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PIAS
Au début de sa carrière, Craig Leon a été encadré par George Martin. Il y a donc une cohérence dans le fait que l’entourage de Martin ait demandé à Craig de réaliser ce projet. Comme le titre l'indique, il s'agit d'une collection de partitions et de compositions originales de la musique orchestrale originale du compositeur, arrangeur et producteur George Martin. Cet album inclus notamment la musique du film Yellow Submarine, la version orchestrale du titre Live and Let Die (l'un des titres les plus célèbres de Paul McCartney) ainsi que la partition jamais enregistrée pour le film « The Mission » (Palme d'or à Cannes en 86). L'enregistrement contient également l’Overture d'Under Milk Wood (composé avec Elton John sur un texte de Dylan Thomas) et d'autres compositions originales inédites.
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74,99 €
Les jeunes fans peuvent rejouer les scènes des films La Reine des neiges et La Reine des neiges : Une fête givrée de Disney, dans un grand palais de glace. Ce superbe jouet LEGO® l Disney pour enfants comprend un palais de 2 étages avec un pont coulissant, un escalier tournant et une cuisine équipée d'une table et de chaises, une aire de jeux extérieure avec un château de neige et une balançoire, plus un traîneau à 3 nacelles. Les enfants vont s'amuser pendant des heures et créer des histoires passionnantes avec ce modèle de fêtes comprenant les mini-poupées Elsa et Anna, plus Olaf, Guimauve et 4 bonshommes de neige. Passe une journée inoubliable à la neige avec Elsa et Anna dans cet immense palais des glaces, joue dans l’aire de jeux avec tes bonhommes de neige préférés puis pars pour une aventure en traîneau ! • Inclut les mini-poupées Elsa et Anna LEGO® l Disney La Reine des neiges, plus Olaf, Guimauve et 4 bonshommes de neige. • Ce superbe modèle comprend un palais avec un pont coulissant et un escalier tournant, un balcon transparent, une cuisine équipée d'une table et de chaises et un salon de musique avec un pupitre et une partition, plus une aire de jeux extérieure avec un château de neige et une balançoire. • Ce jouet pour enfants inclut également un traîneau à 3 nacelles pour des heures de jeu dans un univers enneigé. • Les accessoires incluent une théière, des verres, un gâteau, une carotte, du chocolat, une partition, un miroir et un tapis. • Les enfants vont adorer construire cet énorme palais de glace intégrant des fonctions spéciales pour encore plus d'imagination et de magie. • Les fans peuvent rejouer les scènes des films de Disney La Reine des neiges et La Reine des neiges : Une fête givrée. • Cet amusant set inspire de nouvelles aventures avec les célèbres personnages de La Reine des neiges et constitue un formidable cadeau de Noël. • Le palais des glaces magique d’Elsa mesure plus de 31 cm de haut, 30 cm de large et 19 cm de profondeur. • L’aire de jeux avec le château de neige mesure plus de 6 cm de haut, 20 cm de large et 4 cm de profondeur. • Le traîneau avec ses nacelles mesure plus de 12 cm de long et 3 cm de large. NA NA
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20,60 €
HAL LEONARD MGB
Partition de guitare play-along volume 21 - Santana. La série Guitare Play-Along vous aidera à jouer vos morceaux préférés rapidement et facilement. Il suffit simplement de suivre la tablature, d'écouter les enregistrement sonores pour entendre le son à la guitare puis de jouer en utilisant les pistes de fonds séparées. La mélodie et les paroles sont incluses dans le livre afin que vous puissiez chanter sur la musique ou juste vous aider à suivre la mélodie. Ce volume 21 comprend 8 célèbres morceaux de Santana : Europa, Everything's Coming Our Way, Evil Ways, No One to Depend On, Oye Como Va, Samba Pa Ti, Smooth, Soul Sacrifice. Caractéristiques : Série : Guitar Play-Along - Format : Softcover Audio Online - TAB - Artiste : Santana - Nombre de pages : 72.
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19,99 €
PIAS
Les trois compositions principales de cet album sont le fruit d’intenses périodes créatives étalées entre 2012 et 2015. Le norvégien Marius Neset, entouré de son quartet et du London Sinfonietta, a soigneusement conçu chaque pièce, avec un soin méticuleux apporté aux arrangements et à chaque détail orchestral. Le résultat est enthousiasmant d’inventivité, de ferveur, de profondeur, de contrastes, d’exigence, chaque titre distillant son lot de richesses au fil des écoutes. 239 pages de partition orchestrale ont été nécessaires pour consigner le résultat de l’imagination sans limite du saxophoniste, qui fait par moment penser à Michael Brecker et Jan Garbarek. Au loin on entend également des échos de Bartok, Stravinsky, Mahler... Marius Neset confirme tous les espoirs placés en lui ainsi que son statut actuel de jeune leader du jazz instrumental européen.
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34,99 €
WARNER MUSIC DV
Révélé par Cecilia Bartoli en 2012, le compositeur Agostino Steffani fut le compositeur du début du 18e siècle le plus proche de l'âge d'or du bel canto vocal. Contemporain de Corelli, Purcell et A. Scarlatti, il fut un homme remarquable - musicien né, devenu diplomate, politicien, évêque et vicaire apostolique ! Créé à Munich le 5 janvier 1688, Niobe, Regina di Tebe s'inspire du Livre VI des Métamorphoses d'Ovide et raconte la rivalité entre Niobé et Amphion, deux souverains de Thèbes, et leurs relations avec les Dieux. La partition est d'une richesse extrême et son langage musical atteint des sommets d'intensité quant à la mélodie et à l'harmonie. Cet opéra somptueux fut une révélation pour tous ceux qui ont assistés à ses premières représentations en 2008. Philippe Jaroussky et Karina Gauvin incarnent somptueusement les 2 souverains. Un événement dans le monde de la musique baroque !
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35,99 €
LA BALEINE
Sorti en 2017, THELMA est un film réalisé par Joachim Trier et qui va faire l'objet d'un remake par un studio à gros budget par l'équipe derrière I, Tonya. Le film tourne autour de Thelma, une introvertie timide qui laisse sa famille derrière elle pour aller étudier en ville. Elle se lie d'amitié avec Anja, une autre étudiante. En dire davantage ruinerait le film alors que se déroule son sombre récit d'amour, une perte des capacités surnaturelles... La partition de Ola Flottum est remplie de cordes sombres, d'une beauté frappante aux textures classiques. On connait le norvégien pour sa bande originale d'Oslo 31 Août, le film superstar de Joachim Trier sorti en 2011. Fascinante, captivante, cette bande originale file (un peu) le bourdon de part sa beauté sombre, mais que l'on choisi d'écouter volontairement.
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12,99 €
SONY MUSIC DV
La bande originale du film de François Ozon Une Nouvelle amie - musique originale de Philippe Rombi. A la suite du décès de sa meilleure amie, Claire (Anaïs Demoustier) fait une profonde dépression, mais une découverte surprenante au sujet du mari (Romain Duris) de son amie va lui redonner goût à la vie. Pour Une Nouvelle amie, Philippe Rombi, le compositeur attitré de François Ozon, signe une nouvelle fois une partition impeccable. Pur mélodiste, Rombi a su, comme pour chacun des films d'Ozon, trouver des thèmes imparables. Romantisme, étrangeté, suspens, mouvement, glamour aussi, tous ces ingrédients ont été réunis par le compositeur pour construire un récit haletant et envoûtant accompagnant le jeu éblouissant des acteurs principaux du film Romain Duris et Anaïs Demoustier.
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12,99 €
PIAS
Souvenirs de passages à Prague de Gidon Kremer, à l’aube d’une des plus brillantes et singulières carrières de violoniste de notre temps. Alors envoyé dans les ‘pays frères’ par le ministère de la culture soviétique, il doit alors cette relative liberté à l’onction de son maître David Oistrakh dont il illustre l’enseignement par le présent programme. Sa perfection de jeu et de style tout comme sa liberté de parole firent la joie de ses hôtes du glacis soviétique. La présence d’une mini-partition, alors manuscrite, de Alfred Schnittke anticipait déjà sur sa volonté d’illustrer d’autres musiques que celle allant de Bach à Stravinsky, enfin de son exceptionnelle générosité en s’associant à d’autres solistes’ en musique de chambre et petit orchestre. On ré-entend le faux ‘G.B.Guadagnini’ de son grand père qu’il joua dès 1963, instrument ‘patrimonial’ tout autant que le merveilleux Niccoló Amati de 1641 qu’il joue aujourd’hui.
