Reich va les aider...Nicolas Malfin vient clore son histoire historique autour de la baie malouine durant ce mois d'août 1944. Une histoire encore vive aujourd'hui tant les bombardements alliés ont été violents sur l'île de Cézembre, près de 20 000 bombes ayant été lâchées sur ce bout de terre pour obliger les Allemands à se rendre. Un territoire encore interdit d'accès en majeure partie, car le déminage n'est pas terminé aujourd'hui.
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20,00 €
GLENAT
Sambre est une série à part dans l'univers de la bande dessinée. Le premier album a immédiatement franchi la barre des 100.000 exemplaires, raflé nombre de prix et suscité les louanges des professionnels. Le second album, publié 4 ans plus tard, confirma le succès initial. Pour la première fois depuis les Blake et Mortimer de Jacobs, une série voit son succès croître sans devoir passer par le biais d'une parution régulière. Telle est la marque Sambre qui s'inscrit, album après album, comme une série d'exception. Personne ne s'étonnera plus qu'un volume de Sambre réclame un temps certain de maturation et de travail. Sans celui-ci, chaque planche perdrait de sa saveur graphique et de son étoffe psychologique. Alors qu'est attendu un cinquième tome, La Légende des Sambre explore, au prix de nombreuses révélations, les secrets de fabrication de chaque album. Yslaire a extrait de ses archives de fascinants documents (crayonnés, recherches de personnages, photos de repérage...). Tout au long d'entretiens passionnants, Yslaire est poussé dans ses derniers retranchements, jusqu'à ces zones où se mêlent intimement le créateur et sa création. Dans un style journalistique vivant (exit l'exégèse pontifiante), sont abordés de multiples sujets : le romantisme, la révolution en parallèle aux sentiments des personnages, la logique des titres, le long cheminement vers le dessin définitif, la collaboration avec Balac, le rôle croissant de Julie, les couleurs exceptionnelles de la série... Ces thèmes sont abordés comme autant d'articles indépendants, afin de permettre une lecture « au choix ». Textes et images se renforcent pour permettre au lecteur d'en savoir (presque) autant sur Sambre que Yslaire.
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28,00 €
FUTUROPOLIS
John Glanton (1819-1850) est un Texas Ranger pendant la guerre mexicaine déclenchée en 1845 par l'annexion du Texas par les États-Unis. Les États-Unis annexeront aussi les territoires mexicains de la Californie. Pour Ulysse Grant, qui participa à cette guerre, « La rébellion du Sud fut l'avatar de la guerre avec le Mexique. Nations et individus sont punis de leurs transgressions. Nous reçûmes notre châtiment sous la forme de la plus sanguinaire et coûteuse guerre des temps modernes. » Après la guerre, chassé de l'armée pour meurtre, Glanton devient soldat de fortune, un mercenaire à la tête d'un gang particulièrement violent. Il loue ses services à l'état de Chihuahua afin de chasser les Indiens Apaches qui opèrent à la frontière du Mexique mais massacre aussi des Indiens pacifiques pour se faire plus d'argent. Car Glanton est payé au scalp rapporté. Ses massacres bafouent les traités signés entre ces tribus et les États- Unis et oblige l'état de Chihuahua à les déclarer hors-la-loi.Ils partent vers la Californie où la ruée vers l'or vient de commencer et s'enfoncent de plus en plus dans la violence. Glanton - et sa bande - tombera en 1950 dans une embuscade de la tribu de Quechan qui voulait se venger de leurs exactions.En se basant sur la vie de John Glanton, Texas Ranger pendant la guerre civile mexicaine puis mercenaire à la tête d'une bande de tueurs d'Indiens payés au scalp, Hugues Micol livre un récit hallucinant de la guerre civile mexicaine du milieu de XIXe siècle. Son dessin, puissant,qui rappelle les gravures de Goya, dépeint l'implacable brutalité d'une époque, loin des clichés du Far west.
