
21,99 €
WAGRAM DV
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
Cultura 
42,99 €
WAGRAM DV
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
Cultura 
17,99 €
BELIEVE DV
À l’heure d’aborder l’épreuve du deuxième album, les deux frères Verleysen ont fait de leur mieux pour échapper à la malédiction qui veut qu’il s’agisse d’un moment difficile de la vie d’un groupe. Partis avec l’idée d’enregistrer la suite d’un premier album, Time For a Change, salué unanimement, Elephanz a préféré prendre un chemin de traverse. À l’arrivée, le groupe aura su accomplir une avancée bien plus importante qu’il ne l’aurait imaginé. En cherchant à confectionner le meilleur disque possible, les deux frères se sont découverts une audace qu’ils ne soupçonnaient pas au départ. Epuisés physiquement par des mois de route, ils ont choisi de s’isoler et de créer. C’est en hiver, dans un petit appartement du Calvados, que les morceaux ont vu le jour. Plutôt que de capitaliser sur le succès de leur premier album en multipliant les contacts avec des producteurs extérieurs et diverses personnes du métier de la musique, c’est à deux et exclusivement à deux qu’ils sont arrivés au bout d’une aventure douloureuse, longue et compliquée mais tellement gratifiante à l’arrivée. Les 2 frères ont mis au point les sonorités audacieuses de chansons déjà inoubliables. Une musique sombre et riche en textures inédites. Armé de nouveaux outils, dont un clavier analogique aisément transportable en sac à dos, et de nombreux plug-ins, Elephanz a bâti un son neuf. Avec un souci constant : ne pas surcharger inutilement les morceaux. Un travail d’épure exigeant qui uidi e considérablement la production des titres. Au mixage, Pierrick Devin apporte une cohérence qui faisait défaut à un premier album mixé de part et d’autre. S’ils ont retenu une leçon de leur premier disque, c’est bien celle-là : privilégier l’homogénéité par-dessus tout. Ainsi que le partage des tâches. Maxime participe ici pour la première fois à l’écriture des textes. Avec la patte qui donne sa singularité à la formule Elephanz : des mélodies lumineuses, tout droit sorties de la pop, au service de textes souvent noirs. Un oxymore payant une fois encore, notamment sur la chanson The Catcher in the Rye, joyeusement désespérée. Plus posé et serein que son prédécesseur, ce nouvel album s’appuie sur des batteries programmées qui confèrent un aspect plus intérieur, quasi énigmatique aux compositions. La production soignée du duo nimbe les chansons d’un voile mystérieux qui nécessite plusieurs écoutes avant de percer la densité des sons mis en uvre ici. Les guitares rasent les murs, torturées par Jonathan qui a voulu leur faire subir mille outrages plutôt que se satisfaire d’accords plaqués. Sur I Feel Love, un Vocoder fait même son apparition, ce qui n’est pas la moindre des surprises d’un album qui fera valser notre mélancolie tout l’automne. Pour la première fois, le groupe a décidé de chanter dans la langue d’Etienne Daho. Sur une poignée de titres, Maxime et Jonathan font claquer leurs mots choisis avec la finesse de nos meilleurs paroliers.