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17,99 €
UNIVERSAL MUSIC DV
Le nouveau film de Theo Angelopoulos, Dust of Time, est une histoire d'exil, de frontières et de séparation dont Eleni Karaindrou, qui travaile avec Angelopoulos depuis environ 25 ans, a écrit une partition musicale, aux couleurs infiniment tendres et intimes, mettant en avant le violon, le violoncelle et la harpe. L'intention de la compositrice était de pouvoir explorer et mettre en valeur l'essence du film tout en gardant une couleur sonore dépouillée pour traduire l'intemporalité de la nostalgie. Près de 100 minutes de musique ont été enregistrées pour les besoins du film. Avec un sens de la dramaturgie et un à-propos indéniables, Manfred Eicher et Eleni Karaindrou sont parvenus à réduire l'ensemble en une suite concentrée de 45 minutes, mixant les couleurs orchestrales en une palette invisible d'une extrême délicatesse. Plus qu'une bande son cette musique s'écoute comme une composition contemporaine au caractère intensément mélodique.
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21,99 €
PIAS
Ami intime de Pergolesi, Francesco Feo était considéré à son époque comme l’égal de Bach et de Haendel : voici un oratorio magnifique, redécouvert par Fabio Biondi, qui dirige du violon l’orchestre de chambre de Stuttgart La passion de Fabio Biondi pour sauver de l’oubli des musiques passionnantes de l’époque baroque en particulier, nous révèle un surprenant trésor : l’oratorio de Francesco Feo, San Francesco di Sales, créé en 1734. San Francesco di Sales : apostolo del Chablais est une réflexion sur la vie et l’oeuvre de François de Sales, prêtre catholique nommé évêque de Genève au tournant du XVIIe siècle. Fabio Biondi dirige le Stuttgarter Kammerorchester et quatre voix parmi les meilleures d’aujourd’hui : les sopranos Monica Piccinini et Roberta Mameli, la contralto Delphine Galou et la basse Luca Tittoto. La partition faisant aussi la part belle à la virtuosité instrumentale, le violon de Biondi nous offre de nombreux moments mémorables.
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18,99 €
PIAS
Qui peut arrêter Maxim Emelyanychev ? Claviériste accompli, continuo de Teodor Currentzis, chef d'orchestre prodige fraîchement nommé à la tête du Royal Liverpool Philharmonic après une carrière remarquée à la direction d'Il Pomo d'Oro, ce musicien total brille dans tous les répertoires. Après un disque en solo consacré à Mozart au pianoforte, le jeune surdoué russe passe du clavier à la baguette dans ce programme Beethoven/Brahms. Avec sa profusion de thèmes et contrastes, la 3e Symphonie de Beethoven est un terreau fertile pour l'imagination du tempétueux chef. A la tête de l'orchestre de chambre des solistes de Nizhny Novgorod, berceau de sa carrière musicale, il déploie dans cette partition essentielle un souffle nouveau et grisant, à grand renfort de cors et trompettes naturels. Les Variations sur un thème de Haydn qui complètent cet enregistrement offrent un éclat et une fièvre toute brahmsienne. Un disque détonnant, à l'image de son chef !
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20,49 €
HARMONIA MUNDI
Compositeur aussi abondamment célébré de son vivant que pleuré à sa mort en 1497, Ockeghem demeure pourtant aujourd'hui un de ceux du XVème siècle dont la musique est la plus parcimonieusement fréquentée. Comme le montre sa Missa Prolationum, véritable tour de force d'écriture, elle atteint, en effet, un niveau de complexité tel qu'il ne peut qu'impressionner les interprètes, y compris les plus chevronnés. L'ensemble Musica Nova, auquel on doit une version de la Missa Cuiusvis Toni du même Ockeghem mais également un choix de Ballades et une intégrale des Motets de Machaut unanimement salués par la critique française et internationale, aborde ce chef-d'oeuvre avec l'audace qu'on lui connaît; en revenant aux sources manuscrites, en les recoupant et en les interrogeant, il livre de la Missa Prolationum une version proprement inouïe dont les réponses nouvelles aux problèmes que posent la partition se démarquent nettement de tout ce qui a été tenté jusqu'ici et font étinceler la profonde beauté de ce joyau du Moyen Âge tardif.
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1 399,00 €
YAMAHA
- Clavier toucher marteau avec 88 touches lestées - Moteur audio Pure CF - Polyphonie : 256 voix max. - 24 pré-réglages - Effets : 4 types de réverbération - égaliseur 3 bandes - Sound Boost - Fonction Dual et Split - 10 rythmes avec Start / Stop et Intro / Ending fonction - Affichage LED - Fonction enregistrement 10 chansons, chacune avec 2 pistes midi - Jusqu'à 80 minutes d'enregistrement / lecture audio audio en 16 bits / 44,1 kHz au format.wav sur support de stockage USB externe (non inclus) - Haut-parleurs stéréo 2x 15 Watt - Dimensions : 1333 x 351 x 148 mm - Poids : 17,3 kg - Couleur : noir - Alimentation PA-300C, commutateur au pied FC4, pupitre de partition et application gratuite contrôleur P-255 pour iPhone / iPad - Sortie ligne stéréo : jack 6,3 mm (L / R) - Entrée AUX : mini-jack stéréo 3,5 mm - Entrée et sortie MIDI - 2x fiches casque stéréo - Entrée de pédale Sustain - Connexion pédale - Port USB
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18,99 €
PIAS
29 mai 1913, théâtre des Champs-Élysées : l'un des plus grands scandales de l'histoire de la musique agite Paris. Les Ballets Russes créent le nouveau ballet d'Igor Stravinsky et Vaslav Nijinsky, Le Sacre du Printemps. Le public révolté couvre sous les huées l'orchestre que Stravinsky a confié dans la fosse à Pierre Monteux. Pour célébrer ce centenaire, François-Xavier Roth, avec l'autorisation exceptionnelle des éditions Boosey & Hawkes et avec le concours du musicologue Louis Cyr, s'est attaché à restituer le Sacre du Printemps tel qu'il fut donné le soir du 29 mai 1913. Cette oeuvre, dont l'histoire s'entremêle avec celle de la Première Guerre mondiale, ne sera éditée que huit ans après sa création et subira, tout au long de la vie de Stravinsky, diverses modifications et corrections, de la part du compositeur et de mains étrangères. Ce travail musicologique rend à la partition ses couleurs originelles, dont on entend mieux que jamais toute la modernité et la radicalité.