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7,00 €
DARGAUD
Paris, fin du XIXe siècle. Le peintre Gustave Gélinet, un barbouilleur qui a moins d'imagination qu'un tabouret (d'après Fulmel, critique d'art auto-proclamé arbitre des élégances), se met subitement à en avoir. Découvrant avec stupéfaction sa dernière oeuvre au Salon - une très jolie sirène -, Fulmel soupçonne une supercherie, mène son enquête et découvre qu'en effet, Gélinet n'a rien imaginé : il héberge dans son atelier une authentique sirène - une sirène bretonne défectueuse, qui chante mal et n'a jamais pris aucun plaisir à noyer les marins. Pourtant, après avoir connu la gloire, Gélinet, qui deviendra un odieux personnage, pompeux, borné et toujours dénué d'imagination, finira noyé.Dans un parfum de scandale pictural fin de siècle, alors que les Pompiers tiennent le haut du pavé en pleine période impressionniste, ce one-shot (enrichi d'un cahier de huit pages présentant les toiles du maître) nous embarque pour une aventure (délicatement) fantastique où l'on voit unecurieuse sirène, bien vivante et très attachante, rêver de Paris, arriver jusqu'à la Seine et patauger dans les égoûts, se faire inviter dans les salons les mieux fréquentés, danser en fauteuil roulant et s'intéresser à la peinture des couchers de soleil sur les récifs bretons (ça lui parle.) avant de partir nager dans toutes les mers du monde. Privilégiant le récit tout en donnant au dessin une force poétique remarquable, Zanzim et Hubert (considérés par l'Américian Franck Mignola comme les deux meilleurs auteurs français) nous font le merveilleux cadeau d'une histoire palpitante, pleine de charme et de beauté.
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14,95 €
GLENAT
1940, l'armée nazie a envahi la Pologne. À Varsovie, les Juifs de la ville ont été parqués dans le ghetto : un quartier entier entouré de murs. Quiconque tente de s'en échapper est abattu sans sommation ; les seuls qui peuvent y entrer sont les membres du département d'aide sociale. Parmi eux, Irena vient tous les jours apporter vivres et soutien à ceux qui sont enfermés dans cet enfer et qui souffrent de maladies et de malnutrition. Ici, tout le monde la connait, les enfants l'adorent. Car Irena est un modèle de courage : elle n'hésite pas à tenir tête aux gardiens, à faire toujours plus que ce qu'autorise l'occupant nazi. Le jour où, sur son lit de mort, une jeune mère lui confie la vie de son fils, Irena se met en tête de sortir clandestinement les orphelins du ghetto. Pour que l'innocence soit épargnée de la barbarie, elle doit être prête à risquer sa vie.Décédée en 2008, déclarée Juste parmi les nations en 1965, Irena Sendlerowa, résistante et militante polonaise, fut l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre Mondiale, sauvant près de 2500 enfants juifs du ghetto de Varsovie. Et pourtant elle est oubliée des livres d'Histoire... C'est en lisant par hasard un article sur elle que Jean-David Morvan a eu le déclic : sa vie devait être racontée. Avec Séverine Tréfouël et David Evrard, il retrace sur trois albums le combat humaniste de cette « mère des enfants de l'Holocauste. » Porté par un dessin d'une grande sensibilité, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d'un sujet fort, poignant et profondément actuel... Toucher, émouvoir, parler d'hier pour raconter aujourd'hui...
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21,90 €
DENOEL
Pour les fêtes de fin d'année, Denoël Graphic propose cette édition limitée à tirage unique de Cassandra Darke, avec sa jaquette de saison et un dessin inédit de l'auteur tiré à part sur Rives Shetland blanc naturel 250 g. L’occasion de retrouver ou d’offrir l'ébouriffant conte de Noël de la Reine du roman graphique anglais.Cassandra Darke, Londonienne pur jus, vieille teigne misanthrope, mauvaise coucheuse en surcharge pondérale, n'est pas sans rappeler le célèbre Scrooge de Dickens. Elle ne pense qu'à elle-même et aux moyens de préserver le confort dont elle jouit dans sa maison de Chelsea à 8 millions de livres. La galerie d'art moderne de son défunt mari a été le théâtre de fraudes qui l'ont mise en délicatesse avec la justice et au ban de son milieu. Mais Cassandra s'accorde le pardon, au prétexte qu'«à côté de tous ces meurtriers récidivistes, on se sentirait presque comme Blanche-Neige». Ses fautes n'impliquent «ni violence, ni arme, ni cadavre». Hélas, dans son sous-sol, une ex-locataire, la jeune et naïve Nicki, a laissé une surprise qui pourrait bien s'accompagner de violence et d'au moins un cadavre... Affinant encore sa virtuosité unique, entre roman et bande dessinée, Posy Simmonds poursuit la fresque de l'Angleterre moderne entreprise dans ses livres précédents et donne sa vision au scalpel du Londres brutal et fascinant d'aujourd'hui, «entre paillettes et galères». Son coeur, comme toujours, penche pour les chiens perdus, mais le portrait qu'elle trace de Cassandra, cette femme trop riche à l'hiver de sa vie, est vibrant d'empathie. Pur plaisir. Pur Posy.