Cultura 
11,99 €
SONY MUSIC DV
Trésors du Baroque Nombre de disques : 4 Disque 1 : 1. Adagio (albinoni Tomaso) - 2. Le Messie : Alleluia (haendel Georg Friedrich) - 3. Canon (pachelbel Johann) - 4. Concerto Brandebourgeois N 2 : Allegro (bach Johann Sebastian) - 5. Concerto Brandebourgeois N 2 : Andante (bach Johann Sebastian) - 6. Concerto Brandebourgeois N 2 : Allegro Assai (bach Johann Sebastian) - 7. Le Printemps : Allegro (vivaldi Antonio) - 8. Le Printemps : Largo E Pianissimo Sempre (vivaldi Antonio) - 9. Le Printemps : Allegro, Danza Pastorale (vivaldi Antonio) - 10. L'été : Allegro Non Molto (vivaldi Antonio) - 11. L'été : Adagio, Presto (vivaldi Antonio) - 12. L'été : Presto, Tempo Impetuoso (vivaldi Antonio) - 13. L'automne : Allegro (vivaldi Antonio) - 14. L'automne : Adagio Molto (vivaldi Antonio) - 15. L'automne : Allegro (vivaldi Antonio) - 16. L'hiver : Allegro (vivaldi Antonio) - 17. L'hiver : Largo (vivaldi Antonio) - 18. L'hiver : Allegro (vivaldi Antonio) Disque 2 : 1. Concerto Pour Guitares & Orchestre (vivaldi Antonio) - 2. Suite Pour Orchestre N 3 : Air (bach Johann Sebastian) - 3. Xerxès : Largo (haendel Georg Friedrich) - 4. Suite Pour Orchestre N 2 : Menuet & Badinerie (bach Johann Sebastian) - 5. Tafelmusik : Allegro (teleman Georg Phillipp) - 6. Prélude En Ré Mineur (bach Johann Sebastian) - 7. Concerto Brandebourgeois N 4, Bwv - 49. Andante (bach Johann Sebastian) - 8. Concerto Italien : Satz (bach Johann Sebastian) - 9. Stabat Mater : Choeur (astorga Emmanuel D') - 10. Stabat Mater : Basse Solo (astorga Emmanuel D') - 11. Stabat Mater : Choeur (astorga Emmanuel D') - 12. Suite, Bwv 996 : Allemande (bach Johann Sebastian) - 13. Suite, Bwv 996 : Bourrée (bach Johann Sebastian) - 14. Suite, Bwv 996 : Gigue (bach Johann Sebastian) - 15. Dardanus : Chaconne (rameau Jean-philippe) - 16. Le Clavier Bien Tempéré : Prélude & Fugue (bach Johann Sebastian) - 17. Concerto Brandebourgeois N 3, Bwv - 48. Allegro (bach Johann Sebastian) Disque 3 : 1. Luz Y Norte : Xacaras Por Primer Tono (anonyme) - 2. Diferencias Sobre La Gayta (anonyme) - 3. Prélude & Fugue En Ut Mineur (bach Johann Sebastian) - 4. Cantate, Bwv 147 : Jésus Que Ma Joie Demeure (bach Johann Sebastian) - 5. Concerto Pour Clavecin, Bwv - 52. Allegro (bach Johann Sebastian) - 6. Symphonie Pour Cordes, Rv 158 : Allegro Molto (vivaldi Antonio) - 7. Symphonie Pour Cordes, Rv 158 : Andante Molto (vivaldi Antonio) - 8. Symphonie Pour Cordes, Rv 158 : Allegro (vivaldi Antonio) - 9. Introduttione Teatrali En Ré Majeur (locatelli Pietro Antonio) - 10. Les Indes Galantes : Ouverture (rameau Jean-philippe) - 11. Passacaille (marini Biagio) - 12. Magnificat (zelenka Jan Dismas) - 13. Sonata Seconda Detta La Luciminia Contenta (uccelini Marco) - 14. Quatuor En Ré Mineur (fasch Johann Friedrich) - 15. Benedicam Dominum (rosenmuller Johann) Disque 4 : 1. Sonate Pour Clavecin, K 141 (scarlatti Domenico) - 2. Concerto En Ré Pour Hautbois : Adagio (marcello Alessandro) - 3. Sonate Pour Flute En Mi Mineur : Allegro (sammartini Guiseppe) - 4. Sonate En Si Bémol Majeur, Op 1/7 (jacchini Guiseppe Maria) - 5. Si Vi Brama, Si Vi Chiama : La Stagione (scarlatti Alessandro) - 6. Introduction En Ré Majeur (locatelli Pietro Antonio) - 7. Quintette En Ut Majeur, Op 57 N 6 (boccherini Luigi) - 8. O Quam Tu Puchra Es (grandi Alessandro) - 9. Concerto Grosso, Op 7 N 2 (gemeniani Francesco) - 10. Passion Selon St Jean : Passio Domini (scarlatti Alessandro) - 11. Concerto Grosso, Op 6 N 8 : 4ème Mouvement (corelli Archangelo) - 12. Les Vêpres De La Vierge : Duo Seraphim (monteverdi Claudio) - 13. Canon à 2 Violoncelles En Ré Majeur (gabrieli Domenico) - 14. Chaconne à 2 (merula Tarquinio) - 15. Sonate En Ut Majeur, Op 3/10 (jacchini Guiseppe Maria) - 16. Amarilli Mia Bella (caccini Giulio)