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20,99 €
LA BALEINE
Clark, vedette de l'écurie Warp, sortira Kiri Variations', via son propre label Throttle Records - et, comme toujours, il s'est métamorphosé musicalement en quelque chose de nouveau. Cet album de beauté plaintive, inquiétante voire presque enfantine incarne sa capacité constante à retourner le scénario et à organiser de manière cohérente une abondance de nouvelles idées. Des pièces mystérieuses et d'une beauté morbide, conduites au piano, au clavecin, à la clarinette, aux cordes, à l'électronique et à la voix, sont entrecoupées de courbes courbes incroyablement originales : le naïf faux-naïf. Kiri Variations a commencé comme la partition du programme télévisé Kiri, nominé aux BAFTA, mais seule une petite partie (et très efficace) de la musique enregistrée a été utilisée - avec une grande modération intentionnelle - par le réalisateur Euros Lyn. Cette première incarnation a depuis grandi et s'est transformée en quelque chose de tout à fait propre; un album d'artiste approprié
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19,99 €
LA BALEINE
Clark, vedette de l'écurie Warp, sortira Kiri Variations', via son propre label Throttle Records - et, comme toujours, il s'est métamorphosé musicalement en quelque chose de nouveau. Cet album de beauté plaintive, inquiétante voire presque enfantine incarne sa capacité constante à retourner le scénario et à organiser de manière cohérente une abondance de nouvelles idées. Des pièces mystérieuses et d'une beauté morbide, conduites au piano, au clavecin, à la clarinette, aux cordes, à l'électronique et à la voix, sont entrecoupées de courbes courbes incroyablement originales : le naïf faux-naïf. Kiri Variations a commencé comme la partition du programme télévisé Kiri, nominé aux BAFTA, mais seule une petite partie (et très efficace) de la musique enregistrée a été utilisée - avec une grande modération intentionnelle - par le réalisateur Euros Lyn. Cette première incarnation a depuis grandi et s'est transformée en quelque chose de tout à fait propre; un album d'artiste approprié
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9,99 €
UNIVERSAL MUSIC DV
Michel Legrand / SteveMcQueen, c'est bien sûr L'Affaire Thomas Crown, sans la bande originale la plus célébrée du grand compositeur français. Deux autres films lui succéderont,Le Mans et Le Chasseur. « Deux partitions conçues comme deux photographies d'un comédien magnétique, comme deux portraits d'un mythe moderne à jamais figé dans l'image de la jeunesse » avoue aujourd'hui Michel Legrand. Dans Le Mans, fiction et documentaire se fondent pour mieux servir la passion de McQueen pour les courses automobiles, vitaminées par une partition nerveuse et virtuose où s'imposent des pointures comme Jean-Luc Ponty ou Ray Brown. Pour la première fois éditée en disque, la musique du Chasseur fonctionne également sur l'idée de la vitesse : Legrand y confronte deux langages,deux écritures, l'une baroque, l'autre moderne, jazz ou rock. Le Mans / Le Chasseur : deux partitions inédites en CD où se mesure l'invention sans fin d'un compositeur génialement inspiré par l'un des plus fascinants comédiens du XXème siècle.
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19,99 €
PIAS
Quand Matthias Goerne et William Kentridge rencontrent Alban Berg... C'est une véritable tempête qu'à fait souffler ce Wozzeck au dernier Festival de Salzburg, remportant tous les suffrages ! William Kentridge a choisi un langage visuel très fort de par sa noirceur - on ne pouvait s'attendre à autre chose de la part du peintre - et sa saturation : personnages, marionnettes, décors et projections vidéo s'enchevêtrent dans une atmosphère apocalyptique, en pleine Première Guerre mondiale : monde extérieur et mondes intérieurs sont dévastés. Dans une correspondance parfaite entre les arts, les différentes disciplines dressent ensemble le tableau de l'égarement, du désespoir et de la brutalité. C'est sous la baguette expressive de Vladimir Jurowski que Matthias Goerne endosse le rôle phare qui semble être fait pour lui; tout en maitrisant parfaitement les finesses d'une partition particulièrement éprouvante, le baryton incarne un Wozzeck en plein basculement vers la folie. Une production qui rend à l'opéra de Berg tout son lyrisme, son intensité et sa force dramatique. époustouflant !
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17,00 €
Papiers Musique
Depuis que le temps s'est arrêté, nos héros empruntent ses couloirs à la recherche du chant de l'âme. La vieille diva pensait l'avoir composé, mais la mélodie magique est incomplète...Des indices se cachent-ils dans le chant céleste des étoiles ? A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes, à qui sait entendre, l'univers s'ouvre à lui... . Dans ce volume, Ptolémée, astronome et musicien de la Grèce antique nous enseigne les silences en musique et les intervalles, en nous parlant des planètes et de la symphonie des sphères... Grâce à une aventure en trois volumes, un conte un peu magique, un peu fantastique, on apprend, pas à pas et de manière ludique à déchiffrer une partition de musique, à lire les notes, le rythme, à reconnaitre les intervalles... Ptolémée est le second volume de la collection Les Clefs . Chaque opus est accompagné d'un CD audio sur lequel l'histoire est racontée, les exercices, lus et chantés. Trop de personnes ont abandonné la musique à cause du solfège ! Cette collection a été imaginée pour que les enfants et leurs parents découvrent ou redécouvrent le solfège, et abandonnent définitivement l'idée que c' est rébarbatif et difficile.
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6,99 €
UNIVERSAL MUSIC DV
POUR LA PREMIERE FOIS, LE REQUIEM DE MOZART EN VERSION QUATUOR A CORDES ! Tout commence en 2006, lorsque le Quatuor Debussy, toujours à la recherche d'un répertoire original à promouvoir, découvre dans les dédales de la bibliothèque du Conservatoire de Milan un manuscrit du Requiem de Mozart arrangé pour quatuor à cordes. Malgré la piètre qualité du manuscrit retranscrit par Peter Lichtenthal, le Quatuor décide de se pencher sur la partition et l'ajoute à son répertoire de concert, tout en y apportant quelques corrections, voire compléments d'écriture. Devant l'accueil enthousiaste du public, la décision est prise d'enregistrer l'oeuvre la plus connue de Mozart, mais dans une version inédite, jamais enregistrée. S'en suit un travail méticuleux de prise de son pour ne rien perdre de la force et de la grandeur de l'ultime chefd'oeuvre de Mozart. Au final, le pari est gagné, le Quatuor Debussy a réussi à restituer tantôt l'intensité, tantôt l'extrême délicatesse d'une oeuvre écrite pour une formation bien plus fournie... L'OEUVRE LA PLUS CONNUE DE LA MUSIQUE CLASSIQUE DANS UNE VERSION INEDITE !
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12,00 €
Editions Théâtrales
Ces six nouvelles pièces courtes répondront aux envies et aux questionnements des adolescents lecteurs ou acteurs par leurs formes diverses et leurs thématiques fortes, propices à l'identification. Pour un théâtre d'aujourd'hui, qui parle d'aujourd'hui. En blanc de Cécile Cozzolino : une fable grinçante et rythmée où il est question de mariage et de conventions. Les Oiseaux maladroits de Françoise du Chaxel : l'appel du père absent fait remonter les souvenirs à la surface de la mémoire d'un jeune homme perdu. Il était de mai de Federica Iacobelli : cette partition sensible est une déclaration d'amour maternel sur fond d'odeurs, de mafia et de soleil siciliens. Ramassage polaire de Françoise Pillet : ce huis clos à dix-sept personnages dans un bus scolaire est explosif... à bien des égards. Rendez-vous de Marc-Emmanuel Soriano : deux ados découvrent les fourmillements amoureux, mais tentent de s'en détourner. Le tout flanqué d'une petite sœur bavarde. Un monde (qui) s'efface de Naomi Wallace : dans ce monologue, Ali, jeune irakien, est amoureux des colombes et des livres de poésie. En creux, la guerre d'Irak et une culture effacée.
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18,99 €
PIAS
Juste après le bon Dieu vient papa ! s'enthousiasme Mozart quand il parle de son père Leopold. En 2019, c'est ce père qui est célébré dans ce nouvel enregistrement : pour son 300e anniversaire, Leopold s'offre une magnifique version de sa Missa Solemnis. En rendant hommage au père, ce disque réhabilite celui qui fut pendant des siècles relégué dans l'ombre de son fils. à tel point que cette Missa Solemnis de Leopold fut longtemps attribuée au jeune Wolfgang ! Mais la messe n'est pas dite et c'est à Augsburg, sa ville natale, que l'héritage de Leopold Mozart est justement remis sur le devant de la scène à l'occasion d'un festival-anniversaire. Les musiciens de la Bayerische Kammerphilharmonie et du choeur Das Vokal Projekt font revivre cette partition rare. Sous la baguette d'Alessandro De Marchi, successeur de René Jacobs à la direction artistique du Festival de Musique ancienne d'Innsbruck, les musiciens donnent à entendre toute la saveur napolitaine de cette oeuvre. Pour qui cherchait sur le marché de l'occasion le seul enregistrement de la Missa Solemnis datant de 1982 et épuisé depuis longtemps, il y a désormais ce disque, indispensable !