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12,45 €
LOMBARD
Dans l’Amérique des années 1950, Jay Sherman est l’incarnation du rêve. Fils d’un clochard, il a gravi les échelons jusqu’à devenir un homme d’affaires en vue. Son fils semblait promis au très convoité « Bureau ovale » de la Maison Blanche... Une balle a cependant mis un terme provisoire à cette success story familiale ! Qu’a bien pu faire un homme si respectable pour susciter tant de haine… ? La vérité apparaît enfin alors qu’approche la fin de l’histoire. Avec ce 5e épisode intitulé « Les Ruines. Berlin », le brouillard qui entoure le passé de Jay Sherman se dissipe un peu plus encore, révélant certains faits peu glorieux et surtout fort embarrassants pour un homme de son rang social. Tout à la fois complot financier, politique et historique, et intrigue policière, « Sherman » est une série qui ne détonne pas dans l’œuvre de Stephen Desberg. On y retrouve ces personnages complexes et controversés qu’il affectionne ; des hommes pas totalement ignobles, mais vraiment pas gentils… Cette histoire est d’autant plus réussie que Desberg a donné, et communiqué au lecteur, un sens à l’immense ambition de son héros : on comprend Jay Sherman et on se laisserait presque aller à pardonner ses écarts. Cette ambiance tout en nuances est parfaitement retranscrite par le dessin de Griffo. Rapide, mais d’une grande finesse, il anime avec justesse les visages et il éclaire la nature des relations entre les personnages. Supervisées par Griffo, les couleurs de Roberto Burgazzoli et Bautista participent à l’homogénéité et au dynamisme de l’ensemble. Cinq tomes de rebondissements, de révélations, mais un secret encore bien gardé… Jusqu’au 6e épisode qui verra le dénouement de ce remarquable thriller.
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5,00 €
SOCIETE DU FIGARO
C'est fou ce que la conjugaison d'un grain de sable et de la théorie des dominos peut faire comme dégâts ! Prenez le cas de Mr Quayle. Ce milliardaire US s'apprête à signer un pharamineux contrat avec le Khalakjistan (ex URSS). Enjeu : des mines contenant le fameux germanium que tout le monde s'arrache. Il ne lui reste plus qu'à lever l'option prise à travers sa filiale française et l'affaire est emballée.C'est là qu'intervient le grain de sable sous forme d'un brave paysan traversant une route du Khalakjistan. La valse des dominos s'enclenche. Pour éviter le chariot, un camion français percute la voiture du Ministre de la guerre local qui en avale son bulletin de naissance. Le routier en prend pour trente ans. Sous la pression de son syndicat qui menace de bloquer les routes, Paris boycotte le Khalakjistan. Du coup, l'option de Quayle ne vaut plus que son poids de papier. Seule solution pour relancer le jeu, faire évader le routier. C'est là qu'intervient Wayne Shelton.Pour dix millions de dollars, Shelton va rameuter son ancienne équipe et monter un plan remarquablement vicieux pour libérer le routier. Evidemment d'autres grains de sable vont transformer l'opération montée au millimètre en un enfer mortel. Les survivants seront rares. Et excessivement en colère.
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45,00 €
CASTERMAN
Ce grand album luxueux propose un panorama complet du travail de François Schuiten : scénographie, architecture, peinture, etc.Depuis quarante ans, François Schuiten construit une oeuvre singulière et polymorphe. Elle s’est d’abord déclinée en bande dessinée, culminant avec succès dans la série Les Cités obscures en compagnie de Benoît Peeters. Mais cet horloger du rêve a très vite tissé des liens avec le cinéma, les arts de la scène et la muséographie. Architecte de l’événement, intervenant dans la ville autant que dans la vie, Schuiten a réalisé d’immenses scénographies comme «A Planet of Visions » à l’Exposition Universelle de Hanovre (cinq millions de visiteurs en 2000), du design urbain (la station de métro Arts et Métiers à Paris, la Dentelle Stellaire à Lille), de la conception de décors et de costumes pour l’opéra comme pour le cinéma, ou encore l’aménagement de lieux prestigieux (la Maison Autrique et le futur Train World à Bruxelles, la Maison Jules Verne à Amiens). Quant aux projets qui sont restés des utopies de papier, ce livre les révèle dans toute leur ampleur…Nouvelle édition corrigée, sous couverture souple avec rabats.