Cultura 
12,99 €
BELIEVE DV
À l’heure d’aborder l’épreuve du deuxième album, les deux frères Verleysen ont fait de leur mieux pour échapper à la malédiction qui veut qu’il s’agisse d’un moment difficile de la vie d’un groupe. Partis avec l’idée d’enregistrer la suite d’un premier album, Time For a Change, salué unanimement, Elephanz a préféré prendre un chemin de traverse. À l’arrivée, le groupe aura su accomplir une avancée bien plus importante qu’il ne l’aurait imaginé. En cherchant à confectionner le meilleur disque possible, les deux frères se sont découverts une audace qu’ils ne soupçonnaient pas au départ. Epuisés physiquement par des mois de route, ils ont choisi de s’isoler et de créer. C’est en hiver, dans un petit appartement du Calvados, que les morceaux ont vu le jour. Plutôt que de capitaliser sur le succès de leur premier album en multipliant les contacts avec des producteurs extérieurs et diverses personnes du métier de la musique, c’est à deux et exclusivement à deux qu’ils sont arrivés au bout d’une aventure douloureuse, longue et compliquée mais tellement gratifiante à l’arrivée. Les 2 frères ont mis au point les sonorités audacieuses de chansons déjà inoubliables. Une musique sombre et riche en textures inédites. Armé de nouveaux outils, dont un clavier analogique aisément transportable en sac à dos, et de nombreux plug-ins, Elephanz a bâti un son neuf. Avec un souci constant : ne pas surcharger inutilement les morceaux. Un travail d’épure exigeant qui uidi e considérablement la production des titres. Au mixage, Pierrick Devin apporte une cohérence qui faisait défaut à un premier album mixé de part et d’autre. S’ils ont retenu une leçon de leur premier disque, c’est bien celle-là : privilégier l’homogénéité par-dessus tout. Ainsi que le partage des tâches. Maxime participe ici pour la première fois à l’écriture des textes. Avec la patte qui donne sa singularité à la formule Elephanz : des mélodies lumineuses, tout droit sorties de la pop, au service de textes souvent noirs. Un oxymore payant une fois encore, notamment sur la chanson The Catcher in the Rye, joyeusement désespérée. Plus posé et serein que son prédécesseur, ce nouvel album s’appuie sur des batteries programmées qui confèrent un aspect plus intérieur, quasi énigmatique aux compositions. La production soignée du duo nimbe les chansons d’un voile mystérieux qui nécessite plusieurs écoutes avant de percer la densité des sons mis en uvre ici. Les guitares rasent les murs, torturées par Jonathan qui a voulu leur faire subir mille outrages plutôt que se satisfaire d’accords plaqués. Sur I Feel Love, un Vocoder fait même son apparition, ce qui n’est pas la moindre des surprises d’un album qui fera valser notre mélancolie tout l’automne. Pour la première fois, le groupe a décidé de chanter dans la langue d’Etienne Daho. Sur une poignée de titres, Maxime et Jonathan font claquer leurs mots choisis avec la finesse de nos meilleurs paroliers.