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20,90 €
COUP POUCE
Si vous souhaitez faire plaisir à vos enfants, offrez leur un ukulélé et la méthode qui va avec! Vous pourrez ainsi partager d'agréables moments de complicité. Le ukulélé est un instrument idéal pour les enfants et la méthode de ukulélé Le P'tit Coup de Pouce que nous proposons est spécialement adaptée pour eux. Tout est en couleur avec des explications claires et des exercices mélodieux qui donnent envie d'apprendre! Le p'tit coup de pouce ukulélé comprend 52 pages et un CD. Cette méthode est faite pour que les enfants débutent et progressent rapidement ! Des diagrammes représentants le manche aident au bon positionnement des doigts. Les exercices et morceaux se déchiffrent donc facilement grâce aux dessins. Le p'tit coup de pouce ukulélé donne des explications simples et des conseils encourageants. Toutes les mélodies enregistrées sur le CD sont actuelles et reconnaissables dès les premières notes. L'objectif est d'apprendre des accompagnements et des rythmes que l'enfant pourra utiliser dans de nombreux morceaux. Un chapitre consacré aux jours de fêtes avec tablatures et paroles complètes enchantera toute la famille ! Caractéristiques techniques : Support : Livre + CD audio - Nombre de pages : 52 - Niveau : Débutant
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6,99 €
UNIVERSAL MUSIC DV
Compositeur visionnaire, pionnier français du home-studio, François de Roubaix est fi èrement revendiqué par la nouvelle génération de la scène électronique. Une infl uence encore élargie par les nombreux samples dont sa musique fait l'objet. On peut remixer de Roubaix mais on peut aussi écouter ses compositions en version originale : elles ont gardé toute la force de leur jeunesse, de leur modernité. Ce deuxième volume du Monde Electronique est notamment construit autour de la partition intégrale de Mort d'un guide, téléfi lm où de Roubaix utilise avec fulgurance l'outil électronique pour traduire l'envoûtement hypnotique de la hautemontagne. Autour de cette bande originale mythique gravitent des compositions inédites pour des longs ou courts-métrages, des musiques de scène ou de ballet. Et, en complément, les lauréats du Prix Coup de Pouce François de Roubaix 2006, initié par la fi lle du compositeur : Electropolis par François Laurent et un envoûtant remix de L'Antarctique par Wide Open Spaces (Charles Chemery et Rémi Dapère). Un album incontournable pour les afi cionados d'un artisan de génie, dont l'oeuvre continue à nourrir l'imaginaire des nouvelles générations.
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19,49 €
HARMONIA MUNDI
Turandot est l'ultime oeuvre de Puccini. L'intrigue se situe dans la Chine impériale. La princesse Turandot est aussi belle que cruelle et son arrogance a coûté la vie de plusieurs jeunes nobles : quiconque demande sa main risque la mort s'il ne résout pas les trois énigmes qu'elle lui soumet. À ce jour, personne n'a réussi. Et pourtant, le Prince des Tartares Calaf réussit non seulement à les résoudre, mais a également réussi à trouver la clé du coeur de l'arrogante princesse. Cette production de 1959 fait partie des enregistrements majeurs de Turandot : « Nilsson et Björling forment le couple parfait pour cet opéra. Une nouvelle fois, Leinsdorf prouve combien il faut être méticuleux pour diriger Puccini sans négliger les finesses de la partition. Et une nouvelle fois également Tebaldi fait preuve de la discipline et de sa profonde compréhension. » (Hermes Opera Encyclopedia). Pour nombre d'amateurs, cette version est tout simplement de référence, servie par une distribution exceptionnelle : Jussi Björling campe Calaf, tandis que sa compatriote Birgit Nelsson tient le rôle-titre. À leurs côtés, Renata Tebaldi est Liù et Giorgio Tozzi incarne l'empereur.
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14,99 €
WARNER MUSIC DV
Hippolyte et Aricie : un enchantement pour les yeux et les oreilles à l'Opéra Garnier Filmé au Palais Garnier en juin 2012, cette production du chef d'œuvre de Rameau dirigé par Emmanuelle Haïm,chef d'orchestre baroque,et mis en scène par Ivan Alexandre fut considérée comme une réussite majeure. Composé par un Jean-Philippe Rameau de 50 ans, cette tragédie lyrique place sur un pied d'égalité la musique, le texte et la danse. Dans cette production, la façon dont Ivan Alexandre a mis en scène, décoré et habillé les protagonistes est un pur régal. A la direction de son orchestre du Concert d'Astrée, Emmanuelle Haïm restitue à la partition toute sa fougue et sa rigueur. Anne-Catherine Gillet en Aricie est cristalline et d'une fluidité parfaite. Sarah Connoly, dans le rôle de Phèdre est particulièrement émouvante. Mention spéciale à Stéphane Degout, dans le rôle de Thésée, sa voix chaude nous faisant vivre à l'unisson ses tourments de père et de mari bafoué. Topi Lehtipuu trouve dans le personnage d'Hippolyte un rôle idéalement taillé à sa mesure. Bref, un spectacle total comme seul l'opéra sait en produire parfois !
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MODULOR
Après un premier EP sorti fin 2015 et qui dévoilait un groupe hautement inspiré, tant par les affres de l'amour que par la beauté sauvage d'une nature qui reprend toujours ses droits. C'est ici que se joue la partition de Starving Woodchucks : sur le fil, entre des mélodies épurées que Daughter ne renierait pas, mais aussi dans l'énergie pop émotionnelle d'Half Moon Run, entre autres influences de haute volée. Sur leur nouvel EP intitulé White Fang, des chansons comme Varmahlið mettent en exergue cette volonté farouche d'écrire la mélodie ultime. Les émotions se superposent comme autant de nappes harmoniques sur des cadences mid-tempo entêtantes, qui veulent en découdre avec grâce et raffinement. C'est cette densité des mélodies, qui mêlent une ténébreuse mélancolie et un entrain solaire, qui caractérise le mieux le groupe poitevin. Le résultat est bluffant. La teneur émotionnelle, trame principale de la musique de Starving Woodchucks, est ici emmenée avec une ferveur délicate, une atmosphère aussi bien organique et subtile que puissante et conquérante. Ce paradoxe, ou plutôt cette extension grand angle de leur spectre musical, fait de leurs titres de véritables moments tout aussi épiques que lyriques.
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14,99 €
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Riccardo Muti à la tête du Chicago Symphony Orchestra pour la suite orchestrale du ballet Roméo et Juliette. Cette nouvelle production du Chicago Symphony Orchestra est consacrée à la suite pour orchestre tirée du ballet de Prokofiev, Roméo et Juliette. Sous la direction de Riccardo Muti, l’orchestre a mis cette oeuvre à son programme depuis la saison 2011- 2012. Une relation régulière, donc, avec la partition, ainsi que la connivence musicale qui unit le maestro Muti au philharmonique dans ce travail commun a permis d’aboutir à cette version singulière de la suite du Roméo et Juliette de Prokofiev. Enregistrée en concert en Octobre 2013 au Symphony Hall de Chicago, l’interprétation reproduit, avec une authentique fidélité à son compositeur, la joie, la colère puis la tristesse de l’oeuvre, le tout avec une intensité palpitante. Conçue initialement pour illustrer une chorégraphie, la performance de Riccardo Muti à la tête du Symphonique de Chicago est finalement d’avoir su lui donner une vie propre, charnelle presque, dans un enregistrement sans le ballet, bien sûr. Une nouvelle expression de la relation unique qui unit Muti aux musiciens du Symphonic Orchestra de Chicago.