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4,95 €
DARGAUD
Gaël aime le monde de Tyriel, l'elfe de la forêt qui passe ses journées à jouer de la flûte pour l'enchantement de toutes les créatures qui marchent, rampent ou volent.Gaël n'aime pas le monde dans lequel un gosse peut mourir pour avoir volé une voiture. Même si ce n'est pas bien, évidemment de voler une voiture !Hélas, si Gaël retrouve avec bonheur le monde de Tyriel chaque fois qu'il s'approche de sa table à dessin, il lui faut bien, le reste du temps, composer avec tous ceux qui vivent comme lui dans le monde où on meurt pour une voiture.Alors Gaël descend manifester dans la rue, derrière les pancartes rappelant que Kamel est mort « assassiné à 18 ans ». En face, les casqués de la «brigade spéciale d'intervention » ne font pas dans le détail. Et même des balles à blanc, ça peut faire très mal. Gaël se retrouve sur un lit d'hôpital. Il en sortira au côté de Carole, une brune amie. Ce sera pour tomber sur une bande de durs bien décidés à faire passer un très sale quart d'heure à la jeune fille.Pourquoi le gentil Gaël se transformera-t-il alors en un cogneur sans pitié ?Et quel estcet enfant qui s'interroge et dialogue avec une mystérieuse entité ?Fin du prélude. Dans la suite de Kabbale, apparaîtra enfin cet ouvrage mythique renfermant tous les secrets scientifiques et ésotériques du monde. Ouvrage qui se trouverait entre les mains de scientifiques payés par le gouvernement pour contrôler de terribles puissances prêtes à déclencher l'apocalypse.À moins que Gaël...Kabbale, une histoire hallucinante qui explore les profondeurs de l'inconscient.Kabbale, une relecture moderne du mythe éternel de Dr Jekyll et Mr Hyde.
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14,00 €
L'EMPLOYE DU MOI
Michel, le quarantenaire râleur et hirsute créé par Pierre Maurel nous revient pour un troisième épisode. Cette fois, l'amour, le vrai, celui pour lequel on passe l'aspirateur, semble bien avoir frappé à sa porte. Mais les emmerdes ne cessent pas de pleuvoir pour autant. Dans une France traversée par les conflits sociaux, impossible pour Michel de rester indifférent et de garder son matériel de reporter en poche, ni sa langue d'ailleurs.Comme il n'est pas vraiment taillé pour l'aventure, c'est aussi sous une pluie de coups durs, pas toujours métaphoriques, que notre antihéros bedonnant va courir. Qu'il nous promène au milieu des lacrymogènes pendant une manifestation des gilets jaunes, dans un vernissage d'art contemporain, dans les petits boulots d'intérim ou le long d'un sentier de campagne verdoyant, Michel est toujours furieusement proche de nous, de nos espoirs, de nos coups de gueule et interrogations sans réponses sur ce monde hyperconnecté et pourtant bien terre à terre qui est le nôtre.Pierre Maurel décortique, avec son dessin nerveux et ses figures saisies sur le vif, les travers de notre époque. Avec drôlerie, intelligence, et au travers de situations et d'un personnage plus complexe qu'ils n'en ont l'air. Michel, Le Grand schisme est le dernier opus de la trilogie entamé avec Les Temps modernes en 2018. Pour l'auteur, c'est l'occasion d'aborder sous l'angle d'une comédie de moeurs à la fois sympathique et grinçante des thématiques liées à l'actualité.Les mouvements sociaux d'aujourd'hui, les trottinettes géolocalisées, mais aussi un furieux désir de changer le modèle de notre société. Ce dernier opus se veut plus jovial et ouvert sur l'inconnu.
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55,00 €
DUPUIS
En 1904, à Buenos Aires, dans le quartier d'Avellaneda, au moment où se négociait la construction du premier stade de football du club du Racing, naissait José Maria González, un futur grand joueur de ce club surnommé llamarada, la flamme, à cause de sa chevelure qui lui donnait une allure de fusée quand il courait derrière le ballon. Il était aussi le grand-père du dessinateur argentin Jorge González qui se sert de cette trajectoire comme point de départ pour retracer une généalogie intime liée à la passion du football et transmise de pères en fils sur quatre générations.Dans la lignée de Bandonéon ou Chère Patagonie, sur près de 300 pages, l'artiste ouvre sa palette picturale pour raconter les répercussions des vocations au fil des générations en ancrant son récit dans l'histoire de son pays natal. La démarche autobiographique le conduit à explorer sa mémoire familiale, fouillant dans la matière des souvenirs racontés, transmis et vécus. Un héritage en flux et reflux comme l'océan qui sépare l'Argentine de l'artiste installé désormais en Espagne, qui questionne le legs des souvenirs dans l'horizon et l'avenir de ses propres fils.Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.