Cultura 
22,99 €
WAGRAM DV
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Cultura 
15,99 €
WAGRAM DV
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Cultura 
16,99 €
WAGRAM DV
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Cultura 
1 529,99 €
Tablette graphique Cintiq 22HD Les pionniers traversent les frontières, découvrent de nouveaux horizons et repoussent toujours plus loin les limites. Exactement comme les pionniers utilisant le Cintiq 22HD. Que vous soyez illustrateur, designer, photographe ou artiste, travaillez de manière naturelle, directement sur l'écran, accélérez votre rythme de travail et améliorez votre productivité – grâce aux nouvelles fonctionnalités du Cintiq 22HD, telles que son écran haute définition de 21,5 pouces, sa technologie inégalée de saisie au stylet, ses ExpressKeys et ses Touch Strips. Travailler directement sur l′écran. Le Cintiq 22HD offre une expérience de création naturelle sur un écran 21,5′′ de format standard. Les fonctionnalités supplémentaires pour améliorer la productivité telles que les ExpressKeys et les Touch Strips aident à réaliser plus vite tous les processus de création et vous permettent de rester concentré sur votre travail. Introduction L′écran 21,5′′ HD de large format et les capacités de saisie du stylet Wacom sensible à la pression, et leader dans sa catégorie, permet aux photographes, aux designers et aux autres professionnels de la création de travailler de façon naturelle et intuitive, directement sur l′écran. Performance du stylet professionnel Capable de détecter la pression et l′inclinaison, le stylet professionnel de Cintiq 22HD vous permet de contrôler les effets sensibles à la pression, comme l′épaisseur du trait, l′opacité et la luminosité. équipé du capteur de pointe très performant, le stylet possède une force d′activation très faible qui enregistre jusqu′aux moindres variations de pression. De plus, le bouton latéral du stylet peut être configuré pour des raccourcis et des fonctions supplémentaires spécifiques à des applications. Le temps c′est de l′argent Les utilisateurs de Cintiq réalisent des gains de productivité considérables grâce au fait de pouvoir travailler directement sur l′écran. Conçu pour les droitiers et les gauchers, le Cintiq 22HD est muni de deux Touch Strips à l′arrière, accompagnés de boutons de basculement qui permettent chacun de contrôler jusqu′à quatre fonctions spécifiques à une application, comme la taille du pinceau, le zoom, le déroulement ou la rotation de la zone de travail sur l′écran. Seize ExpressKeys (huit sur chaque côté de l′écran) améliorent la productivité en donnant un accès rapide aux raccourcis clavier et aux fonctions supplémentaires. Contenu de l´emballage écran interactif à stylet Cintiq 22HD Socle ajustable avec fonction de rotation pour l′écran Grip Pen sans fil et sans pile Porte-stylet avec dix pointes de rechange et extracteur de pointe Câble vidéo Câble de données Bloc d′alimentation avec prise UE/GB et câble CD-ROM avec pilote Guide de mise en route Configuration requise Compatible Mac aet PC, Cintiq 22HD necessite un branchement electrique et branchement video (VGA ou DVI) plus une connection USB à votre ordinateur.. Caractéristiques techniques Poids : 15,3 kg, avec socle 8,5 kg, sans socle Socle : Entièrement démontable, Rotation de l′écran vers la gauche et la droite, Inclinaison de 10° à 65° Type : a-SI Active Matrix TFT LCD (H-IPS) Dimensions de l′écran : 54,5 cm (21,5") Surface d′affichage : 475 mm x 267 mm Résolution : Full HD (1 920 x 1 080 pixels) Luminosité : 230 cd/m² Rapport de contraste : 1000 : 1 Taux de réponse : 14 ms Dimensions (L x P x H) : 650 mm x 400 mm 55 mm Surface active du stylet (l x P) : 479 mm x 271 mm Sensibilité à l′inclinaison : p 60° Hauteur de lecture maximale : 5 mm Nombre d′ExpressKeys : 16, 8 de chaque côté de la tablette Commande Touch Strip : 2, à gauche et à droite de la tablette Touch Ring : non
Cultura