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16,99 €
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Qui dit « compositeur norvégien » dit Grieg et... c'est tout. Il est donc grand temps d'explorer plus avant le répertoire norvégien, et le premier nom venant en second est celui de Halvorsen. Ce compositeur, violoniste et chef d'orchestre étudia à Berlin et Leipzig comme il se devait en son temps les années 1880/90, puis retourna en Norvège en 1893 pour y occuper le poste de Directeur musical de l'Orchestre de Bergen, celui-là même qui lui rend ici hommage un siècle plus tard. S'il poursuit la tradition nationaliste de Grieg (dont il épousa la nièce et les principes), il intègre également une phénoménale science de l'orchestration inspirée des romantiques français, Berlioz et Bizet en tête. Découvrez sa propre Suite Holberg, hommage voilé à Grieg, une oeuvre théâtrale destinée à illustrer une pièce du dramaturge, partition délicieuse et colorée à souhait. Mais découvrez surtout sa magnifique Seconde Symphonie Fatum de 1924, oeuvre de l'ultime maturité donc, un des évidents piliers de la musique nordique au même titre que les grandes symphonies de Sibelius et Nielsen. Comment se fait-il que ce bonhomme ait été à ce point ignoré jusqu'ici ? Son ancien orchestre s'attelle donc à lui rendre justice. ©Abeille Musique 2011
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Data Discs est fier de vous présenter la bande originale complète de Space Harrier, classique des bornes d'arcade de 1985, récemment remasterisée et sortie sur vinyle pour la première fois en dehors du Japon. Space Harrier est presque plus mémorable pour son thème d'ouverture long et mélodique. Le célèbre compositeur de SEGA, Hiroshi Hiro Kawaguchi (OutRun, After Burner), armé d'un Yamaha DX-7 et disposant des ressources les plus minimales pour recréer le son d'un groupe complet a défié les contraintes technologiques de l'époque et inspiré une génération de compositeurs de jeux vidéo, notamment Yuzo Koshiro (Streets of Rage), qui a depuis lors cité Space Harrier comme une influence déterminante. Au-delà de son thème principal emblématique, Space Harrier montre également Hiro jouant avec une gamme de sons et de styles, allant de boucles infectieuses à des thèmes de bataille épiques. Cette édition contient 1 vinyle de couleur Vert transparent reprenant l'ensemble de la partition d'arcade de 1985, ainsi qu'une version arrangée du thème principal par le groupe live de SEGA (S.S.T. Band). Sont également incluses les notes de support écrites par Hiro lui-même et une impression lithographique de l'artwork original tiré des archives japonaises.
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SONY MUSIC
Sur une carrière qui couvre cinq décennies, John Williams s’est établi comme l’un des compositeurs de musiques de film les plus remarquables de notre temps. Comme directeur musical et chef d’orchestre invité, il s’est également produit avec un immense succès dans de multiples institutions américaines. Il est l’auteur de plus de cent musiques pour le cinéma. Ses 40 ans de collaborations avec le cinéaste Steven Spielberg ont généré de multiples films à succès planétaires, dont La liste de Schindler, E.T. l’extra-terrestre, Jurassic Park, Rencontres du troisième type, Indiana Jones... Leur dernière collaboration en 2016, les a réunis autour du film Le Bon Gros Géant. John Williams a composé toutes les partitions dédiées aux 7 épisodes de la saga Star Wars et 3 des Harry Potter notamment. Sa partition pour orchestre Soundings a été donnée en première mondiale pour l’inauguration du «Walt Disney Concert Hall» de Los Angeles. Dans le monde du sport, la musique de John Williams a été donnée aux Jeux Olympiques d’été de 1984, 1988 et 1996, ainsi qu’à ceux d’hiver en 2002. En 2006, John Williams a composé le thème du générique d’introduction pour la Chaîne NBC de la National Football League. En 2009 John Williams compose Air & Simple Gifts pour la première cérémonie inaugurale du Président Barack Obama.
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PIAS
Nouveau coup d'éclat de Antonio Florio : la découverte et l'édition de la Passion selon saint Jean composée en 1685 par le Napolitain Gaetano Veneziano, que Glossa publie sous le titre de Passio, avec le contre-ténor Raffaele Pe dans le rôle difficile de l'Évangéliste. Le coup d'éclat est double puisqu'on ignorait l'existence d'une Passion italienne baroque autre que celle de Alessandro Scarlatti, dont était contemporain Veneziano, élève préféré de Antonio Provenzale et maître de la chapelle royale. La découverte de cette partition dans l'Archivio dell'Oratorio dei Girolamini de Naples dévoile des horizons absolument insoupçonnés. L'oeuvre surprend en effet par son mélange de modernité et d'archaïsme dans l'accompagnement instrumental, interprété par Florio à la tête de la Cappella Neapolitana. Les interventions extroverties et atmosphériques du Christ (le ténor Luca Cervoni), de Ponce Pilate (la basse Marco Bussi) et de la Foule (le Coro Ghislieri) parachèvent cette oeuvre d'une beauté étrange. Voici donc, dans le sillage de la récupération du nom de Gaetano Veneziano en cours de réalisation par Florio (rappelons son disque La Santissima Trinità chez Glossa parmi d'autres nombreux enregistrements de musique italiennes sacrées), une nouvelle perle du baroque napolitain, commentée par le maître en la matière, Dinko Fabris.
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PIAS
Alors que la musique pour cordes, percussions et célesta appartient au très grand répertoire discographique, que la suite du Mandarin merveilleux ne manque pas de représentants dans le monde de l'enregistrement, les Quatre pièces pour orchestre ici présentées aussi ne risquent pas trop la concurrence : arrêtons-nous donc un instant sur ces petits chefs-d'oeuvre de la première maturité de Bartók, écrits dès 1912 - une période où le compositeur souffre de l'incompréhension du public vis-à-vis de sa musique bien trop moderne - mais orchestrés seulement en 1921, quand il a enfin fait sa place sur la planète musicale internationale. Ces quatre pièces ne manquent pas de points communs avec d'autres ouvrages plus célèbres de la même période, à savoir Le Château de Barbe-Bleue et Le Prince de bois : une motricité diabolique, une ampleur du propos thématique très développée mais, pour le moment, sans les grandes quêtes formelles et surtout l'économie de moyens de la musique pour cordes. Cela dit, le ton magyar si typique de Bartók s'y déploie déjà à tous les coins de la partition : voilà bien un cycle à (re)découvrir avec plaisir. Et pour les curieux de comparaisons discographiques, il y aura aussi cette nouvelle lecture des deux tubes sus-nommés par l'Anglais Edward Gardner à la tête de l'Orchestre de Melbourne en Australie !
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PIAS
On connaissait les Synthèses symphoniques réalisées par Stokowski à partir de Wagner (Tristan, Parsifal, Ring), voici donc, d'une conception radicalement différente, Aventure orchestrale de la Tétralogie de Wagner, réalisée par le compositeur néerlandais Henk De Vlieger (et percussionniste de l'Orchestre Philharmonique de la Radio des Pays-Bas). Naturellement, il ne s'agit pas de recomposer quoi que ce soit, mais de choisir dans les passages les plus saillants ceux qui sauront s'agencer dans une forme symphonique cohérente en plusieurs mouvements bien définis, sans que les transitions s'entendent le moins du monde. En quelque sorte, il s'agit d'un exercice de résumé littéraire dans lequel la substantifique moelle doit être retenue, et les digressions laissées de côté. Difficile exercice auquel De Vlieger se prête avec un étonnant brio.Cette réalisation particulièrement habile peut constituer une excellente introduction au cycle chef-d'oeuvre de Wagner, d'autant que la direction de Neeme Jarvi est superbe et la prise de son sensationnelle.En complément de programme, Siegfried Idyll qui reprend également quelques thèmes de la Tétralogie, mais dans la conception chambriste d'une aubade, bien que Neeme Järvi ait choisi d'étoffer quelque peu les cordes - la partition originale ne fait appel qu'à un quintette, en réalité, mais les raisons en tenaient à la pratique plutôt qu'à la musique : la pièce fut jouée à l'occasion du 33e anniversaire de Cosima, sur les marches de la villa des Wagner à Tribschen (au bord du lac des quatre cantons en Suisse) qui ne laissaient guère la place à un orchestre complet !