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22,50 €
CORNELIUS
Absorbé par l'image déformée que lui renvoie le grille pain en face de lui, Brian Milner s'aperçoit qu'il est en train de dessiner un auto-portait. Dans la pièce derrière lui, à des années lumières de sa propre pensée, ses amis font la fête. L'esprit de Brian a déjà traversé l'espace pour se perdre dans un autre monde où tout est plus vivant, plusétincelant, lorsqu'une ombre se glisse derrière lui. Cette première rencontre avec Laurie marque le début d'une nouvelle histoire dont elle jouera le rôle principal.Enchevêtrant subtilement le cinéma et la vraie vie, Dédales est le premier tome d'une série qui construit sa narration autour du rapport entre l'inconscient et sa représentation. Ce thème, qui puise ses sources dans les fondements de la psychanalyse, est ici décliné par Charles Burns à travers d'incroyables séquences où le rêve devient source d'inspiration de la fiction. Pour l'auteur, comme pour Brian, le personnage central de la série, la caméra et le crayon deviennent alors des outils introspectifs qui créent un pont entre l'imagination et la réalité. Burns s'amuse ainsi à nous semer dans différents niveaux de lecture pour mieux renforcer le sentiment d'étrangeté qui se dégage de ses illustrations. Il livre au passage un brillant hommage au cinéma fantastique et à sa capacité d'agir comme un miroir déformant de l'existence. Le premier tome de cette nouvelle série, publié en exclusivité mondiale, prouve une nouvelle fois le génie de Charles Burns à travers son aptitude à s'emparer de sujets toujours plus complexes tout en créant des liens délicats entre les disciplines artistiques, le tout, servi par un dessin époustouflant.
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13,00 €
DARGAUD
Fin des années 1930. Dans le bled vaseux de Soporificahontas, la jeune Miss Swampy est à mille lieues de se douter qu'une guerre mondiale se prépare. Entre la pêche aux poissons-chats et les courses de crapauds, elle mène une vie tranquille et insouciante. À cette époque, elle peut encore se promener torse nu dans son short troué sans qu'aucun mâle ne s'en émeuve. Mais le vent va rapidement tourner. Piégée par des espions japonais, Swampy est empoisonnée par des baies de poison ivy qui lui confèrent, outre un physique plus avantageux, un superpouvoir redoutable: d'un simple baiser, elle fait tomber les hommes comme des mouches.Très vite, les services secrets voudront mettre la main sur cette jeune bombe humaine. Grands amateurs de comic strips, les auteurs, Yann et Berthet, s'en donnent à coeur joie. Ainsi la jeune Swampy se trouve transformée du jour au lendemain en véritable jeune fille.Notre propos n'est pas de raconter l'histoire d'une héroïne en culottes courtes !, soutient Berthet. Clins d'oeil caustiques, petits délires parodiques et gags rocambolesques abondent dans ce premier tome. Côté graphique aussi, la série joue la carte de la légèreté. Sans pour autant tomber dans un style gros nez, Berthet arrondit les angles, pousse moins loin le réalisme que dans d'autres séries et travaille les expressions comiques de ses personnages. Je n'ai pas cherché à faire du comic à tout prix, ni une resucée de ce qui se faisait aux États-Unis dans les années 1950, mais j'ai adopté volontairement un dessin un peu moins rigoureux, explique-t-il.
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60,00 €
HUGINN & MUNINN
Depuis sa première apparition en 1939 dans les pages de Detective Comics n°27, Batman est devenu une icône de la pop culture mondiale. Mais tout au long de son histoire, le gardien de Gotham City a subi bien des métamorphoses, à tel point que nous avons chacun notre propre Batman. Pour certains, il est ce héros un peu kitsch qui s'occupe des méchants avec des pif et des paf dans la série des années 1960 ! Pour d'autres, il est le Chevalier Noir, celui qui consacre sa vie à venger la mort de ses parents. Pour d'autres encore, c'est une figurine LEGO qui a beaucoup d'abdos et mange du homard thermidor ! Pour la première fois, cet ouvrage officiel raconte l'histoire complète de Batman : dans les comics bien sûr, mais aussi à la télévision en série ou en dessin animé, au cinéma, dans les jeux vidéo... présentant ainsi les 1001 métamorphoses de ce personnage culte. Célébrant 80 ans d'aventures, ce livre propose des interviews exclusives des grands créateurs qui ont contribué à l'élaboration de cette légende : Neal Adams, Tim Burton, Paul Dini, Steve Englehart, Mark Hamill, Grant Morrison, Julie Newmar, Christopher Nolan, Denny O Neil, Joel Schumacher, ou encore Scott et Zack Snyder. Ouvrant les archives de DC Comics et de Warner Bros., ce recueil propose également de nombreux visuels et documents rares ou inédits. De la naissance du Joker aux films de Tim Burton en passant par les jeux vidéo Arkham, c est toute l'histoire de l'homme chauve-souris qui est ici racontée et décryptée.Inclus : de nombreux inserts et dépliants + une couverture exclusive signée John Guydo.
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19,00 €
DU CANARD
Cet album est le neuvième de la série CE.CE a terminé de raconter à Johan comment, lui et Alyss, sont arrivés à entrer dans la dimension artificielle créée par le jeu Le Paradis Perdu. Johan nie toujours l’existence réelle d’un tel jeu, du secteur Crécy, de la Cité etc.., qui pour lui, sont les fruits de sa propre imagination. Après avoir fouillé l’appartement de Johan pour découvrir quelque chose qui les mette sur la piste de Victoria, Alyss découvre un livre intitulé : La Clé.Ce livre, CE et Alyss le lisent. Il s’agit d’une bande-dessinée très étrange. Elle est composée dans sa moitié gauche d’un dessin en progression, qui se complète et se complexifie à chaque page tournée. Dans sa moitié droite, elle raconte l’histoire d’une certaine S-29 tout juste arrivée à l’âge adulte.Que signifie ce livre adapté d’un roman de l’écrivain Isabelle Dolbiac, et illustré par Ian Agrippa, sous le pseudonyme N.L. Rime ? Pourquoi porte-t-il ce titre qui n’a apparemment aucun rapport avec son scénario ? Beaucoup de mystères entourent cet ouvrage et ses auteurs, mais Alyss finit par comprendre que, pour résoudre une partie de l’énigme qu’il propose, il faut savoir le regarder… Attentivement.L’univers onirique aperçu dans les tomes précédents (L’Horloge, La Table de Vénus, À l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.L’univers onirique aperçu dans ses ouvrages antérieurs (L’Horloge, La Table de Vénus, A l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.L’univers onirique aperçu dans ses ouvrages antérieurs (L’Horloge, La Table de Vénus, A l’Ombre des coquillages…) prend une nouvelle ampleur, et est carrément le moteur de cette série.
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10,75 €
GLENAT
Dans un monde fantastique semblable à la Terre et peuplé de créatures plus étranges les unes que les autres, un petit garçon à la force herculéenne et doté d'une queue de singe croise un jour la route d'une jeune fille. Celle-ci s'est lancée à la recherche de sept mystérieuses boules de cristal. Car il est dit que quiconque les réunira pourra appeler le dragon sacré et exaucer son voeu le plus cher. En chemin, ce duo d'aventuriers peu commun se heurte à un cochon transformiste usant de ses dons pour kidnapper les jeunes filles d'un village, puis à un vagabond solitaire adepte des arts martiaux que la simple vue d'une jeune femme suffi t à tétaniser sur place. Ce n'est que le début d'une grande aventure riche en péripéties, en humour et en combats extraordinaires.Enfin la voilà, l'édition ultime de dragon ball que tous attendaient ! Pour la première fois, le manga culte d'Akira Toriyama (le manga le plus lu et vendu dans le monde) est présenté dans les meilleures conditions de lecture. Un grand format qui met en valeur chaque planche, un papier de qualité, une illustration de jaquette inédite et somptueuse. La traduction sera améliorée et encore plus fidèle au texte original. Enfin, la présence de toutes les planches réalisées à l'époque en couleurs, inédites en France !