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Editions Théâtrales
Ces trois nouvelles pièces courtes à lire et à jouer par les jeunes ont été commandées par la Compagnie du Réfectoire pour le projet Si j'étais grand. Trois auteurs phares du théâtre jeunesse ont creusé la question des rêves et des utopies d'une enfance d'aujourd'hui. Dans L'Enfant de par là-bas, Jean-Pierre Cannet raconte l'histoire de Polin qui, après la perte de ses parents dans l'incendie de leur caravane, vit avec ses deux grands-mères; l'une lit l'avenir, l'autre est funambule. Cet enfant du voyage ne veut ni être placé en famille d'accueil, ni aller à l'école. Il s'enfuit. Cannet livre un texte puissant qui transporte au-delà des apparences et des préjugés. Chez Bruno Castan, un petit groupe de jeunes gens piopiotent tranquillement, adossés à un muret. Un village ? Une rue ? En tout cas, il ne se passe pas grand-chose, c'est La Glume. On parle de tout, de rien. De la façon dont on voudrait mourir. Comme l'utopie majeure ? Ça pourrait être sombre, mais la verve désespérément optimiste de Castan emporte le morceau. Dans Deux Citrons, Philippe Dorin crée, comme souvent et pour notre plaisir, des situations presque immobiles dans lesquelles il instille un mouvement quasi imperceptible et pourtant inexorable. À la manière d'une ritournelle, ses personnages sont des enfants qui jouent, des enfants qui jouent des rôles, des rôles de théâtre, un théâtre dans le théâtre. En pointilliste, Dorin propose une partition douce-amère, pleine de charme et de tendresse.
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WARNER MUSIC DV
Des enregistrements entièrement remasterisés, presque tous inédits en CD. Le pianiste chilien Claudio Arrau, un des titans du piano du 20e siècle, bien qu'honoré par une discographie abondante, voit celle-ci augmentée aujourd'hui d'une contribution majeure, avec ce coffret de 3 CD pour le prix d'1, qui rassemble des enregistrements inédits en CD (seules les sonates de Beethoven sont fugacement parues après la disparition de l'artiste en 1991). Le concerto n° 1 de Brahms ou les Sonates de Beethoven vont sans aucun doute ravir la presse et les mélomanes, d'autant que ces 3 CD ont été soigneusement remasterisés à Abbey Road. Scrupuleusement respectueux du texte bien avant la génération baroque, Arrau s'insurgea notamment contre Rachmaninov, qui modifia la partition de la seconde sonate pour piano de Chopin. Mais Arrau sut faire respirer le texte et ses interprétations qui sont des modèles de l'art de faire sonner et timbrer le piano. Ne cédant en rien aux virtuoses du clavier tels Horowitz, sa technique - héritage direct de celle de Liszt -, fait merveille dans les ouvres les plus ardues du répertoire. Sa « patte » léonine montrait une dynamique éblouissante qui, bien souvent, donnait l'impression qu'il jouait sur un clavier dont l'étendue dépassait les 88 notes. Rares sont les pianistes qui furent aussi à l'aise à la fois dans Beethoven et dans Chopin. Claudio Arrau savait les revisiter avec un souffle mélodique toujours intense, inquiet, ténu mais d'une précision psychologique exceptionnelle. Un coffret indispensable pour tout amateur de piano.
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Le Verger des Hespérides
Après un accident de circulation, la vie de Guillemette bascule. Elle doit renoncer à son violon et se résoudre à vivre loin de sa famille et de ses amis. Elle devra tout réapprendre. Il y aura la colère, la révolte, le refus et puis, petit à petit, la découverte de choses merveilleuses à vivre malgré le handicap. Il y aura la force des rires et des larmes, la force de se regarder autrement, de s'accepter et d'accepter le regard des autres. Il y aura la volonté d'exister à nouveau grâce à l'écriture. Pour choisir finalement de revivre, de vivre en corps ! L'auteur : Il était une fois des rires, des larmes, des émotions, des étonnements, des indignations, des découvertes avec des aventures... Bref, il était une fois des histoires que Geneviève Turlais a envie de partager en écrivant des romans, des nouvelles, des poèmes, des haïkus et des lettres... Elle aime les mots qui crient, sifflent, chuchotent, chantent, dérangent ou arrangent. Beaucoup de mots qui sont mis pour un seul : liberté. L'illustratrice : Ancienne élève des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD), Valérie Voyer crée d'abord le collectif Le PasQueBeau. Pendant plusieurs années, elle enrichit ainsi son travail de celui d'une dessinatrice, d'une designer mobilier, d'un vidéaste,... Graphiste et illustratrice, elle traduit en images les mots des autres : textes pour l'édition, sensibilisation, tout ce qui crée de « l'être ensemble ». Son travail d'illustration relève autant de la poésie que du graphisme. Influencée par surréalisme, elle pratique le collage, exploite le hasard d'une tache, se fait l'interprète du texte comme elle l'eut été d'une partition de musique.
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SONY MUSIC DV
La bande originale du film de Yann Gozlan « Un homme idéal ». Musique originale de Cyrille Aufort Avec : Pierre Niney, Ana Girardot, Thibaut Vinçon, André Marcon Cyrille Aufort, titulaire de plusieurs prix des Conservatoires de Musique de Lyon et de Paris s’est illustré en composant notamment la musique du film de Jacques Perrin et d’Eric Deroo « L’empire du milieu du sud », celle « d’Ombline » de Stéphane Cazès, du film de Nikolaj Arcel « A royal affair » co-composée avec Gabriel Yared, et dernièrement la musique du nouveau film de Luc Jaquet « La Glace et le ciel ». Pour ce thriller « Un homme idéal », Cyrille Aufort a composé une partition symphonique pour orchestre à cordes, ensemble à vents et percussions qui a su traduire au travers de figures répétitives et d’ostinatos l’aspect obsessionnel du personnage, et le destin tragique vers lequel il court inexorablement... Synopsis : Mathieu, 25 ans, aspire depuis toujours à devenir un auteur reconnu. Un rêve qui lui semble inaccessible car malgré tous ses efforts, il n’a jamais réussi à être édité. En attendant, il gagne sa vie en travaillant chez son oncle qui dirige une société de déménagement... Son destin bascule le jour où il tombe par hasard sur le manuscrit d’un vieil homme solitaire qui vient de décéder. Mathieu hésite avant finalement de s’en emparer, et de signer le texte de son nom... Devenu le nouvel espoir le plus en vue de la littérature française, et alors que l’attente autour de son second roman devient chaque jour plus pressante, Mathieu va plonger dans une spirale mensongère et criminelle pour préserver à tout prix son secret...
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39,99 €
PIAS
L'énergie dramatique et une intuition mystérieuse et infaillible permettant de faire vibrer les couleurs et le sens du texte, qui caractérisent la façon dont Claudio Cavina aborde ces dernières années la musique de Monteverdi, se retrouvent avec bonheur dans cette interprétation de Il ritorno d'Ulisse in patria. Après avoir signé des versions admirables, et admirées, de l'Orfeo et de Poppea, Cavina interprète à présent le texte immortel d'Homère célébrant la constance et la vertu. Créé à Venise il y a plus de 350 ans, Le Retour d'Ulysse dans sa patrie ne nous est parvenu qu'en une seule partition (conservée à Vienne) dont Monteverdi n'est probablement pas l'unique compositeur; conscient de cet état de choses auquel s'ajoutent certaines limitations du manuscit, Cavina applique sa grande expérience et son savoir-faire à recréer l'inspiration du Crémonais et présente ainsi sous une lumière nouvelle le monde opératique vénitien au coeur du XVIIème (ce que nous avons pu apprécier dans son récent enregistrement de Artemisia de Cavalli). Cavina s'entour des instrumentistes de La Venexiana et d'un excellent groupe de chanteurs (auxquels Cavina participe) : aux cîotés de Anicio Zoki Giustiniani (Ulysse) et de José Maria Lo Monaco (Pénélope), nous pouvons applaudir Roberta Mameli et Makoto Sakurada, entre autres, dans les rôles principaux. L'oeuvre a été enregistrée à Mondovi après avoir été jouée à Amsterdam, Paris, Regensburg ou Stuttgart. Stefano Russomanno, dont les essais accompagnent tout l'odyssée monteverdienne de Cavina chez Glossa, contribue une fois encore en signant un texte incisif pour cette édition.