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20,00 €
NA EDITIONS
« À sept ans et jusqu'au moment où j'ai commencé à vivre de mes dessins, j'ai passé beaucoup de temps avec les fous. En été, nous étions dans une maison dans les Dolomites, construite par un petit groupe de libertaires qui avaient connu Franco Basaglia à Gorizia. Je ne le savais pas encore, mais ce que nous faisions était la conséquence de ce que Basaglia avait imaginé et mis en oeuvre, la fermeture des asiles, le retour des fous dans la communauté des personnes. ».Les Voilà évoque les communautés thérapeutiques organisées durant les années 1960 à Trieste et à Gorizia par Franco Basaglia, qui défendait le droit des individus internés et visait la suppression des hôpitaux psychiatriques. Autour d'illustrations sur papier coloré et avec une grande force d'évocation, un sens du détail et de l'observation qui lui sont propres, Stefano Ricci nous guide à la rencontre des fous qui ont peuplé sa jeunesse. Aux souvenirs de Gorizia répondent en écho des rêves associés à cette période, offrant un récit généreux et dense, à la fois social, politique et intime. Le livre s'accompagne d'un DVD contenant un film réalisé par Stefano Ricci à partir d'archives filmées de l'Hôpital psychiatrique de Gorizia, et dont il a supervisé la bande son. On y voit les fous et les lieux dont parle le livre, prolongeant le récit dans le réel.
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14,95 €
GLENAT
L'histoire vraie d'une héroïne oubliée.1940, l'armée nazie a envahi la Pologne. À Varsovie, les Juifs de la ville ont été parqués dans le ghetto : un quartier entier entouré de murs. Quiconque tente de s'en échapper est abattu sans sommation ; les seuls qui peuvent y entrer sont les membres du département d'aide sociale. Parmi eux, Irena vient tous les jours apporter vivres et soutien à ceux qui sont enfermés dans cet enfer et qui souffrent de maladies et de malnutrition. Ici, tout le monde la connait, les enfants l'adorent. Car Irena est un modèle de courage : elle n'hésite pas à tenir tête aux gardiens, à faire toujours plus que ce qu'autorise l'occupant nazi. Le jour où, sur son lit de mort, une jeune mère lui confie la vie de son fils, Irena se met en tête de sortir clandestinement les orphelins du ghetto. Pour que l'innocence soit épargnée de la barbarie, elle doit être prête à risquer sa vie.Décédée en 2008, déclarée Juste parmi les nations en 1965, Irena Sendlerowa, résistante et militante polonaise, fut l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre Mondiale, sauvant près de 2500 enfants juifs du ghetto de Varsovie. Et pourtant elle est oubliée des livres d'Histoire... C'est en lisant par hasard un article sur elle que Jean-David Morvan a eu le déclic : sa vie devait être racontée. Avec Séverine Tréfouël et David Evrard, il retrace sur trois albums le combat humaniste de cette « mère des enfants de l'Holocauste. » Porté par un dessin d'une grande sensibilité, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d'un sujet fort, poignant et profondément actuel... Toucher, émouvoir, parler d'hier pour raconter aujourd'hui...
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13,90 €
GLENAT
Sambre est une série à part dans l'univers de la bande dessinée. Le premier album a immédiatement franchi la barre des 100.000 exemplaires, raflé nombre de prix et suscité les louanges des professionnels. Le second album, publié 4 ans plus tard, confirma le succès initial. Pour la première fois depuis les Blake et Mortimer de Jacobs, une série voit son succès croître sans devoir passer par le biais d'une parution régulière. Telle est la marque Sambre qui s'inscrit, album après album, comme une série d'exception. Le cinquième album sera donc l'événement BD de cette fin d'année. Il ouvre une nouvelle période dans la saga.Bernard Sambre est mort sur les barricades, sans avoir accompli son rêve d'amour impossible.Julie, devenue au fil des albums le personnage central de la série, a été expédiée dans un bagne en Algérie. L'enfant de Bernard lui a été enlevé. Son éducation a été confiée à Sarah, la soeur folle qui vit dans le souvenir de son père et de son frère. Nous retrouvons les personnages huit ans plus tard. Julie, via Brest, rejoint Cayenne avec une remise de peine à la clef. Bernard-Marie, le fils de Bernard et Julie, vit à la Bastide, une demeure qui ressemble de plus en plus au tombeau des Sambre. L'enfant va-t-il échapper au destin que lui construit Sarah ? Mère et fils vont-ils se retrouver ? Le désirent-ils seulement ? Qui sera le vainqueur du duel que se livrent à distance Julie et Sarah ? La Guerre des yeux va-t-elle renaître ? Plus que jamais Yslaire met en scène des personnages à la psychologie complexe et fascinante. Son dessin est transpercé par les frémissements de la vie. Prince de la ligne sombre, il perfectionne, grâce aux techniques modernes, une éblouissante mise en couleurs qui est pour beaucoup dans la magie des albums Sambre.
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20,00 €
CARABAS
Dans un milieu exclusivement urbain, Franck fait des efforts surhumains pour retrouver Lou, un camarade disparu depuis plusieurs jours. Chaque personne contactée va donner de Lou un portrait différent, contraste, éclairé sous un angle personnel.Un livre pas comme les autres, par Bézian lui-même : J'avais réalisé quatre chapitres de Chien rouge, chien noir pour Brazil, parution hasardeuse mais excitante qui n'en publia que deux... J'ai voulu les traiter en bichromie pour assumer pleinement le côté artificiel de la BD et réaliser un travail graphique qui ne soit pas de la peinture avec des bulles ou du cinéma sur papier, qui soit quelque chose jouant totalement avec la spécificité de la BD. J'essayais de tripoter ce médium de la façon la moins gratuite et la plus libre possible. Toutefois, ce procédé utilisant deux couleurs distinctes servait mon propos en assumant une cohérence avec l'histoire racontée. Quant au sens desdits «trous», il faut peut-être que le lecteur se souvienne du fait qu'il n'est PAS au cinéma. Il a un objet entre les mains qu'on nomme livre, avec des pages qu'il peut tourner à sa guise, sauter. Il peut revenir en arrière dans sa lecture.. Bref, un livre est un objet qu'on peut manipuler dans tous les sens...
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35,00 €
MOULINSART
Le 15 octobre 1940, Hergé accepte le poste de rédacteur en chef du Soir-Jeunesse, le nouveau supplément pour enfants du journal Le Soir, dont Tintin devient le héros après la disparition du Petit Vingtième. Deux jours plus tard, l'aventure du Crabe aux pinces d'or débute dans le quotidien contrôlé par l'Occupant. En couverture du premier numéro du Soir-Jeunesse, Tintin ne cache pas son bonheur d'être de retour. Comme de nombreux Belges jetés sur les routes de France par l'invasion allemande, il rentre de l'exode à pied, avec l'intention de se remettre au travail. Hergé ne se contente pas de signer les deux planches hebdomadaires de bande dessinée. Le dessinateur illustre aussi les jeux et différentes rubriques du supplément. Mais la guerre déchire toujours l'Europe. Le Soir-Jeunesse disparaît, victime de la pénurie de papier. Pour arriver au bout de l'aventure, Hergé transforme la double page hebdomadaire de Tintin en strips quotidiens. Ce livre reconstitue pour la première fois l'intégralité de l'histoire originale du Crabe aux pinces d'or, des premières planches du Soir-Jeunesse aux dernières cases parues dans Le Soir « volé ». Le récit est enrichi des couvertures, des gags de Quick et Flupke et des dessins inédits créés par Hergé pour le supplément.
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35,00 €
DUPUIS
Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.Le temps passe et avec lui l'oubli s'installe. Ce sont sans doute les premiers signes de la maladie d'Alzheimer dont souffre sa mère qui ont conduit Nicoby à 43 ans, à réécrire sous la forme de petites saynètes un journal intime de sa carrière, un mémorandum en quatre saisons qui réunit dans une juxtaposition de séquences douces-amères le bilan de sa vie d'auteur à l'abri du succès.Depuis le printemps de la création à la fin des années 1990, l'artiste partage ses enthousiasmes et ses expériences avec humour et autodérision à partir de bouts recousus de situations vécues et d'hommages rendus aux artistes qu'il aime comme Jean-Claude Fournier, Yvan Delporte, Marcel Gotlib, Frank Margerin ou encore Patrice Leconte et tous ceux de l'Association. Au détour des anecdotes, le quotidien se dessine dans un pot-pourri de souvenirs offerts sans nostalgie. Au contraire, l'artiste profite de ce nouvel espace de liberté pour réparer les occasions manquées, exposer les nus académiques en échappées ou les croquis réalisés dans une casse qui lui permettent de concrétiser son rêve de dessiner, comme Blutch, un épisode de Tif et Tondu. Un récit qu'il livre ainsi dans ce recueil, en témoignage de son amour de l'art.
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