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UNIVERSAL DV NEW
Dans le cadre des célébrations du 250ème anniversaire de Beethoven, Decca réédite l'oeuvre-hommage de Pierre Henry. émerveillé par le corpus des neuf symphonies de Beethoven, le pionnier de la musique concrète compose en 1979 sa Dixième Symphonie, créée la même année au Beethovenhalle de Bonn dans une version de près de deux heures. La Dixième est redonnée dans une version réduite neuf ans plus tard, d'abord au SIGMA de Bordeaux, puis à Paris, Salle Pleyel. L'oeuvre choque le public parisien de la musique classique, imperméable à ce Beethoven puissance 10. Une décennie plus tard, Pierre Henry remanie sa partition, enrichie de rythmes actuels puisés dans son immense bibliothèque, sur une demande, en 1998, du prestigieux Festival de Montreux, connu pour ses invités venus du jazz, du blues et de la pop. Une Dixième Remix joyeuse, grandiose et délirante, à la hauteur du modèle un film sans images, avec une construction bien précise en dix étapes clés : la guerre et les bruits de la ville orchestrés comme un super documentaire sur l'activité humaine dans le monde'. Succès immédiat et impressionnant. De Montreux aux Folles Journées Beethoven, des festivals Futura (Crest), Musica (Strasbourg) et Paris quartier d'été, en passant par La Cigale et la Cité de la musique, à Paris, Pierre Henry est acclamé, fêté, avec sa Xème remix, qui célèbre autant la modernité variée de notre époque, qu'une force créatrice toujours intacte. 20 au 24 novembre 2019 : Week-end Pierre Henry à la Philharmonie de Paris Nouvel espace au musée de la musique - Cité de la musique : Studio Pierre Henry (collection permanente à partir du 1er septembre 2019) - Folles journées de Nantes 2020 : Thématique Beethoven. La 10ème symphonie de Pierre Henry fera partie de la programmation (reprise ensuite à Tokyo, Ekaterinbourg et Varsovie).
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WARNER MUSIC DV
Triple lauréat des Victoires de la musique classique entre 2006 et 2011, Bertrand Chamayou est l'un des pianistes français les plus en vue sur la scène internationale. Ses interprétations de deux grands corpus de Franz Liszt, les 12 Études d'exécution transcendante et les Années de pélerinage ainsi que ses récents programmes consacrés à Felix Mendelssohn et César Franck ont recueilli l'approbation de la critique et des amateurs de piano les plus exigeants. C'est dans cette suite que s'inscrit ce nouveau programme de morceaux choisis dans l'oeuvre abondante de Franz Schubert. Une nouvelle fois, la sélection opérée ne laisse aucune place à la facilité avec les deux morceaux de bravoure pianistique que constituent la Fantaisie en ut majeur opus 15, D. 760, dite Wanderer et les trois Klavierstücke, opus posthumes n°1, 2 et 3, D. 946. Par le choix de ces pièces, Bertrand Chamayou se glisse, deux siècles après, dans la peau du compositeur autrichien mort à 31 ans, qui jouait pour ses amis ses nouvelles créations dans des soirées baptisées schubertiades. La grande maîtrise du pianiste, en particulier dans le dernier mouvement Allegro de la Wanderer Fantaisie, est à la hauteur de l'exigeance requise pour son interprétation; Schubert n'annonçait-il pas : C'est le diable qui devrait jouer cela ? Outre ces oeuvres d'une grande difficulté qui surprennent par leur accomplissement doublé d'une lecture personnelle, très assurée, le programme comprend la partition magnifique et connue de Auf dem wasser zu singen (À chanter sur l'eau), D. 774 - dans sa version instrumentale -, et le remarquable Allegretto en ut mineur D. 915, à redécouvrir séance tenante. D'autres miniatures complètent le récital comme un extrait du cycle Die Schöne Mullerin (Der Müller un der Bach), une courte et profonde Litanei D. 343 et deux Ländler D. 790 et D. 366, avant la conclusion sur la charmante valse Kupelwieser Walzer en sol bémol majeur, D. Anh 1/14, absente du catalogue schubertien mais jouée en 1826 et transmise par le temps, notamment par la transcription de Richard Strauss en 1943. Bertrand Chamayou livre en tous points un travail d'expert.
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SONY MUSIC
Yan Levionnois avait imposé son nom dès son premier album, avec un ffff Télérama pour «Cello Solo» paru en 2013 chez Fondamenta. Il a ensuite enregistré sous le même label «Pierrots Lunaires» avec la violoniste Mélanie Clapiès. Guillaume Bellom a un parcours atypique, puisqu’il est pianiste… et violoniste. Lui aussi a eu les honneurs de Télérama, avec un ffff en 2013 pour un enregistrement consacré à Schubert. Il a été nommé cette année aux Victoires de la Musique dans la catégorie «Révélation Instrumentale». Cet album «Cello Sonatas» est consacré au répertoire romantique allemand, avec la «Sonate pour Arpeggione de Schubert», la «Sonate n°2 de Mendelssohn» et, plus rare au disque, la «Sonate de Richard Strauss». Schubert est encore à l’honneur, avec la « Sonate pour arpeggione ». Ne cherchez pas cet instrument autour de vous, il n’en reste qu’une douzaine dans le monde, l’arpeggione étant un hybride entre la guitare (jouée avec un archet) et le violoncelle. La sonate éponyme, elle, demeure une des oeuvres majeures du compositeur viennois ! Mendelssohn a écrit cette «Sonate n°2» pour violoncelle et piano en 1843, soit presque 20 ans après celle de Schubert. Mendelssohn a commencé vite et bien : à 12 ans, il avait composé un opéra, et son célèbre «Octuor» fut écrit lorsqu’il avait... 16 ans ! Cette sonate est très classique, dans la forme et dans les inspirations musicales, un petit bijou de ce compositeur qui, au-delà de son oeuvre, aura fait redécouvrir la musique de JS Bach. Richard Strauss était lui aussi précoce : il lisait une partition avant de connaître l’alphabet... Et donc à 16 ans, compose cette sonate ! Plus tard, Richard Strauss se tournera vers les grands poèmes symphoniques, mais cette oeuvre de jeunesse reste un modèle dans sa musique de chambre, emplie de romantisme et de classicisme, et où perce déjà cet amour des couleurs orchestrales. Innovation Mondiale Si les CD du label Fondamenta vous plongent au coeur de l’émotion musicale, c’est que rien n’est laissé au hasard : depuis la salle de concert, en passant par le choix des instruments, des matériels et, naturellement, de la rigueur de leur mise en oeuvre. Puisque les systèmes d’écoute et les habitudes des mélomanes diffèrent, Fondamenta innove en vous proposant, deux disques afin de permettre à ses produits de conserver leur quintessence en toute occasion : Le Fidelity CD (Fidelity Mastering ™) est la version de référence destinée aux systèmes audio haute-fidélité. Le Mobility CD (Mobility Mastering...) est une version adaptée aux écoutes, par exemple sur ordinateur ou en voiture.
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Après le beau succès de ses 2 premiers albums pour Virgin Classics, Teatro d'amore en 2009 et Via Crucis en 2010 (15.000 exemplaires chacun), l'Arpeggiata et Christina Pluhar fêtent leur 10 ans d'existence en célébrant le 500e anniversaire des Vespres della beata vergine, un des chefs-d'oeuvre absolus de l'histoire de la musique sacrée. En 1608, Claudio Monteverdi atteint un point culminant de sa carrière et de son oeuvre artistique. Sur le plan personnel, pourtant, il est endeuillé et physiquement épuisé. Atteint au plus profond de son âme par les décès de sa femme, de sa fille et de son élève, Monteverdi s'effondre d'épuisement et de surendettement en juillet 1608, à l'âge de 41 ans, et se réfugie dans la maison de son père à Crémone. Si aucune genèse de l'oeuvre ne nous est parvenue, il est tout à fait concevable qu'il ait pu commencer la composition des Vêpres de la Sainte Vierge durant cette période difficile de sa vie. Puis, après des années de galère, Monteverdi enlève haut la main le poste envié de maître de chapelle à Saint Marc à Venise. On peut supposer que les Vêpres ne sont pas étrangères à sa réussite. Chacun des 30 chanteurs et instrumentistes qui ont participé à cet enregistrements a une longue et profonde relation avec cette oeuvre. Cristina Pluhar a privilégié une approche intime, car l'écriture de la partition suggère non pas un choeur, comme c'est le cas dans de nombreux enregistrements, mais une voix soliste pour chaque partie. Ici, les 12 chanteurs sont tous des solistes qui apportent chacun une beauté formelle et une présence théâtrale forte. Cet effectif de 12 solistes « polyphoniques » en lieu et place d'un choeur global fait penser à Christina Pluhar qu'elle se rapproche de l'esprit des tous premiers concerts donnés à la création. Les instruments de L'Arpeggiata déploient une forte capacité d'improvisation libre, soutenue par de spectaculaires ornementations. A noter la présence du Psalterion dont le timbre permet de restituer par moments le sentiment d'une musique surgie du fond des âges. Christina Pluhar a opté pour une version « de concert », qui lui a semblé plus judicieuse dans le cadre d'un enregistrement moderne, et n'a donc pas intercalé d'antiennes entre les morceaux. L'utilisation exclusive de solistes, chanteurs et musiciens virtuoses, permet de choisir des tempos plus rapides et vise à donner une importance accrue aux inventioni virtuoses de Monteverdi sur ce thème fondateur. Pour résultat cette sublime interprétation en 1CD au lieu de 2 habituellement. La parution de cet enregistrement rare se double d'une présentation luxueuse : un livre-disque de 60 pages qui contient également un DVD de 22 min/, contenant 4 extraits des Vêpres par l'Arpeggiata, admirablement filmés.
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Aaaah, enfin un CD d'oeuvres rares de grands compositeurs, hélas bien trop négligés - à telle enseigne que c'est, pour la Seconde de Casella, la première discographique mondiale, aussi incroyable que cela puisse paraître. C'est que l'on ne semble pas pardonner à des musiciens italiens du début du XXe d'écrire autre chose que des opéras sirupeux ou pleurnichards (mon avis personnel... par ici les quolibets et les tomates pourries !). Casella fait partie de ces résistants à la tyrannie lyrique; Martucci - un autre grand résistant - avait conseillé au jeune musicien de poursuivre son apprentissage au Conservatoire de Paris plutôt qu'en Italie. Il y côtoiera des condisciples de la trempe de Ravel et d'Enescu dans la classe de Fauré, mais ses influences ne se limiteront jamais à la seule sphère française. A l'écoute de sa Seconde symphonie, on y décèle clairement le courant russe, et - chose plus rare - la griffe de Mahler, un compositeur alors totalement ignoré en France. Lorsque Mahler rencontra son jeune collègue à Paris en 1909, il fut surpris de voir que Casella connaissait par coeur ses symphonies; et c'est d'ailleurs grâce aux efforts de ce dernier que Mahler put donner à Paris sa Seconde symphonie le 17 avril 1910 : pour la première et unique fois dans la capitale française, apparaissait comme chef et compositeur. Six jours plus tard, Casella crée sa propre Seconde à la Salle Gaveau; sans doute le parallèle entre Mahler et Casella n'est-il pas difficile à établir, mais il ne faut pas exagérer la filiation. Casella déroule ici un tapis sonore extravagant de textures orchestrales, d'explosions délirantes, de digressions passionnées, d'ostinatos trépidants, dans une écriture tout à fait personnelle, bel et bien italienne - la tarentelle formant le second mouvement en est le meilleur exemple, même si ces tarentelles-là procèdent plutôt de la Guerre des Mondes ! Le mouvement lent épouse souvent les formes lyriques à l'italienne, avec leurs longues phrases et leurs sanglots chromatiques. L'aimable lecteur l'aura compris, voilà une oeuvre à découvrir de toute urgence, en espérant que les orchestres français voudront bien se creuser un peu plus le cortex en la programmant au répertoire. Beaucoup plus aimable, Scarlattiana de 1926 est un exemple typique de néoclassicisme dans la lignée de la Boutique fantasque de Respighi d'après des thèmes de Rossini, ou naturellement de Pulcinella de Stravinski d'après un pseudo-Pergolesi. Loin de la parodie stravinskienne, Casella cherche un parfum nouveau à cette musique vieille de deux siècles; Scarlatti en est totalement transfiguré, à peine reconnaissable, d'autant que le compositeur modifie les harmonies, les dissonances, les voix intermédiaires, et rajoute un piano solo à la partition orchestrale. Il ne s'agit donc en rien d'une simple orchestration, mais bien d'une réécriture d'après des matériaux anciens. A découvrir aussi, sans tarder. © Abeille Musique 2010
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La Vierge noire de Montserrat accompagne Jordi Savall depuis l'enfance et les étés en montagne, le Llibre Vermeil jalonne son travail avec Montserrat Figueras. C'est dire combien les deux inspiratrices pèsent sur ce second enregistrement (live) du Livre vermeil, offert à la fois en CD et DVD (à privilégier). Le codex à couverture rouge constitué dans l'abbaye catalane à la fin du XIVe siècle rassemble d'amples textes liés à la vie ecclésiastique et au pèlerinage de tous ceux qui étaient « arrivés au monastère de la Vierge noire de Montserrat à la recherche d'espoir dans cette vie et pour s'assurer aussi du bonheur dans l'autre » (Jordi Savall). Il est particulièrement précieux pour sa mince mais considérable partie musicale : sur onze pages, le chansonnier présente dix pièces (douze à l'origine) très simplement notées, pour lesquelles l'interprétation est forcément recréation. La notice passionnante de Josep M. Gregori plonge le lecteur dans l'aventure rocambolesque du recueil et le symbolisme numérique des structures mélodiques, retenons?en la variété relative des formes musicales sur des textes en latin ou catalan : unissons, canons à deux ou trois parties, virelais avec refrain, « goigs » ou « joies » mariales à l'écriture plus complexe, danse macabre ternaire conclusive. Les rares didascalies indiquent des chansons à danser en rond (« a bail redon »), des mélodies sans texte suggèrent l'emploi d'instruments (éternel débat... ). Quelques lignes précisent l'intention de l'ouvrage, destiné à l'usage populaire des pèlerins. Mais pourrions?nous apprécier, aujourd'hui et au disque, si loin de ce contexte, leur ferveur sans fard ? Dès sa première intégrale mythique de 1979 à Saintes (Thomas Binkley et Gregorio Paniagua l'avaient précédé en 1966 et 1968), Jordi Savall mettait en timbres (chanteurs solistes, plusieurs choeurs et instruments) un Llibre Vermeil opulent, à la ferveur inoubliable. Pourquoi prendre le risque d'un second legs ? Dans ce concert de novembre 2013 en hommage à Montserrat Figueras, la conception globale n'a pas fondamentalement évolué, hormis l'effectif vocal, réduit à onze chanteurs. Paradoxalement, alors même qu'elle perd de facto la profondeur de champ propre aux cinq choeurs de 1979, cette capella de solistes, associée à une réalisation instrumentale souvent plus touffue, ne parvient pas à offrir une polyphonie transparente et déliée (par exemple dans Stella splendens). Les compagnons fidèles des anciens et des nouveaux jours entourent Savall, à la voix (Maria Cristina Kiehr recueillant la lourde responsabilité de suppléer l'absente) et aux instruments (Marq, Lawrence?King, Biffi, Canihac, Lassalle, Güngör, Estevan... ). La pratique des pèlerins justifiait la forme répétitive des différentes pièces, à laquelle le concert contemporain, surtout non scénographié, est beaucoup moins favorable. Savall « habille » le matériau initial avec adresse, variété opulente des timbres, perfection des équilibres, improvisations de liaison, virtuosité. En totale opposition avec la fête populaire et fervente récemment offerte par Bruno Bonhoure (Paraty, cf. no 627), le pèlerinage princier de Savall est impeccablement réglé, et d'une mélancolie qui tourne à la tristesse infinie, décelable (au DVD) sur les visages rivés à la partition. Revenez au Llibre Vermeil de 1979, écoutez Polorum regina, sa liberté agogique, son allure déliée, rayonnante, devenu esthétisme nostal-gique. Ou encore Ad mortem festinamus, danse macabre déjà symphonique mais ricanante, aujourd'hui désespoir virtuose et grinçant. Un ange est passé, il a oublié de revenir.
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